Au Zimbabwe, la sécheresse accroît les conflits entre l’Homme et la faune


Après avoir chassé les animaux sauvages de leurs habitats, et par les changements climatiques, les animaux ont faim et soif et s’approchent des villes et villages. Au Zimbabwe, il y a plusieurs conflits entre les humains et les animaux sauvages dû à la sécheresse qui sévit depuis plusieurs saisons. Cependant, les habitants essaient de trouver des solutions plus pacifique que les chasser avec des armes.
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Au Zimbabwe, la sécheresse accroît les conflits entre l’Homme et la faune

Au Zimbabwe, la sécheresse accroît les conflits entre l'Homme et la fauneUne carcasse d’éléphant victime de la sécheresse dans le parc de Hwange au Zimbabwe le 14 novembre 2019© AFP/Archives/ZINYANGE AUNTONY

Par AFP

Hwange (Zimbabwe) (AFP)

Dumisani Khumalo est un miraculé. Il y a deux mois, ce Zimbabwéen de 45 ans a été gravement blessé par un buffle. Il marche désormais avec peine mais s’estime heureux: en 2019, les animaux sauvages ont tué 36 personnes dans le pays.

« Je remercie Dieu d’avoir survécu à l’attaque », confie Dumisani Khumalo, assis à l’ombre d’un arbre de son village de Ndlovu-Kachechete, dans le district de Hwange (ouest).

Les attaques d’animaux sauvages contre les humains sont en hausse au Zimbabwe. Les autorités en ont recensées pas moins de 311 en 2019, contre 195, qui avaient fait 20 morts parmi la population, l’année précédente.

Les éléphants sont les plus souvent impliqués mais buffles, hippopotames, lions, hyènes et crocodiles ne sont pas en reste. En cause, la terrible sécheresse qui frappe toute l’Afrique australe depuis plusieurs saisons.

Elle atteint ces derniers mois des sommets, au point que près de la moitié des 16 millions de Zimbabwéens ne doivent aujourd’hui leur survie qu’à l’aide alimentaire.

Les animaux ne sont pas épargnés. Plus de 200 éléphants en sont morts en trois mois l’an dernier.

Ceux du parc de Hwange, le plus grand du pays à proximité des fameuses chutes Victoria, peuvent en sortir librement. Alors, faute de pluie, ils « vont là où ils peuvent trouver de l’eau et de la nourriture », explique un porte-parole des parcs nationaux du Zimbabwe, Tinashe Farawo.

« Je marchais dans la forêt près de mon village. J’allais me faire enregistrer pour recevoir de l’aide alimentaire quand j’ai entendu des chiens aboyer. Soudain, le buffle est apparu et m’a chargé », se rappelle Dumisani Khumalo. « Je suis tombé et la bête m’a donné des coups de corne à l’aine ».

Un chef local, Phindile Ncube, émet des doutes sur la version du blessé, qu’il soupçonne d’avoir été en train de chasser.

« Il est très rare que les buffles attaquent les hommes. Le plus souvent, les animaux se sentent menacés » et chargent.

Mais la sécheresse, concède-t-il, augmente les risques de conflit entre humains et animaux.

Ils « viennent dans les zones habitées à la recherche d’eau (…) Rien que la semaine dernière, des éléphants ont tué deux vaches près d’un puits ».

– Arsenal antifaune –

Dans le district de Hwange, les autorités locales ont armé des gardes pour protéger la population, en particulier pendant les périodes de récolte.

C’est en répondant à un appel des habitants qu’une femme a été accidentellement tuée par balle en avril.

« Des éléphants détruisaient des récoltes. Des gardes essayaient de les chasser quand un éléphant a chargé. Un garde a ouvert le feu » et tué une femme, explique Phindile Ncube.

Au-delà de la réponse armée, les habitants sont encouragés à utiliser des méthodes moins violentes pour éloigner la faune.

Celle dite du tambour est bien connue: à l’approche d’un animal jugé dangereux, les habitants se mettent à battre sur des percussions traditionnelles pour l’effrayer.

Mais « les animaux s’habituent à ce bruit et savent qu’il n’est pas synonyme de danger », explique George Mapuvire, à la tête de Bio-Hub Trust, une organisation spécialisée dans la gestion des conflits impliquant la faune.

Bio-Hub Trust propose une variété d’autres solutions pour éloigner la faune des habitations et des récoltes. Ainsi le gâteau au piment, une recette simple et bon marché.

« Mélanger de la poudre de piment à de la bouse de vache ou d’éléphant et en faire une sorte de brique », décrit George Mapuvire. « Une fois sèche, la brûler avec du charbon quand les éléphants approchent. Ils ne supportent pas l’odeur ! ».

Pour être alertés de l’arrivée des pachydermes, les villageois ont aussi recours à des clôtures faites de guirlandes de canettes vides. A l’arrivée d’animaux, elles tintinnabulent et leur laissent le temps d’allumer des gâteaux au piment.

