Le Saviez-Vous ► La diaspora québécoise ou l’incroyable histoire des Tremblay d’Amérique


Qu’on en commun Hilary Clinton, Angélina Jolie, Madona, Tiger Wood, Tom Landry, ils ont tous des racines au Québec que ce soit par leur naissance ou parents. Au Québec, on sait que la poutine, le Cirque du Soleil, certaines recherches scientifiques ont la côte en Amérique, et même ailleurs dans le monde. Pourtant, peu savent que dans divers domaines que ce soit artistique, politique, sportif nous ne savons pas grande chose .. Il m’arrive parfois de faire des recherches sur des personnes vues a la télé surtout sur le côté américains et il est surprenant de voir que beaucoup ont un lien de parenté ou sont carrément né dans notre province
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La diaspora québécoise ou l’incroyable histoire des Tremblay d’Amérique

 

Jacques Noël

 

« Chaque Québécois devrait savoir qu’une partie importante de son histoire s’est déroulée ailleurs sur le continent, voire au milieu du Kansas.» (Dean Louder)

La reine de la pop s’appelle Madonna en mémoire de sa mère, Madonna Fortin; c’est assez connu (chez les Fortin d’Amérique du moins…).

Le père de la Beat Generation parlait joual, sa langue maternelle, celle de ses parents nés dans le Bas-Saint-Laurent. C’est assez connu (et pas seulement chez les Kirouac d’Amérique…).

Mais qui sait que la plus belle femme au monde (2009) s’appelle Angelina en mémoire de son arrière-grand-mère, Angélina Leduc, née à Sainte-Anne-de-la-Pérade? Que le père des Grammys  est né à Valleyfield? Le père de la «Kalachnikov américaine», à St-Rémi-de-Napierville? La reine du burlesque, dans les Cantons de l’Est?

Combien de fois avons-nous entendu parler des Prix Nobel juifs? Des sprinteurs jamaïcains? Des chefs français? Des peintres hollandais? Des designers italiens? Des musiciens allemands? Des écrivains russes? Des joueurs de soccer brésiliens? Des hommes d’affaires américains?

Mais rarement des célébrités québécoises. Notre petit peuple sans nom (on le change à chaque génération!), et sans histoire(s) ajouterait Durham, a produit toute une gamme d’artistes, d’écrivains, de sportifs, de pionniers, de politiciens, de découvreurs et de patenteux de génie sur ce continent qui l’a enfanté. La diaspora de ce peuple sans nom (appelons-le Les Tremblay d’Amérique du nom de la plus grosse famille) est d’une richesse et d’une variété inouïes. Mais inconnue et surtout ignorée des Québécois, pourtant si ouverts sur le monde, mais pas sur leur monde!

Le père du golf américain -l’ancêtre de Tiger Wood- s’appelait Ouimet; sa famille venait de Terrebonne. Disney a fait un film sur son histoire en 2005.

La mère des cowboys gays de Brokeback Mountain s’appelle Proulx. Hollywood a fait un film qui fait encore jaser (parlez-en à Dédé Boisclair…)

L’un des plus influents journalistes américains s’appelle Dionne. Il prie en français avec ses enfants. Et l’un des plus brillants caricaturistes au monde s’appelle Trudeau, cousin lointain de notre poteux de Papineau.

Le meilleur écrivain voyageur au monde s’appelle Theroux. Et parle français aussi.

Le génie derrière l’élection du premier président noir est un Plouffe et le recordman de la course à la présidence américaine est un Larouche. Huit fois mon père!

Napoléon Lajoie détient le record de la plus haute moyenne au bâton de l’histoire du baseball: .426 Rodger! Sa famille venait de Saint-Pie-de-Bagot.

Tom Landry est considéré comme l’un des plus grands coachs de l’histoire de la NFL. C’est un descendant d’Acadiens, qui sont passés par le Québec et l’Illinois, avant d’atterrir au Texas.

