L’enfant-roi est-il suédois?


Avec le travail, les déplacements, les repas, ménage, devoirs, quand prenons-nous le temps avec les enfants ? Est-ce une conséquences des enfants roi ? Il y a-t-il pire que nous comme société face aux enfants ?
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L’enfant-roi est-il suédois?

 

Promenez-vous dans les rues de Stockholm. Vous verrez... (Photo Masterfile)

 

Promenez-vous dans les rues de Stockholm. Vous verrez des bambins partout, certes (la Suède a l’un des plus hauts taux de natalité d’Europe), mais surtout des bambins impolis, exigeants, insolents.

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SILVIA GALIPEAU
La Presse

Incroyable, mais vrai. Le fameux modèle suédois, dont on aime tant vanter les mérites et auquel on aspire tous sur le plan social, aurait finalement une faille. Et non la moindre. Un psychiatre suédois sonne l’alarme: gare aux enfants-rois, écrit-il dans un livre-choc, à paraître en anglais sous peu. Comme quoi nous, les Québécois, n’avons finalement pas le monopole de cette bien vilaine monarchie. Bienvenue au pays des enfants-rois suédois.

«La Suède est-elle en train de créer une génération de petits cons?»

Les médias ne sont pas tendres ces jours-ci avec le royaume de la social-démocratie. Pour cause: un psychiatre suédois, père de famille de surcroit, a publié une véritable petite bombe.

Comment les enfants ont pris le pouvoir, dont on attend une traduction anglaise dans l’année, ne ménage pas les parents de ce qu’on croyait jusqu’ici incarner le paradis sur terre des familles. «Petits cons», «mal élevés» et, surtout, «déçus de la vie», tels sont les qualificatifs que les médias britanniques, chinois, français ou américains attribuent du coup aux enfants nés au pays des garderies et des longs congés parentaux payés. Mais que s’est-il donc passé? Nous avons interrogé l’auteur, David Eberhard, père de six enfants de 1 à 17 ans, pour comprendre. Il voit trois grandes causes à cette bien malencontreuse dérive.

1- Le pays de la philisophie parentale unique

Promenez-vous dans les rues de Stockholm. Vous verrez des bambins partout, certes (la Suède a l’un des plus hauts taux de natalité d’Europe), mais surtout des bambins impolis, exigeants, insolents. C’est souvent eux qui décident du menu du souper, carrément des vacances d’été, dénonce le psychiatre David Eberhard. Ils choisissent l’heure de leur coucher et ne tolèrent pas qu’on les habille. En gros, ce sont eux qui décident. De tout. Comme de rien. Mais surtout de tout.

Pourquoi? Si la Suède est reconnue comme une pionnière en matière de défense des droits des enfants, ces droits vont aujourd’hui très loin, dénonce le psychiatre. Avec la popularité d’auteurs comme le Dr Spock, Penelope Leach et surtout Jesper Juul, le père de l’écoute active («Jesper Juul, l’auteur deCompetent Child, a une influence énorme sur les parents suédois»), les parents n’ont plus le droit de punir leurs enfants.

«Et je ne parle même pas de châtiments corporels, souligne le psychiatre. Un père a envoyé son enfant dans sa chambre 20 minutes, et il a été traîné en cour. Si un enfant a un mauvais comportement, il est interdit socialement, en Suède, de l’envoyer dans sa chambre! » Résultat? «Les parents n’ont aucun moyen de dire non à leurs enfants, dit-il. Et c’est là qu’on déraille.»

2- La culpabilité

Étrangement, ces mêmes parents, qui sont par ailleurs de grands adeptes de la théorie de l’attachement, ne passent pas énormément de temps avec leurs enfants. Ils sont en effet les premiers à les mettre en garderie dès 1 an (tous les bambins suédois ont une place attitrée en crèche, jusqu’à leur entrée à l’école).

«C’est assez contradictoire», souligne le psychiatre.

La Suède a également un taux élevé de divorces, avoisinant les 50%, et bien des familles optent pour la garde partagée une semaine sur deux, poursuit le psychiatre. Conséquence?

«Quand les parents sont enfin avec leurs enfants, ils se sentent coupables et s’assurent du coup que tout soit parfait. Ils leur offrent des bonbons, les trimballent partout, bref, se comportent en véritables parents hélicoptères.»

 Erreur, ajoute l’auteur: en élevant leurs enfants dans du coton, est-ce qu’ils les préparent pour la vie? Bonjour la désillusion, croit-il.

