Le Saviez-Vous ► Mais qui pouvait bien être l’homme au masque de fer ?


Le masque de fer aurait vraiment existé. Il s’agissait plutôt d’un masque de velours. Outre le film des 4 mousquetaires avec Leonardo DiCaprio sortie en 1998, était une des hypothèses que l’homme inconnu au masque de fer était le frère jumeau du roi Louis XIV, on a supposé aussi Molière, Voltaire et autres. Toutes ces hypothèses se sont avérées fausses. Un historien croit avoir trouver qui était cet inconnu, mais sans preuve scientifique, cela demeure une autre hypothèse.
Nuage


Mais qui pouvait bien être l’homme au masque de fer ?


prison barreaux mains prisonnier

Crédits : bortn76 / iStock

par Maxime.P

Emprisonné à la Bastille sous le règne de Louis XIV, l’homme au masque de fer est l’un des prisonniers les plus célèbres au monde. Pourquoi ? Parce que personne ne sait qui il est ! Comme son nom l’indique, le prisonnier portait un masque et il était interdit de donner son nom. De nombreuses personnes, dont des écrivains, auteurs et philosophes ont fait des recherches et ont exprimé leurs théories. 

L’histoire de l’homme au masque de fer

L’histoire de cet homme a été rendue officiellement publique le 19 novembre 1703, lorsque le prisonnier est mort après 34 ans d’incarcération. On l’a enterré sous un faux nom mais aussi sous de fausses dates de naissance et de décès.

Il s’agit d’un prisonnier de la Bastille dont on a recouvert le visage d’un masque et qu’on ne pouvait nommer.

Avant l’officialisation de son histoire, en 1703, c’est en 1687 qu’une gazette manuscrite janséniste et lue très discrètement nous expliquait :

“Personne ne sait qui il est ; il y a défense de dire son nom et ordre de le tuer s’il l’avait prononcé ; celui-ci était enfermé dans une chaise à porteurs ayant un masque d’acier sur le visage, et tout ce qu’on a pu savoir de Saint-Mars était que ce prisonnier était depuis de longues années à Pignerol, et que les gens, que le public croit mort, ne l’est pas.”

Juste après sa mort, sa cellule a été totalement refaite, tous les biens qui lui appartenaient ont été brûlés, les barreaux ont été changés. Tout cela pour être sûr que ce dernier n’ait caché aucune information sur son identité.

homme au masque de fer

Share

Crédits : Wikipédia

Quelques unes des théories les plus connues

Autour de ce personnage intriguant, de nombreuses personnalités tel que Voltaire ou Alexandre Dumas. En effet, Voltaire pensait qu’il pouvait en réalité s’agir du frère jumeau du roi qu’on aurait enfermé pour qu’il ne puisse contester le trône. On a également pensé qu’il s’agissait de Molière, qui ne serait pas mort sur scène, mais enfermé suite à une pression exercée par les jésuites (fortement critiqué dans Tartuffe).

Une autre théorie consistait à croire qu’on aurait enfermé Nicolas Fouquet, le surintendant des finances de Louis XIV, après sa disgrâce auprès du roi. Tant de théories qui nous pousseraient à croire que l’homme au masque de fer n’existait finalement pas. Mais le fait est qu’il a réellement existé !

Les historiens ont ôté le frère jumeau de la liste des théories possibles, puis celle de Molière, avant de démentir celle de Fouquet. Mais alors… Qui cela pouvait-il bien être ?

Les dernières révélations

C’est donc l’historien Paul Sonnino, dans son livre “The search for the man in the iron mask” qui nous donne une réponse des plus plausibles. Il s’agirait donc d’Eustache Dauger, le valet du cardinal Mazarin. Le valet aurait soupçonné le cardinal d’avoir détourné de l’argent provenant de la fortune royale anglaise. Or, à l’époque, Louis XIV était en négociation pour que les deux pays soient en collaboration guerrière. Cette accusation aurait donc mis fin aux négociations, et on aurait mis Eustache Dauger, le fautif, en prison.

Quelques informations historiques ont également changées. Notamment celle du masque. Ce dernier était en réalité en velours, et le prisonnier ne le portait qu’occasionnellement !

Source

https://lesavaistu.fr/

En Espagne, des scien­ti­fiques vont envoyer des décharges élec­triques dans le cerveau de déte­nus


Même si cette expérience de décharge électrique dans le cerveau est sans douleur, les prisonniers sont-ils volontaires ? Le but serait de diminuer les comportements violents. Cela me fait penser aux électrochocs qu’ils donnaient a des malades, il y a plusieurs dizaines d’années au Canada sans que ces personnes ne soient consentantes. Et ils sont restés avec des séquelles ..
Nuage

 

En Espagne, des scien­ti­fiques vont envoyer des décharges élec­triques dans le cerveau de déte­nus

 

Crédits : New Scien­tist

Par  Malaurie Chokoualé 

Des cher­cheurs de l’uni­ver­sité de Huelva en Espagne sont sur le point de débu­ter une nouvelle expé­rience sur des déte­nus, dans le courant du mois de mars.

À New Scien­tist, ils ont expliqué vouloir envoyer des décharges élec­triques dans certaines parties de leur cerveau pour déter­mi­ner si elles peuvent calmer leurs pulsions violentes.

