Ceci est mon dernier billet !!


Ceci est mon dernier billet sur WordPress !!


C’est depuis quelques semaines que j’y pense. Avant j’y pensait de temps a autres, mais depuis  fin novembre j’y pense à tous les jours.

Cela fait près de 10 ans que je suis sur WordPress et j’ai eu plus de 7 millions de visites. (le compteur a été mis plus tard sur mon blog donc j’en ai beaucoup plus) Ma routine ne change pas beaucoup pour essayer d’avoir au moins 6 billets par jours. Je pourrais toujours baisser le nombre, mais s’il y a des articles qui m’intéresse, je voudrais les mettre aussi et donc encore assis à fixer l’ordinateur Ce qui ne me tente pas vraiment.

Alors toute la journée a été une mûre réflexion en attendant de rentrer chez moi. Je quitte définitivement WordPress

Alors comme toute bonne chose à une fin …et que l’actualité m’intéresse tout autant, je quitte wordpress et je pourrais toujours mettre mon grain de sel sur Facebook

Bonne continuité à vous tous et mille mercis de votre présence et encouragements


P.S, si vous me rejoignez sur Facebook, signalez dans votre demande votre pseudo sur wordpress SVP

Nuage alias Rachel

Le Saviez-Vous ► On peut entendre pousser la rhubarbe


La rhubarbe cultivée pousse tellement rapidement que si on est patient et à l’écoute, on peut, parait-il l’entendre pousser.
Nuage


On peut entendre pousser la

rhubarbe

La rhubarbe à croissance ultra rapide produit des sons incroyablement étranges

La «rhubarbe forcée» est une rhubarbe cultivée jusqu’à maturité dans l’obscurité totale – au cours de laquelle elle pousse si rapidement qu’elle produit des sons incroyablement frais et étranges.

Si vous écoutez cette vidéo ci-dessus, vous en aurez plein les oreilles: Rapide clique et saute comme si quelqu’un tapait irrégulièrement quelques bâtons humides ensemble.

La méthode de culture de la rhubarbe forcée remonte au début des années 1800 et se poursuit de la même manière aujourd’hui. Les agriculteurs laissent pousser la rhubarbe en plein air pendant deux ans, pendant que les racines collectent et stockent les calories. Ensuite, les plantes sont transplantées dans des hangars de croissance sans lumière vers novembre, où elles continuent de pousser – au chaud, mais hors saison et dans l’obscurité. La rhubarbe pousse sans photosynthèse, ce qui rend normalement la plante dure et fibreuse.

«Vous obtenez beaucoup plus tendre, moins de rhubarbe acidulée.(…) La rhubarbe extérieure est assez filandreuse. Lorsque vous cuisinez avec [de la rhubarbe forcée], vous utilisez environ 40% de sucre en moins », explique French

Le processus se traduit également par des tiges rouges profondes, sans l’ombrage vert normal.

À mesure que les tiges éclatent de leurs bourgeons initiaux, elles créent un bruit de claquement distinct et, à mesure qu’elles grossissent, les tiges se frottent et créent des grincements

«Il croît de plus d’un pouce par jour. Ce n’est pas comme votre champ ou votre jardin où les choses s’écartent de deux à trois pieds », explique French. « Chaque racine est très serrée. »

N.B Google a traduit cette page .. (nuage)

https://boingboing.net

Le Saviez-Vous ► Amnésie antérograde


C’est une situation vraiment étrange, une jeune adolescente souffre d’une amnésie antérograde, sa mémoire s’efface aux 2 heures pour revenir toujours à la même date, le jour de son accident. Tout ce qui vient avant ce moment, elle a ses souvenirs, mais ce qui vient après, elle doit prendre des notes pour se remettre à jour.
Nuage


Amnésie antérograde

Riley Horner, 16 ans, souffre d'un syndrome rare Riley Horner, 16 ans, souffre d’un syndrome rare[Capture écran YouTube]


D’après psychomedia :  Une amnésie antérograde est une perte de la mémoire des faits récents survenus après le début de la cause de cette perte

Fait vécu : Elle se réveille tous les jours en croyant qu’on est le 11 juin 2019

Une histoire qui pourrait inspirer une suite du film «Memento» à Christopher Nolan. Riley Horner, âgée de 16 ans, souffre de pertes de mémoire à court terme depuis un choc à la tête. Résultat, toutes les deux heures, ses souvenirs s’effacent.

