Les réalisations de demain


C’est comme quand on remet souvent a demain ce que l’on peut faire aujourd’hui, ou bien que nous pensons que cela ne vaut pas la peine alors on fini qu’on ne fait rien
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Les réalisations de demain

 

«Les seules limites de nos réalisations de demain, ce sont nos doutes et nos hésitations d’aujourd’hui»

Eleanor Roosevelt

Les Bassets et la niche magique


Ce serait une niche idéale pendant les froids de l’hiver, les chiens se réchauffent entre eux.
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Les Bassets et la niche magique

 

Par Sophie Le Roux

Crédits photo : youtube – Gretchen Hoey

Attention les yeux, cette vidéo est véritablement magique ! Voici les Bassets Hound capables de faire la sieste à 5 dans une toute petite niche !

Publiées par une éleveuse américaine, ces images sont aussi drôles qu’incroyables. Qui aurait pu imaginer qu’autant de toutous puissent entrer dans un si petit espace ?

Ces chiens seraient-ils des magiciens ? Ils sont en tout cas tous plus adorables les uns que les autres.

La vie avec ces boules de poils ne doit pas manquer de piment !

http://wamiz.com/

Le Saviez-Vous ► Le tatouage, toute une histoire


Le tatouage n’a pas toujours été une mode, une tendance. Il s’est retrouvé gravé sur la peau des gens pour différentes raisons, volontairement ou non. Aujourd’hui, cependant, ceux qui se font tatouer doivent faire appel a des professionnels reconnus pour éviter les mauvaises surprises autant par le dessin que pour la santé
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Le tatouage, toute une histoire

 

tatouage

Séance de tatouage rituel aux îles Samoa, en 1877.Photo : MARY EVANS/SIPA

À l’origine, le tatouage était un signe d’appartenance à un peuple. Popularisé par les populations marginales durant le XXème siècle, il est aujourd’hui devenu plus esthétique et touche beaucoup plus de monde.

 

Pratique universelle et ancestrale, le tatouage fait partie des coutumes de nombreux peuples. Les plus anciennes traces auraient été retrouvées sur un homme mort il y a plus de 5000 ans. Il arborait des petits traits parallèles, probablement pour leurs vertus considérées comme thérapeutiques.

Rite initiatique, signe d’identité ou marque protectrice chez les Celtes, les Japonais, les Egyptiens ou les Polynésiens, le tatouage avait presque fini par disparaître des traditions tribales au fil des siècles. Mais au XVIIIe siècle, il revient sur la peau des marins, inspirés par les coutumes tahitiennes découvertes dans le Pacifique par James Cook.

Le marquage des prisonniers

L’usage se propage alors en Occident et devient l’apanage des marginaux, notamment dans les prisons. Puis, peu à peu, les techniques ont évolué et la pratique s’est professionnalisée, permettant aux premières boutiques d’ouvrir à la fin du XIXe siècle. Mais le tatouage n’a pas toujours été choisi et fut parfois imposé en guise de punition.

Par exemple, dès l’Antiquité, les esclaves sont tatoués comme le bétail pour indiquer leur propriété. Cette pratique est d’ailleurs encouragée par le Code noir qui réglemente l’esclavage au XVIIIe siècle. Lors de la seconde guerre mondiale, ce sont les prisonniers du IIIe Reich, notamment les juifs, qui sont tatoués de force par des numéros permettant leur identification tout en appuyant leur déshumanisation.

Le phénomène « mauvais garçons »

En 1891, à New York, Samuel O’Reilly invente la première machine à tatouer électrique. Celle-ci fait souffler un vent de modernité sur la pratique du tatouage et le professionnalise un peu plus. En Europe, les premiers studios de tatouage ouvrent leurs portes au milieu du XXe siècle mais ne se généralisent qu’à partir des années 70. Ce sont alors les « mauvais garçons », bikers, rockers ou punks, qui sont touchés par le phénomène de la pigmentation de l’épiderme.

Autrement dit, une population marginale qui choisit d’en faire un signe de rébellion et de protestation. C’est au cours des années 90 que le tatouage devient finalement un phénomène de mode, revêtant une dimension plus esthétique. Les amateurs de décorations corporelles sont alors de plus en plus nombreux.

