Exercice mental


Il y a des pensées, certaines croyances comme les sectes qui nous empêchent de bouger, d’évoluer alors que d’autres plus positives nous aident a grandir, a s’épanouir
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Exercice mental


Les pensées et croyances que vous entretenez sont souvent la cause de beaucoup de vos perceptions !

Si elles sont défaitistes, vous vous autosabotez tout seul, débarrassez-vous-en au pus vite !

Si vous croyez en vous, en vos compétences, vos capacités, eh bien allez encore plus loin !

Ne croyez pas en la défaite. Le succès est avant tout un « exercice » mental, une attitude !

Michel Poulaert

Votre ordinateur est programmé pour mourir jeune


Étant donner le coûts des ordinateurs et tout ce qui va avec.. il est important que ce soit pour le consommateur ou l’environnement que les produits de la technologie soient durable et ce pendant plusieurs années ainsi alléger l’impact sur l’exportation de produits dangereux sans compter que l’environnement et notre portefeuille s’en portera mieux. Les compagnie doivent donc agir de façon responsable
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Votre ordinateur est programmé pour mourir jeune

 

 

Par Bruno Geoffroy

Des ampoules aux ordinateurs, l’espérance de vie des produits de consommation diminue. La faute à l’obsolescence programmée, affirme le documentaire Prêt à jeter présenté le 31 janvier à l’UQAM. Avis d’experts.

L’obsolescence programmée est un «régime minceur» que les fabricants font subir à la durée de vie des produits. Tout a commencé dès les années 1920, lorsque les industriels américains ont introduit le concept de produit jetable.
Un artifice pour doper la croissance

Il s’agissait alors d’un moyen artificiel de doper la croissance économique et de faire croire aux citoyens des pays industrialisés que la liberté et le bonheur passaient par une consommation infinie. Présentées dans le documentaire Prêt à jeter, ses conséquences environnementales et sociales sont désastreuses: gaspillage de ressources, pollution, exportation de déchets vers les pays pauvres…
Toutefois, cette pratique reste surtout cantonnée à certaines niches comme l’informatique et l’électroménager.

«Par exemple, Apple a longtemps obligé les consommateurs à racheter un nouvel appareil quand les batteries soudées de leurs iPod étaient arrivées en fin de vie», raconte Jérémy Bouchez, ex-directeur de Computation, une entreprise de reconditionnement et de recyclage d’équipements informatiques et électroniques, et coordonnateur bénévole du Cercle scientifique de la Fondation David Suzuki.

Allonger la durée de vie utile
Selon le Programme des Nations unies pour l’environnement, la durée de vie moyenne des ordinateurs, dans les pays développés, est passée de six ans en 1997 à seulement deux ans en 2005. De 20 à 50 millions de tonnes de déchets d’équipements électriques et électroniques sont ainsi générées chaque année.

Pour contrecarrer ces effets pervers, «il faut reconditionner nos appareils électroniques afin de maximiser leur durée de vie utile avant qu’ils ne passent dans le bac de recyclage. Environ 80 % des gens n’ont pas besoin d’un ordinateur dernier cri pour envoyer des courriels, surfer sur Internet ou visionner des vidéos sur YouTube», constate Jérémy Bouchez.

Économiser les ressources

«La durée de vie d’un produit n’est pas le facteur clé en matière de réduction des impacts environnementaux. Dans nos analyses de cycle de vie, on place l’accent sur l’utilisation du produit. C’est sur ce point crucial que les industriels doivent travailler afin d’économiser l’énergie et les ressources, notamment en augmentant l’efficacité et en réduisant la consommation», précise Dominique Maxime, analyste et associé de recherche au Centre interuniversitaire de recherche sur le cycle de vie des produits, procédés et services de l’École polytechnique de Montréal.