«D’après les sondages suédois, oui, les jeunes enfants sont heureux. Mais les plus vieux? De moins en moins. Nous assistons à une croissance en flèche des tentatives de suicide, de troubles de l’anxiété et de troubles de comportement, notamment chez les garçons.»

3- Le mythe de la culture rebelle

La Suède se targue d’être marginale, d’élever des libres penseurs, bref, d’être un peuple plus «rock n’ roll» que la moyenne.

«C’est comme si nous étions fiers d’élever des enfants libres, rebelles, qui n’obéissent pas à leurs parents. Ce mythe est très fort en Suède, poursuit l’auteur. Malheureusement, depuis plusieurs années, les études démontrent que non seulement nos jeunes réussissent moins bien que les autres à l’école, ils sont même moins créatifs!» 

«On se prend un peu pour d’autres, conclut-il. On se croit meilleurs que les autres et on aimerait que tout le monde suive notre modèle. Mais à bien des égards, en terme de discipline et de philosophie parentale, c’est nous qui devrions suivre le reste du monde.»

Solution: le pouvoir aux parents

Le psychiatre est catégorique. Le meilleur expert n’est pas tel auteur ou tel docteur, mais bien le parent. Encore faut-il qu’il ait confiance en lui. C’est ce qu’il souhaite, en fin de compte, avec son livre : redonner le véritable pouvoir parental à ceux à qui il revient.

«La famille n’est pas une démocratie et, quoi qu’on dise, l’enfant n’est pas un être compétent. Au contraire, il est par définition incompétent. La démocratie familiale ne fait finalement de bien à personne: ni aux enfants ni aux parents.»

Est-ce la faute à la social-démocratie?

«Une culture fière de sa conscience sociale peut facilement mélanger gentillesse et absence de règles. Mais selon moi, nous faisons fausse route. Ne pas avoir de règles, c’est tout sauf de la gentillesse. C’est une gentillesse perverse.»

 

En chiffre

 

1974 La Suède est le premier pays à instaurer un congé parental.

1979 La Suède est le premier pays au monde à interdire les châtiments corporels.

1990 La Suède est l’un des premiers pays à ratifier la Convention relative aux droits de l’enfant de l’ONU.

5e Rang au classement général de l’UNICEF sur le bien-être des enfants dans les pays riches (le Canada est 17e).

2e Rang en ce qui a trait au bien-être matériel.

5e Rang pour la santé et la sécurité.

3e Rang au classement de l’ONG « Save the Children » des pays où il fait bon naître.

Un enfant de riche

 

L’enfant-roi suédois est-il bien différent de l’enfant-roi québécois? Probablement pas. «First world problems», comme on dit…C’est un peu ce qui résume la pensée du pédiatre Jean-François Chicoine.

«Le phénomène de l’enfant-roi, qu’on soit au Québec ou ailleurs, c’est un peu partout le même: dans les sociétés bien nanties où on a défini la parentalité, est né cet enfant-roi qui se nourrit d’indiscipline», explique le fameux pédiatre, avec sa verve habituelle.

À quel point est-ce différent en Suède?

«Je ne connais pas l’enfant-roi suédois, précise-t-il, mais dans une société bien nantie, où on a réglé certains problèmes, les parents ont tendance à être surinvestis.»

D’où la question, inévitable: l’enfant-roi est-il le produit de la social-démocratie?

«Non, répond Jean-François Chicoine. Ça n’est pas parce qu’on donne de la place aux enfants dans une société qu’on en fait des enfants-rois.»

Une dérive, alors?

«Oui, la social-démocratie ouvre la porte à l’enfant-roi, concède-t-il. Une fois qu’on a tout fait pour les enfants, insiste-t-il, et que souvent, on en fait qu’un, ou deux, plus tardivement, on a tendance à se projeter dans nos enfants et à s’investir beaucoup plus.»

Paradoxe?

Ces parents, eux aussi produits de la même social-démocratie, n’osent peut-être plus intervenir «parce qu’ils ne se sentent pas autorisés!», dénonce le pédiatre. «Ils ne se sentent pas autorisés à intervenir auprès d’enfants qu’ils ont trop peu vus au cours de la journée. Moins vous passez de temps avec quelqu’un, moins vous intervenez, dit-il. Que font-ils? Ils les gâtent.»

http://www.lapresse.ca/

Un coffre-fort pour prévenir les tentations


Une autre futilité qui peut encombrer nos armoires, mais que je doute l’efficacité a long terme. Le meilleur moyen de ne pas succomber, je pense est de ne pas acheter ce que nous n’avons pas ou presque pas le contrôle
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Un coffre-fort pour prévenir les tentations

 

TheKitchenSafe.com-CC-CookiesVous dévorez la boîte de biscuits au chocolat à peine ouverte, vous résistez difficilement au sac de croustilles… Si vos plaisirs coupables prennent trop de place, si vous avez de la difficulté à instaurer la discipline ou que vous êtes simplement accro à la malbouffe, le Kitchen Safe, un nouveau gadget en attente de financement, pourrait bien vous aider à survivre à vos rages de sucré/salé.

