Les bébés chinois géné­tique­ment modi­fiés pour­raient avoir des muta­tions indé­si­rables


Vous rappelez du scientifique qui avait annoncé qu’il a pu modifier l’ADN de jumeaux dont on ne sait pas ce qu’ils sont devenu ? Il semble qu’en fait, il aurait échoué sur la mutation dont il s’était fixé d’exécuter, mais la nouvelle édition génétique pourrait avoir des conséquences graves, car ils ne savent pas les effets de l’outil CRISPR.
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Les bébés chinois géné­tique­ment modi­fiés pour­raient avoir des muta­tions indé­si­rables

Crédits : Ernesto del Aguila III/NIH

par  Servan Le Janne

En 2018, les jumeaux Lulu et Nana sont nés avec un ADN modi­fié. Grâce à l’ou­til d’édi­tion géné­tique CRISPR, le scien­ti­fique chinois He Jian­kui espé­rait les immu­ni­ser contre le sida. Mais cette pratique contro­ver­sée pour­rait avoir échoué et entraîné des muta­tions indé­si­rées.

C’est la conclu­sion dres­sée par des cher­cheurs qui ont eu accès aux résul­tats dans les colonnes de la MIT Tech­no­logy Review le 3 décembre 2019.

Pour parve­nir à ses fins, He Jian­kui a ciblé une muta­tion géné­tique qui immu­nise certaines personnes contre le VIH, sur un gène baptisé CCR5.

Or, pointe aujourd’­hui le spécia­liste du génome Fyodor Urnov, « l’af­fir­ma­tion selon laquelle [les jumeaux] ont hérité de la variante de CCR5 trahit les faits de façon flagrante et peut être résu­mée en un mot : mensonge. »

Selon lui, les résul­tats de l’étude montrent que le gène n’a pas pu être trans­mis conve­na­ble­ment à Lulu et Nana.

En échouant à leur donner la muta­tion « delta 32 » sur CCR5, l’équipe du profes­seur Jian­kui a procédé à une édition géné­tique dont on ignore les consé­quences, car CRISPR est un outil dont les effets sont encore mécon­nus. En alté­rant l’ADN, il peut change le code du vivant de façon incon­trô­lable. Selon Urnov, ils pour­raient avoir déve­loppé des muta­tions indé­si­rables.

He Jian­kui a été vu pour la dernière fois au balcon de son appar­te­ment de Shen­zen, en janvier 2019, après avoir été renvoyé par son univer­sité. Les auto­ri­tés ont déclaré désap­prou­ver son acte. Et on ignore ce que sont deve­nus Lulu et Nana.

Source : MIT Tech­no­logy Review

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Dévoilement du sexe du bébé : quand les parents vont trop loin


Il y a beaucoup de vidéo pour annoncer le sexe d’un bébé qui n’est pas né. Cette tendance a débuté aux États-Unis et j’espère qu’elle ne dépassera pas trop les frontières. Car avec les réseaux sociaux, c’est qui fera la plus belle fête, avec le moment le plus impressionnant pour annoncer si c’est une fille ou un garçon. Cela peut paraitre bien beau, sauf qu’il y a eu des accidents qui ont provoqué la mort, un feu de forêt etc .. Il y a shower que je trouve une belle tradition, car la maman a plein de cadeaux pour le bébé qui vient. Généralement, c’est entre femmes, mais pour une mes brus, nous avons fait cela en famille avec les gars et cela a été vraiment super.
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Dévoilement du sexe du bébé : quand les parents vont trop loin

PHOTO GETTY IMAGES

De plus en plus populaires aux États-Unis, les fêtes organisées par les futurs parents pour dévoiler le sexe de leur enfant à naître peuvent virer au cauchemar.

(Washington) Un écrasement d’avion au Texas, une explosion mortelle dans l’Iowa, un incendie géant en Arizona : de plus en plus populaires aux États-Unis, les fêtes organisées par les futurs parents pour dévoiler le sexe de leur enfant à naître peuvent virer au cauchemar.

      SÉBASTIEN DUVAL

      AGENCE FRANCE-PRESSE

      « C’est une fille ! » Après avoir largué, à basse altitude, plus d’une tonne d’eau colorée en rose, le petit avion a subitement décroché pour aller s’écraser dans un champ texan.

      L’accident n’a miraculeusement pas fait de victime début septembre, mais une autre « gender reveal party », littéralement « fête de la révélation du sexe », a été fatale le mois suivant dans l’Iowa à une femme de 56 ans, tuée par les débris projetés par une bombe artisanale.

