Cette mante fleur est une œuvre d’art sur pattes


Une mante religieuse, porte bien son nom mante fleur. Elles sont très belles. Elle peut fondre dans un environnement floral.
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Cette mante fleur est une œuvre d’art sur pattes


Crédits : Marga­ret Neville

par  Malaurie Chokoualé Datou

En ce dimanche 1er septembre, Marga­ret Neville se prome­nait tranquille­ment dans sa ferme du KwaZulu-Natal, une province de l’Afrique du Sud, quand une forme remarquable a attiré son atten­tion. Cette œuvre d’art sur pattes, presque trop belle pour être réelle, était une petite mante fleur (pseudo­creo­bo­tra wahl­bergi), rapporte msn.com.

La mante fleur porte parti­cu­liè­re­ment bien son nom. Sa morpho­lo­gie se calque sur celle des fleurs pour se fondre dans son envi­ron­ne­ment. Avec ses ailes blanches et vertes, et son corps orné de petites struc­tures violettes, la mante ressemble à une déli­cate sculp­ture. On la trouve notam­ment dans le sud et dans l’est du conti­nent afri­cain.

Ravie, Marga­ret Neville a donné un nom à cette mante qui avait élu domi­cile dans sa lavande : Miss Frilly Pants

« Elle a passé tout le mois de septembre sur ma lavande », explique Neville, qui l’ob­serve avec régu­la­rité. « Elle est toujours là actuel­le­ment. »

Neville a en outre partagé sa décou­verte sur les réseaux sociaux, pour le plus grand plai­sir des inter­nautes.

Crédits : Marga­ret Neville

Source : msn.com

https://www.ulyces.co/

Une mante religieuse surprise en train de manger… des poissons


Les mantes religieuses sont des prédateurs redoutables pour les autres insectes, et pour les petits oiseaux comme les oiseaux-mouches. Les mantes asiatiques vont même à la pêche aux petits poissons durant la nuit. Et d’après les observations ces mantes sont de très bonnes pêcheuses
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Une mante religieuse surprise en train de manger… des poissons

 

 

Une mante religieuse surprise en train de manger du poisson. Crédits : RAJESH PUTTASWAMAIAH

par Brice Louvet

Le régime alimentaire des mantes religieuses est plutôt varié : insectes, lézards, amphibiens, oiseaux, etc. Ce que les biologistes ignoraient, c’est que les mantes sont également capables d’attraper et de manger du poisson. Du moins jusqu’à présent.

La scène se passe en Inde : des chercheurs expliquent en effet avoir observé il y a quelques jours une mante religieuse en train d’attraper et de manger des petits poissons (guppy). Une première dans la littérature scientifique.

«Les mantes religieuses peuvent être considérées comme des prédatrices généralistes, mais elles sont connues pour se nourrir principalement d’autres insectes, en particulier des insectes semblables à des mouches», expliquent les chercheurs dans leur étude, publiée dans le Journal of Orthoptera Research.

 Les rencontres avec des vertébrés sont généralement induites en laboratoire, mais elles sont rarement observées dans la Nature. Ici en revanche, il est question de poisson.

Hierodula tenuidentata, une mante asiatique de 5,6 centimètres de long, semble en effet très à l’aise avec la pêche. L’un des chercheurs ici concernés – le conservateur Rajesh Puttaswamaiah – a en effet observé l’insecte en pleine action dans le petit étang artificiel de son jardin, rempli de 40 poissons guppy. Positionnée sur les nénuphars, la mante se servait alors de ses mandibules pour attraper les petits poissons qu’elle menait directement à sa gueule

«Au cours des cinq jours d’étude, on a observé que la mante avait capturé et dévoré un total de neuf poissons», expliquent les chercheurs. «Un poisson a même été attrapé et mangé dans les 10 à 30 minutes après qu’un précédent avait été dévoré».

