Le Saviez-Vous ► Pourquoi casse-t-on une bouteille de champagne pour baptiser un bateau ?


Généralement, les bateaux ont une sorte de baptême à leur première mise à l’eau. Vous ne serez pas surpris que cela a une origine superstitieuse qui viens de la Grèce antique. Certains superstitieux vont croire que le naufrage du Titanic  est dû  qu’il n’a pas été baptisé selon la tradition.
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Pourquoi casse-t-on une bouteille de champagne pour baptiser un bateau ?

C’est devenu une habitude sur nos côtes et plus personne ne se pose la question mais, pourquoi casse-t-on une bouteille de champagne sur la coque des bateaux pour les baptiser ?


« Un navire qui n’a pas goûté au vin goûtera au sang«  : ce proverbe anglais explique  l’origine de cette superstition.

Selon une tradition ancestrale, une bouteille doit être brisée sur la coque d’un bateau lors de sa mise à l’eau. Car sans ce rituel, il pourrait arriver malheur au navire et à ses occupants.

La légende a été renforcée par le naufrage du Titanic qui a coulé en 1912 lors de son voyage d’inauguration. Une catastrophe expliquée par certains en raison du refus de la compagnie White Star Line de jamais baptiser ses bateaux.

La légende trouverait son origine dans la Grèce antique. À cette époque lointaine, les marins répandaient du sang sur la proue de leur bateau le sang de victimes sacrifiées spécialement pour l’occasion. Le but était alors de s’assurer la protection des dieux et calmer les tempêtes pour éviter les naufrages, et autres accidents en mer.

Ce sacrifice a été abandonné au profit de la bouteille de vin puis de champagne, boisson symbole de bonheur et de chance.

Pour éviter que la bouteille refuse de se briser sur la coque, gage de malheur assuré, il convient de la lancer à grande vitesse, afin qu’elle se casse et que la mousse se répande sur la coque. Le choc doit être bruyant pour éloigner les mauvais esprits.

En général, les bouteilles sont légèrement sciées à l’avance et on préfère désormais les frapper contre l’ancre pour ne pas abîmer la coque. Le lancer doit être franc et sonore car le bruit, c’est bien connu, éloigne les mauvais esprits.

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Le Saviez-Vous ► Origine du Loup-garou


Le loup-garou est une légende à beaucoup d’histoires qui date depuis longtemps. Ce fut une croyance assez fort au Moyen-âge mêler à la magie et au diable. Il y a aussi la maladie, ou par des drogues, des gens se croit être des loup-garou amenant des meurtres, et même du cannibalisme. Mais on ne peut pas passer à côté des enfants-loups. Eux, ils ont vraiment existé étant élevés par des loups.
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Origine du Loup-garou

Méconnu et craint, le loup a pendant longtemps terrorisé nos ancêtres, et notamment au Moyen Âge. Quand ce loup devenait un homme loup, baptisé loup-garou, l’effroi redoublait. Des légendes concernant des hommes qui se transforment en loups sont connues dès l’Antiquité.

Le terme même de « lycanthropie » vient du nom d’un roi grec, Lycaon, souverain d’Arcadie, transformé par Zeus en loup parce qu’il avait osé servir, lors d’un banquet, de la chair humaine.

Ce que le vampire est à la Transylvanie, le loup-garou l’est à l’Europe du Nord et de l’Ouest.

Des dizaines d’hommes ont été condamnés parce qu’ils avaient été reconnus comme loups-garous par leurs contemporains.

Mais, quelles sont les origines de cette croyance toujours d’actualité dans certains pays ? Le loup-garou n’est-il qu’un mythe ?

Les origines du mythe du loup-garou

Beaucoup de récits liés au loup-garou prennent leurs racines dans la réalité. La difficulté est surtout de faire la part entre les faits réels et les affabulations.

Histoire et légende se mêlent étroitement.

Le mythe du loup-garou est fort ancien et commun à de nombreux peuples. Déjà au Ve siècle avant notre ère, Hérodote relate que les Grecs qui s’établirent sur les bords de la mer Noire considéraient les habitants de ces contrées comme des magiciens capables de se métamorphoser en loups.

Lithographie de la Légende rustique de George Sand

Lithographie de la Légende rustique de George Sand, 1858, ( Paris, bibli.des Arts décoratifs). © dinosoria.com

Les Romains attribuaient, eux aussi, ces métamorphoses à la magie.

