"Je n’aide pas ma femme à faire la vaisselle, je la fais"


J’ai choisi de mettre ce billet dans réflexion car c’est un bel exemple de vie de couple, de partage des tâches en temps que couple et en montrant l’exemple aux enfants donnant un bel héritage
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« Je n’aide pas ma femme à faire la vaisselle, je la fais »

 

"Je n'aide pas ma femme à faire la vaisselle, je la fais"

« Je n’aide pas ma femme à faire la vaisselle, je la fais »

C’est le message qui buzze sur les réseaux sociaux. Un homme explique à l’un de ses amis pourquoi le partage des tâches ménagères est indispensable dans le couple.

« Attends deux minutes, je fais la vaisselle et je reviens » :

tout commence le 30 janvier dernier par cette simple petite phrase qu’Andrea Bravo prononce à destination de l’un de ses copains. Et là, stupeur de l’ami qui lui répond :

« Heureusement que tu aides ta femme, moi je n’aide pas la mienne, parce que quand je le fais, je n’ai aucune reconnaissance de sa part, même la semaine dernière j’ai passé la serpillière et même pas un merci. »

De cette scène banale, Andrea en a tiré un post Facebook réconfortant, une sorte de coup de gueule contre tous les préjugés machistes, une saine mise au point sur l’indispensable partage des tâches ménagères. Il explique à son ami pourquoi il revendique la parité face aux corvées, lui rappelant notamment qu’étant deux à vivre sous le même toit, il ne s’agit pas d’aider mais de partager ! Il fait la vaisselle parce qu’il a contribué à salir les assiettes, il nettoie la maison car il la salit tout autant qu’elle…

« Le véritable changement dans notre société commence dans nos foyers »

 

Et féministe jusqu’au bout il demande à son ami s’il dit merci à sa femme pour tout ce qu’elle fait pour lui :

« Est ce que tu lui as dit merci ? Mais un vrai merci , du type : « UAU ma chérie !! tu es fantastique !! » Cette histoire te parait absurde? Bizarre? On a beaucoup de gens qui sont toujours machos et qui croient que les femmes ont obligation de tout faire sans qu’ils lèvent le petit doigt. Remercie ta femme de la même façon que tu aimerais être remercié. Donne un coup de main, comporte-toi comme un vrai homme, un vrai compagnon et pas comme un hôte que vient juste manger dormir prendre sa douche et satisfaire ses besoin sexuels… « 

Une mise au point d’homme à homme déjà partagée plus de 200.000 fois et qui suscite de nombreux commentaires.

Laissons le mot de la fin à Andrea :

« Le véritable changement dans notre société commence dans nos foyers, c’est avec nos actions qu’on apprend aux enfants le vrai sens de la vie. »

On ne pourrait pas dire mieux…

http://www.santemagazine.fr/

Faut-il sauver Melania Trump?


On parle beaucoup de Donald Trump, mais sa femme Melina, c’est soit pour faire des blagues sur ses sourires forcés ou des questions sur son état au sein du couple. Les quelques articles que j’ai vus sur Melina Trump, étaient qu’elle ne semblait pas heureuse dans son rôle d’épouse et Première Dame qui en fait semble être mis de côté par la fille de Donald Trump.
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Faut-il sauver Melania Trump?

 

Source: Midtown Manhattan Patch

Source: Midtown Manhattan Patch

C’est triste et terrifiant, non? Que penser de la relation qui unit Donald et Melania à la lumière de ces observations? C’est ainsi que plusieurs mèmes et blagues ont été créés autour de l’hypothèse que Melania était coincée dans un mariage abusif avec le pervers narcissique le plus médiatisé du monde.

Source: Twitter

Source: SUTTON sur Twitter

On a vu circuler les mots-clics #freeMelania et #saveMelania avec différents degrés d’ironie. Pour certains, c’est une façon de ridiculiser Melania Trump en la décrivant comme une catin soumise qui est prête à subir les pires humiliations pour rester aux côtés d’un homme riche et puissant. On rigole de la voir ainsi prise à son propre jeu, dans ce drame aux allures de soap, personnages caricaturaux et lifestyle de milliardaire inclus.

