Nous n’avons qu’une vie … qu’importe en réalité qu’elle soit courte ou longue … ce qui compte c’est ce qu’on en fait
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La vie
« La vie ressemble à un conte ; ce qui importe, ce n’est pas sa longueur, mais sa valeur. »
Sénèque
Le poème préféré de mon plus jeune fils, a chaque fois que le cours de français avait comme thème la poésie (presqu’à chaque année) il me demandait d’imprimer ce poème en particulier …
J’étais encore au Maroc au moment d’écrire ce poème, sur le bord des trottoirs en avant du cyber café, il y avait un citronnier .. il avait des fruits au sommet de l’arbre mais pas vers le bas des branches, car les passants cassaient souvent les branches ou prenaient les citrons même s’ils étaient encore vert. Qu’importe l’arbre au fond, souvent on casse que pour s’amuser et non par besoin.. On n’éduque pas non plus a nos enfants de respecter les arbres…
Nuage
L’arbre de vie
Je suis l’arbre de la vie, l’arbre de ta ville
Je porte en moi la sève, je suis l’arbre virile
Je t’offre mes fruits pour te nourrir
Je t’offre mon ombre pour te rafraîchir
J’habite ton quartier pour égayer ton trottoir
J’orne de ma verdure afin de te faire oublier le béton noir
J’élève mes branches vers le ciel ainsi, te donner l’univers en héritage
Oui, je suis là quel que soit le temps, j’existe pour toi d’âge en âge
Et toi, pourquoi me négliges-tu pendant mon enfance ?
Pourquoi, me fais-tu du mal durant ma croissance ?
Tu casses mes branches pour ton simple plaisir
Comment, puis-je croître sans souffrances, sans ire ?
Tu ne cesses de me polluer et je ne dis mot
Je change cette impureté en oxygène soulageant tes maux
Tu me veux fort plein de vitalité à la campagne
Mais à la ville, tu me méprise dans mon bagne
Pourtant dans ton jardin, je suis la fierté de ton coeur
J’ai le droit à tous les égards dignes d’un empereur
Sur le pavé, je suis devenu un scélérat que même les oiseaux fuis
Livré à moi-même au gré des vents, j’attends la mort en sursis
Oui, la mort sera ma délivrance de tes griffes sans pitié
Après mon agonie peut-être, tu te souviendras de mon utilité
Mais ma semence sera aussi une descendance sacrifiée
Tant que tu ne respecteras pas la nature dans toute sa beauté
Je suis l’arbre de la mort, l’arbre de ta ville
Je porte en moi la tristesse, je suis l’arbre stérile
Je n’ai plus de fruit pour te nourrir
Je n’ai plus de feuilles pour te rafraîchir…….
Rachel Hubert (Nuage)
28 mars 2002
Une expression connu avec son contraire qui je pense est moins connu. Donc deux expression qui ont pris leur origine sur un terrain de football ou de rugby soit pour être mit a l’écart ou profiter d’une occasion pour surprendre en changeant de direction
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« Etre mis (rester) sur la touche/Botter en touche »
Être mis (rester) à l’écart / Se dégager habilement en déplaçant l’objet du débat
Ces expressions datent du début du XXe siècle.
Les supporters de foot ou de rugby auront tout de suite compris leur origine.
Dans ces jeux de ballon, la touche c’est la zone qui se trouve hors des limites latérales du terrain, celle où on n’a plus le droit de jouer.
Les bancs de touche sont ceux où sont assis les joueurs exclus ou en attente de rentrer sur le terrain.
Être mis sur la touche, c’est donc être exclu de la partie, ne plus avoir le droit d’y participer, qu’il s’agisse d’un jeu, de négociations, d’une direction d’entreprise ou de toute autre chose où il y a plusieurs acteurs ou participants.
La touche, c’est aussi la zone où, lors d’un match, un joueur peut avoir intérêt à envoyer le ballon, histoire de suspendre temporairement la partie soit pour permettre à ses équipiers de se replacer sur le terrain, soit pour éloigner un danger de la part des adversaires.
C’est de cette action de dégager ou botter en touche que la deuxième expression a pris un sens figuré pour désigner celui qui réussit habilement à (ou qui tente de) amener le sujet d’une dicussion, par exemple, sur un autre terrain que celui initial.
