Idées nouvelles


C’est un fait, en réalité, rien ne change, dans toutes les générations, c’est la même chose. En vieillisant ont sent que la jeunesse se perd et que les vieux sont entêté dans leur idées d’antan
Nuage

 

Idées nouvelles


 

« Les idées nouvelles déplaisent aux personnes âgées; elles aiment à se persuader que le monde n’a fait que perdre, au lieu d’acquérir, depuis qu’elles ont cessé d’être jeunes. « 

Madame de Staël

Mer déchaînée


Autant l’orage exprime la colère, la peur, autant malgré sa force, sa prestance, il est magnifique !!!
Nuage
 
 
 
Mer déchaînée
 
 
 

Dans ce grand ciel, des montagnes de nuages gris se dessinent
Devant l’offense, les vents essaient de pousser cette nuée menaçante
L’horizon enveloppé d’une noirceur que le temps destine
Les vagues semblent se préparer au dur combat de cette nuit remuante
 
Mélange de pluie, de vent qui cri sa misère du ciel et éclair sa rage
Bondissant sur la mer, anéantir des rêves de cette liberté insoumise
Choisissant les pires armes que seul peut faire l’orage
Laissant les voiliers se livrés à eux-mêmes devant cette injuste bataille incomprise
 
Coups de tonnerre brusques qui se répètent montrant toute sa puissance
Comment échapper à ce déluge, à cette tourmente des éléments déchaînés?
Aveuglé, cette cascade d’eau tombante du masque opaque cherche défiance
Les éclairs déchirant la toile, présente toute la colère du firmament enragé
 
Mais où est mon refuge? Je ne suis qu’un grain de sable dans son couffin
Les bras levés vers les cieux demandant clémence au créateur
J’appelle secours, je cherche protection dans cet univers sans fin
Chasser ce mal qui me poursuit, fuyant ce temps de malheur
 
Tout au fond de moi, je ressens enfin l’indulgence pénétrée dans mon âme
Comme un rayon doré qui transpercent l’empire des ténèbres
Changeant le vent pour une douce brise pour vaincre le drame
Dissiper les nuages vers le néant obscur, ainsi l’astre sort de la pénombre
 
L’arc-en-ciel se dessine dans l’azur en signe de pardon, d’alliance
Renouer mon être à la création, regorger d’espoirs devant l’océan paisible
Naviguer avec l’aide de Dieu vers la simplicité trouver bombance
Les aléas de la vie sont la pour choisir entre bien et mal de l’impossible au possible

 
 
Rachel Hubert (Nuage)
8 Novembre 2001

Le saviez-vous ► Expression : A tombeau ouvert


Une expression bien connu, plus souvent employer a mon avis, dans les film d’action que dans la vie de tous les jours … mais l’expression parle d’elle-même.. Mais sur nos routes, malheureusement bien des gens en plus de rouler vite entraine aussi des victimes
Nuage

« A tombeau ouvert  »



A une vitesse folle
.

 
Cette expression qui date de la fin du XVIIIe siècle s’utilise après des verbes indiquant le déplacement comme galoper (à l’époque), rouler, aller…

Elle doit être comprise au sens littéral des termes : celui qui roule à tombeau ouvert va si vite qu’il y risque sa vie et qu’il va probablement et volontairement terminer sa course directement dans le tombeau qui l’attend grand ouvert

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Un tour du monde des animaux avec Antoine


Faire le tour du monde a la chasse d’image de la nature est une des plus belles activités que l’on puisse faire. Ici un très bon photographe a mit son don a l’oeuvre pour nous présenter les animaux dans leur environnements .. Des images spectaculaires de toutes beautés
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Un tour du monde des animaux avec Antoine

antoine au paradis des animaux 

Dans son livre « Au paradis des animaux », le voyageur Antoine nous invite à découvrir les bêtes qui constitueraient son « arche de Noé » idéale. Ce wallaby, un kangourou de petite taille ici rencontré en Tasmanie, s’est approché d’Antoine alors qu’il filmait. Comme ce petit curieux, la plupart des animaux du livre sont venus d’eux-mêmes vers notre voyageur. © Antoine


