Les échecs


Voilà une raison pour apprécier nos échecs qui en bout de ligne pourrait devenir une réussite grâce à l’expérience acquise
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Les échecs

 

«Il est impossible de vivre sans ne jamais échouer, sauf si tu fais tellement attention, que tu ne vis pas du tout. Dans ce cas, tu échoues par défaut» –

J.K. Rowling   

Le Husky qui voulait devenir ami avec un chat


Ce chien est intelligent, car pour apprivoiser le chat, il ne fait que s’approcher a une distance raisonnable pour éviter que le chat prenne la fuite ou pire l’attaque
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Le Husky qui voulait devenir ami avec un chat

Que se passe-t-il lorsqu’un Husky rencontre un chat ?

 Il tente de devenir son ami bien sûr ! C’est du moins le cas de ce magnifique toutou, qui se plie en quatre pour plaire à son compagnon félin.

Devant le regard quelque peu sceptique du matou, il chante, fait des roulades, improvise un petit spectacle en levant une patte, puis une autre.

Mais malgré tous ces efforts, le chat reste de marbre. Immobile, il continue d’observer d’un air intrigué le numéro de ce drôle de phénomène…

Le matou finira-t-il par céder aux avances du toutou ?Affaire à suivre !

Entrez la légende de la vidéo ici

http://wamiz.com/

Le Saviez-vous ►Les animaux les plus dangereux de la planète (et ce ne sont pas forcément ceux qu’on croit)


Quels sont les animaux les plus dangereux ? Le classement est selon la dangerosité pour l’homme, et contrairement a ce que l’on peut croire, ce n’est pas parce qu’ils sont gros, qu’ils sont les plus dangereux
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Les animaux les plus dangereux de la planète (et ce ne sont pas forcément ceux qu’on croit)

 

Crédit wikipédia commons

Indice : cette liste ne comprend ni les piranhas, ni les hyènes, ni les araignées. Et oui, les animaux les plus dangereux ne sont pas forcément ceux que vous croyez.

Les animaux les plus dangereux de la planète ne sont pas forcément ceux auxquels vous pensez en premier. Preuve en est avec cette liste qui classe la dangerosité des animaux selon le nombre de morts qu’ils causent par an chez l’homme. Et les requins arrivent avant-derniers.

Les moustiques

Ce sont les animaux les plus dangereux de la planète, au sens où ils causent chaque année le plus grand nombre de morts. Selon l’Institut océanographique de Monaco, les empêcheurs de dormir en rond feraient entre 800 000 et 2 millions de morts.

En cause : la faculté, et la facilité, qu’a mademoiselle (seule les femelles piquent) à propager virus, bactéries et autres parasites qui répondent bien souvent au nom de dengue, chikungunya, virus du nil occidental ou encore paludisme.

Les régions tropicales et en particulier l’Amérique du Sud ainsi que le continent africain sont les plus touchées.

Les serpents venimeux

Les serpents venimeux sont responsables de la mort d’environ 100 000 personnes par an sur l’ensemble de la planète, toujours selon une étude de l’Institut océanographique de Monaco relayée par Lefigaro.fr.

Le cobra royal est considéré comme le serpent le plus venimeux du monde. Il peut mesurer entre 3 et 5 mètres et se dresser d’un tiers de la longueur de son corps s’il se sent agressé, avant d’attaquer. Son venin neurotoxique attaque le système nerveux, brouillant la vision, occasionnant des vertiges et une paralysie faciale. Le système respiratoire cesse ensuite de fonctionner, entraînant la mort. Il se rencontre principalement en Asie. Plus au sud, en Australie, c’est le serpent-tigre qui réputé être très venimeux.

Les scorpions

On comptabilise entre 2 000 et 5 000 morts par an suite à la piqûre d’un scorpion, principalement en Amérique tropicale, en Afrique et en Asie ; au Mexique, un peu plus d’un millier de cas sont recensés chaque année.