Une démarche artistique et populaire

Les boutiques se multiplient rapidement, passant par exemple de 15 boutiques en France au début des années 80 à plus de 2000 aujourd’hui. La popularisation de cette pratique a permis au matériel et aux techniques d’être considérablement améliorés. Les conditions d’hygiène sont aujourd’hui très encadrées par le code de la santé publique. Le tatouage devient plus sûr et plus sain. Le perfectionnement des graphismes et de la dimension artistique a fait évoluer les mœurs permettant à tout un chacun de se faire tatouer quasiment ce qu’il souhaite, transformant certains tatoués en véritable œuvre d’art.

Au fil des siècles, le tatouage est devenu tendance. Si sa pratique et sa symbolique ont considérablement évolué, la raison pour laquelle on choisit d’être tatoué reste sensiblement la même : se démarquer par une démarche artistique.

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La génétique permet de créer des bébés presque parfaits


Je redoute beaucoup quand le jour viendras ou les gens pourront facilement  »fabriquer » un enfant sur-mesure. Les parents pourraient choisir, le sexe, couleur de cheveux, de yeux et tout le tralala, je crois que les générations suivantes paieront fort le prix. On ne peut pas jouer avec la génétique sans ouvrir la boite de Pandore
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La génétique permet de créer des bébés presque parfaits

 

Photo Fotolia

Il y a maintenant la possibilité de choisir le sexe du bébé et même de remplacer un ADN défectueux par de l’ADN en santé.

Qu’en serait-il si vous pouviez choisir les traits de votre futur enfant, la couleur de ses cheveux et de ses yeux, ses talents et ses habiletés naturelles? Le feriez-vous, demande Parentsociety.com.

Si cela ressemble à de la science-fiction, ce n’en est pas. La science y est presque. Désormais, il est possible pour les parents de choisir le sexe de l’embryon et de vérifier les défectuosités génétiques. Ainsi, vous pouvez «effacer» les prédispositions au diabète, aux maladies cardiaques ou encore au cancer.

Lors de la formation des embryons in vitro, s’il y a détection de ces précurseurs génétiques, les médecins spécialistes peuvent remplacer l’ADN. On appelle ce procédé la thérapie des cellules germinales.

Ces nouvelles possibilités engendrent de nombreuses questions, notamment quant à l’éthique de la science. Il s’agit ni plus ni moins de manipuler la génétique dans le but de créer des êtres supérieurs, parfaits.

Pour le directeur général du Center for Genetics and Society, Richard Hayes, il n’est pas question d’utiliser ces possibilités dans un but esthétique. Sinon, on se prend «pour Dieu», et leur objectif consiste à permettre des enfants plus en santé.

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Facebook lié aux troubles alimentaires?


Quand un réseau social commence a influencer sur les problèmes alimentaires ou sur l’apparence, il est grand temps de faire une grande pause et sortir d’Internet au plus vite
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Facebook lié aux troubles alimentaires?

Facebook lié aux troubles alimentaires?

Photo Fotolia

Les jeunes femmes qui passent beaucoup de temps sur les médias sociaux, en particulier sur Facebook, seraient plus à risque de développer un trouble alimentaire et une mauvaise estime de soi.

C’est ce qui ressort d’une nouvelle étude sur le sujet, rapportée par The National Library of Medicine, et qui parle des impacts du plus populaire média social sur l’alimentation d’un grand nombre de jeunes femmes.

Les chercheurs de l’Université de Floride en tête de l’étude ont analysé les cas de 960 étudiantes universitaires. Les observations ont permis de constater que celles qui passaient le plus de temps sur Facebook affichaient des tendances plus marquées vers les troubles alimentaires, et s’inquiétaient davantage de leur alimentation et de leur image.

