Une autre petite soeur «J’haïs les filles!»


Je suis bien triste pour le petit garçon, même si l’annonce de bébé dans la famille est généralement sous le signe de joie. Même si c’est drôle comme réaction, j’espère qu’il sera pris au sérieux cette déception pour l’amener a avoir hâte de la venue de sa nouvelle petite soeur.
Nuage

 

Une autre petite soeur «J’haïs les filles!»

 

«J'haïs les filles!»

Crédit photo : Capture d’écran du site dailymail.co.uk

TVA Nouvelles

Un couple a trouvé une façon très originale d’annoncer à leurs trois enfants que la femme était enceinte d’une petite fille. Ils n’avaient pas prévu l’incident mélodramatique qui allait suivre cette annonce, rapporte le Daily Mail.

La vidéo avait pourtant bien commencé.

Gunner et ses deux soeurs, Paisley et Harper, sont installés à table prêts à couper le gâteau.

«Qu’est-ce qu’on va faire Gunner?», demande Jason, le père du jeune trio. Enthousiaste, Gunner, 6 ans, répond «qu’on va voir si c’est un garçon ou une fille» en précisant qu’il «pense que c’est un garçon».

Gunner, qui a déjà deux plus jeunes soeurs, éclate en sanglots en découvrant l’intérieur rose d’un gâteau.

«C’est une fille!», se lamente-t-il avant de s’effondrer sur sa chaise, en pleurs. «C’est une autre fille! J’haïs les filles! Chaque fois c’est une fille, une fille, une fille, une fille», renchérit le petit bonhomme.

(Crédit photo: capture d’écran du site dailymail.co.uk)

Puis, Gunner frappe son poing sur la table. «Je savais que c’était une fille! Je ne mangerai pas de gâteau», s’exclame-t-il.

Amusés par cette réaction exagérée, les parents du garçon ne peuvent s’empêcher de rire discrètement.

«J’haïs les filles», ajoute Gunner. «Je veux quitter la maison et ne jamais revenir!»

http://tvanouvelles.ca/

Le Saviez-Vous ► L’insecte le plus fort au monde


Imaginez peser 70 kg et lever 80 tonnes. Impossible pour l’homme de lever un tel poids. Mais, à l’échelle d’un insecte c’est possible.
Nuage

 

L’insecte le plus fort au monde

 

L’insecte le plus fort au monde est un type de scarabée bousier mâle, l’Onthophagus taurus, capable de tirer 1 141 fois sa propre masse corporelle,

La puissance de ce coléoptère, qui se nourrit d’excréments, équivaudrait pour un être humain pesant 70 kg à pouvoir soulever 80 tonnes, soit le poids de six autobus à impériale.

Comme un athlète, le bousier doit accorder une attention toute particulière à son alimentation, sous peine de s’affaiblir très rapidement s’il est sous-alimenté, ont constaté le Dr Rob Knell, de l’université Queen Mary à Londres, et le Pr Leigh Simmons, de l’université de Western Australia.

«Les insectes sont bien connus pour réussir d’incroyables prouesses en termes de puissance et c’est à mettre sur le compte de leur curieuse vie sexuelle», a avancé le Dr Knell, dans le journal Proceedings of the Royal Society B.

«Les femelles scarabées de cette espèce creusent des tunnels sous une bouse, où les mâles s’accouplent avec elles», a-t-il expliqué.

«Si un mâle entre dans un tunnel qui est déjà occupé par un rival, ils se battent avec leurs antennes et essaient de se pousser en dehors».