La liste est longue, le parcours de notre diaspora impressionnant. Elle brille dans les arts, les sports, la science, la politique, l’économie. Pourtant, elle est à peu près inconnue des Québécois. Elle est surtout absente de notre univers socio-politico-culturel, centré sur le «Nous» de la Vallée du Saint-Laurent. Exit l’autre moitié de notre «Nous» familial, exit quatre siècles d’histoire commune.

L’histoire des mastectomies d’Angelina Jolie est fort éloquente et témoigne de l’absence totale de la diaspora dans notre représentation collective. On a rappelé, des jours durant, la mort de sa mère, Marcheline Bertrand, terrassée prématurément par un cancer des ovaires. Mais on est complètement passé à côté de ses origines québécoises. De la famille Bertrand, originaire de St-Jacques-de-Montcalm. De sa grand-mère Leduc, de Sainte-Anne-de-la-Pérade.

Liza Minelli est en spectacle à Montréal. On lui parle de tout sauf de sa grand-mère, Émilie Odile Lebeau, fille de Flavien Charles Lalouette dit Lebeau, originaire de St-Benoît des Deux-Montagnes.


Hillary Clinton fait une conférence à Montréal. Pas un mot sur ses ancêtres Nicolas Godé et Françoise Gadois, première famille montréalaise mon Rozon.

Certes, la réussite des Québécois à l’étranger, de la Croisette au Red Carpet, est largement médiatisée (et parfois passablement gonflée par nos Herby en herbes…). C’est même devenu notre carte de visite à l’étranger, notre grande fierté. Céline, c’est NOTRE Céline. Le Cirque, c’est NOTRE cirque (avant la vente aux Ricains). Et la poutine -en pleine expansion dans les snacks branchés de la planète- NOTRE poutine évidemment. Mais la diaspora? La diaspora des Tremblay d’Amérique? Cette immense diaspora que notre peuple a produite sur ce continent, et même au-delà? Rien. Nada. Nothing. Niente. Elle n’existe tout simplement pas dans notre représentation collective.

Comme les Juifs, les Grecs, les Chinois, les Italiens et les Irlandais, notre histoire a façonné une immense diaspora de quelque 13 millions de personnes en Amérique du Nord et même au-delà. Cette diaspora atteint aujourd’hui les plus hauts sommets de la réussite dans le monde des arts, des sports et de la politique. Hélas nous en sommes coupés.

Jacques Noël est l’auteur du livre La Diaspora québécoise (Édition GID).

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Le bronzage artificiel formellement interdit aux moins de 18 ans


Je pense que c’est une bonne chose et ce même si certains adolescent (e)s ne seront pas content de voir qu’ils ne peuvent plus se faire bronzer dans les salons de bronzage. De toute façon, personne ne devrait utiliser ces appareils. C’est comme titiller les cellules pour devenir cancéreuses
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Le bronzage artificiel formellement interdit aux moins de 18 ans

 

PHOTO: ARCHIVES THE NEW YORK TIMES

La Presse Canadienne
Québec

L’Assemblée nationale a adopté à l’unanimité mardi le projet de loi 74, visant à prévenir les cancers de la peau causés par le bronzage artificiel chez les jeunes.

Ce projet de loi vient interdire l’offre ou la vente de services de bronzage artificiel par rayons ultraviolets aux Québécois âgés de moins de 18 ans. De plus, toute publicité en faveur du bronzage artificiel devra contenir une mise en garde sur ses effets nocifs et mentionner l’interdiction d’accès aux salons de bronzage pour les mineurs.

Selon le ministre de la Santé et des Services sociaux, Yves Bolduc, les rayons ultraviolets sont nettement plus intenses que les rayons solaires naturels et l’exposition au bronzage artificiel pendant la jeunesse augmente de beaucoup le risque de développer un mélanome, la forme la plus meurtrière du cancer de la peau.

Des lois ou règlements similaires existent déjà ailleurs au Canada et dans le monde, notamment en Nouvelle-Écosse, en Colombie-Britannique, dans de nombreux États américains et dans plusieurs pays européens, dont la France et l’Allemagne.