Que nous aimons ou non l’hiver, que nous soyons sédentaire ou actif, cette saison, malgré le froid, les journées plus courtes et tous les désagréments que cela peut occasionner .. il faut avouer que cette saison mérite un nouveau regard pour voir toute sa splendeur, sa beauté et oui disons le sa fraicheur
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Nature féerique, Québec,
Provision, Mont Royal, Montréal, Québec
© Paule
Pureté, Gap, Hautes-Alpes,
Graines sauvegardées, Vosges
Baies gelées Combe Serpent, Côte d’Or, Bourgogne,
Nature étincelante, Plaine-Joux dans le Massif des Brasses en Haute-Savoie,
Dentelles de glace sur cascade Grottes de Baume-les-messieurs, Jura,
Sérénité, Québec, Canada,
Curiosité , Choisy Au Bac, Oise,
Sous le gel Monétay sur Loire, Loir et Cher,
En rose et noir, Chartreuse
Rivière gelée, Stamford, Connecticut, Etats-Unis,
Lac de virollles sous la neige, Haute-Vienne
Saisissants contrastes, Parc de Rouelles, Le Havre, Seine-Maritime
Le temps d’une neige près d’un ruisseau. Vienne
Central Park sous la neige, New York, Etats-Unis
C’est une bonne question, surtout avec tous ces produits préparés dans les épiceries, c’est assez tentant d’acheter la facilité .. Par contre on peut y perdre au point de vue économie, nutritif et rassasiant. Je ne sais pas si cela a un rapport avec les aliments préparés mais j’ai remarquer que beaucoup d’enfants sont très difficiles Ils refusent de manger des fruits et légumes, refusent tout aliments normal car il préfère les boites de macaronis au fromage, pogo, spaghetti au jus de tomates .. rien de très nutritif .. et en plus ils n’osent pas essayer de nouveautés santé
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Est-ce que vous cuisinez à la maison ?
La cuisine occupe énormément de place dans les médias, depuis quelques années. Mais ironiquement, bien que l’on consacre de plus en plus de temps à regarder des émissions de cuisine et de recettes, celui passé devant les fourneaux diminue.
Anne Bouillon, diététiste à Santé publique Ottawa, abonde dans le même sens. À son avis, les gens mangent des repas « prépréparés », qu’ils n’ont souvent qu’à réchauffer au micro-ondes, en croyant sauver du temps.
Cette dépendance aux produits transformés inquiète les autorités de la santé publique.
Une tendance qu’il faut renverser
Anne Bouillon croit que la tendance peut être renversée, en ramenant les cours d’économie familiale dans les écoles, qui sont devenus facultatifs dans les écoles ontariennes, et abolis avec la réforme, au Québec.
Le ministère de l’Éducation de l’Ontario promet une révision. Les jeunes Ontariens pourraient suivre de nouveaux cours d’économie familiale dès la prochaine rentrée scolaire.
De son côté, le ministère de l’Éducation du Québec n’envisage pas de les réintégrer, malgré la demande de la part de nombreux parents.
Entre-temps, les directions de la santé publique, comme le médecin en chef de la Ville d’Ottawa, préparent des interventions et des campagnes, dont certaines se feront sur les réseaux sociaux, afin de capter l’attention des jeunes.
Nous faisons des choses inconsciemment, certains sont tellement routinier que nous pourrions les faire les yeux fermés. D’autres situations peut nous sembler bizarres, voir inquiétantes.. comme si nous sommes en train de devenir sénile alors que d’autres facteurs sont en cause tel que le stress, la fatigue etc … Comprendre notre cerveau est souvent complexe
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Votre cerveau vous joue-t-il des mauvais tours?
Vous vous dites: « Quand je suis arrivé au stationnement du bureau ce matin, j’ai réalisé que j’avais tout oublié de mon trajet. Comment le cerveau est-il capable de passer en pilotage automatique? »
Dr David Perlmutter, expert du cerveau: Le papillon monarque a un cerveau plus petit qu’une tête d’épingle et, pourtant, il peut migrer sur plus de 3 000 km jusqu’à un endroit précis. Votre gros cerveau peut certainement vous conduire jusqu’au bureau sans participation consciente, bien que je ne le recommande pas. Les activités et les comportements créent des lots d’informations stockées dans le cerveau qui, au fil du temps, deviennent des instructions lorsque ces activités sont répétées. En conditions normales, nous faisons appel à ces instructions pour effectuer des tâches courantes, y apportant de légères modifications au moment où notre environnement change. Si vous aviez vu un gros objet devant vous, votre cerveau aurait fait sauter le pilotage automatique et aurait repris le contrôle pour contourner l’obstacle.
