L’Histoire


Même si nous évoluons, même si les temps changent ,… si on regarde l’histoire du monde on s’aperçoit que ce sont les mêmes erreurs, les mêmes inquiétudes qui reviennent siècle après siècle. Nous n’apprenons pas de nos ancêtres ….
Nuage

L’Histoire

Si l’Histoire ne recommence jamais, les fanatiques, eux, se recommencent toujours, et même avec une constance qui surprend.
 
René Nelli

Le chemin le moins fréquenté…


L’estime de soi ne se passe pas dans le silence et la dans la solitude mais dans l’ouverture de l’intérieure et de l’extérieure de nous-même. Pour réussir cela demande du travail et des remises en questions pour s’auto-évaluer et mieux organiser nos énergies a réussir nos projets, nos espérances
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Le chemin le moins fréquenté…


La discipline est une manière d’apprendre à affronter les problèmes
et à les résoudre avec succès, pour s’enrichir et évoluer…

Retarder la satisfaction est une question d’emploi du temps des douleurs et des joies de la vie, de façon à mettre en valeur le plaisir  et à faire face à la douleur avant, pour s’en débarrasser.  C’est la seule manière de vivre bien…

Les problèmes ne disparaissent pas.  Ils doivent être affrontés,  sinon
ils demeurent et ils restent toujours une barrière pour l’évolution
et le développement de l’esprit…

Le sentiment d’avoir de la valeur est absolument essentiel pour la
santé mentale et c’est le fondement de l’autodiscipline. 
C’est un produit direct de l’amour parental…

Si nous avons des difficultés à assumer la responsabilité de notre comportement, c’est parce que nous ne voulons pas en souffrir les conséquences…

La vie d’un adulte est une série de choix personnels et de décisions…

Dans le monde,  le danger réel réside plus à l’intérieur de nous
qu’à l’extérieur,
et la remise en question permanente
et la contemplation sont essentielles à notre survie…

L’énergie dont on a besoin pour l’autodiscipline que demande
l’honnêteté est bien moindre que celle exigée par le mensonge…

L’équilibre est la discipline qui nous donne la souplesse et le bon sens…

La meilleure façon de mesurer la grandeur de quelqu’un,
c’est de mesurer sa capacité à souffrir…

L ‘amour est trop profond pour être jamais mesuré, 
compris ou limité par des mots…

On n’est pas obligé d’aimer,  on le décide…

L’amour implique toujours le travail et le courage
puisqu’il exige le dépassement de soi…

Un humain est en même temps un mortel et un éternel…

Le mal est un échec dans le bilan de l’évolution des hommes
parce que chaque âme qu’il détruit servait à en sauver d’autres…

Le chemin de la sainteté passe par la remise en question systématique…
 
Dr. M. Scott Peck

Le saviez-vous ► Expression : La semaine des quatre jeudis


C’est une expression bien connu .. qui est bien utilisé au Québec,  quand on pense que quelque chose ne se fera jamais .. mais il semble qu’en Belgique on préfère dire la semaine des 3 jeudis .. À la Saint-Glinglin veut dire aussi la même chose
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La semaine des quatre jeudis 


Jamais.

 
Cette expression existait dès la fin du XVe siècle, sous la forme ‘la semaine à deux (à trois) jeudis’.

Au XVIe, elle est devenue ‘la semaine des trois jeudis’ avant de prendre la forme d’aujourd’hui au XIXe.

Elle fait allusion à une semaine, aussi impossible ou inexistante que la Saint-Glinglin, qui contiendrait deux, trois ou quatre jours identiques.

Pendant la période où les enfants avaient leur jour de repos scolaire le jeudi, on y a aussi attaché le sens d’une semaine utopique, car pleine de jours de loisirs.

http://www.expressio.fr

Les meilleures photos des lecteurs en 2011


Les meilleures photos en 2011

 

Clair de lune brumeux

le grand gagnant est Francis Vanderkeven avec son clair de lune brumeux et une ambiance incroyable. Cette potographie a obtenu 9360 points (voir la méthodologie). © Francis Vanderveken


