À 73 ans, elle donne nais­sance à deux petites filles


La science permet aux femmes d’avoir des enfants quand la méthode naturelle ne fonctionne pas. C’est un grand espoir pour les couples qui veulent des enfants. Cependant, une femme rendu à un certain âge, est-ce vraiment raisonnable ?
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À 73 ans, elle donne nais­sance à deux petites filles

Crédits : News­lions Media/MEGA

par  Mathilda Caron

Le 4 septembre, une Indienne de 73 ans a donné nais­sance à des jumelles dans l’État d’An­thar Pradesh, nous apprend la BBC ce 6 septembre. Elle devient ainsi la femme la plus âgée au monde à accou­cher avec succès.

Mariée depuis 54 ans, Mangayamma n’avait jamais réussi à avoir d’en­fant jusqu’ici, et ce malgré de nombreuses tenta­tives avec son mari. Elle a donc décidé de se lancer dans une démarche de fécon­da­tion in vitro

« C’est un miracle médi­cal », a déclaré le Dr Umashan­kar, qui s’est occupé de cette gros­sesse extra­or­di­naire.

Au total, des dizaines de méde­cins ont été mobi­li­sés durant les neuf mois de gros­sesse et leurs séries d’exa­mens ont révélé qu’elle n’avait eu aucune compli­ca­tion. Elle a fina­le­ment accou­ché par césa­rienne et les jumelles se portent à merveille.

Source : BBC

https://www.ulyces.co/

Les bébés nés dans l’espace pourraient avoir une tête plus grosse et un peau plus foncée


La conclusion de l’article était exactement ce que je pensais … On va finir par trouver des extraterrestres qui auront une lointaine origine terrestre. Bref, accoucher sur Terre, ce n’est pas facile alors sans gravité, l’accouchement sera beaucoup plus pénible, alors la césarienne sera la première option. De plus, les bébés seront différents autant la grosseur de la tête que par la couleur et la grandeur. Au bout de quelques générations, ce sera une nouvelle espèce. Enfin si un jour l’humain réussira a quitter la terre pour coloniser une planète,
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Les bébés nés dans l’espace pourraient avoir une tête plus grosse et un peau plus foncée



Céline Deluzarche
Journaliste

En janvier 2019, la startup SpaceLife Origin annonçait en grandes pompes le tout premier bébé né dans l’espace pour 2024. L’entreprise prévoyait d’envoyer une femme enceinte à bord d’une capsule spatiale afin d’accoucher en apesanteur. À peine cinq mois plus tard, elle a finalement fait machine arrière, arguant de « problèmes d’éthique et de sécurité ».

Il n’est toutefois pas inenvisageable que l’Homme soit un jour amené à se reproduire dans l’espace, lors de missions lointaines ou de longs séjours sur Mars. Or, ces futurs bébés extraterrestres pourraient avoir une apparence différente de la notre, si l’on en croit Scott Solomon, professeur de biologie à l’université de Rice (États-Unis). Dans une interview donnée au site Business Insider, ce spécialiste de l’évolution explique d’abord que l’absence de gravité va rendre l’accouchementplus difficile pour les femmes qui devront davantage « pousser » pour faire sortir le bébé. 

« De plus, cette absence de gravité fragilise les os, ce qui augmente le risque de fracture pelvienne lors de l’accouchement», avance le scientifique.

Pour éviter ces désagréments, les accouchements se feront donc, sans doute, par césarienne.

Or, chez l’être humain, « la taille du crâne du bébé est justement limitée du fait qu’il doit passer par le col de l’utérus », insiste Scott Solomon.

Sans cette contrainte biologique, les futurs bébés spatiaux pourraient donc avoir une tête plus grosse. On sait par ailleurs que les astronautes grandissent de trois à cinq centimètres dans l’espace en raison de l’absence de gravité : les enfants cosmiques seront donc peut-être plus grands.

Mais ce n’est pas tout : dans l’espace, nous sommes moins protégés des radiations cosmiques galactiques, potentiellement cancérogènes. Ce qui pourrait amener les humains à développer de nouveaux types de pigments comme la mélanine qui protège notre peau contre les UV sur Terre.

« Les futures générations pourraient donc avoir des couleurs de peau différentes de la notre, sans doute plus foncée, pronostique Scott Solomon. Au bout de quelques milliers d’années, nous pourrions donc assister à la séparation de l’espèce humaine en deux espèces distinctes », conclut-il.

Nous n’aurons alors plus besoin de chercher les vrais extraterrestres.

https://www.futura-sciences.com/

Une femme sans utérus accouche d’un bébé en pleine santé


Un espoir pour les femmes qui ont une infertilité utérine : la transplantation d’un utérus pour concevoir un enfant. En Suède, ils ont déjà réussi ce genre de traitement et maintenant les États-Unis sont aussi apte pour donner une chance a des femmes d’être maman
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Une femme sans utérus accouche d’un bébé en pleine santé

 

© Capture d’écran Facebook.