Une autre solution consiste à recourir à un pistolet chargé de balles en plastique remplies d’huile et de piment.

« Quand elle touche l’éléphant, elle explose et recouvre l’animal d’huile pimentée », décrit M. Mapuvire.

Mais attention, prévient le patron de Bio-Hub Trust, il arrive parfois que le pachyderme, énervé, se venge en chargeant…

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Zimbabwe: le viol, arme des soldats contre les femmes


Je n’ai aucun respect pour des hommes qui comportent comme des porcs. Il est déjà difficile en Occident qu’une femme entame le processus après un viol, alors imaginé dans des pays comme Zimbabwe, si une femme est agressée, c’est de sa faute. Ben oui, des soldats cognent à minuit dans un appartement et viol la femme qui y habite. C’est la faute de la victime. Excuse de minus qui se croient des hommes, mais qui n’ont rien dans le cerveau
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Zimbabwe: le viol, arme des soldats contre les femmes

 

Plusieurs ONG affirment avoir recueilli les témoignages circonstanciés... (Photo JEKESAI NJIKIZANA, Agence France-Presse)

Plusieurs ONG affirment avoir recueilli les témoignages circonstanciés d’au moins une vingtaine de femmes victimes de violences sexuelles de la part de soldats ou de policiers.

PHOTO JEKESAI NJIKIZANA, AGENCE FRANCE-PRESSE

 

SUSAN NJANJI
Agence France-Presse
Harare

« L’un d’entre eux m’a forcée à me coucher sur le lit. Il m’a violée puis il a quitté la chambre. Puis un deuxième [soldat] m’a violée, devant les deux autres qui sont restés là, les armes à la main. Et quand il a fini, ils sont tous repartis ».

Depuis quelques jours, des témoignages du même acabit commencent lentement à émerger.

Pour mater la fronde sociale qui vient d’embraser le Zimbabwe après l’augmentation spectaculaire des prix des carburants, les forces de l’ordre ne se sont pas contentées de tirer à balles réelles sur les manifestants ou de tabasser systématiquement les civils. Elles ont aussi eu recours à l’arme du viol.

Plusieurs ONG affirment avoir recueilli les témoignages circonstanciés d’au moins une vingtaine de femmes victimes de violences sexuelles de la part de soldats ou de policiers.

L’une d’elles s’est confiée à l’AFP jeudi, dans un lieu discret de la capitale Harare.

Mère de deux enfants, la jeune femme raconte, le visage strié de larmes, comment une patrouille militaire s’est invitée de force en pleine nuit à son domicile, et comment deux soldats en ont profité pour abuser d’elle.

« Le 17 janvier, les soldats sont arrivés chez moi vers minuit », raconte la victime. « Ils ont violemment tapé dans la porte […]. L’un d’entre eux a crié « Ouvrez ». Alors je suis sortie de mon lit et j’ai ouvert la porte. Ils étaient quatre soldats ».

La jeune femme est repoussée sans ménagement.

« Quand je leur ai dit que j’étais seule, ils m’ont conduit dans ma chambre ».

C‘est là que deux des militaires la violent sur son lit.

Peur de représailles

« Quand ils ont fini de me violer, je me suis assise sur mon lit et j’ai pleuré », lâche la trentenaire. « Vers 4 h du matin, je suis sortie pour réveiller la fille de mon propriétaire ».

À ce jour, elle ne s’est toujours pas présentée à la police pour rapporter son agression, par peur des représailles.

C’est là la principale difficulté des ONG qui tentent de soutenir les victimes de la répression brutale ordonnée par le gouvernement.

La société civile a dénombré au moins 12 morts. Plus d’un millier de personnes ont été arrêtées selon la police.

Une ONG, Justice for Women’s Rights Zimbabwe, a identifié à Harare neuf femmes soignées pour agression sexuelle. Mais aucune d’entre elles n’a encore osé porter plainte.

« Les femmes n’ont pas confiance dans le système », explique une militante de l’organisation, Karen Mukwazi.

Une autre femme qui s’est confiée à l’ONG a indiqué qu’elle n’avait même pas parlé de son agression à son mari.

« Nous vivons dans une société qui, en matière de violences sexuelles, rejette la faute sur les victimes », regrette Talent Jumo, du centre de santé Katswe-Sistahood de Harare.

Dès les premières accusations de viol sur la place publique, la police a invité les victimes à venir témoigner en leur assurant qu’elles seraient reçues par des personnels formés.

« Empathie »

« Toutes les femmes seront traitées avec empathie », a promis la ministre de l’Information Monica Mutsvangwa. « Nous ne tolèrerons aucun comportement criminel de qui que ce soit dans la société, surtout de ceux qui détiennent un pouvoir ».

