A Nîmes, des archéologues ont découvert des dizaines de tombes romaines de bébés


Au 1 et 2 e siècle après JC, on enterrait des bébés et des foetus. La mortalité infantile était élevée à cette époque, malgré tout ces bébés étaient enterrées avec soin. Il y avait aussi des tombes de chiens et d’adultes dont une femme particulière qui probablement était morte lors de son passage dans cette nécropole.
Nuage


A Nîmes, des archéologues ont découvert des dizaines de tombes romaines de bébés


Une sépulture infantile découverte à Nîmes. – Inrap.

Par Léia Santacroce

Au pied du rempart romain de Nîmes, l’Institut national de recherches archéologiques préventives a annoncé ce mercredi avoir mis au jour des dizaines de sépultures de jeunes enfants et de fœtus.

Que d’os, que d’os ! Après six ans de recherches sur le rempart romain de Nîmes et ses abords, Richard Pellé, archéologue à l’Inrap (l’Institut national de recherches archéologiques préventives), et son équipe, ont encore fait un monceau de trouvailles lors de leur sixième et dernière campagne de fouille programmée, qui devait s’achever ce jeudi.

Dans une petite nécropole des 1er et 2e siècle après J.-C. située près de la tour inférieure (accolée à la route de Sauve sur la colline Montaury), l’Inrap a révélé avoir mis au jour plus de soixante tombes. Grâce au concours scientifique de l’archéo-anthropologue Gaëlle Granier (rattachée au laboratoire ADES, UMR 7268, CNRS), il a pu être établi que si cette zone funéraire a été initialement consacrée à l’enfouissement d’adultes, elle a ensuite laissé place à des sépultures de très jeunes enfants (foetus et bébés agés jusqu’à 6 mois), dont certaines dans des amphores, peut-on lire dans un communiqué.

« A une époque où la mortalité infantile était très élevée, on a pu observer que les parents accordaient un grand soin aux tombes de leurs enfants même si leur progéniture n’avait aucun statut juridique, aucune existence avant l’âge de trois ans dans la société romaine », a indiqué le directeur de la campagne de fouilles, Richard Pellé, à France 3 Occitanie.

Une mystérieuse femme aux bijoux

Quatre tombes de chiens et sept tombes d’adultes ont également été trouvées sur le même site, rapporte l’AFP.

Parmi elles, une fosse contenant les ossements d’une femme, ayant « une position très particulière et rare : la main appuyée sur la joue, les jambes sur le côté, elle portait une parure, notamment deux bagues et un bracelet et des chaussures », relève l’archéologue, qui formule l’hypothèse que cette dame enterrée dans une zone publique était probablement de passage dans la cité antique de Nîmes.

Une défunte non-identifiée, qui était probablement de passage à Nîmes il y a 2000 ans. – Inrap.

Dès ce vendredi, la zone sera recouverte, dixit France Bleu Provence. Jean-Paul Fournier, maire de Nîmes, a déclaré à l’AFP qu’il « réfléchissait » avec l’équipe municipale aux aménagements possibles du site.

L’archéologue Richard Pellé a souligné pour sa part le côté « exceptionnel et magnifique du rempart romain nîmois ». « C’est l’un des plus grands du monde méditerranéen, il faut qu’il soit conservé et mis en valeur, y compris par les propriétaires privés qui en ont un bout sur leur terrain. »

https://www.geo.fr/

Le Saviez-Vous ► De quoi meurt-on à travers le monde?


Nous allons tous mourir un jour, que l’on veuille ou non, reste à savoir ce qui provoquera notre mort. Dans le monde, ce n’est pas le requin qui fait le plus de victime, mais des maladies tels que les maladies cardiovasculaires et respiratoires, les cancers etc … Cependant, le nombre de morts pour ses causes peuvent varier selon l’emplacement géographique.
Nuage

 

De quoi meurt-on à travers le monde?