Une observation surprenante compte tenu des capacités physiques des mantes religieuses :

«Bien que les yeux composés de la plupart des mantes soient apposés, sensibles au mouvement et adaptés à la vision surtout en plein jour, celle-ci a pu voir et attraper les poissons la nuit et surmonter les problèmes de réfraction, notent les chercheurs. Les poissons ont été capturés près de la surface de l’eau, toujours après le coucher du soleil, parfois tard dans la nuit, et en général, dans des conditions de faible luminosité».

«Il y a une croyance populaire selon laquelle les insectes sont des organismes simples et câblés. En réalité, ils sont capables de comportements incroyablement complexes», conclut de son côté Gavin Svenson, entomologiste au Cleveland Museum of Natural History (États-Unis), interrogé par le National Geographic. «Je crois que nous ne faisons qu’effleurer ce que nous savons d’eux.»

Source

https://sciencepost.fr/

Les mantes religieuses mangent des cerveaux d’oiseaux et c’est plus préoccupant qu’on ne le pensait


Si vous pensiez que les mantes religieuses ne mangeaient que des insectes, vous n’avez pas tout à faite raison, car elles se nourrissent aussi des cerveaux de petits oiseaux. C’est la nature qui veut cela. Le problème par exemple, les Américains achètent en grand nombre des mantes religieuses et les relâchent dans le jardin comme antiparasitaire naturel. Sauf que cette méthode met en danger des espèces d’oiseaux comme le colibri et provoque un déséquilibre de l’écosystème
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Les mantes religieuses mangent des cerveaux d’oiseaux et c’est plus préoccupant qu’on ne le pensait

 

OM VAUGHAN VIA L’UNIVERSITÉ DE BÂLE

Par Marius François

Une petite faim? Le plat du jour est un cerveau de colibri sur son lit d’araignée.

SCIENCES – La nature fait rêver mais peut aussi tourner au cauchemar. On savait que certaines mantes religieuses tuaient des oiseaux pour manger leur cerveau mais la situation semble plus répandue et plus alarmante qu’on ne pouvait l’imaginer.

L’Université de Bâle en Suisse a sorti un rapport intitulé « Les mantes religieuses chassent les oiseaux partout dans le monde » révélant l’ampleur du phénomène. Bien que ces animaux se nourrissent principalement d’araignées et d’insectes en tout genre, il arrive qu’elles s’attaquent à de petits oiseaux. Ce comportement a été observé dans 13 pays différents, sur tous les continents (hors-Antarctique) selon les chercheurs. Les victimes sont nombreuses et variées avec 24 espèces différentes d’oiseaux touchées.

Live Science explique que les scientifiques ont compilé de nombreux documents et observé des enregistrements de mantes religieuses chassant des oiseaux. Ils ont réussi à recenser 147 cas, le premier datant de 1864, la majorité d’entre eux répertoriés entre 2000 et 2015. L’oiseau le plus observé dans le rôle de la victime dans ces documents est le colibri à gorge rubis aux États-Unis.

Le site Newsweek a complété ces découvertes par l’interview de deux scientifiques qui n’ont pas participé à l’étude. Ces derniers ont détaillé les méthodes de l’insecte pour s’attaquer à des proies aussi importantes.

Les mantes religieuses « percutent le crâne [de l’oiseau] pour se nourrir de tissus cérébraux » raconte le biologiste William Brown, de l’Université de New York.

L’écologiste Dietrich Mebs ajoute: « Elles tiennent juste leur proie et elles les mangent pendant qu’elles sont encore vivantes, lentement, lentement, jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien. » Bon appétit!

Si vous ne saviez pas que les mantes religieuses mangeaient des oiseaux, cette nouvelle doit vous surprendre mais la principale nouveauté réside surtout dans l’impact négatif que peut avoir cette pratique sur les écosystèmes.