La Société canadienne du cancer, l’Institut national de santé publique du Québec, l’Association des dermatologistes du Québec, l’American Academy of Dermatology et l’Organisation mondiale de la santé soulignent depuis plusieurs années les risques du bronzage artificiel.

http://www.lapresse.ca

L’hiver québécois plus mouillé qu’avant


Pendant qu’en Europe les gens gèlent chez nous c’est une température saute mouton .avec beaucoup moins de neige, des journées vraiment douces assez pour avoir neige, verglas et pluie en une seule journée .. L’industries des sports d’hiver en prennent un coup car la température n’assurent pas un temps idéal pour ceux qui aiment les activités extérieures en cette saison. Quoiqu’il en soit … nous sommes témoins de ces changements climatiques .. malgré que nous connaitrons surement d’autres hivers québécois comme dans le temps
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L’hiver québécois plus mouillé qu’avant

L'hiver québécois plus mouillé qu'avant

Même si le climat québécois est très variable et que le réchauffement climatique ne peut expliquer la douceur de cet hiver, une tendance à long terme existe.

Photo: Etienne Ranger, Le Droit

Benjamin Tanguay
La Presse

(Montréal) Les amateurs de sports d’hiver ont connu de meilleures saisons. Piètre qualité des patinoires extérieures, annulation de l’International de hockey d’antan de Saint-Jean-sur-Richelieu, retards dans la saison de ski de fond. Plusieurs attribuent nos déboires hivernaux aux changements climatiques.

Ils ont en partie raison. Même si le climat québécois est très variable et que le réchauffement climatique ne peut expliquer la douceur de cet hiver, une tendance à long terme existe. D’après les données d’Environnement Canada, entre les mois de novembre et de janvier, la station météorologique de Saint-Hubert recevait en 2009 en moyenne 12 centimètres de neige de moins qu’en 1953 et 12 millimètres de pluie supplémentaires.

C’est très probablement une conséquence des changements climatiques et on peut penser que la fréquence de gel et de dégel va continuer d’aller en augmentant», commente André Cantin, météorologue à Environnement Canada.

Alors que les températures moyennes n’ont augmenté que de 0,3 degré Celsius depuis 1953, le paysage hivernal montréalais change graduellement. La quantité de neige au sol pendant la période des Fêtes, par exemple, a diminué de moitié au cours des 15 dernières années.

Se préparer au pire

Les changements climatiques inquiètent tellement que des experts se penchent sur les effets qu’ils auront sur l’industrie touristique dans les 40 prochaines années.

«C’est sûr qu’on va avoir une certaine diminution de l’achalandage pour certains sports d’hiver», prévient Michel Archambault, titulaire de la Chaire de tourisme Transat, et chercheur au consortium sur la climatologie régionale et l’adaptation aux changements climatiques. «Les activités les plus à risque sont la motoneige et le ski de fond.»

L’important, c’est de concevoir des solutions pour pallier nos hivers de plus en plus doux. Michel Archambault cite les efforts d’adaptation de l’industrie du ski alpin et est certain que d’autres sports d’hiver sauront tirer leur épingle du jeu.

«On pourrait avoir des circuits de ski de fond plus petits, mais plus enneigés», dit-il à titre d’exemple.

Mais pour M. Archambault, la détérioration des conditions hivernales au Québec ne sera pas un grand désavantage pour la province.

«Si on compare le Québec à l’Ontario ou aux États-Unis, on est tout de même en bonne position. Leur météo connaîtra encore plus de variations que la nôtre au cours d’un même hiver, avance-t-il. Et puis nos pertes en hiver seront compensées par un été plus long et plus chaud que ceux qu’on connaît présentement.»

Climat et météo

Le climat change, ce qui ne veut pas dire pour autant que la météo ne nous réserve pas d’autres hivers de temps froid.

