Le fils français caché d’Adolf Hitler


Je ne sais pas si dans le livre, il parle de comparaisons avec l’ADN, mais sûrement que cela prouverait une fois pour toute son ascendance … mais dans l’article il parle de témoignages et certaines comparaisons scientifiques enfin … Apprendre qu’on est le fils d’Adolf Hitler, doit surement surprendre surtout si la manière de pensée est complètement différente .. cela a du être un secret insupportable pour la mère quand elle a vue qu’elle sorte d’homme était le père.
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Le fils français caché d’Adolf Hitler

EXCLUSIF LE POINT.FR. Le fils français caché d'Adolf Hitler

 

Hitler aurait eu un fils avec une Française ! Celui-ci a voulu faire reconnaître sa terrible ascendance. Avant d’y renoncer sur les conseils de son avocat et de ses enfants… Récit, photos et documents d’époque.

 

Par Jérôme Béglé

« Maître, je suis le fils d’Hitler ! Dites-moi ce que je dois faire. »

François Gibault, avocat parisien, n’en croit pas ses oreilles. L’homme qu’il a devant lui est plutôt grand, parle un français parfait sans accent, et n’a rien d’un hurluberlu. Son histoire édifiante n’en est pas moins vraie.

Engagé en 1914 dans l’armée allemande, le caporal Adolf Hitler combat contre les troupes françaises près de Seboncourt en Picardie. De temps à autre, les soldats sont envoyés à l’arrière pour récupérer, reprendre des forces et parfois… s’amuser. À Fournes-en-Weppe, petite ville située à l’ouest de Lille, Hitler fait la connaissance de Charlotte Lobjoie, une jeune femme d’à peine 16 ans.

« Un jour, je faisais les foins, avec d’autres femmes, lorsqu’on vit un soldat allemand, installé de l’autre côté de la rue, révèle celle-ci à son fils bien des années plus tard. Il avait une sorte de carton et semblait dessiner. Toutes les femmes trouvèrent intéressant ce soldat et se montrèrent curieuses de savoir ce qu’il dessinait. Je suis désignée pour essayer de l’approcher. »

L’inconnu se montre attentif, puis chaleureux, et même amical avec la jeune paysanne. Commence alors une relation qui durera plusieurs semaines.

« Lorsque ton père était là – très rarement -, il aimait m’emmener dans des promenades à la campagne. Mais ces promenades se terminaient en général plutôt mal. En effet, ton père, inspiré par la nature, entreprenait un discours auquel je ne comprenais pas grand-chose. Ne pouvant s’exprimer en français, il déclamait en allemand, s’adressant à un auditoire absent. Si je parlais l’allemand, je ne pouvais le suivre, d’autant plus que l’histoire de la Prusse, de l’Autriche ou de la Bavière ne m’était pas familière, loin de là. Ma réaction mettait ton père en colère en me voyant rester de marbre à ses effets oratoires ! » Sous le petit caporal perçait déjà le tribun illuminé…

Un soir de juin 1917, revenant un peu éméché d’une soirée avec un ami, il se fait très entreprenant auprès de Charlotte. En mars de l’année suivante naît un fils. Aux yeux des enfants du village, le petit Jean-Marie est un « fils de Boche ». Souvent, il fait le coup de poing avec ses camarades pour laver cette infamie. Les années passent, et Charlotte refuse de s’exprimer sur les mystérieuses circonstances de la naissance de son fils. Pire, miséreuse et vaguement honteuse, elle délaisse son fils et le confie à la garde d’un couple plus aisé chez qui l’une de ses soeurs est employée. Cette « nouvelle famille » finira par adopter l’enfant en 1934.

Son « vrai père » de son côté ne le reconnaît pas, refuse de le voir, mais continue de loin en loin à prendre des nouvelles de sa mère. Chose extraordinaire, au début des années vingt, sa famille d’adoption se retrouve propriétaire d’un immeuble à Francfort qu’elle ne paye pas…

Quelques semaines avant de mourir, au début des années cinquante, Charlotte avoue à son fils la véritable identité de son père. Le choc est terrible.

« Afin de ne pas tomber dans l’anxiété, je travaillais sans relâche, ne prenant jamais de vacances, jamais de distraction : 20 ans sans rentrer dans une salle de cinéma », raconta Jean-Marie Loret dans un livre (*) qu’il publia dans l’indifférence générale en 1981 aux éditions de l’Université et de l’Enseignement moderne.

