Vol de dépanneur assez cocasse


En Alberta, un homme et une femme tentaient de se soustraire de la police dans un dépanneur. Avec une carte volée, ils ont voulu acheter une canette de soda. Ils ont pourtant tout essayer pour ne pas se faire arrêter, mais peine perdue
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Vol de dépanneur assez cocasse

Boissons sucrées alcoolisées: bond spectaculaire des ventes et des visites aux urgences


 

Il reste un dernier pas pour interdire les boissons sucrées alcoolisée ne soient vendues dans les dépanneurs et épiceries. Seulement la SAQ pourra en vendre et encore là avec la mauvaise presse, ce n’est pas certain que cela les intéresse. Le design des canettes sont faites pour attirer les jeunes et le goût sucrée cache le goût de l’alcool. L’an dernier, on a comptabilisé 7 intoxications aigues par jour de personnes entre 12 et 24 ans, et une mort en février dernier.
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Boissons sucrées alcoolisées: bond spectaculaire des ventes et des visites aux urgences

Selon l'étude de l'Institut national de santé publique... (PHOTO ALAIN ROBERGE, ARCHIVES LA PRESSE)

Selon l’étude de l’Institut national de santé publique du Québec, le volume de ventes des produits les plus alcoolisés (au moins 11 % d’alcool) dans les dépanneurs et les épiceries a plus que triplé (319 %) entre 2016 et 2017.

PHOTO ALAIN ROBERGE, ARCHIVES LA PRESSE

CAROLINE TOUZIN, TOMMY CHOUINARD

La Presse

Les ventes de boissons sucrées à haute teneur en alcool comme le Four Loko et le FCKD UP ont explosé au cours de la dernière année dans les dépanneurs et les épiceries de la province, révèle une étude de l’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ) rendue publique par le gouvernement Couillard hier. Ces produits seront retirés de leurs tablettes, mais ils pourraient être offerts à la Société des alcools (SAQ), a confirmé Québec. Compte rendu.

Bond spectaculaire des ventes

Selon l’étude de l’INSPQ, le volume de ventes des produits les plus alcoolisés (au moins 11 % d’alcool) dans les dépanneurs et les épiceries a plus que triplé (319 %) entre 2016 et 2017. Les boissons qui contiennent entre 8 et 8,9 % d’alcool ont aussi fait un bond spectaculaire de 290 % pendant la même période. Plusieurs des produits à forte teneur en alcool sont offerts à faible prix. À certains moments de l’année, avec les rabais, les prix de vente peuvent descendre jusqu’à 0,74 $ pour l’équivalent d’un verre d’alcool standard, ont découvert les experts en santé publique. La publicité de ces produits cible particulièrement les jeunes, analysent-ils. La priorité est de fixer un prix minimum pour toutes les boissons alcoolisées, ajusté selon la concentration en alcool, et que ce prix soit ajusté annuellement selon l’indice des prix à la consommation, concluent les six auteurs de l’étude, dont les médecins-conseils de l’INSPQ Nicole April et Réal Morin.

Québec opte pour l’interdiction

Le gouvernement n’a pas retenu la recommandation de l’INSPQ. « L’interdiction [de la vente de ces boissons à 7 % ou plus d’alcool] dans les dépanneurs et les épiceries, c’est beaucoup plus fort qu’un geste qui consisterait à fixer un prix minimum », a plaidé le ministre de la Sécurité publique, Martin Coiteux, en conférence de presse.

Comme La Presse l’a indiqué hier, la mesure sera intégrée à son projet de loi sur la Régie des alcools, des courses et des jeux (RACJ) dont l’adoption doit avoir lieu d’ici la fin de la session parlementaire, en juin. Elle entrera en vigueur par la suite.

« C’est mon intention » que ce soit avant les élections de l’automne, a précisé M. Coiteux aux côtés de sa collègue de la Santé publique, Lucie Charlebois.

Seules les succursales de la SAQ pourraient vendre ce type de boisson. Informée de la décision du gouvernement en fin de journée lundi, la société d’État a indiqué hier qu’elle n’avait pas décidé si elle les offrirait à ses clients. Québec donnera également le pouvoir à la RACJ d’ordonner à un titulaire de permis de cesser immédiatement la fabrication de boissons non conformes et d’en empêcher la vente et la distribution.