«Les changements climatiques ne sont qu’un bruit de fond dans ce qui influence la météo et sont éclipsés par d’autres facteurs comme les courants marins ou les maximums solaires, relativise André Cantin d’Environnement Canada. Et puis, notre climat québécois connaît de fortes variations d’année en année.»

http://www.cyberpresse.ca

Succession ►Payer pour ne pas hériter


Devenir un héritier, normalement c’est pour recevoir des avoirs du défunt, mais ce n’est pas toujours le cas. Certains laissent trop de dettes en guise de testament et ce que les héritiers. Ce qui devient un cauchemar pour ceux qui reste. Bien sur on peut refusé mais encore une grosse dépense a prévoir pour renoncer au testament
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Succession ►Payer pour ne pas hériter

 

Payer pour ne pas hériter

Crédit photo : Journal de Montréal

Manon Brunet a eu une mauvaise surprise en octobre lorsque la fille de son ex-mari lui a appris que ses enfants de 25 et 19 ans héritaient des dettes de son ex-conjoint

Par Christine Bouthillier | Journal de Montréal

De plus en plus de Québécois doivent débourser des centaines de dollars pour éviter de se retrouver avec des dettes léguées par testament.

Le nombre de renonciations à une succession en est constante progression depuis cinq ans, ayant passé de 2446 en 2006 à 3136 pour les 11 premiers mois de 2011.

Selon la loi, refuser une succession doit se faire par acte notarié ou, plus rarement, devant le tribunal. Si les héritiers n’y renoncent pas officiellement, ils sont présumés de l’avoir acceptée.

«Les créanciers vont demander des preuves de la renonciation, explique le notaire David Dolan. Devant un notaire, on est sûr de l’identité de la personne et de la validité de la date. Celle-ci est très importante, car un refus doit être fait à l’intérieur de six mois.»

Trop cher?

Le prix habituel d’une telle démarche varie entre 300 et 500 $, sans les taxes.

«Pour moi, je n’ai pas ça, 600 $ (taxes incluses) dans un coussin à la banque», déplore Manon Brunet.

Cette serveuse a eu une mauvaise surprise en octobre lorsque la fille de son ex-mari lui a appris que ses enfants de 25 et 19 ans héritaient des dettes de son ex-conjoint. Ce dernier n’avait pas modifié son testament après son divorce.

Elle a décidé de payer elle-même le refus de succession.

«Je ne vois pas pourquoi mes enfants, dont mon ex-mari n’est pas le père, paieraient pour mon choix d’homme», explique-t-elle.

Elle voit mal comment elle pourrait débourser une telle somme tout de suite. Par contre, elle a appris qu’elle pourra effectuer le paiement en plusieurs versements.

Frustrant, mais justifié

«C’est vrai que c’est frustrant, mais ce n’est pas payé cher pour se libérer l’esprit, ne pas avoir de dettes et se protéger», estime M. Dolan.

Il explique que la préparation d’un avis de renonciation de succession peut prendre plusieurs heures au notaire, dont les honoraires s’élèvent en moyenne à 100- 150 $/heure. Des frais d’environ 50 $ s’ajoutent en documents et copies.

Le notaire doit notamment prendre connaissance des documents (testament, etc.), s’assurer de la validité des informations et transmettre des écrits à divers organismes gouvernementaux, sans compter son travail auprès du client.

Pour Manon Brunet, toutes ces démarches n’ont servi qu’à enrichir des notaires : celui avec qui la renonciation de succession a été effectuée et celui avec qui le testament a été rédigé.

«Ça a changé au complet ma façon de voir un testament. Pour moi, c’était une façon de protéger les proches, confie-t-elle. Si j’avais été là quand on a fait le testament, si j’avais accepté cette responsabilité, ça irait. Là, tu peux mettre qui tu veux sur ton testament et qu’il s’arrange avec, qu’il paye!»

REFUS DE SUCCESSION:

2011 : 3136 (11 mois)

2010 : 3167

2009 : 3017

2008 : 2787

2007 : 2660

2006 : 2446

Source: ministère de la Justice

http://tvanouvelles.ca

Perdre du poids à tout prix .


Il n’y a pas 56 solutions pour perdre du poids, bien manger et faire de l’exercices, l’un ne vas pas sans l’autre .. Des recettes miracles, ne peuvent qu’aggraver leur santé et les résultats seront peut être spectaculaire mais probablement pas a long terme ..
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Perdre du poids à tout prix .