Source : leparisien.fr

http://www.lesinsectes.biz/

Une femme secourue à l’Île-du-Prince-Édouard grâce à Facebook


Malgré les mauvais côtés de Facebook, il y a des moments que ce réseau social peut aider a se sortir d’un mauvais pas, voir même sauver la vie. Comme le printemps n’est pas vraiment pressé de s’installer, l’hiver en a profiter pour rendre la vie impossible dans l’est du pays et grâce a Facebook, une femme a pu avoir de l’aide inespérée d’un homme qui a bravé la tempête
Nuage

 

Une femme secourue à l’Île-du-Prince-Édouard grâce à Facebook

 

Une infirmière de l'Île-du-Prince-Édouard affirme que le réseau social Facebook... (Photo Associated Press)

PHOTO ASSOCIATED PRESS

La Presse Canadienne
Charlottetown

Une infirmière de l’Île-du-Prince-Édouard affirme que le réseau social Facebook lui a permis d’être secourue alors qu’elle était prisonnière du puissant blizzard de mercredi dernier.

Élizabeth Gallant a quitté son travail à l’Hôpital Queen Elizabeth, de Charlottetown, en automobile, vers 16h00. Plus tard, elle ne pouvait plus avancer en raison du mauvais temps.

Elle a tenté de faire demi-tour mais en vain car la visibilité était nulle.

Mme Gallant a alors lancé un appel à l’aide sur Facebook. Un homme du voisinage qui a reçu le message est venu la secourir en utilisant sa motoneige pour se déplacer.

Élizabeth Gallant est restée prisonnière de son véhicule pendant environ trois heures.

http://www.lapresse.ca/

Tabac banni des lieux publics: moins de prématurés et d’enfants asthmatiques


Beaucoup ne sont pas contents que les interdictions de fumée soient en vigueur dans les endroits publics, certains les enfreints de temps à autre et pourtant cette interdiction semble avoir eu un impact important sur les naissances prématurées et certaines maladies chez les enfants et adultes
Enfin du compte, même si les fumeurs veulent continuer à fumer, il faut penser aux conséquences collatérales de la fumée secondaire et tertiaire
Nuage

 

Tabac banni des lieux publics: moins de prématurés et d’enfants asthmatiques

 

L'interdiction du tabac dans les lieux publics et professionnels a permis de... (Photothèque La Presse)

PHOTOTHÈQUE LA PRESSE

Agence France-Presse
Paris

L’interdiction du tabac dans les lieux publics et professionnels a permis de réduire sensiblement les naissances prématurées et les hospitalisations d’enfants pour asthme, selon une étude publiée vendredi.

En analysant les résultats de 11 études réalisées en Amérique du nord et en Europe, des chercheurs ont montré que le taux des naissances prématurées et des hospitalisations d’enfants pour asthme avait diminué de 10% l’année ayant suivi l’entrée en vigueur de législations interdisant le tabac dans les lieux publics et professionnels.

Plus de 2,5 millions de naissances et quelque 250 000 hospitalisations d’enfants pour asthme intervenues entre 2008 et 2013 ont été passées en revue par le Dr Jasper Been de l’Université de Maastricht (Pays-Bas) et ses collègues dans leur analyse publiée par la revue médicale britannique The Lancet.

«Notre étude fournit la preuve que les interdictions de fumer ont des bénéfices considérables sur la santé périnatale et sur la santé de l’enfant et apportent un soutien fort aux recommandations de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) visant à créer des espaces publics sans tabac au niveau national», souligne le Dr Been.

Selon l’OMS, quelque 16% de la population mondiale vit actuellement dans des pays qui ont adopté des législations restreignant l’usage du tabac.

Une précédente étude publiée en 2012 avait déjà établi un lien entre la mise en oeuvre de ces législations et une réduction de 15% des évènements cardiovasculaires et de 24% des hospitalisations pour des problèmes respiratoires.

Peu d’études ont en revanche été consacrées à leur impact sur les enfants qui représentent plus d’un quart des 600 000 décès attribués au tabagisme passif chaque année, selon une autre étude publiée en 2011 dans The Lancet.

Dans un commentaire joint à l’étude, Sara Kalkhoran et Stanton Glantz, de l’Université de Californie évaluent à 7 milliards de dollars les économies qui pourraient être réalisées chaque année grâce à une réduction de 10% des hospitalisations pour des problèmes respiratoires liés au tabagisme en Europe et aux États-Unis.