Par: Deborah Laurent

Une femme née sans utérus a accouché d’un bébé en bonne santé à Dallas. C’est une première aux Etats-Unis. La Suède avait déjà réussi la manoeuvre.

Le Time rapporte les propos du Docteur Liza Johannesson, chirurgienne et obstétricienne à l’hôpital de Baylor

« Nous nous préparons pour ce moment depuis très longtemps. Tout le monde avait les larmes aux yeux quand le bébé est sorti. »

La mère et son mari ne souhaitent pas que leurs identités soient révélées.

La nouvelle maman souffre d’infertilité utérine absolue ce qui signifie que son utérus ne fonctionne pas ou qu’il est inexistant. La plupart des femmes participant à l’essai clinique de l’hôpital concerné souffre du syndrome de Mayer-Rokitansky-Küster-Hauser. Elles savent depuis toujours qu’elles ne pourront jamais enfanter.

Le Docteur Giuliano Testa, qui dirige l’essai clinique, explique qu’avec son équipe, ils font des transplantations tous les jours.

« Mais ce n’est pas la même chose. J’ai totalement sous-estimé ce que ce type de greffe fait pour les femmes. Je n’ai pas de mots pour décrire ce que j’ai appris émotionnellement. »

La naissance était une césarienne programmée et les médecins qui ont participé à cet essai clinique de grande envergure étaient présents. Le médecin qui a accouché la patiente très particulière a confié:

 « Quand j’ai commencé ma carrière, nous n’avions même pas de sonagrammes. Maintenant nous mettons l’utérus d’une femme dans le ventre d’une autre et nous obtenons un bébé. »

La femme qui a donné son utérus s’appelle Taylor Siler et est âgée de 36 ans. Elle raconte au Time qu’elle n’avait pas toujours été certaine d’avoir envie d’un enfant. Mais elle en a eu deux, de 6 et 4 ans aujourd’hui, et sa « vie a changé pour toujours ». Quand elle a vu un reportage sur l’essai clinique de Baylor, elle avait déjà décidé avec son mari de ne plus avoir d’enfant. Elle a voulu aider ces femmes qui espéraient tant avoir un bébé. Le programme de Baylor fait appel aux donneurs vivants et décédés.

Révolutionnaire, la transplantation d’utérus peut coûter jusqu’à 500.000 dollars. Les compagnies d’assurance ne prennent rien en charge. Baylor a payé les dix premières transplantations d’utérus de son essai clinique. Pour la suite, il va falloir trouver des fonds.

http://www.7sur7.be/

Une patiente prend feu pendant son accouchement


La technologie, c’est beau, mais pas quand il devient une catastrophe par son utilisation, cela est moins drôle. Une femme qui va accoucher même par césarienne s’attend d’avoir un bébé et tout ce qui va avec, pas être brûler au 3e degré
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Une patiente prend feu pendant son accouchement

 

Illustration © thinkstock.

Source: 24matins.fr, Ouest-France

Une patiente a été grièvement brûlée lors de son accouchement par césarienne dans un hôpital de Normandie…

Ce drame particulièrement tragique a eu lieu ce vendredi 6 octobre dernier au centre hospitalier Jacques-Monod de Flers, dans le département de l’Orne, en Normandie. Alors qu’elle était en train d’accoucher par césarienne, une future mère de famille a soudain « pris feu », sous l’action « indésirable d’un bistouri électrique », précise un responsable de la clinique. Transportée d’urgence par hélicoptère au centre hospitalier universitaire de Nantes, la jeune femme a été brûlée au 3e degré sur 15% de son corps, précisent les sites d’information 24matins.fr et Ouest-France. Ses jours ne sont toutefois pas en danger et l’enfant serait en bonne santé. Une enquête interne a été diligentée afin de comprendre les circonstances de cet événement dramatique. La justice a également été saisie. Le procureur de la République Hugues de Phily a lui-même confirmé que la patiente avait « pris feu » sous l’effet inattendu d’un « bistouri électrique » régulièrement utilisé pour sectionner les tissus et prévenir les saignements lors de cette opération délicate.

http://www.7sur7.be

Le suicide d’une femme enceinte enflamme le web


Une femme enceinte prête à accoucher s’est jeter en bas du 5e étage de l’hôpital en Chine. Elle voulait une césarienne, mais cela lui a été refusé. Par qui ? La famille dit, c’est l’hôpital, l’hôpital dit que c’est le mari, et la famille. Et la femme enceinte n’a aucun mot à dire qu’importe qui a pris la décision. Et si c’est une question d’argent, c’est encore un problème
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Le suicide d’une femme enceinte enflamme le web

 

STEFANIKOLIC VIA GETTY IMAGES

Elle se jette par la fenêtre après s’être vu refuser une césarienne

Un intense débat agite actuellement la Chine après le suicide d’une femme enceinte sur le point d’accoucher: après s’être vu refuser une césarienne malgré d’intenses douleurs, elle s’est jetée par une fenêtre de l’hôpital.

