De plus en plus de commerces acceptent les chiens


Au Québec, il est illégal d’interdire l’accès à un chien d’assistance. Les autres ? Les propriétaires de chien vont être contents. En plus des parcs et certaines réserves, il y a des commerces, hôtels, restaurants qui ouvrent peu à peu leurs portes aux toutous. Bien sûr, les maîtres doivent être responsable de leur chien.
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De plus en plus de commerces acceptent les chiens


Une femme avec un chien dans un magasin

Camille Boulanger visite les endroits qui acceptent les chiens et commente son expérience sur son blogue.

PHOTO : RADIO-CANADA / MARIE-JOSÉE PAQUETTE-COMEAU


Rentrer dans les boutiques avec votre chien? Une tendance en croissance au Québec.

Le reportage de Marie-Josée Paquette-Comeau.

Après les parcs nationaux de la Société des établissements de plein air du Québec (Sépaq), voilà que de plus en plus de commerces ouvrent leurs portes aux quadrupèdes, pour le plus grand bonheur des propriétaires.

Camille Boulanger est propriétaire de Guidoune, une chienne âgée de 10 ans de race colley croisée avec du labrador. Pour elle, Guidoune fait partie de la famille et devrait pouvoir la suivre là où elle veut.

Si je suis en déplacement, que ce soit l’hiver ou l’été, le chien ne peut pas rester dans la voiture. Ce n’est pas sécuritaire pour lui! Camille Boulanger, blogueuse

C’est pourquoi elle a décidé de répertorier, dans le blogue On va se promener, les endroits, les randonnées et les événements qui acceptent les chiens dans la province. Camille Boulanger croit sincèrement qu’il y a une bonne amélioration.

C’est souvent de petits commerces [qui acceptent les chiens]… qui ont des produits locaux, des petits artisans de la région. Camille Boulanger, blogueuse

Selon les données les plus récentes de l’Institut canadien de la santé animale, 41 % des ménages canadiens possèdent au moins un chien. Au Québec, ce pourcentage diminue à 24 %, pour un total de plus d’un million de bêtes, selon l’Association des médecins vétérinaires du Québec en pratique des petits animaux.

Toutou, partout!

Presque tous les parcs et les réserves de la Sépaq ont ouvert leurs portes au meilleur ami de l’homme l’été dernier. Pour un premier hiver, toutefois, seule la moitié d’entre eux accueillera les chiens dans les endroits autorisés.

On retrouve également de plus en plus de restaurants spécialisés qui acceptent les chiens. C’est le cas d’Hot Dog & cie, à Brossard. Son propriétaire Sylvain Petitjean affirme que sa clientèle n’est pas régulière, contrairement aux restaurants traditionnels.

Il y a un engouement, mais disons que c’est toujours un petit peu fragile. Sylvain Petitjean, propriétaire Hot Dog & cie

Les propriétaires de chiens représentent un groupe restreint, ajoute-t-il, et même ceux-ci ne désirent pas toujours partager le repas avec leur animal.

Deux filles et un chien autour d'une table dans le restaurant Hot Dog et cie

Chez Hot Dog & cie, les chiens sont permis à table.

PHOTO : RADIO-CANADA

Depuis trois ans, quelques centaines de chiens de toutes tailles se pointent aussi le museau chaque jour dans les boutiques du Quartier Dix30, contrairement aux centres commerciaux de Montréal, où ils ne sont acceptés que dans les boutiques spécialisées pour animaux.

La demande est en croissance, selon le directeur principal expérience client au Quartier DIX30, Patrice Perron.

Dès qu’on a commencé à en parler un peu, des groupes se sont formés, des groupes Facebook qui se déplaçaient, qui venaient passer du temps sur le site. Patrice Perron, directeur principal expérience client du Quartier DIX30

Un homme porte son chien dans un sac à dos.

Claude Lamoureux se réjouit que de plus en plus de commerces autorisent la présence des chiens.

PHOTO : RADIO-CANADA

À ce jour, le Quartier Dix30 confirme n’avoir reçu que deux plaintes.

Une pour une personne qui disait qu’elle avait peur des chiens […], puis une autre qui a soulevé le problème des allergies, indique Patrice Perron.

Un service d’accompagnement pour les personnes phobiques est toutefois offert par le centre commercial, souligne-t-il.

Les allergies?

L’immunologue du Centre hospitalier de l’Université de Montréal (CHUM), Guy Delespesse, confirme que le chien présente des molécules allergènes.