Perdre du poids à tout prixpar Dominique Forget

Quatre Québécois sur dix font des efforts pour perdre des kilos ou maintenir leur poids, révèle une enquête de l’Institut de la statistique du Québec.


Parmi eux, 36 % ont eu recours à une méthode draconienne pour atteindre leur objectif au cours des six mois précédant la collecte de données.

Les répondants avaient suivi un régime sévère ou un programme d’amaigrissement commercial, ou encore eu recours à des méthodes telles que ne pas manger pendant toute une journée, prendre des laxatifs ou se faire vomir. Ces méthodes étaient surtout populaires chez les femmes.

L’équipe de recherche considère ces approches comme étant potentiellement dangereuses pour la santé et rappelle l’importance de miser sur l’activité physique ainsi que sur la consommation de fruits et légumes pour le maintien d’un poids santé.

http://www.lactualite.com

Sondage Léger Marketing ►La température a perdu le nord


Avec l’hiver bizarre que nous avons, il est clair que la météo nous intéresse ne fut que pour prévoir un peu a l’avance comment on s’habiller et sur cette année, se demander si on ajoute un article insolite en plein mois de Janvier.. le parapluie. Les tempête de neige nous y sommes habitués et c’est normale mais le verglas et la pluie devient un gros problèmes pour plusieurs d’entre nous ..
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Sondage Léger Marketing ►La température a perdu le nord

 

La température a perdu le nord

Crédit photo : Agence QMI

Selon un sondage effectué par Léger Marketing, la pire des météos pour les Québécois n’est pas le froid extrême, mais les précipitations de pluie verglaçante. Voici les résultats d’un sondage effectué du 17 au 18 janvier 2012 et auquel 500 personnes ont répondu.

L’enfer du verglas

Pour les Québécois la pire calamité n’est pas le froid extrême ni même la chaleur intense, mais bien le verglas causé par les variations rapides de température. La neige, la canicule, l’humidité, la pluie, les orages ou même la « sloche » sont des désagréments secondaires par rapport au verglas.

(photo: Journal de Montréal)

Quelle est la température

Est-ce qu’on sort aujourd’hui ? Comment je m’habille ? Est-ce qu’ils prévoient de la neige ? Peux-tu augmenter le chauffage ? Combien de temps cela me prendra pour me rendre à mon travail ce matin ? Les variations de température nous obligent à nous poser ces questions tous les jours.

La météo est devenue le sujet de l’heure au Québec bien avant le sport et la politique. 80% des gens consultent la météo tous les jours et plus de 90% en parlent avec leur entourage.

Croire aux prévisions?

Les prévisions météorologiques sont de plus en plus précises. Dans une vaste étude, Météo France estime que 94% des prévisions d’un jour sont exactes et 70% des prévisions trois jours aussi. Ils affirment que la prévision à trois jours a la même qualité aujourd’hui que la prévision à un jour qu’ils faisaient dans les années 80.

(photo: Journal de Montréal)

Mais les Québécois demeurent encore sceptiques. Seulement 59% croient aux prévisions météo alors que 35% n’y croient pas, mais ils vont quand même y jeter un coup d’oeil, au cas où.

Vive le soleil!

Les trois quarts des Québécois affirment qu’ils sont plus heureux lors d’une journée ensoleillée. Qu’il fasse chaud ou qu’il fasse froid, pourvu que le soleil soit au rendez-vous. Il y a en moyenne 102 heures de soleil par mois en janvier, 124 heures en février et 159 heures en mars et cela augmente jusqu’à 274 heures en juillet. Au moins, on s’en va dans la bonne direction.