La sterne paradis, un ange dans le ciel

la sterne paradis, un ange dans le ciel

© Antoine


Les lémuriens se chauffent au soleil

les lémuriens se chauffent au soleil

© Antoine


Les incroyables couleurs du guêpier

le guêpier

© Antoine


L’ornithorynque, un mystère de la nature

l'ornithorynque, un mystère de la nature

© Antoine


Le sourire du Sifaka

le sourire du sifaka

© Antoine


Le masque du fou aux pieds rouges

le masque du fou aux pieds rouges

© Antoine


Les lionnes à l’abreuvoir

lionnes

© Antoine


La blanche silhouette du Beluga

beluga

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Les récifs de corail dur

les récifs de corail dur

© Antoine


La bonne tête du lamantin

la bonne tête du lamantin

© Antoine

 

 

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Slovaquie → Un tableau peint en 1913 par Hitler vendu 42 400$


Comment peut-on être un peintre hors-pair et avoir été l’un des pires dictateurs et meurtriers de l’histoire de ce monde. j’aurais une problème de conscience de posséder des oeuvres d’un tel homme ou ceux qui ont fait tant de mal
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Slovaquie → Un tableau peint en 1913 par Hitler vendu 42 400$

 

 

Slovaquie - Un tableau peint en 1913 par Hitler vendu 42 400$

Image de la toile Marine Nocturne, peinte par Hitler en 1913.

© Samuel Kubani / AFP

Agence France-Presse

BRATISLAVA – Un tableau intitulé Marine nocturne peint en 1913 par Adolf Hitler jeune (1889-1945), a été vendu dimanche pour 32 000 euros (environ 42 400$) aux enchères en Slovaquie, a annoncé sur son site la maison de ventes Darte.

Le nom de l’acheteur n’a pas été publié.

Le prix d’ouverture a été de 10 000 euros (13 250$). Sa valeur a été estimée à 25 000 euros (33 100$), selon un expert cité par Darte.

Ce tableau de 60x48cm montre un paysage marin la nuit sous une pleine lune.

«Le tableau a été mis en vente par la famille d’un peintre slovaque ayant probablement rencontré personnellement Hitler à l’époque où il s’efforçait de s’imposer comme peintre à Vienne», a récemment expliqué à l’AFP Jaroslav Krajnak, propriétaire de Darte.

Cette famille a souhaité rester dans l’anonymat, selon lui.

L’année dernière, Darte avait déjà vendu pour 10 200 euros (13 500$) une autre peinture d’Adolf Hitler, offerte par la même famille.

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Suicide d’un parent: le pire deuil au monde


Un sujet difficile a aborder, mais tellement important d’en parler. Quelques témoignages ici décrit pour démontrer que les enfants qui vivent le suicide de leur parents sont souvent pris avec des émotions qui ne peuvent être soulager qu’avec l’entraide. Certains auront a subir en plus de leur peine des réactions négatives de leur entourages, que ce soit de la parentés, des amis, et même l’école .. Comme cette jeune fille qu’on a changé d’école de peur que cela affecte les autres .. !!! Bien sur cela peut influencer mais se taire et mettre un masque n’aidera pas a démystifié le suicide,, n’aidera pas non plus a redonner a l’enfant le goût de vivre
Nuage

 

Suicide d’un parent: le pire deuil au monde

Au fil des 12 semaines durant lesquelles ils fréquentent le groupe de thérapie, les enfants sont appelés à dessiner ce qu’ils ressentent depuis le suicide de leur parent.

Marie-Claude Malboeuf
La Presse

Un jour, ils faisaient leurs devoirs, rêvaient au père Noël, jouaient à la poupée. Puis, leur parent s’est suicidé. Et rien n’a plus jamais été pareil.

Béatrice disparaît presque derrière le gros ourson en peluche plaqué contre son corps gracile. Elle a 12 ans, un visage de poupée, une épaisse frange qui retombe sans arrêt sur ses yeux sombres. Et des pensées parfois plus noires encore.