Car au milieu des années soixante-dix, devenu adulte et père de famille, Loret souhaite faire officialiser sa triste ascendance. Il s’adjoint les services d’un historien, retourne sur les lieux de son enfance, interroge quelques rares témoins et diligente une série d’enquêtes : une expertise en méthode d’identification par la physionomie comparative, une autre de l’Institut d’anthropologie et de génétique de l’université de Heidelberg, qui montre notamment que père et fils ont le même groupe sanguin, une étude comparative psychographologique entre Adolf Hitler et Jean-Marie Loret ainsi qu’une comparaison graphologique des écritures des deux hommes. Toutes aboutissent à la même conclusion. Jean-Marie Loret est sans doute le fils d’Adolf Hitler. Des photos plaident également pour cette thèse, tant il y a un « air de famille » entre les deux hommes…

Cette thèse a toujours fait l’objet d’une grande dispute entre historiens. En Allemagne et au Japon elle semble désormais acquise, tandis qu’en France, elle n’a jamais été sérieusement discutée. Pourtant d’autres éléments troublants émergent : il est établi que, pendant l’Occupation, des officiers de la Wehrmacht apportaient des enveloppes d’argent liquide à Charlotte. À la mort de sa mère, Jean-Marie Loret découvrira dans le grenier de la maison des toiles signées « Adolf Hitler » tandis qu’en Allemagne on mettra la main sur un portrait qui ressemblait trait pour trait à celui de sa mère…

« Lorsqu’il vient me voir en 1979, se souvient maître Gibault, j’ai devant moi un homme un peu paumé qui ne sait pas s’il doit se faire reconnaître comme le fils d’Adolf Hitler ou s’il doit effacer tout cela d’un trait de plume. Il éprouve ce que ressentent beaucoup d’enfants naturels : l’envie de retrouver un passé aussi lourd soit-il, mais la peur de retourner de vieilles boues. J’ai énormément parlé avec lui, jouant plus le rôle d’un psychologue que d’un avocat. Certes, il pouvait revendiquer une part des droits d’auteur de Mein Kampf et, pourquoi pas, des comptes en banque que le Führer avait peut-être ouverts en Suisse, mais à 60 ans passés était-ce raisonnable ? Après avoir conversé avec moi et avec ses enfants, il a de lui-même décidé de ne pas révéler son sulfureux état civil. »

Quelques mois plus tard, Jean-Marie Loret publie un livre qui passera inaperçu. Dans la France d’alors, Maurice Papon est ministre du Budget (de 1978 à 1981) tandis que François Mitterrand élu en mai 1981 reçoit René Bousquet à sa table. Au Japon, la télévision publique recevra dans ses studios ce curieux personnage qu’elle présentera comme le fils du dictateur nazi.

Ironie du sort, Jean-Marie Loret s’enrôle dès 1939 dans les corps francs qui se battirent en avant de la ligne Maginot. L’année suivante, son unité mène une bataille violente contre les troupes allemandes dans les Ardennes en 1940. Pendant l’Occupation, il est même contacté par le réseau de la Résistance OCM (Organisation civile et militaire) au sein duquel il porta le nom de « Clément ». Ignorant alors ses origines, il devient naturellement un résistant aux armées hitlériennes. Bon sang saurait mentir…

(*) Ton Père s’appelait Hitler de J.-M. Loret et R. Mathot. Les Dossiers de l’Histoire, éditions de l’Université et de l’Enseignement moderne Click here to find out more!

Par Jérôme Béglé

http://www.lepoint.fr

 

Un compliment


Avez-vous remarquez qu’il est plus facile d’envoyer quelqu’un promener que de donner un compliment ? Pourtant, un compliment c’est si facile a dire et en plus cela donne une raison pour l’autre d’être meilleur et d’être fier
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Un compliment

 

Un compliment pourrait se comparer à une police d’assurance; il doit être renouvelé périodiquement pour conserver sa valeur.

Inconnu

Je ne veux pas savoir …


Quand on veut connaitre une personne, on passe bien au dela de la connaissance extérieur. Nous allons au plus profond a la nature de l’âme. C’est peut-être ce qui nous manque aujourd’hui, d’apprendre a connaître vraiment l’autre …
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Je ne veux pas savoir …

 
Je ne veux pas savoir ce que tu fais pour gagner ta vie.  Je veux savoir ce qui te passionne et si tu as le courage de réaliser tes rêves.