Le docteur Delespesse explique que les allergies aux chiens peuvent être vraiment inconfortables, […] mais que ce n’est pas une maladie.

En tant qu’allergologue, je n’ai pas vu de réaction allergique sévère aux chiens.  Guy Delespesse, immunologue au CHUM

Le médecin souligne la présence d’autres allergènes dans les magasins comme les inhalants, les odeurs, parfums, ventilation…, donne-t-il pour exemple.

Quel comportement adopter?

L’animateur de l’émission On s’aime en chien à Radio-Canada, Jean Lessard, salue l’ouverture des propriétaires d’entreprises envers les chiens.

L'éducateur canin Jean Lessard avec un chien saucisse.

L’éducateur canin Jean Lessard.

PHOTO : RADIO-CANADA

Aujourd’hui, tout le monde est super occupé, alors faire les courses et sortir le chien, si on pouvait combiner ça, ce serait génial! Jean Lessard, éducateur canin

Il rappelle cependant que les maîtres doivent prendre leurs responsabilités en s’assurant qu’ils ont des chiens qui peuvent aller dans les commerces. Plus les chiens seront socialisés pour ce genre d’activité, moins il y aura de problèmes, explique-t-il.

L’éducateur canin suggère aux gens de laisser tranquilles les chiens rencontrés dans les allées.

On ne va pas vers les chiens comme ça, comme on n’irait pas vers les enfants qu’on ne connaît pas. Jean Lessard, éducateur canin

Pour Jean Lessard, la présence des chiens dans l’espace public est essentielle pour l’humain.

 Les chiens nous rendent plus humains. Sans les animaux, le monde ne serait pas humain.

https://ici.radio-canada.ca/

Gaspillage alimentaire: Montréal prête à imposer des amendes aux entreprises


A Montréal, IGA, Metro et Provigo donnent leurs denrées non vendu à Moisson Montréal pour quelle soit distribué aux moins nantis. Pourtant, le gaspillage alimentaire demeure un grand problème. La ville prévoit un règlement pour interdire le gaspillage alimentaire aux autres épiceries, restaurants, écoles, hôpital et autres industries. Si cela est bien gérer, je trouve que c’est une obligation qu’il devrait avoir partout au monde. Il n’y a aucune raison que l’on gaspille autant et que des gens continue de ne pas manger à leur faim.
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Gaspillage alimentaire: Montréal prête à imposer des amendes aux entreprises

Photo: Courtoisie | Montreal Dumpster Diving

La Ville de Montréal pourrait imposer des amendes aux épiceries et aux institutions afin de lutter contre le gaspillage alimentaire. Les élus entendent toutefois prioriser la collaboration.

La Ville présentera jeudi son Plan de gestion des matières résiduelles 2020-2022. Une des mesures phares de ce plan consiste à l’adoption d’un règlement visant à interdire aux géants de l’alimentation de jeter à la poubelle des produits qui sont encore comestibles. Une mesure qui vise à contrer le gaspillage alimentaire tout en redistribuant ces denrées aux Montréalais dans le besoin.

Le règlement viserait les épiceries et les restaurants, mais aussi les hôpitaux et les écoles, entre autres.

«On a encore des enfants qui se rendent le ventre vide à l’école le matin. Ça n’a aucun sens», a déploré mercredi la responsable de la transition écologique à la Ville, Laurence Lavigne Lalonde.

Cette dernière a donné un point de presse jeudi pour donner quelques détails sur ce plan.

Actuellement, les matières résiduelles représentent 4% des émissions des émissions de gaz à effet de serre de la métropole. La majeure partie des émissions associées à ce secteur sont reliées à l’enfouissement, selon des données de la Ville.

«Les produits alimentaires, c’est une part importante de ce qu’on retrouve dans les déchets qu’on envoie à l’enfouissement.» -Laurence Lavigne Lalonde

Partenariats

Depuis 2013, la banque alimentaire Moisson Montréal récupère les invendus dans une centaine d’épiceries de la métropole. Celles-ci appartiennent aux chaînes IGA, Metro et Provigo.

«Ces trois grandes bannières nous ont donné un million de kilogrammes de denrées qui seraient allées autrement dans l’enfouissement, seulement l’an dernier», a souligné à Métro le directeur général de Moisson Montréal, Richard Daneau. 

L’objectif de la Ville est donc d’inclure l’ensemble des épiceries dans des partenariats avec des banques alimentaires ou de petits organismes locaux. Elle entend aussi élargir cette initiative aux écoles, aux hôpitaux et aux restaurants, entre autres.