 

C’est une petite boîte transparente dans laquelle on met les aliments (muffins, crottes de fromage, bonbons) ou objets (elle est assez grande pour y placer une manette de jeu vidéo!) qui font l’objet de nos désirs. Le couvercle est muni d’une minuterie. Une fois programmé à notre guise, le contenant ne s’ouvre qu’une fois le temps écoulé!

TheKitchenSafe.com-MMs

Le Kitchen Safe a été soumis à Kickstater, le site de financement participatif. Pour voir le jour et pouvoir en assurer la fabrication et la distribution, les fondateurs David, Ryan et Nick espèrent ramasser 30 000 $. Leur projet est plutôt bien parti. À 26 jours de la fin de la campagne de financement, le trio a réussi à réunir 27 403 $, et ce, en à peine trois semaines.

Puisque la boîte est transparente, on a le loisir de manger avec les yeux en attendant que le temps s’écoule… bref, c’est un petit gadget aussi ingénieux que diabolique!

http://lafouinecuisine.ca

La discipline


Bon c’est une façon de voir .. cependant il faut avouer que quand les fraises ont l’air mures, sucrées a points et regorgent de soleil bien difficile d’y résister
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La discipline

 

« La véritable discipline, c’est de ramasser des fraises sans en manger une seule.  »

Doug Larson

Stéroïdes: rapides, dangereux et populaires


Alors que le culte du corps mince chez la femme fait des ravages, voici que chez l’homme c’est le culte du corps sculpté et souvent les hommes veulent aller plus vite avec leur entrainement et finissent par prendre des stéroïdes et pas toujours de façon légal . Personnellement, je n’aime pas quand c’est trop musclé
Nuage

 

Stéroïdes: rapides, dangereux et populaires

 

HUGO MEUNIER

La Presse

Il n’y a pas si longtemps, les stéroïdes étaient associés aux athlètes de fort calibre. Notre enquête démontre que ce phénomène déborde désormais du cadre sportif et gagne de plus en plus de jeunes adeptes, soucieux d’exhiber un corps musclé conforme aux stéréotypes en vogue. Bienvenue dans l’ère de l’anorexie masculine.

Le gros problème, c’est le miroir, obsèdant et déformant.

Lorsqu’un cycle se termine, il est normal de «dégonfler» d’une dizaine de livres. Là, le miroir cesse d’être un ami. Une seule chose compte alors: recommencer.

Stéphane*, 28 ans, se pique aux stéroïdes depuis un an.

C’est l’ultime étape d’un engrenage superficiel amorcé il y a quelques années dans un gym de Montréal.

Il pesait alors 70 kg (155 lb).

L’aiguille du pèse-personne indique aujourd’hui 86 kg. Pas un gramme de gras. Le jeune homme chétif s’est transformé en armoire à glace à la mâchoire carrée.

Tout a débuté par un entraînement intensif doublé de la consommation d’un éventail de produits destinés à lui sculpter un corps de rêve: vitamines, boissons protéinées, oméga-3, créatine, autant de produits dits naturels en vente libre dans les magasins spécialisés ou dans l’internet.

Un beau jour, ces produits ont cessé de suffire. Stéphane a eu l’impression de plafonner. Il s’est injecté des stéroïdes. Dans la cuisse. Les résultats n’ont pas tardé.

«C’est sûr que tu y prends goût! Je ne connais aucun gars qui n’aimerait pas avoir une belle shape. Oui, c’est de la triche, mais ce que tu peux gagner en cinq ans, tu l’as en trois mois», confie-t-il.

Pour Stéphane, les stéroïdes qu’on appelle «sauce» ou «juice» dans le milieu à cause de leur texture huileuse s’imbriquent dans un mode de vie où les préoccupations principales sont l’entraînement rigoureux et une saine alimentation.

«Les gens imaginent que ceux qui consomment des stéroïdes se piquent, restent assis et finissent par grossir. En fait, ça prend une grande discipline.»