A partir du XVe siècle, le mythe se transforma en superstition religieuse. On fit état de philtres et d’onguents magiques ainsi que de pactes avec le Diable.

La rigueur des hivers à la fin du Moyen Âge et au début de l’époque moderne , la crainte du loup, encore très présent dans les forêts d’Europe au XVe et au XVIe siècle, peuvent expliquer l’ »épidémie » de loups-garous qui se produit à cette époque.

La peur du loup-garou

La peur du loup-garou (Bois gravé de L. Cranach, XVIe siècle).(DP)

Mais, la conviction qu’un homme peut se métamorphoser en un animal prédateur n’est pas propre au monde occidental.

L’homme-tigre, l’homme-léopard ou l’homme-crocodile jouent un rôle analogue dans les légendes indiennes ou africaines.

Dans la mythologie scandinave, des êtres humains, pour chasser, prenaient l’aspect d’un ours. L’origine du mythe vient d’ailleurs peut-être de la mythologie nordique, avec ses dieux, qui se métamorphosent en ours ou en loup.

La lycanthropie

Un homme ne peut en aucun cas se transformer en loup, pas plus qu’en tout autre animal. Par contre, certains malades se croient capables d’une telle métamorphose.

Le terme lycanthropie désigne en psychanalyse une affection dans laquelle le patient s’imagine être un loup.

Ce n’est qu’une hallucination car le malade ne présente bien sûr aucune métamorphose. Mais cette maladie explique les aveux dans certains procès.

La peur du loup-garou

Un loup-garou dévore un homme (Image du bestiaire médiéval). (DP)

La croyance dans la lycanthropie peut également tirer son origine d’une maladie génétique qui se manifeste par une pilosité faciale excessive.

Un cas classique de cette affection est celui de Petrus Gonsalvus, dont l’apparence hirsute lui valut le surnom d’ »Homme-loup de Bavière ».

Sa fille hérita de la maladie et un portrait la montrant avec un visage couvert de poils fut offert au roi de Bohême.

Il est à préciser que le père comme la fille se comportaient tout à fait normalement


Le Petit Chaperon rouge et le Grand Méchant Loup

Le Petit Chaperon rouge et le Grand Méchant Loup. Cette fable enfantine traduit en fait l’inquiétude des hommes face au loup (Gravure de Gustave Doré pour les Contes de Perrault).(DP)

Les psychoses de lycanthropie peuvent aussi être dues à l’absorption de certaines drogues. Ainsi, un soldat américain se prit pour un loup-garou après avoir absorbé du LSD et de la strychnine alors qu’il se trouvait dans une forêt en Allemagne.

Certaines affaires de loups-garous sont liées à l’absorption de végétaux aux propriétés psychotropes.

Enfin, on connaît aujourd’hui une maladie dite « paranoïa zooanthropique » où des hommes se prenant pour des animaux, cherchent à boire du sang ou à manger de la chair crue.

Gilles Garnier, un loup-garou cannibale

Au XVIe siècle, une véritable psychose règne dans les campagnes. Des procès sont organisés et de nombreuses personnes sont ainsi exécutées car accusées de se transformer en loup. Mais, dans la plupart de ces procès, il y a effectivement des meurtres à caractère cannibale de commis.

A l’époque, nul ne doute de l’existence des loups-garous dans lesquels on voit la manifestation du diable.

Loup-garou

Un loup-garou (Image populaire parue dans la presse sud-africaine)

L’un des plus célèbres procès se déroule en Franche-Comté en 1574. On y juge Gilles Garnier, accusé d’avoir tué plusieurs personnes, dont des enfants, et de les avoir dévorées après s’être transformé en loup.

C’est par un pacte passé avec le diable que Garnier aurait acquis la capacité de se transformer en loup.
Lors du procès, l’accusé lui-même a avoué avoir utilisé un onguent magique pour enduire son corps avant d’attaquer ses victimes.

Les « loups-garous » étaient assimilés aux sorcières et condamnés au bûcher.

Lycaon, le roi mythique

Lycaon, le roi mythique, changé en loup par Zeus (Gravure du XVIe siècle).(DP)

En un peu plus de 100 ans, on a enregistré, seulement en France, 30 000 procès de loups-garous. Les minutes ont été conservées dans les archives locales.