Intoxications en hausse

Selon l’étude de l’INSPQ, les services d’urgence de la province ont reçu en moyenne sept cas par jour de jeunes de 12 à 24 ans victimes d’une intoxication aiguë à l’alcool dans la dernière année. On recense 2332 jeunes qui ont atterri aux urgences pour cette raison entre le 1er janvier et le 26 novembre 2017. La majorité de ces jeunes ont été conduits en ambulance. Beaucoup d’entre eux (485) n’avaient pas l’âge légal de boire. Le taux d’intoxications aiguës à l’alcool chez les 18 à 24 ans et chez les 25 à 34 ans a connu une augmentation significative si l’on compare le taux de 2017 à celui de la période 2014-2016, ont d’ailleurs noté les auteurs de l’étude. Les experts de l’INSPQ indiquent que les données disponibles ne permettent pas de conclure que ces produits sont la cause principale des cas d’intoxications aiguës vus aux urgences du Québec en 2017.

 « Néanmoins, leur analyse met en évidence une problématique préoccupante qui justifie de renforcer les actions de prévention », soulignent les experts de l’INSPQ. « Ces cas sont graves, martèlent les experts. Parmi les consultations dans les urgences du Centre hospitalier de l’Université de Sherbrooke pour des problèmes liés à l’alcool, le quart des jeunes patients âgés de 12 à 24 ans avaient un niveau de priorité indiquant que leur vie était en danger. »

Un soulagement pour le père d’Athena Gervais

« Je suis vraiment, vraiment, mais vraiment content. »

Alain Gervais ne cache pas sa joie devant la décision de Québec de bannir les boissons sucrées fortement alcoolisées des dépanneurs. Le père d’Athena Gervais, cette adolescente de 14 ans retrouvée sans vie dans un ruisseau derrière son école secondaire de Laval le 1er mars, se réjouit que le gouvernement provincial ait « bougé, au lieu de se lancer la balle éternellement » avec Ottawa.

« Le premier grand pas est fait dans le bon sens », a-t-il lancé.

Mais le père de famille n’a pas l’intention d’interrompre sa lutte pour faire resserrer les lois qui encadrent la mise en marché de ce type de produit.

« La balle est maintenant dans le camp du fédéral », ajoute-t-il. M. Gervais réclame notamment que Santé Canada s’assure « que chaque produit mis en marché soit vérifié avant » d’arriver dans les présentoirs. « Moi, je ne lâche pas », martèle le père endeuillé, qui refuse que la mort de sa fille soit vaine.

Selon les témoignages d’amis, Athena Gervais aurait bu avec des camarades une quantité encore inconnue de la boisson FCKD UP, volée dans un dépanneur près de leur école, le midi précédant sa disparition. L’adolescente a été portée à son dernier repos samedi dernier à Saint-Félicien, sa ville natale. Une cérémonie à sa mémoire est aussi prévue aujourd’hui à Laval.

– Fanny Lévesque, La Presse

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Aliments de dépanneur: troquer les jujubes contre des fruits


Dans mon coin du monde, il y a les petits dépanneurs qui vendent surtout des bonbons, chocolats, cigarettes, journaux, quelques denrées non-périssables pour dépanner, ainsi que des produits laitiers, boissons gazeuse, bières, etc. Et il y a les plus gros dépanneurs et poste d’essence qui vendent beaucoup plus. Ce sont surtout ceux-là qui peuvent vendre des denrées plus santé, mais la malbouffe est vraiment difficile à combattre.
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Aliments de dépanneur: troquer les jujubes contre des fruits

 

IGA Express fait figure d'ovni dans ce paysage... (Photo Robert Skinner, La Presse)

IGA Express fait figure d’ovni dans ce paysage de camelote alimentaire. La chaîne mise sur les produits frais et santé.