«Et par la suite, s’il reste des denrées, on veut que ça soit composté en non enfoui. Parce que comme ça, ça peut être valorisé», a ajouté Mme Lavigne Lalonde.

La Ville espère ainsi s’approcher de la cible qu’elle s’est fixée de rendre la métropole zéro déchet d’ici 2030.

Amendes

Des amendes seront par ailleurs prévues pour les entreprises et les institutions qui refuseront de mettre en place les mesures nécessaires pour contrer le gaspillage alimentaire.

«Nous allons les accompagner [les entreprises], mais en même temps, je m’attends à des résultats», a laissé tomber la mairesse de Montréal, Valérie Plante.

Le nouveau plan de gestion des matières résiduelles de la Ville fera prochainement l’objet d’une consultation publique. Une consultation portant spécifiquement sur le gaspillage alimentaire pourrait par ailleurs s’ajouter à celle-ci. Une pétition à cet effet a d’ailleurs recueilli plus de 10 300 signatures en moins de deux mois.

Enjeu financier

Le directeur général de Moisson Montréal voit d’«un bon oeil» le plan proposé par la Ville. Il soulève néanmoins que l’élargissement du plan de récupération des denrées alimentaires aux restaurants et aux institutions comme les écoles et les hôpitaux risque de soulever des défis.

«L’enjeu financier va rapidement arriver parce que les frais associés au transport [des denrées], c’est une grosse partie de nos dépenses», a indiqué M. Daneau. 

La banque alimentaire dispose actuellement d’un laboratoire qui analyse les denrées alimentaires qu’elle reçoit avant de les redistribuer à quelque 250 organismes de l’agglomération. Cela permet de s’assurer que les produits reçus ne contiennent pas de bactéries nuisibles à la santé.

«Il y a tout un enjeu de salubrité qu’il faudra valider dans le détail. Ce n’est pas parce que ce sont des gens en situation de pauvreté qu’il faut tourner les coins ronds en matière de salubrité et d’hygiène», a noté M. Daneau.

https://journalmetro.com/

Ce restau­rant chinois a remplacé les serveurs par des spirales en métal


Pour ma part, je n’aime pas vraiment. Moi, je vois dans ce genre d’équipement, des emplois perdus.

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Ce restau­rant chinois a remplacé les serveurs par des spirales en métal

 

Le restau­rant Space­lab, à Shenz­hen en Chine, propose un service digne du self-service de l’USS Enter­prise, rapporte Thats­mag.

Les plats, comman­dés sur tablette ou smart­phone, sont servis aux client·es à travers des spirales qui descendent du plafond jusque sur les tables.

Le concept futu­riste a été inventé en Alle­magne par Michael Mack en 2007 avec ses restau­rants Roller­coas­ter. La chaîne de fast-food avant-gardiste est dispo­nible en Europe et au Moyen-Orient. Si l’ex­pé­rience futu­riste vous tente, le restau­rant le plus proche est situé à Europa Park, en Alle­magne.

https://www.ulyces.co/

Les restaurants sont devenus bruyants (et ce n’est pas uniquement la faute des clients)


Même au Québec, il y a des restaurants trop bruyants, on entend un fort bourdonnement des gens qui discutent, le bruit de la vaisselle, des chariots. Je déteste cela. Il y a des causes qui peuvent être la musique diffusée, l’architecture d’un restaurant …Cela donne l’mpression d’être dans une grande cafétéria
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Les restaurants sont devenus bruyants (et ce n’est pas uniquement la faute des clients)

 

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«J’arrive pas à t’entendre» | Nathan Dumlao via Unsplash License by

Repéré par Aurélie Rodrigue

Repéré par Aurélie Rodrigue

Le bruit arrive en haut du classement des plaintes de la clientèle

Ça nous est tous déjà arrivé au moins une fois: se retrouver dans un restaurant et ne pas pouvoir commander un plat ou un verre sans avoir à lever la voix. Les «Quoi?», «Je t’entend pas» et «Tu peux répéter» sont aussi fréquents que les «Je peux avoir l’addition, s’il vous plaît?».