      Les parents américains se sont longtemps contentés d’un gâteau pour mettre fin, au moment de la découpe, à l’intenable suspense : coulis bleu pour un garçon, rose pour une fille.

      Avec l’émergence des réseaux sociaux, les mises en scène sont aujourd’hui de plus en plus sophistiquées et « extrêmes », confie à l’AFP Carly Gieseler, de l’Université de New York, qui s’est penchée sur cette tendance née à la fin des années 2000.

      Ce qui était surtout au début « un petit rassemblement intime » est devenu un spectacle à l’américaine, avec « explosions, feux d’artifice et sauteurs en parachute », partagé à gogo sur Instagram ou YouTube.

      Pour l’universitaire, les fêtes de la révélation du sexe ont « comblé le vide laissé par ces rassemblements communautaires qui ont tendance à disparaître ».

      Elles sont devenues tellement « courantes » aux États-Unis qu’elles seraient désormais « presque un passage obligé » pour les futurs parents. Et les entreprises spécialisées se frottent les mains.

      « Quelle importance ? »

      Balles de baseball ou de golf qui laissent échapper une poudre bleue ou rose quand on frappe dedans, cibles de tir, ballons, guirlandes, pâtisseries… « Le marché est immense », relève Carly Gieseler.

      Il complète celui d’une autre coutume américaine, le « shower » de bébé, fête prénatale, surtout célébrée entre femmes, lors de laquelle la future maman est « inondée » de cadeaux.

      Si les « gender reveal parties » ont au moins le mérite de faire participer les hommes aux festivités, elles sont accusées de renforcer les stéréotypes de genre.

      « Même si cela peut sembler assez léger au premier abord, elles contribuent à rétablir la conception binaire du genre en imposant à un bébé qui n’a pas encore vu le jour l’idée selon laquelle il est soit un garçon, soit une fille, et tous les postulats qui vont avec », note la chercheuse new-yorkaise.

      Même l’« inventrice » du phénomène, Jenny Karvunidis, de qui tout est parti à la suite d’un article de blogue en 2008 lorsqu’elle était enceinte de sa première fille, a aujourd’hui l’impression d’avoir créé un monstre.

      « Je suis très partagée quant à ma contribution fortuite à la culture. C’est devenu complètement fou par la suite », a-t-elle écrit en juillet sur les réseaux sociaux, évoquant « tirs de pistolet » et « incendies de forêt », comme celui provoqué en 2017 dans l’Arizona par un futur papa imprudent et maladroit.

      « Quelle importance a le sexe du bébé ? », s’interroge-t-elle par ailleurs. « Je ne savais pas (à l’époque) ce que nous savons aujourd’hui : que donner de l’importance à leur sexe de naissance occulte une grande partie de leur potentiel et de leurs talents, qui n’ont rien à voir avec ce qu’ils ont entre les jambes ».

      Accompagné d’une photo très soignée avec conjoint, chien et enfants, sa publication offre une révélation :

      « Le premier bébé au monde né après une “gender reveal party” est une fille qui porte des costards ! »

      Il a été « aimé » plus de 35 000 fois sur Facebook.

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      Le Saviez-Vous ► 13 choses à savoir sur le rire


      On peut rire d’une blague, de faits cocasse, des exercices du rire. Il y a les fous rires, les rires nerveux, de rire thérapeutiques enfin bref le rire a plusieurs facettes.
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      13 choses à savoir sur le rire


      Choses à savoir sur le rire: il est contagieux.JACOB LUND/SHUTTERSTOCK

      Tracey Middlekauff

      Le rire est-il contagieux? Nerveux ou thérapeutique? L’humour est-il propre à l’humain ou d’autres espèces en font preuve? Auprès de spécialistes, découvrez tout du phénomène!

      Quelle est la plus vieille blague au monde?

      « Elle se perd dans la nuit des temps et est en tout cas antérieure à l’écriture », rappelle Christie Davies, professeur de sociologie à l’Université de Reading, en Angleterre.

      Quant au plus vieux recueil de blagues répertorié à ce jour, il est grec : Philogelos (L’ami du rire). Il date du 4e siècle avant notre ère, bien que les histoires qu’il renferme soient plus anciennes. Le psychologue Steve Wilson, directeur du Mois national de l’humour aux États-Unis, raconte que l’ouvrage contient 265 blagues, dont celle-ci :

      « Un barbier demande à son client : “Comment aimeriez-vous que je vous coupe les cheveux ? – En silence”, répond le client. »

      Choses à savoir sur le rire: les vidéos de chats sont plus populaires que celles de chiens.ISTOCK/VICUSCHKA

      Pourquoi les vidéos amusantes de chats sont-elles plus populaires que celles de chiens?