Pour la jeune américaine, tous les matins sont donc un 11 juin depuis son accident. Elle s’était alors pris un coup par un étudiant qui faisait du «crowd surfing» (une pratique qui consiste à être porté par une foule lors d’une fête ou d’un concert). Depuis, elle a dû mettre en place tout un processus afin de ne pas être complètement perdue. 

Elle prend donc tout ce qu’elle peut en note, et a réglé son téléphone afin qu’il sonne toutes les deux heures. Chaque fois que l’alarme s’enclenche, Riley reprend ses notes afin d’apprendre tout ce qu’elle vient d’oublier. 

Un réel handicap pour cette sportive.

Lors d’une interview donnée à la chaîne locale WQAD 8, sa mère a expliqué que son oncle «est mort la semaine dernière et elle n’en a probablement aucune idée. Nous lui disons tous les jours mais elle ne s’en rappelle pas». 

Ces cas, appelés amnésies antérogrades, sont assez rares et sont mal connus. D’ailleurs, après plus d’une dizaine de rendez-vous et d’examens médicaux dans plusieurs hôpitaux, les médecins ne savent pas expliquer pourquoi l’étudiante est plongée dans cet état. Ils ne savent pas non plus si elle en sortira un jour. Une version réelle et bien moins amusante du film culte «Un jour sans fin».

https://www.cnews.fr

Comment une petite île des Caraïbes a ressuscité en éliminant les espèces qui la ravageaient


Bien que ce soit à petite échelle, il est possible de revenir en arrière. Une île des Petites Antilles a pu retrouver sa santé d’antan. Elle était considéré comme quasi-stérile, après que l’humain a pris toutes ses richesses et laissant derrière lui des rats et des chèvres. La dératisation des rats et le déménagement des chèvres ont pu redonner un regain de vie à la faune et la flore en pleine santé.
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Comment une petite île des Caraïbes a ressuscité en éliminant les espèces qui la ravageaient


Comment une petite île des Caraïbes a ressuscité en éliminant les espèces qui la ravageaientLa petite île de Redonda a connu une transformation spectaculaire après la mise en place d’un programme de restauration.© Invertzoo/CC BY-SA 3.0

Par Emeline Férard –

En 2016, des organisations ont mis en place un vaste programme pour éliminer les chèvres et les rats qui ravageaient la biodiversité de Redonda, une île des Petites Antilles. Quatre ans plus tard, la faune et la flore ont montré un regain exceptionnellement rapide.

Située au large du continent américain, Redonda est un petit paradis isolé. Une île volcanique perchée au milieu des eaux bleutées de l’océan Atlantique qui laissent à voir de magnifiques paysages. Ses falaises escarpées sont recouvertes d’une végétation luxuriante qui abrite de nombreuses espèces parmi lesquelles des lézards ou des geckos qui n’existent nulle part ailleurs.

Le rocher d’à peine 1,5 kilomètre carré constitue également un refuge précieux pour de multiples espèces d’oiseaux marins. Pourtant, il y a quatre ans, Redonda était loin d’être l’île paradisiaque qu’elle semble être aujourd’hui. Les habitants d’Antigua-et-Barbuda, état dont elle fait partie, la considéraient même comme un territoire mourant après avoir été exploité pendant plusieurs décennies pour les ressources qu’elle abritait.

Aux prises avec les espèces invasives

Cette exploitation a cessé au début du XXe siècle. Depuis, l’île des Caraïbes peu accessible restait inhabitée, ou presque. Les humains ont en effet laissé derrière eux des spécimens des plus dérangeants : des rats voraces et des chèvres affamées qui ont drastiquement modifié le paysage de Redonda. En moins d’un siècle, il est passé d’un environnement boisé à un décor déserté digne de la surface lunaire.