Toujours au XVIe siècle, un certain Jacques Rollet fut arrêté après le meurtre de plusieurs enfants.

C’était un simple d’esprit pratiquant le cannibalisme. Il est certain que Rollet se prenait pour un loup. Il fut condamné à mort mais finalement on l’enferma dans un asile d’aliénés.

Les loups-garous modernes

A notre époque, la lycanthropie ne fait plus l’objet de superstitions religieuses. Cette maladie est connue et aucun esprit sensé ne peut encore croire à de telles affabulations.

Il n’en reste pas moins que de temps à autre des loups-garous sèment la terreur.

A Singapour, en 1957, une série d’agressions mystérieuses posa une énigme aux autorités anglaises.

On murmurait que des loups-garous s’attaquaient aux pensionnaires d’un foyer d’infirmières. Une nuit, l’une d’entre elles, se réveilla et vit « une horrible face bestiale, aux cheveux plantés si bas sur le front qu’ils atteignaient la racine du nez et dont la bouche laissait dépasser des crocs acérés ».

Ce mystère ne fut jamais éclairci. Cependant, nul doute qu’à force de se « monter la tête », l’une d’entre elles a fait un cauchemar.

En 1975, un jeune anglais de 17 ans, se croyait sur le point de se transformer en loup-garou. Pour mettre un terme à ses souffrances morales, il se plongea un couteau dans le cœur.

Cette triste histoire montre que le mythe du loup-garou a toujours de l’emprise sur les esprits faibles ou malades.

Un loup qui hurle dans la nuit résonne comme un appel à la vie sauvage. Cela évoque aussi une certaine nostalgie de la nature.

Loup qui hurle

Un loup hurle au crépuscule. © dinosoria.com

L’homme, qui grâce à des pouvoirs magiques, se transforme en loup, en acquiert les capacités : puissance, rapidité, agilité, ruse, férocité …

Les enfants-loups

Si le mythe du loup-garou n’est qu’une légende, par contre, plusieurs cas d’enfants élevés par des loups se sont effectivement produits.

La plupart des cas d’enfants-loups modernes ont été répertoriés aux Indes. La surpopulation et l’extrême pauvreté en sont les causes.

Le cas le plus célèbre est celui des enfants de Midnapore. Ce sont deux fillettes, découvertes en 1920, dans la tanière d’une louve.

Emmenée à l’orphelinat de Midnapore, la plus jeune décéda rapidement, sans avoir réussi à marcher, ni à parler.

La seconde survit 9 ans à sa capture et apprit péniblement à se tenir debout et à prononcer quelques mots.

L'enfant-loup

L’enfant-loup, Mowgli, est un mythe éternel (Illustration du Livre de la Jungle de Rudyard Kipling)

En 1976, un enfant d’environ 8 ans, toujours aux Indes, fut trouvé alors qu’il jouait avec des louveteaux.

Hirsute, sale et avec des ongles aussi longs que des griffes, il fut confié aux Missionnaires de la Charité au nord de New Delhi.

Il y resta jusqu’à sa mort, en 1985.

Le plus surprenant dans ces tragiques histoires d’abandon d’enfants est la capacité des louves à élever des petits d’une autre espèce et surtout des petits d’homme comme nous l’a si bien conté sur grand écran Walt Disney dans le Livre de la Jungle, histoire adaptée du roman de Rudyard Kipling.

C’est probablement la plus grande énigme liée aux histoires de loups-garous.

Références

La peur des loups-garous, Editions Larousse 2003
L’Inexpliqué, éditions Robert Laffont
Inexpliqué, p.722 à 725 ; 750 à 753

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Le Voyageur du Temps Qui Venait du XIXe Siècle


Les légendes urbaines peuvent faire beaucoup de vagues, disparaître et revenir en force. Comme cette histoire d’un homme qui venait du XIXe siècle et celle de la pièce radiophonique de science-fiction d’Orson Welles.
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Le Voyageur du Temps Qui Venait du XIXe Siècle


Tu as déjà rêvé de voyager dans le temps ? Tu préférerais aller dans le futur ou dans le passé ? Rudolf Fentz, lui, n’a pas choisi son époque, il s’est juste retrouvé à Times Square, comme ça, ne reconnaissant plus rien du tout.