      Cela dépend peut-être de ce qu’on attribue souvent un côté sombre aux félins.

      « Je me souviens d’une vidéo dans laquelle un chaton fixe l’objectif pendant que le sous-titre indique qu’il songe à nous tuer, dit Scott Weems, neuroscientifique spécialiste de la cognition. Notre rapport aux chats est ambigu : d’un côté, ils sont terriblement mignons. De l’autre, quelques générations à peine nous séparent de l’époque où ils nous pourchassaient dans la savane africaine. Alors peut-être veulent-ils vraiment nous tuer. Cette idée a quelque chose d’amusant. »

      Les animaux peuvent-ils rire?

      Tout indique que l’humour est bien présent dans le monde animal. Scott Weems rappelle que les primates et les chiens rient, et même les rats. Et qu’est-ce qui les fait rire ? Les chatouilles!

       « Chatouillez-leur le ventre, comme vous le feriez à un bébé », conseille le scientifique.

      Choses à savoir sur le rire: les bébés aussi ont le sens de l'humour.BEBEULZA/SHUTTERSTOCK

      Les bébés ont-ils le sens de l’humour?

      Scott Weems pense que les bébés ont un grand sens de l’humour, mais différent de celui des adultes.

      « Prenez le jeu du “coucou, qui est là ?” ils en raffolent. Il faut savoir qu’à un si jeune âge le fait de voir quelque chose disparaître est inquiétant. Ce choc est suivi d’un grand soupir de soulagement lorsque l’enfant comprend que les choses restent en place même s’il cesse de les voir. À ses yeux, la surprise et le plaisir qui l’accompagne sont très proches d’un grand numéro comique pour un adulte. À cet égard, l’humour en dit long sur la complexité de la pensée. »

      Et selon Rod Martin, professeur de psychologie à l’Université Western Ontario, le développement du sens de l’humour chez l’enfant apparaît dès le cinquième mois, au moment où il commence à rire.

      Y a-t-il des enfants qui ne manifestent pas le sens de l’humour et en soient dépourvus à l’âge adulte?

      Si, techniquement, le sens de l’humour ne vient pas avec la naissance, Rod Martin explique qu’il émerge spontanément au cours de notre développement cognitif et social, tout comme le rire.

      « Bien sûr, certains enfants (et adultes) sont d’un naturel sérieux, calme et moins porté à rire, mais cela ne signifie pas qu’ils ne savent pas apprécier l’humour. »

      Steve Wilson doute pour sa part qu’il existe des adultes qui en soient dépourvus.

      « Presque tout le monde peut l’acquérir, et j’enseigne à le faire, confie-t-il. Il s’exprime différemment selon les personnes qui nous entourent. Il comporte une dimension sociale très importante. »

      Choses à savoir sur le rire: c'est parfois un moyen de défense face à autrui.ONEINCHPUNCH/SHUTTESRSTOCK

      Quels sont les différents types de sens de l’humour?

      Rod Martin s’intéresse à la façon dont on l’utilise au quotidien, ainsi qu’à sa fonction.

      « Certains aiment rire et plaisanter avec leur entourage. D’autres sont plus réservés, mais s’amusent beaucoup des absurdités de la vie. D’autres encore en usent de façon plus agressive, par la moquerie, le sarcasme, les blagues à caractère racial ou sexiste, etc. Pour ces personnes, l’humour semble être un moyen de se sentir mieux aux dépens d’autrui. »

      Existe-t-il une forme universelle d’humour?

      « Toutes nationalités confondues, les maladresses des autres font toujours rire », affirme Christie Davies.

      Enfreindre indirectement les règles tacites du langage est universellement amusant ; en d’autres termes, il y a un effet comique à parler en public de sujets tabous. Le professeur de sociologie signale cependant que les interdits varient considérablement d’une société à l’autre. Peter McGraw, directeur du laboratoire de l’humour de l’Université du Colorado, croit néanmoins que la farce est une façon universelle de faire rire parce qu’elle se passe de mots.

      « Tout ce qu’il faut, dit-il, c’est trouver la bonne victime. »

      A-t-on tendance à avoir un sens de l’humour propre à sa nationalité ?

      Le sens de l’humour varie effectivement beaucoup d’un pays à l’autre, confirme Scott Weems. On l’a même mesuré de manière scientifique : l’humour britannique est plutôt absurde de nature, en Amérique il présente un côté plus assuré ou agressif.