Responsabiliser les fabricants s’avère aussi un bon moyen de faire évoluer les pratiques. Selon Recyc-Québec, le Règlement sur la responsabilité élargie des producteurs intégré à la nouvelle Politique québécoise de gestion des matières résiduelles obligera les producteurs des produits électroniques à payer les frais liés aux activités de récupération et à la prise en charge de ce type de matériel en fin de vie utile. Sa mise en application est prévue dans le courant de 2012.

Pour en savoir plus
L’Agence Science-Presse propose de voir le documentaire Prêt à jeter (Cosima Dannoritzer, Espagne, 2010) et d’en discuter avec Jérémy Bouchez.
Aide-mémoire de Recyc-Québec sur les points de collecte du matériel électronique et des résidus domestiques dangereux (PDF)
C’était mieux dans le bon vieux temps, février 2011

Un âge minimum pour les sucreries?


C’est radicale comme solution, mais il est vrai qu’on habitue très tôt les enfants au sucre, aux repas commercial, mais je pense que c’est un ensemble de mauvaises habitudes qu’il faut cibler autant par la consommation d’aliments que l’activité physiques. C’est une grosse éducation qu’il faut entreprendre dès le jeune âge
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Un âge minimum pour les sucreries?

Un âge minimum pour les sucreries?

De plus en plus d’études montrent que manger trop de sucre dérègle l’appétit et crée une dépendance.

Photo: Steve Deschênes, Archives Le Soleil

Mathieu Perreault
La Presse

Comme l’alcool, les sucreries devraient être réglementées, car elles sont aussi toxiques et néfastes pour la santé publique. Les autorités pourraient commencer par interdire les publicités de bonbons, gâteaux et autres boissons sucrées, puis interdire la vente de ces produits dans les restaurants, dépanneurs et épiceries près des écoles. D’ici 10 ou 15 ans, on pourrait fixer un âge minimum pour l’achat d’aliments contenant trop de sucre.

Tel est le plaidoyer qu’ont publié hier trois chercheurs californiens dans la prestigieuse revue Nature.

 «Les trois quarts des frais médicaux aux États-Unis sont consacrés au traitement des problèmes métaboliques associés à l’alimentation, essentiellement au sucre, explique l’auteur principal, Robert Lustig, de l’Université de la Californie à San Francisco. De plus en plus d’études montrent que manger trop de sucre dérègle l’appétit et crée une dépendance. Aucune étude n’a jamais comparé les coûts de l’alcool, du tabac et du sucre, mais, à mon avis, c’est comparable aux coûts qu’entraînent le tabac et l’alcool, tant pour les consommateurs que pour ceux qui respirent la fumée secondaire et périssent dans des accidents de la route causés par l’alcool.»

150 milliards par an

Selon le chercheur, le sucre entraîne des frais médicaux de 150 milliards de dollars par année aux États-Unis et des pertes de productivité de 65 milliards.

Sera-t-il possible d’avoir l’appui du public malgré le fait que le sucre ne cause pas de problèmes évidents comme la fumée dans les restaurants et l’alcool au volant?

«C’est sûr que ça va jouer dans le débat, dit le Dr Lustig. C’est pour ça que je ne prévois pas qu’on puisse limiter l’âge légal pour l’achat de produits sucrés avant au moins 10 ou 15 ans.»

L’an dernier, le Dr Lustig a publié une étude dans laquelle il affirme que la bouffe-minute (fast food) crée une dépendance. En 2009, il a fait partie d’un comité de l’American Heart Association qui a recommandé une réduction de 50% à 75% de la consommation de sucre.

Le pédiatre californien a une théorie sur les causes de la dépendance au sucre: autrefois, la seule manière d’en consommer était pratiquement de manger des fruits. Or, les fruits poussent en été, et c’était la saison où les hommes préhistoriques devaient emmagasiner des calories pour survivre à la disette de l’hiver. Donc, le sucre pousse à manger davantage.

Désordres métaboliques

Le Dr Lustig croit en outre que le sucre cause plus de problèmes de santé que l’obésité.

«On a de la difficulté à démontrer que l’obésité réduit beaucoup l’espérance de vie. À mon avis, c’est parce que le coupable est le sucre, qui cause des désordres métaboliques. Un obèse sur cinq n’a pas de désordres métaboliques et 40% des non-obèses en ont.»