«Facebook combine sur une seule plate-forme l’influence des pairs à de forts messages de société qui se concentrent beaucoup sur l’apparence des femmes. Ces images sont ensuite conservées mentalement le reste de la journée. Alors que les chercheurs et cliniciens tentent de comprendre et de démontrer les facteurs de risque des troubles alimentaires, une plus grande attention doit être portée sur le rôle des médias sociaux dans la vie des jeunes adultes», explique l’auteur de l’étude Pamela Keel.

D’autres études précédentes avaient révélé des impacts similaires de la part des médias sociaux sur les jeunes femmes.

Les résultats de l’étude floridienne ont été publiés dans l’International Journal of Eating Disorders.6

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La chirurgie esthétique pour les chiens et chats interdite à Rio


Je pense que le Brésil pourrait donner une bonne leçon sur la protection animale sur les lois qui visent a les protéger de l’être humain a vouloir soit en faire une race soi-disant parfaite ou être utilisé pour tests et expériences
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La chirurgie esthétique pour les chiens et chats interdite à Rio

 

L'assemblée législative de Rio de Janeiro, une ville où le culte du corps frise... (Photos.com)

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Agence France-Presse
RIO DE JANEIRO

L’assemblée législative de Rio de Janeiro, une ville où le culte du corps frise l’obsession, vient d’approuver en première instance un projet de loi qui interdit la chirurgie esthétique sur… les chiens et les chats.

À l’initiative de la députée Graça Pereira, de la petite formation de droite Parti rénovateur brésilien (PRTB), la proposition de loi interdit les interventions destinées à modifier l’apparence de l’animal à des fins non curatives, telles que la caudectomie (le fait de couper la queue des chiens); l’onyxectomie (l’ablation des griffes du chat); ou encore l’otectomie (la coupe des oreilles d’un chien) entre autres.

En juillet 2013, le Conseil national de médecine vétérinaire du Brésil avait publié une résolution dans le Journal officiel stipulant que ce type d’interventions chirurgicales de convenance (fondées sur des critères esthétiques) étaient désormais «illégales».

Depuis, les vétérinaires contrevenants encourent le risque de se voir radier de la profession.

En janvier, l’État de Sao Paulo avait interdit l’utilisation d’animaux pour les tests et expériences dans l’industrie des cosmétiques et des parfums, mais pas dans celle des médicaments.

En octobre dernier, un groupe d’activistes avait envahi un laboratoire situé à Sao Roque (à 60 km de Sao Paulo) et libéré 200 chiens, tous de la race beagle, qui servaient de cobayes pour des tests pharmaceutiques.

Les chiens étaient tous rasés et l’un d’eux avait été retrouvé congelé dans de l’azote liquide. Plusieurs autres avaient été mutilés.

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Bangladesh: le coût de la maroquinerie pas chère


Il se peut que les souliers en cuirs que vous êtes achetés aient passé par les mains d’enfants qui travaillent dans les tanneries, les pieds dans de l’eau contaminée de produits toxiques au Bangladesh. C’est le gros problème en Occident, on veut avoir du beau mais pas trop cher, alors les entreprises vont chercher ou la main d’oeuvre n’est pas cher et que les lois de l’environnement sont quasi inexistant ou ne sont pas appliquées
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Bangladesh: le coût de la maroquinerie pas chère

 

Un journaliste de l'AFP a vu des enfants...

Un journaliste de l’AFP a vu des enfants de 14 ans travailler dans une tannerie où ruissellent sur le sol des eaux usées contaminées au chrome et où sont empilées des peaux de vache et de chèvre traitées au sel.

KAMRUL HASAN KHAN
Agence France-Presse
DACCA

Les jambes plongées jusqu’aux genoux dans des liquides chimiques toxiques, Mokter Hossain trempe des peaux d’animaux dans d’énormes fûts remplis de liquides encore plus dangereux dans une tannerie de Dacca, la capitale du Bangladesh.

Fiévreux, Hossain s’arrête de temps en temps pour tousser, un mal hérité de son travail et qui, selon ses médecins, pourrait le tuer un jour.

«Certains jours, je suis trop malade pour travailler», explique Hossain, 25 ans, qui inhale depuis des années des fumées de chrome et d’autres produits chimiques utilisés pour transformer les peaux brutes en cuir souple.