Soleil couchant en Corse

2e place © VINCENT FARGEIX


La meule au couchant

4e place.. © Jean-Pierre VERHAEGHE


Boule de cristal

6e place,© Christelle Milesi


Héron cendré

8e place ex-aequo. © Alain Fontaine


Fleur de pissenlit

8e place ex-aequo. ©Christian Delphino


Les deux phares

10e place. © Jean SAUVAGET


Empreintes dans le désert

13e place. © Danielle Dupré


Regard curieux

14e place. © Bertrand KULIK


Azuré bleu

15e place. © Philippe Delmer


Chien à lunettes

25e place. ©Misha Labruyère


http://www.linternaute.com

Surveillance : le citoyen suspect


Je ne sais pas ce que l’on peut penser le fait de mettre des vidéosurveillances partout … Disons que dans les lieux commerciaux, gouvernementaux .. cela devient une nécessité mais dans les rues ?  D’un autre côtés quand un méfait, un crime, une infraction, les caméras sont un atouts mais jusqu’à quel point … En ville se sentir surveiller en tout temps n’est-ce pas dérangeant et ce même si nous n’avons rien a se reprocher ..
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Surveillance : le citoyen suspect

Québec - Surveillance : le citoyen suspect

La vidéosurveillance empiète sur la vie privée à l’insu des citoyens de Québec.

© Jean-François Desgagnés/Agence QMI

Agence QMI 
Diane Tremblay

QUÉBEC – La vidéosurveillance demeure un moyen intrusif qui menace les fondements mêmes de la démocratie, déclare la Ligue des droits et libertés, en réaction au reportage publié mardi dans le Journal de Québec sur la prolifération des caméras à Québec.

« Ce qui est inquiétant, c’est le changement de paradigme, a commenté Denis Barrette, avocat et porte-parole de la Ligue. Le citoyen devient un suspect aux yeux de l’État, qui donne de moins en moins d’informations. » Le simple fait de se sentir observé est assez pour inciter les citoyens à modifier leurs comportements, même s’ils n’ont absolument rien à se reprocher, estime-t-il.

Le professeur en criminologie à l’Université Laval Stéphane Leman-Langlois a analysé en profondeur cette forme de contrôle de plus en plus utilisée par les organismes publics et les entreprises privées.

Titulaire d’une chaire de recherche, il a participé à la rédaction d’un ouvrage intitulé « Sphères de surveillance » dans lequel il affirme que l’industrie est vouée à un bel avenir.

« Force est de remarquer que la plupart du temps, les surveillants sont eux-mêmes des employés surveillés, souvent davantage que leurs cibles quotidiennes », a-t-il souligné.

Culture du secret

Le manque de transparence de la part des organismes viserait à protéger les réseaux de la controverse politique.

« Autrement, pourquoi protéger des informations élémentaires, de nature peu sensible, et qui de surcroît ne sont pas secrètes, puisqu’elles sont directement observables? » a demandé Stéphane Leman-Langlois.

Selon lui, il y a tout lieu de se pencher sur l’omniprésence des caméras dans notre société avant qu’il ne soit trop tard.

« Un jour, nous atteindrons un niveau de surveillance qui aura un impact réel sur notre vie privée », a-t-il prévenu.

L’Université Queen’s s’intéresse au développement d’un indice de surveillance qui permettrait de faire des analyses comparatives entre les villes, mais cet outil n’existe pas encore.

Consultation publique

Actuellement, aucune loi ne légifère l’installation de caméras de surveillance. La Commission d’accès à l’information (CAI), dont l’un des mandats consiste à assurer la protection des renseignements personnels détenus par les organismes publics, possède huit inspecteurs pour couvrir l’ensemble du Québec.

Depuis dix ans, seulement 13 plaintes ont été faites auprès de cette instance.

« Nos enquêteurs ne sont pas sur le terrain pour faire de la patrouille. On reçoit les appels et on traite les plaintes », a dit André Marois, responsable de la Direction de l’analyse et de l’évaluation.

En 2004, la CAI a tenu une consultation publique qui a mené à l’adoption d’une vingtaine de règles concernant l’utilisation de la vidéosurveillance dans les organismes publics.

Selon ces règles, les organismes doivent faire la démonstration que des solutions moins préjudiciables à la vie privée ont été envisagées. Cependant, peu s’y soumettent, puisque rien ne les oblige.

Après cette consultation, la CAI a demandé au gouvernement de considérer une intervention législative pour lui permettre d’évaluer la nécessité pour les organismes publics d’avoir recours à la vidéosurveillance, mais cette recommandation n’a jamais eu de suite.

* * *

Dans l’œil de Big Brother

Les Londoniens sont filmés au moins 300 fois par jour au cours de leurs déplacements ordinaires.