«À peine entrée au Line Hotel –une église centenaire réaménagée en un espace trendy qui abrite bar à cocktails, cafés et restaurants– j’ai voulu en ressortir. Mes oreilles ont été envahies par un brouhaha assourdissant. Après une demi-heure éprouvante à essayer de parler avec mon mari dans ce vacarme, on a fini par partir. En partant, j’ai essayé de me plaindre de l’acoustique à un des réceptionnistes. Je ne pense pas qu’il m’ait entendue», écrit Julia Belluz, spécialiste santé à Vox.

En 2016 aux États-Unis, le rapport d’enquête de Consumer Reports sur les restaurants révèlent que le bruit arrive en haut du classement des plaintes clients –devant l’attente, le service et la nourriture.

Vox explique que les restaurants bruyants sont une réelle menace pour la santé publique –surtout pour celles et ceux qui y travaillent et qui les fréquentent de façon régulière. Le niveau sonore de ces établissements peut atteindre jusqu’à quatre-vingt décibels –ce qui provoque une perte d’audition au fil du temps.

«C’est quelque chose qu’on peut éviter mais malheureusement les dommages auditifs sont irréversibles», indique Gail Richard, présidente de l’American Speech-Language-Hearing Association.

Pourquoi les restaurants sont-ils devenus aussi bruyants? Et comment faire pour arrêter de subir ces nuisances sonores?

Les bruit est intentionnel

Comme l’explique Vox, le phénomène a commencé à prendre de l’ampleur vers la fin des années 1990 quand le chef Mario Batali a commencé à diffuser de la musique dans la salle de son restaurant.

«Les autres chefs ont fini par l’imiter et maintenant on est emprisonné dans un mur de son», souligne Adam Platt, dans un article pour le New York magazine.

Tom Sietsema, critique pour le Washington Post, explique que le bruit permet de créer une énergie et une effervescence dans les restaurants:

«Personne veut dîner dans un mausolée».

Les restaurants silencieux peuvent être tout aussi peu accueillants.

Pendant ses recherches, Julia Belluz a découvert que le confort acoustique a un prix: des panneaux acoustiques pour un plafond peuvent coûter plus de 50.000 dollars. Les restaurateurs ont tendance à prioriser d’autres aspects comme le design de leur restaurant.

Les modes en matière d’esthétisme ont changé la donne

Les changements de design des restaurants –hauts plafonds, bâtiments industriels, minimalisme– en ont fait des «pièges à bruit»:

«Les éléments décoratifs qui jadis absorbaient le son ne sont plus à la mode», explique Julia Belluz.

Les anciennes églises transformées en restaurants, comme le Line Hotel, ont été créées pour diffuser le son et non l’absorber –un casse-tête pour les designers.

«Je travaille aux États-Unis mais je suis canadienne et je suis toujours étonnée par le volume sonore des Américains. Un soir, dans une pizzeria à Washington, j’ai essayé de rivaliser avec ma voisine de table. J’avais l’impression de beugler en parlant avec mes amis», raconte Julia Belluz.

http://www.slate.fr/

Une femme a commandé un repas à 600 $ pour 1 personne dans l’un des restaurants les plus dispendieux, voici ce qu’elle a reçu


Payer 600 dollars US pour un seul repas pour une personne me parait vraiment exagéré, il y a plusieurs services pour satisfaire le palais, mais c’est vraiment un luxe que même si j’avais les moyens, ce n’est pas un restaurant que je voudrais tester
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Une femme a commandé un repas à 600 $ pour 1 personne dans l’un des restaurants les plus dispendieux, voici ce qu’elle a reçu

 

Vous êtes-vous déjà demandé à quoi pourrait ressembler un repas à 600 $ US dans l’un des restaurants les plus dispendieux au monde ?

Eh bien, l’utilisatrice Hoptail du site Imgur vous permet aujourd’hui de le découvrir grâce aux photos et aux descriptions qu’elle a publiées après avoir savouré un repas dans un restaurant nommé Saison à San Francisco.

« C’est le meilleur thé que j’ai bu de toute ma vie. »

Une femme a commandé un repas à 600 $ pour 1 personne dans l’un des restaurants les plus dispendieux, voici ce qu’elle a reçu

« Voici des pousses d’épinards, des algues rôties cuites dans du beurre clarifié, et du caviar. »

Une femme a commandé un repas à 600 $ pour 1 personne dans l’un des restaurants les plus dispendieux, voici ce qu’elle a reçu

« Du turbot. Le sashimi était incroyable. »

Une femme a commandé un repas à 600 $ pour 1 personne dans l’un des restaurants les plus dispendieux, voici ce qu’elle a reçu