Le Leiurus quinquestriatus, surnommé « le rôdeur de la mort » en français, est considéré comme l’espèce la plus mortelle. La piqûre provoque des douleurs intenses, de l’hypertension puis la paralysie respiratoire entraînant la mort. L’animal vit sur le continent africain. Mieux vaut éviter sa rencontre.

Cependant, les scorpions étant généralement de nature peureuse, sauf lorsqu’ils se sentent agressés, les piqûres sont souvent dues à des accidents. Dans l’hexagone, les cinq espèces recensées sont inoffensive assure le CHU de Lille.

Les abeilles

Si les attaques d’abeilles sont rares, elles n’en restent pas moins spectaculaires comme ici, en mai 2012 en Haute-Garonne ou là, en août 2013, en Afrique du Sud.

Si certaines espèces sont réputées agressives, notamment celle surnommée d’abeilles tueuses, une espèce qui a commencé à envahir le sud des Etats-Unis dans les années 90, les abeilles ne causent, chaque année, la mort « que » de 400 personnes. Les enfants et les personnes âgées sont les plus vulnérables.

Les éléphants

Et oui, les éléphants sont des animaux plus que dangereux, et plus mortels, que les requins. Derrière leur image de bête nonchalantes et flegmatiques, ils peuvent se révéler dangereux et agressifs, notamment quand les mâles sont en rut

 

En groupe, si un troupeau se met à charger, les éléphants peuvent déplacer leurs 5 tonnes à une vitesse maximale de 24 km/h. Peu de choses résistent à leur passage.

Le crocodile du Nil

Présent sur le continent africain, le crocodile du Nil est responsable de la mort de plus de 200 personnes par an. C’est l’un des plus grands reptiles vivants avec le crocodile marin, l’anaconda et le python réticulé. Avec la tortue luth, il est aussi l’un des reptiles les plus lourds et peut atteindre les 500 kg.

Ses cousins, à savoir le crocodile Indo-Pacifique et l’alligator américain n’ont eux que de rares décès à leur actif (entre 1 à 4 chaque année).

Les grands félins

Les félins sont des prédateurs et chassent à ce titre pour se nourrir. Ils peuvent devenir agressifs s’ils se sentent menacés ou en cas d’intrusion sur leur territoire.

En Afrique, les lions sont responsables chaque année de la mort d’une centaine de personne. Plus à l’est, en Inde, les tigres tuent une cinquantaine de personnes par an. En Amérique du nord, le puma est responsable, lui, de moins d’une dizaine de décès par an.

L’hippopotame

Oui, l’hippopotame tue. On estime qu’il est responsable chaque année d’une centaine de décès, notamment en Afrique.

Les décès sont souvent dus à des accidents, à cause de la méconnaissance des touristes ou des locaux du fonctionnement de l’animal.

Très territorial, il chargera invariablement quiconque se trouvera sur ce qu’il a décrété être chez lui.

Il peut déplacer ses 300 kilos à près de 40 km/h, et tout piétiner sur son passage.

Les requins

Chaque année, entre 50 et 100 personnes meurent sous les dents acérées des requins qui confondent bien souvent surfeurs… et loutres. Des attaques toujours spectaculaires, nourries dans l’inconscient collectif par l’agressivité supposée des squales mis en scène dans Les dents de la mer. Un chiffre cependant bien faible au regard du million de décès causés par les moustiques ou par les accidents de la route.

Les espèces responsables des décès sont surtout le  »Bull Shark », le requin-tigre, le ‘‘Oceanic White tips » et le grand requin blanc. Les attaques ont principalement lieu en Australie, en Afrique du Sud, en Floride et aux îles Hawaï.

Les méduses

S’il existe bien une espèce particulièrement venimeuse de méduse, surnommée « méduse-boite » que l’on retrouve au nord de la côte est australienne, les décès dus à une rencontre avec une de ces bêtes est relativement rare.

Moins d’une dizaine par an. Les trois espèces de méduses que l’on retrouve sur les côtes françaises ne sont pas mortelles.

http://www.atlantico.fr/

Morts de la télé-réalité : Ces émissions vont-elles trop loin ?