Je ne veux pas savoir quel âge tu as.  Je veux savoir si tu peux tout risquer pour l’amour, pour tes rêves, pour l’aventure de la vie.

Je ne veux pas savoir sous quel signe tu es né.  Je veux savoir si les épreuves de la vie ont ouvert ton coeur, ou si, au contraire, elles l’ont fermé à jamais.

Je ne veux pas savoir si tu dis la vérité ou non.  Je veux savoir si tu peux supporter le poids d’une accusation et ne pas trahir ton âme, si tu es fidèle et si je peux ainsi mettre ma confiance en toi.

Je ne veux pas savoir où tu habites ni combien d’argent tu gagnes.  Je veux savoir si tu peux te relever après avoir connu le désespoir, courbaturé et meurtri jusqu’aux os, et si tu peux ensuite aider tes enfants.

Je ne veux pas savoir qui tu es ni d’où tu viens.  Je veux savoir si tu peux te tenir au milieu du feu avec moi, sans reculer.

Je ne veux pas connaître l’objet de tes études.  Je veux savoir ce qui t’a permis de continuer quand tout allait mal.

Je veux savoir si tu peux être seul avec toi-même, et si tu apprécies ta compagnie dans les moments de solitude.

Oriah Mountain Dreamer

Le saviez-vous ► Origine des tatouages


Tant qu’a parler de tatouage ….  Dire depuis quand il existe le tatouage serait probablement hasardeux, par contre nous savons que cela à commencé dans de lointain pays. Dans ses débuts le tatouage s’il n’était pas fait avec du henné, devait être atrocement douloureux et sujet a divers infections .. chose qui aujourd’hui a beaucoup changer … A notre époque, on peut tatouer n’importe ou sur le corps, bras, dos, langue et même dans les yeux
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Origine des tatouages

L’histoire du tatouage (tatoo) est très difficile à retracer, car même s’il s’agit d’une pratique ancestrale, on ne peut pas encore la situer avec exactitude dans le temps.

Le mot tatouage tire son origine du tahitien « TA-TU » qui dérive lui-même de l’expression « TA-ATOUAS », composée de « TA » (dessin) et « ATOUAS » (esprit). En effet, les indigènes marquaient ainsi leur corps afin de se concilier les grâces, la protection et les faveurs de leur esprit, de leur « ange gardien ».

La première description d’une marque distinctive se trouve dans la bible (gen IV – 15) : « et YHVH mit un signe sur CAïN pour que ne le frappe pas qui le rencontrerait. »

Où et quand le tatouage est-il né ?
Difficile à dire avec certitudes, en tout cas certainement pas en Chine comme le veut une légende tenace ; la légende hindoue de CYRROHEE et BANTAS en fait mention.

Par contre nous avons une preuve et une attestation beaucoup plus scientifiques et irréfutables par la découverte d’une momie d’une prétresse d’HATOR datant de la XIè dynastie (2200 av JC) qui présente clairement des marques de tatouages sur le corps. On peut également voir au musée de Léningrad, le corps d’un guérrier SHIITE conservé dans les glaces pendant quelques 2000 ans, découvert en parfait état de conservation en 1947 et dont les bras sont recouverts de tatouages sophistiqués.

Plus prés de nous et en Europe, on en trouve traces chez les gaulois, les éthnies « britanniques » (CESAR note dans « De bello gallica » que tous les bretons se colorent la peau avec une matière colorante de teinte bleue ».).

Les romains utilisaient le tatouage pour marquer les mercenaires, les esclaves, criminels et hérétiques. Ainsi après la bataille de HASTINGS, le corps décapité et mutilé du roi ARNOLD put être identifié par le mot « EDITH » qu’il portait tatoué sur sa poitrine. Les premiers chrétiens d’orient, et en particulier les Coptes se faisaient tatouer des symboles de leur religion, cette coutume s’est d’ailleurs perpétué longtemps (jusqu’au XXè siècle) parmi les pèlerins de passage à Jérusalem. Au moyen-âge, Rome interdit le tatouage.

HISTORIQUE DU TATOUAGE

Dessin d’un chef maori, 1784 par Parkinson suite au premier voyage du Capitaine James Cook en Nouvelle-Zélande

On connait la vogue du tatouage en extrême orient, particulièrement au Japon où il fut et demeure encore un véritable phénomène traditionnel de société. Sa reconnaissance et sa propagation en Occident date du voyage du capitaine COOK en 1769, lorsqu’il découvre Tahiti. Cook ramena avec lui le prince OMAI dont l’exhibition des tatouages devint une attraction très prisée des salons londoniens.