Une discipline qui lui permet, croit-il, de réduire au minimum les dangers associés à la prise de stéroïdes: problèmes de foie, acné, réduction des testicules, croissance des seins (gynécomastie) et perte des cheveux.

«Les pilules sont plus nocives pour le foie que les injections, et il faut éviter au maximum l’alcool durant un cycle. Ce n’est pas de la vitamine C», rappelle Stéphane.

Il concède toutefois qu’il est impossible d’avoir le plein contrôle sur ces produits illégaux, presque toujours fabriqués dans des laboratoires clandestins.

Même zone grise autour des effets psychologiques.

«Les stéroïdes jouent de façon énorme sur les émotions. Ils rendent impatient et impulsif ou euphorique dès que les choses sont agréables», décrit-il.

Stéphane dit ignorer d’où viennent ses stéroïdes et place sa confiance – et sa santé – entre les mains d’amis.

«Je ne veux pas savoir d’où ça vient non plus…»

La «pharmacie»

Se procurer des stéroïdes n’a rien de sorcier, à condition d’être admis dans le club sélect des habitués de la fonte, ces spécimens qui passent beaucoup de temps dans les gyms.

En dépit du cliché, personne ne va entrer vêtu d’un imperméable pour vendre des stéroïdes dans le vestiaire, assure Stéphane.

Il compare ce phénomène à celui des bars:

«Si on sort régulièrement au même endroit, on finit par savoir qui vend de la coke. C’est pareil au gym, on sait vite où se trouve la «pharmacie».»

Il ajoute que le phénomène est plus répandu qu’on ne le croit, surtout dans les milieux où le travail est physique, comme dans la construction.

«Tout le monde veut grossir vite», confie Stéphane, dont plusieurs amis consomment aussi des stéroïdes.

Les gens amorcent habituellement leur cycle en hiver, un calcul logique pour obtenir des résultats dès le retour du beau temps.

«L’important est de suivre les consignes et les dosages. Si on continue après notre cycle, c’est là que ça devient dangereux», croit Stéphane.

C’est toujours dangereux, martèlent de leur côté les nombreux experts interrogés dans le cadre de notre enquête.

Stéphane sait très bien qu’un motif bien puéril et superficiel justifie d’abord cette volonté de gonfler sa musculature: plaire aux filles.

«Soudainement, elles sont toutes après toi. T’étais pourtant la même personne avec 10 kg de moins», observe le jeune homme, qui est en couple et qui agit ainsi, dit-il, pour se sentir bien dans sa peau.

***

Le prix à payer

Un cycle normal de consommation de stéroïdes dure de 12 à 16 semaines, à raison d’une injection par semaine ou aux deux jours, selon les produits. Les comprimés se prennent à raison d’une dizaine par jour.

Le prix d’un cycle est d’environ:

– 500$ Pour les stéroïdes en injection

– 200$ Pour les stéroïdes en pilules

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Laboratoire clandestin ou produits pharmaceutiques

Les usagers s’approvisionnent de deux façons: les laboratoires clandestins et les produits pharmaceutiques. Les produits pharmaceutiques sont plus sûrs mais plus difficiles à trouver. La plupart des consommateurs doivent donc se tourner vers les laboratoires clandestins, éparpillés un peu partout au Québec comme ailleurs. Les gens achètent souvent la poudre en Chine ou au Mexique avant de la mélanger à différentes huiles.

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Le chemin le moins fréquenté…


L’estime de soi ne se passe pas dans le silence et la dans la solitude mais dans l’ouverture de l’intérieure et de l’extérieure de nous-même. Pour réussir cela demande du travail et des remises en questions pour s’auto-évaluer et mieux organiser nos énergies a réussir nos projets, nos espérances
Nuage

 

Le chemin le moins fréquenté…


La discipline est une manière d’apprendre à affronter les problèmes
et à les résoudre avec succès, pour s’enrichir et évoluer…

Retarder la satisfaction est une question d’emploi du temps des douleurs et des joies de la vie, de façon à mettre en valeur le plaisir  et à faire face à la douleur avant, pour s’en débarrasser.  C’est la seule manière de vivre bien…

Les problèmes ne disparaissent pas.  Ils doivent être affrontés,  sinon
ils demeurent et ils restent toujours une barrière pour l’évolution
et le développement de l’esprit…

Le sentiment d’avoir de la valeur est absolument essentiel pour la
santé mentale et c’est le fondement de l’autodiscipline. 
C’est un produit direct de l’amour parental…