Je pense qu’à la suite de ce billet les gens devraient boycotter ces émissions. J’ai vu quelques émissions de télé-réalité quand cela a commencé, mais aux premiers épisodes, cela m’a écoeuré, car je trouve qu’ils allaient trop dans l’intimité des gens, mais je vois qu’avec le temps ces émissions en empirer dans leur intrusion des émotions des gens. C’est vraiment une forme de voyeurisme, de cruauté et de jugements, d’intimidation et d’humiliation pour ceux qui ne sont pas choisis, qui sont rejetés
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Morts de la télé-réalité : Ces émissions vont-elles trop loin ?

 

Alors que les émissions de télé-réalité se multiplie sur toutes les chaînes, que ce soit en France ou ailleurs, de trop nombreux incidents dramatiques commencent à poser sérieusement la question des limites à ne peut-être pas franchir si l’on préfère éviter que le divertissement ne tourne à la tragédie humaine, même s’il est déjà trop tard pour certains.

La télé-réalité va-t-elle trop loin ? Le question se pose à nouveau alors qu’en Corée du Sud, une jeune femme participant à une émission de dating s’est suicidée mardi 5 mars invoquant l’humiliation découlant des pratiques de tournage. Produit par SBS, l’une des 3 principales chaînes du pays, et diffusé depuis 2011 le programme intitulé Jjak (Le Partenaire) est censé permettre à 10 hommes et 10 femmes de trouver l’âme soeur (entre eux) après avoir passé une semaine isolés dans un hôtel au nom prometteur de « Cité de l’Amour » sur l’île de Jeju et y avoir vécu une série d’épreuves permettant de trouver le bon. Mais visiblement, plutôt que d’insister sur les couples potentiels, la production se concentrerait beaucoup sur la solitude et l’isolement des candidats éconduits, les forçant à manger seuls, mais face caméra.

« Je n’arrête pas de pleurer. J’ai eu tellement de malheurs dans ma vie, et je veux la terminer ici« , aurait écrit Chun, 29 ans, avant de se pendre à l’aide du câble de son sèche-cheveux, selon la police.

Pendant son aventure, elle aurait plusieurs fois fait comprendre à ses proches qu’elle se sentait tellement humiliée qu’elle préférait quitter le pays.

Dans un sms envoyé à des amis, elle indiquait que l’équipe tournait « beaucoup de scènes d'[elle] seule (..) pour mieux attirer l’attention sur les couples formés » et renvoyer l’image d’une jeune femme impopulaire et « sombre ».

Le quotidienDong-a Ilbo a par la suite recueilli de nombreux témoignages d’anciens candidats rapportant des vexations incessantes. Depuis cette tragédie, la chaîne a annulé la diffusion de l’émission et a présenté des excuses publiques à la famille de Chun et aux téléspectateurs. Mais Jjak est un programme parmi tant d’autres et même si la production décidait de l’arrêter, une autre prendrait le relais dans les semaines qui suivent.

Le double drame de Koh-Lanta

​En la matière, Koh-Lanta l’a bien prouvé. Suspendu suite à la mort de Gérald Babin, un candidat de 25 ans décédé d’une crise cardiaque, et du suicide du médecin de l’émission indirectement tenu pour responsable de cette disparition, le tournage de la nouvelle saison du programme mettant à l’épreuve tant physiquement que psychologiquement des candidats sur une île déserte devrait finalement reprendre cette année. Et si la défaillance cardiaque du jeune homme était notamment du à une malformation et qu’il a été conclu qu’elle était accidentelle, la gestion de son malaise a vivement été pointée du doigt par ses proches pour qui la production aurait caché certains détails.