Face au tollé suscité par la répression, le président Emmerson Mnangagwa a aussi promis des enquêtes sur les exactions commises par ses troupes et, le cas échéant, des sanctions.

L’ambassade des États-Unis a apporté son soutien aux « survivantes de viol » et exhorté « les autorités à enquêter et juger leurs auteurs ».

Mais les ONG n’y croient guère.  Elles exigent aujourd’hui la mise en place d’une institution ad hoc pour traiter les plaintes pour viol.

« Si l’armée et la police sont sincères, elles doivent confier ces dossiers à une instance spécifique », estime Coezett Chirinda, de l’Académie des femmes pour le leadership et l’excellence politiques (WALPE).

Militante de longue date, Rita Nyamupinga se dit choquée par les crimes reprochés aux soldats d’une armée qui a servi sous les couleurs des Nations unies.

« Ils sont censés assurer la sécurité des citoyens de leur propre pays, quelles que soient leurs origines », a-t-elle déploré.

« Ca fait mal de voir que ce sont des gens censés nous protéger qui ont fait ça », confie elle aussi la victime rencontrée par l’AFP. « J’ai peur, j’ai peur qu’il reviennent ».

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Les plus vieux baobabs d’Afrique disparaissent et c’est inquiétant


Les changements climatiques font des victimes dans la faune et la flore. Le plus vieux baobab qui avait 2 450 ans n’a pas pu résister et il n’est pas le seul. Depuis quelques années d’autres faiblissent et meurent en Afrique
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Les plus vieux baobabs d’Afrique disparaissent et c’est inquiétant

 

GETTY IMAGES/ISTOCKPHOTO

Des baobabs à Madagascar.

 

Parmi les victimes, Panke, originaire du Zimbabwe, le plus vieux baobab avec 2450 ans.

  • Agence France-Presse

La grande majorité des plus vieux baobabs d’Afrique se meurent depuis une dizaine d’années, alertent lundi des chercheurs qui évoquent le dérèglement climatique comme possible cause de cette disparition « d’une ampleur sans précédent ».

« Il est choquant et spectaculaire d’assister au cours de notre vie à la disparition de tant d’arbres d’âges millénaires », explique à l’AFP Adrian Patrut de l’université Babeș-Bolyai en Roumanie, coauteur de l’étude parue dans la revue Nature Plants.

« Au cours de la seconde moitié du XIXe siècle, les grands baobabs d’Afrique australe ont commencé à mourir, mais depuis 10/15 ans, leur disparition a rapidement augmenté à cause des températures très élevées et de la sècheresses », poursuit le chercheur.

Agés de 1100 à 2500 ans et tutoyant le ciel, les baobabs et leur tronc massif couronné de branches aux allures de racines, sont une des silhouettes les plus emblématiques des savanes arides, repérables à des kilomètres à la ronde.

Mais, au cours des 12 dernières années, neuf des treize plus vieux baobabs sont partiellement ou totalement morts, selon l’étude.

Parmi les victimes, trois monstres symboliques: Panke, originaire du Zimbabwe, le plus vieux baobab avec 2450 ans au compteur, l’arbre de Platland d’Afrique du Sud, l’un des plus gros du monde, avec un tronc de plus de 10 mètres de diamètre et le célèbre baobab Chapman du Botswana, sur lequel Livingstone grava ses initiales, classé monument national.

GETTY IMAGES/ISTOCKPHOTODes baobabs à Madagascar.

Les chercheurs ont découvert cette situation « d’une ampleur sans précédent » presque par hasard: ils étudiaient ces arbres pour percer le secret de leurs incroyables mensurations.

Pour cela, entre 2005 et 2017, Adrian Patrut et ses collègues ont étudié tous les plus grands (et donc généralement les plus vieux) baobabs d’Afrique, plus de 60 en tout.

Les baobabs s’effondrent

Parcourant le Zimbabwe, l’Afrique du Sud, la Namibie, le Mozambique, le Botswana et la Zambie, ils ont collecté des échantillons sur différentes parties des arbres. Des fragments dont ils ont ensuite défini l’âge à l’aide de la datation au carbone.

« La cavité d’un vieux baobab du Zimbabwe est si grande que près de 40 personnes peuvent s’y abriter », souligne le site internet du parc national Kruger en Afrique du Sud. Ils pouvaient être utilisés comme magasin, comme prison ou plus simplement comme arrêt de bus.

Ils ont également longtemps été utilisés pour se repérer par des explorateurs ou des voyageurs.

« Les baobabs produisent périodiquement de nouveaux troncs, comme d’autres espèces produisent des branches », selon l’étude. Ces tiges ou troncs, souvent d’âges différents, fusionnent ensuite ensemble.

Quand un trop grand nombre de tiges meurent, l’arbre s’écroule.

« Avant de commencer nos recherches, nous avions été informés de l’effondrement du baobab Grootboom en Namibie mais nous pensions que c’était un événement isolé », explique à l’AFP Adrian Patrut.