« Du panope. Si vous ne connaissez pas, alors faites une recherche sur Google. Ce n’était pas très bon. »

Une femme a commandé un repas à 600 $ pour 1 personne dans l’un des restaurants les plus dispendieux, voici ce qu’elle a reçu

« Ceci était, sans aucun doute, mon plat préféré. Des oursins de mer sur du pain grillé badigeonné d’une sauce faite avec la croute du pain. »

Une femme a commandé un repas à 600 $ pour 1 personne dans l’un des restaurants les plus dispendieux, voici ce qu’elle a reçu

« Ici, on retrouve des radis tranchés avec du beurre clarifié. »

Une femme a commandé un repas à 600 $ pour 1 personne dans l’un des restaurants les plus dispendieux, voici ce qu’elle a reçu

« En dessous, il y avait une réduction de vinaigre de radis et des cubes de radis mariné. »

Une femme a commandé un repas à 600 $ pour 1 personne dans l’un des restaurants les plus dispendieux, voici ce qu’elle a reçu

« À gauche, nous avons de la citrouille rôtie recouverte de flocons de poulpe. »

Une femme a commandé un repas à 600 $ pour 1 personne dans l’un des restaurants les plus dispendieux, voici ce qu’elle a reçu

« Ici, nous avons de la citrouille rôtie lentement sur un feu de bois avec une crème de babeurre. La caramélisation était incroyable. »

Une femme a commandé un repas à 600 $ pour 1 personne dans l’un des restaurants les plus dispendieux, voici ce qu’elle a reçu

« Je n’ai pas vraiment aimé ce plat-ci. C’est une purée de citrouille pressée à froid dans de l’huile de graines de citrouille. C’était bien trop salé. »

Une femme a commandé un repas à 600 $ pour 1 personne dans l’un des restaurants les plus dispendieux, voici ce qu’elle a reçu

« C’est de l’antilope. Ce plat était accompagné de radicchio farci, une salade d’herbes, de délicieux biscuits et un beurre au miel qui goûtait les crêpes. »

Une femme a commandé un repas à 600 $ pour 1 personne dans l’un des restaurants les plus dispendieux, voici ce qu’elle a reçu

« Il était très bien assaisonné et était cuit à la perfection. »

Une femme a commandé un repas à 600 $ pour 1 personne dans l’un des restaurants les plus dispendieux, voici ce qu’elle a reçu

« De l’os d’antilope avec de la sauge. C’était délicieux. »

Une femme a commandé un repas à 600 $ pour 1 personne dans l’un des restaurants les plus dispendieux, voici ce qu’elle a reçu

« Voici de la glace fumée. Je n’ai aucune idée de comment ils arrivent à faire cela, mais c’était incroyable. »

Une femme a commandé un repas à 600 $ pour 1 personne dans l’un des restaurants les plus dispendieux, voici ce qu’elle a reçu

« Elle était accompagnée de noix, de cacahuètes, de graines de cacao et de pignons de pin. »

Une femme a commandé un repas à 600 $ pour 1 personne dans l’un des restaurants les plus dispendieux, voici ce qu’elle a reçu

« Le dessert. Miam ! La meilleure partie. »

Une femme a commandé un repas à 600 $ pour 1 personne dans l’un des restaurants les plus dispendieux, voici ce qu’elle a reçu

« Une glace au babeurre à l’orange. »

Une femme a commandé un repas à 600 $ pour 1 personne dans l’un des restaurants les plus dispendieux, voici ce qu’elle a reçu

« C’était très crémeux et il y avait des morceaux d’oranges confits au fond. »

Une femme a commandé un repas à 600 $ pour 1 personne dans l’un des restaurants les plus dispendieux, voici ce qu’elle a reçu

« Du sorbet aux bleuets sur des bleuets macérés dans le brandy. »

Une femme a commandé un repas à 600 $ pour 1 personne dans l’un des restaurants les plus dispendieux, voici ce qu’elle a reçu

« La tablette de chocolat « Saison ». C’est un plat qui ne se trouve pas sur le menu que vous pouvez obtenir en prime si vous devenez ami avec le serveur. Elle était faite de chocolat noir, de caramel salé au centre et était recouverte d’une feuille d’or de 24 K. »

Une femme a commandé un repas à 600 $ pour 1 personne dans l’un des restaurants les plus dispendieux, voici ce qu’elle a reçu

« Honnêtement, c’était une expérience inoubliable qui, pour moi, valait son pesant d’or. »

https://www.ipnoze.com/

Carcasse d’animal dans une salade : un Normandin de Québec poursuivi


Misère !! Comment peut-on ne pas voir une carcasse d’animal gros comme un poing avant de le servir à un client ? Une salade, c’est tellement simple et rapide à faire, Pourquoi qu’il faut avoir recours au préemballage dans un restaurant ?
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Carcasse d’animal dans une salade : un Normandin de Québec poursuivi

 

Le restaurant Normandin de la rue Bouvier à Québec.