La version française de l’émission n’est cependant pas la première à tourner au drame. En effet, en 2009, l’émission bulgare a également perdu l’un de ses candidats d’un arrêt cardiaque, sous l’oeil des caméras. Le tournage n’a pas été interrompu et le décès du participant avait même été utilisée au montage et diffusée à la télé. La même année, en Thaïlande, un candidat pakistanais d’un programme similaire a trouvé, en plein tournage, la mort en se noyant alors qu’il tentait de traverser un fleuve à la nage en portant un sac de 7 kilos.

Les tendances suicidaires d’anciens candidats

Elle était la bimbo de la toute première véritable émission de télé-réalité. Et si personne ne l’a véritablement oubliée, Loana n’a jamais vécu la vie rêvée que le succès éphémère de Loft Story laissait présager. Malgré une tentative infructueuse de percer dans les milieux de la musique, de la mode et de la télé, la jeune femme a suivi une pente douce vers les enfers depuis 2001. Aujourd’hui, c’est suite à ses fréquentes disparitions mais surtout à ses tentatives de suicide répétées que l’ex-candidate fait tristement parler d’elle. Dans plusieurs interviews, elle a confié son mal-être et l’absence de soutien psychologique après l’émission et son buzz intense mais bref a plus d’une fois été dénoncée.

Cette question a à nouveau été posée en 2011 après la mort d’un ancien participant de Secret Story 3, François-Xavier Leuridan, alias FX. Décédé dans un accident de la route dans la nuit du 8 au 9 août non loin du domicile de sa mère et de son petit frère à Bouée (Loire-Atlantique), le jeune homme de 22 ans au look androgyne s’est tué en se jetant sous une voiture. Lui qui était pourtant une figure emblématique de cette saison n’était pas parvenu à maintenir le cap et avait lui aussi multiplié les échecs (un single qui n’a pas fonctionné, une émission annulée au bout de deux semaines ou encore un rejet de la part de la production des Anges de la télé-réalité) qui l’ont mené à la dépression puis au suicide.

Toujours en France, une émission avait été entièrement déprogrammé après le suicide de l’un de ses participants. Candidat de Trompe-moi si tu peux, dont le concept était de caché son couple, quitte à tromper son partenaire, Jean-Pierre, un coiffeur de 32 ans, avait, selon ses proches, avait très mal vécu la fin de son couple avec son compagnon Akim, vraisemblablement provoquée par leur participation au programme.

Mais la liste est plus longue. Selon Télérama, la mort de la jeune Coréenne porterait au nombre de 18 le nombre de morts suite à une télé-réalité. Aux Etats Unis, un père célibataire s’était tué après avoir participé à l’émissionSupernanny. L’homme aurait craint de devenir comme son père dont il avait subi les abus étant enfant et d’être incapable de gérer ses propres fils. En 1997, en Suède, un autre candidat d’un programme type Koh-Lanta s’était donné la mort après avoir mal supporté d’être éliminé dès le début de l’émission. Simple fragilité des candidats ou jeu des émissions sur leurs faiblesses qui les pousseraient à bout ? Les mêmes questions resurgissent à chaque drame, sans pour autant obtenir de réponses, ni même une baisse du succès de ces programmes, toujours plus nombreux.

http://www.aufeminin.com/

Mythes ou réalités sur les allergies alimentaires


Les allergies alimentaires peuvent être très sérieuses et chez un enfant, il est important d’être prudent et d’éviter les contaminations croisées
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Mythes ou réalités sur les allergies alimentaires

 

 

1. Il est possible d’être allergique à l’odeur d’un aliment.

FAUX. L’odeur d’un aliment est due à certaines molécules aromatiques qui s’évaporent facilement dans l’air. Ces molécules ne sont pas reconnues par le corps comme étant allergènes. Ce sont les protéines des aliments qui déclenchent des réactions allergiques et celles-ci ne se retrouvent pas dans l’air, sauf dans certains cas précis comme, par exemple, dans une usine où l’on manipule du lait en poudre ou que l’on écaille des arachides.