Durant quelques jours, une douzaine de prison­niers répu­tés violents auront des élec­trodes posées sur le crâne. À la fin de leur expé­rience, ils donne­ront un peu de leur salive. Celle-ci servira à évaluer leur taux de corti­sol, et savoir si l’hor­mone du stress peut aider à comprendre l’agres­si­vité du détenu.

Ce procédé s’ap­pelle la « stimu­la­tion trans­crâ­nienne en courant continu » (TDCS), une tech­nique médi­cale basée sur le prin­cipe de stimu­la­tion élec­trique du cerveau. New Scien­tist précise que les chocs élec­triques tiennent plus du massage crânien que de l’éclair foudroyant. En effet, vu le faible niveau d’élec­tri­cité utilisé (un à deux milli­am­pères d’am­pli­tude pendant une tren­taine de minutes), ils consistent à envoyer des stimu­la­tions sans douleur.

Cette étude est loin d’être la première du genre. En 2018 par exemple, l’uni­ver­sité de Penn­syl­va­nie avait mené une étude simi­laire sur des prison­niers et avait conclu à une possible dimi­nu­tion des tendances violentes chez des déte­nus « stimu­lés ». La pratique est néan­moins légi­ti­me­ment contro­ver­sée.

Source : New Scien­tist

https://www.ulyces.co/

Guantanamo, prison bientôt gériatrique


Guantanamo, là ou des gens sont emprisonnés sans inculpation, ni jugement. Il semble que cette prison, appartenant aux États-Unis, aille rester encore en fonction pendant 25 ans. En attendant, cette prison s’est modernisé pour répondre aux besoins des prisonniers qui ne sont plus tout jeune
Nuage

 

Guantanamo, prison bientôt gériatrique

 

Guantanamo, prison bientôt gériatrique

AFP

Centre médical dédié, salles de gym, salle d’opération: l’armée américaine a modernisé le centre de détention de Guantanamo pour l’adapter à des prisonniers vieillissants qui ont de grandes chances d’y finir leurs jours, donnant à la célèbre prison controversée des airs de service gériatrique.

Un déambulateur est glissé dans le coin d’une chambre du centre médical flambant neuf que les militaires américains ont fait visiter cette semaine à un petit groupe de journalistes.

Le lit médicalisé ressemble à tous les autres, la chaise roulante et l’équipement médical de la chambre aussi. Seule différence, l’absence de fenêtre, remplacée par une lucarne en verre dépoli, et un grillage en guise de cloison. De l’autre côté du couloir, un fauteuil percé.

Le plus vieux des 40 prisonniers actuellement détenus sur la base militaire de Guantanamo Bay, à la pointe sud-est de l’île de Cuba, a 71 ans. Le plus jeunes a 37 ans et la moyenne d’âge des détenus est de 46 ans.

Les Etats-Unis, qui les accusent d’avoir participé à divers attentats, notamment ceux du 11-Septembre, les considèrent comme trop dangereux pour être libérés et l’un d’eux a été condamné l’an dernier à la détention à perpétuité.

Conscients que ces détenus ne partiront plus, les Etats-Unis ont décidé de pérenniser la prison de Guantanamo et le Pentagone a ordonné au commandant de la force opérationnelle qui la dirige, l’amiral John Ring, de s’assurer qu’elle puisse rester ouverte pendant encore 25 ans.

« On a beaucoup réfléchi à la façon de se préparer à accueillir une population de détenus âgés et aux infrastructures qu’il fallait mettre en place pour le faire en toute sécurité et de façon humaine », explique le capitaine Anne Leanos, porte-parole du centre de détention.

Avec un budget de 12 millions de dollars, une annexe de la prison a été transformée en hôpital de campagne dernier cri avec une salle d’opération et une salle de radiologie équipée d’un scanner IRM, ainsi qu’une salle d’urgence et de soins intensifs de trois lits.

Pour faire tourner cette clinique, l’armée déploie pour des rotations de 6 à 9 mois trois médecins, un assistant thérapeute, trois psychiatres et 11 infirmières, explique le médecin-chef de l’établissement, dont l’identité n’est pas révélée pour des raisons de sécurité.

Le centre médical qui a ouvert en mars 2018 est désert ce jour-là, mais le médecin-chef l’assure, il est opérationnel.

Aucun détenu n’a aujourd’hui besoin d’une chaise roulante, mais tout est prévu si le besoin survient: le centre médical est équipé de rampes d’accès.

Les patients souffrent de maladies fréquentes à leur âge: diabète, hypertension, maladies gastro-intestinales, troubles moteurs, explique le médecin militaire.

Au premier étage, le service psychiatrique est équipé de deux cellules converties en chambres de consultation. Une troisième cellule, entièrement vide, est capitonnée: c’est la chambre d’isolement où l’on place temporairement les détenus victimes d’une crise psychotique.

Comme les autres militaires déployés à Guantanamo, les psychiatres de la prison ne restent en général que 9 à 12 mois sur place, ce qui limite la portée de leurs interactions avec les détenus.

Depuis l’ouverture de la prison de Guantanamo en 2002, 9 détenus sont morts sur place, dont 7 se sont suicidés. Un prisonnier a succombé à un cancer et un autre à une crise cardiaque.