      Une étude « invitant des personnes venant du monde entier à évaluer la qualité de diverses blagues a révélé que les Allemands s’amusent généralement de tout ».

      Choses à savoir sur le rire: il apporte une sensation de bien-être.VOLODYMYR TVERDOKHLIB/SHUTTERST

      Le rire peut-il améliorer le bien-être physique et émotionnel ?

      Est-il vraiment le meilleur remède ? Bien que le rire ne puisse remplacer un traitement médical, on croit qu’il peut avoir un impact positif sur la santé et le bien-être.

      Christie Davies ajoute que si le rire n’a pas d’effet direct sur la santé physique, « c’est une composante utile d’une stratégie cognitivo-comportementale visant à être joyeux plutôt que déprimé. Et bien sûr, la condition psychologique exerce une influence sur la santé physique. »

       Scott Weems ajoute que le rire est le meilleur remède, pourvu qu’on le combine à une bonne dose de pénicilline.

      « Le rire améliore la santé cardiaque, la réaction immunitaire et même la tolérance à la douleur. Cela n’a rien d’étonnant puisque nous savons déjà que les effets du stress et de l’anxiété sur le corps sont terribles. Alors pourquoi l’humour n’exercerait-il pas l’effet contraire ? Je crois qu’il faut le voir comme un mécanisme de protection, un moyen d’occuper notre esprit à des choses positives et de nous préserver du stress. »

      Comment l’humour peut-il nous aider dans l’adversité ?

      Tout ce qui peut nous distraire de nos préoccupations, même pour un instant, est bénéfique. Steve Wilson le voit comme un amortisseur. À ses yeux, il nous procure un précieux sentiment d’équilibre et la capacité de dédramatiser les épreuves.

      « Les pauses humoristiques ont vraiment du bon, soutient-il. Elles permettent de voir les choses autrement, et de rendre un peu plus tolérable ce qui ne l’est pas. »

      Quelles sont les meilleures blagues issues de textes sacrés, si tant est qu’il y en ait ?

      Si vous aspirez à rire aux éclats, une bonne comédie risque de vous donner davantage satisfaction qu’un passage de l’Évangile.

       « Les textes sacrés renferment quelques traits d’humour, particulièrement des jeux de mots et de l’ironie, affirme Rod Martin, mais ils ne sont pas très drôles. L’expérience religieuse repose sur un état d’esprit très différent. Le comique tourne les choses en dérision et se moque de ce qui est pompeux et trop sérieux. La religion exerce au contraire un effet d’élévation sur des actions triviales ou banales. »

      Le rire est-il contagieux?

      « On a plus d’une fois démontré que le fait de se trouver à proximité de gens qui rient suffit à nous rendre complices de leur hilarité », confirme Scott Weems.


      Choses à savoir sur le rire: il existe un yoga du rire.ISTOCK/PIXDELUXE

      Que sont le yoga du rire et la gélothérapie? Ces techniques ont-elles des vertus ?

      Nira Berry enseigne le yoga du rire. Elle est aussi conseillère en santé et bonheur et PDG de LaughingRx. Elle a obtenu son « brevet d’enseignement » auprès d’un médecin indien à l’origine de la pratique. Le terme « yoga » n’est pas tout à fait exact, selon elle, dans la mesure où les cours et les ateliers ne tournent pas autour d’une séance classique.

      « La technique repose plutôt sur le rire, la respiration profonde, le mouvement et le ridicule. Nous faisons des jeux de rôles ; par exemple, les participants peuvent se serrer la main d’une façon amusante, ou faire comme s’ils conduisaient une voiture en riant… Ensemble, on s’abandonne à des idioties. » Nira Berry ajoute que ses ateliers procurent aux participants des bienfaits émotionnels. « Ils disent se sentir remontés, pleins d’énergie, heureux et de bonne humeur : c’est une formidable expérience. »

      L’être humain doit se détendre et avoir un peu de plaisir tous les jours, sans quoi il s’épuise. Même si on ne s’inscrit pas à un atelier, tout le monde devrait avoir sa dose quotidienne de rire. 