 

Les maladies cardiovasculaires sont responsables de 32,3% des décès dans le monde. | Guillaume Piron via Unsplash

Les maladies cardiovasculaires sont responsables de 32,3% des décès dans le monde. | Guillaume Piron via Unsplash

Repéré par Audrey Renault

Une étude révèle les causes de décès les plus répandues sur la planète, des cancers aux accidents de voiture.

Repéré sur BBC News

Tout le monde meurt un jour. Mais de quoi? Selon une étude portant sur les causes de décès à travers le monde, menée par une équipe de recherche anglaise conduite par Hannah Ritchie et Max Roser, ce sont les maladies cardiovasculaires qui font le plus de victimes avec 17,65 millions de morts par an. Suivent les cancers avec 8,93 millions et les maladies respiratoires avec 3,54 millions de morts. Les accidents de voiture n’arrivent qu’en neuvième position du classement, devancés par les morts des suites d’une diarrhée –près de 1,66 million de personnes chaque année. Le terrorisme et les catastrophes naturelles ferment la marche avec respectivement environ 35.000 et 7.000 morts par an.

Au-delà d’un simple classement, l’étude révèle surtout des disparités géographiques qui reflètent les inégalités sanitaires et économiques. Ainsi, l’épidémie de sida dans les années 1990 impacta massivement les pays subsahariens tels que la Namibie, le Kenya ou le Zimbabwe, l’espérance de vie y passant en moyenne de 62 ans à 50 ans. Dans les pays occidentaux, plus équipés et moins sévèrement touchés, le VIH fit de nombreuses victimes mais n’eut aucune incidence sur l’espérance de vie dont la courbe augmente sans discontinuer depuis les années 1950.

La mortalité infantile en net recul

Ces inégalités se reflètent également du côté de la mortalité infantile, en particulier chez les nouveaux-nés de moins de 28 jours. Si au Japon moins d’un bébé sur mille décède avant l’âge de un mois, dans les pays les plus sinistrés le chiffre bondit à un sur vingt.

Pourtant, à l’échelle mondiale, la mortalité infantile ne cesse de chuter: moins 50% ces dernières décennies. De quoi se réjouir du développement des installations sanitaires à l’international, comme le relèvent les auteurs et autrices de l’étude qui notent que la manière dont nous mourrons va de pair avec l’évolution des pays.

Enfin, l’étude passe aussi en revue des causes moins impactantes de décès, mais non moins intéressantes, comme les morts liées au tabagisme, les décès par exécutions ou ceux causés par des animaux. Une dernière liste qui met d’ailleurs à mal de nombreux clichés puisque le si redouté requin est bon dernier du classement avec quatre morts par an en moyenne, bien loin derrière les 780.000 décès attribués aux moustiques.

http://www.slate.fr

La science pourrait-elle rendre l’humain immortel tout en étant en santé?


La quête de l’immortalité est utopique et je ne crois pas que cela serait une bonne chose, par contre vieillir en meilleure forme et éviter les maladies reliées avec l’âge prolongerait la vie. Une nouvelle science est donc née, la géroscience et ils s’attardent à une cellule sénescente, ces cellules refusant de mourir et avec l’âge s’accumulent et finissent par atteindre les cellules saines
Nuage

 

La science pourrait-elle rendre l’humain immortel tout en étant en santé?

 

Un homme âgé assis sur une chaise dans un corridor d'hôpital.

Un aîné à l’hôpital Photo : Radio-Canada

Au 20e siècle, l’augmentation spectaculaire de l’espérance de vie a principalement été attribuable à la diminution de la mortalité infantile. Aujourd’hui, les chercheurs essaient de ralentir le processus de vieillissement. Retarder l’apparition de maladies afin de prolonger la vie, c’est le nouveau Saint-Graal.

Par Danny Lemieux de Découverte

Repousser les effets du vieillissement représente un vieux fantasme scientifique. Et si la quête ultime était tout autre? Une quête plus réaliste, plus accessible. C’est de cette façon que le gérontologue de réputation mondiale James Kirkland aborde la question.