PHOTO ROBERT SKINNER, LA PRESSE

 

ÉMILIE BILODEAU
La Presse

Trouver des aliments santé lorsqu’on s’arrête au dépanneur, ce n’est pas une mince affaire. Même si ces commerces offrent peu à peu des produits plus sains, les consommateurs devront changer leurs habitudes. Pas si évident dans un milieu qu’on associe presque toujours aux croustilles et aux friandises.

Lorsqu’on pense aux aliments vendus dans les dépanneurs, les chips et les tablettes de chocolat viennent spontanément en tête. Certains endroits, comme les 600 Couche-Tard de la province, proposent également de la pizza, des sous-marins, des hamburgers et des hot-dogs. Ces options de repas, aux qualités nutritives discutables, fonctionnent bien, même très bien, selon Karine Grandmont, gestionnaire marketing chez Couche-Tard.

«On ne sait pas si c’est le fait qu’on est un dépanneur, mais le virage santé est plus lent dans notre milieu. Notre offre de produits est élaborée selon la demande de nos clients et, pour le moment, on ne sent pas vraiment qu’il y a un intérêt pour ce genre d’aliments», précise-t-elle.

Les Couche-Tard ne vendent pas seulement de la malbouffe. Pour qui veut bien manger, il y a des oeufs cuits durs, des noix, des smoothies et du fromage. Plus récemment, les magasins ont ajouté du houmous, des yogourts granolas et des crudités à leur offre alimentaire. Le pain blanc de quelques sandwichs a aussi été changé pour du pain multigrains.

Mme Grandmont admet que l’offre d’aliments sains est encore mince et qu’il y aurait moyen de faire mieux… si les consommateurs en manifestaient le désir.

Dans la région de Québec, une dizaine d’organismes ont mobilisé quatre dépanneurs dans un projet-pilote visant à promouvoir des aliments santé. Les nutritionnistes du projet Aliments sains ici ont réalisé que les commerces offraient déjà des options saines, mais qu’elles étaient peu mises en valeur. En offrant de la visibilité à ces aliments, ils ont constaté que beaucoup de clients continuaient à les bouder.

«Même si on avait identifié les choix santé, les gens qui venaient au dépanneur pour payer leur essence et acheter un sac de chips voyaient rarement nos affiches promotionnelles. Changer des comportements de consommateur, ça prend du temps», Pascale Chaumette, nutritionniste à la Direction de santé publique.

Dans le cadre du projet, Mme Chaumette et ses collègues ont réalisé que les clients qui disaient vouloir bien manger avaient de la difficulté à passer de la parole aux actes.

«Nous avons sondé les élèves d’une école secondaire pour savoir quels aliments ils voulaient retrouver au dépanneur du coin. Ils avaient plein de bonnes idées comme des sushis, des fruits, des légumes, des sandwichs. Quand on a changé l’offre alimentaire, les jeunes ont quand même continué à acheter du chocolat, des croustilles et des bonbons.»

Notons que les résidants du voisinage ont aimé cette nouvelle offre alimentaire et le dépanneur a décidé de conserver les collations et repas santé.

Question de rentabilité

Jacques Nantel, expert du commerce au détail à HEC Montréal, rappelle que plusieurs petits dépanneurs indépendants peinent à être rentables. En troquant les jujubes contre des fruits, les risques pour ces propriétaires de magasins sont grands.

Les loyers des dépanneurs de grandes chaînes sont très élevés, ajoute-t-il. Pour compenser, les commerces misent sur des aliments qui offrent une grande marge de profit… comme les arachides et les boissons gazeuses.

«Un dépanneur se trouve souvent dans un endroit qui coûte cher, comme une bretelle d’autoroute ou une artère commerciale. Les administrateurs veulent rentabiliser leurs pieds carrés», explique M. Nantel.

«Mais en rentrant des aliments périssables comme des fruits et des légumes, la marge nette se voit considérablement réduite.»

IGA Express fait figure d’ovni dans ce paysage de camelote alimentaire. Les plateaux de thon, pita et concombre, les duos de fraises et ananas ou encore les assiettes de fruits séchés, de noix et de raisins ne sont pas cachés dans un recoin de l’une des 20 succursales affiliées à Shell (propriété d’IGA-Sobeys depuis 2011). Au contraire, la chaîne mise sur les produits frais et santé.