En 2016, il y avait tellement peu d’arbres sur le territoire que les chèvres elles-mêmes se mettaient à manquer de nourriture et que le sol était devenu instable, expliquait l’organisation Fauna & Flora International au site Mongabay. Une situation qui a poussé le gouvernement d’Antigua-et-Barbuda à s’associer à plusieurs ONG pour mettre en place un ambitieux programme de restauration.

Objectif : éliminer les chèvres et les rats de l’île pour permettre à ses espèces natives de prospérer à nouveau. Lors du lancement du projet, les populations étaient estimées à plus de 5.000 individus pour les rongeurs (Rattus rattus) et environ 60 individus pour les chèvres (Capra hircus). Si un rongicide a permis d’éradiquer les premiers, la tâche s’est avérée plus délicate pour les secondes.

Deux mois après le début du projet, les volontaires avaient réussi à capturer à peine un animal.

« Ces chèvres étaient tellement intelligentes« , se souvient pour le National Geographic, Shanna Challenger, coordinatrice du Redonda Restoration Programme. « Elles voyaient nos pièges et sautaient par dessus », ajoutant que même les leurres à base de nourriture n’avaient eu aucun effet.

Au prix de nombreux efforts, ils ont néanmoins réussi à cerner les biquettes et à les relocaliser en les transportant loin de l’île par hélicoptère. Une fois les espèces invasives disparues, en juillet 2018, les responsables du programme entendaient laisser faire quelques temps la nature avant d’entreprendre des actions pour aider la biodiversité. Les résultats sont allés au-delà de leurs attentes.

Un regain exceptionnel de biodiversité

En moins d’un an, la faune et la flore ont connu un regain exceptionnel. D’après Fauna & Flora International, les oiseaux terrestres ont vu leur population se multiplier par dix et les colonies d’oiseaux marins ont enregistré leur meilleure année répertoriée jusqu’ici en termes de reproduction. De même, une rare espèce de lézard noir endémique de Redonda a vu ses effectifs doubler tandis que d’autres reptiles ont triplé.

Coté végétation, des centaines de nouveaux arbres sont apparus sur le territoire qui s’est peu à peu recouvert à nouveau d’un tapis verdoyant.

« C’était une chance unique – observer ainsi la renaissance d’une île », a confié Shanna Challenger dans un communiqué. « Des changements attendus sur une période de cinq ans se sont produits en quelques mois ».

Outre l’augmentation des effectifs, la disparition des espèces invasives aurait également influé sur le comportement de certaines créatures. D’après des scientifiques de l’université de Harvard et du Muséum national d’histoire naturelle de Paris, certains lézards seraient ainsi devenus plus féroces et intrépides depuis que les rats sont partis.

« Ce nouvel équilibre de la nature est plus conforme à ce que nous pourrions attendre de ces animaux avant que les rats n’arrivent sur l’île », a commenté le Dr Colin Donihue, écologue impliqué dans le programme de restauration.

Et il ne s’agit que d’un début d’après l’Environmental Awareness Group qui supervise le programme et continue de surveiller l’île pour s’assurer que les rats ne refassent pas leur apparition.

Redonda, bientôt classée réserve naturelle ?

Parallèlement, le gouvernement d’Antigua-et-Barbuda a entamé des démarches pour faire classer Redonda en réserve naturelle.

« C’est incroyable de voir cette transformation radicale et rapide d’un rocher nu à un tapis de végétation […] Cela pourrait réellement devenir un sanctuaire pour la faune sauvage », s’est réjoui le Dr. Robin Moore du Global Wildlife Conservation, autre soutien du projet.

Pour les initiateurs du programme, ces résultats ne sont pas seulement une victoire pour Redonda et l’archipel des Petites Antilles. Ils démontrent également que les efforts de conservation fonctionnent, en particulier lorsqu’ils ciblent un problème majeur comme les espèces invasives. Un fléau qui affecte d’autres écosystèmes à la biodiversité unique et donc précieuse.

En janvier 2019, les Galápagos ont entamé un vaste programme de dératisation pour éliminer les rongeurs qui s’attaquent aux frégates et aux mouettes qui y viennent pondre. L’île britannique de Gough dans l’Atlantique Sud connait un problème similaire.