Aucune information n’est donnée sur l’état de santé de chaque détenu mais les journalistes présents apprennent au détour d’une phrase qu’« un prisonnier modèle observe en ce moment un jeûne non religieux », l’euphémisme choisi par les responsables de la prison pour les grèves de la faim que les prisonniers observent régulièrement en signe de protestation.

La majorité des détenus à Guantanamo n’ont jamais été inculpés ni jugés. Et, même si de tels actes sont plus rares, certains se rebellent encore.

Ainsi, un prisonnier est sous le coup de mesures disciplinaires à l’issue d’un incident avec les gardiens, indique l’amiral John Ring.

« Beaucoup de ces messieurs sont encore en guerre avec les Etats-Unis », explique-t-il. « Ils poursuivent la guerre par le biais de ces petits actes de résistance. »

17/10/2018 17:20:27 –          Base américaine de Guantanamo (Cuba) (AFP) –    

https://www.lepoint.fr

Le Saviez-Vous ► La mort par guillotine était-elle douloureuse ? / Petite histoire de la guillotine


Je croyais que le dernier usage de la guillotine en France était plus ancien que juste 40 ans, elle a quand même était le choix d’exécution pendant près de 200 ans. D’ou l’intérêt a mettre la suite l’histoire de la guillotine qui n’est une invention du docteur Guillotin mais a contribué au choix de cette forme d’exécution, qui pour la population le spectacle morbide était trop rapide. Bref, est-ce douloureux ? Il semble que même la tête coupée ait une activité de quelques secondes, il est quand même difficile de savoir si la douleur était présente
Nuage

 

La mort par guillotine était-elle douloureuse ? /

Petite histoire de la guillotine

 

La guillotine dans le film « Chouans ! » (1988)

Il y a un peu plus de 40 ans aujourd’hui, la France guillotinait pour la dernière fois un prisonnier, Hamida Djandoubi, « meurtrier tortionnaire à tendance proxénète », c’était le 10 septembre 1977 à la prison des Baumettes de Marseille. Alors que nous célébrons cet anniversaire, la question de la douleur d’une mort par guillotine ressurgit : finalement, était-ce un supplice pour le prisonnier ?

En 1905, une expérience intrigua. Un médecin rapporta ses observations de la décapitation d’un dénommé « Languille » dans les Archives d’Anthropologie Criminelle. Le docteur Beaurieux aurait appelé la victime décapitée, dont les paupières venaient de se fermer, et l’individu aurait réagi en ouvrant ses yeux, fixant le docteur avec force, avant de refermer ses yeux lentement, comme « au bord de l’inconscience ». Le condamné aurait même cligné des yeux, post-mortem, à la demande du médecin.

Ajouté à cette troublante expérience, on relate de nombreuses anecdotes tirées de la Révolution, affirmant la conscience de têtes coupées ou même un « défilement d’expressions du visage reflétant la douleur, puis la tristesse et enfin la peur ».

Crédits : Wikimedia / Hulton Archive

Depuis le début de cette pratique, peu d’études scientifiques sur sa pénibilité ont vu le jour, difficile d’obtenir des réponses d’une tête coupée ! Cependant, vers la fin des années 90, plusieurs analyses de décapitations sur les animaux ont débuté et ont pu alors suggérer que l’activité cérébrale s’arrête dans les secondes qui suivent la séparation de la tête et du corps.

Pour compléter cette avancée, le neurobiologiste britannique Harold Hillman nous éclaire avec son étude publiée en 1993 dans la revue Perception. Il s’agit là d’un « petit traité de la mise à mort vue à travers le prisme de la physiologie » qui confronte plusieurs modes opératoires aux résultats d’autopsies sur les individus exécutés, ou en référence à d’autres expériences similaires. Si on y apprend, sans trop d’étonnement, que la lapidation est la mort la plus douloureuse et la plus lente, il confirme aussi que la décapitation, même par guillotine, ne tue pas immédiatement la personne.

Pour le justifier, il relate des expériences menées sur des moutons, qui ont révélé que « l’activité du cerveau s’interrompait 14 secondes après que les artères carotides avaient été tranchées ».

 Mais aussi, il a été constaté que le cerveau humain pouvait fonctionner pendant encore 7 secondes lors d’une interruption instantanée et complète de l’apport en oxygène. Mais le mystère reste entier concernant ce qu’il se produit pendant ces 7 secondes…

Avec SciencePost

http://lesavaistu.fr/l

Petite histoire de la guillotine

À l’instar du docteur Guillotin, qui, à son insu, a donné son nom à la machine, la France révolutionnaire ne se doutait pas qu’une simple réforme du code pénal allait engendrer l’un des plus redoutables instruments de mort. Une histoire, comme tant d’autres, née à Paris…

Contrairement à une croyance répandue, le docteur Guillotin n’est pas l’inventeur de la guillotine. Député de Paris en 1789, ce médecin de formation participa activement aux débats de l’Assemblée Constituante sur la réforme du code pénal, et demanda notamment que soient révisées les exécutions capitales.