Luc Blais, vice-président national, dépanneurs et postes d’essence chez Sobeys, est d’avis que l’industrie n’a d’autre choix que d’entamer ce virage santé, une tendance déjà remarquée aux États-Unis. Pour y arriver, il explique que les IGA Express peuvent compter sur le réseau de distribution des épiceries IGA et aussi sur un logiciel qui permet de mieux analyser les aliments les plus populaires, un outil inestimable lorsqu’on travaille avec des denrées périssables.

«Un des défis, c’est d’optimiser nos heures en magasin pour que le modèle tienne la route économiquement. Dans un dépanneur traditionnel, on retrouve souvent un caissier qui place aussi la marchandise. Si vous rentrez chez IGA Express, vous allez trouver au moins six personnes pour la caisse, pour placer la marchandise et pour cuisiner les aliments.»

Ça coûte plus cher à exploiter, dit M. Blais. Mais ça vaut amplement la peine pour la clientèle grandissante.

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15 ALIMENTS QUE VOUS NE DEVRIEZ JAMAIS ACHETER


Le panier d’épicerie nous coûte de plus en plus cher .. alors une meilleur gestion des aliments permet d’économiser .. comme par exemple au lieu d’acheter des aliments qui sont cher .. nous pouvons le faire nous même qui a plusieurs avantages .. que ce soit selon nos goûts et souvent en plus grandes quantités
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15 ALIMENTS QUE VOUS NE DEVRIEZ JAMAIS ACHETER

 

Certains aliments dans les rayons du supermarché ne devraient jamais se retrouver dans votre panier! Voici 15 aliments sur lesquels faire une croix.

Tiré de: Dollar Savvy

1. Crème glacée de luxe

Il fait pitié de voir quelqu’un payer 6 $ pour un contenant de crème glacée de marque.

Ne vous en faites pas, il y a habituellement au moins une marque en réclame et vous pouvez facilement maquiller la crème glacée sans marque avec vos propres ingrédients, comme des morceaux de chocolat ou des biscuits écrasés.

Si vous aimez les marques de luxe, attendez que le cycle de réclame aux 3 semaines soit en vigueur et faites provision de votre parfum préféré quand votre marque est offerte à moitié prix.

2. Sandwichs de dépanneur

Lorsque vous achetez un sandwich préparé d’avance, vous payez pour son emballage et sa préparation… et beaucoup de sel, de gras et d’additifs inutiles.

Pour le coût moyen d’un de ces bébés (2,50 $ à 3,00 $/ sandwich), vous en préparez un plus gros, meilleur et plus nutritif.

3. Barres congelées aux fruits

Au prix approximatif de 2 $/ barre, ces friandises « tout fruit » ou « jus et fruit » ne sont peut-être pas riches en calories, mais leur prix est élevé. Faites les vôtres à la maison et aux parfums que vous voulez.

Le seul équipement dont vous avez besoin est un mélangeur, un moule de plastique réutilisable (en épicerie au prix de 99 ¢ chacun) ou de petits gobelets en papier et des bâtonnets ou des brochettes de bois.

Pour faire quatre barres, mettez simplement 2 tasses de fruits coupés, 1 c. à soupe de sucre, 1 c. à thé de jus de citron ou de lime dans un mélangeur. Couvrez et mélangez jusqu’à consistance lisse. Vous ajouterez 1 à 2 c. à soupe d’eau si le mélange ressemble à une purée trop épaisse. Répartissez dans les moules ou les gobelets en papier, insérer des bâtons et congelez

4. Mets principaux et d’accompagnement à base de riz en boîte


Ces mets principaux et d’accompagnement sont constitués essentiellement de riz, de sel et d’épices – pourtant, leur coût moyen est supérieur à celui des ingrédients vendus séparément.

Oui, il y a un peu d’ingrédients aromatiques, mais ce sont probablement ceux que vous avez déjà dans votre garde-manger.