      « Le rire est l’exercice tout indiqué pour réduire le stress. »

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      Ce bébé boit 1,5 L de café par jour car ses parents n’ont pas les moyens d’ache­ter du lait



      Tout enfant même ceux qui vivent dans des pays les plus pauvres, devraient avoir le droit a des soins de bases. Des parents ne devraient pas avoir cette solution de donner du café a son enfant n’ayant pas assez d’argent pour le lait.
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      Ce bébé boit 1,5 L de café par jour car ses parents n’ont pas les moyens d’ache­ter du lait

      Crédits : Kompas/Junaedi

      par  Malaurie Chokoualé Datou 

      Origi­naire du village de Tonro Lima, dans la province indo­né­sienne du Sula­wesi occi­den­tal, Hadijah Haura se nour­rit exclu­si­ve­ment de café depuis huit mois. La chaîne de télé­vi­sion indo­né­sienne RCTI a décrit le 18 septembre au cours d’un repor­tage que les jeunes parents de cette fillette de 14 mois sont trop pauvres pour lui ache­ter du lait en poudre ou du lait de vache.

      Chaque jour, ces parents lui font boire trois bibe­rons de café, soit envi­ron 1,5 L. Ses parents expliquent qu’ils ont conscience que le café est décon­seillé pour les enfants en bas âge, mais ils assurent qu’ils n’ont « pas le choix ». Le couple ne gagnant que 20 000 roupies indo­né­siennes par jour (soit 1,25 euro moins de 2 $ cad) en travaillant dans une coco­te­raie, leur maigre pécule couvre diffi­ci­le­ment les dépenses de la petite famille.

      En Indo­né­sie, un mois de lait pour bébé coûte aux envi­ron de 500 000 roupies – les prix sont compa­rables à ceux de la France –, quand un paquet de café en poudre revient entre 2000 et 5000 roupies à super­mar­ché.

      Alors qu’elle a passé près de la moitié de sa vie à boire du café, RCTI rapporte qu’Ha­dijah n’a pas déve­loppé pour l’ins­tant de problèmes médi­caux graves. Sa mère, Anita, recon­naît toute­fois que sa fille ne peut pas se coucher sans sa bois­son, sous peine de crises de colère.

      Source : RCTI

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      À 73 ans, elle donne nais­sance à deux petites filles


      La science permet aux femmes d’avoir des enfants quand la méthode naturelle ne fonctionne pas. C’est un grand espoir pour les couples qui veulent des enfants. Cependant, une femme rendu à un certain âge, est-ce vraiment raisonnable ?
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      À 73 ans, elle donne nais­sance à deux petites filles

      Crédits : News­lions Media/MEGA

      par  Mathilda Caron

      Le 4 septembre, une Indienne de 73 ans a donné nais­sance à des jumelles dans l’État d’An­thar Pradesh, nous apprend la BBC ce 6 septembre. Elle devient ainsi la femme la plus âgée au monde à accou­cher avec succès.

      Mariée depuis 54 ans, Mangayamma n’avait jamais réussi à avoir d’en­fant jusqu’ici, et ce malgré de nombreuses tenta­tives avec son mari. Elle a donc décidé de se lancer dans une démarche de fécon­da­tion in vitro

      « C’est un miracle médi­cal », a déclaré le Dr Umashan­kar, qui s’est occupé de cette gros­sesse extra­or­di­naire.

      Au total, des dizaines de méde­cins ont été mobi­li­sés durant les neuf mois de gros­sesse et leurs séries d’exa­mens ont révélé qu’elle n’avait eu aucune compli­ca­tion. Elle a fina­le­ment accou­ché par césa­rienne et les jumelles se portent à merveille.

      Source : BBC

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      A Nîmes, des archéologues ont découvert des dizaines de tombes romaines de bébés


      Au 1 et 2 e siècle après JC, on enterrait des bébés et des foetus. La mortalité infantile était élevée à cette époque, malgré tout ces bébés étaient enterrées avec soin. Il y avait aussi des tombes de chiens et d’adultes dont une femme particulière qui probablement était morte lors de son passage dans cette nécropole.
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      A Nîmes, des archéologues ont découvert des dizaines de tombes romaines de bébés


      Une sépulture infantile découverte à Nîmes. – Inrap.

      Par Léia Santacroce

      Au pied du rempart romain de Nîmes, l’Institut national de recherches archéologiques préventives a annoncé ce mercredi avoir mis au jour des dizaines de sépultures de jeunes enfants et de fœtus.

      Que d’os, que d’os ! Après six ans de recherches sur le rempart romain de Nîmes et ses abords, Richard Pellé, archéologue à l’Inrap (l’Institut national de recherches archéologiques préventives), et son équipe, ont encore fait un monceau de trouvailles lors de leur sixième et dernière campagne de fouille programmée, qui devait s’achever ce jeudi.