« Ces décès n’ont pas été causés par une épidémie », affirment les auteurs qui suggèrent que le changement climatique pourrait affecter la capacité du baobab à survivre dans son habitat même si « d’autres recherches seront nécessaires pour soutenir ou réfuter cette hypothèse ».

Mais « la région dans laquelle les baobabs millénaires sont morts est l’une de celles où le réchauffement est le plus rapide en Afrique« , remarque Adrian Patrut.

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Le Saviez-Vous ► 9 pays qui ont fermé la porte à McDo


Alors qu’il y a des Mc Donald’s un peu partout en Amérique du Nord, une seule capitale aux États-Unis, ce restaurant rapide n’est pas le bienvenu. Il y a aussi des pays que le McDonald est comme dit l’auteur McInterdit, soit à cause d’une loi, ou de conflit car certains pays ne veulent que les américains installent leurs tentacules, cependant si cela peut-être économiquement rentable pour McDo alors, il a fort a parier qu’il essaiera de revenir à la charge
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9 pays qui ont fermé la porte à McDo

McInterdit

TY LIM / SHUTTERSTOCK

Contre toute attente, McDonald’s, le géant de la restauration rapide, n’est pas le bienvenu partout.

McInterdit

Aux États-Unis, on trouve toujours un McDonald’s dans un rayon d’environ 150 km, quand ce n’est pas à quelques coins de rue. Il y en a plus de 1400 au Canada. D’où la surprise d’apprendre qu’il existe des pays qui n’en ont pas un seul. Dans le cas de ces nations, il semble que la situation économique ou politique soit parvenue à tenir la célèbre arche dorée à distance.

Bermudes

Jusqu’en 1995, il n’y avait qu’un seul McDonald’s dans cet archipel de l’océan Atlantique. Et aujourd’hui, c’est le vide. Une loi des années 70 y interdisait toute chaîne de restauration rapide étrangère. McDonald’s avait réussi à la contourner en 1985 en s’installant dans une base aéronavale américaine. Cependant, en 1995, la base ainsi que son McDo ont été fermés. Selon mic.com, la franchise de McDonald’s a tenté de faire un retour en 1999, mais la loi a primé.

Iran

Au cours des dernières années, les relations entre le Moyen-Orient et les États-Unis ont été très tendues, et les franchises occidentales comme McDonald’s en ont fait les frais. Il ne s’est ouvert aucun nouveau McDo en Iran depuis 1979. Toutefois, dans la perspective d’une nouvelle relance diplomatique entre les deux pays, on a parlé d’un possible retour de Ronald McDonald dans les lieux. Mais la création d’un substitut iranien nommé Mash Donald’s ne facilite pas la démarche.

Macédoine

Ce petit pays européen situé dans les Balkans possédait exactement sept restaurants McDonald’s, dont la plupart dans la capitale, Skopje. Pourtant, en 2013, le responsable macédonien de McDonald’s a perdu sa licence, ce qui a entraîné la fermeture définitive de tous les restaurants dans ce pays. On a parlé d’une dispute entre les franchisés et la direction de McDonald’s/Europe.

Yémen

Au départ, McDonald’s ne trouvait pas la situation économique du Yémen assez stable pour s’y installer à long terme. De plus, des groupes extrémistes avaient menacé McDonald’s d’une éventuelle riposte partisane en cas d’implantation de sa part. On comprend le problème…

Monténégro

En 2003, McDonald’s a ouvert un petit restaurant dans cette petite république dans le but d’évaluer un possible marché. En dépit du grand succès de ses aliments emblématiques auprès de la population, le gouvernement s’est ligué avec les commerçants locaux pour bloquer son implantation. Et depuis, la franchise a gardé sa McDistance…

Corée du Nord

Sans étonnement, cet état totalitaire s’oppose à toute forme de commerce américain incluant McDonald’s. Cependant, d’après le journal The Telegraph, des officiels du gouvernement nord-coréen auraient importé en douce des aliments de McDonald’s depuis la Corée du Sud pour leur propre consommation.

Zimbabwe

En 2000, McDonald’s était en plein processus d’implantation dans ce pays africain lorsque ce dernier s’est retrouvé en pleine débâcle économique (le Zimbabwe, pas McDo…) Le personnel de McDonald’s a rapidement quitté les lieux, et le Zimbabwe est resté sans McDo. La rumeur veut qu’il s’essaie à nouveau, même si McDonald’s International Franchising affirme n’avoir aucun projet en ce sens. Saviez-vous qu’il existe une capitale américaine où il n’y a pas de McDonald’s. (Oui, il n’y en a qu’une !) : Montpelier, Vermont.