Avant la Révolution, plusieurs modes d’exécution existaient selon la nature du crime, et le statut du condamné . Le noble était décapité au sabre, le bandit roué vif en place publique, le régicide écartelé… Des différences de traitement que souhaitait abolir le docteur Guillotin, pour que, même en matière d’exécution, chaque citoyen soit égal devant la loi. Une manière également d’éviter des tortures inutiles aux condamnés. En effet, il était fréquent que la décapitation échoue à la première tentative, ou qu’il soit nécessaire d’interrompre l’écartèlement pour sectionner quelques nerfs réfractaires…

À la suite de nombreux débats, l’Assemblée décréta en 1791 (via l’article 3 du Code Pénal) que « tout condamné aura la tête tranchée ».

Joseph-Ignace Guillotin

Joseph-Ignace Guillotin

Un décret dont s’alarma le bourreau de Paris, Charles-Henri Sanson, qui fit part à l’Assemblée des problèmes liés à cette condamnation unique. Décapiter à la chaîne était pour lui source de fatigue, et donc d’erreurs, sans parler du matériel qui se dégraderait plus facilement s’il devait trancher plusieurs têtes dans la même journée… Le député Guillotin avait bien quant à lui prôné lors des débats une exécution par un « simple mécanisme ». Une question à laquelle l’Assemblée n’avait d’abord pas donné suite, et dont le code pénal n’apportait pas de réponse. 

Il fut donc demandé à Joseph-Ignace Guillotin et au secrétaire perpétuel de l’Académie Royale de chirurgie Antoine Louis, accompagnés dans leurs recherches par le bourreau de Paris, de mettre en place ce « mécanisme ». À la croisée des pensées politiques et philosophiques du docteur Guillotin, des réflexions anatomiques du docteur Louis, et des questions pratiques du bourreau Sanson naîtra la guillotine. 

guillotine histoire france

Antoine Louis et Joseph Guillotin dessinèrent alors les premiers plans d’une machine placée sur un échafaud. Des plans qui, selon la légende, auraient été montrés en mars 1792 à Louis XVI lors d’une réunion au Palais des Tuileries, soucieux de connaitre le sort réservé à son peuple. Grand passionné de mécanique, c’est lui qui aurait préconisé une lame oblique plutôt qu’en forme de croissant, comme le prévoyaient les dessins initiaux. Ironie de l’histoire (bien que cette légende soit contestée), puisque le Roi subira moins d’un an plus tard les effets de son propre perfectionnement.

C’est l’artisan Tobias Schmidt, facteur de clavecin dont l’atelier se trouvait dans la Cour du Commerce Saint-André, qui fut choisi pour réaliser le prototype de la machine. En avril 1792, la première expérimentation de la guillotine eut lieu sur des moutons vivants. Essais concluants. Le 17 avril, la machine fut transportée dans la prison de Bicêtre pour décapiter des cadavres de prisonniers. Une simplicité d’utilisation et une efficacité qui stupéfia le cortège de médecins, notables et représentants de l’Assemblée invités à cette démonstration.

Le premier condamné à mort guillotiné fut Nicolas Jacques Pelletier, exécuté en place de Grève le 25 avril 1792. La foule, venue en masse pour assister à ce nouveau spectacle, fut déçue par la rapidité de l’exécution, et hua le bourreau. La mission des docteurs Guillotin et Louis, elle, était remplie. La guillotine allait faire son oeuvre pendant près de deux siècles…

Eugène Weidmann sur la guillotine, dernière exécution publique en France, 1939. POPPERFOTO/GETTY IMAGES

Eugène Weidmann sur la guillotine devant la prison de Versailles, dernière exécution publique en France, 1939.
POPPERFOTO/GETTY IMAGES

La « machine destinée à couper la tête des criminels » n’eut pas tout de suite le nom de guillotine. Elle fut tout d’abord nommée la « Louisette », en l’honneur du docteur Louis, le « Moulin à silence », la « cravate à Capet » (après la chute de la monarchie, Louis XVI porta le nom de Louis Capet), le « Raccourcissement patriotique », le « Rasoir national, et, enfin, la « guillotine ».

C’est ce dernier terme qui restera dans l’histoire. Au grand désespoir du docteur Guillotin…

http://www.unjourdeplusaparis.com

Le Saviez-Vous ► Top 10 des EXPÉRIENCES scientifiques les plus FLIPPANTES !


Au nom de la science, des gens ont fait n’importe quoi aux êtres humains, mais aussi aux animaux. Des tortures prétextant faire une découverte majeure, qui ont fini par des suicides ou des gens sont devenus des criminels. Peut-on croire que ce genre de pseudo-science est une époque révolue ? Probablement que non !!! Seulement, les expériences sont plus discrètes fait par des savants fous
Nuage

 

Top 10 des expériences  scientifiques les plus flippantes !

 

Le Saviez-Vous ► 11 faits sur la Seconde Guerre


La Seconde Guerre mondiale a été un moment de noir de l’histoire. Voici quelques points qui ont fait partie de cette guerre, des monuments toujours présents relatant un passé sanglant, des hommes et des femmes qui ont participé d’une façon ou d’une autre à cette terrible époque
Nuage

 

11 faits sur la Seconde Guerre mondiale

 

1. Les cartes truquées.

Une société américaine produisant des cartes à jouer a publié un jeu de cartes conçu pour être envoyé aux prisonniers de guerre détenus en Allemagne.

