Il y a des jours ou tout est gris et terne, c’est jours-la il ne faut jamais désespérer car le soleil brillera de nouveau
Nuage
Froide
« Froide est la douleur de croire que la chaleur ne reviendra jamais. »
de John Berger
Aimer la vie, malgré les aléas que cette vie nous apporte, s’arrêter pour voir les bons côtés pour surpasser les problèmes. Aimer la vie simplement et croire que nous faisons partie de ceux qui embellissent la vie
Nuage
Aimer la vie
C’est d’abord apprendre à s’aimer soi-même,
à accepter ses limites, s’y adapter.
À reconnaître ses forces, les utiliser.
C’est avoir un rêve assez puissant pour y croire
passionnément, assez grand pour qu’il soit envahissant,
assez beau pour qu’il égaye chaque jour.
C’est avoir la certitude que nous sommes une étincelle,
une étincelle venue rayonner, le temps d’un passage.
C’est croire que nous avons une mission et que
nous pouvons l’accomplir malgré les obstacles.
C’est croire en soi, en autrui, en la vie.
C’est voir toutes les beautés du monde au-delà
des nuages, voir tous les élans du coeur avec les
yeux de l’âme.
C’est créer à travers le geste, la parole, le regard.
Créer et recréer son existence, créer la plénitude du
moment et tendre vers l’espoir.
C’est abandonner sa solitude première, s’ouvrir au
regard et aux paroles des autres.
C’est croire que la vraie liberté est intérieure, qu’elle
brise les chaînes et donne la clé qui mène vers la lumière, cette lumière qui nous fait…
Aimer la vie
Auteur inconnu
La photographie ne cesse d’évoluer, que certains y ont perdu des plume. La photo numérique a surplanter la photographie telle que nous l’avons connu. Tout comme la cabine photo ou des gens pour le plaisir ou par besoin s’amusaient a immortalisé en image, seul ou avec leur amour ou des amis dans un espace public est appelé a disparaitre ..du moins en Amérique du Nord.
Nuage
L’adieu au photomaton
Jeffrey Grostern, de l’entreprise montréalaise Auto-Photo Canada, et l’un des derniers photomatons argentiques noir et blanc qu’il lui reste.
Photo: fournie par Auto-photo Canada
Stéphane Champagne
La Presse
Nouveau revers pour la photographie argentique. L’un des derniers – sinon le dernier – photomaton argentique noir et blanc à Montréal a récemment été retiré de la circulation. Signe des temps, il a été remplacé par une cabine numérique. D’ailleurs, si la tendance se maintient, tous les photomatons argentiques du Canada, qu’ils soient en couleurs ou en noir et blanc, auront disparu d’ici cinq ans.
La disparition annoncée des photomatons n’est plus la prédiction d’un simple illuminé, mais plutôt celle de Jeffrey Grostern, vice-président d’Auto-Photo Canada, une entreprise montréalaise qui exploite près de 400 photomatons d’un bout à l’autre du pays, dont une vingtaine dans le métro de Montréal. Selon lui, les deux derniers photomatons noir et blanc au pays se trouvent actuellement en Saskatchewan, et leurs jours seraient comptés…
Ailleurs dans le monde, pourtant, les vieux appareils pourraient survivre au XXIe siècle. En Europe, on se les arrache. Jeffrey Grostern vient encore d’expédier sur le Vieux Continent quelques photomatons noir et blanc dans lesquels les Canadiens n’étaient plus prêts à déposer 3$ en échange d’une bande de quatre photos d’identité.
Les Allemands, les Autrichiens et les Français en sont particulièrement épris. Par exemple, à Berlin, certains vieux photomatons sont installés directement sur le trottoir. Et à deux ou trois euros la séance, ils n’en finissent plus de tirer le portrait des quidams, dit Jeffrey Grostern.
Les nostalgiques d’Amérique du Nord peuvent cependant garder espoir : on retrouve encore quelques vieilles cabines aux États-Unis. Refusant de voir disparaître cette icône de la culture populaire, une Américaine d’Oakland, en Californie, s’est procuré un photomaton noir et blanc auprès d’Auto-Photo Canada.
Sur les 400 appareils exploités par l’entreprise montréalaise, près de la moitié sont encore des cabines argentiques couleur.
« Mais ils sont de moins en moins rentables. Les gens veulent des choses plus récentes, comme des cabines numériques «, explique M. Grostern, dont la famille fait des affaires depuis 1953.