Que s’était-il passé ? C’était l’été 1951. Il était environ 23h15, quand des passants de Times Square ont remarqué un homme d’une vingtaine d’années qui était habillé à la mode de la fin du XIXe siècle. Il avait l’air complètement perdu, et n’avait visiblement aucune idée de comment il était arrivé sur cet impressionnant carrefour. D’où venait-il ? Personne ne l’a vu arriver, il est apparu de nulle part, comme par magie.

SOMMAIRE :

C’était l’été 1951. Il était environ 23h15, quand des passants de Times Square ont remarqué un homme d’une vingtaine d’années qui était habillé à la mode de la fin du XIXe siècle. 

Quand il s’est finalement mis à marcher, il a été renversé par une voiture qui l’a grièvement blessé, et il n’a pas survécu. 

Plus tard, ses vêtements ont été inspectés, et les choses suivantes ont été retrouvées dans ses poches, comme un jeton de cuivre à échanger contre des boissons, de très vieilles factures, 70 $ en billets anciens, des cartes de visite, et une lettre envoyée à cet homme à une adresse de Philadelphia, datée de juin 1876. 

L’affaire a été confiée au capitaine Hubert V. Rihm, du bureau des personnes disparues de la police de New York. 

Le policier a retrouvé la veuve de Rudolf Fentz Junior en Floride ; elle avait perdu son époux cinq ans auparavant. Elle a dit que son beau-père, Rudolf Fentz Senior, avait disparu en 1876 à l’âge de 29 ans. 

Cette histoire est ressortie à partir de 1972, quand elle a été mentionnée dans des livres et des articles comme une preuve de voyage dans le temps.

Cette légende s’inspirait d’une nouvelle écrite par Jack Finney en 1950, et publiée pour la première fois sous le titre I’m scared en 1951. 

Sa diffusion sur Internet dans les années 90 lui a donné une seconde vie. Elle fut de nouveau mentionnée comme un fait et une preuve irréfutable de l’existence des voyages dans le temps.

Un autre exemple de la naissance de légendes urbaines est la pièce radiophonique basée sur La Guerre des Mondes d’Orson Welles. 

Un des acteurs a annoncé le début de la fiction à la radio, mais après ça, il y a eu la météo, puis un concert, et soudain, la musique fut interrompue par un bulletin d’information selon lequel d’étranges éclairs avaient été observés sur Mars. 

Le concert avait repris, mais bientôt, il était de nouveau interrompu par un autre bulletin d’information. Un journaliste de CBS rapportait l’atterrissage d’une soucoupe volante à Grover’s Mill, dans le comté de Mercer.

Comme les journaux l’ont écrit plus tard, 6 millions de personnes ont écouté cette pièce en direct, et la plupart d’entre elles y ont vraiment cru. 

Beaucoup de gens avaient cessé d’écouter la radio pour faire leurs affaires et fuir vers l’Ouest, ou étaient barricadées dans les sous-sols de leurs maisons. 

Certaines personnes ont même affirmé qu’elles avaient vu les lumières clignotantes et senti l’odeur de gaz toxiques.

HORODATAGE :

Ce qu’il avait dans ses poches 0:25

Ce que la police a découvert 1:41

Était-ce bien vrai ? 3:15

Comment apparaissent les légendes urbaines (Histoire de l’invasion extraterrestre) 5:59

Musique par Epidemic Sound https://www.epidemicsound.com/

Le Saviez-Vous ► L’autruche enfouit-elle sa tête dans le sable ?


Quand j’étais petite, on disait en effet que l’autruche se cachait la tête dans le sable pour faire face au danger. Ce ne fût que plus tard, j’ai appris que ce n’était pas tout à fait que le plus gros oiseaux au monde fait quand il est en danger.
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L’autruche enfouit-elle sa tête dans le sable ?


Vous connaissez surement l’expression la “politique de l’autruche”, c’est à dire refuser obstinément de faire face à un danger ou problème; faire comme s’il n’existait pas.

Cette formule vient d’un comportement que l’on prête à l’autruche. Effrayée elle cacherait sa tête dans le sable et se croirait ainsi en sécurité. De cette manière elle choisirait d’ignorer le danger.