Achetez un sac de riz dont vous prendrez la quantité désirée, ajoutez vos propres épices et assaisonnements et cuisez le riz selon les instructions

5. Barres énergétiques ou protéinées


Ces barres bourrées de calories sont souvent offertes à la caisse, pour tenter les acheteurs impulsifs qui vont les prendre en croyant qu’elles sont plus saines qu’une barre de chocolat.

Malheureusement, elles peuvent contenir beaucoup de gras et leur teneur en sucre les rend tout aussi caloriques qu’une barre de chocolat. À 2 $ ou 3 $/barre, elles sont également deux à trois fois plus chères.

Si vous avez besoin de stimulation, une collation riche en vitamines de fruits, un yogourt, ou une petite poignée de noix est plus rassasiant et moins cher!

6. Mélanges d’épices


Les mélanges d’épices comme ceux pour les grillades et les côtes levées peuvent sembler un bon achat, car ils contiennent un mélange d’épices que vous auriez dû acheter séparément. Eh bien, vérifiez l’étiquette.

Nous prédisons que le premier ingrédient sera le sel, suivi par la vague mention : « herbes et épices ». Regardez dans votre garde-manger, et vous serez surpris de voir combien d’herbes vous avez déjà sous la main. Beaucoup de livres de cuisine comportent des recettes de mélange d’épices, notamment ceux portant sur les grillades. Mais vous pouvez improviser votre propre mélange d’épices, faire vos propres combinaisons personnalisées et économiser une fortune.

7. Mélanges à thé glacé ou à thé aromatisé glacé


Les thés glacés et aromatisés sont vraiment une arnaque! Il est beaucoup plus économique de faire votre propre thé glacé à partir de sachets de thé (bon marché) et d’en garder un pichet au réfrigérateur. De plus, de nombreux mélanges tout prêts sont chargés de sirop de maïs riche en fructose et autres sucres et d’arômes artificiels.

Donc, faites le vôtre et soyez créatif!

Pour faire 1 litre (32 oz) de thé glacé, il faut habituellement 8 sachets de thé noir ou 10 sacs de thé vert, blanc ou aux herbes. La plupart des boîtes de sachets de thé proposent des recettes qu’il suffit de suivre. Si vous aimez votre thé sucré, mais craignez les calories, laissez tomber le sucre et ajoutez du jus de fruit.

 

8. Eau en bouteille

Même en tenant compte du coût des filtres, l’eau de la maison est beaucoup moins chère que l’eau en bouteille, qui peut coûter de 1 $ à 3 $ les 375 ml.



Si votre eau vient d’un puits et n’a pas bon goût (même avec un filtre), ou si vous avez un bébé au biberon qui a besoin d’eau de bonne qualité, procurez-vous des cruches d’eau distillée ou d’eau pour nourrissons dans les magasins à rabais. Celles-ci coûtent généralement entre 79 ¢ et 99 ¢ pour 3,8 L (en comparaison de 1,50 $ pour 375 ml d’eau « design »).

Et vous pouvez réutiliser les contenants pour le thé glacé fait maison, les eaux aromatisées, ou, si vous coupez le col de la bouteille, pour toutes sortes d’usages domestiques.

9. Salades déjà préparées

Les légumes verts lavés et emballés représentent un gain de temps, mais ils peuvent coûter trois fois plus cher qu’une seule laitue. Les salades en kits sont encore plus coûteuses, pourtant vous n’obtenez que quelques légumes verts, un petit sachet de vinaigrette et un petit sachet de croûtons. Laissez tomber tout cela.

Faites vos propres croûtons en grillant des tranches de pain rassis que vous auriez jeté et mélangez votre propre vinaigrette.

 

10. Portions individuelles


La récente tendance à offrir des collations de 100 calories en portions individuelles est une façon pour les patrons de l’industrie alimentaire de tirer plus d’argent des consommateurs moins méfiants.

Le prix à l’unité de ces articles est plus élevé que si vous aviez simplement acheté une grosse boîte de biscuits au fromage ou un grand sac de croustilles.

Alors, c’est exactement ce que vous devriez faire. Achetez la grande boîte et ensuite divisez en portions individuelles emballées dans de petits sachets réutilisables.