Divers membres de cette expédition et des suivantes se firent eux-mêmes tatouer.

Tatouages japonais, 1870

En 1891, Samuel O’RILEY, invente la machine à tatouer électrique qui permet de gagner en rapidité et en finesse d’exécution, de diminuer considérablement la douleur et de véhiculer une hygiène plus rigoureuse.



A partir des années 1970, le tatouage se démocratise et devient phénomène de mode touchant toutes les classes de la société, du cadre sup aux artistes ; ceci sous l’impulsion d’artistes tels SPYDER WEBB – LYLE TURTTLE – DON E.HARDY et Georges BOONE. Ce qui était jusqu’à présent l’apanage des marginaux va alors peu à peu séduire artistes, médecins et hommes d’affaires, hommes et femmes confondus.

TECHNIQUE :


Séance de tatouage.

Depuis 1891, date de la première machine à tatouer électrique, les tatouages sont réalisés en occident (du moins par les professionels) au moyen de cet appareil qui travaille à un cadence de 3000 à 5000 piqures/min ; les aiguilles très fines (entre 0,10 / 0,12 mm) sont soudées sur une tige support attachée à la machine. Une fois le motif choisit, le tatoueur procède à un nettoyage antiseptique de la partie à tatouer puis reproduit le tracé du motif soit avec un crayon à main levée, soit au moyen d’un calque transfert ; l’opération proprement dites peut alors commencer. Le contour se pique avec un faisceau de une ou trois aiguilles selon la finesse du trait désirée, ensuite, il procède à l’ombrage (si il y a lieu) puis au remplissage des couleurs avec des faisceaux de 6 à 8 aiguilles assemblées en « rond » ou en « peigne ». Une fois fini, le tatouage est à nouveau nettoyé à l’antiseptique puis recouvert d’une pommade cicatrisante et recouvert d’une compresse stérile non adhérante. Pansement qu’il convient de renouveler 3 fois par jour durant 3 jours.

http://www.kustomtattoo.com

Tatouage pour son chat


Je ne sais pas ce que vous en pensez mais je suis totalement contre ce genre le tatouage des animaux de compagnie juste pour faire une chef d’œuvre.  Le tatoueur qualifie cela de chat ornemental .. Pis quoi encore ???? De plus, il endors le chat pour le tatouer .. comme tout anesthésie cela comporte aussi des risques .. il n’est pas équipée s’il arrivait quelque chose au chat
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Tatouage pour son chat

Tatouage pour son chat

Crédit photo : Timur Rumit, VKontakte

TVA Nouvelles

Un jeune artiste tatoueur de 24 ans fait énormément parler de lui sur les blogues dédiés à son art. Timur Rumit, originaire de la République du Tatarstan en Russie a tatoué son chat, un Sphinx appelé Coco.

(photo: Timur Rumit, VKontakte)

Apparemment, le tatoueur souhaitait que son animal de compagnie ait le même dessin que lui sur la poitrine.

Pour procéder à l’opération tatouage, l’artiste a obtenu l’aide d’un vétérinaire qui a anesthésié Coco. Le tout a duré environ une heure.

Fier de son idée peu commune, le jeune artiste a filmé l’évènement et a pris de nombreuses photos de son œuvre d’art «féline». Il les a placés sur VKontakte, un réseau social s’apparentant à Facebook en Russie.

Les groupes de protection des animaux ont dénoncé le geste en affirmant notamment que le Sphinx aurait pu mourir en raison d’une infection du sang.

(photo: Timur Rumit, VKontakte)

Selon des experts, le tatou du félin pourrait se dégrader plus rapidement que sur la peau humaine et devenir rapidement une tache.

N’empêche, Timur est très fier de son œuvre d’art et considère désormais son animal de compagnie comme étant un «chat ornemental».

Il semble que le tatouage d’animaux soit devenu un mode dans cette région de Russie.

Toutefois, c’est Win Delvoye, un artiste belge qui a tatoué pour la toute première fois des animaux, des porcs, en 2007.