Une cliente affirme avoir trouvé une carcasse d’animal dans son plat commandé au restaurant Normandin situé rue Bouvier. Photo : Radio-Canada

Une cliente d’un restaurant Normandin de Québec qui affirme avoir trouvé une carcasse d’animal dans sa salade intente une poursuite de près de 200 000 $.

Un texte d’Alain Rochefort

Le 23 avril 2016, Pierrette Caouette, de Terrebonne, aurait découvert une masse brune d’une dizaine de centimètres dans sa salade, au restaurant Normandin de la rue Bouvier. Traumatisée, choquée et prise de vomissements, Mme Caouette a contacté la police, qui a inspecté le plat ainsi que le corps étranger.

« Je voulais voir ce que j’avais mangé, parce que ça me semblait… Souris, rat, oiseau : c’était vraiment un mélange. […] C’est quelque chose qui m’a énormément traumatisée », raconte avec difficulté Pierrette Caouette.

Selon la poursuite, une analyse poussée du ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec (MAPAQ) a confirmé la présence dans la salade d’une carcasse animale détériorée ainsi que d’une contamination fécale par un taux élevé de bactérie E. coli.

« Je l’ai recrachée, je l’ai vomie, et c’est en fouillant dans la salade que j’ai levé un morceau. C’était la grandeur de ma main », se souvient la plaignante.

Mme Caouette a par la suite été transportée à l’hôpital pour un traitement d’urgence et a été contrainte de se faire vacciner contre le tétanos à quatre reprises.


Images de la carcasse d'animal qui a été retrouvée dans le plat de la plaignante.

Le MAPAQ a effectué une analyse du corps étranger.   Photo : Ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation


Graves répercussions

L’incident a eu de graves répercussions sur la santé émotionnelle et psychologique de la dame de 55 ans, qui souffre d’un stress post-traumatique, indique son avocate, Me Martina Bakula.

« Depuis l’incident, Mme Caouette ressent une anxiété relative à l`alimentation, des nausées, une perte d’appétit et même une peur de manger dans les restaurants. En conséquence, elle est également obligée de consulter un psychologue. »

L’avocate critique également l’attitude du personnel de l’établissement devant la détresse de sa cliente.

Elle a fait plus de trois demandes au gérant du restaurant afin de voir ce qu’elle avait mangé et donc de voir son plat, lesquelles demandes ont été catégoriquement refusées par le gérant. Me Martina Bakula, avocate de Mme Caouette

Mme Caouette réclame donc un montant 192 415 $ à Le Bouvier Inc, la société mère du restaurant Normandin, qui comprend des dommages pour perte de salaire, traitements psychologiques, souffrances, troubles et inconvénients.

Normandin se défend

Le vice-président ventes et marketing des restaurants Normandin, Jean Julien, n’a pas commenté les allégations de la plaignante. Il assure toutefois que l’excellence de la qualité de la nourriture est une priorité chez Normandin.

« Nous servons 8,5 millions de clients annuellement. Ça fait 48 ans que nous sommes en affaires et nous sommes extrêmement soucieux [de la qualité]. C’est un cas exceptionnel. »

M. Julien affirme également que la salade consommée par Mme Caouette provient d’un fournisseur de la Californie.

« Ce sont des sacs préemballés », explique-t-il.

L’analyse du MAPAQ a d’ailleurs confirmé qu’il n’y avait aucune infestation de vermine dans le restaurant visé par la poursuite.

http://ici.radio-canada.ca

Un homard de 132 ans relâché dans l’océan après vingt ans dans l’aquarium d’un restaurant


Un homard qui malgré sa captivité dans un aquarium de restaurant depuis plusieurs années ne finira pas sa vie dans une assiette. Il a pu retrouver sa liberté, sans barrière vitrée a regarder des congénères se faire bouffer
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Un homard de 132 ans relâché dans l’océan après vingt ans dans l’aquarium d’un restaurant

 

Lobster | Tatiana Vdb via Flickr CC License by

Lobster | Tatiana Vdb via Flickr CC License by

Repéré par Grégor Brandy

Repéré sur Atlas Obscura, The New York Post

«Libéré, délivré. C’est décidé, je m’en vais!»