Mais l’autruche adopte-t-elle vraiment ce comportement ?

Commençons par dire que nous le pensons car Pline l’Ancien, au premier siècle après JC, a répandu cette idée fausse en décrivant cet animal, qu’il considérait comme le chainon entre les mammifères et les oiseaux, comme particulièrement sot, soulignant,à juste titre qu’au lieu de cacher sa tête il ferait mieux de courir. En effet cet oiseau est l’animal à deux pattes le plus rapide du monde. Il court à 50 km/heure en moyenne avec des pointes à 70 km/h.

Mais plus encore que Pline l’Ancien, la faute en revient à l’autruche elle-même. Son comportement a semble-t-il principalement contribué à la construction de cette légende. En effet, placée dans certaines situations, comme en présence d’un prédateur, quand elles se sent menacée, l’autruche peut se coucher sur le sol, aplatissant son long cou et sa tête pour ne pas se faire repérer. Réduisant ainsi sa visibilité, elle espère être confondue avec la végétation.

A noter pour conclure que l’autruche est un animal fascinant a différents titres. Il s’agit par exemple du plus grand oiseau de la planète, l’animal qui possède les plus gros yeux et enfin celui qui pond les plus gros oeufs du monde.

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Le Saviez-Vous ► Choux, roses, cigognes : d’où viennent ces légendes sur l’arrivée des bébés ?


J’espère qu’on n’enseigne plus ces légendes aux enfants sauf pour les contes. Je me souviens que ces légendes étaient véhiculées quand j’étais enfant, mais nous savions très tôt, qu’en réalité, les bébés venaient des mamans. Comment ? Si les parents ne l’expliquaient pas, on pouvait l’apprendre avec les amis qui en savaient un peu plus.
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Choux, roses, cigognes : d’où viennent ces légendes sur l’arrivée des bébés ?


Cigognes & compagnie

Par Dorothée Louessard

Si les garçons naissent dans des choux et les fillettes dans des fleurs, que diable fichent les cigognes censées être les livreuses officielles de bébés ? Mais au fait d’où viennent donc ces mythes sur la naissance de nos chérubins ?


Depuis l’Antiquité, le chou est associé à la fertilité. On servait traditionnellement de la soupe aux choux aux jeunes mariés afin accroître leurs chances d’avoir un enfant. Et encore aujourd’hui, la consommation de choux est préconisée à toutes les femmes désireuses de booster leur fécondité. Pourquoi ? Parce qu’ils sont riches en acides foliques (Vitamine B9) assurant le bon développement du foetus. Les autres vitamines présentes dans les choux de Bruxelles auraient également le pouvoir d’augmenter la quantité de sperme de l’homme et leur durée de vie.

L’autre origine possible de ce mythe sur la naissance proviendrait de la Grèce Antique. Le roi Agamemnon parti en guerre, sa femme Clytemnestre accoucha de quadruplés dont trois filles et un garçon. N’ayant pas de langes sous la main, elle emmaillota ses filles dans des pétales de rose et enveloppa son garçon dans des feuilles de chou. Si ce dernier n’a pas eu droit aux pétales de rose, c’est parce que la rose constituait le symbole de la féminité durant l’Antiquité. La feuille de chou fut choisie tout simplement parce que du choux était prévu au dîner.

Deux explications possibles donc, et qui s’avéraient bien pratiques à ressortir à nos enfants lorsqu’ils nous balançaient la fameuse question tant redoutée : « Dis, comment on fait les bébés ?« 

Mais alors les cigognes dans tout ça, elles faisaient quoi au juste ? Déposaient-elles les bébés selon leur sexe tantôt dans des roses, tantôt dans des choux ?

La légende de la cigogne ou « Légende du Kindelesbrunnen » est connue dans le monde entier et puise son origine en Alsace. Il y aurait eu jadis un lac sous la cathédrale de Strasbourg, où voguaient les âmes des enfants en attendant de venir au monde. Un sympathique gnome naviguait sur le lac à bord d’une barque argentée et, muni d’un filet d’or, il attrapait les âmes des bébés pour les donner à la fameuse cigogne qui se chargeait alors de distribuer les bébés aux parents. D’ailleurs, encore aujourd’hui, en Alsace, les parents désirant avoir un enfant doivent « commander » leur bébé aux cigognes en déposant un morceau de sucre sur le bord de leur fenêtre. Quant au choix de l’oiseau, il est sans doute lié au fait que les cigognes font leur grand retour en Alsace, au printemps, saison associée aux naissances.