Différents procédés de transformation, telle que la mouture, la pulvérisation, la cuisson à haute température comme la friture ou la cuisson à la vapeur peuvent permettre à certaines particules de l’aliment de se retrouver en suspension dans l’air. Lorsqu’une personne allergique inhale ces particules, elle peut développer une réaction allergique.

2. Je suis allergique aux arachides, je dois éviter toutes les légumineuses.

FAUX. Bien que l’arachide soit une légumineuse, il n’est généralement pas nécessaire d’éviter les autres légumineuses. Approximativement 5% des personnes allergiques aux arachides le seront aussi à une autre légumineuse.

3. Chez les enfants en bas âge, l’allergie au lait est la plus fréquente.

VRAI. L’allergie la plus répandue chez les jeunes enfants est celle aux produits laitiers, suivie de l’allergie aux œufs, ainsi qu’aux arachides.

4. Les produits sans lactose ne sont PAS sécuritaires pour les personnes allergiques au lait.

VRAI. L’allergie au lait implique une réaction du système immunitaire par rapport à certaines protéines contenues dans le lait. Le lactose est le sucre contenu dans le lait, on y associe des réactions d’intolérance, mais pas d’allergies alimentaires.

5. Le baiser d’une personne ayant mangé une substance allergène peut déclencher une réaction allergique chez son partenaire.

VRAI. Les traces de la substance allergène sont présentes dans la bouche et/ou la salive pendant parfois quelques heures suivant sa consommation, et ce, même après un rinçage de la bouche ou un brossage des dents.

http://www.iga.net/

Selon un tribunal du Massachusetts Photographier sous la jupe? Rien d’illégal


Je n’en revient tout simplement pas que des gens prennent ce genre de décision. Quel sorte d’imbécile qui ose dire qu’il n’est pas illégal de photographier secrètement sous les jupes des femmes ??? Ont-ils des femmes, des filles … C’est tellement stupide, je n’en revient pas
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Selon un tribunal du Massachusetts

Photographier sous la jupe? Rien d’illégal

 

Photographier sous la jupe? Rien d'illégal

Crédit photo : Archives wenn.com

TVA Nouvelles selon CNN

La plus haute cour du Massachusetts a décrété qu’il n’est pas illégal de photographier -secrètement- sous la jupe d’une personne; cette activité a même un nom, «upskirting», chez nos voisins du Sud.

La cour a décidé que cette pratique ne viole pas la loi, car des femmes photographiées dans les transports en commun n’étaient pas nues ou partiellement nues.

Mais un procureur a tout de suite demandé une révision de la loi de l’État.

L’affaire avait commencé quand Michael Robertson, 32 ans, a été arrêté en 2010 après avoir utilisé son téléphone cellulaire pour capter des photos, et des vidéos, sous les jupes de femmes qui empruntaient le tramway.

Deux d’entre elles ont porté plainte. Les autorités ont attrapé Robertson avec les services d’une policière en civil qui servait d’appât.

Deux accusations ont été portées contre lui, il risquait deux ans de prison.

Ses avocats ont plaidé que les victimes n’étaient pas «nues, ou partiellement nues», et qu’elles n’étaient pas dans un endroit privé, argument qui a été bien reçu par le plus haut tribunal de l’État.

Une avocate analyste pour CNN, Sunny Hostin, dit que la loi n’est pas au niveau des nouvelles technologies, et qu’il s’agit bel et bien d’une atteinte au droit à la vie privée des femmes.

http://tvanouvelles.ca/

L’importance de la compréhension de la lecture


Peut-on croire que des enfants à la maternelle qui ont au moins 5 ans ne savent pas tenir ou tourner une page d’un livre. La technologie, les livres numériques, c’est bien beau, mais un enfant doit commencer par la base.
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L’importance de la compréhension de la lecture

 

L'importance de la compréhension de la lecture

Photo Fotoli

Claudine Potvin, collaboration spéciale

 

S’intéresser aux histoires et à la lecture tout en comprenant ce que l’on lit, sont des habiletés importantes à transmettre à nos enfants dès leur jeune âge. Dès qu’un enfant peut tenir un livre-jouet dans ses petites mains, et par la suite son premier livre d’histoires, il est primordial de lui permettre de le faire et de l’amener à s’intéresser aux livres et à la lecture. Il cherchera à comprendre et à saisir les émotions des personnages avant même de savoir vraiment lire.