« On veut prolonger la période durant laquelle on ne développe aucune maladie chronique. Et si on augmente l’espérance de vie au passage, ce serait intéressant. »

Son objectif ne consiste pas à prévenir séparément les maladies liées au vieillissement. Avec son équipe à la clinique Mayo, il veut s’attaquer au processus biologique du vieillissement. L’idée est simple, mais l’approche est révolutionnaire. Elle a d’ailleurs donné naissance à une nouvelle discipline : la géroscience.

En ciblant les fondements du vieillissement, on s’attaque à toutes les maladies en même temps. On veut éviter de soigner une maladie X et que le patient meure finalement de la maladie d’Alzheimer.

James Kirkland, gérontologue

Pour contrer le vieillissement ou ralentir son processus, le Dr James Kirkland concentre ses énergies sur une cellule particulière, la cellule sénescente. Présente surtout dans les tissus capables de se régénérer, la cellule sénescente est une cellule en fin de vie, mais qui refuse de mourir. Elle devient si résistante que le système immunitaire peine à s’en débarrasser.

La conséquence? Les cellules sénescentes s’accumulent dans les tissus. Et cette accumulation produit de l’inflammation. Or, on sait que l’inflammation chronique endommage les cellules saines. De plus, les produits libérés par les cellules sénescentes bloquent les connexions entre les cellules saines et les empêchent de bien fonctionner.

« Les cellules sénescentes s’accumulent là où commencent les principales maladies chroniques liées à l’âge comme le diabète, l’arthrite, l’ostéoporose, la démence, les maladies rénales, etc. », explique le Dr James Kirkland.

Et si on pouvait se débarrasser des cellules sénescentes avant qu’elles ne produisent de l’inflammation, pourrions-nous vieillir en santé, sans maladie chronique?

L’équipe américaine du Dr Kirkland a pu identifier une demi-douzaine de mécanismes – des raisons pour lesquelles les cellules sénescentes refusent de mourir. Ces mécanismes sont des cibles potentielles pour attaquer la cellule sénescente à l’aide de médicaments.

Or, grâce à la bio-informatique, on a constaté qu’une quinzaine de médicaments tueurs de cellules sénescentes existent déjà. Ils sont utilisés et commercialisés pour d’autres raisons médicales, mais ils peuvent agir directement sur la cellule sénescente.

Le concept est prometteur. On l’a expérimenté chez les souris et les résultats sont plus que positifs.

« Une dose mensuelle retarde ou même inverse l’ostéoporose. Les souris plus âgées marchent sur un tapis roulant, comme le font les plus jeunes. Et cet effet persiste deux ans. »

Les résultats exposés sont si intéressants que la Food and Drug Administration, l’équivalent américain de Santé Canada, a autorisé la mise sur pied d’essais cliniques. Ils ont lieu en ce moment à la clinique Mayo.

Ces médicaments ont le potentiel de prolonger la qualité de vie. Mais à eux seuls, ils ne pourront offrir l’immortalité; les causes du vieillissement étant trop nombreuses.

http://ici.radio-canada.ca

Le Saviez-Vous ► Combien d’humains ont vécu sur Terre ?


Peut-on vraiment savoir comment d’humain ont vécu sur la Terre ? Des démographes ont choisi une méthode semi-scientifique, car il faut admettre qu’il manque beaucoup de donnés. L’estimation en 2011 était de 108 milliards, mais ces chiffres devraient être plus hauts surtout avec les découvertes de ces derniers mois qui font reculer l’apparition de l’homme sur Terre
Nuage

 

Combien d’humains ont vécu sur Terre ?

Question de la semaine : combien d'humains ont vécu sur Terre ?

Au début du 20e siècle, la population mondiale était d’environ 1,7 milliard, selon le PRB.