      Dans une petite nécropole des 1er et 2e siècle après J.-C. située près de la tour inférieure (accolée à la route de Sauve sur la colline Montaury), l’Inrap a révélé avoir mis au jour plus de soixante tombes. Grâce au concours scientifique de l’archéo-anthropologue Gaëlle Granier (rattachée au laboratoire ADES, UMR 7268, CNRS), il a pu être établi que si cette zone funéraire a été initialement consacrée à l’enfouissement d’adultes, elle a ensuite laissé place à des sépultures de très jeunes enfants (foetus et bébés agés jusqu’à 6 mois), dont certaines dans des amphores, peut-on lire dans un communiqué.

      « A une époque où la mortalité infantile était très élevée, on a pu observer que les parents accordaient un grand soin aux tombes de leurs enfants même si leur progéniture n’avait aucun statut juridique, aucune existence avant l’âge de trois ans dans la société romaine », a indiqué le directeur de la campagne de fouilles, Richard Pellé, à France 3 Occitanie.

      Une mystérieuse femme aux bijoux

      Quatre tombes de chiens et sept tombes d’adultes ont également été trouvées sur le même site, rapporte l’AFP.

      Parmi elles, une fosse contenant les ossements d’une femme, ayant « une position très particulière et rare : la main appuyée sur la joue, les jambes sur le côté, elle portait une parure, notamment deux bagues et un bracelet et des chaussures », relève l’archéologue, qui formule l’hypothèse que cette dame enterrée dans une zone publique était probablement de passage dans la cité antique de Nîmes.

      Une défunte non-identifiée, qui était probablement de passage à Nîmes il y a 2000 ans. – Inrap.

      Dès ce vendredi, la zone sera recouverte, dixit France Bleu Provence. Jean-Paul Fournier, maire de Nîmes, a déclaré à l’AFP qu’il « réfléchissait » avec l’équipe municipale aux aménagements possibles du site.

      L’archéologue Richard Pellé a souligné pour sa part le côté « exceptionnel et magnifique du rempart romain nîmois ». « C’est l’un des plus grands du monde méditerranéen, il faut qu’il soit conservé et mis en valeur, y compris par les propriétaires privés qui en ont un bout sur leur terrain. »

      https://www.geo.fr/

      Le Saviez-Vous ► Choux, roses, cigognes : d’où viennent ces légendes sur l’arrivée des bébés ?


      J’espère qu’on n’enseigne plus ces légendes aux enfants sauf pour les contes. Je me souviens que ces légendes étaient véhiculées quand j’étais enfant, mais nous savions très tôt, qu’en réalité, les bébés venaient des mamans. Comment ? Si les parents ne l’expliquaient pas, on pouvait l’apprendre avec les amis qui en savaient un peu plus.
      Nuage


      Choux, roses, cigognes : d’où viennent ces légendes sur l’arrivée des bébés ?


      Cigognes & compagnie

      Par Dorothée Louessard

      Si les garçons naissent dans des choux et les fillettes dans des fleurs, que diable fichent les cigognes censées être les livreuses officielles de bébés ? Mais au fait d’où viennent donc ces mythes sur la naissance de nos chérubins ?


      Depuis l’Antiquité, le chou est associé à la fertilité. On servait traditionnellement de la soupe aux choux aux jeunes mariés afin accroître leurs chances d’avoir un enfant. Et encore aujourd’hui, la consommation de choux est préconisée à toutes les femmes désireuses de booster leur fécondité. Pourquoi ? Parce qu’ils sont riches en acides foliques (Vitamine B9) assurant le bon développement du foetus. Les autres vitamines présentes dans les choux de Bruxelles auraient également le pouvoir d’augmenter la quantité de sperme de l’homme et leur durée de vie.

      L’autre origine possible de ce mythe sur la naissance proviendrait de la Grèce Antique. Le roi Agamemnon parti en guerre, sa femme Clytemnestre accoucha de quadruplés dont trois filles et un garçon. N’ayant pas de langes sous la main, elle emmaillota ses filles dans des pétales de rose et enveloppa son garçon dans des feuilles de chou. Si ce dernier n’a pas eu droit aux pétales de rose, c’est parce que la rose constituait le symbole de la féminité durant l’Antiquité. La feuille de chou fut choisie tout simplement parce que du choux était prévu au dîner.

      Deux explications possibles donc, et qui s’avéraient bien pratiques à ressortir à nos enfants lorsqu’ils nous balançaient la fameuse question tant redoutée : « Dis, comment on fait les bébés ?« 

      Mais alors les cigognes dans tout ça, elles faisaient quoi au juste ? Déposaient-elles les bébés selon leur sexe tantôt dans des roses, tantôt dans des choux ?