Ces cartes devaient être trempées dans l’eau afin que l’eau révèle des itinéraires d’évasion imprimés sur leur surface.

2. Le Palais d’exposition industrielle du département de Hiroshima, au Japon.

Conçu par l’architecte tchèque Jan Letzel et construit en 1915, l’ancien Palais d’exposition industrielle du département de Hiroshima, aujourd’hui régulièrement désigné sous le nom de « Dôme de la bombe A », était censé rendre hommage à l’architecture européenne et accueillait des évènements et des expositions. Lorsque les Américains larguèrent leur première bombe atomique sur Hiroshima, le bâtiment n’était qu’à 160 mètres du centre de la détonation, entraînant le décès de toutes les personnes situées à l’intérieur.

Du fait de la nature de l’arme nucléaire, l’air entourant le bâtiment a été brûlé et celui-ci ne s’est donc pas effondré malgré la proximité de l’explosion. Le monument a aujourd’hui une plus grande importance, car il est situé à l’intérieur du parc de la paix japonais et symbolise un désir de paix mondiale, conservé dans son état actuel comme un rappel du potentiel destructeur de l’humanité.

3. Les standards corporels.

La stature athlétique et la conformité étaient prisées par la jeunesse hitlérienne, et ses membres étaient sujets à des inspections régulières. La Bund Deutscher Mädel (ou Ligue des Jeunes Filles Allemandes) était sa branche féminine et comprenait une association de beauté et de foi, qui accueillait les jeunes femmes âgées de 17 à 21 ans.

Ici, plusieurs jeunes femmes semblent vouloir impressionner leur inspectrice.

4. Les six visages de la mort.

En 1939, durant le dimanche sanglant de Bydgoszcz, les autorités allemandes de la ville polonaise de Bydgoszcz ont décidé de tuer plus de 14 % de la population entière de la ville en réponse à un affrontement entre des saboteurs allemands et des membres de l’armée polonaise.

Et comme l’illustre cette troublante photographie, les derniers moments de la vie avant la mort peuvent englober un éventail d’émotions humaines.

5. La Christ Church Greyfriars de Londres, au Royaume-Uni.

Érigée en 1687 pour remplacer une autre église ayant brûlé durant le grand incendie de Londres 21 ans auparavant, la Christ Church Greyfriars a été conçue par le légendaire architecte Sir Christopher Wren. Lorsque la Seconde Guerre mondiale a éclaté, les avions de la Luftwaffe allemande ont bombardé sans répit la capitale britannique durant les raids de la Blitzkrieg, et la Christ Church Greyfriars a été l’une des victimes de ces bombardements.

Après la guerre, il a été décidé que l’édifice ne serait pas rebâti, mais il est devenu un monument classé de Grade I (« édifices d’un intérêt exceptionnel ») en 1950, signifiant qu’il devait être épargné par les développements futurs de la ville. Aujourd’hui, un magnifique jardin de roses reproduit l’ancien tracé de l’église et c’est devenu un lieu de calme et de sérénité au cœur de la métropole animée.

6. Les Tigres volants.

Connus sous le nom de « Tigres volants », ou « Flying Tigers », les forces américaines ont eu recours à de nombreux pilotes chinois entraînés durant l’effort de guerre.

Photographié ici au-dessus de la Chine en 1942 par le pilote Robert T. Smith, ce superbe cliché capture la peinture emblématique du nez qui a fini par caractériser les avions Curtiss P-40 Warhawk de facture américaine.

7. Ne jamais rien lâcher.

Franz Von Werra était un prisonnier de guerre allemand qui voulait désespérément retourner au combat. Le pilote de chasse a tenté de s’échapper tellement de fois qu’il a finalement été transféré de Grande-Bretagne au Canada pour l’empêcher de retourner au front, mais cela n’a pas suffi.

Échappant sa prison canadienne, il est passé en Amérique du Sud, puis en Espagne avant de rejoindre l’Allemagne et de retourner au combat. C’est le seul prisonnier de guerre détenu sur le front de l’ouest à être retourné au front durant le conflit.

8. À l’écart du glamour d’Hollywood.

Même les stars de cinéma n’étaient pas à l’abri de participer à l’effort de guerre et dans cette photographie, Ida Lupino travaille en tant que lieutenante dans le corps féminin de défense et d’ambulance sur son standard installé dans sa maison de Brentwood, en Californie, le 3 janvier 1942.

Dans une photographie prise le 9 novembre 1943, l’actrice hollywoodienne glamour Veronica Lake présente les dangers d’avoir les cheveux longs quand on travaille dans une usine durant l’effort de guerre, dans une photographie prise le 9 novembre 1943.

9. La cathédrale Saint-Michel de Coventry, à Coventry au Royaume-Uni.

Coventry était au cœur de l’industrie britannique durant la Seconde Guerre mondiale et la Luftwaffe l’a donc durement ciblé à coup de bombardements et d’attaques. La cathédrale Saint-Michel de Coventry est l’une des pertes tragiques subies par la ville, elle a été éventrée par les violentes attaques.

Aujourd’hui, n’étant plus que l’ombre de ce qu’elle a été, la cathédrale gothique du XVe siècle jouxte son homologue bien plus moderne, assurant le lien entre la ville moderne et son passé tourmenté.