«On a rarement vu une intervention aussi simple  améliorer la santé et réduire les coûts médicaux aussi rapidement et de manière aussi importante», relèvent-ils.

http://www.lapresse.ca/

L’idée géniale d’une maman pour faire "marcher" son fils paralysé


Voilà quelque chose de très positif pour un jeune enfant paralysé des jambes. Même si ce harnais ne pourra jamais redonner une autonomie complète en grandissant, juste le fait de jouer et de se déplacer avec un adulte sans béquilles est quand même un atout
Nuage

 

L’idée géniale d’une maman pour faire « marcher » son fils paralysé

 

Upsee, ou comment faire marcher un enfant paralysé.

Un harnais, quelques scratchs et des sandales dédoublées, le génial accessoire inventé par une maman israélienne pour permettre à son fils handicapé de se tenir debout.

HANDICAP – Une ceinture, quelques scratchs et des sandales dédoublées… il n’en fallait pas plus pour qu’un enfant paralysé puisse se tenir debout. Encore fallait-il y penser.

De l’avis des médecins, son fils âgé de deux ans, n’avait pas la moindre conscience de ses jambes, alors pensez s’il pouvait imaginer ce que cela fait de marcher… Victime d’une forme de paralysie d’origine cérébrale, il est acquis que jamais l’enfant de Debby Elnatan ne pourra se dresser sur ses pieds, mais grâce à sa maman, Rotem et bien d’autres jeunes handicapés vont pouvoir se tenir debout aux côtés d’un valide.

Si simple que personne n’y avait pensé

Bien sûr, il n’est pas question de les guérir, mais l’accessoire que Debby a inventé leur offre dès le plus jeune âge une meilleure intégration sociale. Cela ne saurait leur nuire physiquement ; du point de vue de la circulation sanguine, du développement musculaire, des articulations c’est même salutaire ; et pour le développement mental, c’est probablement une bénédiction.

Dans une brève vidéo sur Youtube, on peut voir un autre garçonnet âgé de cinq ans, tout sourire, taper dans le ballon, presque aussi naturellement et avec autant de plaisir qu’un môme bien portant. L’invention est si simple qu’on se demande comment des ergothérapeutes, des médecins, des ingénieurs n’y ont pas pensé avant. Sans doute fallait-il l’amour et la proximité d’une maman pour accoucher de cette géniale idée : un simple harnais et une paire de sandales adaptées.

Un produit à démocratiser

Le prototype conçu par Debby se résume en effet à une ceinture, à quelques bandes « scratch » adaptables à la taille de l’enfant et à des chaussures doubles, pour solidariser les membres inférieurs et les pieds de l’enfant à ceux d’un adulte. Ainsi, le bébé ou l’enfant handicapé peut se tenir à la verticale, se déplacer sans être porté et en gardant les mains libres.

Seul hic dans cette belle histoire qui ne fait que commencer, pour l’heure, le dispositif est assez cher. De l’ordre de trois cents euros, dit-on… La bonne nouvelle est qu’un industriel irlandais, fabricant de jouets, a été convaincu et devrait distribuer les premiers exemplaires commerciaux du « Upsee » début avril. Gageons que le succès et la concurrence aidant, le prix baissera.

http://www.metronews.fr/

Lune et Sommeil : On dort moins bien à la pleine lune, c’est officiel !


Beaucoup croient que la lune a une grande influence sur notre santé, sur des événements qui pourtant ne semble pas être prouvé avec les statistiques. Seulement, il s’avère que pour le sommeil, c’est tout autre chose
Nuage

 

Lune et Sommeil : On dort moins bien à la pleine lune, c’est officiel !

 

    Les effets de la lune sur notre santé ont été beaucoup commentés.

    Dans la plupart des cas, c’est pour démonter des mythes : ni les admissions aux urgences, ni les accouchements ne sont plus nombreux à la pleine lune.

    En revanche, les liens entre sommeil et pleine lune semblent bien démontrés, selon une étude récente…

    On dort moins bien les nuits de pleine lune

    C’est donc maintenant officiel. Et les chercheurs eux-mêmes ont exprimé leur surprise face à l’ampleur des résultats.