«Je prends des médicaments contre les maladies de peau. Si je ne le faisais pas, ce serait encore pire», ajoute-t-il, montrant ses bras et ses jambes couverts d’éruptions et de taches noires.

La tannerie où travaille Hossain est l’une des 200 répertoriées dans le quartier d’Hazaribagh à Dacca où 25 000 ouvriers travaillent le cuir – parfois pour seulement 50 dollars par mois – pour des chaussures et produits de maroquinerie vendus dans des chaînes de magasins occidentales.

L’effondrement il y a un an du Rana Plaza, un immeuble de neuf étages d’ateliers de confection dans la banlieue de Dacca, dû au non-respect des normes de construction, a fait 1135 morts. La catastrophe a forcé de grandes marques occidentales de prêt-à-porter à s’engager à inspecter et sécuriser leurs sites de production.

Si cet accident a forcé l’industrie textile locale à prendre des mesures pour la sécurité de ses employés, le secteur du cuir a lui peu changé en dépit de conditions de travail tout aussi terribles. L’activité est en plein essor sous l’effet d’une demande en hausse en Occident de produits de maroquinerie à petit prix.

«Dans ces tanneries, on meurt à petit feu», observe une militante, Rizwana Hasan, en référence aux problèmes respiratoires, cancers, maladies de peau qui touchent les ouvriers du cuir, dues selon les médecins aux longues heures de travail et aux précautions de sécurité insuffisantes.

«Alors que les catastrophes qui ont touché le secteur textile au Bangladesh ont fait les Unes du monde entier, les conditions pires encore des tanneries passent inaperçues», regrette-t-elle.

«Ces tanneries nous rappellent les usines du XIXe siècle», estime-t-elle.

Un journaliste de l’AFP a vu des enfants de 14 ans travailler dans une tannerie où ruissellent sur le sol des eaux usées contaminées au chrome et où sont empilées des peaux de vache et de chèvre traitées au sel.

Les circuits d’approvisionnement compliqués des tanneries d’Hazaribagh font qu’il est difficile de faire le lien entre une tannerie et les marques occidentales s’y approvisionnant, regrettent les défenseurs de la main d’oeuvre.

 

PHOTO MUNIR UZ ZAMAN, AFP

Déchets déversés dans un fleuve

Dans ce quartier de Dacca, les dégâts sur l’environnement et la santé publique sont visibles de tous.

Chaque jour, quelque 22 000 litres de déchets toxiques, y compris du chrome, sont déversés par les tanneries dans le Buriganga, principale fleuve traversant Dacca et source d’eau essentielle pour le pays, selon le ministère de l’Environnement.

Près de 200 000 personnes vivent dans ce quartier et en particulier sur les rives du fleuve, un des plus pollués du monde. Ce qui était autrefois une zone semi-rurale paisible a été transformée en un mélange de marais toxiques, de décharges et de montagnes de déchets de cuir en décomposition.

Quelques dizaines de petites usines de recyclage brûlent ces déchets pour produire de l’alimentation pour la volaille et les poissons. Des fumées noires s’échappent de ces installations et l’air est saturé d’une odeur pestilentielle.

«C’est pire que l’enfer, mais nous n’avons pas le choix», déclare Munia, 19 ans, qui a développé des problèmes respiratoires depuis qu’elle travaille dans l’une de ces usines.

Hasan, la militante, s’est lancée dans une longue bataille judiciaire pour obtenir la délocalisation des tanneries hors de Dacca et l’obligation d’y adjoindre des usines de traitement de déchets. Elle dénonce l’absence d’action publique qu’elle explique par les liens présumés entre le gouvernement et les propriétaires de ces tanneries, gros pourvoyeurs d’emploi.

«Les services de l’environnement et de l’inspection du travail ne font quasiment aucun contrôle. Les raisons sont peut-être politiques, étant donné que le gouvernement ne veut pas incommoder le patronat», estime-t-elle.

Le gouvernement reconnaît que ces tanneries violent les lois sur l’environnement, mais préfère jouer de la persuasion que de la force. Le débat se poursuit aussi pour savoir qui doit prendre en change les coûts du déménagement.