      La légende de la cigogne ou « Légende du Kindelesbrunnen » est connue dans le monde entier et puise son origine en Alsace. Il y aurait eu jadis un lac sous la cathédrale de Strasbourg, où voguaient les âmes des enfants en attendant de venir au monde. Un sympathique gnome naviguait sur le lac à bord d’une barque argentée et, muni d’un filet d’or, il attrapait les âmes des bébés pour les donner à la fameuse cigogne qui se chargeait alors de distribuer les bébés aux parents. D’ailleurs, encore aujourd’hui, en Alsace, les parents désirant avoir un enfant doivent « commander » leur bébé aux cigognes en déposant un morceau de sucre sur le bord de leur fenêtre. Quant au choix de l’oiseau, il est sans doute lié au fait que les cigognes font leur grand retour en Alsace, au printemps, saison associée aux naissances.

      Le mythe des cigognes est d’ailleurs le thème du film d’animation des studios Warner, « Cigognes & compagnie » ,  On y découvre que les cigognes ont cessé la livraison de bébés pour se reconvertir dans l’expédition de colis Internet. Et, alors que Junior, coursier star de l’entreprise, s’apprête à reprendre la tête de l’entreprise, il rallume involontairement la Machine à Fabriquer les Bébés…

      https://www.terrafemina.com

      Quand tu trouves que c’est trop profond pour bébé


      Voilà un chien qui prend la sécurité de bébé très au sérieux. Alors que le papa est dans la piscine avec son bébé, le Rottweiler fait comprendre à son maître que le bébé est peut-être en danger, en tirant sur le bras du papa vers le bord de la piscine
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      Quand tu trouves que c’est trop profond pour bébé

      Les Trump tout sourire avec le bébé orphelin après la fusillade d’El Paso


      Lors de la visite de Donald et Melenia Trump dans un hopital à El Paso après la fusillade dont l’auteur visait des Mexicains, personnes ne voulaient poser avec ce couple présidentiel. Sauf deux personnes et un bébé. C’est le bébé qui fait réagir. Il est le plus jeune parmi les victimes et s’il a eu la vie sauf, c’est que ses parents l’on protéger de leur vie. Ce bébé, a-t-il eu le choix, alors que Donald Trump a tenu des propos racistes avant, et même après la fusillade. C’est vraiment manqué de respect envers les Mexicains avec son sourire et le pouce en l’air, tout cela pour de la politique de bas étage.
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      Les Trump tout sourire avec le bébé orphelin après la fusillade d’El Paso

      Les Trump tout sourire avec le bébé orphelin après la fusillade d'El

      TWITTER/@FLOTUS


      Après la fusillade d’El Paso, Donald et Melania Trump ont visité un hôpital. Toutes les victimes ont refusé les photos, un bébé maintenant orphelin n’a, lui, pas eu le choix.

      • Par Maxime Bourdeau, HuffPost France

      Sous le feu des critiques pour la façon dont s’est déroulée sa visite du 7 août dans un hôpital qui accueillait les victimes de la fusillade d’El Paso, le couple présidentiel américain suscite de nouveau l’indignation ce vendredi après la publication d’une photo de ce déplacement.

      Alors que Donald Trump a été accusé de vouloir attirer l’attention sur lui en se félicitant de sa popularité au milieu d’une rencontre avec le personnel soignant puis d’utiliser sa visite à des fins politiques en en profitant pour critiquer ses adversaires démocrates, Melania Trump a elle aussi choqué par son comportement.

      Alors que la première dame a diffusé sur son compte Twitter une série de photos de ce déplacement à El Paso, des internautes ont remarqué qu’elle et son époux y prenaient notamment la pose tout sourire avec un bébé. Un bébé de deux mois qui se trouve être le plus jeune rescapé de la fusillade et dont les deux parents font partie des 22 personnes abattues le samedi 3 août.

      Comme le rapportait le Washington Post et le confirmait CNN le 8 août, aucun des blessés de cet hôpital n’a souhaité rencontrer le président américain et sa femme pendant leur visite. Seules deux personnes qui avaient été soignées et avaient quitté l’établissement se sont proposées de revenir pour les rencontrer et prendre la pose.

      Deux personnes, et ce bébé donc. Le petit garçon a été ramené à l’hôpital pour prendre une photo avec Donald et Melania Trump, a expliqué un responsable de l’hôpital à CNN.