Trop d’élèves arrivent en maternelle et ne savent pas comment tenir un livre dans leurs mains. Même le concept de tourner les pages d’un livre n’est pas un automatisme chez plusieurs enfants. Pour qu’un enfant s’intéresse à la lecture, il doit d’abord pouvoir évoluer et grandir dans un milieu qui s’intéresse aussi à la lecture. Il doit voir des livres faire partie de son environnement quotidien et aussi avoir l’occasion d’observer régulièrement ces adultes significatifs pour lui, s’intéresser eux-mêmes à la lecture.

En lisant des histoires à son petit, le parent l’intéresse à la lecture, à l’imagination et à la créativité. La pré-lecture enrichit le vocabulaire et permet à l’enfant de développer son sens de l’observation. C’est à travers les images que l’enfant pourra interpréter les émotions des personnages et aussi associer les mots à ces images qui développeront son vocabulaire. La pré-lecture permet à l’enfant de comprendre que tout ce qui l’entoure peut être lu et écrit.

Après avoir lu une histoire comme celle proposée dans les nouveaux livres-jeux Théo de la collection Yoopa, le parent peut poser des questions à l’enfant sur certains passages lus dans le livre. Par exemple: Te souviens-tu de la couleur du chat du petit garçon? Combien de bonbons la petite fille a-t-elle trouvés? Toi, qu’aurais-tu fait à la place de la grand-mère?

Amener l’enfant à réfléchir et à comprendre ce qu’il voit et ce qu’il interprète des images observées dans le livre, lui permettra d’avoir le réflexe de comprendre le sens de ses futures lectures.

Même si votre enfant ne sait pas encore lire, il peut regarder un livre en interprétant les images et en vous racontant l’histoire qu’il voit à travers ces images. Ce seront ses premiers pas vers la lecture et la compréhension de ce qu’il lira pour vrai. Il aura hâte de faire l’apprentissage de la lecture et s’y appliquera.

À l’école, comprendre ce qu’on lit et être intéressé à lire est essentiel aux apprentissages et à la réussite scolaires.

Quelques trucs et suggestions pour initier votre enfant à la lecture.

  • Lui demander de dessiner son personnage favori de l’histoire que vous lui avez lue.
  • Faire des pictogrammes ou des images avec lesquelles votre enfant composera sa propre histoire.
  • Amener votre enfant à créer son livre. Il vous dictera ce qu’il veut écrire et fera les illustrations de son propre livre.  Vous prendrez soin d’assembler ce chef-d’œuvre et de le laisser à la vue de tous, afin que plusieurs curieux puissent découvrir le plus jeune auteur de la maison.

Bonne lecture et profitez-bien de la relâche scolaire!

Publiés par CEC parasco, les 4 nouveaux livres-jeux Théo de la collection Yoopa permettent aux tout-petits de 3 à 5 ans de découvrir le plaisir de la lecture avec leurs parents et de développer leurs habiletés motrices et verbales dans une démarche ludique et amusante.

Claudine Potvin, diplômée en enseignement et détentrice d’un diplôme supérieur en orthopédagogie. Madame Potvin est aussi la Directrice-Fondatrice des Centres Pédagogiques Accompagnement Scolaire qui œuvrent auprès des élèves du primaire et du secondaire depuis plus de 20 ans et ce dans les grandes villes du Québec.

http://fr.canoe.ca/

L’agrile du frêne, dangereux pour l’homme?


Depuis quelques années, les frênes à Montréal sont menacés par un insecte d’origine asiatique. La ville a pensé que couper ces arbres seraient suffisant, mais non. En plus, il semble que les arbres en moins dans un milieu urbain affectent la santé des gens. Comme nous serons appelé a ce genre de crises, il est important de variés les essences arbres pour évité de telles pertes.
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L’agrile du frêne, dangereux pour l’homme?