« Avec un peu d’aide, la nature peut se rétablir« , a ainsi conclu, confiante, Shanna Challenger pour le National Geographic.

https://www.geo.fr/

Les perroquets gris d’Afrique sont assez intelligents pour aider d’autres oiseaux dans le besoin


Les perroquets sont intelligents, mais certaines espèces le sont probablement plus que les autres. Les perroquets gris d’Afrique ont sont assez intelligents pour comprendre, ils peuvent aider un de ses congénères.
Nuage

Les perroquets gris d’Afrique sont assez intelligents pour aider d’autres oiseaux dans le besoin

Un perroquet gris d’Afrique (ou Gris du Gabon).

Stéphanie Schmidt

Les perroquets gris d’Afrique, ou Gris du Gabon (Psittacus erithacus), ne sont pas seulement très intelligents, ils ont aussi l’esprit de collaboration et d’entraide avec leurs semblables. En effet, il s’agit de la première espèce d’oiseaux à passer avec succès un test les obligeant à la fois à comprendre quand un autre animal a besoin d’aide, et à lui apporter une assistance.

« Outre les humains, seuls les bonobos et les orangs-outans ont réussi ce test », explique Désirée Brucks, de l’Université Ludwig Maximilian à Munich, en Allemagne.

À noter que même les chimpanzés et les gorilles ont échoué à ce test.

Dans un premier temps, Brucks et son collègue Auguste von Bayern, ont formé les oiseaux un à un : chaque individu a reçu une pile de jetons (de petites rondelles métalliques) et a appris qu’il pouvait les échanger contre de la nourriture en les passant à un intervenant humain (un chercheur), à travers un petit trou dans un écran clair.

Un mois plus tard, deux oiseaux ont été séparés l’un de l’autre et du chercheur par des écrans clairs. Un oiseau a reçu un tas de jetons, mais le trou entre lui et le chercheur a été bouché. Le trou de l’autre oiseau, menant au chercheur, était ouvert mais l’oiseau n’avait pas de jetons. Il y avait également un troisième trou dans l’écran, entre les deux oiseaux, leur permettant de se passer des objets (comme nous pouvons le voir dans l’image ci-dessous).

perroquet gris afrique entreaide aide intelligence animale

Les perroquets gris d’Afrique ont prouvé à quel point ils sont intelligents et à même de coopérer avec leurs semblables. Anastasia Krasheninnikova

Sept perroquets gris d’Afrique sur huit, ont passé des jetons à travers ce troisième trou, menant à l’autre oiseau (sans jeton), afin que ce dernier puisse les échanger contre de la nourriture.

Les oiseaux avaient tendance à passer plus de jetons, lorsque l’oiseau qui était en face était un individu avec lequel ils ont passé plus de temps, soit « un ami », bien qu’ils l’aient toujours fait, même pour les oiseaux avec lesquels ils ont passé moins de temps.

S’il n’y avait pas d’autre oiseau, ils ne faisaient pas passer de jetons à travers le trou. Et si les deux trous du chercheur étaient fermés pour qu’aucun oiseau ne puisse échanger de jetons contre de la nourriture, ceux qui avaient des jetons en passaient beaucoup moins à l’autre oiseau.

perroquet gris afrique intelligce

Crédits : Anastasia Krasheninnikova

Afin de réussir ce test, il faut « à la fois de l’intelligence, et de la serviabilité », explique Brucks. « L’oiseau doit pouvoir comprendre que l’autre a besoin d’aide », ajoute-t-elle.

Les chercheurs ont également tenté d’effectuer ce test avec des aras de Coulon (qui se distinguent par leur tête bleue), mais ont constaté que ces derniers n’aidaient pas les autres aras. En 2015, une autre équipe de scientifiques a découvert que les corbeaux ne s’aident pas non plus entre eux.