Le travail des chercheurs fait le lien entre le développement de ces pratiques et l’achat massif de mantes religieuses par les Américains qui les lâchent dans leur jardin pour lutter contre les insectes. L’inconvénient, c’est que l’espèce tue aussi les papillons et les oiseaux.

« Notre étude montre les menaces que les mantes religieuses posent à certaines populations d’oiseaux », explique Martin Nyffeler, l’auteur principal de l’étude. « Ainsi, une grande prudence est conseillée lors de la libération de mantes religieuses pour la lutte antiparasitaire. »

 

https://www.huffingtonpost.fr/

Cinéma 3D pour des mantes religieuses afin de comprendre leur vision


Grâce à des lunettes 3D conçues pour des mantes religieuses, les chercheurs sont aperçu que cet insecte avait une vision particulière. Elles ont une vision en 3D, mais différente à l’humain.. Elles s’attardent nullement aux images fixes, seulement au moment qu’elles bougent. Ce constat permettrait peut-être à améliorer la vision des robots
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Cinéma 3D pour des mantes religieuses afin de comprendre leur vision

 

Equipées de ces mini lunettes aux lentilles colorées,... (MIKE URWIN, NEWCASTLE UNIVERSITY UK VIA AFP)

Equipées de ces mini lunettes aux lentilles colorées, fixées avec de la cire d’abeille, les mantes religieuses ont eu droit à une séance de cinéma 3D avec visionnage de proies. L’illusion a marché, les mantes ont cherché à les attraper.

MIKE URWIN, NEWCASTLE UNIVERSITY UK VIA AFP

 

Agence France-Presse

Les mantes religieuses voient la vie en 3D, mais d’une façon différente de nous, ont annoncé jeudi des chercheurs, selon lesquels cette découverte pourrait permettre de simplifier les processus de vision des robots.

L’homme, comme les singes, les chats, les chevaux, les chouettes ou encore les crapauds voient en trois dimensions. Mais la mante religieuse est le seul insecte connu à disposer de cette vision stéréoscopique.

Ce type de vision permet d’évaluer les distances aux choses. Chacun de nos yeux perçoit le monde qui l’entoure de façon légèrement différente et notre cerveau fusionne le tout pour former une seule image, en relief.

Une équipe de l’Institut de Neuroscience de l’Université de Newcastle (Royaume-Uni) a eu l’idée de créer des lunettes miniatures 3D pour étudier la vision des mantes religieuses.

Equipées de ces mini lunettes aux lentilles colorées, fixées avec de la cire d’abeille, les insectes ont eu droit à une séance de cinéma 3D avec visionnage de proies. L’illusion a marché, les mantes ont cherché à les attraper.

Les chercheurs leur ont ensuite montré des images plus complexes. Ce qui leur a permis de découvrir que les mantes avaient une vision 3D très différente de celle de l’homme.

« Les mantes ne s’attaquent qu’à des proies en mouvement, donc elles n’ont pas besoin de traiter des images fixes », déclare Vivek Nityananda, de l’Université de Newcastle dans une vidéo. « Nous avons découvert que les mantes ne se préoccupent pas des détails de l’image, mais se contentent de regarder là où l’image change », ajoute-t-il.

L’homme en revanche est très performant sur les images fixes, soulignent les chercheurs dont l’étude est parue jeudi dans le journal Current Biology.

Cette découverte d’un mécanisme de vision 3D simplifié pourrait trouver des applications en robotique.

Actuellement, « de nombreux robots utilisent la vision stéréoscopique pour naviguer, mais celle-ci est généralement basée sur la vision stéréo humaine complexe », relève Ghaith Tarawneh, coauteur de l’étude.

Ce qui nécessite beaucoup de puissance d’ordinateur.