Bolivie

McDonald’s n’a pas eu besoin de se faire interdire dans ce pays sud-américain pour fermer son dernier restaurant en 2002, à la suite d’un long conflit avec le gouvernement bolivien. Selon The Daily Meal, l’échec de McDonald’s vient du refus du peuple bolivien de dépendre d’une multinationale pour ses hamburgers. Et le président bolivien actuel a déclaré que cette chaîne « n’était motivée que par ses gains et ses profits et pas du tout par la santé de la population ». Et au-delà de vos sentiments pour les grandes chaînes, ne commandez jamais cette boisson pour l’amour de votre santé !

Islande

Tout comme le Zimbabwe, l’Islande a subi une crise économique majeure qui a repoussé McDonald’s de ce pays insulaire. Mais à l’encontre du Zimbabwe, l’Islande avait déjà un McDonald’s dans sa capitale avant le krach financier de 2009. Il semble bien que le gouvernement n’ait pas encouragé les Joyeux Festins dès le départ, car l’Islande se caractérise par sa tendance pro santé. Malgré ceci, il se pourrait que l’Islande change de cap. En effet, McDonald’s aurait, selon Iceland Mag, un projet de développement en cours.

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Trophées d’éléphants: face au tollé, Trump recule


Alors que l’administration avait autorisé l’entrée aux États-Unis des trophées de la chasse de loisir des éléphants provenant du Zimbabwe et de la Zambie, ce fut un raz-de-marée de protestation envers une espèce menacée de disparition. Cela a suffit pour faire marche arrière sur cette décision et c’est une victoire de l’opinion public pour les éléphants Dommage par contre qu’on ne peut pas faire la même chose pour les injustices flagrantes envers les êtres humains
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Trophées d’éléphants: face au tollé, Trump recule

 

Les associations de défense des animaux et de... (AFP)

Les associations de défense des animaux et de l’environnement aux États-Unis et à travers le monde étaient vent debout depuis jeudi contre la décision, qui revenait sur une interdiction imposée par la précédente administration de Barack Obama.

Agence France-Presse

Donald Trump a gelé vendredi soir l’autorisation d’importer des trophées d’éléphants tués au Zimbabwe et en Zambie, vingt-quatre heures seulement après l’annonce très controversée par son administration de réinstaurer ces permis.

Les associations de défense des animaux et de l’environnement aux États-Unis et à travers le monde étaient vent debout depuis jeudi contre la décision, qui revenait sur une interdiction imposée par la précédente administration de Barack Obama.

Le président Donald Trump a annoncé sur Twitter le «gel de la décision sur les trophées le temps qu'(il) vérifie les faits sur la conservation», promettant de donner «rapidement» des nouvelles sur la question en compagnie de son ministre des Ressources naturelles, Ryan Zinke.

Le milliardaire républicain semble avoir tenu compte du tollé quasi-unanime de la décision, qui rouvrait la possibilité pour les chasseurs américains de revenir aux États-Unis par exemple avec des pieds, des têtes, ou encore de très recherchées défenses d’ivoire d’éléphants.

L’U.S. Fish & Wildlife Service (USFWS), l’agence fédérale américaine chargée des questions de chasse et de pêche, a en effet annoncé jeudi qu’elle allait «émettre des permis autorisant l’importation des trophées d’éléphants chassés par loisir au Zimbabwe à partir du 21 janvier 2016 et jusqu’au 31 décembre 2018».

Cela était également valable pour la Zambie, selon son site internet.

L’administration du président républicain exploitait pour ce faire un aspect de la loi américaine sur les espèces en danger, qui stipule que l’importation de tels trophées peut être légale si preuve est apportée que la chasse bénéficie à la conservation plus large des espèces.

Brigitte Bardot contre Donald Trump

«La chasse pour le loisir, légale, bien encadrée, dans le cadre d’un programme, peut bénéficier à la conservation de certaines espèces en incitant les populations locales à conserver les espèces et en injectant l’argent dans la conservation», expliquait ainsi l’USFWS jeudi.

Dans une lettre adressée vendredi avant l’annonce du gel par le président républicain, dont les deux fils aînés Eric et Donald Jr sont connus pour être des amateurs de chasse en Afrique, Brigitte Bardot a dénoncé la décision.

«Aucun despote au monde ne peut prendre la responsabilité de faire disparaitre une espèce millénaire faisant partie du patrimoine mondial de l’humanité», a écrit l’ancienne actrice française qui a créé la Fondation Brigitte Bardot pour la protection des animaux.

«L’éléphant est un animal sacré, magique, unique, respecté, et protégé. En agissant de manière aussi indigne vous confirmez les rumeurs qui doutent de vos capacités présidentielles», a écrit la star de 83 ans, dénonçant «la décadente autorité mortifère à laquelle vous soumettez le règne animal et végétal dans son ensemble».

Selon l’organisation Great Elephant Census, le nombre de pachydermes a chuté de 30% entre 2007 et 2014 en Afrique, avec une baisse de 6% pour le Zimbabwe.