À l’heure actuelle, nous ne savons pas encore pourquoi les gris d’Afrique en particulier s’entraident ainsi, ni pourquoi les autres espèces d’oiseaux ne le font apparemment pas.

https://trustmyscience.com/

Le Saviez-Vous ► Les 5 infos insolites à savoir sur la fourmi


Nous sommes tous d’accord que les fourmis sont des insectes extraordinaires. Il existe plusieurs espèces avec des particularités qui lui sont propres comme la fourmi kamikaze, pillarde ou en encore balle de fusil. Des atouts qui sont nécessaires dans leur environnement.
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Les 5 infos insolites à savoir sur la fourmi

Les 5 infos insolites à savoir sur la fourmi© pixabay

Par Chloé Gurdjian

La fourmi est réputée pour ses facultés extraordinaires. Voici de quoi en savoir un peu plus sur cet insecte.

La fourmi la plus rapide

La fourmi la plus rapide du monde, c’est elle : Cataglyphis bombycina, plus communément appelée fourmi argentée saharienne. Comme son nom l’indique, l’insecte vit dans le désert du Sahara. Des scientifiques l’ont filmée parcourant 85,5 cm par seconde (soit 108 fois sa propre longueur par seconde), en 47 foulées, ne touchant le sol entre chaque foulée que pendant 7 millisecondes. Ramené à l’échelle humaine, cet animal qui mesure seulement quelques millimètres va ainsi 10 fois plus vite que le sprinter jamaïcain Usain Bolt !

La fourmi la plus dangereuse

Vivant dans les forêts humides d’Amérique du Sud, Paraponera clavata a de quoi faire peur ! Aussi surnommée « fourmi balle de fusil », ses morsures sont incroyablement douloureuses… comparables à une blessure par arme à feu. L’insecte, qui mesure jusqu’à 2,5 cm, produit un venin contenant un peptide neurotoxique et paralysant appelé « poneratoxine », dont les effets peuvent durer jusqu’à 24 heures. Dans certaines communautés amazoniennes, le passage à l’âge adulte s’effectue en plongeant sa main dans un gant rempli de ces fameuses fourmis.

La fourmi est utilisée… comme point de suture !

Originaires d’Afrique, les fourmis légionnaires du genre Dorylus sont réputées pour la puissance de leurs morsures. Aveugles, elles ne lâchent pas prise une fois qu’elles ont attrapé leur proie. Et c’est de cette faculté que se servent certaines populations, comme les Maasaï. Afin de refermer leur blessure, ils attrapent des fourmis soldats, leur font mordre la plaie, puis leur arrachent le corps.

La fourmi, reine de la stratégie

Les différentes espèces de fourmis ont mis au point d’impressionnantes tactiques pour combattre l’ennemi, avec des stratégies différentes selon l’enjeu. Des scientifiques ont déjà observé une fourmi partir en éclaireur, puis revenir avec des soldats. A la fin du combat, les fourmis blessées qui peuvent être sauvées sont ramenées à la fourmilière afin d’être soignées ! Quant à Camponotus cylindricus, elle est surnommée la « fourmi kamikaze ». Afin de sauver sa colonie, elle n’hésite pas à s’accrocher à l’ennemi et à se faire exploser l’abdomen, afin de répandre une substance collante mortelle. Autre exemple, celui de Temnothorax pilagens, aussi appelée « fourmi pillarde ». Celle-ci a la capacité d’employer un camouflage chimique pour infiltrer d’autres colonies de fourmis sans se faire détecter. L’objectif est de subtiliser des larves et des ouvrières, afin de les réduire en esclavage.

La fourmi élève des pucerons !

Certaines espèces de fourmis raffolent du miellat, les déjections liquides et sucrées des pucerons. Du coup, les fourmis les protègent des prédateurs, les soignent et les nettoient, les changeant même de plante lorsque la sève vient à manquer. Telles des agricultrices avec leurs vaches, elles vont ensuite traire les pucerons, récoltant le précieux liquide sur leur abdomen. En revanche, les espèces de fourmis qui ne se nourrissent pas de miellat dévorent les pucerons.

https://www.geo.fr/

Patient bizarre : opéré à cœur ouvert pour du pop-corn coincé dans une dent


    A moins d’être prédisposer, une endocardite est assez rare. Il y a au moins un gars qui ne mangera plus jamais de maïs soufflé de sa vie. En fait ce n’est pas le pop-corn qui a causé son endocardite, mais la façon dont il a essayé le déloger.