    • La durée totale du sommeil diminue de 20 minutes les nuits de pleine lune.

    • La durée d’endormissement augmente de 5 minutes.

    • Et surtout, le sommeil profond dure 30% moins longtemps.

        Cette dernière information est particulièrement importante, parce que le sommeil profond joue un grand rôle dans le fonctionnement de notre corps. C’est lui qui permet au corps de se remettre des efforts de la journée (la division cellulaire est particulièrement importante pendant le sommeil profond).

        Ajoutons qu’au point de vue subjectif aussi, les différences étaient au rendez-vous. Les sujets se rendaient bien compte qu’ils avaient mal dormi !

        Comment mesurer les effets de la lune sur le sommeil ?

        La question n’est pas aussi simple qu’elle en a l’air. En effet, il suffit pour savoir où en est la lune de lever le nez quand le soir est tombé ! Et de nombreuses personnes croient dur comme fer au pouvoir de la lune, ce qui fausserait les résultats de n’importe quelle étude qui serait officiellement au sujet de l’astre nocturne.

        Pour éviter tous les biais, des chercheurs suisses ont croisé les phases de la lune avec les résultats d’une étude sur le sommeil qui avait été menée plusieurs années auparavant, mais n’avait rien à voir avec la lune. Les sujets de l’expérience avaient pour cela dû dormir dans un laboratoire du sommeil, dans des conditions soigneusement contrôlées.

        C’est ainsi que les chercheurs ont réussi à éliminer l’hypothèse que si les gens dorment moins bien les nuits de pleine lune, c’est simplement à cause de la lumière plus intense pendant la nuit.

        Comment expliquer ce phénomène ?

        Pour les chercheurs, ces résultats montrent que notre organisme suit peut-être aussi un rythme « circa-lunaire »  en plus du rythme circadien (calqué sur l’alternance jour / nuit) qui est déjà bien connu et étudié.

        Attention à ne pas tirer de conclusions hâtives, malgré tout : cette étude ne contredit pas toutes celles qui précèdent et qui montrent que nous avons tendance à surestimer l’influence de la lune sur notre santé.

        Mais ceux et celles qui dorment mal les nuits de pleine lune ont maintenant une preuve incontestable de leurs affirmations !

      Article publié par Marion Garteiser, journaliste santé

      Sources : Cajochen, C. et al., Curr Biol. 2013 Aug 5;23(15):1485-8. doi: 10.1016/j.cub.2013.06.029. Epub 2013 Jul 25.

      http://www.e-sante.fr/

      Le plus vieux parc naturel d’Afrique menacé par le pétrole


      La malédiction du pétrole est un vrai cauchemar pour ceux qui veulent défendre des milieux naturels qui abritent nombres d’animaux en péril et cela serait un crime de souiller un des plus vieux parcs naturels qui n’apporterait probablement pas les richesses souhaiter aux pays qui tournent autour de ce parc
      Nuage

       

      Le plus vieux parc naturel d’Afrique menacé par le pétrole

       

      Le parc national des Virunga abrite une biodiversité exceptionnelle.... (PHOTO WWF)

      Le parc national des Virunga abrite une biodiversité exceptionnelle.

      PHOTO WWF

      MARC JOURDIER
      Agence France-Presse
      Goma, RDC

      La plus vieille réserve naturelle d’Afrique, dans l’est de la République démocratique du Congo, a surmonté bien des aléas, mais l’avenir de ce joyau du patrimoine mondial de l’humanité apparaît sérieusement menacé par les convoitises que suscite son sous-sol.

      En cause : la détermination d’une petite société britannique, SOCO International, à mener, avec l’appui de Kinshasa, des activités d’exploration pétrolière au sein du parc national des Virunga.

      Créée en 1925 sous la colonisation belge, cette zone protégée s’étend sur près de 800 000 hectares à la frontière avec l’Ouganda et le Rwanda. L’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO) l’a inscrite en 1994 sur sa liste du patrimoine mondial «en péril».