 

L'étude a établi une corrélation entre l'apparition de... (PHOTO FOURNIE PAR L'AGENCE CANADIENNE D'INSPECTION DES ALIMENTS)

L’étude a établi une corrélation entre l’apparition de l’agrile et la hausse des décès attribuables aux maladies cardiaques et respiratoires. En moyenne, on a observé 23,5 décès de plus par 100 000 habitants après l’apparition de l’agrile.

PHOTO FOURNIE PAR L’AGENCE CANADIENNE D’INSPECTION DES ALIMENTS

CHARLES CÔTÉ
La Presse

L’agrile du frêne, petit insecte aux reflets verts venu d’Asie, a déjà tué des dizaines de millions d’arbres en Amérique du Nord depuis son apparition dans la région de Detroit, en 2002. Mais, par ricochet, il tuerait aussi des humains, selon une récente étude américaine. Et le danger est encore plus grand dans les quartiers aisés. Une raison de plus, selon les experts, de lutter contre cet envahisseur. De quoi alimenter les débats au Sommet montréalais sur l’agrile du frêne, qui aura lieu lundi.

À Detroit, à Chicago et dans des centaines de villes du Midwest américain, la scène s’est répétée pendant des années. Des rues entières ont perdu d’un coup leur couvert forestier, parfois composé entièrement de frênes.

L’agrile du frêne, un insecte asiatique, est apparu à Detroit en 2002. Il a probablement été introduit accidentellement dans du bois ayant servi au transport de marchandises.

Dans la décennie qui a suivi, l’insecte a infecté des dizaines de millions d’arbres.

La tronçonneuse a été la première riposte à l’invasion. Mais une fois les frênes disparus, les humains se sont mis à souffrir.

C’est la conclusion surprenante d’une recherche du gouvernement des États-Unis, publiée l’an dernier dans l’American Journal of Preventive Medicine.

L’étude a établi une corrélation entre l’apparition de l’agrile et la hausse des décès attribuables aux maladies cardiaques et respiratoires.

En moyenne, on a observé 23,5 décès de plus par 100 000 habitants après l’apparition de l’agrile.

Tout en causant un désastre, l’insecte a fourni une occasion unique d’étudier l’importance des arbres urbains pour la santé, explique l’auteur de l’étude, l’économiste Geoffrey Donovan, du laboratoire fédéral de sciences forestières de Portland, en Oregon.

«Le problème que l’on a habituellement, c’est que les changements dans l’environnement naturel sont très lents, alors il est difficile, par exemple, de mesurer les bienfaits d’une augmentation du couvert forestier», a expliqué M. Donovan en entrevue avec La Presse.

«Avec l’agrile, on a un insecte qui s’attaque aux 23 espèces de frêne d’Amérique du Nord, qui les tue rapidement et qui n’a pas d’ennemi naturel sur le continent.»

Les quartiers riches touchés davantage

Une corrélation ne prouve toutefois pas un lien de cause à effet.

Les études comme celle de M. Donovan sont parsemées de pièges. En effet, comment distinguer l’impact des arbres de celui d’autres facteurs comme le revenu ou l’âge?

Mais dans ce cas, le signal est encore plus clair: l’impact de l’agrile augmente avec le niveau social. Ainsi, plus un quartier est riche, plus la hausse de la mortalité a été importante.

Et cela, parce que ces quartiers sont généralement plus boisés. Ils ont donc souffert davantage.

Les arbres sauvent donc des vies, doit-on conclure.

Ce n’est pas si surprenant que cela, selon M. Donovan.

«L’idée que les arbres et la santé sont reliés est aussi vieille que l’humanité, dit-il. On parle de l’arbre de vie.»

Au cours des dernières années, la science a établi plusieurs bienfaits des arbres.