Vous dites: « Il y a environ un an et demi, j’ai réservé un vol de dernière minute pour une réunion d’affaires. J’ai dormi durant la plus grande partie du vol et me suis réveillé brusquement quand l’avion a atterri. Après quelques minutes, j’ai finalement ouvert ma serviette et vérifié mon emploi du temps. Ha ha! Une réunion à Toronto. Ce n’est qu’après le trajet de 7 minutes sur l’aérodrome que j’ai réalisé que j’étais dans un aéroport autre que celui où je croyais être. Je sais que je peux avoir été un peu désorienté au réveil, mais pourquoi n’ai-je pas été attentif aux annonces en vol, aux panneaux, ou encore à l’aménagement de l’aéroport? »
Dr Perlmutter: Vous avez déjà mentionné une raison importante de votre confusion. Il est fréquent d’être confus au réveil, surtout quand on a dormi à un moment inhabituel pour notre horloge biologique.
Un autre facteur important est évident. Cette réservation de vol « à la dernière minute». En raison des préoccupations et des contraintes de temps, il est évident que votre esprit était ailleurs. Avec tout ce qui se passait, vous avez été soulagé de trouver la réponse à votre confusion dans votre agenda, de sorte que le reste de votre cerveau s’est détendu et s’est rendu à l’idée erronée que vous étiez à l’aéroport Pearson (Toronto). Avec moins de stress, vous ne connaîtrez pas cette expérience à nouveau.
3. Il a des ennuis avec des visages familiers
Vous vous dites : « Pourquoi ai-je parfois de la difficulté à trouver le nom des personnes proches lorsque je veux les présenter. C’est arrivé une fois, au centre commercial, j’étais avec mon meilleur ami. J’ai rencontré un autre ami. Je les ai regardés, je ne pouvais plus me souvenir de leurs noms, et j’ai finalement dit: « Voulez-vous, s’il vous plaît, vous présenter l’un à l’autre? Pourquoi est-ce arrivé?»
Dr Perlmutter: L’information était très bien codée dans votre cerveau; le problème était sa récupération. Il se peut que de voir votre ami dans le centre commercial vous ait surpris en quelque sorte, ou inquiété sur la bonne façon de gérer la situation. L’émotion a temporairement bloqué votre système de récupération. C’est tout à fait normal. Maintenant, voici la mauvaise nouvelle: parce que cela vous est arrivé et que l’expérience a été embarrassante, toute situation semblable pourrait devenir source d’anxiété. Si le cerveau « se fige », cela pourra se reproduire. C’est une forme courante de trac. Comme un acteur, essayez de dire vos « répliques » au fur et à mesure que se déroule l’action et vous vous en sortirez très bien.
Vous vous dites: « Mon mari peut conduire ou être conduit et se rappeler du chemin à suivre, des mois plus tard, même si c’est dans une autre province. Par contre, je me perds encore dans ma propre ville, à moins de suivre un itinéraire connu… Y a-t-il un centre de l’orientation dans le cerveau? Ou est-ce que son cerveau a une meilleure mémoire (bien qu’il oublie d’acheter du lait)?»
Dr Perlmutter: Bonne observation! En fait, le lobe pariétal droit et d’autres zones du cerveau sont spécifiquement impliqués dans le processus d’apprentissage et du souvenir des directions et de l’orientation. Les hommes semblent avoir une meilleure compétence en cela que les femmes. Les femmes, d’autre part, sont plus habiles à la lecture de signaux émotionnels humains. Différentes personnes, différents talents
Toutes sortes de produits sont vendus pour donner une bonne odeur dans la maison … que ce soit des produits ménagers, des produits de beautés mais aussi des produits que l’on diffuse en aérosol, des chandelles, qu’on branche, qu’on brule .. bref une panoplies qui attire beaucoup de monde .. Mais a quel prix pour l’environnement et pour la santé ?
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Sent-bon: désodorisants ou polluants
Photo: Shutterstock, Réjean poudrette, istockphoto
Par Isabelle Ducas
En tentant de chasser les mauvaises odeurs de la maison, vous y introduisez peut-être des substances nocives pour la santé.