(photo: Timur Rumit, VKontakte)

http://tvanouvelles.ca

Le CRTC veut implanter le 911 par texto


Nous avons adopter facilement le 911,  quand il arrive quelque chose qui demande assistance, c’est  la première chose que nous pensons, ce sont des chiffres facile a se rappeler ou que l’on soit au Canada et aux États-Unis. Mais, ceux qui sont muet ou malentendant, c’est plus compliqué .. Alors que peut-être l’ère des textos pourra aussi servir en cas d’urgence
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Le CRTC veut implanter le 911 par texto


Le CRTC a annoncé hier son intention d’entreprendre un essai de trois mois pour permettre les communications par texto dans les centres d’appels 911. Ridicule, vous dites? Pas du tout, surtout si vous êtes une personne ayant une déficience auditive ou un trouble de la parole.

«Cet essai portant sur la communication par texto est l’un des nombreux projets que le CRTC explore en ce moment dans le but d’améliorer l’accès des personnes ayant une déficience auditive ou un trouble de la parole aux services de communications», a déclaré dans un communiqué Leonard Katz, président par intérim et vice-président des Télécommunications, au CRTC.

L’essai regroupe des personnes préenregistrées de Montréal, Peel, Toronto et Vancouver, qui feront des appels 911 tests. Ces tests devraient permettre de recueillir des renseignements de nature technique et opérationnelle qui permettront d’évaluer la faisabilité du déploiement d’un tel programme à l’échelle nationale.

Cette initiative a été créée suite à une décision rendue en 2009 pour améliorer l’accès de ces personnes aux services 911.

Une belle initiative qui, on l’espère, pourra déboucher sur un véritable programme.

http://www.branchez-vous.com

Agresser un policier dans l’espoir d’être tué


On critique beaucoup le travail des policiers pourtant ce n’est pas une profession très facile, c’est une grande responsabilité d’utiliser une arme a feu envers des personnes qui semblent être dangereux pour la vie des autres et pour leur propre vie .. Alors quand une personne suicidaire a choisi de se faire tuer par un policier cela devient difficile a accepter, même si c’est un problème rare chez nous, il en demeure pas moins que chaque fois qu’une personne meure par un tir policier, ils doivent rendre des comptes envers la déontologie policière, les médias, les civils et surtout envers eux-même …
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Agresser un policier dans l’espoir d’être tué

Agresser un policier dans l'espoir d'être tué

Sur le mur d’un immeuble résidentiel situé à deux pas de la scène de crime, on peut lire ce graffiti: «Une balle, un flic». Indice ou pure coïncidence?

Photo: Ivanoh Demers, La Presse

Marie-Claude Malboeuf
La Presse

Au Québec, rares sont les citoyens qui agressent un policier dans l’espoir d’être abattus, mais, en Amérique du Nord, ils se comptent par dizaines.

D’après une étude réalisée par l’Université de Californie et l’Université de Toronto auprès de 90 services de police au Canada et aux États-Unis, plus du tiers (36%) des civils atteints par balle dans le cadre d’une opération policière voulaient être tués.

Dans leur quête suicidaire, ceux-ci n’hésitent pas «à blesser et à tuer les autres», écrit l’auteur principal de l’étude, Kris Mohandie, en précisant que cela s’est produit une fois sur trois entre 1998 et 2006.

«Le fait que la plupart des sujets soient des hommes dans leur quatrième décennie de vie, avec des relations perturbées et une histoire d’emploi instable, les apparente à d’autres profils de délinquants comme les tueurs de masse, les harceleurs et certains croyants violents», note aussi le chercheur.

À ses yeux, intervenir auprès d’eux nécessite donc un «haut degré de vigilance pour la sécurité des civils et des autres policiers».

Chose certaine, les agents qui finissent par décharger leur arme ont du mal à s’en remettre. Leur réputation est ternie. Ils se sentent coupables. Et plusieurs d’entre eux souffrent du syndrome de stress post-traumatique, souligne-t-on sur le site http://www.suicidebycop.com, créé pour les aider.

«Au Québec, ce genre de cas reste rarissime. Les policiers en parlent de façon sporadique», indique le directeur de l’Association québécoise de prévention du suicide, Benoît Marchand.

Le Bureau du coroner ne tient pas de statistiques sur le sujet, tandis que le Service de police de la Ville de Montréal et la Sûreté du Québec n’ont pas répondu à nos demandes d’entrevue.

«Même si c’est extrêmement rare, il faut réfléchir au phénomène, parce que plusieurs vies sont en jeu: celle du citoyen, celle du policier et celle des personnes autour», estime Philippe Angers, de Suicide Action.