De nombreuses associations américaines avaient, à l’instar de The Elephant Project, déploré un «comportement répréhensible de l’administration Trump». «100 éléphants sont déjà tués chaque jour. Cela mènera à davantage de braconnage», avait souligné l’organisation.

Pour sa part, le centre américain pour la biodiversité avait déploré qu’en autorisant à faire entrer «des têtes, des pieds et des queues d’éléphants morts aux États-Unis», Donald Trump «légalise le fait de tuer des éléphants menacés».

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Washington réautorise l’importation de trophées d’éléphants


Je suis contre la chasse pour le plaisir et de récolter un trophée de chasse. C’est décevant que l’administration de Trump détruit l’interdiction menée par Barak Obama pour que des éléphants qui sont déjà une espèce menacée risque de disparaître beaucoup plus vite.
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Washington réautorise l’importation de trophées d’éléphants

 

Le U.S. Fish & Wildlife Service «va émettre... (ARCHIVES REUTERS)

Le U.S. Fish & Wildlife Service «va émettre des permis autorisant l’import des trophées d’éléphants chassés par loisir au Zimbabwe à partir du 21 janvier 2016 et jusqu’au 31 décembre 2018».

ARCHIVES REUTERS

SHAHZAD ABDUL
Agence France-Presse
Washington

 

L’administration de Donald Trump faisait face jeudi à une avalanche de critiques de la part des associations de défense des animaux pour avoir réautorisé les chasseurs américains à importer des trophées d’éléphants tués au Zimbabwe.

La décision a d’autant plus choqué que les arguments sur lesquels s’appuie ce changement brutal de politique sont jugés fallacieux par ces organisations.

Les autorités américaines ont renversé une précédente interdiction, imposée sous Barack Obama, d’importer notamment les très recherchées défenses d’ivoire de cet animal menacé et dont la population en Afrique décroit rapidement.

Le U.S. Fish & Wildlife Service (USFWS), «va émettre des permis autorisant l’import des trophées d’éléphants chassés par loisir au Zimbabwe à partir du 21 janvier 2016 et jusqu’au 31 décembre 2018», a écrit jeudi sur son site l’agence fédérale américaine chargée des questions de chasse et de pêche.

Elle confirmait ainsi une annonce faite cette semaine lors d’un forum sud-africain pro-chasse, le Safari Club International Foundation, qui a bataillé dur au côté du lobby américain des armes, la NRA, pour obtenir cette victoire.

Plusieurs médias américains affirment que le permis s’appliquera également à la Zambie et qu’une réévaluation sera menée mi-2018 pour envisager une prolongation de l’autorisation.

«Comportement répréhensible de l’administration Trump. 100 éléphants sont déjà tués chaque jour. Cela mènera à davantage de braconnage», a dénoncé The Elephant Project sur Twitter.

Pour sa part, le centre américain pour la biodiversité a déploré qu’en autorisant à faire entrer «des têtes, des pieds et des queues d’éléphants morts aux États-Unis», Donald Trump «légalise le fait du tuer des éléphants menacés».

Selon l’organisation Great Elephant Census, le nombre de pachydermes a chuté de 30% entre 2007 et 2014 en Afrique, avec une baisse de 6% pour le Zimbabwe.

Donald Trump Jr pose avec une queue d'éléphant... (TWITTER) - image 2.0

Donald Trump Jr pose avec une queue d’éléphant dans la main, lors d’un voyage de chasse en Afrique.

TWITTER

Protection ou aberration?

L’administration du président républicain exploite avec cette décision un aspect de la loi américaine sur les espèces en danger (Endangered Species Act), qui stipule que l’importation de tels trophées peut être légale si preuve est apportée que la chasse bénéficie à la conservation plus large des espèces.

«La chasse pour le loisir, légale, bien encadrée, dans le cadre d’un programme, peut bénéficier à la conservation de certaines espèces en incitant les populations locales à conserver les espèces et en injectant l’argent dans la conservation», explique ainsi l’USFWS.

«Pour soutenir la conservation, les chasseurs devraient choisir de chasser seulement dans des pays qui ont une forte gouvernance, un encadrement intelligent et des populations sauvages en bonne santé», ajoute l’agence.

Ce raisonnement, dénonce l’association américaine de défense des animaux PETA, «revient à vendre un enfant sur le marché noir afin de lever de l’argent pour combattre les violences faites aux enfants».

Hasard du calendrier, la diplomatie américaine a rendu jeudi son premier rapport annuel sur le trafic d’espèces sauvages, dans lequel il émet une liste de pays qui font l’objet d’«inquiétudes», mais dont le Zimbabwe et la Zambie sont absents.

«Le trafic d’espèces sauvages reste un grave crime transnational qui menace la sécurité, la prospérité économique, l’état de droit, les efforts de conservation et la santé humaine», écrit le département d’État. «Le gouvernement américain combat ce commerce illégal aux États-Unis et à l’étranger.»