Taxer les produits sucrés et en limiter la vente, n’est-ce pas une taxe sur la pauvreté? Que feront les gens dont le seul plaisir est de manger un gâteau avec une boisson gazeuse?

«Le plaisir ne mène pas nécessairement au bonheur. Si l’humanité en est là, c’est vraiment triste.»

L’industrie alimentaire est peu réceptive aux thèses du Dr Lustig, tout comme les organismes de lutte contre l’abus d’alcool.

«Assimiler l’alcool au sucre ne me semble pas très scientifique ni très rigoureux», dit Hubert Sacy, directeur général d’Éduc’alcool.

«La comparaison n’est certainement pas la bienvenue.»

La consommation de boissons gazeuses a diminué de 30% depuis 11 ans au Canada alors que l’obésité continue à augmenter, souligne pour sa part Stephanie Baxter, de l’Association canadienne des boissons.

«Lier le sucre à des maladies comme l’obésité, le diabète ou l’hypertension est une réponse simple à une question complexe.»

http://www.cyberpresse.ca

Perdre du poids à tout prix .


Il n’y a pas 56 solutions pour perdre du poids, bien manger et faire de l’exercices, l’un ne vas pas sans l’autre .. Des recettes miracles, ne peuvent qu’aggraver leur santé et les résultats seront peut être spectaculaire mais probablement pas a long terme ..
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Perdre du poids à tout prix .

Perdre du poids à tout prixpar Dominique Forget

Quatre Québécois sur dix font des efforts pour perdre des kilos ou maintenir leur poids, révèle une enquête de l’Institut de la statistique du Québec.


Parmi eux, 36 % ont eu recours à une méthode draconienne pour atteindre leur objectif au cours des six mois précédant la collecte de données.

Les répondants avaient suivi un régime sévère ou un programme d’amaigrissement commercial, ou encore eu recours à des méthodes telles que ne pas manger pendant toute une journée, prendre des laxatifs ou se faire vomir. Ces méthodes étaient surtout populaires chez les femmes.

L’équipe de recherche considère ces approches comme étant potentiellement dangereuses pour la santé et rappelle l’importance de miser sur l’activité physique ainsi que sur la consommation de fruits et légumes pour le maintien d’un poids santé.

http://www.lactualite.com

Une mouche fait des ravages dans les ruches


Le  syndrome d’effondrement des colonies chez les abeilles inquiète tout les apiculteurs et avec raison, mais en trouver la cause n’est pas une sinécure, déjà plusieurs suspects sont mit sous études, un autre viens s’ajouter et serait peut-être responsable de l’abandon des ruches
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Une mouche fait des ravages dans les ruches

 

Une mouche fait des ravages dans les ruches

Archives La Tribune

Charles Côté
La Tribune

(MONTRÉAL) Une équipe de chercheurs croit avoir identifié la cause de la mystérieuse épidémie qui frappe les abeilles, particulièrement en Amérique du Nord.

La découverte est survenue par hasard. Un biologiste de la San Francisco State University a recueilli des abeilles mortes pour nourrir une mante religieuse qu’il venait de capturer. Mais il a oublié ce «lunch» dans une fiole sur son bureau. Quelques jours plus tard, des larves de mouches pullulaient dans la fiole.

Cette espèce de mouche, appelée Apocephalus borealis, était connue pour s’attaquer aux bourdons, mais pas aux abeilles domestiques.

Les scientifiques ont ensuite observé que la mouche infecte l’abeille en pondant des oeufs dans son abdomen. Quelques jours plus tard, l’abeille quitte la ruche, souvent la nuit et souvent aussi en se dirigeant vers une source de lumière, des comportements contre nature.

«Nous avons même trouvé sous les lampadaires de l’université des abeilles ayant quitté la ruche pendant des nuits froides et pluvieuses, alors qu’il n’y avait aucun autre insecte», notent les chercheurs dans leur article publié cette semaine dans la revue PLoS One.