10. Le code d’honneur.

Certains prisonniers allemands détenus dans des camps d’internement américains étaient souvent autorisés à sortir sur la base d’un système d’honneur.

Lorsque certains d’entre eux ont retrouvé leur pays natal et décrit le traitement décent qu’ils avaient reçu, les forces nazies ont commencé à traiter un peu mieux leurs prisonniers de guerre.

11. Les expéditions.

Le 2 février 1945, ces membres du corps militaire féminin posaient pour une photographie au Camp Shanks situé à New York juste avant d’être envoyées au front. Ces femmes étaient le premier contingent féminin afro-américain envoyé à l’étranger durant la Seconde Guerre mondiale et de gauche à droite, agenouillée : Soldate Rose Stone ; Soldate Virginia Blake ; et Première classe Marie B. Gillespie. Deuxième rang : Soldate Genevieve Marshall ; Caporal-technicienne L. Talbert ; et Caporale Callie K. Smith. Troisième rang : Soldate Gladys Schuster Carter ; Sergent-technicienne Evelyn C. Martin ; et Première classe Theodora Palmer.

On estime que plus de 125 000 soldats afro-américains ont combattu pour les États-Unis durant l’effort de guerre.

http://bridoz.com

Le Saviez-Vous ► Histoires méconnues du Canada


Le Canada est un pays jeune à comparer en Europe. Son histoire n’est probablement pas aussi connu que l’on croit. Il y a bien des facettes que la plupart des canadiens ne savent pas et  les faits ne sont pas toujours roses
Nuage

 

Histoires méconnues du Canada

 

Le Canada fête ses 150 ans d’existence en soulignant les faits marquants de son histoire. C’est aussi l’occasion de revenir sur certains épisodes moins connus, mais qui bénéficieraient pourtant d’être remis à l’avant-plan. Retour sur quatre d’entre eux.

1. L’affaire « personne »

En 1929, après avoir obtenu le droit de vote, les femmes doivent encore se battre pour être reconnues comme des « personnes ».

2. Les petits immigrés britanniques

Envoyés de gré ou de force au Canada pour échapper à la pauvreté, environ 100 000 enfants britanniques y feront leur vie au début du 20e siècle.

3. La déportation des Inuits

Dans les années 1950, le gouvernement canadien a déplacé une vingtaine de familles inuites dans l’Extrême-Arctique afin d’y asseoir sa souveraineté.

4. Prisonniers de guerre au Canada

Les Japonais, les Italiens et les Allemands internés pendant la Seconde Guerre mondiale n’étaient pas les premiers prisonniers de guerre au pays. Plus de 8000 personnes ont été enfermées dans des camps d’internement pendant la Première Guerre mondiale. Leur seul crime : leur origine.

http://ici.radio-canada.ca

Etats-Unis : des prisonniers s’échappent de leur cellule… pour porter secours à un surveillant


Peut-être à cause des films, on s’attendrait que des prisonniers auraient profité de la situation pour s’évader. Au contraire, ces prisonniers ont préféré aider le gardien inconscient
Nuage

 

Etats-Unis : des prisonniers s’échappent de leur cellule… pour porter secours à un surveillant

 

Les détenus ont forcé les grilles de leur cellule, poings et chevilles liés. 

Les détenus ont forcé les grilles de leur cellule, poings et chevilles liés.

Capture d’écran ABC / Youtube Media24

HEROS – Huit détenus, poings et chevilles liés, ont forcé la grille de leur cellule pour porter secours à un surveillant, qui venait de faire une crise cardiaque.

Les malfrats ont été les héros d’un jour. Des détenus du tribunal de Parker, au Texas, ont forcé les grilles de leur cellule pour porter secours à un surveillant qui venait de faire une crise cardiaque, le 23 juin, a rapporté une chaîne locale d’ABCjeudi dernier.

Le gardien a été pris d’un malaise cardiaque et est tombé de sa chaise, comme le montrent les images de vidéosurveillances du tribunal, relayées par WFAA. Les huit détenus, tous menottés aux chevilles et aux poings, ont d’abord appelé à l’aide en voyant le surveillant inconscient. Face à l’inertie du personnel pénitencier, ils ont alors tenté de forcer la grille de leur cellule… avec succès.

Le surveillant portait une arme et les clés de la prison

Constatant que le gardien n’avait plus de pouls, ils ont crié et tapé sur les portes pour attirer l’attention. L’agitation a rameuté le personnel de la prison, qui a pu porter secours à leur collègue.

L’un des détenus a expliqué à WFAA ce jeudi qu’il était conscient du danger de la situation et a confié avoir eu « peur » sachant que des gardiens finiraient par arriver « des armes pointées sur eux ».

Le shérif du comté a exprimé le même sentiment, ne sachant pas à quoi s’attendre en voyant tous les détenus près du surveillant à terre. Ce dernier portait en effet sur lui un pistolet et les clés de la prison. Pourtant, aucun des huit prisonniers n’a tenté de s’échapper, et tous sont rentrés sagement dans leur cellule.

http://www.metronews.fr/

Le Saviez-Vous ►10 photos qui ont bouleversé le monde


Des photos du monde affichant des conflits, des famines, des guerres, des réfugiés et des prisonniers ont parfois changé l’opinion des gens, ont aidé à faire bouger les choses. Ces jours-ci, c’est ce petit garçon qui est mort noyé tentant avec sa famille de trouver la paix et la sécurité ailleurs
Nuage

 

10 photos qui ont bouleversé le monde

 

La photo du petit naufragé syrien n’est pas la première du genre à faire le tour du monde. D’autres images ont marqué l’histoire, choqué l’opinion publique et éveillé les consciences. Certaines ont même forcé les gouvernements à agir. Retour sur 10 d’entre elles.