Une semblable décision avait déjà été prise – sans faire de remous – en octobre, lorsque l’USFWS était déjà revenu sur l’interdiction d’importer des trophées de lions venus du Zimbabwe et de Zambie. Le braconnage du lion Cecil au Zimbabwe en 2015 avait pourtant provoqué une polémique mondiale.

De nombreux observateurs se demandaient également si la décision prise sur les éléphants par l’administration américaine a un lien avec la passion des deux fils aînés du président, Don Jr. et Eric, qui se rendent régulièrement à la chasse aux trophées en Afrique.

Une photo, notamment, était très partagée sur les réseaux sociaux. On y voit Donald Trump Jr poser, cartouches de fusil à la ceinture, un canif dans la main droite et une queue d’éléphant dans la main gauche, à côté de l’animal mort.

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Un éléphant dressé pour promener les touristes a tué un employé du parc au Zimbabwe


C’est impressionnant de voir des éléphants de près, mais pourtant ces éléphants qui sont utilisés pour des activités touristiques ont des souffrances psychologiques et physiques. Alors, il ne faut pas s’étonner que des accidents puissent arriver avec mort d’homme et à cause des mauvais traitements, l’éléphant “meurtrier” sera  tuer à son tour
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Un éléphant dressé pour promener les touristes a tué un employé du parc au Zimbabwe

 

éléphant

Un éléphant utilisé pour les promenades touristiques a tué son dresseur au Zimbabwe le samedi 22 juillet 2017.

ZEPPELIN / SIPA

Lison Gevers

 

Un éléphant utilisé pour promener des touristes a piétiné à mort son dresseur dans la ville touristique de Victoria Falls, au Zimbabwe le samedi 22 juillet 2017. Un accident qui rappelle que les animaux sauvages ne sont pas des bêtes de foire …

Enock Kufandanda, un dresseur de 50 ans a été tué ce week-end par Mbanje, un éléphant mâle dressé pour des safaris à dos d’éléphants, alors qu’il conduisait l’animal dans son enclos. L’homme était guide à Adventure Zone, une compagnie qui propose de nombreuses activités touristiques localisée aux Chutes Victoria.

« Dresseur d’éléphant est un métier à risque »

C’est le troisième accident du genre depuis ces dix dernières années d’après Clément Mukwasi, le président de l’association locale des opérateurs de safaris qui ne s’étend pas plus sur les détails.

« Dresseur d’éléphant est un métier à risque. Les éléphants comme certains humains sont rancuniers et peuvent attaquer après certains incidents », a-t-il ajouté.

 L’animal a été abattu par les autorités après l’incident.

« C’est un triste rappel du fait que les éléphants sont des animaux sauvages qui ne doivent pas être montés », a dénoncé l’organisation World Animal Protection dans un communiqué appelant à l’arrêt de ce genre d’activités « cruelles ».

Derrière l’activité touristique se cache une pratique cruelle

L’association dénonce ces pratiques, mettant en scène les animaux sauvages comme celle qui consiste à monter des éléphants. Les éléphanteaux sont séparés de leur mère très tôt et subissent un entrainement appelé « l’écrasement ». Celui-ci implique des contraintes physiques comme des douleurs sévères et une privation de nourriture et d’eau. Leur mental est complètement « brisé » selon World Animal Protection, ce qui explique l’apparente tranquillité des pachydermes lorsqu’ils sont montés par les touristes.

Le bullhook, un instrument utilisé sur les zones sensibles du corps de l’éléphant permettant de « guider » l’animal est en fait utilisé à outrance. Mais la cruauté ne se limite pas à cette pratique de dressage. Lorsque les pachydermes ne sont pas assez réceptifs et performants dans leur travail d’éléphants de promenade, ils gardent des chaînes en permanence, limitant leurs mouvements mais aussi empêchant une interaction sociale avec les autres. Les animaux sont donc littéralement entravés, physiquement et psychologiquement.

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Un pasteur tente de marcher sur l’eau et se fait dévorer par des crocodiles


Avoir la foi, ne veut pas dire de faire l’idiot. Je ne sais pas quelle idée lui a passé par la tête, mais il y a laissé sa vie par sa faute
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Un pasteur tente de marcher sur l’eau et se fait dévorer par des crocodiles

 

Le pasteur aurait d’abord parcouru une trentaine de mètres dans l’eau, en essayant de s’élever pour pouvoir marcher à sa surface. (illustration) © photo news.

Christophe Da Silva

Samedi passé, un pasteur du Zimbabwe, désireux de montrer à ses fidèles l’étendu de sa foi, s’est fait dévorer par trois crocodiles alors qu’il essayait de marcher sur l’eau.