      La photo écœure d’autant plus que Trump est accusé d’alimenter le racisme a l’origine de cette tuerie et que la tragique histoire de ce bébé avait été largement racontée dans les médias: lors de la sanglante attaque, ses deux parents ont perdu la vie en utilisant leur corps, chacun leur tour, pour le protéger des balles qui pleuvaient.

      La mise en scène a immédiatement créé l’émoi après les informations de CNN, notamment sur Twitter ce vendredi 9 août où nombre de personnalités et anonymes ont partagé leur incompréhension et se sont indignés de l’«indécence» du couple présidentiel.

      Vous êtes en train de me dire que c’est le bébé dont la mère et le père ont été tués par un suprémaciste blanc nourri par les discours de Trump, tués parce qu’ils étaient hispaniques? Et que Donald Trump trouve ça décent de poser avec lui les pouces en l’air? Imbécile.»

      Assistant: «Les parents de ce bébé ont été assassinés à El Paso»
      Trump: «Ok»
      Assistant: “Il faut un minimum de solennité”
      Trump: «Bien sûr»
      Assistant: «Pas de sourires ni de pouce…»
      Trump: «C’est bon, on se calme, j’ai compris.»


      «Pourquoi est-ce que ce monstre a pu porter le bébé orphelin de la fusillade d’El Paso?
      Oui, je parle de Melania»

      Ce texte a été publié originalement dans le HuffPost France.

      https://quebec.huffingtonpost.ca/

      Les bébés nés dans l’espace pourraient avoir une tête plus grosse et un peau plus foncée


      La conclusion de l’article était exactement ce que je pensais … On va finir par trouver des extraterrestres qui auront une lointaine origine terrestre. Bref, accoucher sur Terre, ce n’est pas facile alors sans gravité, l’accouchement sera beaucoup plus pénible, alors la césarienne sera la première option. De plus, les bébés seront différents autant la grosseur de la tête que par la couleur et la grandeur. Au bout de quelques générations, ce sera une nouvelle espèce. Enfin si un jour l’humain réussira a quitter la terre pour coloniser une planète,
      Nuage


      Les bébés nés dans l’espace pourraient avoir une tête plus grosse et un peau plus foncée



      Céline Deluzarche
      Journaliste

      En janvier 2019, la startup SpaceLife Origin annonçait en grandes pompes le tout premier bébé né dans l’espace pour 2024. L’entreprise prévoyait d’envoyer une femme enceinte à bord d’une capsule spatiale afin d’accoucher en apesanteur. À peine cinq mois plus tard, elle a finalement fait machine arrière, arguant de « problèmes d’éthique et de sécurité ».

      Il n’est toutefois pas inenvisageable que l’Homme soit un jour amené à se reproduire dans l’espace, lors de missions lointaines ou de longs séjours sur Mars. Or, ces futurs bébés extraterrestres pourraient avoir une apparence différente de la notre, si l’on en croit Scott Solomon, professeur de biologie à l’université de Rice (États-Unis). Dans une interview donnée au site Business Insider, ce spécialiste de l’évolution explique d’abord que l’absence de gravité va rendre l’accouchementplus difficile pour les femmes qui devront davantage « pousser » pour faire sortir le bébé. 

      « De plus, cette absence de gravité fragilise les os, ce qui augmente le risque de fracture pelvienne lors de l’accouchement», avance le scientifique.

      Pour éviter ces désagréments, les accouchements se feront donc, sans doute, par césarienne.

      Or, chez l’être humain, « la taille du crâne du bébé est justement limitée du fait qu’il doit passer par le col de l’utérus », insiste Scott Solomon.

      Sans cette contrainte biologique, les futurs bébés spatiaux pourraient donc avoir une tête plus grosse. On sait par ailleurs que les astronautes grandissent de trois à cinq centimètres dans l’espace en raison de l’absence de gravité : les enfants cosmiques seront donc peut-être plus grands.

      Mais ce n’est pas tout : dans l’espace, nous sommes moins protégés des radiations cosmiques galactiques, potentiellement cancérogènes. Ce qui pourrait amener les humains à développer de nouveaux types de pigments comme la mélanine qui protège notre peau contre les UV sur Terre.

      « Les futures générations pourraient donc avoir des couleurs de peau différentes de la notre, sans doute plus foncée, pronostique Scott Solomon. Au bout de quelques milliers d’années, nous pourrions donc assister à la séparation de l’espèce humaine en deux espèces distinctes », conclut-il.

      Nous n’aurons alors plus besoin de chercher les vrais extraterrestres.

      https://www.futura-sciences.com/