1. LA FILLETTE AU NAPALM

Photo : AP/Nick Ut

La photo de cette enfant nue, qui fuit les bombes américaines, est l’une des plus célèbres de l’histoire. Elle a été prise le 8 juin 1972 par le photographe américain Nick Ut.

Cette image, qui immortalise les horreurs de la guerre du Vietnam, a fait la une des médias du monde entier. Plusieurs disent qu’elle a changé l’opinion des Américains, qui étaient jusque-là favorables à la guerre. La fillette, Kim Phuc Phan Thi, a survécu. Elle vit aujourd’hui à Toronto.


2. SEUL DEVANT LES TANKS

Photo : AP/Jeff Widener

Cette image montre un homme désarmé devant une colonne de chars, place Tiananmen, à Pékin. Elle est l’emblème de la répression militaire sanglante contre le soulèvement des étudiants chinois. La photo a été prise le 5 juin 1989, au lendemain de l’intervention de l’armée contre les étudiants.

Personne ne sait ce qu’est devenu celui que l’on a surnommé « Tank Man ».


3. L’ENFANT ET LE VAUTOUR

Photo : Kevin Carter

Cette photo, prise dans un village du Soudan en mars 1993 par Kevin Carter, est l’un des symboles de la famine en Afrique. Lorsque la photo est publiée par le New York Times, le journal reçoit de nombreux messages de lecteurs qui veulent connaître le sort de l’enfant. Le photographe est l’objet de critiques. Beaucoup se demandent pourquoi il n’a pas aidé l’enfant.

Kevin Carter reçoit un an plus tard le prix Pulitzer pour cette photo. Trois mois après avoir reçu son prix, il se suicide, hanté par « les souvenirs persistants de massacres et de cadavres ». Le garçon sur la photo a survécu à la famine, mais il est mort du paludisme quelques années plus tard.


4. DÉFIGURÉE PAR LES TALIBANS

Photo : PC/AP/Jodi Bieber/Institute for Artist Management/Goodman Gallery for Time magazine

Le visage mutilé de Bibi Aisha a été publié en première page du magazine Time en août 2010 avec cette manchette : « Ce qui arrive si nous quittons l’Afghanistan ». Les talibans ont coupé le nez et les oreilles de la jeune femme parce qu’elle avait osé quitter la maison de son mari.

La photo, qui a remporté le prestigieux World Press Photo Award, a suscité la controverse. Les opposants à la présence américaine en Afghanistan y ont vu du « chantage émotionnel ». Pour d’autres, cette image est plutôt un « appel puissant à la conscience ».


5. LA TORTURE À ABOU GHRAIB

Image d’un détenu de la prison d’Abou Ghraib publié par le Washington Post en 2004. Photo : PC/Anonymous

Des images comme celle-ci ont fait le tour du monde en 2004. On y voit des prisonniers irakiens se faire torturer par des soldats américains dans la prison d’Abou Ghraib, en Irak.

L’administration américaine parlait à l’époque d’actes isolés. Au final, 11 soldats ont été condamnés à des peines de plus de 10 ans de prison. L’enquête militaire menée en 2004 a révélé 44 cas d’agressions contre des détenus à Abou Ghraib.


6. PRIS ENTRE DEUX FEUX

Photo : AFP/Getty Images

Cette image tirée d’un reportage de France 2, diffusé le 29 septembre 2000, montre un père et son fils qui tentent d’échapper aux tirs entre Israéliens et Palestiniens à Netzarim, dans la bande de Gaza.

Quelques secondes plus tard, Mohammed Al-Dura, 12 ans, est mortellement blessé à l’abdomen. Son père, Jamal Al-Dura, subit de graves blessures, mais il a survécu. Cette photo a incarné la seconde Intifada dans les Territoires palestiniens.


7. LES PRISONNIERS D’AUSCHWITZ

Photo : AP

Des images comme celle-ci ont horrifié le monde. On y voit les prisonniers du camp de concentration d’Auschwitz, en Pologne.

Ces hommes et ces femmes d’une maigreur squelettique donnent une idée des mauvais traitements subis par les prisonniers des camps nazis. Les conditions y sont extrêmement dégradantes, et de nombreux prisonniers sont morts de faim ou d’épuisement, ou encore victimes des tortures et des expériences médicales.


8. LA FILLE AFGHANE

Photo : AP/Steve McCurry

Ce célèbre cliché montre une Afghane de 12 ans, réfugiée dans un camp au Pakistan, au moment de l’occupation soviétique en Afghanistan. L’image, prise en 1984 par le photographe Steve McCurry, a fait le tour du monde.