Le Royaume-Uni est le pays le plus surveillé en Europe, et ce, depuis plus de 30 ans.

Cependant, avec les attentats du 7 juillet 2005, les critiques sont de plus en plus nombreuses par rapport aux failles de ce système qui n’a pas pu prévenir cette tragédie.

Ces attentats ont fait 56 morts et plus de 700 blessés.

Malgré tout, de nombreuses sociétés se lancent dans la vidéosurveillance pour contrer leur taux de criminalité.

En Chine, le projet Peaceful Chongging prévoit l’installation de plus de 500 000 caméras.

Au pays du dragon rouge, le marché de la vidéosurveillance est florissant.

En 2009, la Chine représentait 17 % des dépenses mondiales en vidéosurveillance, derrière les États-Unis, à 29 %.

Comme rien n’arrête le « progrès », on prévoit que les parts de marché en Chine exploseront littéralement au cours des prochaines années.

http://fr.canoe.ca

Du chauffage aux billets de banques


Quand on dit que l’argent part en fumée rien de plus vrai en Hongrie, mais pour la bonne cause. Cela permet de répondre a des urgences sociales en hiver pour ne pas avoir trop froid en préparant ses billets et ce sans rajout de produits chimiques
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Du chauffage aux billets de banques

Du chauffage aux billets de banques

Venu du centre de logistique de la Banque centrale (MNB) à Budapest, un camion a déchargé, mardi dernier, quelque quatre tonnes de briques dans un centre choisi pour se chauffer tout l’hiver aux «forints», nom de la devise hongroise.

Photo: Lazlo Balogh, Reuters

Grégoire Ozan
Agence France-Presse
Miskolc

Depuis quatre ans, la Banque centrale hongroise recycle ses billets usagés en briquettes de chauffage destinées aux institutions sociales les plus déshéritées du pays, un geste particulièrement apprécié en cette période de grand froid.

«C’est un acte de charité très utile, une aide très importante pour notre fondation, car nous pouvons épargner une partie de nos dépenses de chauffage grâce à ces briquettes», explique à l’AFP Krisztina Haraszti, directrice de la Fondation des autistes de Miskolc (nord-est).

L’économie est de 50 000 à 60 000 forints (227 à 272 dollars canadiens) par mois, «une somme considérable en ces temps de crise», ajoute-t-elle.

Venu du centre de logistique de la Banque centrale (MNB) à Budapest, un camion a déchargé mardi quelque quatre tonnes de briques dans ce centre choisi cette année, avec l’Association des enfants handicapés de Vésztö (sud-est), pour se chauffer tout l’hiver aux «forints», nom de la devise hongroise.

Depuis septembre, la banque livre sa précieuse cargaison une fois par mois et prévoit de continuer jusqu’à l’arrivée du printemps en mars.

La dernière livraison était attendue avec une impatience toute particulière alors qu’un froid sibérien s’est abattu sur la Hongrie depuis six jours, causant la mort de 16 personnes.

Comme la valeur calorifique des briquettes est élevée, il suffit d’y «ajouter un peu de bois et les pièces sont bien chaudes», indique Krisztina Haraszti.

La fondation, l’une des plus anciennes du pays, située dans la ville défavorisée de Miskolc, à 180 km de la capitale, s’occupe d’une centaine d’enfants et porte aussi assistance aux adultes autistes.

«Nos recherches ont montré que les propriétés de chauffage de ces briquettes fabriquées à partir de billets de banque déchiquetés sont similaires à celles de la lignite», souligne le directeur du centre de logistique de la MNB, Barnabas Ferenczi. Elles peuvent être brûlées dans des chaudières à combustible mixte, précise-t-il à l’AFP.

A l’origine, les billets usagés étaient purement et simplement brûlés, puis le centre s’est doté d’une machine pour les compresser en briques. Les ouvriers furent les premiers à s’en servir comme source de chauffage, avant que Barnabas Ferenczi ne lance l’idée d’en faire don à des institutions d’intérêt général il y a quatre ans.

Chaque année, la MNB retire de la circulation environ un quart de l’ensemble des billets pour usure et en imprime un montant équivalent pour les remplacer.

 «Cela équivaut à quelque 200 milliards de forints» (800 millions d’euros) ou 40 à 50 tonnes de briquettes par an, détaille le directeur du centre.