 

Louie est un homard, il a 132 ans et il a passé les vingt dernières de sa vie dans l’aquarium d’un restaurant. Au plus grand bonheur de son restaurateur, il ne finira pas dans une casserole. Atlas Obscura raconte que le jeune Louie vient de recevoir une grâce officielle dans la ville d’Hempstead (près de New York), et qu’il a ensuite pu être relâché dans l’océan Atlantique.

Dans le New York Post, on apprend qu’une semaine avant, un client du restaurant a offert 1.000 dollars à son propriétaire, Butch Yamali, pour ramener le homard d’une dizaine de kilos chez lui à l’occasion de la fête des pères et le servir au cours du repas.

«Il a essayé de négocier. Ç’aurait été un sacré festin. Mais je ne voulais pas le vendre. C’est comme un animal de compagnie maintenant. Je ne pouvais pas le vendre.»

Dans les heures qui ont suivi, Butch Yamali a accordé une amnistie au crustacé et invité plusieurs responsables locaux à la cérémonie. Le superviseur de la ville, Anthony Santino, a d’ailleurs lui aussi décrété une grâce pour l’animal.

«Louie a peut-être fait face à un peu de beurre et à l’assiette d’un amateur de fruits de mer, mais aujourd’hui, nous sommes réunis pour rendre à Louie, une vie meilleure, une vie plus humide.»

«Il ira bien»

 

Après ces mots, Louie a été embarqué dans un hors-bord et relâché en pleine mer. Si certains s’inquiètent du sort qui risque de lui être réservé après une vingtaine d’années de captivité, le directeur de l’institut pour les homards du Maine a tenu à rassurer tout le monde.

«Il ira bien. Il n’y a pas beaucoup de prédateurs qui veulent manger un gros homard comme ça. Avec un peu de chance, il trouvera une partenaire et vivra heureux jusqu’à la fin des temps.»

Atlas Obscura précise que ce n’est pas la première fois qu’un vieux homard fini par retrouver la liberté.

«L’année dernière déjà, le même restaurant avait accordé une grâce similaire à un homard de 130 ans du nom de Larry. Peut-être que les anciens prisonniers pourront se retrouver dans l’océan, maintenant qu’ils sont libres.»

http://www.slate.fr

Les serveurs de ce restaurant sont atteints de la maladie d’Alzheimer, attendez-vous donc à des surprises dans l’assiette !


C’était un restaurant ouvert que pour quelques jours, mais le succès a donné l’envie de l’ouvrir à long terme. Cela est intéressant d’accepter que des personnes dont la mémoire s’atténue de plus en plus puissent travailler sans avoir peur des erreurs qu’ils peuvent faire. Je crois que cela donne une belle valorisation pour ceux atteinte de la maladie d’Alzheimer
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Les serveurs de ce restaurant sont atteints de la maladie d’Alzheimer, attendez-vous donc à des surprises dans l’assiette !

Ce restaurant d’un genre un peu particulier se situe dans la baie de Tokyo, au Japon. Et la raison pour laquelle il est si original est très simple. Tous les serveurs qui travaillent dans ce lieu sont atteints de la maladie d’Alzheimer. Si bien que vous n’êtes pas sûr de recevoir le plat que vous aviez commandé à la base. Mais c’est ce qui rend cette expérience vraiment unique et géniale. L’endroit a été baptisé le « Restaurant aux nombreuses erreurs de commande », en référence au conte pour enfants « Un restaurant aux nombreuses commandes », du poète Kenji Miyazawa. Et en Japonais, ça nous donne donc : Chūmon no Ōi Ryōriten.

Faciliter leur insertion dans la vie active

Si vous trouvez qu’il n’y a rien de plus pénible qu’un serveur qui se trompe dans votre commande, vous avez raison. Mais lorsque vous savez dans quel genre d’établissement vous mettez les pieds, ce n’est plus pareil. Vous percevez alors les choses différemment. Ce restaurant est en fait un lieu éphémère, ouvert du 2 au 4 juin, dans le but de faciliter l’insertion des personnes malades dans la vie professionnelle. Le concept a tellement bien fonctionné que le restaurant ouvrira à nouveau ses portes le 21 septembre prochain.

