L’état du cerveau influence la façon de voter


C’est aujourd’hui que ce finalise les élection Enfin !  Quoi de mieux de faire des études du cerveau lors de campagne électorale pour déterminer comment leur électeur font leur choix et qui probablement va sûrement être utile pour des futures élections
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L’état du cerveau influence la façon de voter

 

Les participants à l'étude ayant une lésion dans... (PHOTO THINKSTOCK)

Les participants à l’étude ayant une lésion dans une partie du cerveauappelée le cortex orbitofrontal latéral se fondaient seulement sur l’attrait physique des candidats.

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Une nouvelle étude menée conjointement par des chercheuses de l’Institut neurologique de Montréal et du Centre pour l’étude de la citoyenneté démocratique, tous deux à l’Université McGill, apporte des éclaircissements sur les mécanismes du cerveau sous-jacents aux décisions que prennent les électeurs.

Il ressort de l’étude qu’une partie du cerveau appelée le cortex orbitofrontal latéral (COFL) doit fonctionner adéquatement pour que le choix des électeurs combine différentes sources d’information au sujet des candidats. Selon l’étude, une atteinte du COFL porte les gens à fonder leur vote sur de l’information plus simple, à savoir la belle apparence d’un candidat. Pour faire leur choix, des personnes en santé ou ayant une lésion au cerveau affectant d’autres parties des lobes frontaux soupesaient spontanément l’attrait physique et une évaluation de la compétence du candidat.

La nouvelle étude établit pour la première fois que le COFL est crucial à l’intégration de différents types d’information qui permettent aux gens d’en arriver à une préférence.

Le COFL semble être important dans le cas de décisions difficiles, en ce qu’il aide à choisir la meilleure des options de valeur similaire, a expliqué la neurologue Lesley Fellows, chercheuse à l’Institut neurologique de Montréal et auteure principale de l’article paru dans l’édition du 3 juin du Journal of Neuroscience

L’étude a testé des sujets avec et sans lésion affectant le COFL. Les participants ont pris part à une tâche simulée d’élection, où on les invitait à voter pour des politiciens réels, mais inconnus, seulement en fonction de leurs photographies. Devant s’imaginer en période électorale, les participants avaient à coter l’attrait physique perçu et la compétence perçue des candidats.

Les participants sans lésion au COFL semblent avoir pris leurs décisions en fonction de l’attrait physique perçu et de la compétence perçue. Bien que pouvant coter la compétence des candidats, les sujets ayant une lésion au COFL n’utilisaient pas cette information au moment de voter et se fondaient seulement sur le facteur de l’attrait physique.

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Comment enseigner quand on a du mal à écrire?


Je fais des fautes, je pourrais faire mieux, je sais, mais je n’aurais jamais pu être professeur, justement à cause de mes grandes lacunes en français. Il est dommage aujourd’hui, que l’enseignement a pris un mauvais virage depuis des décennies et que la formation des professeurs semblent laisser à désirer
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Comment enseigner quand on a du mal à écrire?

 

«Pour corriger les messages aux parents ou aux autres enseignants, j'utilise... (Photo Érick Labbé, archives Le Soleil)

PHOTO ÉRICK LABBÉ, ARCHIVES LE SOLEIL

LOUISE LEDUC
La Presse

«Pour corriger les messages aux parents ou aux autres enseignants, j’utilise tout le temps mon ordinateur portable et le logiciel Antidote. Je ne sais pas ce que je ferais sans lui. Je pense même que c’est grâce à ce logiciel que j’ai passé mon bac. Je l’utilise tout le temps quand je corrige et quand j’écris.»

C’est là l’une des perles contenues dans une étude de Geneviève Carpentier présentée cette semaine au congrès de l’Association francophone pour le savoir (ACFAS).

Menée auprès d’enseignants débutants du primaire, cette recherche met en lumière le sentiment d’insécurité qui les habite quand ils écrivent au tableau ou quand ils envoient des messages aux parents.

Mme Carpentier, chargée de cours à l’Université du Québec en Outaouais, insiste sur le fait que son étude ne prétend aucunement être représentative des compétences en français des enseignants du Québec en général, mais qu’elle vise plutôt à documenter les effets au quotidien d’une piètre maîtrise de la langue.

Questionnaires

Dans un premier temps, des questionnaires ont été envoyés à tous les enseignants débutants de trois commissions scolaires. Quarante-quatre enseignants âgés de 20 à 30 ans l’ont rempli, sur une base volontaire.

Dans un deuxième temps, des entrevues plus poussées ont été réalisées avec 11 des enseignants de l’échantillon qui disaient éprouver des difficultés à écrire sans faute.

Environ la moitié des 44 enseignants sondés, peut-on lire, ont du mal à écrire, et ce, bien qu’ils aient tous été acceptés au baccalauréat et qu’ils aient tous réussi l’examen de français obligatoire imposé aux étudiants en enseignement ou son équivalent, fait remarquer Geneviève Carpentier.

«Quatre enseignantes, peut-on lire, ont fait le lien entre l’obtention de leur diplôme et le logiciel Antidote. Une de ces enseignantes mentionne ceci: «Les travaux en équipe et les très rares examens écrits [à l’université] m’ont permis de me faufiler sans souci».»