Officiant dans une petite église de Mpumalanga, au Zimbabwe, le pasteur Jonathan Mthethwa a voulu recréer le célèbre épisode du Nouveau Testament, mais les choses ne se sont pas déroulées comme prévu. Samedi passé, trois crocodiles l’ont attaqué dans une rivière nommée, à juste titre, « Crocodile River ».

Le pasteur aurait d’abord parcouru une trentaine de mètres dans l’eau, en essayant de s’élever pour pouvoir marcher à sa surface.

« Les crocodiles l’ont fini en deux minutes »

« Le pasteur nous avait enseigné le principe de foi dimanche dernier », a souligné Deacon Nkosi, un membre de l’église. « Il avait promis qu’il nous montrerait sa foi aujourd’hui, mais malheureusement il a fini par se noyer et se faire dévorer par trois gros crocodiles en face de nous ».

Il ajoute: « Les crocodiles l’ont fini en deux minutes. Tout ce qu’il restait de lui était une paire de sandales et son caleçon, flottant à la surface ».

Selon le Daily Mail, les secours sont arrivés trente minutes après les faits, mais n’ont bien évidemment rien pu faire.

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Un couple pourchassé par un crocodile lors d’une baignade dans une piscine


Dans mon coin du monde, on peut voir des ours, des chevreuils, hérissons, ratons-laveurs venir près des êtres humains … Alors dans d’autres pays, les animaux ont des dents vraiment acérés et veulent mordre quiconque sont sur leur route
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Un couple pourchassé par un crocodile lors d’une baignade dans une piscine

Entrez la légende de la vidéo ici

Grosse frayeur pour un couple qui séjournait dans un hôtel près de Kariba, au Zimbabwe, rapporte le Daily Mail.

Les deux jeunes gens se baignaient dans la piscine de leur hôtel lorsqu’ils ont dû faire face à un visiteur inattendu. Un crocodile long de près de deux mètres s’est jeté dans l’eau et a poursuivi les baigneurs terrifiés. Le saurien a pourchassé la femme et l’a mordue, heureusement sans gravité. Saisi de panique, son conjoint est sorti précipitamment de la piscine avant de faire le tour du bassin et de tenter de chasser la bête.

Les crocodiles font face à une importante sécheresse dans tout le pays qui les poussent à sortir des rivières et à s’aventurer dans des lieux habités par l’Homme.

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Zimbabwe: 700 rhinocéros décornés pour lutter contre le braconnage


Quand une chose est illégale, c’est plus tentant de transgresser les lois, surtout en braconnage. Alors pour essayer de sauver les animaux, on coupe les cornes, leurs moyens de défense. Pour les rhinocéros, si c’est bien fait, la corne peut au moins repousser
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Zimbabwe: 700 rhinocéros décornés pour lutter contre le braconnage

 

La corne est habituellement coupée avec une scie,... (photo Philimon Bulawayo, REUTERS)

La corne est habituellement coupée avec une scie, une procédure indolore pour l’animal qui est anesthésié pendant une quinzaine de minutes. La corne repousse une fois qu’elle a été coupée correctement.

PHOTO PHILIMON BULAWAYO, REUTERS

Agence France-Presse
HARARE

Les autorités environnementales du Zimbabwe vont décorner 700 rhinocéros adultes pour freiner le braconnage de cette espèce dont la corne alimente un marché clandestin vers l’Asie, a annoncé mardi un groupe de militants pour l’environnement.

« Notre but est de décorner chaque rhinocéros adulte et nous avons presque fini », a expliqué à l’AFP Lisa Marabini, directrice de « Aware Trust Zimbabwe » (ATZ), un groupe de vétérinaires et d’écologistes qui accompagne les autorités dans ce processus.

« C’est une mesure dissuasive qui réduit la valeur potentielle que peuvent obtenir les braconniers. Le braconnage est un problème très grave dans ce pays », ajoute-t-elle.

Comme chez son voisin sud-africain, le rhinocéros est l’animal le plus braconné au Zimbabwe. Selon Mme Marabini, au moins 50 d’entre eux ont été tués par des braconniers l’année dernière.

Ce trafic alimente un marché clandestin de la médecine traditionnelle asiatique, notamment au Viêtnam et en Chine, où l’on prête des vertus thérapeutiques – non prouvées scientifiquement – à la poudre de corne.

La corne est habituellement coupée avec une scie, une procédure indolore pour l’animal qui est anesthésié pendant une quinzaine de minutes. La corne repousse une fois qu’elle a été coupée correctement.

Plusieurs éleveurs en Afrique du Sud pratiquent régulièrement cette procédure et stockent la corne en attendant une autorisation du commerce international, actuellement interdit.

Ils estiment que l’interdiction du commerce ne fait qu’alimenter le braconnage et assurent pouvoir répondre à la demande asiatique immédiate en fournissant des cornes de rhinocéros qui n’auront pas été tués.

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