«Les policiers n’ont pas la tâche facile. C’est toujours une bonne idée de bonifier la formation en santé mentale», renchérit M. Marchand.

Pour l’instant, le phénomène du suicide par l’entremise d’un policier «est effleuré dans la formation. On en parle un petit peu, mais pas abondamment», indique Andrée Doré, porte-parole de l’École nationale de police du Québec.

Certains avancent que les gens qui procèdent ainsi sont incapables de passer à l’acte ou cherchent une forme de reconnaissance sociale en attirant les médias.

«Le fait d’être tué par quelqu’un d’autre […] réduit l’atteinte à la réputation», écrit pour sa part le psychologue judiciaire Michel St-Yves, dans le livre Psychologie de l’intervention policière en situation de crise, publié aux éditions Yvon Blais.

Il y a un an, dans le quartier Rosemont, une policière a abattu un quadragénaire qui s’était rué sur elle avec un couteau. Dans les coulisses, certains agents évoquaient déjà la possibilité d’un suicide par policier interposé. Mais comme pour l’incident survenu hier, seul le coroner peut parvenir à une telle conclusion, au terme d’une enquête.

Il faut être prudent, prévient Benoît Marchand, et distinguer le véritable suicide du comportement autodestructeur d’une personne en détresse.

«Si on classait tous les cas de conduite dangereuse comme des suicides, on devrait multiplier le taux de suicide par 10», illustre-t-il.

* * *

POUR OBTENIR DE L’AIDE

Suicide Action: 514-723-4000

Ailleurs au Québec: 1-866-APPELLE (277-3553)

> Au moins 28 personnes ont été tuées après des affrontements avec la police de Montréal depuis 1987.

http://www.cyberpresse.ca

Méditer, c’est santé!


Nous avons une zone du cerveau qui se complait dans le mystique, que ce soit la prière, profonde ou la méditation comme les bouddhistes. Mais encore faut-il savoir prendre le temps de s’arrêter et de se concentrer pour méditer car la méditation peut aider a la santé physique et mentale alors pourquoi pas apprendre une technique qui nous aiderait dans notre quotidien
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Méditer, c’est santé!

 

Méditer, c'est santé!

Photo fournie par http://www.coupdepouce.com©

Décrocher du quotidien, faire le vide dans notre esprit et oublier les tracas… Tentant? C’est ce que la méditation permet de faire.

Quand on a en tête les moines bouddhistes qui restent immobiles pendant des heures, la méditation peut sembler intimidante. Elle repose pourtant sur un principe fort simple: mettre nos pensées en veilleuse par le biais de différentes techniques de concentration ou d’introspection, dans un but de relaxation, de sérénité et de bien-être général. En pratiquant la méditation, on prend peu à peu conscience de ce qui se passe en nous et autour de nous, sans jugement ni charge émotive.

«Méditer, c’est être totalement investie dans le moment présent, pas dans les réflexions passées ou futures. Au fond, c’est avoir conscience d’être, tout simplement», résume Manon Arcand, psychothérapeute de formation et auteure de S’initier à la méditation , qui pratique la méditation depuis plus de 15 ans.

Un exercice simple, mais pas toujours facile dans un monde où la performance et l’action sont les valeurs prédominantes! Ceux qui le pratiquent disent pourtant avoir constaté assez rapidement ses effets bénéfiques sur leur santé. De plus en plus de recherches médicales leur donnent raison.

Des effets tangibles
Selon le psychologue Alain Rioux, qui s’est penché sur les études réalisées sur les effets de la méditation, c’est seulement depuis une quarantaine d’années que les chercheurs en psychologie et en psychiatrie s’y intéressent sérieusement. La majorité des recherches ont d’abord montré les effets positifs de la méditation sur le stress: diminution du rythme cardiaque, de la pression artérielle, du taux de cortisol dans le sang (l’une des hormones du stress), de la température du corps et des tensions en général. Les sujets testés ont eu de meilleures réactions face aux agents stressants, une plus grande tolérance à la douleur (diminution des maux de tête, par exemple) et une amélioration de l’acuité visuelle ou du sommeil (meilleure qualité de sommeil, notamment).

«En méditant, on apprend à relâcher notre corps et notre esprit», explique le Dr Robert Béliveau, qui s’intéresse à la lutte contre le stress et qui donne des cours de méditation à Montréal.