11. Mélange montagnard

Il n’y a pas si longtemps, nous avons vérifié les prix des petits sachets de mélange montagnard dans l’allée de bonbons et avons été choqués de constater qu’ils coûtent environ 10 $ les 450 g!

Faites le vôtre pour beaucoup moins avec 450 d’arachides grillées à sec, 1 tasse de raisins secs et une poignée d’amandes, de fruits secs et de bonbons au chocolat.

L’avantage de faire votre propre mélange, c’est qu’il ne comprend que ce que vous aimez! Gardez le mélange jusqu’à 3 semaines dans un contenant de plastique ou de verre avec un couvercle étanche.

12. Plateaux collation


Les plateaux collation semblent être offerts à prix raisonnable (de 2,50 $ à 4,00 $), mais, en fait, vous payez pour le design de la marque, l’emballage, et le plateau moulé.

Ils ne contiennent que quelques craquelins, des petits morceaux de fromage et de charcuterie de basse qualité.

Les ingrédients comestibles ne coûtent que quelques cents et sont remplis de sel.

13. Légumes surgelés « Gourmet »


Bien sûr, vous pouvez acheter un paquet de 240 g de pois dans une sauce au beurre et aux fines herbes, mais pourquoi le faire quand vous pouvez les préparer vous-même?

Cuisez les petits pois, ajoutez une noix de beurre et saupoudrez d’herbes que vous avez sous la main. La même chose vaut pour les carottes avec une sauce à l’aneth et les autres légumes de luxe.

14. Galettes de viande prémoulées

Les galettes hamburger congelées, de bœuf ou d’une autre viande, coûtent plus cher que d’acheter la viande hachée pour en faire des galettes vous-même. Nous avons chronométré, il faut moins de 10 secondes pour former la galette et la déposer sur le gril!

Par ailleurs, on sait que les galettes de viande préparées peuvent abriter plus de bactéries E. coli que la viande hachée ordinaire.

En fait, la plupart des rappels récents ont visé des galettes de bœuf préparées congelées. Manger frais, c’est certainement mieux!

15. Sauces tomate pour les pâtes

Un pot de sauce à spaghetti coûte généralement de 2 $ à 6 $. Une quantité équivalente de tomates en conserve est souvent inférieure à 1 $.

Notre suggestion : faites votre propre sauce à partir de tomates concassées en conserve ou de tomates fraîches – en particulier l’été, quand elles sont abondantes, délicieuses et bon marché.

La méthode la plus simple est de mettre les tomates concassées (fraîches ou en conserve) dans une poêle, d’y ajoutez du vin ou du vinaigre de vin, un peu de sucre, vos fines herbes préférées et une brunoise des légumes que vous aimez dans votre sauce – poivrons, oignons, champignons, même des carottes et de laisser mijoter pendant une heure. Rectifiez les aromates et servez.

Mieux encore : badigeonnez des tomates fraîches et une plaque de cuisson d’huile d’olive et faites griller vos tomates de 20 à 30 minutes à 250 °C (425 °F) avant de faire votre sauce sur la cuisinière. Delicioso!

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Un âge minimum pour les sucreries?


C’est radicale comme solution, mais il est vrai qu’on habitue très tôt les enfants au sucre, aux repas commercial, mais je pense que c’est un ensemble de mauvaises habitudes qu’il faut cibler autant par la consommation d’aliments que l’activité physiques. C’est une grosse éducation qu’il faut entreprendre dès le jeune âge
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Un âge minimum pour les sucreries?

Un âge minimum pour les sucreries?

De plus en plus d’études montrent que manger trop de sucre dérègle l’appétit et crée une dépendance.

Photo: Steve Deschênes, Archives Le Soleil

Mathieu Perreault
La Presse

Comme l’alcool, les sucreries devraient être réglementées, car elles sont aussi toxiques et néfastes pour la santé publique. Les autorités pourraient commencer par interdire les publicités de bonbons, gâteaux et autres boissons sucrées, puis interdire la vente de ces produits dans les restaurants, dépanneurs et épiceries près des écoles. D’ici 10 ou 15 ans, on pourrait fixer un âge minimum pour l’achat d’aliments contenant trop de sucre.