«Les tanneries ne veulent pas se délocaliser, elles veulent rester ici. Elles trouvent des excuses pour retarder ces déménagements», estime Munir Chowdhury, ancien responsable du ministère de l’Environnement, auprès de l’AFP.

Les coûts augmentent en Chine

Pendant ce temps, l’activité des tanneries explose à Hazaribagh grâce à une demande mondiale pour le cuir en hausse et à l’augmentation des coûts de production en Chine. Au premier semestre 2013, les exportations de cuir et produits en cuir, dont les chaussures, du Bangladesh ont augmenté de 35% sur un an.

«Tant les acheteurs occidentaux que les tanneurs sont accros à la main d’oeuvre pas chère et à la faiblesse de la réglementation environnementale d’Hazaribagh. Sans pression de toutes parts, cela ne changera pas», déclare Mme Hasan.

Le changement viendra peut-être de l’attitude des consommateurs à des milliers de kilomètres de là.

Apex Adelchi, qui fournit le distributeur Macy’s aux États-Unis, et le Jones Bootmaker, propriétaire de la marque Clarks, ont créé des tanneries respectueuses de l’environnement pour attirer des distributeurs haut de gamme.

«Nous assistons à une prise de conscience (des acheteurs occidentaux) plus importante sur les questions de respect de l’environnement», déclare Nasim Manzur, directeur général d’Apex.

«C’est dans l’intérêt à long terme du Bangladesh d’améliorer les conditions de travail et les normes environnementales» même si cela implique une hausse des prix pour les consommateurs, ajoute-t-il.

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Un enfant de 5 ans comprend mieux la techno qu’un universitaire


Je ne suis pas surprise que les enfants apprennent plus vite la technologie. Je me souviens que mon premier cellulaire, ma petite fille qui avait environs 18 mois, savait comment ouvrir et faire le signe du code sans que je lui montre.
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Un enfant de 5 ans comprend mieux la techno qu’un universitaire

 

Un enfant de 5 ans comprend mieux la techno qu'un universitaire

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Les enfants de cinq ans seraient plus à même de comprendre comment fonctionnent des gadgets techno que des étudiants universitaires, à en croire une étude menée conjointement par des professeurs de Berkeley (Californie) et de l’université d’Édimbourg (Écosse).

Les chercheurs ont fait passer des tests à 106 enfants âgés de quatre à cinq ans et à 107 étudiants pour voir s’ils arrivaient à faire marcher un jeu comportant des éléments à la fois physiques et électriques au fonctionnement inhabituel.

Le but du jeu était de placer des formes géométriques (appelées Brickets) dans une boîte dans un certain ordre ou selon certaines combinaisons, afin de déclencher une lumière et une musique.

Les chercheurs ont trouvé que comme les enfants sont moins formatés que les adultes par les concepts de cause et d’effet, ils arrivaient plus rapidement à résoudre le problème posé par le jeu.

«D’après ce que nous savons, c’est la première étude qui se demande si les enfants peuvent apprendre des relations de cause à effet abstraites en les comparant avec les adultes», a noté Alison Gopnik, psychologue de l’université de Berkeley, coauteur de cette étude parue dans la revueCognition.

Ces recherches soulignent que, dans l’ensemble, les enfants sont plus susceptibles de suivre des possibilités illogiques et inhabituelles, dans le but de comprendre comment quelque chose fonctionne.

Il n’est donc pas étonnant qu’un enfant de cinq ans puisse facilement trouver le mot de passe d’un téléphone et réussir à effectuer en quelques minutes de nombreux paiements avant que ses parents ne s’en rendent compte.

«L’une des grandes questions, si on se projette, est de savoir ce qui rend les enfants des apprenants plus souples – sont-ils juste dépourvus des préjugés des adultes, ou sont-ils fondamentalement plus souples ou plus ouverts à l’exploration du monde?», a commenté Christopher Lucas, le coauteur de cette étude pour l’université d’Édimbourg.

Et de conclure, «dans tous les cas, les enfants ont beaucoup à nous enseigner en terme d’apprentissage».

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