© LEEMAGE / AFP

En voilà une question difficile, à bien des égards. La première de toutes : quand faire débuter l’histoire de l’humanité ? Jusqu’au 7 juin 2017, l’on pensait que notre espèce, Homo sapiens, était née en Afrique de l’Est il y a environ 200.000 ans. Mais les découvertes du site de Jebel Irhoud au Maroc font désormais reculer de 100.000 ans les origines de notre espèce !

108 milliards d’êtres humains auraient foulé la Terre

Étonnamment, un centre de recherche fournit une estimation du nombre d’hommes et de femmes qui auraient vécu sur Terre : le « Population Reference Bureau » (PRB), basé à Washington, en charge de fournir des informations sur les tendances démographiques américaines et internationales et leurs implications. Selon les chercheurs du PRB, 108 milliards d’humains ont vécu sur la Terre. Mais ce nombre, dernièrement mis à jour en 2011, reste très approximatif, comme on peut facilement l’imaginer.

« L’on ne dispose d’absolument aucune donnée démographique pour 99% de l’existence de l’humanité sur la Terre », précise le PRB.

Alors comment les démographes ont-ils procédé ? Ils ont appliqué, selon leurs propres termes, une méthode « semi-scientifique », dans la mesure où il ont dû établir des suppositions sur les populations nées avant notre ère. Ils ont raisonné par « grandes périodes », en se basant sur les estimations officielles des taux de natalité (fournies par les Nations Unies, des études, etc.) et des hypothèses là où les données manquent, c’est-à-dire dans la plupart des cas.

Leur première estimation de la population remonte à 8 000 ans avant Jésus-Christ.

« À l’aube de l’agriculture, la population du monde se situe alors aux alentours de 5 millions », expliquent-ils.

Au cours de ces huit millénaires avant Jésus-Christ, le taux de croissance est très faible – de seulement 0,0512% par an – pour arriver à environ 300 millions en l’an 1 de notre ère.

« Selon toute vraisemblance, les populations humaines des différentes régions ont augmenté ou diminué suite aux famines, aux aléas des troupeaux d’animaux, aux hostilités et aux changements de conditions atmosphériques et climatiques », avancent les chercheurs.

Et à l’époque, la vie est de très courte durée : par exemple, en France, durant l’Âge de Fer (de 1.100 à 700 avant JC), l’espérance de vie à la naissance est en moyenne de… 10 à 12 ans ! 

La mortalité infantile est très élevée, « peut-être de 500 décès de nourrissons pour 1.000 naissances, voire davantage », estiment les démographes.

 Vers l’an 1 de l’ère chrétienne, le nombre total d’êtres humains vivant sur la planète est évalué à 300 millions. Vers 1650, la population mondiale augmente probablement jusqu’à 500 millions environ, ce qui ne représente pas une forte hausse depuis plus de 1.000 ans, entre autres parce qu’en Asie occidentale puis en Europe, la peste noire sévit. Enfin, vers 1800, la population mondiale dépasse le cap du milliard de personnes et continue de s’accroître depuis, atteignant un peu près de 7,5 milliards en 2017. Les estimations du PRB sont récapitulées dans le tableau ci-dessous.

6,5 % des personnes nées sur Terre seraient toujours en vie

Première grande limite de l’exercice : les démographes n’ont pas pris en compte les naissances antérieures à 50.000 avant notre ère, faute d’informations.

 Toutefois, selon eux, cela pourrait augmenter le nombre de naissances final, « mais probablement pas de beaucoup ».

La deuxième problématique majeure qu’ils ont rencontrés est l’absence de données sur le taux de natalité avant l’époque moderne, les obligeant donc à appliquer un même taux sur une longue période : 80 naissances pour 1.000 habitants par an jusqu’à la première année de l’ère chrétienne, 60 pour 1.000 de l’an 2 à 1750, puis au-dessus de 30 pour 1.000 à l’époque moderne, et encore plus bas dans les années récentes (ce taux était de 12 pour 1.000 en France en 2015). Une méthode qui pourrait sous-estimer le nombre de naissances total, supposent les démographes.