Il y a cinq ans et demi, le père de Béatrice (1) s’est suicidé.

«Le plus dur, c’est que si je pouvais le revoir, je ne saurais plus quoi faire, se désole-t-elle. Avant, j’en rêvais tellement! Maintenant, je n’arrive plus à vivre la joie que je ressentais quand il me faisait un câlin. J’ai très peur de l’oublier, comme s’il y avait une chance qu’il revienne si je m’accrochais assez fort.»

D’après une estimation modeste, environ 400 enfants et adolescents québécois vivent chaque année le même drame. Pour la plupart, ils se sentent seuls au monde. Comment comprendre que son parent ait pu choisir de mourir? Comment affronter les préjugés des autres?

«À ce que je sache, on est une belle famille. Mais les gens autour de nous ont toujours une petite méfiance. Comme si on allait les contaminer», s’attriste Béatrice.

Dans son groupe d’entraide, qui a bien voulu accueillir La Presse à deux reprises, ils sont une dizaine. Pas toujours les mêmes. Eux aussi viennent de belles familles. Leur père était médecin, comptable, restaurateur, chauffeur de taxi. Leur mère était infirmière ou enseignante. Avec eux, ils faisaient du ski, allaient à la pêche ou chantaient en se rendant à l’école. Jusqu’à ce qu’une dépression très profonde, et parfois un problème d’alcool ou de drogue, fasse éclater leur vie en morceaux.

Dans leur immense malheur, ces jeunes ont eu un tout petit peu de chance. Car avant de se retrouver au groupe d’entraide, ils ont suivi une thérapie de groupe pour enfants ou pour adolescents à la Ressource régionale de suicide de Laval. Une rareté.

«Il existe de beaux services en individuel, mais les enfants veulent se sentir semblables aux autres. En groupe, ils découvrent que ce qu’ils ressentent est normal», constate l’intervenante Josée Lake, qui a elle-même perdu son frère par suicide.

Dans le vaste monde, le réconfort n’est pas garanti.

«Mes oncles m’évitent depuis que mon père est mort. On dirait qu’ils ne sont plus capables de me parler comme avant», déplore Charlotte, 15 ans.

Une autre adolescente a dû changer d’école parce que la direction craignait que son deuil ne perturbe les autres élèves.

«Ma meilleure amie a dit dans mon dos que j’avais trop besoin d’attention et que je devais tourner la page, raconte pour sa part Béatrice. Mais on ne peut pas faire ça! Depuis quelque temps, j’ai tout le temps envie de pleurer. J’aimerais me retenir, mais ça déborde.»

Le suicide très médiatisé d’une jeune Gaspésienne victime d’intimidation les a tous bouleversés.

«Une fille a dit que c’était une lâche, raconte Charlotte. J’ai dû sortir de la classe pour pleurer cinq bonnes minutes. Elle le sait, pour mon père, et elle ne s’est même pas excusée. Ce n’est ni lâche ni courageux, c’est juste de la souffrance.»

***

Lorsqu’ils ont appris la nouvelle – que ce soit à 4, 6, 11 ou 13 ans -, ils ont tous refusé d’y croire. Un tout petit garçon a entendu sa soeur hurler lorsqu’elle a trouvé le corps de leur père. Émilie, elle, n’a rien vu, mais elle s’est mise à courir et à appeler son père de toutes ses forces.

Une autre enfant a été ramenée à la maison par les ambulanciers. Elle avait très hâte de montrer ses nouvelles photos d’école à sa mère. Mais sa mère n’y était plus – même si elle avait pris soin de lui acheter un cadeau d’anniversaire la veille de son suicide:

«On a fêté mes 7 ans le lendemain des funérailles. Je ne comprenais pas comment elle pouvait me donner un cadeau si elle n’était pas là.»

 

Aujourd’hui, chaque anniversaire, chaque passage est difficile: déménagement, remise de diplôme, premier amour. Émilie est entrée au cégep en septembre.

«Je voudrais que mon père voie ce que je suis devenue, je voudrais entendre ce qu’il me dirait s’il était là», dit-elle.