Le mythe des cigognes est d’ailleurs le thème du film d’animation des studios Warner, « Cigognes & compagnie » ,  On y découvre que les cigognes ont cessé la livraison de bébés pour se reconvertir dans l’expédition de colis Internet. Et, alors que Junior, coursier star de l’entreprise, s’apprête à reprendre la tête de l’entreprise, il rallume involontairement la Machine à Fabriquer les Bébés…

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Le mythe d’un “vampire” mort il y a 200 ans a été résolu


L’étude d’un corps de fermier mort au 19e siècle aux États-Unis vient de faire taire la légende de vampire. Sa famille l’avait enterré puis exhumé pour brûler son . Les membres et la tête déposés sur le thorax pour éviter que ce fermier revienne hanter les vivants. Et non, c’est la maladie qui l’a fait changer d’apparence.
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Le mythe d’un “vampire” mort il y a 200 ans a été résolu


La maladie de John Barber avait altéré son apparence physique et son entourage le prenait pour un vampire © DVIDS

Les restes d’un homme décédé au 19e siècle dans le Connecticut, aux États-Unis, ont été analysés afin de couper court à une légende qui avait fait de lui un “vampire”.

L’homme, autrefois identifié comme étant “JB-55″ était en réalité John Barber, un fermier craint à cause de son apparence physique inquiétante en réalité due à son état de santé, apprend-on aujourd’hui. 

L’affaire JB-55 remonte initialement à 1990, lorsqu’une tombe avait sauté aux yeux d’observateurs dans un cimetière du 18e. L’homme décédé environ 200 ans plus tôt semblait avoir été exhumé puis à nouveau inhumé mais son squelette était placé dans une position spécifique. Visiblement, cette pratique était de coutume à la fin du 18e siècle et au 19e siècle lorsqu’une personne était suspectée d’être un vampire.

Sur son cercueil, “JB-55″ avait été écrit en lettres cloutées. Il s’agissait de ses initiales et de son âge à sa mort. Grâce à une recherche généalogique en ligne, les chercheurs l’ont identifié comme étant John Barber. Des analyses légales sur le squelette ont rapidement déterminé que celui qui était accusé d’être un vampire était en réalité atteint de tuberculose, maladie qui a d’ailleurs conduit à sa mort.

À l’époque, la tuberculose était souvent fatale. L’homme, qui ne pouvait se soigner correctement, avait vu son apparence physique se modifier. Les patients atteints souffraient de lésions des poumons, avaient le teint extrêmement pâle, étaient décharnés et affaiblis. Les gencives se rétractaient, donnant l’impression que les dents étaient particulièrement longues. Cela donnait à certains une allure inquiétante et, selon Jennifer Higginbotham, l’une des chercheuses en charge de JB-55, la famille et les connaissances de John Barber ont dû conclure qu’il s’était transformé en vampire à cause des taches de sang qu’il avait autour de la bouche à force de tousser. 

Si le pauvre homme, qui était un paysan sans le sou, avait été déterré, c’est parce que la famille avait voulu brûler son “coeur de vampire” par sécurité.

“Il avait ensuite été à nouveau inhumé car l’entourage craignait qu’il soit un mort-vivant”, suppose l’archéologue Nicholas Bellantoni dans The Washington Post. Le crâne et les membres de l’homme avaient été déposés sur sa cage thoracique. “Cela devait l’empêcher, pensait-on, de sortir de sa tombe et de continuer à sévir contre les vivants”, conclut-il.

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Le Saviez-Vous ► Pourquoi le Groenland s’appelle-t-il ainsi ?


Le Groenland un écosystème fragile qu’il faut protéger. Son nom viens d’une légende du Danemark
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Pourquoi le Groenland s’appelle-t-il ainsi ?

 

par La rédaction

Le Groenland est une grande étendue située près de l’Amérique du Nord et appartient au Danemark.

Son nom proviendrait des sagas islandaises et de l’islandais d’origine norvégienne Erik le Rouge. Il aurait donné ce nom à l’île, nom qui signifie littéralement “terre verte” en islandais.