Selon le PRB, la population actuelle représente donc 6,5% de toute celle née dans l’histoire de l’humanité.

Ce qui « démonte une bonne fois pour toutes un mythe persistant depuis les années 1970, à savoir que 75 % de toutes les personnes nées sur la Terre depuis l’histoire de l’humanité étaient en vie à ce moment-là », ajoutent les démographes.

Cette statistique, qui semble très peu vraisemblable avec un peu de réflexion, « n’était pas si facile que cela à démonter, faute de données », font-ils remarquer.

C’est désormais chose faite.

https://www.sciencesetavenir.fr/

Du soleil et du citron pour purifier l’eau


Il est reconnu depuis quelques années que l’eau contaminée mit dans une bouteille de plastique propre exposée pendant plusieurs heures au soleil se transformait en eau potable, mais voilà qu’avec le citron, l’eau devient buvable dans un temps records .. Un espoir pour les pays en développement
Nuage

 

Du soleil et du citron pour purifier l’eau

 

 

SODIS Eawag

Dispositif de purification de l’eau par exposition au soleil sur des tôles métalliques, en Indonésie.

Par  Delphine Chayet –

Des scientifiques ont découvert un procédé facile à mettre en œuvre qui permet d’éliminer rapidement les bactéries dans l’eau.

C’est un procédé efficace et peu onéreux, susceptible de simplifier la vie de millions de personnes n’ayant pas accès à l’eau potable. En ajoutant du citron à de l’eau exposée au soleil, des scientifiques sont parvenus à éliminer des bactéries nocives pour l’homme, telles que les Escherichia coli, beaucoup plus rapidement que par une désinfection solaire simple. Les détails de cette découverte, faite par une équipe de chercheurs de l’Université Johns Hopkins (Baltimore, Maryland), ont été rapportés dans la revue American journal of tropical medecine and hygiene.

Selon l’Unicef, 783 millions de personnes, dont plus 650 millions vivant en zone rurale, n’ont actuellement pas d’accès à l’eau potable dans le monde.

«Des études ont estimé que, globalement, plus de la moitié des lits d’hôpitaux sont occupés par des patients souffrant de maladies liées à une eau contaminée», indique Kellogg Schwab, responsable de l’étude.

«Le défaut d’assainissement contribue en grande part à la mortalité infantile due à la diarrhée», ajoute David Delienne, conseiller régional de l’Unicef chargé de l’eau pour l’Afrique de l’ouest et du centre.

Une purification imparfaite

Plusieurs techniques de traitement de l’eau à domicile sont actuellement utilisées dans les pays en voie de développement: pastilles de chlore ou chlore liquide, filtres à céramique ou à sable, désinfection solaire.

Selon David Delienne, «le choix de telle ou telle technique dépend beaucoup de la situation. Dans certains pays, faire bouillir l’eau est par exemple contre-indiqué, pour éviter le déboisement».

L’exposition de l’eau au soleil, dans des bouteilles en plastique posées sur de la tôle, est une des méthodes de décontamination reconnues par l’OMS. Ce procédé, connu sous le nom de SODIS, est actuellement employé en Tanzanie, en Angola ou au Togo, par exemple. Le temps requis est de 6 heures au moins et 24 heures en cas de couverture nuageuse. Mais cette durée peut être ramenée à 30 minutes, selon les chercheurs, en ajoutant du jus de citron (30 ml pour 2 litres d’eau) ou de la pulpe.

«Une quantité faible de citron associée au soleil suffit à réduire de manière significative les taux de E. coliet de bactériophage MS2, concluent les scientifiques. Par contre, le taux de norovirus n’est pas considérablement réduit, ce qui en fait une technique imparfaite. Des études devront par ailleurs être menées pour évaluer l’utilisation de citron ou d’autres agrumes, le citron vert étant difficile à obtenir dans certaines régions».

http://sante.lefigaro.fr