Comportement modifié

«Peut-être que l’A. borealis manipule le comportement de l’abeille en changeant son rythme circadien, sa sensibilité à la lumière ou d’autres aspects de sa physiologie», spéculent les chercheurs.

Plusieurs parasites des insectes virus, champignons ou autres insectes modifient le comportement de leurs victimes.

L’abeille meurt dans la journée qui suit son excursion. Sept jours après la ponte, plusieurs larves, en moyenne 13, mais jusqu’à 25, émergent du cou de l’insecte. Elles deviennent adultes 25 jours plus tard.

 «Cela donne aux mouches un potentiel de multiplication rapide», affirment les scientifiques.

L’équipe a ensuite découvert que plus des trois quarts des ruches de la région de San Francisco ainsi que d’autres au Dakota du Sud étaient infestées.

Dans une ruche qu’ils ont observée en laboratoire, jusqu’à 38 % des abeilles étaient touchées.

De plus, les chercheurs se sont rendu compte que les mouches pourraient être porteuses de deux maladies qui touchent les abeilles.

Donc, tout cela porte à croire qu’il y a un nouveau suspect dans l’enquête scientifique sur le syndrome d’effondrement des colonies (colony collapse disorder ou CCD), constaté officiellement en 2007 par l’Académie nationale des sciences des États-Unis.

Ce mal frappe de nombreuses colonies d’abeilles. Les insectes meurent ou abandonnent leur ruche en masse. Il a été porté au compte d’une mite parasite (le varroa), de virus, de moisissures, de nouveaux pesticides ou d’une combinaison de ces facteurs.

Selon Jean-Pierre Chapleau, porte-parole de la Fédération des apiculteurs du Québec, cette découverte «soulève bien des questions». «Premièrement, est-ce qu’on a cet insecte au Québec?» demande-t-il.

Il n’a pas été possible de répondre à cette question hier. Toutefois, une carte publiée par les chercheurs américains indique que la mouche est répandue d’un bout à l’autre des États-Unis, y compris dans le Maine et l’État de New York.

Il ajoute que le Québec n’est pas encore touché par le syndrome d’effondrement des colonies, bien que les ruches vivent des difficultés ici aussi.

«On a des pertes hivernales qui sont documentées de façon statistique, dit-il. On a aussi des pertes en saison de production. Elles sont très difficiles à mesurer de façon scientifique, mais elles paraissent dans la production.»

 

http://www.cyberpresse.ca

Neurologie – Faire entendre sa voie intérieure


Vous imaginez comment cela pourrait allégé les conversations si ces neuroscientifiques réussiraient a faire entendre des mots, des phrases d’une personnes ayant perdue la parole après une maladie ou un accident ou quelconque traumatisme ? Combien de frustrations seraient amoindris si le patient pouvait vraiment communiquer
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Neurologie – Faire entendre sa voie intérieure

Neurologie - Faire entendre sa voie intérieure

Le jour où les médecins arriveront à entendre la voie intérieure d’un patient incapable de parler à la suite d’une paralysie ou d’un accident vasculaire cérébral est peut-être à nos portes

Le jour où les médecins arriveront à entendre la voie intérieure d’un patient incapable de parler à la suite d’une paralysie ou d’un accident vasculaire cérébral est peut-être à nos portes.

Des neuroscientifiques de l’Université de la Californie à Berkeley ont enregistré l’activité électrique dans le lobe temporal du cerveau, le centre de traitement de l’information auditive, et ont établi un modèle qui interprète le son.

Les chercheurs ont ainsi été capables d’établir les mots qu’une personne avait entendus uniquement en analysant l’activité de son lobe temporal.

Selon le Dr Brian Pasley, si les conversations « intérieures » activent des régions semblables du cerveau, il sera éventuellement possible de se servir de la technologie afin d’interpréter les pensées des gens.

Le détail de ces travaux est publié dans la revue PLoS Biology

http://techno.ca.msn.com