Toutefois, plusieurs personnes se sont véritablement senties interpellées par la détresse de Melania et ont éprouvé de l’empathie pour cette femme déstabilisée de chausser les talons hauts de Première dame. C’est le cas de cette chroniqueuse qui a comparé le sourire crispé de Melania au

« sourire qu’on fait aux hommes qui nous harcèlent dans la rue et aux étrangers ivres qui nous acculent dans un coin pendant un party où on a perdu nos amis. C’est le sourire que tu fais à quelqu’un qui te fait peur, quelqu’un qui pourrait te faire mal si tu le fais mal paraître. »

Cette autre rédactrice a reconnu la relation toxique de ses propres parents dans les agissements du couple présidentiel. Dans son texte, elle explique que son père rabaissait sa mère lorsqu’il ne l’ignorait pas, comme Donald semble le faire avec Melania. Mais surtout, elle écrit qu’il n’y a rien de drôle à voir une femme prise dans une relation d’abus, peu importe qui elle est.

Photo: REX/Shutterstock

Photo: REX/Shutterstock

C’est également mon malaise par rapport à toute cette discussion. Je ne crois pas que nous ayons affaire à une hallucination collective (ou un fait alternatif, tant qu’à y être) : Melania ne va pas bien. À mon avis, il est clair que la violence psychologique et la misogynie dont Donald Trump fait preuve dans ses fonctions publiques se répète ou se répercute dans sa vie privée. Ce qui ne signifie aucunement qu’il soit normal, justifié ou attendu que sa conjointe vive de la violence conjugale. Ce raccourci est dangereux.

Parce que si je m’inquiète pour elle, je suis aussi préoccupée par la façon dont on traite cet enjeu qui touche beaucoup d’autres personnes. On pose un regard détaché, voire moqueur sur Donald et Melania parce que leur vie est à mille lieux de ce qu’on connait. Mais dans le cas où leur dynamique de couple ressemble étrangement à la nôtre et où le visage fermé de Melania fait l’effet d’un miroir, comment reçoit-on les #freeMelania bardés d’émoticons hilares? Comment se sent-on lorsque tout le monde se paie la tête d’une femme à laquelle on s’identifie, malgré tout? J’imagine qu’on continue à se taire et à endurer.

S’il y a quelque chose à retenir de cette histoire, c’est l’ironie : pendant qu’on s’inquiète de l’abus possible de Melania Trump, les organismes dédiés à la lutte contre la violence faite aux femmes aux États-Unis subiront des coupes majeures… Décret de son mari.

http://fr.chatelaine.com/

Condamné à mort, il écrit une dernière lettre adressée à sa mère


Sans mettre tout sur le dos des parents, il y en a par contre qu’on peut remettre en question sur l’éducation apportée aux enfants. C’est une lettre fictive qu’un condamné à mort adresse à sa mère. Elle aurait pu être adressée à un père, aux parents ou toute personne en charge d’un enfant. C’est une prise de conscience des responsabilités envers nos enfants pour faire la différence entre le bien et le mal.
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Condamné à mort, il écrit une dernière lettre adressée à sa mère

 

Quelques heures avant son exécution, il rédige une lettre pour sa mère :

 

« Maman, si il y avait plus de justice dans ce monde, nous serions deux à être exécutés et pas seulement moi. Tu es aussi coupable que je le suis pour la vie que j’ai menée.

Rappelle-toi quand j’ai volé et ramené à la maison le vélo d’un de mes camarades ?

Tu m’as aidé à là cacher pour que mon père ne puise pas le voir.

Te rappelle-tu la fois où j’ai volé de l’argent dans le portefeuille du voisin?

Tu es allée avec moi au centre commercial afin de le dépenser.

Te rappelle-tu quand je me suis disputé avec mon père et qu’il est parti?

Il voulait simplement me donner une correction car j’avais triché au concours à l’école et j’ai été expulsé.

Maman, j’étais juste un enfant, peu de temps après je suis devenu un adolescent troublé et maintenant je suis un homme qui ne marche pas dans le droit chemin.

Maman, j’étais juste un enfant ayant besoin de correction et non d’approbation, mais, je te pardonne!

Maman, je veux que tu montres cette lettre au plus grand nombre de parents dans le monde, pour qu’ils sachent que ce qui rend toutes les personnes, bonnes ou mauvaises, c’est l’éducation.

Merci maman de m’avoir donné la vie… merci aussi de m’avoir aidé à la perdre

Tom

Ton enfant délinquant. »

NDLR : Cette histoire est fictive mais a une morale que nous devrions tous retenir… Etre trop laxiste avec nos enfants n’est pas toujours une bonne chose… On  a parfois peur qu’ils nous détestent mais un jour, ils comprendront que tout cela est pour leur bien…

http://www.letribunaldunet.fr/

Elle donne une belle leçon de vie à sa fille avec du dentifrice


Bientôt sera la rentrée ! Une petite leçon sur le pouvoir des mots avec un tube de dentifrice. À mon avis, certains humoristes gagneraient aussi à connaître cette métaphore !
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Elle donne une belle leçon de vie à sa fille avec du dentifrice

 

© Facebook.