    Nuage


    Patient bizarre : opéré à cœur ouvert pour du pop-corn coincé dans une dent


    Céline Deluzarche


    Journaliste

    Un pompier britannique a développé une infection qui a failli lui coûter la vie pour un simple morceau de pop-corn coincé dans une dent qu’il a vainement essayé de déloger. Une expérience qu’il n’est pas prêt d’oublier.

    De l’abcès dentaire à l’endocardite

    Fin septembre 2019, Adam Martin regarde tranquillement un film en compagnie de sa femme, les deux amoureux se partageant un cornet de pop-corn. Il sent alors un morceau de maïs qui reste coincé au fond de sa bouche. Durant plusieurs jours, il tente désespérément de déloger l’intrus, à coups de cure-dents et de différents objets qui lui tombent sous la main, allant du capuchon de stylo au clou métallique en passant par un morceau de fil de fer.

    Une semaine plus tard, Adam Martin ne se sent pas bien et pense avoir contracté un vilain rhume. Il se rend chez son médecin généraliste, qui lui diagnostique « un léger souffle au cœur » et lui prescrit des analyses de sang et une radiographie. Ces dernières ne montrant que de légers signes d’inflammation, il est renvoyé chez lui avec des médicaments.

    Mais quelques jours après, les symptômes grippaux empirent, et Adam Martin constate l’apparition d’une ampoule remplie de sang sur son orteil. Il ne le sait pas encore, mais cette lésion érythémateuse nommée lésion de Janeway est l’un des symptômes typiques de l’endocardite infectieuse qu’il est en train de développer.

    « J’aurais pu mourir en trois jours »

    En essayant vainement d’enlever le morceau de pop-corn de sa dent, le pompier a en effet endommagé sa gencive, favorisant la pénétration des bactéries qui se sont propagés au cœur, détruisant les valvules cardiaques. Le 18 octobre, Adam Martin se résout à se rendre à l’hôpital.

    « Je sentais que quelque chose n’allait pas bien du tout », témoigne-t-il au site Cornwall Live. « Je n’arrêtais pas de dormir, j’avais d’intenses douleurs dans les jambes. J’étais à ce moment-là très inquiet. »

    L’endocardite infectieuse aboutit à la destruction des valvules cardiaques. © abhijith3747, Adobe Stock

    L’endocardite infectieuse aboutit à la destruction des valvules cardiaques. © abhijith3747, Adobe Stock

    Il y a de quoi : la douleur dans sa jambe est en réalité un caillot de sang infecté, coincé dans son artère fémorale. Un traitement lui est immédiatement prescrit pour combattre l’infection, mais entre temps son cœur a été irrémédiablement endommagé. Il doit subir en urgence une opération à cœur ouvert de sept heures pour remplacer sa valve aortique et sa valve atrio-ventriculaire gauche.

    « Les médecins m’ont dit que si je n’étais pas allé chez le généraliste, j’aurais pu mourir en trois jours », frissonne-il encore.

    Pensez d’abord à consulter votre dentiste !

    L’endocardite infectieuse est heureusement relativement rare : d’ordinaire, les bactéries et champignons n’adhèrent pas facilement à l’endocarde et le flux sanguin constant évite la formation de colonies sur l’enveloppe cardiaque. En l’absence d’une anomalie prédisposante, il faut donc une quantité massive de micro-organismes pour provoquer une infection.

    Adam Martin reconnaît lui-même sa négligence :

    « Si j’étais allé chez le dentiste en premier lieu, rien de tout cela ne serait arrivé ».

    Une bonne occasion de rappeler qu’une gencive qui saigne ou qu’un abcès dentaire doit être examiné, insiste l’assistante du médecin qui l’a suivi.

    « Il est également important de noter la date des premiers symptômes. Si l’infection d’Adam avait été détectée plus tôt, elle aurait pu être traitée avec des antibiotiques normaux ».