La méditation met en veilleuse le système nerveux sympathique, dont le rôle est de nous préparer à l’action physique et mentale en cas de stress. Or, quand il est trop en éveil, on se trouve perpétuellement agitée. En même temps, elle active le système nerveux para-sympathique, qui, au contraire, sert à ralentir nos fonctions vitales pour économiser nos énergies au lieu de les gaspiller.

Deux études américaines réalisées ces deux dernières années, l’une menée par un professeur de psychologie et de psychiatrie de l’Université de Wisconsin-Madison et l’autre à l’Université Harvard de Boston, vont même plus loin. La première révèle qu’un programme de quelques semaines de méditation peut avoir des effets positifs et durables sur notre système immunitaire, notamment sur le développement d’anticorps. La seconde, réalisée avec des personnes qui pratiquaient la méditation depuis plusieurs années, tend à montrer qu’elle peut ralentir les effets du vieillissement cérébral. Elle amènerait dans certaines zones du cerveau, notamment le cortex, des changements qui contribuent à ce ralentissement. Concrètement, cela se traduit entre autres par une amélioration de la tension artérielle, de la vision et de l’audition.

Enfin, plusieurs études ont également montré que la méditation peut avoir un effet sur le plan psychologique. Elle nous aide à développer notre concentration, notre créativité et notre intuition. Elle nous amène à être plus à l’écoute de ce que l’on ressent et de ce qui est bénéfique ou négatif pour nous. En s’exerçant à observer nos pensées sans les laisser nous envahir, on est moins portée à l’autocritique et on évite de se concentrer sur nos difficultés. Bref, on apprend à lâcher prise.

Tentée par l’expérience?
Non seulement la méditation est bonne pour la santé, mais elle est aussi très simple à pratiquer. On respire, on se concentre et on essaie de vider notre esprit. Pas besoin de mise en scène élaborée ou de théorie compliquée! Tout ce dont on a besoin, c’est d’un moment de tranquillité. Voici quelques conseils pour en tirer le meilleur profit.
 
• On trouve un moment de la journée où on ne sera pas dérangée: le soir, quand la famille est couchée, le matin avant qu’elle se réveille ou aux heures creuses dans un parc si on préfère être dehors.

• On s’assoit en tailleur sur un coussin large et confortable (on peut aussi placer un coussin sous chaque genou pour être plus à l’aise).

•On garde le dos droit, mais pas rigide. On peut s’aider d’une image mentale pour maintenir la position de façon confortable. On imagine qu’on est un arbre bien planté dans le sol mais dont les branches bougent au gré du vent; il n’est pas figé dans le paysage mais vivant.

•On commence par des séances d’environ 15 minutes par jour. C’est suffisant pour ressentir les bienfaits de la méditation dès les premières semaines. On évite toutefois de regarder l’heure sans arrêt pour ne pas se déconcentrer. Avec la pratique, on trouvera la durée idéale pour décrocher, que ce soit 10 ou 20 minutes.

•On s’exerce. On aura sans doute du mal à rester concentrée au début, et c’est normal. Ce n’est qu’en pratiquant la méditation avec régularité et persévérance qu’on parviendra à décrocher. Plus tard, si on veut aller plus loin, on pourra se joindre à un groupe de méditation.

«C’est un bon moyen de réaliser qu’on n’est pas seule à être très agitée de l’intérieur! assure le Dr Béliveau. L’apprentissage est plus facile quand on voit le groupe cheminer dans la même direction.»

5 façons de découvrir la méditation

1. Se concentrer sur un objet
On choisit un objet apaisant et peu chargé de signification: une fleur, une petite fontaine, une chandelle, etc. Confortablement installée, on s’exerce à porter toute notre attention vers cet objet, comme si rien d’autre n’avait d’importance. Si notre esprit vagabonde, on le ramène vers l’objet de notre concentration, sans s’énerver. On peut s’aider en lui parlant:

«OK, tu as repris le dessus, tu m’entraînes vers d’autres préoccupations, mais, tranquillement, je vais t’amener à lâcher prise parce que, pour l’instant, seul ce moment compte.»

Si on préfère, on peut faire le même exercice en se concentrant sur une musique douce.
 
2. Écouter notre respiration
On répète dans notre tête: «J’inspire, je me calme, j’expire, je souris.» On respire profondément en gonflant notre ventre pour détendre le diaphragme et les muscles abdominaux. En expirant, on fait un «demi-sourire», sans tension
(un peu comme celui des représentations de Bouddha). On porte attention au souffle dans notre poitrine, au rythme de notre respiration, à notre coeur qui bat, en ne pensant à rien d’autre.
 