Les nouvelles cabines photographiques, dit-il, permettent plusieurs options (couleur ou noir et blanc, formats d’impression variés, etc.). Certains modèles offrent même des arrière-plans en lien direct avec l’endroit où ils sont installés. Par exemple, dans le sous-sol du Biodôme de Montréal, là même où Auto-Photo a retiré son dernier photomaton noir et blanc l’automne dernier, il est possible d’être photographié avec un animal grâce à la magie du numérique.
D’ailleurs, pourquoi utilise-t-on encore les photomatons? Pour le plaisir d’être, sur un coup de tête, photographié seul, en amoureux, en famille ou entre amis. Mais aussi lorsque l’on a besoin in extremis de joindre une photo à un CV ou à une demande de visa, par exemple.
Pour les aficionados québécois de la bonne vieille photo argentique noir et blanc, sachez que Jeffrey Grostern possède encore dans ses ateliers de Montréal quelques photomatons qu’il est possible de louer.
« C’est très populaire dans les mariages «, dit-il. Ainsi, pour environ 1500 $, vous aurez un photomaton tout ce qu’il y a de plus rétro à votre disposition.
À ce prix-là, c’est « photos à volonté «. Un technicien est d’ailleurs présent toute la soirée pour solutionner tout problème éventuel, voire pour renouveler les chimies dans les bains de développement. L’industrie des vieux photomatons est tellement en perte de vitesse qu’il ne subsiste plus qu’un seul fabricant (en Russie) de papier photo compatible avec ce type de cabine.
Une histoire presque centenaire
Le premier photomaton aurait vu le jour aux États-Unis au milieu des années 20. Mais ce n’est que 30 ans plus tard qu’il devait connaître son envol. C’est d’ailleurs à cette époque que la famille Grostern s’est lancée en affaires en installant des photomatons dans les magasins Woolworth du Canada. Les cabines couleur sont apparues dans les années 70. Le numérique est apparu 25 ans plus tard.
Jeffrey Grostern a donc grandi entouré de photomatons. Il possède des photos de lui à tous les âges. Sa frimousse s’est souvent d’ailleurs retrouvée parmi celles qui enjolivaient l’extérieur des cabines.
Ce n’est donc pas un hasard si le musée Élysée de Lausanne, en Suisse, a demandé à M. Grostern de lui fournir des photos personnelles prises dans des photomatons au cours des 30 dernières années. Le patron d’Auto-Photo fera donc partie de l’exposition Derrière le rideau – L’esthétique photomaton, qui sera présentée là-bas de février à mai 2012.
Vous avez envie de vous replonger dans l’univers des photomatons ? Louez le film Le fabuleux destin d’Amélie Poulain, dont l’intrigue secondaire tourne autour d’un photomaton et d’un mystérieux personnage qui figure sur de nombreux clichés. Sinon, visitez http://www.photobooth.net, un site où l’on célèbre le photomaton sous toutes ses formes.
Jeffrey Grostern, de l’entreprise montréalaise Auto-Photo Canada, et l’un des derniers photomatons argentiques noir et blanc qu’il lui reste.
Ce n’est vraiment pas brillant ce genre de canular, de plus cela doit peut etre déranger le monde de vie de ces oiseaux. Qu’est ce que cela peut lui donner de faire une telle chose sauf de payer une forte amende pour ce genre de stupidité
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Grant Michael Teahan peignait les ailes des busard avec une bombe aérosol puis les relâchait dans la nature
© Shutterstock
La justice néo-zélandaise a condamné à une amende mardi un fermier de 39 ans qui peignait en rouge les ailes de busards, faisant ainsi croire aux ornithologues qu’une nouvelle espèce de faucons avait été découverte.
Les ornithologues de Nouvelle-Zélande se sont interrogés sur la découverte d’une nouvelle espèce de busards lorsque plusieurs de ces oiseaux, munis d’ailes rouges, ont été aperçus en 2009 près de Dannevirk, a rapporté la presse australienne.
Ces oiseaux avaient en fait été attrapés par Grant Michael Teahan, un fermier de 39 ans, qui leur peignait les ailes avec une bombe aérosol puis les relâchait dans la nature.
«Vous piégiez ces faucons, les peigniez et attendiez la publicité que vous génériez localement», a déclaré le juge Geoff Rea, en prononçant la sentence.
Le canular a été découvert lorsqu’un des oiseaux a été percuté par une voiture, et qu’on a pu attribuer sa couleur à de la simple peinture et non à une mutation génétique.
L’homme a été condamné à une amende de 5 000 dollars néo-zélandais (5 321 dollars) et à payer les frais à hauteur de 15 000 dollars (15 966 dollars) de la société de protection des animaux qui avait porté plainte contre lui.