Tel est le plaidoyer qu’ont publié hier trois chercheurs californiens dans la prestigieuse revue Nature.

 «Les trois quarts des frais médicaux aux États-Unis sont consacrés au traitement des problèmes métaboliques associés à l’alimentation, essentiellement au sucre, explique l’auteur principal, Robert Lustig, de l’Université de la Californie à San Francisco. De plus en plus d’études montrent que manger trop de sucre dérègle l’appétit et crée une dépendance. Aucune étude n’a jamais comparé les coûts de l’alcool, du tabac et du sucre, mais, à mon avis, c’est comparable aux coûts qu’entraînent le tabac et l’alcool, tant pour les consommateurs que pour ceux qui respirent la fumée secondaire et périssent dans des accidents de la route causés par l’alcool.»

150 milliards par an

Selon le chercheur, le sucre entraîne des frais médicaux de 150 milliards de dollars par année aux États-Unis et des pertes de productivité de 65 milliards.

Sera-t-il possible d’avoir l’appui du public malgré le fait que le sucre ne cause pas de problèmes évidents comme la fumée dans les restaurants et l’alcool au volant?

«C’est sûr que ça va jouer dans le débat, dit le Dr Lustig. C’est pour ça que je ne prévois pas qu’on puisse limiter l’âge légal pour l’achat de produits sucrés avant au moins 10 ou 15 ans.»

L’an dernier, le Dr Lustig a publié une étude dans laquelle il affirme que la bouffe-minute (fast food) crée une dépendance. En 2009, il a fait partie d’un comité de l’American Heart Association qui a recommandé une réduction de 50% à 75% de la consommation de sucre.

Le pédiatre californien a une théorie sur les causes de la dépendance au sucre: autrefois, la seule manière d’en consommer était pratiquement de manger des fruits. Or, les fruits poussent en été, et c’était la saison où les hommes préhistoriques devaient emmagasiner des calories pour survivre à la disette de l’hiver. Donc, le sucre pousse à manger davantage.

Désordres métaboliques

Le Dr Lustig croit en outre que le sucre cause plus de problèmes de santé que l’obésité.

«On a de la difficulté à démontrer que l’obésité réduit beaucoup l’espérance de vie. À mon avis, c’est parce que le coupable est le sucre, qui cause des désordres métaboliques. Un obèse sur cinq n’a pas de désordres métaboliques et 40% des non-obèses en ont.»

Taxer les produits sucrés et en limiter la vente, n’est-ce pas une taxe sur la pauvreté? Que feront les gens dont le seul plaisir est de manger un gâteau avec une boisson gazeuse?

«Le plaisir ne mène pas nécessairement au bonheur. Si l’humanité en est là, c’est vraiment triste.»

L’industrie alimentaire est peu réceptive aux thèses du Dr Lustig, tout comme les organismes de lutte contre l’abus d’alcool.

«Assimiler l’alcool au sucre ne me semble pas très scientifique ni très rigoureux», dit Hubert Sacy, directeur général d’Éduc’alcool.

«La comparaison n’est certainement pas la bienvenue.»

La consommation de boissons gazeuses a diminué de 30% depuis 11 ans au Canada alors que l’obésité continue à augmenter, souligne pour sa part Stephanie Baxter, de l’Association canadienne des boissons.

«Lier le sucre à des maladies comme l’obésité, le diabète ou l’hypertension est une réponse simple à une question complexe.»

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Dépanneurs Exaspérés, des proprios affichent la photo d’une inspectrice


Je peux comprendre qu’on engage des ados pour vérifier que les dépanneurs ne vendent pas de cigarettes au mineur, mais quand ils paraissent plus vieux de quelques années, c’est à se demander s’ils ne cherchent pas volontairement des infractions C’est exagéré !!! Se fier au vêtements ben voyons donc !!!!
C’est aberrant, La seule chose que je déplore des dépanneurs c’est de profiter des rabais dans les épiceries pour en faire de grande provisions pour les vendre plein prix dans leur dépanneurs ..