3. Répéter un mantra
On choisit un son à répéter tout au long de la méditation: cela peut être un mot vide de sens, une prière ou un son profond et lent, comme «om». En répétant lentement ce son, on se concentre sur les vibrations ressenties dans notre corps
(comme on sentirait les vibrations des cordes d’un instrument de musique). Si notre voix manque d’assurance au début, on s’exerce à la rendre plus fluide. En même temps, on garde une respiration profonde et calme.
 
4. Regarder filer nos pensées
Un exercice pour apprendre à ne pas se laisser dominer par nos pensées: on imagine qu’elles sont des feuilles d’automne qui tombent dans un cours d’eau qui les emmène doucement au loin. Lorsqu’une pensée se forme dans notre tête, on en prend note, puis on la laisse s’envoler sans s’attacher à elle.
 
5. Marcher lentement
Si on a du mal à rester immobile, on peut méditer en marchant tranquillement en forêt, sur la plage ou même autour d’une pièce. On respire profondément et on porte attention à chacun de nos pas, aux mouvements de notre corps, à nos bras qui se balancent, au vent dans nos cheveux si on est dehors. On marche comme si on imprimait les semelles de nos chaussures dans le sol, sans s’arrêter à un décor en particulier. On essaie seulement de s’identifier au mouvement, de visualiser les courants d’air que l’on traverse, comme s’ils se matérialisaient

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Tarification punitive pour rendez-vous manqué


C’est déjà assez difficile d’avoir des rendez-vous avec son médecin de famille et cela quand on a un médecin de famille… qu’il est d’autant plus choquant qu’un patient ne va pas a son rendez-vous qu’il avait pourtant confirmé et sans sa avertir son absence … Alors, je pense que les cliniques n’ont pas trop le choix d’agir ainsi ..  a moins bien sur de cas exceptionnel
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Tarification punitive pour rendez-vous manqué

 

Cliniques médicales - Tarification punitive pour rendez-vous manqué

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Un nombre croissant de cliniques médicales imposent une tarification à leurs clients qui leur font faux-bond.

Sur 10 cliniques médicales de Québec rejointes par TVA Nouvelles, quatre ont confirmé qu’elles imposent maintenant un tarif à leurs clients qui ne se présentent pas à leur rendez-vous.

Cliniques médicales

Un nombre croissant de cliniques médicales imposent une tarification à leurs clients qui leur font faux-bond.

Sur 10 cliniques médicales de Québec rejointes par TVA Nouvelles, quatre ont confirmé qu’elles imposent maintenant un tarif à leurs clients qui ne se présentent pas à leur rendez-vous.

Tarifs punitifs pour les rendez-vous ratés dans les...

À la Fédération des médecins omnipraticiens du Québec, on dit que le phénomène était marginal, il y a deux ans, mais qu’on reçoit maintenant de plus en plus de demandes de renseignements sur cette tarification punitive et tout à fait légale. La Fédération propose même à ses membres d’imposer un tarif de 25$ à ces clients.

Objectif de cette tarification punitive: responsabiliser les clients et les inciter à contacter leur clinique au moins 24 heures à l’avance s’ils constatent qu’ils ne pourront pas se rendre à leur rendez-vous. Comme ça, la clinique pourra contacter d’autres clients qui ne demanderont pas mieux que de devancer leur rendez-vous.

«Déjà, ce matin, 10% des gens ne se sont pas présentés à leur rendez-vous, tous des rendez-vous confirmés. 10%, sur le nombre de patients qui sont vus dans une journée, c’est plusieurs dizaines de patients qui auraient pu avoir une disponibilité auprès d’un médecin de famille», a expliqué le Dr Serge Dubé, président de la clinique médicale Pierre-Bertrand.

À la clinique médicale Pierre-Bertrand, c’est un tarif de 40$ qu’on impose maintenant aux clients qui ne se présentent pas à leur rendez-vous. Et cette tarification a porté fruit puisque la proportion de rendez-vous ratés est passée de 20% à 10% en quelques mois. Cela veut dire environ 40 rendez-vous ratés de moins par jour.

Cela dit, la Régie de l’assurance maladie du Québec ne s’oppose pas à ce genre de tarification punitive. Elle suggère cependant qu’elle soit raisonnable et qu’on l’affiche clairement.

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