Si nous avons des difficultés à assumer la responsabilité de notre comportement, c’est parce que nous ne voulons pas en souffrir les conséquences…

La vie d’un adulte est une série de choix personnels et de décisions…

Dans le monde,  le danger réel réside plus à l’intérieur de nous
qu’à l’extérieur,
et la remise en question permanente
et la contemplation sont essentielles à notre survie…

L’énergie dont on a besoin pour l’autodiscipline que demande
l’honnêteté est bien moindre que celle exigée par le mensonge…

L’équilibre est la discipline qui nous donne la souplesse et le bon sens…

La meilleure façon de mesurer la grandeur de quelqu’un,
c’est de mesurer sa capacité à souffrir…

L ‘amour est trop profond pour être jamais mesuré, 
compris ou limité par des mots…

On n’est pas obligé d’aimer,  on le décide…

L’amour implique toujours le travail et le courage
puisqu’il exige le dépassement de soi…

Un humain est en même temps un mortel et un éternel…

Le mal est un échec dans le bilan de l’évolution des hommes
parce que chaque âme qu’il détruit servait à en sauver d’autres…

Le chemin de la sainteté passe par la remise en question systématique…
 
Dr. M. Scott Peck

Souffrir de procrastination


Quand on sent le temps nous échapper il serait judicieux de prendre quelques moments pour réfléchir a trouver la bonne méthode pour y remédier
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Souffrir de procrastination

Vous remettez toujours au lendemain ?

Arrivez-vous toujours en retard ?

Vous souffrez de procrastination. Au delà d’une discipline et organisation des priorité, peut-être souffrez-vous de manque de confiance en vous.

Il arrive que ce problème est le reflet de ce mal être. Forcez-vous à arriver à l’heure et vous verrez que cela vous donnera confiance en vous !

Michel Poulaert

L’aisance matérielle


Il y a des gens qui semblent avoir tout et en veulent encore plus .. Ils veulent être a la dernière mode, avoir accès a toute nouvelles technologie, la grosse maison, etc .. pourtant le matériel est certes bien intéressant mais sans la richesse intérieure elle ne donne pas grand chose sur l’accomplissement de soi
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L’aisance matérielle

"Sans discipline, l’aisance matérielle est un piège."

Que désirons-nous en général : la facilité, le confort, le succès matériel ? Jusqu’au jour où une épreuve nous oblige à réfléchir sérieusement et à reconnaître que les seuls objectifs valables sont d’un tout autre ordre, soit le discernement, la sérénité, la patience, la sagesse, la générosité. Grâce à ces qualités, nous pouvons affronter avec succès les défis de la vie. Sans ces celles-ci, non seulement nous sommes dépourvus face aux épreuves ; mais de plus si la vie nous présente de bonnes conditions de cheminement, nous risquons de ne pas les reconnaître. Ainsi, il ne faut pas croire que l’aisance matérielle est nécessairement une bonne chose. Dépendamment de notre niveau de discipline, l’abondance de biens de consommation nous fait avancer ou de reculer.

"L’abondance ne suffit pas à l’homme ordinaire
Et le strict minimum suffit largement au sage."

L’abondance sans discipline :
L’abondance de biens de consommation peut devenir un piège pour ceux qui n’ont pas développé certaines qualités morales. Si vous êtes une de ces personnes, il est préférable pour vous que vous cessiez de souhaiter le succès matériel. Car sans une bonne dose de discipline personnelle, la facilité peut mener à la paresse et à la gratification excessive. Il n’est pas question ici de s’épuiser à tenter d’évoluer trop rapidement. L’équilibre a toujours sa place. Mais observez simplement votre attitude pendant vos vacances. Au début de celles-ci, il est normal de se reposer. Mais une fois vos batteries complètement rechargées, est-ce que vous focalisez surtout sur des plaisirs immédiats ou est-ce que vous utilisez au moins une partie de votre temps pour cheminer intérieurement ?

L’abondance avec discipline :
Pour ceux qui une volonté suffisamment forte et un désir réel de progresser vers une meilleure façon d’être, l’abondance physique peut être une grande opportunité. Et ce, non seulement pour eux, mais aussi pour les gens qui les entourent. En effet, l’aisance matérielle leur donne la possibilité de donner davantage aux autres. Elle leur permet également de travailler encore plus sur eux-mêmes afin d’acquérir davantage de richesses intérieures. Et grâce à ce cheminement, ils deviennent des gens plus sereins, plus fraternels et plus heureux.

"Seul le sage sait faire bon usage de l’aisance matérielle."

Denis St-Pierre