P. S pour nos amis européens, un dépanneur est un commerce qui est souvent généralement de petits commerces vendant un peu de tout (journaux, denrées, cigarettes, boissons, objets divers) pour dépanner Ils sont ouvert plus tôt et ferme plus tard que les épiceries et autres commercent
Sur internet le meilleur équivalent que j’ai pu voir était  »épicerie-bar-tabac » ou  »L’arabe du coin » Chez nous dans les grandes villes  je crois que de plus en plus d’asiatiques en sont propriétaire
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Dépanneurs  Exaspérés, des proprios affichent la photo d’une inspectrice

Exaspérés, des proprios affichent la photo d’une inspectrice

Crédit photo : Journal de Montréal

Gang Li, propriétaire d’un dépanneur à Terrebonne, fait tout ce qu’il peut pour éviter de vendre des cigarettes aux mineurs

Par Jean-Marc Gilbert | Journal de Montréal

Tannés d’être piégés par une inspectrice du ministère de la Santé, des propriétaires de dépanneurs chinois ont décidé d’afficher son portrait. Une propriétaire est même allée jusqu’à diffuser sa photo sur Internet.

Selon les propriétaires, la mineure qui se fait passer pour une cliente a l’air beaucoup plus vieille que son âge. En ayant marre de cette situation qui nuit à son commerce, une propriétaire a mis en ligne des photos de l’inspectrice sur un site web.

Gang Li, propriétaire d’un dépanneur à Terrebonne, fait tout ce qu’il peut pour éviter de vendre des cigarettes aux mineurs.

Ce site est dédié aux propriétaires de dépanneurs chinois qui veulent se familiariser avec les lois qui régissent cette industrie, au Québec.

«Malhonnête»

La photo, qui a été retirée du site dernièrement, a tout de même attiré l’attention de Jenny, propriétaire d’un dépanneur à Longueuil, qui se plaint aussi de la situation.

«C’est une injustice. Ce sont des mineurs, mais ils ont l’air d’avoir plus de 25 ans. C’est malhonnête de la part du gouvernement», déplore-t-elle.

Elle a imprimé une copie de la photo et l’a mise bien en vue à l’intention de ses employés, tout en les avertissant d’être très vigilants s’ils voient cette dame.

«Nous avons besoin de garder nos emplois pour survivre et nous faisons réellement de notre mieux pour demander une pièce d’identité à tous ceux qui paraissent mineurs», promet-elle.

Pas un cas isolé

Même si on ne note pas d’augmentation de plaintes à ce sujet, Zude Le, conseiller à l’association québécoise des dépanneurs alimentaires a eu écho de quelques histoires du genre.

«Ce ne sont pas des façons de faire que nous trouvons très honnêtes. La grande majorité des dépanneurs respectent les lois. Quelques fautes peuvent être commises, mais ce n’est pas du tout volontaire», explique-t-il.

Selon Gang Li, président du regroupement des dépanneurs chinois et propriétaire d’un établissement à Terrebonne, il est très difficile de juger de l’âge d’un client.

«Parfois, une cliente peut avoir l’air d’avoir de 28 ou 29 ans, mais on apprend par la suite qu’elle n’avait que 16 ou 17 ans» , témoigne- t- il.

«Parfois, on dirait que le seul but du gouvernement est de punir les propriétaires si une petite erreur est commise. C’est valable pour tous les propriétaires, pas seulement ceux d’origine chinoise», ajoute M. Li.

Seulement 15 ou 16 ans

Du côté de Québec, on affirme que l es quelques aides- inspecteurs embauchés sont tous mineurs.

«Il y en a présentement quatre, parfois plus durant la saison estivale. Ils sont tous âgés de 15 ou 16 ans et visitent environ 1 000 établissements par année» , affirme Noémie Vanheuverzwijn, porte- parole du ministère de la Santé et des Services sociaux. Les postes sont affichés et les jeunes retenus sont convoqués en entrevue.

Est-ce qu’on privilégie un jeune qui a l’air plus vieux qu’il l’est en réalité? «Au contraire. Ils ont l’air jeune tant physiquement que par les vêtements qu’ils portent», assure la porte-parole.

http://tvanouvelles.ca