    Ces symptômes ressemblent à ceux de la grippe, avec sueurs nocturnes, grande fatigue, pâleur, sensation de malaise et parfois un souffle au cœur.

    Le pompier s’est heureusement vite remis de son opération.

    Mais c’est certain, « je ne mangerai plus jamais de pop-corn », assure-t-il.

    https://www.futura-sciences.com/

CES 2020 : Découvrez Jennie, l’adorable robot-chien de compagnie plus vrai que nature


Pour apaiser, sortir de sa solitude, un animal est une bonne idée. Cependant, il faut être en mesure de s’en occuper aussi. Alors un chien-robot ? Certains trouvent que c’est une bonne idée, moi, je vois cela comme une façon de se donner de bonnes excuses pour ne pas être plus présent envers les personnes âgées.
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CES 2020 : Découvrez Jennie, l’adorable robot-chien de compagnie plus vrai que nature


Voici Jennie, le premier chien-robot de compagnie

Sa mission ? Apaiser les personnes qui souffrent de solitude ou d’anxiété.

Cette semaine a eu lieu à Las Vegas le Consumer Electronics Show 2020 (CES), l’une des plus grandes foires technologiques au monde. Comme chaque année, y sont dévoilées les toutes dernières innovations technologiques. Parmi elles, on a pu découvrir Jenny, un chiot Labrador de compagnie dont la particularité est… d’être un robot. Son but : apaiser les personnes qui souffrent de solitude ou d’anxiété.

C’est d’ailleurs en voyant sa mère atteinte de la maladie d’Alzheimer que Tom Stevens, fondateur et PDG de la startup de robotique Tombot a eu l’idée de créer Jenny.

Jenny alors plus vraie que nature

« L’histoire de ma mère n’est pas unique », explique-t-il lors de la conférence CES ajoutant que les personnes âgées ou/et atteintes de démence tirent beaucoup de réconfort de leurs animaux de compagnie. Problème, plus la maladie progresse, moins ils sont en mesure de prendre soin d’eux. C’est la où Jenny a tout bon puisqu’elle a beau aboyer, remuer la queue, le cou et les oreilles comme un vrai toutou, et même répondre aux commandes vocales et au toucher, ce chiot animatronique n’a, en revanche, nul besoin d’être sorti matin et soir et ne réclame jamais de croquettes. 

Jenny est une excellente alternative pour tenir compagnie aux personnes âgées

Tom Stevens a décidé de confier la création de son chien-robot à la compagnie Jim Henson Creature Shop, qui a déjà à son actif d’autres célèbres créatures animatroniques passées sur nos écrans comme Babe, le cochon, Docteur Dolittle et Les Muppets.

Jenny vous a fait fondre ? Sâchez qu’elle est disponible en pré-commande pour 449 $ (405 euros).

https://wamiz.com/

Au Zimbabwe, la sécheresse accroît les conflits entre l’Homme et la faune


Après avoir chassé les animaux sauvages de leurs habitats, et par les changements climatiques, les animaux ont faim et soif et s’approchent des villes et villages. Au Zimbabwe, il y a plusieurs conflits entre les humains et les animaux sauvages dû à la sécheresse qui sévit depuis plusieurs saisons. Cependant, les habitants essaient de trouver des solutions plus pacifique que les chasser avec des armes.
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Au Zimbabwe, la sécheresse accroît les conflits entre l’Homme et la faune

Au Zimbabwe, la sécheresse accroît les conflits entre l'Homme et la fauneUne carcasse d’éléphant victime de la sécheresse dans le parc de Hwange au Zimbabwe le 14 novembre 2019© AFP/Archives/ZINYANGE AUNTONY

Par AFP

Hwange (Zimbabwe) (AFP)

Dumisani Khumalo est un miraculé. Il y a deux mois, ce Zimbabwéen de 45 ans a été gravement blessé par un buffle. Il marche désormais avec peine mais s’estime heureux: en 2019, les animaux sauvages ont tué 36 personnes dans le pays.