«Quand les gens sont dans un environnement naturel, leurs marqueurs de stress diminuent, dit-il. On sait aussi que les arbres améliorent la qualité de l’air et diminuent l’effet de l’îlot de chaleur urbain.»

«Il y a aussi des bienfaits pour la consommation d’énergie, pour la climatisation, pour la gestion des eaux pluviales, pour la valeur des propriétés», ajoute l’économiste.

Un désastre d’origine humaine

Daniel Kneeshaw, professeur d’écologie forestière à l’Université du Québec à Montréal, n’est pas surpris de l’impact indirect de l’agrile sur la santé humaine.

Il avait lui-même proposé une recherche sur ce sujet en 2009, mais il n’a pas obtenu de financement.

«Il y a un des commentateurs qui avait répondu: «Il n’y aura jamais d’impact sur la santé humaine», dit-il. Alors on a bien ri quand on a vu la recherche américaine.»

Il ajoute que l’impact de l’agrile est décuplé par le fait qu’on a trop planté de frênes en ville.

«Quand j’ai déménagé à Montréal, dans les années 80, j’ai dit à un conseiller municipal que ça n’avait pas d’allure d’avoir des monocultures dans des quartiers entiers, d’avoir des frênes [..] rue après rue.»

Pourtant, souligne-t-il, c’est souvent pour remplacer des ormes, une autre espèce décimée par un parasite étranger, qu’on a planté tous ces frênes.

Et il y a d’autres menaces qui pointent à l’horizon. «Aujourd’hui, c’est l’agrile du frêne; avant, c’était la maladie hollandaise de l’orme, et bientôt, le longicorne asiatique, qui est partout autour, en Ontario, à Halifax. Il s’attaque à l’érable.»

Faire le bon calcul

Kim Marineau, de l’Association des biologistes du Québec, s’inquiète depuis longtemps de l’arrivée de l’agrile dans la région de Montréal.

«Dans mon quartier, à Rosemont, ça fait deux ans que je vois que ça dépérit, dit-elle. Et on voit que les villes n’ont pas le budget pour faire face à cette situation.»

Elle craint que les autorités ne fassent le mauvais calcul et ne tiennent pas compte des bienfaits des arbres.

«On va abattre parce qu’on n’a pas les moyens de traiter, alors que traiter, c’est 100$ chaque année, et que l’abattage coûte 1000$.

«Un arbre attaqué, on peut le sauver, mais à un moment donné, ça devient irréversible. On a cette année et l’an prochain pour intervenir, après ce sera l’abattage massif.»

L’agrile du frêne, un insecte asiatique, est apparu à Detroit en 2002. Il a probablement été introduit accidentellement dans du bois ayant servi au transport de marchandises.

PHOTO FOURNIE PAR L’AGENCE CANADIENNE D’INSPECTION DES ALIMENTS

Les frênes à Montréal

 

1,2 million Nombre d’arbres sur le domaine public

200 000 Nombre de frênes, soit 16 %

48 494 Nombre de frênes en bordure de rue

50 000 Nombre de frênes dans les parcs et boisés, dont 26 000 au parc du Mont-Royal

Un traitement qui freine la maladie

 

De plus en plus de villes du Midwest choisissent maintenant de traiter au moins une partie de leurs frênes avec un insecticide extrait des graines d’un arbre appelé margousier. Le produit est injecté sous l’écorce et est efficace pendant deux ans, explique Phil Marshall, entomologiste en chef au département des Ressources naturelles de l’Indiana. Il a conçu un calculateur qui permet aux villes de planifier cette opération.

«Il y a huit ou dix ans, on essayait de l’éradiquer, mais cela a échoué, dit-il. Maintenant, on fait de la surveillance, de l’éducation, et on gère l’invasion. Dans les villes, cela veut dire faire un inventaire. Ensuite, il faut décider ce qu’on veut faire, par exemple protéger la moitié des arbres pendant au moins 10 ans. On parle de 1000$ par arbre environ sur 10 ans.»

http://www.lapresse.ca/