La légende raconte qu’Erik le Rouge a été chassé d’Islande pour meurtre. Avec sa famille et ses esclaves, il a alors pris la fuite à bord de bateaux pour aller explorer la terre glacée qui était bien connue comme étant située au nord-ouest. Il a trouvé une zone habitable et s’y est installé. Il a tenté d’attirer les colons en choisissant le nom “terre verte”. Le nom du pays en groenlandais signifie “terre des Groenlandais” (Kalaallit Nunaat)

. (Source)

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Le Saviez-Vous ► Qui était l’homme au masque de fer ?


Le masque de fer à déjà exister, mais avait-il tout le temps le masque et est-il en fer ? Des légendes ont été véhiculées par Molière, Fouquet et Voltaire. D’ailleurs dans les 4 mousquetaires, on parle du frère jumeau du roi Louis XIV. La réalité est tout autre, on croit savoir qui était ce prisonnier, si particulier.
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Qui était l’homme au masque de fer ?

 

masque fer

Personnage à la fois fascinant et mystérieux de la France de l’Ancien Régime, l’homme au masque de fer a fait l’objet de nombreuses théories passionnées depuis des siècles. Même si sa destinée peut sembler légendaire, l’individu a bel et bien existé. Son histoire, par contre, ne concorde pas tout à fait avec la version romanesque que conte la chronique.

Bien que teinté d’une aura presque mystique, l’homme au masque de fer a réellement existé. Le registre d’écrou du lieutenant du roi à la Bastille (aujourd’hui consultable à la Bibliothèque nationale de France) confirme en effet le séjour de ce détenu anonyme, dont l’incarcération s’est effectuée de 1698 à 1703, année de son décès. Première précision, néanmoins, son masque semble avoir été fait de velours et n’était porté que durant les phases de transfert entre bâtiments, afin de préserver son anonymat.

Comme souvent, c’est à des écrivains que nous devons les parts de romance qui font la renommée d’une histoire. Voltaire, en l’occurrence, a longuement décrit l’apparence du détenu, popularisant ainsi des éléments pourtant erronés. C’est également lui qui a émis l’hypothèse la plus fascinante concernant l’identité du prisonnier : sa gémellité avec le roi. Selon Voltaire, Louis XIV aurait ainsi emprisonné son frère jumeau, afin d’éviter toute rivalité sur le trône. Toutefois, les accouchements de la reine étant effectués en public, une telle hypothèse semble farfelue.

D’autres personnages célèbres ont été imaginés sous le masque de fer. Molière (critiqué par les Jésuites pour Tartuffe) et Fouquet (disgracié par le roi) sont les plus connus, mais ni l’un ni l’autre ne semblent crédibles dans cette posture, tous deux étant morts bien avant le déroulement des faits.

Aujourd’hui, une piste bien plus concrète semble faire l’unanimité. Selon Jean-Christian Petitfils (auteur [du] Masque de fer – Entre histoire et légende, publié en 2004), le détenu serait très probablement le valet de la cour Eustache Danger.

Très proche du roi, celui-ci aurait eu accès à des secrets d’État, parmi lesquels des conversations confidentielles entre Louis XIV et Charles II, alors roi d’Angleterre.

Afin d’éviter tout risque de trahison, le souverain français aurait alors fait enfermer son valet dans les geôles de la Bastille.

Une aubaine pour les adversaires du roi, lesquels se sont empressés de propager des rumeurs farfelues quant à l’identité du détenu, donnant ainsi naissance à la légende que tout le monde connaît.

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Le Saviez-Vous ► Les éléphants ont peur des souris, mythe ou réalité ?


Depuis la Grèce antique, qu’on prétend que les éléphants ont peur des souris, car elles peuvent rester coincer dans leur trompe !! Cependant après expérience fait par deux animateurs de télé, ont fait l’expérience. Même si l’éléphant a dévié de sa route, il n’a pas présenté les signes de peur apparente. Mais, l’éléphant redoute pourtant de quelque chose et ce n’est pas une souris ou autre petit rongeur.
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Les éléphants ont peur des souris, mythe ou réalité ?

 

éléphant souris

Crédits : iStock

par Yohan Demeure

Sur le papier, une simple souris ne fait clairement pas le poids face un imposant éléphant ! Cependant, il est parfois dit que ces derniers ont peur des souris : qu’en est-il réellement ?