« Tu vas te souvenir de cette assiette pour le reste de ta vie. »

La veille de la première rentrée de sa fille à l’école secondaire, Amy Beth Gardner, une maman du Tennessee, a voulu lui enseigner quelque chose de très important. Avant d’aller dormir ce dimanche, elle lui a demandé de vider un tube de dentifrice sur une assiette.

 « Puis je lui ai dit calmement de remettre le dentifrice dedans. »

Impossible!, a rétorqué la petite fille de 11-12 ans.

« Ce ne sera jamais comme avant. »

Amy Beth lui a alors expliqué la métaphore.

« Tes mots ont un pouvoir de vie et de mort. Tu peux les utiliser pour humilier, blesser, diminuer et faire du mal aux autres. Mais tu peux aussi les utiliser pour guérir, encourager, inspirer et aimer tes camarades (…) Comme ce dentifrice, dès que les mots sortent de ta bouche, tu ne peux plus les reprendre. Ce soir, je veux que tu décides d’être une personne qui apporte de la vie, de la gentillesse et de la compassion. Tu ne regretteras jamais ce choix. »

http://www.7sur7.be/

La pensée


Nous avons cette fâcheuse tendance d’imaginer les choses qui nous dérangent, qui nous font peur. Ces pensées malheureusement peuvent nous diriger vers ce que nous voulons à tout prix éviter
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La pensée

 

 » Il n’y a pas de manière plus rapide d’attirer un malheur que de penser qu’il est en train d’arriver. La pensée est une force puissante, beaucoup de personnes accordent peu d’énergie à cet outil de création — ou bien l’abandonnent au moment où leur sécurité et leur stabilité sont menacées.

De quoi vous inquiétez-vous aujourd’hui ? Pourquoi ?

Plutôt que de vous en inquiéter, ne serait-ce pas un meilleur usage de votre mental que de le visualiser avec une issue positive ?

Utilisez votre esprit de cette manière aujourd’hui et vous aurez exploité l’un des plus extraordinaires outils que Dieu a placé entre vos mains pour la création de vos lendemains. « 

— Neale Donald Walsch

Le pouvoir du compliment


Nous avons une culture de dévalorisation que ce soit pour soi-même ou pour les autres. On se dispute pour ne voir que les mauvais côtés, on punit des enfants en répétant leurs mauvais comportements. Peut-être changer de tactique dans notre façon de présenter les choses auraient un plus grand impact positif
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Le pouvoir du compliment

 

 

Un éducateur spécialisé de Floride a eu une idée brillante : Transformer le rébarbatif appel du matin en un moment de valorisation. Il profite de l’énonciation du nom pour adresser à l’élève un compliment devant le monde. Ce rituel positif permet de souder la relation de confiance et de renforcer l’estime d’eaux-mêmes, des écoliers.

 » Au lieu de regarder les défauts, je me concentre sur les talents » nous dit-il.

Après quelques semaines, les élèves ont même commencé à se complimenter entre eux. Une éducation dans la positivité qui ferait du bien dans nos écoles.

Ce qu’un petit geste peut faire


Des fois, il ne suffit pas de grand chose pour changer le cours d’une vie d’une personne désespérée. Cela est bel exemple qu’une simple discussion devant un café a permis de redonner le goût à la vie
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Ce qu’un petit geste peut faire

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Facebook / Casey Fischer

Étudiante et maman, Casey, est allé un matin au café Dunkin Donuts pour acheter le petit déjeuner, mais elle ne savait pas qu’elle partirait comme une nouvelle personne.

Dans le café, Casey a rencontré un SDF et elle lui a parlé, et avant qu’elle parte, il lui a donné une note. Leur conversation avait changé la vie de l’homme et la note était la preuve.

Lisez l’histoire de Casey sur sa rencontre avec le SDF ci-dessous.