«Mes amies ne veulent pas aller au troisième cycle parce que la gestion de classe est trop difficile. Moi, je suis vraiment bonne là-dedans, mais je ne veux pas leur enseigner parce que je ne suis pas assez bonne en français.» Une enseignante sondée par la chercheuse Geneviève Carpentier

Insécurité

Ce qui ressort clairement de cette étude, c’est l’insécurité criante des enseignants dès qu’ils ont à écrire et leur crainte de perdre toute crédibilité s’ils font des fautes.

À deux reprises, a illustré l’une des enseignantes, un parent a encerclé au crayon des fautes contenues dans le petit message qu’elle lui avait transmis la veille.

«Les deux fois, j’ai tellement pleuré parce que je me sentais tellement mal et que j’avais peur que les parents fassent une plainte à la direction. […] Chaque fois que le directeur veut me voir, je me demande si c’est ça.»

Les 11 enseignants ayant été retenus pour les entrevues semi-dirigées en raison de leurs lacunes ont d’ailleurs tous dit que «les messages aux parents sont une grande source de stress».

Au lieu d’écrire un petit mot aux parents et de risquer de faire des fautes, neuf d’entre eux ont expliqué qu’ils préféraient leur téléphoner.

D’autres conservent dans leurs ordinateurs des banques de messages génériques (trouvés ou pas sur l’internet).

Ce qui a le plus surpris Geneviève Carpentier, c’est d’entendre des enseignants lui dire à quel point ils n’aiment pas écrire.

«Comment peut-on se lancer dans cette profession sans savoir qu’une grande partie de la journée est passée à le faire?»

En classe, les enseignants qui se savent faibles en français passent beaucoup de leur temps à vérifier discrètement l’orthographe de certains mots sur leur iPhone.

«Les élèves s’en rendent compte, surtout les plus vieux, ils le voient bien que je cherche certains mots sur mon cellulaire. Ça mine ma crédibilité.»

Le cours de leur carrière s’en trouve souvent touché.

«Mes amies ne veulent pas aller au troisième cycle parce que la gestion de classe est trop difficile. Moi, je suis vraiment bonne là-dedans, mais je ne veux pas leur enseigner parce que je ne suis pas assez bonne en français», dira l’une.

«Admettons que je fais une faute dans un participe passé au tableau, dira une autre, je sais que ce n’est pas super, mais [mes élèves de 1re année] ne s’en rendront pas compte, c’est moins pire que si j’étais en 5e ou en 6e année.»

Formation universitaire critiquée

Fait à noter, écrit Geneviève Carpentier, les participants à l’étude ont souvent été critiques envers leur formation universitaire. S’ils ont dit qu’ils auraient aimé suivre un cours de trois crédits sur la grammaire, ils ne sont pas enclins «à participer aux formations gratuites demandant un engagement supplémentaire de leur part».

La grande question, c’est de savoir comment ces enseignants qui reconnaissent avoir de grandes lacunes ont pu accéder à la profession.

«Nous devons remettre en question la capacité du TECFÉE [l’examen de français obligatoire soumis aux étudiants en enseignement] à agir comme filtre afin de s’assurer que tous les étudiants qui le réussissent ont vraiment le niveau de compétence scripturale nécessaire pour enseigner.»

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L’orang-outan, cet ingénieur


De plus en plus on s’aperçoit que l’être humain n’est pas le seul a savoir utiliser son environnement pour s’abriter. Des animaux savent faire la différence entre les matériaux disponible et construire selon un plan élaboré. Les orang-outang, font parti de ces animaux …
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L’orang-outan, cet ingénieur

 

Un orang-outan  © iStockphoto

Les orangs-outans utilisent des techniques sophistiquées pour construire leurs nids, ont observé des primatologues britanniques.

Le biologiste Roland Ennos et ses collègues de l’Université de Manchester ont suivi et filmé un groupe de ces grands singes dans les forêts de Sumatra pour constater qu’ils avaient des talents d’ingénierie. Les chercheurs ont même décroché certains nids des arbres afin de les analyser dans le détail.

Selon eux, ces singes ont développé des techniques de construction assez compliquées qui demandent l’utilisation d’outils et la connaissance de certaines compétences. Par exemple, ils choisissent des branches plus robustes pour la structure et l’échafaudage et gardent les plus minces, plus élastiques, pour le fond, qui sert de matelas.

Le détail de ces travaux est publié dans les annales de l’académie des sciences américaine (PNAS).

Le saviez-vous?

En 2009, des chercheurs avaient montré que, lorsqu’ils se sentent traqués par un prédateur, les orangs-outangs sauvages apposent une feuille d’arbre contre leurs lèvres, puis émettent un baiser sonore sur celle-ci.

De cette façon, leur voix paraît plus grave qu’elle ne l’est en réalité.

 

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Exercice mental


Il y a des pensées, certaines croyances comme les sectes qui nous empêchent de bouger, d’évoluer alors que d’autres plus positives nous aident a grandir, a s’épanouir
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Exercice mental


Les pensées et croyances que vous entretenez sont souvent la cause de beaucoup de vos perceptions !

Si elles sont défaitistes, vous vous autosabotez tout seul, débarrassez-vous-en au pus vite !

Si vous croyez en vous, en vos compétences, vos capacités, eh bien allez encore plus loin !

Ne croyez pas en la défaite. Le succès est avant tout un « exercice » mental, une attitude !

Michel Poulaert