Développer une vision 3D « rustique », comme celle de l’insecte, dont le cerveau est très petit, devrait permettre d’économiser de la puissance. Cela pourrait s’appliquer par exemple aux drones.

http://www.lapresse.ca/

Ce gang de mantes religieuses est prêt à l’attaque


Adrian Kozakiewicz, un jeune passionné allemand, à un passe-temps assez spécial. Il est devenu éleveur d’insectes professionnel. Il a filmé des mantes religieuses prêtes au combat. Mais l’histoire ne dit pas qui sera la gagnante, car ils sont comme figés sur place
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Ce gang de mantes religieuses est prêt à l’attaque

 

Le Saviez-Vous ► 20 superstitions étranges à travers le monde


 

Il y a beaucoup de superstitions dont on ne sait même pas l’existence, ou bien qu’on a entendu vaguement parler. Celle de l’araignée, l’auteur a beaucoup d’humour en ce qui attrait aux pluies extrêmes qu’à connu le Québec. Bref, les superstitions ne peuvent avoir aucune influence sur nous, sauf si on lui donne de l’importance
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20 superstitions étranges à travers le monde

Qui ne voudrait pas attirer la chance et repousser les malheurs ? Qui ne voudrait pas prédire le beau temps et s’assurer une vie prospère ? À vous de décider de vous fier – ou non – à ces 20 superstitions étranges.

PAR NADINE DESCHENEAUX

1. Casser de la vaisselle en morceaux

Superstitions: casser une assiette pour la chance

photosync/shutterstock

L’une des superstitions étranges serait de casser un verre blanc signe que la chance vous attend… Avant de partir de chez vous pour une longue période – les vacances, par exemple –, il serait aussi avisé de briser une assiette sur le sol et d’observer une minute de silence pour vous prémunir contre les malheurs. Et vous pouvez aussi garder votre vaisselle brisée durant l’année et la distribuer sur l’entrée des maisons de personnes que vous aimez, le 31 décembre au soir, pour leur porter chance durant la nouvelle année. Alors si vous trouvez des morceaux de vaisselle sur votre porche le matin du jour de l’An ce n’est pas que vos voisins ont trop fêté, mais que quelqu’un vous veut du bien !

2. Ne jamais laisser tomber le portefeuille

Si vous ne voulez pas perdre de l’argent, vous devriez éviter de laisser votre portefeuille ou même votre sacoche toucher le sol. Cette superstition venue du Brésil attirerait les malheurs financiers !

3. Les ciseaux devins…

Échapper des ciseaux alors que vous êtes enceinte vous révélera le sexe de votre bébé : vite, décorez pour une chambre d’une fillette ! Laisser des ciseaux ouverts entraînera de grandes dépenses, gare à votre portefeuille. Et s’ils tombent et se plantent eux-mêmes dans le sol, un décès suivra… Mais, les Égyptiens les glissent sous les oreillers de ceux qui font des cauchemars pour qu’ils retrouvent un sommeil paisible.

4. La crotte de chien… synonyme de chance

Superstitions: la crotte de chien signe de chance

Africa Studio/Shutterstock

Malgré ce qu’on peut en penser, marcher dans une crotte de chien pourrait vous sourire. Si vous écrabouillez la crotte du pied gauche, c’est gagnant : cela vous porte chance. Mais si vous y mettez le pied droit, gare au malheur qui plane.

5. Un nouveau balai dans une nouvelle maison

Vous déménagez? Vite, jetez votre vieux balai et achetez-en un nouveau. Il éloignera les esprits malicieux de votre nouveau chez vous ! Mais toutefois, ne vous avisez jamais de balayer la nuit : cela pourrait soit réveiller les âmes des personnes décédées dans votre maison, déclencher une dispute ou même attirer la pauvreté.

6. Se couper les ongles au mauvais moment

Superstitions: se couper les ongles la nuit

iordani/Shutterstock

Au Japon, se couper les ongles la nuit porte malheur et jusqu’à prédire que vous ne serez pas avec vos parents lors de leur mort tandis qu’en Inde, ce geste ferait en sorte que vous pourriez perdre des objets minuscules, mais de grandes valeurs par la suite. Un autre moment à éviter pour vous couper les ongles : le mardi. Malchance à prévoir !