« Aujourd’hui je suis allée à Dunkin Donuts et j’ai vu un SDF assis dehors à la recherche des petites pièces. A la fin, je l’ai vu entrer dans le café, et lorsqu’il comptait son argent pour acheter quelque chose, je suis allée lui parler. Je me suis rendue compte qu’il ne voulait pas me parler mais j’ai continué quand même. »

« Il avait à peine 10 centimes sur lui, alors je lui ai acheté un bagel et un café, et je lui ai demandé de s’asseoir avec moi. Il m’a raconté que les gens sont souvent méchantes avec lui, que les drogues ont fait de lui la personne qu’il déteste, il a perdu sa mère d’un cancer, il n’a jamais pu rencontrer son père et qu’il veut seulement être quelqu’un de bien, pour que sa mère soit fier de lui. »

« Cet homme merveilleux, appelé Chris, est l’un des personnes les plus honnêtes et authentiques que j’ai rencontré. »

« Quand j’ai réalisé que je devais retourner à l’école, Chris m’a demandé d’attendre pour qu’il puisse m’écrire un petit mot. Il m’a donne un reçu, s’est excusé pour son écriture, sourit et partit. »

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Facebook / Casey Fischer

« J’ai déplié le reçu et lu :  « Je voulais me tuer aujourd’hui. Grâce à toi, je ne veux plus le faire. Merci belle dame. »

Facebook / Casey Fischer

Casey est la preuve qu’il y a encore des bonnes personnes dans le monde, et cela fait une grande différence. Nous sommes tellement soulagés qu’elle a décidé de parler à Chris ce jour-là, car elle a sauvé sa vie.

Parfois, la seule chose dont les gens ont besoin pour survivre c’est un peu d’espoir.

http://incroyable.co/

L’histoire banale de trois chaudrons


Est-ce que la politesse se perd ? Je pense que non, mais quand même, le savoir vivre, la politesse peut être souvent oubliée. Ce petit exemple en est un parmi tant d’autres.
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L’histoire banale de trois chaudrons

 

Par Andrée-Anne Guénette

Je me considère choyée par la vie. Mes enfants mangent à leur faim et dorment dans un lit propre dans une maison convenablement chauffée l’hiver.

Ainsi, quand j’ai des items dont je n’ai plus besoin, je choisis normalement de les donner au suivant plutôt que de les vendre. Je considère que c’est le juste retour du balancier. Il y a une expression que je cite souvent (et je viens d’apprendre que c’est un passage biblique!) qui dit: On demandera beaucoup à qui l’on a beaucoup donné. On m’a beaucoup donné, alors normal que j’aide mon prochain si j’en suis capable.

Mais vous dire combien ça peut être souffrant de donner! Ça m’est arrivé pas plus tard qu’hier. Au bout de 16 ans de bons et loyaux services, mes chaudrons ne suffisaient plus à la tâche. Mais ils sont encore en état de travailler longtemps, alors je voulais qu’ils puissent continuer leur vie utile ailleurs.

Je poste sur un site populaire, avec photo, description, et tout. Et rapidement, je commence à recevoir des messages. J’en ai reçu une bonne trentaine en 36 heures.

Je ne sais pas si c’est juste moi, mais me semble que si quelqu’un t’offre quelque chose de gratuit, en l’occurrence trois chaudrons qui coûteraient assez cher au neuf, tu fais preuve d’un minimum de savoir-vivre dans ton message. Les « mots magiques » qu’on enseigne à nos enfants: s’il-te-plaît, merci, c’est pas bien compliqué, non?

Voici quelques réponses reçues:

« adresse svp »

« je passe à 17hrs »

« moi stp. ton numéro c quoi »

« Je peux passer demain quel heure »

« interet »

Et mon préféré, ce message, reçu environ 12 heures après son premier signe d’intérêt:

« Merde moi je t envoi courriel tu m répond pas.    Merci pareille au revoir « 

Calmez-vous, madame.

J’en ai reçu des bien corrects, des gentils même avec gratitude bien indiquée. Parmi ceux-là, j’ai choisi une heureuse élue. En principe, on se donne rendez-vous, tu passes chercher, tu dis merci, tout le monde est content (sauf la dernière madame qui, elle, est vraiment en ta…) et alléluia.

Mais souvent, c’est juste le début d’une longue valse du Ok, vous pouvez passer aujourd’hui? Non, pas aujourd’hui, je travaille jusqu’en soirée. Ah, désolée, je n’ai pas eu le message/j’ai eu un contre-temps/mon char partait plus/je pars de Joliette alors c’est compliqué. Je peux/mon frère peut/mes parents peuvent passer demain… et qui ne se présentent jamais.

Sérieux, le moindre que tu puisses faire quand quelqu’un te donne quelque chose de bon coeur, c’est de se présenter au rendez-vous. Sourire. Et dire merci.