(photo: Journal de Montréal)
Le secret de l’hiver

L’hiver divise le Québec en deux. Ceux qui font du sport extérieur aiment l’hiver alors que ceux qui se protègent à l’intérieur haïssent l’hiver. C’est simple au lieu de subir l’hiver, apprivoisez-le. Sortez, bougez, amusez-vous et profitez de l’hiver. Et vous allez retrouver le sourire et … le Nord.

http://tvanouvelles.ca

La “poutine” à … Boston


Je n’aime pas la poutine, des frites molles dans la sauce beurk !!!! Mais bon, c’est un plat que beaucoup de mes congénères québécois aiment … malgré les calories qu’elles contiennent .. mais chez nos voisins américains, ou tout est avec excès voici des poutines complètement réinventées
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La “poutine” à … Boston

Considérée par certains comme le plat national des québécois, la poutine est désormais au menu de plusieurs établissements partout au Canada.

Dans cette vidéo (en anglais) que je vous propose de regarder, vous verrez qu’elle est aussi très populaire à Boston, parfois avec des variantes qui s’éloignent substantiellement de la recette originale

http://www.soscuisine.com

Criminalité Les Québécois sondés par le Ministère


J’ai fait le sondage, mais je suis déçue par les questions car je ne crois pas que cela changera les moyens de façon de procéder pour une meilleur protection
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Criminalité

Les Québécois sondés par le Ministère

Gouvernement du Québec, 2011

Eric Thibault
Le Journal de Montréal

Les Québécois sont-ils plus préoccupés par le crime organisé, la violence faite aux jeunes, les fraudeurs à col blanc ou les cas de corruption et de collusion ?

On le saura bientôt puisque la population québécoise a enfin son mot à dire sur les sphères de la criminalité auxquelles le gouvernement devrait s’attaquer avec plus de mordant.

Depuis lundi, le ministère de la Sécurité publique offre aux citoyens de participer à une consultation, sur son site Internet, pour l’aider à «déterminer les enjeux et les priorités sur lesquels le Ministère travaillera au cours des quatre prochaines années», avec son plan stratégique 2012-2016.

«C’est la première fois qu’un tel sondage est mis en ligne», a précisé Marie-Michelle Lacasse, la responsable des communications du Ministère, en ajoutant qu’on avait pris le pouls des Québecois par le biais de groupes de discussions, il y a quatre ans.

Sentiment de sécurité

Les répondants sont notamment appelés à choisir «les trois phénomènes criminels les plus préoccupants» parmi le trafic de drogue, la corruption, la menace terroriste, la pornographie juvénile, la violence conjugale, le taxage, la cyberintimidation et la contrebande de cigarettes, entre autres.

Québec sonde aussi les citoyens sur les mesures que le Ministère devrait mettre en place de façon prioritaire afin d’«augmenter leur sentiment de sécurité ».

On demande aussi à la population d’aider l’État à mieux la préparer pour faire face à des sinistres d’origine naturelle, comme les dernières inondations en Montérégie et l’aide financière publique subséquente, qui ont suscité la grogne.

Reste maintenant à savoir quel poids représentera l’avis des contribuables dans l’élaboration des orientations ministérielles par les hauts fonctionnaires et le ministre, Robert Dutil.

À la Sécurité publique, Marie-Michelle Lacasse a fait valoir qu’il s’agissait d’un élément «important» qui sera «pris en compte» dans la détermination des enjeux ciblés et des objectifs à atteindre par le Ministère.

On peut répondre au sondage jusqu’au 18 décembre, à l’adresse suivante : www.securitepublique.gouv.qc.ca

http://fr.canoe.ca/

Un Québécois boucle le tour du monde à pied


Je lui lève mon chapeau a lui d’avoir parcourus de telles distances et d’aller jusqu’au bout de son projet . et je l’envie .. et a sa conjointe et enfants qui ont accepté et encourager cet homme a cet éloignement de plusieurs années .. Heureusement qu’Internet a pu quand même les garder en contacts
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Un Québécois boucle le tour du monde à pied

Jean Béliveau photographié lors de son passage sur les rives du lac Ontario.

Jean Béliveau photographié lors de son passage sur les rives du lac Ontario.