7. Rencontrer une mante religieuse

Superstitions: la mante religieuse pour retrouver son chemin

Yzoa/shutterstock

Plus besoin de votre GPS ! En effet, si vous êtes perdu, mais avez la chance de rencontrer au même moment (!!) une mante religieuse, vous pourrez retrouver votre route. Vous n’avez qu’à suivre la route qu’elle vous indique avec ses deux pattes d’avant. Bonne chance !

8. La visite de sorcières

Si dans votre prochain voyage au Vermont vous remarquez des fenêtres inclinées sur les parois, en hauteur, des maisons, c’est que ses habitants voulaient éviter que des sorcières ne visitent leur demeure. Aussi, la superstition des chats noirs porteurs de malheur vient aussi du fait qu’ils étaient les animaux de compagnie des sorcières.

9. Pleurer avant son mariage

En Chine, une promise doit pleurer tous les jours du mois qui précède son mariage… et au moins une heure chaque fois ! Ensuite, plus la date approche, la mère et la grand-mère doivent se joindre au concert de pleurs ! Ouf ! Et, ici, dans un baptême, un bébé qui pleure devrait ravir les invités même si ses pleurs leur transpercent les oreilles. Un enfant qui ne pleure pas voudrait dire qu’il ne vivrait pas longtemps !

10. Une araignée dans les vêtements

Une araignée dans les vêtements que vous souhaitez mettre ce matin ? Ne hurlez pas : vous aurez une rentrée d’argent ! Même chose si une araignée a décidé de se laisser descendre de son fils juste au-dessus de vous ! Si les araignées s’activent sur leurs toiles, c’est qu’il fera chaud dans les prochains jours ! En Finlande, si vous tuez une araignée, il pleuvra le lendemain. Selon nos observations, probablement, que beaucoup de Québécois auraient tué des araignées ce printemps !

11. Se cacher le nombril lors d’orages

Pendant un orage où le tonnerre gronde et les éclairs traversent le ciel, les Japonais demandent aux enfants de se cacher le nombril. Autrement, le dieu du tonnerre lui-même – Raiden – pourrait venir le voler. Aussi, selon la journée qu’a lieu l’orage, sa signification n’est pas la même. Un jeudi, c’est signe de prospérité alors qu’un samedi laisse présager la maladie ou même la mort. Et pour la foudre, si vous avez peur… dormez ! Une superstition veut qu’un éclair ne tombe jamais sur quelqu’un qui dort.

12. Laisser fonctionner un ventilateur

Superstitions: Corée, le danger du ventilateur

Take Photo/Shutterstock

La « fan death » est une croyance répandue en Corée. Il ne faut pas laisser en marche un ventilateur dans une pièce dont vous avez fermé la porte pendant que vous dormez. Selon eux, vous risquez de ne jamais vous réveiller. Les ventilateurs qui sont vendus dans le pays seraient désormais munis d’une minuterie les empêchant de fonctionner toute une nuit.

13. Une mouche dans son verre

Lors de votre prochaine soirée sur une terrasse, ne pestez pas si vous retrouvez une mouche dans votre verre. Considérez-vous chanceux ! C’est le signe que le destin a choisi de vous envoyer pour vous dire que les prochains temps seront prospères ! Qui l’eut cru !

14. S’allumer une cigarette avec une bougie

Allumer une cigarette à partir d’une bougie causerait la mort d’un marin, selon une superstition venue de Lituanie. Laisser une bougie s’éteindre toute seule dans une pièce vide porterait malheur de même de ne jamais la laisser se consumer totalement si on ne veut pas attirer la malchance sur un être aimé.