On trouve certains parfums d’intérieur sous forme de chandelles; d’autres se branchent ou fonctionnent à piles, propulsant un jet à intervalles réguliers, alors que d’autres encore sont dotés d’un détecteur de mouvement ou même d’un détecteur de mauvaises odeurs qu’ils tentent aussitôt de masquer.
Les trois quarts des ménages américains utilisent des «sent-bon». Au cours de la dernière décennie, leurs ventes ont augmenté de 6 % par année, pour atteindre un total de 3,3 milliards de dollars en 2010 chez nos voisins du Sud, selon la firme de marketing Kline & Company.
Les consommateurs, qui ont réduit leurs dépenses depuis la récession et font moins de sorties, voient dans ces produits une façon peu coûteuse d’améliorer leur intérieur.
Pourtant, depuis quelques années, les parfums d’intérieur ont mauvaise presse.
«Des études ont démontré que, comme de nombreux produits parfumés, ils contiennent des substances chimiques, dont l’utilisation est liée à plusieurs problèmes de santé comme le cancer ou des problèmes respiratoires», explique Rick Smith, directeur d’Environmental Defence Canada, un groupe qui milite pour une meilleure réglementation des ingrédients utilisés pour fabriquer des produits de consommation.
Plusieurs organismes tels que la Direction de santé publique du Québec et la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL) recommandent carrément aux consommateurs de ne pas utiliser de désodorisants pour la maison.
Santé Canada ne fait toutefois aucune mise en garde particulière au sujet de ces produits. L’organisme indique seulement que «certaines personnes particulièrement sensibles aux polluants chimiques» peuvent être incommodées par les désodorisants d’intérieur.
La plus récente phase de son Plan de gestion des produits chimiques (PGPC), annoncée en octobre 2011, prévoit l’examen de centaines de substances chimiques présentes dans les produits de consommation, indique Olivia Caron, porte-parole de Santé Canada.
«Si une substance présente un risque pour les consommateurs ou l’environnement, le gouvernement prendra les mesures qui s’imposent pour atténuer ce risque», explique-t-elle.
Des études alarmantes
En attendant, plusieurs recherches indépendantes sur la composition des chasse-odeurs donnent aux consommateurs des raisons de s’inquiéter. L’une des dernières, publiée en 2010 par une ingénieure en environnement de l’Université de Washington, Anne Steinemann, fait état d’une trentaine de substances toxiques trouvées dans 25 désodorisants d’intérieur et autres produits parfumés d’entretien ménager et de soins personnels.
Certaines de ces substances, comme le formaldéhyde et le chlorure de méthylène, sont des cancérigènes potentiels. D’autres peuvent provoquer des problèmes de fertilité, des irritations des yeux ou de la peau, des étourdissements, des maux de tête, des nausées, de l’asthme ou divers problèmes respiratoires.
D’autres études menées aux États-Unis et en Europe au cours des dix dernières années pointent du doigt les phtalates, un groupe de produits chimiques accusés de perturber le système endocrinien et de causer des cancers.
Un rapport publié en 2007 par le Natural Resources Defense Council souligne que, parmi 14 désodorisants choisis au hasard, 12 contenaient des phtalates, utilisés pour prolonger l’effet des parfums. On retrouve ces substances tant dans les produits à vaporiser que dans les gels ou les huiles. Les phtalates seraient particulièrement présents dans les appareils que l’on branche pour chauffer une huile et en diffuser l’odeur.
Santé Canada affirme «surveiller étroitement les données scientifiques sur ces ingrédients», précisant que certains phtalates seront évalués en priorité dans son PGPC. «Mais jusqu’à maintenant, Santé Canada a déterminé qu’un seul phtalate pose un risque pour la santé humaine, soit le DEHP, une substance qui n’est pas présente dans les assainisseurs d’air», soutient Olivia Caron.
«Naturels», mais pas toujours inoffensifs
Même des produits qui semblent a priori plus naturels soulèvent des doutes. D’après l’Union fédérale des consommateurs, une association française, l’encens, le papier d’Arménie et la lampe Berger peuvent émettre entre autres des phtalates, du benzène, du formaldéhyde (trois cancérigènes potentiels) ou du toluène (qui affecterait le système nerveux).
Et les chandelles parfumées, qui semblent bien inoffensives? Elles dégageraient les mêmes substances. En plus, leur combustion libère de la suie, dommageable pour la qualité de l’air.