9. LES PRISONNIERS D’UN CAMP SERBE

Photo : AFP/Getty Images/André Durand

Les images de détenus squelettiques dans les camps serbes en Bosnie ont choqué le monde en 1992, en révélant l’ampleur de la campagne de purification ethnique menée dans cette région. Lorsque les forces serbes ont pris le contrôle de la Bosnie en avril 1992, elles ont incarcéré des milliers de personnes dans des camps de détention.
Cette photo a été prise dans un camp de Tjernopolje, près de Prijedor, dans le nord-ouest de la Bosnie, en août 1992.


10. LE PETIT NAUFRAGÉ SYRIEN

Photo : PC/AP/DHA

Le cadavre du petit réfugié a été trouvé sur une plage de la Turquie le 2 septembre 2015. Cette photo d’un enfant mort arrivera-t-elle à secouer l’indifférence quant au sort des milliers de migrants qui tentent de rejoindre l’Europe? Selon Al Tompkins, du Poynter Institute, il arrive que des images singulières deviennent des emblèmes et qu’elles mènent les gouvernements à régler des crises. Cela s’est vu en Somalie, au Vietnam et même à La Nouvelle-Orléans lors de l’ouragan Katrina, souligne-t-il.

Cette photo du bambin pourrait être une de ces images qui changent le monde, d’après Al Tompkins. Le garçonnet, Alan Kurdi, vient de la ville syrienne de Kobané. Son frère de 5 ans et sa mère se sont aussi noyés. Le père s’en est sorti.

http://ici.radio-canada.ca/

Le Saviez-Vous ► 5 des pires techniques de torture de l’histoire


C’est un billet glauque, quand je pense qu’il y a des gens qui en font des collections de ce genre d’objet, j’en ai des frissons. Moi, c’est juste pour une connaissance, car cela fait partie de l’Histoire de l’humanité, ces moyens de tortures ont existé et j’espère que ces objets sont choses du passé, mais il y a peut-être des objets pires que ceux-là aujourd’hui …
Nuage

 

5 des pires techniques de torture de l’histoire

 

Connaissez-vous les instruments de tortures ou de mort lente les plus cruels utilisés dans l’Histoire? Sans en faire une liste exhaustive, voici un top 5 des pires procédés qui ont été employés pour faire parler des prisonniers!

1- L’empalement:

Gravure illustrant Vlad Tepes mangeant dans une forêt de pales

Technique utilisée dès l’Antiquité par les Assyriens, elle a surtout été popularisée au 15e siècle par Vlad Tepes, mieux connu sous le nom de Dracula ou… de l’empaleur (surnom donné après sa mort toutefois). L’objectif était de provoquer une mort lente et douloureuse en insérant le corps du prisonnier sur un long pieux au bout arrondi, qui passait par l’anus et ressortait… par la bouche. On attribue à Dracula l’ajout d’huile sur le pique pour s’assurer d’une mort lente de ses prisonniers! La technique visait à démontrer la puissance du seigneur, mais aussi à dissuader toute personne de contester son autorité. Vlad Tepes est de plus reconnu dans la légende pour avoir créé une véritable forêt de pales avec ses ennemis ottomans.

2- La fourche:

Technique utilisée depuis le Moyen Âge, la fourche consistait à placer un instrument ressemblant à une petite fourchette à deux dents sur la gorge des prisonniers. Dans certains cas, il pouvait y avoir une fourche à chaque bout d’une tige, soit une contre la gorge et l’autre contre le sternum. Ouille!!!

Si les prisonniers avaient le malheur de s’endormir, ils risquaient de mourir au bout de leur sang. Une terrible méthode pour obtenir des confessions, notamment de pactes avec le diable dans le cadre des chasses aux sorcières et aux hérétiques!

3- Le séparateur ou briseur de genoux

Le briseur de genoux

Le mot le dit, cet instrument de torture visait à briser les genoux des prisonniers afin de les forcer à la confession. Cette technique a beaucoup été utilisée par l’Inquisition catholique, toujours dans cette chasse aux hérétiques. Les bourreaux plaçaient le genou de la victime entre deux planches de bois munies de clous et resserraient les planches à l’aide d’une vis.

4- L’écraseur de tête

Le mot veut tout dire! Cette technique médiévale terrifiante consistait à placer la tête du prisonnier avec le menton bien positionné sur une barre de bois. À l’aide d’un simple dispositif à vis, la tête était lentement comprimée entre les planches, faisant tout d’abord éclater les dents. Vous pouvez aisément deviner la suite…

5- La poire d’étouffement ou d’angoisse

Une autre technique de torture qui nous vient du Moyen Âge et qui visait notamment les hommes accusés d’un crime considéré comme très grave par l’Église catholique: la sodomie. Pour vous faire avouer vos fautes, rien de mieux que la poire d’étouffement ou aussi connue sous le nom de poire d’angoisse! Cette dernière pouvait être placée dans la bouche, d’où son nom… mais aussi ailleurs (servez-vous de votre imagination, notamment pour un homme accusé d’homosexualité!) Cet objet métallique avait la forme d’une poire et une fois insérée dans la bouche ou tout autre orifice, était agrandi toujours à l’aide d’une vis. Dans certains cas, les extrémités de l’appareil étaient édentées! 

Sachez par ailleurs que ces objets ont une grande valeur auprès de certains collectionneurs d’objets médiévaux!

PAR EVELYNE FERRON

http://www.historiatv.com/