15. Une technique pour soigner un mal de tête

Des superstitions pour soulager le mal de tête

gpointstudio/shutterstock

Soyez bien préparé pour soigner votre prochain mal de tête. Selon une croyance américaine, vous devez appuyer votre pouce sur votre palais. Vous pouvez aussi décrire votre mal en détail sur un bout de papier et le brûler ensuite.

16. Le comportements des oiseaux

Observer les oiseaux peut être révélateur de grandes informations… pas toujours des plus fiables, mais sûrement amusantes. Ils volent bas près d’un cours d’eau ? Il pleuvra bientôt. Les espèces migratrices reviennent plus tôt que prévu ? Le prochain hiver sera pénible. Vous quittez votre maison et un oiseau vous frôle ? Vous recevrez des nouvelles réjouissantes avant votre retour à la maison. Un oiseau qui vole de gauche à droite annonce de bonnes choses, mais en sens contraire, c’est mauvais signe !

17. Les superstitions associées au mariage

Certaines superstitions ont la vie dure, mais ont tout de même subi quelques transformations au fil des ans. À l’origine, on lançait du riz à la sortie des mariés sur le perron de l’église pour couvrir de chance la fertilité du couple. Puis, cette superstition s’est métamorphosée et on lance plutôt des pétales de rose, des confettis et aussi des bulles de savon. Toutefois, d’autres superstitions sont demeurées. Si la mariée ne veut pas pleurer durant son mariage, elle doit éviter de porter des perles.

Pour mettre toutes les chances d’un mariage heureux, la mariée doit porter 4 objets : un neuf, un vieux, un emprunté et un bleu. Pour marcher vers l’autel, il serait préférable de partir du pied droit. Afin d’attirer la richesse et éloigner les soucis financiers, il faudrait coudre une pièce de monnaie au jupon de la robe de mariée ou la mettre au fond du soulier du marié. Même le mois du mariage est lourd de superstition et de présages pour la vie à venir si on en croit ce calendrier particulier.

18. Les chiffres malchanceux et chanceux

Les superstitions entourant le chiffre treize

ChameleonsEye/Shutterstock

Le 13 porterait malchance ! Tellement que bien des ascenseurs n’arrêtent pas au 13e étage, ils passent directement du 12e au 14e étage. Bien des hôtels n’ont pas de chambre contenant le chiffre 13. Un soulagement pour ceux qui souffrent de triskaïdékaphobie : la phobie du chiffre 13. En Asie, l’équivalent de ce chiffre malchanceux est le 4 qui se prononce comme le mot « mort ». Pour contrecarrer la malchance, il faut miser sur le 7 et le 8, considérés comme les chiffres chanceux !

19. Les superstitions liés à la météo

La température et ses superstitions

BBA Photography/Shutterstock

Les superstitions météorologiques vous encouragent à essayer le temps qu’il fera demain ou la saison prochaine ! Un chat qui se lave en passant sa patte par-dessus son oreille annoncerait la pluie, mais laver de l’argent avec l’eau de pluie vous prémunit contre le vol. La pluie durant un enterrement assure le bon voyage de l’âme et pendant un mariage, elle annoncerait une vie heureuse. Pour attirer la chance, oubliez les trèfles à quatre feuilles impossibles à trouver et lavez-vous les mains avec la rosée du matin. Quand l’eau dans une source est bien froide, il fera chaud dans les prochains jours.

20. Les superstitions à table

Trinquer sans regarder les autres dans les yeux vous accablerait d’années de mauvais sexe. Renverser du sel porte malheur, mais en lancer une pincée par-dessus son épaule permet de conjurer le mauvais sort et, au Danemark, en échapper par terre est chanceux. Croiser des couteaux serait signe d’un malheur à venir de même que si vous coupez les deux croûtes d’un même pain (à l’origine, on disait que vous vouliez faire entrer le diable chez vous !).

http://selection.readersdigest.ca

Les mantes religieuses mangent des cerveaux d’oiseaux et c’est plus préoccupant qu’on ne le pensait