Charlotte, elle, pleure de fatigue. Elle passe souvent la nuit debout lorsque sa mère dort ailleurs avec son nouveau compagnon.

«J’ai très peur quand elle s’en va, très peur dès qu’elle arrive en retard. Je voudrais qu’elle réalise que j’ai besoin d’elle…»

Tous les jeunes perturbés par un suicide détestent que leurs relations changent.

«Quand les gens entrent dans ma vie, j’ai toujours peur d’avoir encore de la peine, peur qu’ils me déçoivent et me laissent tomber, confie Béatrice. Et quand ça arrive, je n’arrête pas de me demander ce que j’aurais pu faire d’autre. J’accepte beaucoup de choses, juste pour que ça continue.»

***

Comme elle, aucun ne veut oublier. Ils cherchent partout les yeux, le sourire ou le parfum du disparu.

«Quand je me retourne dans la rue, il m’arrive de voir quelqu’un qui ressemble à mon père. On dirait que j’hallucine», dit Maude, 12 ans.

Certains soirs, elle écoute la musique qu’il aimait:

«Ça me fait pleurer, mais j’aime ça en même temps.»

Avec le temps, leurs rêves s’entremêlent aux souvenirs. Émilie était en Gaspésie avec le reste de sa famille lorsque son père s’est tué, à Montréal.

«Avant de partir, on lui a dit au revoir sans se rendre compte que c’était la dernière fois, dit-elle. Je ne sais même plus si je me suis retournée pour le saluer par la fenêtre de la voiture.»

1. Les prénoms de tous les enfants ont été changés

 

http://www.cyberpresse.ca

Société protectrice des animaux ►Les chats noirs victimes des superstitions


Les superstitions donne la vie dure chats noirs et pourtant quelle belle bête avec cette belle fourrure. Moi, qui depuis longtemps j’aimerais avoir un chat noir .. mais il semble que je vais attendre quelques années .. car mes trois chats sont en forme et je ne les changerais pas
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Société protectrice des animaux

Les chats noirs victimes des superstitions

 

Les chats noirs victimes des superstitions

Par Daniel R. Pearce | Agence QMI

La superstition voulant que les chats noirs portent malheur est bien vivante, ce qui rend difficile l’adoption de ces animaux.

Neuf mois après avoir sauvé 139 chats qui vivaient tous sous le même toit, la Société protectrice des animaux cherche toujours des personnes prêtes à adopter un chat. Sur les 36 chats toujours disponibles, 32 sont noirs.

«Les gens vont lever les mains au ciel et dire : « Oh non, je ne prendrai pas ce chat »», a dit la présidente de la Société protectrice des animaux du district de Simcoe, Cathie Hosken.

La Société tente désespérément de trouver des foyers pour les félins avant l’arrivée du printemps, alors que le nombre de chats en adoption va recommencer à grimper.

L’organisme organise un évènement la semaine prochaine : elle propose, jusqu’au 5 février, d’adopter un chat pour 30 $. Normalement, l’adoption d’un chat vacciné, castré ou stérilisé coûte 140$.

Mme Hosken dit que le mythe au sujet de chats noirs est faux et qu’ils sont au contraire très amicaux.

«Ils sont presque une espèce en soi. Ils sont très sociables. Ils aiment jouer avec les enfants. Ils s’installent très rapidement» dans les nouvelles demeures, a-t-elle dit.

http://tvanouvelles.ca

Israël: fin tragique pour un serpent mastiqué par un bébé


Les bébés mettent tout dans leur bouche, surtout quand les dents percent .. Ils mordillent les jouets de dentitions avec beaucoup de ténacité .. C’est une période ou il ne faut pas laisser trainer n’importe quoi a leur porter. Mais dans d’autres pays, on ne sait jamais ce qui peut se cacher dans les maisons
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Israël: fin tragique pour un serpent mastiqué par un bébé

Israël: fin tragique pour un serpent mastiqué par un bébé (© AFP)

Un bébé a longuement mâchouillé la tête d’un serpent en semi hibernation, un dangereux passe-temps dont le reptile n’est pas sorti indemne, a-t-on appris le vendredi 27 janvier auprès de sa famille dans une agglomération arabe du nord d’Israël.