Déjà au temps de la Grèce antique, on disait que les éléphants avaient peur des souris et autres petits rongeurs, car ceux-ci pouvaient se retrouver coincés dans leur trompe. Or aujourd’hui, l’origine de cette légende reste encore un mystère. Mais comme beaucoup d’entre elles, il y a peut-être un fond de vérité.

En réalité, non. Tout d’abord, l’idée qu’un rongeur se trouve coincé dans la trompe d’un éléphant parait absurde, dans la mesure où le pachyderme n’aurait aucun mal à l’expulser. Des études menées sur des éléphants en captivité ne sont jamais parvenues à prouver une éventuelle peur des souris. Mais évoquons tout de même le fait qu’à l’état sauvage, une certaine nervosité s’empare des mastodontes lorsque de petits animaux apparaissent soudainement. En vérité, cela est simplement dû au fait que les éléphants ont une mauvaise vue.

En 2008, des éléphants sauvages ont été testés dans l’émission Mythbusters (voir extrait en fin d’article). Ils ont dévié leur trajectoire à la vue d’une souris, mais il ne s’agissait en aucun cas d’une peur. En effet, lorsqu’un éléphant est effrayé, celui-ci déploie ses oreilles et prend du recul.

Si les éléphants n’ont pas peur des souris, ceux-ci nourriraient une crainte concernant les fourmis, un animal encore plus petit ! Un article du Telegraph publié en 2010 relatait une étude menée par des chercheurs de l’Université de Floride (États-Unis). Le professeur Todd Palmer qui avait piloté ces recherches avait qualifié les colonies de fourmis en colère de “talon d’Achille” de l’éléphant, qui aurait peur que celles-ci s’introduisent dans sa trompe. En effet, des milliers de fourmis à expulser représenteraient plus de difficultés qu’un simple rongeur !

Source

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Le gouvernement écossais a un plan en cas de capture du monstre du Loch Ness


La légende du monstre du Loch Ness captive toujours des gens qui veulent démontrer que Nessie est vraiment réelle. Il faut certes autre chose que des photos floues qui ne prouvent rien. Alors le gouvernement écossais à prévu le coup si jamais, cette bête folklorique est capturée. Heureusement, c’est seulement pour prendre l’ADN et probablement des photos et autres renseignements pour le relâcher par la suite.
Nuage

 

Le gouvernement écossais a un plan en cas de capture du monstre du Loch Ness

Crédits : Yesterday

par  Mehdi Karam

On ne sait jamais : peut-être qu’un jour, Nessie, aka le monstre du Loch Ness, sortira sa tête de l’eau et sera capturé. Si ce jour arrive, l’Écosse sera prête.

Car comme l’écrivait la BBC le 6 juillet, le Scottish Natural Heritage (SNH), un organisme financé par le gouvernement, a d’ores et déjà mis en place un plan. Il s’agit d’un code de pratique, des lignes directrices élaborées à l’échelle nationale afin de réguler le traitement, par exemple, d’une espèce animale – généralement pour la protéger.

Ici, le code établi est clair : un échantillon d’ADN doit être prélevé sur toute nouvelle créature découverte dans les profondeurs du Loch Ness, avant que celle-ci ne soit relâchée. Hors de question, donc, d’enfermer Nessie dans une cage et d’en faire une bête de foire, bien que cela fasse près de 1 500 ans que certains rêvent de le rencontrer.

Ce document a été rédigé en 2001, année durant laquelle l’engouement pour le Loch Ness était sans précédent, notamment après la déclaration du Premier ministre de l’époque, qui avait annoncé croire dur comme fer à la légende. Le SNH avait alors créé le code, qu’il juge « à moitié sérieux, à moitié pour rire ». Et l’organisme est clair : si Nessie est découvert, il n’hésitera pas à « dépoussiérer » le plan.

« L’idée est d’aider Nessie, non pas de le condamner ».

C’est pas sa faute s’il est le monstre du Loch Ness, après tout.

À ce jour, la chasse au monstre du Loch Ness bat toujours son plein. Si certains la mènent depuis Internet, des scientifiques, eux, viennent directement récolter des échantillons d’ADN sur place afin de tenter de prouver l’existence de Nessie.

Source : BBC

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