Je savais que les mantes religieuses mangeaient des insectes, mais pas les tissus cérébraux des oiseaux. Aux États-Unis, pour être écolo, certains les utilisent comme antiparasitaire. Sauf que malheureusement, les oiseaux en souffrent
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Les mantes religieuses mangent des cerveaux d’oiseaux et c’est plus préoccupant qu’on ne le pensait

 

TOM VAUGHAN VIA L’UNIVERSITÉ DE BÂLE

Marius François

Journaliste au HuffPost

Une petite faim? Le plat du jour est un cerveau de colibri sur son lit d’araignée.


 

SCIENCES – La nature fait rêver mais peut aussi tourner au cauchemar. On savait que certaines mantes religieuses tuaient des oiseaux pour manger leur cerveau mais la situation semble plus répandue et plus alarmante qu’on ne pouvait l’imaginer.

L’Université de Bâle en Suisse a sorti un rapport intitulé « Les mantes religieuses chassent les oiseaux partout dans le monde » révélant l’ampleur du phénomène. Bien que ces animaux se nourrissent principalement d’araignées et d’insectes en tout genre, il arrive qu’elles s’attaquent à de petits oiseaux. Ce comportement a été observé dans 13 pays différents, sur tous les continents (hors-Antarctique) selon les chercheurs. Les victimes sont nombreuses et variées avec 24 espèces différentes d’oiseaux touchées.

Live Science explique que les scientifiques ont compilé de nombreux documents et observé des enregistrements de mantes religieuses chassant des oiseaux. Ils ont réussi à recenser 147 cas, le premier datant de 1864, la majorité d’entre eux répertoriés entre 2000 et 2015. L’oiseau le plus observé dans le rôle de la victime dans ces documents est le colibri à gorge rubis aux États-Unis.

Le site Newsweek a complété ces découvertes par l’interview de deux scientifiques qui n’ont pas participé à l’étude. Ces derniers ont détaillé les méthodes de l’insecte pour s’attaquer à des proies aussi importantes.

Les mantes religieuses « percutent le crâne [de l’oiseau] pour se nourrir de tissus cérébraux » raconte le biologiste William Brown, de l’Université de New York.

L’écologiste Dietrich Mebs ajoute: « Elles tiennent juste leur proie et elles les mangent pendant qu’elles sont encore vivantes, lentement, lentement, jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien. » Bon appétit!

Si vous ne saviez pas que les mantes religieuses mangeaient des oiseaux, cette nouvelle doit vous surprendre mais la principale nouveauté réside surtout dans l’impact négatif que peut avoir cette pratique sur les écosystèmes.

Le travail des chercheurs fait le lien entre le développement de ces pratiques et l’achat massif de mantes religieuses par les Américains qui les lâchent dans leur jardin pour lutter contre les insectes. L’inconvénient, c’est que l’espèce tue aussi les papillons et les oiseaux.

« Notre étude montre les menaces que les mantes religieuses posent à certaines populations d’oiseaux », explique Martin Nyffeler, l’auteur principal de l’étude. « Ainsi, une grande prudence est conseillée lors de la libération de mantes religieuses pour la lutte antiparasitaire. »

 

http://www.huffingtonpost.fr/

Une Mante religieuse transparente qui mange


Voir a travers un organisme vivant en train de déguster un repas pour certains trouverais cela dégoutant alors que c’est plutôt intéressant surtout quand c’est un insecte
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Une Mante religieuse transparente qui mange

 

La mante Sinomantis denticulata est une espèce de Mante proche de la Mante Religieuse, elle se trouve en Chine et a la particularité d’être transparente

 

 

http://www.laboiteverte.fr

Une mouche fait des ravages dans les ruches


Le  syndrome d’effondrement des colonies chez les abeilles inquiète tout les apiculteurs et avec raison, mais en trouver la cause n’est pas une sinécure, déjà plusieurs suspects sont mit sous études, un autre viens s’ajouter et serait peut-être responsable de l’abandon des ruches
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Une mouche fait des ravages dans les ruches

 

Une mouche fait des ravages dans les ruches

Archives La Tribune

Charles Côté
La Tribune

(MONTRÉAL) Une équipe de chercheurs croit avoir identifié la cause de la mystérieuse épidémie qui frappe les abeilles, particulièrement en Amérique du Nord.