      Ironie du sort, cet espace abritant une biodiversité exceptionnelle se trouve en effet au Nord-Kivu, province déchirée par les conflits depuis plus de vingt ans.

      Plus que la déforestation, le braconnage, la présence de groupes armés, de soldats, ou de populations installées illégalement dans l’enceinte du parc, ce sont les dommages irréparables que causerait une éventuelle exploitation pétrolière qui inquiètent.

      «Cela constituerait un risque de pollution majeur pour le site, situé non loin des sources du Nil», a déclaré au début du mois le commissaire européen au Développement Andris Piebalgs.

      SOCO a obtenu en 2010 du gouvernement congolais un contrat de partage de production pétrolière portant sur une concession à cheval sur une partie des Virunga.

      À la suite d’une campagne de protestation internationale, Kinshasa a suspendu en 2011 le permis d’exploration attribué à SOCO dans l’attente des résultats d’une «évaluation environnementale stratégique» (EES).

      Pour les opposants au projet, parmi lesquels le Fonds mondial pour la nature (WWF) et plusieurs associations locales, c’est insuffisant.

      Ils arguent que les contrats et permis attribués par l’Etat violent la loi congolaise sur la conservation de la nature et la convention de l’UNESCO sur la protection du patrimoine mondial.

      Ils dénoncent le fait que SOCO soit déjà à l’oeuvre depuis plusieurs mois au sein du parc, car le gouvernement a associé l’entreprise à l’EES, situation pour eux anormale, où elle se retrouve juge et partie.

      «La malédiction du pétrole»

      «À ce stade, assure SOCO, aucun forage n’est prévu ni garanti»,

      mais ses adversaires s’inquiètent des tests sismiques qu’elle s’apprête à mener et affirment qu’il s’agit ni plus ni moins d’activités d’exploration pétrolière masquées aux conséquences graves pour l’environnement.

      Kinshasa met en avant la nécessité d’exploiter le pétrole au nom du développement économique de la RDC, un des pays les plus pauvres au monde.

      Mais pour Bantu Lukambo, directeur général de l’ONG Initiative pour le développement et la protection de l’environnement, c’est une illusion.

      Basé à Goma, la capitale du Nord-Kivu, il cite comme un contre-exemple la ville de Muanda, sur l’océan Atlantique, à l’autre bout du pays, où l’or noir est exploité depuis une trentaine d’années, et refuse d’«accepter la malédiction du pétrole».

      Un récent rapport du Comité catholique contre la faim et pour le développement note que «loin de constituer une manne pour le développement», l’exploitation du pétrole à Muanda a plutôt entraîné «pollution» et dégradation de l’environnement.

      Pour Thierry Vircoulon, directeur du projet Afrique centrale du cercle de réflexion International Crisis Group, «la confirmation des réserves de pétrole dans l’est exacerberait la dynamique de conflits à l’oeuvre» au Kivu.

      Désavouée par le gouvernement britannique, SOCO refuse de s’aligner sur le groupe pétrolier français Total, qui, bien qu’ayant signé avec Kinshasa un accord similaire au sien, s’est engagé à ne pas entrer dans le périmètre du parc.

      L’entreprise se justifie en faisant valoir que son intérêt est très limité géographiquement, que son bloc n’englobe pas la zone d’habitat du gorille des montagnes, espèce menacée, et qu’elle «ne cherchera jamais» à développer des activités dans ce secteur.

      Peu importe, répond l’UNESCO, exploration et exploitation pétrolières ne sont «pas compatibles» avec les statuts du patrimoine mondial et le parc risque donc d’être déclassé en partie, ce que ses défenseurs veulent à tout prix éviter.

      Pour contrer les projets de SOCO, le WWF fait campagne pour convaincre que la RDC a beaucoup plus à gagner sur le plan économique en protégeant le parc et en y développant le tourisme, une pêche et des projets hydroélectriques durables plutôt que de chercher à y extraire du pétrole dont la présence n’a encore rien d’avéré.

      http://www.lapresse.ca/