« Je remercie Dieu d’avoir survécu à l’attaque », confie Dumisani Khumalo, assis à l’ombre d’un arbre de son village de Ndlovu-Kachechete, dans le district de Hwange (ouest).

Les attaques d’animaux sauvages contre les humains sont en hausse au Zimbabwe. Les autorités en ont recensées pas moins de 311 en 2019, contre 195, qui avaient fait 20 morts parmi la population, l’année précédente.

Les éléphants sont les plus souvent impliqués mais buffles, hippopotames, lions, hyènes et crocodiles ne sont pas en reste. En cause, la terrible sécheresse qui frappe toute l’Afrique australe depuis plusieurs saisons.

Elle atteint ces derniers mois des sommets, au point que près de la moitié des 16 millions de Zimbabwéens ne doivent aujourd’hui leur survie qu’à l’aide alimentaire.

Les animaux ne sont pas épargnés. Plus de 200 éléphants en sont morts en trois mois l’an dernier.

Ceux du parc de Hwange, le plus grand du pays à proximité des fameuses chutes Victoria, peuvent en sortir librement. Alors, faute de pluie, ils « vont là où ils peuvent trouver de l’eau et de la nourriture », explique un porte-parole des parcs nationaux du Zimbabwe, Tinashe Farawo.

« Je marchais dans la forêt près de mon village. J’allais me faire enregistrer pour recevoir de l’aide alimentaire quand j’ai entendu des chiens aboyer. Soudain, le buffle est apparu et m’a chargé », se rappelle Dumisani Khumalo. « Je suis tombé et la bête m’a donné des coups de corne à l’aine ».

Un chef local, Phindile Ncube, émet des doutes sur la version du blessé, qu’il soupçonne d’avoir été en train de chasser.

« Il est très rare que les buffles attaquent les hommes. Le plus souvent, les animaux se sentent menacés » et chargent.

Mais la sécheresse, concède-t-il, augmente les risques de conflit entre humains et animaux.

Ils « viennent dans les zones habitées à la recherche d’eau (…) Rien que la semaine dernière, des éléphants ont tué deux vaches près d’un puits ».

– Arsenal antifaune –

Dans le district de Hwange, les autorités locales ont armé des gardes pour protéger la population, en particulier pendant les périodes de récolte.

C’est en répondant à un appel des habitants qu’une femme a été accidentellement tuée par balle en avril.

« Des éléphants détruisaient des récoltes. Des gardes essayaient de les chasser quand un éléphant a chargé. Un garde a ouvert le feu » et tué une femme, explique Phindile Ncube.

Au-delà de la réponse armée, les habitants sont encouragés à utiliser des méthodes moins violentes pour éloigner la faune.

Celle dite du tambour est bien connue: à l’approche d’un animal jugé dangereux, les habitants se mettent à battre sur des percussions traditionnelles pour l’effrayer.

Mais « les animaux s’habituent à ce bruit et savent qu’il n’est pas synonyme de danger », explique George Mapuvire, à la tête de Bio-Hub Trust, une organisation spécialisée dans la gestion des conflits impliquant la faune.

Bio-Hub Trust propose une variété d’autres solutions pour éloigner la faune des habitations et des récoltes. Ainsi le gâteau au piment, une recette simple et bon marché.

« Mélanger de la poudre de piment à de la bouse de vache ou d’éléphant et en faire une sorte de brique », décrit George Mapuvire. « Une fois sèche, la brûler avec du charbon quand les éléphants approchent. Ils ne supportent pas l’odeur ! ».

Pour être alertés de l’arrivée des pachydermes, les villageois ont aussi recours à des clôtures faites de guirlandes de canettes vides. A l’arrivée d’animaux, elles tintinnabulent et leur laissent le temps d’allumer des gâteaux au piment.

Une autre solution consiste à recourir à un pistolet chargé de balles en plastique remplies d’huile et de piment.

« Quand elle touche l’éléphant, elle explose et recouvre l’animal d’huile pimentée », décrit M. Mapuvire.

Mais attention, prévient le patron de Bio-Hub Trust, il arrive parfois que le pachyderme, énervé, se venge en chargeant…

https://www.geo.fr/