Restaurant aux nombreuses erreurs de commande

Mizuho Kudo

restaurant ephemere tokyo alzheimer

crédit : news.yahoo.co

Le café des sourires, un concept similaire

Peut-être vous en souvenez-vous, il y a quelques semaines, nous vous parlions du Café des sourires. Il s’agissait d’un café solidaire au Nicaragua, dont le staff était essentiellement composé de personnes sourdes et muettes. Il fallait donc passer commande en langage des signes et… avec un sourire !

http://www.letribunaldunet.fr

Un restaurant rend à des clients un pourboire de 70 $ laissé par erreur


L’honnêteté existe encore même pour entreprise. C’est vraiment exceptionnel de rechercher un client pour remettre un montant d’argent qui a été donné en pourboire qui était probablement une erreur vue qu’il était plus haut que le repas commandé
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Un restaurant rend à des clients un pourboire de 70 $ laissé par erreur

 

TIP RESTAURANT

RCQC  |  Par Radio-Canada.ca

Les propriétaires du restaurant Claudine’s Eatery, à Fredericton, au Nouveau-Brunswick, ont retrouvé et remboursé des clients qui avaient laissé par erreur un pourboire de 70 $.

Les clients ont dégusté en fin de semaine un plat de foie avec des oignons. Ils ont payé l’addition de 55 $, mais au lieu de laisser un pourboire d’environ 7 $, ils en ont laissé un de 70 $.

Claudine Cyr, copropriétaire du restaurant, explique qu’elle s’est rendu compte de l’erreur le lendemain, et qu’elle ne voulait pas en profiter.

« Je n’aurais jamais pu faire ça. C’était une erreur. Je voulais être sûre qu’on trouve la personne. […] Un pourboire de 70 $ pour 55 $, non, ça n’avait pas de sens », dit-elle en entrevue à l’émission radiophonique Le réveil Nouveau-Brunswick, d’ICI Acadie.

Mme Cyr précise que sa fille a lancé un appel sur le réseau social Facebook dans l’espoir de retrouver les clients. La démarche a porté des fruits.

« Le monsieur et la madame ont vu ça et ils nous ont fait appel. On leur a donné leur argent [..] Quand tu es [âgé] ou quand tu es jeune, 70 $ c’est beaucoup d’argent. Ils étaient vraiment contents qu’on les avait contactés », affirme Mme Cyr.

Les clients ont récupéré leur argent et laissé un autre pourboire en promettant de retourner au restaurant.

« Il faut être honnête dans la vie », conclut Claudine Cyr.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Au restaurant, ne commandez surtout pas ces plats


La dernière fois qu’on m’a invité au restaurant, j’ai vu du poisson cru pour mettre dans une salade, j’ai été tenté, mais je n’ai pas osé surtout que c’était dans un buffet et beaucoup de monde tourne autour des tables d’aliments. Le tartare et autre aliments crus, je le mange que chez ma fille. Je sais que mon gendre le fait bien et c’est bon
Nuage

 

Au restaurant, ne commandez surtout pas ces plats

 

Si vous allez au restaurant, ne commandez surtout pas ces plats.Capture d’écran Gentside

LE POISSON QUAND ON EST LOIN DE LA MER

Ça paraît logique et pourtant, on est vite tenté par un filet ou quelques fruits de mer. Cependant, c’est plutôt risqué quand on n’a pas la mer à côté. Dans ces cas là, autant miser sur une pièce de viande.

LE MOELLEUX AU CHOCOLAT

C’est un classique des desserts français mais malheureusement, il est rarement fait sur place. Vous avez plus de chance de tomber sur du surgelé… Autant vous en préparer chez vous pour être sûr d’avoir du fait maison.

LE TARTARE OU CARPACCIO

Quand on choisit de commander de la viande crue, il faut être parfaitement sûr d’être dans un établissement qui sert des produits frais. Sinon, les conséquences peuvent être assez dramatiques.

LE CONFIT DE CANARD

Nous nous faisons souvent arnaquer en commandant un confit de canard. Certains restaurateurs peu scrupuleux préfèrent les commander en gros à des chaînes plutôt que de les cuisiner pour nous.

LA CHANTILLY EN SUPPLÉMENT

Au moment du dessert, on peut avoir envie d’ajouter une touche de gourmandise en plus à  son assiette. Mais réfléchissez bien avant de vous lancer, vous allez payer ce supplément assez cher et il y a fort à parier que la chantilly sortira d’une bombe industrielle.

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