La découverte est survenue par hasard. Un biologiste de la San Francisco State University a recueilli des abeilles mortes pour nourrir une mante religieuse qu’il venait de capturer. Mais il a oublié ce «lunch» dans une fiole sur son bureau. Quelques jours plus tard, des larves de mouches pullulaient dans la fiole.

Cette espèce de mouche, appelée Apocephalus borealis, était connue pour s’attaquer aux bourdons, mais pas aux abeilles domestiques.

Les scientifiques ont ensuite observé que la mouche infecte l’abeille en pondant des oeufs dans son abdomen. Quelques jours plus tard, l’abeille quitte la ruche, souvent la nuit et souvent aussi en se dirigeant vers une source de lumière, des comportements contre nature.

«Nous avons même trouvé sous les lampadaires de l’université des abeilles ayant quitté la ruche pendant des nuits froides et pluvieuses, alors qu’il n’y avait aucun autre insecte», notent les chercheurs dans leur article publié cette semaine dans la revue PLoS One.

Comportement modifié

«Peut-être que l’A. borealis manipule le comportement de l’abeille en changeant son rythme circadien, sa sensibilité à la lumière ou d’autres aspects de sa physiologie», spéculent les chercheurs.

Plusieurs parasites des insectes virus, champignons ou autres insectes modifient le comportement de leurs victimes.

L’abeille meurt dans la journée qui suit son excursion. Sept jours après la ponte, plusieurs larves, en moyenne 13, mais jusqu’à 25, émergent du cou de l’insecte. Elles deviennent adultes 25 jours plus tard.

 «Cela donne aux mouches un potentiel de multiplication rapide», affirment les scientifiques.

L’équipe a ensuite découvert que plus des trois quarts des ruches de la région de San Francisco ainsi que d’autres au Dakota du Sud étaient infestées.

Dans une ruche qu’ils ont observée en laboratoire, jusqu’à 38 % des abeilles étaient touchées.

De plus, les chercheurs se sont rendu compte que les mouches pourraient être porteuses de deux maladies qui touchent les abeilles.

Donc, tout cela porte à croire qu’il y a un nouveau suspect dans l’enquête scientifique sur le syndrome d’effondrement des colonies (colony collapse disorder ou CCD), constaté officiellement en 2007 par l’Académie nationale des sciences des États-Unis.

Ce mal frappe de nombreuses colonies d’abeilles. Les insectes meurent ou abandonnent leur ruche en masse. Il a été porté au compte d’une mite parasite (le varroa), de virus, de moisissures, de nouveaux pesticides ou d’une combinaison de ces facteurs.

Selon Jean-Pierre Chapleau, porte-parole de la Fédération des apiculteurs du Québec, cette découverte «soulève bien des questions». «Premièrement, est-ce qu’on a cet insecte au Québec?» demande-t-il.

Il n’a pas été possible de répondre à cette question hier. Toutefois, une carte publiée par les chercheurs américains indique que la mouche est répandue d’un bout à l’autre des États-Unis, y compris dans le Maine et l’État de New York.

Il ajoute que le Québec n’est pas encore touché par le syndrome d’effondrement des colonies, bien que les ruches vivent des difficultés ici aussi.

«On a des pertes hivernales qui sont documentées de façon statistique, dit-il. On a aussi des pertes en saison de production. Elles sont très difficiles à mesurer de façon scientifique, mais elles paraissent dans la production.»

 

http://www.cyberpresse.ca