Ghadir Aleeyan, mère du petit Imad, 13 mois et six dents, n’en revient toujours pas:

« Je lui préparais son lait, et en jetant un coup d’oeil dans sa direction, j’ai découvert qu’il y avait un serpent dans sa bouche. Je n’en croyais pas mes yeux et j’ai hurlé, terrorisée », a-t-elle raconté à l’AFP.

Alertés par ses cris, d’autres membres de la famille et des voisins ont accourus, mais personne n’osait intervenir jusqu’à ce qu’un voisin décide d’extraire le serpent à moitié mort de la bouche de l’enfant et de l’achever.

« Lorsqu’il l’a sorti de sa bouche, Imad a commencé à pleurer », a raconté Yasmin Shahin, tante du bébé, en précisant que la tête du serpent avait été « très sérieusement mastiquée ».

Le bébé a été conduit pour examen à l’hôpital Rambam de Haïfa (nord), où les médecins ont constaté qu’il n’avait pas subi la moindre morsure.

Selon le Dr Boaz Shacham, expert à l’Université hébraïque de Jérusalem, ce serpent, un hemorrhois nummifer, appartient à la famille des colubridae, une espèce non venimeuse ressemblant à la vipère.

« S’il n’a pas mordu le bébé, c’est probablement à cause du froid. En hiver, ces reptiles ne sont pas vraiment actifs », a-t-il expliqué à l’AFP.

http://actualites.ca.msn.com

Voyage


J’ai eu l’occasion de faire quelques voyage au USA, Mexique, Jamaïque, Maroc, et ce que je préférais n’était pas les zones touristiques sauf bien sur quelques sites historiques .. mais ce que j’aimais c’était de voir comment les gens vivaient, de gouter a leur cuisine locale .ainsi que la nature qui caractéristique chaque pays … ce sont des souvenirs plus profonds, qui aide je trouve a apprécier nos différences
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Voyage

J’observe en mes voyages cette pratique, pour apprendre toujours quelques chose par la communication d’autrui ( qui est une des plus belles écoles qui puisse être), de ramener toujours ceux qui je confère, aux propos des choses qu’ils savent le mieux.

Michel Eyquem de Montaigne

L’histoire de l’aigle


Comme un aigle, nous devons passer a certains changements au cours de notre vie, certains de ces évènements sont parfois difficile mais nécessaire pour continuer a vivre dans de meilleurs conditions, qu’il faut travailler pour réussir a renaitre
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L’histoire de l’aigle

L’aigle vit plus longtemps que les autres
oiseaux de son espèce. Il peut vivre 70 ans.
Mais pour atteindre cet âge, il doit prendre
une décision très difficile.

Quand il atteint 40 ans,
Il ne peut plus utiliser ses longs serres
pour attraper ses proies.
Son bec devient recourbé.
Ses vieilles et pesantes ailes,
deviennent difficiles à déployer.

L’aigle est alors confronté à deux choix:
Sois mourir ou entreprendre un long procédé
de changements qui durera 150 jours.

L’aigle doit se rendre sur le sommet d’une montagne
et s’y asseoir. Ensuite, il frappe son vieux bec sur
un rocher pour le casser et s’en débarrasser.

Après s’être débarrassé de son bec, l’aigle attend
qu’un nouveau repousse et fait la même chose pour
ses serres. Après que ses nouveaux serres auront
repoussés, il fera la même chose avec ses vieilles plumes.

Et après cinq mois, l’aigle prends son glorieux
envol de renaissance et vit pour trente années de plus.

Pourquoi faut-il changer ?

Souvent pour survivre, nous devons entamer
un processus de changements.

Nous devons nous débarrasser de
vieilles mémoires, habitudes et manies.

C’est seulement quand nous pouvons nous
débarrasser de ces fardeaux, que nous pouvons
commencer à profiter du présent.

Auteur inconnu