Il fut un temps ou on enlevait les amygdales systématiquement, ne sachant pas vraiment a quoi qu’elles servaient Aujourd’hui, les scientifiques pensent que leur rôles ont une grande importance aux niveaux des émotions, C’est une avenue qui mérite d’être plus étudiées
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©Shutterstock
Agence QMI
COLUMBUS, Ohio – Des scientifiques américains estiment que l’amygdale joue un rôle dans l’expression de toutes nos émotions, et pas seulement dans l’expression de la peur comme on le pensait.
«La peur est une émotion très intéressante à étudier. Nous avons par exemple beaucoup appris sur le comportement des animaux en nous penchant sur ce qui leur fait peur», a expliqué Wil Cunningham, l’un des chercheurs de l’Université de l’État de l’Ohio, aux États-Unis.
Il a précisé que presque toutes les études s’accordent pour dire que l’amygdale s’active lorsque les gens ont peur, mais, selon lui, elle s’active aussi lorsqu’ils regardent de beaux paysages ou des visages heureux.
«L’Amygdale est beaucoup plus subtile qu’on ne peut le croire, a commenté le scientifique. Elle traduit en émotion chacune des situations auxquelles les sujets sont confrontés. Chez les gens de nature anxieux, l’amygdale réagit face à une image effrayante. Mais si les gens ont faim, leur amygdale s’active à la vue d’une image de nourriture, et s’ils sont de nature empathique, leur amygdale s’active en présence d’autres personnes.»
Les conclusions de cette étude sont publiées dans le numéro de février du «Psychological Science», le journal de l’Association pour la science psychologique.
Malgré qu’il s’est excusé de son commentaire a vue de plusieurs réactions, il semble que les avis sont assez partagés .. du pour et du contre. Certains dans leurs commentaires vont même parler de la réintégration de la peine de mort. Disons qu’a mon avis, il y a été un peu fort, mais je pense que les tueurs de meurtre crapuleux et des meurtriers d’enfants, n’ont pas des sentences a leur juste mesure. Les peines ne sont pas assez sévère et ils ont quand même plus de soutiens que les victimes et de l’entourages des victimes .. et ce aux frais de l’État Bref, si nous avions perdu un être cher qui serait assassinée .. notre opinion serait-elle différente ?
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Crédit photo : Archives Agence QMI
TVA Nouvelles
Le sénateur conservateur Pierre-Hugues Boisvenu y est allé mercredi d’une déclaration qui risque de faire beaucoup réagir.
Quelques jours avant le lancement de la Semaine nationale de prévention du suicide, le sénateur a en effet déclaré que
chaque assassin devrait avoir «droit à sa corde dans sa cellule». «Il décidera de sa vie», a-t-il ajouté.
Peu après 11h, Pierre-Hugues Boisvenu a tenu à spécifier sur les ondes de LCN que cette déclaration a dépassé sa pensée.
«C’est un commentaire qui me venait d’une autre victime dont un proche a été assassiné et ça a été de ma part un commentaire désobligeant que je n’aurais pas dire publiquement», a dit le sénateur lors d’un entretien avec Paul Larocque.
«C’est un commentaire que je n’aurais pas dû faire et je m’en excuse», a aussi ajouté le sénateur, qui a précisé que le tout est survenu lors d’une discussion ouverte.
«En politique ça arrive des fois», a terminé le sénateur Boisvenu
Des études scientifiques prouvent que notre perception peut aider a mieux affronter nos journées … Si nous commençons notre journée par des pensées positives, par des images mentales que nous aimons dès le réveil, la journée commencera du bon pied ..
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Les effets de la pensée positive confirmés
© Shutterstock
Voilà une étude qui confirme une fois de plus les effets bénéfiques de la pensée positive.
Trois études, réunissant 756 personnes, ont demandé aux volontaires de penser à quelque chose qui les faisait sentir bien dès le lever du lit, par exemple des enfants avec un chapeau, un lever de soleil, etc. Cette pensée pouvait aussi revenir au cours de la journée.
Puis, lorsque les personnes rencontraient des obstacles ou des instants plus difficiles, elles devaient penser à des moments où elles avaient été fières d’elles, par exemple leur remise de diplôme.
Cette approche s’est avérée fructueuse chez les patients, qui ont ainsi vu leur santé s’améliorer, notamment par une réduction de la pression sanguine.
Aussi, ce positivisme leur a apporté des bienfaits, comme le fait de vouloir faire plus d’activités physiques et mieux suivre les traitements médicaux qu’on leur avait prescrits.
Penser à des images agréables permet donc d’avoir une meilleure santé et de surmonter les obstacles avec le sourire.
http://sante.canoe.com