C’est tout et c’est déjà beaucoup.

p.s. mes chaudrons ont trouvé une nouvelle maison où j’espère qu’ils seront encore longtemps utiles.

http://www.coupdepouce.com/

Je prête mes chaussures à qui juge mon chemin


Nous avons tous jugé des personnes sans connaître tout de leur parcours. Beaucoup ont eu des regrets du mal qu’ils ont pu causer. Il y a d’autres que c’est une habitude de critiquer pour détruire. Quand c’est nous que l’on juge, il est difficile de faire la sourde oreille, pourtant cela est nécessaire pour continuer notre route
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Je prête mes chaussures à qui juge mon chemin

 

    Nous ne devons pas laisser les jugements extérieurs conditionner notre vie. Les critiques constructives peuvent nous aider à grandir, mais nous devons apprendre à ignorer celles qui ont pour objectif de nous faire du mal.

    Combien de fois avez-vous dû faire face aux jugements des autres ?

    Parfois, nous avons suffisamment à penser avec nos obligations quotidiennes pour, en plus, devoir subir le jugement d’autres personnes sur ce que nous faisons ou que nous ne faisons pas.

    Il serait faux de dire que cela ne nous affecte pas.

    Il n’est pas évident de faire la sourde oreille face aux commentaires qui osent juger nos actions, surtout s’ils proviennent de personnes importantes comme notre famille, nos amis etc.

    A présent, personne ne sera un ami authentique ou un proche significatif s’il ose nous juger sans connaître nos émotions, nos expériences ni ce que nous portons sur notre dos et dans notre coeur.

    Personne d’autre que vous ne connaît la douleur de ces pierres que vous avez dû ramasser, et des rivières que vous avez traversées, parfois sans demander aucune aide à personne. Dans cet article, nous vous invitons à réfléchir à cela.

    Le chemin que nous avons construit et les sentiers vitaux qui nous définissent

    Vous n’êtes pas seulement cette femme qui se reflète dans le miroir. Vous n’êtes pas uniquement votre manière de vous habiller, ni les mots que vous consacrez aux autres.

    Vous êtes ce chemin et toutes vos expériences vécues et intégrées au plus profond de votre être, celles que les autres ne connaissent pas et que personne ne doit connaître si vous souhaitez que cela reste ainsi.

    Personne n’a l’obligation de parler de ses déceptions, de ses échecs ou de ses victoires. Alors pourquoi certaines personnes osent parfois juger sans savoir ?

  • Les personnes habituées à juger les autres ont tendance à être les plus frustrées.

  • Elles ont souvent des personnalités insatisfaites et projettent leur besoin de contrôle sur les autres.

  • Il est fréquent que beaucoup de nos proches aient pour habitude de nous juger :

« Tu as tout fait mal dès le début, tu crois que tu peux tout réussir alors que ce n’est pas toujours comme ça ».

  • Elles nous jugent avec l’intention de nous aider et de nous offrir un enseignement mais en réalité, elles veulent nous contrôler et que nous nous « emboîtions » dans leur manière de penser.

  • Parfois, celui qui juge le chemin parcouru essaie de justifier sa propre vie, en discréditant les autres. C’est quelque chose de très commun.

En réalité, quand on nous juge, on ne nous donne aucun argument valable. Ces personnes recherchent presque toujours l’attaque, l’affront ou le mépris. Leurs raisonnements sont très réducteurs.

  • Elles manquent d’auto-critique. Elles ne sont pas capables de mettre en valeur leurs propres actes et leurs propres mots pour voir qu’elles commettent des erreurs ou qu’elles peuvent faire du mal. Elles se limitent à projeter toutes les critiques sur les autres.

  • En général, les personnes habituées à juger notre chemin n’ont pas de vie authentique, de goûts affirmés, ni de passions qui les aident à relativiser les choses et à arrêter de se concentrer sur les autres.

http://amelioretasante.com/

La réalité de la peur


Souvent les peurs, cache un mal-être plus profond de nous qui empêche de s’épanouir
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La réalité de la peur

 

Nous n’avons pas peur du noir,
Nous avons peur de ce que nous pouvons trouver dedans.
Nous n’avons pas peur de la hauteur,
Nous avons peur de tomber.
Nous n’avons pas peur des gens autour de nous,
Nous avons peur d’être rejeté(e).
Nous n’avons pas peur de l’Amour,
Nous avons peur de ne pas être aimé(e).
Nous n’avons pas peur du lâcher prise,
Nous avons peur de voir les choses telles qu’elles sont.
Nous n’avons pas peur de recommencer,
Nous avons peur de nous blesser à nouveau.
(Anonyme)