Photo: Kilian Fichou, AFP

Michel Viatteau
Agence France-Presse
Kingston

Le tour du monde à pied en onze ans: parti pour oublier une dépression, revenu rayonnant de bonheur d’avoir réalisé son rêve, un Québécois quinquagénaire est sur le point de boucler un périple totalement inédit.

Grand, maigre, barbe grise de trois jours éclairée d’un large sourire, Jean Béliveau aligne de belles foulées derrière une poussette ornée du drapeau canadien et transportant son sac de couchage et quelques vêtements.

Il traverse Kingston, au bord du lac Ontario, une des dernières étapes avant Ottawa et Montréal, son point de départ où il doit être accueilli en triomphe le 16 octobre.

Il marche vite, essoufflant l’équipe de l’AFP qui le suit pendant 24 heures, mais sait s’arrêter pour grignoter sans se presser, raconter un souvenir ou bavarder avec des inconnus avec qui il établit le contact en un instant.

L’aura qu’il dégage est celle d’une liberté totale: il ne sait pas où il va dormir, ne dépend de personne, n’a que très peu d’argent… Et cela dure depuis onze ans.

À Montréal, il retrouvera sa compagne Luce qui l’a soutenu tout au long de son extraordinaire aventure et créé son site internet, wwwalk.org.

Jean a quitté la cité québécoise le 18 août 2000, le jour de ses 45 ans et après la faillite de sa petite entreprise d’enseignes lumineuses. Grand amateur de jogging, il décide de courir autour du monde pour effacer cet échec.

Luce et ses deux enfants d’une précédente union ne cherchent pas à le retenir. «C’est cool», commente à l’époque son fils Thomas Eric.

Jean Béliveau court jusqu’à Atlanta, dans le sud des États-Unis, puis trouve un rythme plus lent pour ce qui semble être la plus longue marche ininterrompue autour du monde: plus de 75 000 km à travers 64 pays.

Entre-temps, Luce l’encourage à inscrire son projet dans le cadre de la décennie de l’Unesco 2000-2010 pour la non-violence et pour l’avenir des enfants du monde.

En onze ans, il aura traversé déserts et montagnes. Il tombe amoureux au Mexique – pour neuf jours – porte turban et grande barbe au Soudan, mange des insectes en Afrique, du chien en Corée et du serpent en Chine, est escorté – lui, marcheur pour la paix – par des soldats aux Philippines.

Il ne tombe sérieusement malade qu’une fois et se fait soigner avec succès en Algérie, n’est attaqué que par deux jeunes voleurs ivres en Afrique du Sud, et, arrêté à Addis Abeba sans savoir pourquoi, est relâché le lendemain.

Le plus grand moment de désespoir survient aussi en Éthiopie, où il se sent rejeté, sans contact avec les gens, y compris les enfants, qu’il rencontre sur son chemin. C’est Luce, de loin, qui le convainc de continuer.

«Après la nourriture et le toit, l’homme a besoin du sentiment d’appartenance», commente-t-il aujourd’hui.

En revanche, il est subjugué par la sympathie de l’immense majorité des gens qu’il croise, à commencer par les Américains.

Il a certes dormi sous les ponts, dans des foyers pour sans-abri, voire dans des prisons, mais a souvent été invité à dormir et manger chez des gens séduits par son aventure.

Du coup, parti avec 4000 dollars et n’ayant jamais eu de commanditaires, c’est approximativement la somme qu’il a dépensée chaque année, grâce à sa compagne, avec qui il communique souvent par Skype.

Aujourd’hui, il n’a pas plus d’argent, mais se sent enrichi.

«Je suis parti vide, mais je suis revenu avec un bagage intellectuel», dit ce «libre penseur».

Il compte écrire un livre, donner des conférences et prôner «l’harmonie entre les gens et l’écoute de l’autre, le refus du rejet de l’autre».

Sur le plan personnel, c’est une histoire d’amour qui se termine bien.

«Je suis sa Pénélope et il est mon Ulysse», dit Luce, qui est allée chaque année rejoindre son homme à Noël pour une semaine, indépendamment de la distance à parcourir.

http://www.cyberpresse.ca