Les huiles essentielles ne seraient pas en reste: certaines diffuseraient des terpènes, substances irritantes – d’ailleurs, plusieurs des huiles vendues dans le commerce sont en réalité des produits synthétiques.
À cause des préoccupations grandissantes des consommateurs quant aux effets de ces produits sur leur santé, les fabricants développent de nouvelles formules, mais les mentions «bio» ou «naturel» sur les emballages ne garantissent pas l’absence de nocivité, selon l’étude d’Anne Steinemann.
Des étiquettes peu bavardes
Aucune loi n’oblige les fabricants de désodorisants pour la maison à divulguer la liste de leurs ingrédients, une aberration que dénonce Rick Smith, d’Environmental Defence. Une telle obligation inciterait les entreprises à changer leurs recettes, croit-il.
«Dès que les manufacturiers seront obligés de révéler tous les produits chimiques qu’ils utilisent, ils les élimineront, parce qu’ils savent que ça nuira à leurs ventes», soutient-il.
L’Association canadienne de produits de consommation spécialisés (ACPCS), dont font partie certains fabricants de désodorisants d’intérieur tels que S.C. Johnson (Glade et Oust), Procter & Gamble (Febreze) et Reckitt Benckiser (Air Wick), souligne que ses membres divulguent volontairement leurs ingrédients depuis 2010.
Au départ, la composition des fragrances qui parfument leurs produits n’était pas précisée – on indiquait seulement «fragrance» ou «parfum» sur la liste d’ingrédients. Mais depuis janvier 2012, les membres de l’ACPCS s’engagent à dévoiler aussi la liste des produits chimiques qui composent leurs fragrances.
«L’industrie a pris les devants pour répondre aux préoccupations des consommateurs et être plus transparente», souligne Shannon Coombs, présidente de l’ACPCS.
Cependant, rares sont les fabricants qui divulguent les ingrédients sur l’emballage de leurs produits. Il faut plutôt chercher sur leur site Web pour obtenir l’information, qui n’est pas toujours facilement repérable.
De toute façon, plutôt que de scruter les ingrédients des «sent-bon», les consommateurs devraient tout simplement éviter ces produits, selon Marc Geet Éthier, auteur des guides écolos Ménage vert et Zéro toxique.
«Nous sommes devenus dépendants des odeurs, lance-t-il. Mais l’odeur du propre n’est pas nécessairement parfumée. Il y a un gros ménage à faire dans nos produits ménagers et les gens n’en sont pas assez conscients.»
Aérez!
La meilleure façon d’éliminer les mauvaises odeurs et d’améliorer la qualité de l’air de votre maison, c’est d’aérer tous les jours.
En été, il est conseillé d’aérer surtout le matin, alors que l’ozone (polluant principal de l’atmosphère en cette saison) est au plus bas.
En hiver, on aère le soir quelques minutes, alors que les polluants les plus présents à cette période de l’année (dioxyde de soufre et d’azote) sont à leur plus bas.
Vous imaginez un tout petit animal que l’on connait bien .. il existe un de ses semblables qui est minuscule. Pour se faire une idée de sa grandeur, il est aussi petit que la tête d’une allumette de bois Et il semblerait que dans cette région, ce n’est pas la seule espèce qui présente de telles caractéristiques
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Crédit photo : Agence QMI
Le Brookesia micra mesure 24 mm, y compris sa queue
Agence QMI
Le plus petit caméléon du monde, assez petit pour se percher sur la pointe d’une allumette, a été découvert à Madagascar.
Le Brookesia micra mesure 24 millimètres, y compris sa queue, ce qui en fait un des plus petits reptiles connus sur la planète.
(Photo Agence QMI)
Des chercheurs allemands et américains ont découvert le Brookesia micra de même que trois autres espèces de caméléons nains, dans le nord de l’île africaine qui est connue pour sa vie animale diversifiée et où on retrouve plusieurs des plus petites créatures du monde.
«Ce n’est pas un hasard que les plus petites espèces d’un groupe taxinomique donné se trouvent souvent sur des îles, a déclaré Frank Glaw, du Zoologische Staatssammung à Munich, en Allemagne. C’est un phénomène typique et bien connu.»
(Photo Agence QMI)
Les grenouilles naines, les lémuriens nains et les caméléons nains sont parmi les nombreuses petites espèces qui vivent à Madagascar.
Les deux autres caméléons qui ont été découverts sont le Brookesia despereta et le Brookesia tristis.