Il faut près de cinq millions de forints (17 000 euros) pour fabriquer une seule briquette, d’environ un kilogramme. Les billets passent d’abord à la déchiqueteuse, puis le tas de papier est compressé, sans ajout d’additif chimique.

Au centre de logistique, la sécurité est sévère: les salariés portent des combinaisons de travail sans poches…

Le choix des bénéficiaires se fait sur appel d’offres. Une vingtaine de foyers sociaux y ont répondu cette année, indique Barnabas Ferenczi. Parmi les conditions posées par la MNB, garante de la stabilité des prix et chantre de la discipline budgétaire: ne pas avoir de dettes auprès d’établissements publics.

http://www.cyberpresse.ca

Médias sociaux Un nouvel outil dans les mains de la police


Je trouve normal qu’une personne qui se vante de mauvais coup ou qu’il intimide un autre dans un de réseau social soit responsable de ses écrits et subissent les conséquences ..
Et si cela peut servir pour des preuves, alors pourquoi pas … un moment donné il faut prendre les grands moyens
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Médias sociaux

Un nouvel outil dans les mains de la police

 

Un nouvel outil dans les mains de la police

Crédit photo : Agence QMI

Par Martine Veillette | Agence QMI

Ce que vous publiez sur Facebook, Twitter ou YouTube pourrait être retenu contre vous puisque la police utilise de plus en plus les médias sociaux pour mener ses enquêtes, notamment dans les cas d’intimidation ou de voie de fait.

Les enquêteurs de la Régie intermunicipale de police Richelieu-Saint-Laurent ont créé leur propre page Facebook. Ils deviennent «amis» avec la personne suspecte et peuvent ensuite recueillir des informations pouvant faire avancer leur dossier. Les écrits peuvent aussi servir à confronter une personne qui a proféré des menaces, mais ne veut pas avouer.

«Si une personne écrit sur Facebook, « je vais t’arracher les yeux », on peut la confronter avec cette preuve», a mentionné Gilles Villemaire, responsable des enquêtes pour la Régie de police.

Le recours à cette source d’information est occasionnel, a-t-il souligné, et est principalement utilisé pour des cas d’intimidation, de voies de fait ou de méfaits par des mineurs qui surviennent dans la cour d’école.

Au service de police de Longueuil, les enquêteurs se servent également des médias sociaux pour identifier des suspects.

«Si une personne ne connaît pas exactement le nom de la personne, mais sait qu’elle l’a vue sur Facebook, ça peut nous permettre de l’identifier. C’est une piste d’enquête», a indiqué Mark David, porte-parole pour la police de Longueuil.

Il n’a pas été en mesure d’indiquer la fréquence à laquelle les enquêteurs ont recours aux médias sociaux dans le cadre d’enquêtes puisqu’il s’agit, la plupart du temps, d’un élément de preuve parmi d’autres.

MM. Villemaire et David soulignent que comme les médias sociaux sont publics, ils sont facilement accessibles et utilisables. Facebook permet de mettre un visage sur un suspect et parfois même, d’identifier des complices.

On se rappellera par exemple le cas du jeune homme de Laval qui a mis sur Internet une vidéo de lui commettant diverses infractions au Code de la route. Les deux corps de police affirment toutefois ne pas avoir traité de cas semblables.

Pour pouvoir donner un constat d’infraction, la qualité de la vidéo doit permettre d’identifier des éléments importants.

«On doit pouvoir certifier que telle personne, à telle heure, à tel endroit sur le territoire, a commis telle faute. On ne peut pas automatiquement envoyer un constat d’infraction, ça dépend de la qualité de la vidéo et de la preuve», a mentionné l’agent David.

En cour, une preuve tirée d’un média social est valide pourvu que ce soit démontré qu’elle est fiable et véritable.

«Le policier doit établir qui a pris la vidéo ou la photo et à quelle heure pour confirmer la véracité de l’élément de preuve et qu’il ne s’agit pas d’un montage», a affirmé Armand Poupart, avocat à la cour municipale Marguerite-d’Youville.

Tout ce qui est écrit sur Facebook ou Twitter peut aussi servir comme élément de preuve, puisque ce sont des réseaux publics.

Maître Poupart assure que prendre des informations sur un média social n’est ni illégal ni une intrusion dans la vie privée.

«C’est difficile de dire qu’il y a intrusion dans la vie privée, puisque c’est fait pour être vu.»

http://tvanouvelles.ca/