Ma Rongrong, 26 ans, n’aurait pas supporté les souffrances engendrées par les contractions et se serait défenestrée le 31 août depuis le cinquième étage d’un établissement situé à Yulin, dans la province du Shaanxi (nord).

Depuis, la famille de la victime et l’hôpital se rejettent la responsabilité du refus de la césarienne.

Les internautes et les médias, eux, s’interrogent: comment cette intervention chirurgicale, extrêmement banale en Chine, a-t-elle pu être refusée à la principale concernée, la femme enceinte?

L’hôpital assure avoir conseillé la césarienne à Ma Rongrong. Mais selon l’établissement, le mari de la victime, à qui elle avait donné procuration, n’a pas donné son accord et les médecins n’ont pas pu aller contre la décision de l’époux.

Ce dernier a fermement démenti dans la presse. Il affirme avoir accepté l’intervention, mais que le médecin l’a jugée inutile.

La controverse a connu un rebondissement cette semaine avec la fuite sur internet d’une vidéo de surveillance montrant Ma Rongrong à genoux dans un couloir de l’hôpital.

Pour l’établissement, les images prouvent que la jeune femme implorait ses proches d’accepter la césarienne. Pour sa famille, elle n’a adopté cette position que pour soulager sa douleur.

Sur internet, beaucoup pensent que la famille n’avait peut-être pas les moyens de payer — un problème récurrent en Chine, où les frais médicaux peuvent être hors de portée des plus modestes.

Certains pointent également la responsabilité du gouvernement, qui encourage les hôpitaux à réduire le taux de césariennes, la Chine étant déjà l’un des pays au monde où le recours à cette pratique est le plus élevé.

« Les hôpitaux veulent limiter les césariennes et les familles ne veulent pas dépenser d’argent », déplore un internaute sur le site de microblog Weibo, relayant une impression largement partagée sur les réseaux sociaux.

« Ce type de système et ce type de famille engendrent de telles tragédies. »

Certains dénoncent également les valeurs traditionnelles de la famille en Chine, en vertu desquelles une femme enceinte subit souvent l’influence toute puissante de son mari et de sa belle-mère.

« Pourquoi un hôpital ne pourrait pas réaliser une césarienne? », s’emporte un internaute.

« Simplement parce que sa famille n’est pas d’accord? C’est quoi ces règles? »

http://quebec.huffingtonpost.ca/

La césarienne influencerait l’évolution humaine


Ce ne sont pas toutes les césariennes qui sont fait à cause d’un bassin étroit, mais il semble que cela va évoluer de plus en plus les femmes ayant un bassin étroit et donc une augmentation de césarienne
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La césarienne influencerait l’évolution humaine

 

Photo : iStock

Le recours régulier à la césarienne en médecine a un impact sur l’évolution humaine, affirment des scientifiques autrichiens.

RADIO-CANADA AVEC BBC NEWS

Un texte d’Alain Labelle

Les travaux du Dr Philipp Mitteroecker et de ses collègues de l’Université de Vienne montrent que plus de mères ont aujourd’hui besoin d’une chirurgie pour mettre au monde un bébé.

La raison? La taille étroite de leur bassin. Les chercheurs estiment que le nombre de cas où le bébé ne peut pas s’introduire correctement dans le canal de naissance est passé de 30 sur 1000 dans les années 1960 à 36 sur 1000 aujourd’hui.

La science sait que trois gènes sont associés à la disproportion fœto-pelvienne et ne seraient donc pas transmis d’une mère à l’enfant si les deux mouraient durant l’accouchement.

Le saviez-vous?

Le taux de césariennes ne cesse d’augmenter dans les pays industrialisés. Ce taux a évolué de 21,2 % à 26,3 % au Canada de 2000 à 2006. Au Québec, ce taux est passé de 18,5 % à 23,2 % de 2000 à 2009.

Une femme au bassin étroit n’aurait pas survécu à l’accouchement il y a 100 ans. Elle le peut maintenant et transmet ainsi ses gènes codant pour un bassin étroit à ses filles. Dr Philipp Mitteroecker

Cette tendance devrait se poursuivre, affirme le Dr Mitteroecker, mais les naissances non chirurgicales ne deviendront pas obsolètes pour autant.

Je ne m’attends quand même pas à ce qu’un jour la majorité des enfants naîtront par césarienne. Dr Philipp Mitteroecker

Le détail de ces travaux est publié dans le journal Proceedings of the National Academy of Sciences.

http://ici.radio-canada.ca/

Du ventre de leur mère à leur vie sur Terre: Des nouveau-nés photographiés quelques secondes après leur naissance


Mettre un bébé au monde est une expérience extraordinaire que ce soit par voie naturelle ou césarienne. Pour les papas, même s’ils ne peuvent ressentir l’impact de la naissance, ils subissent quand même des grandes émotions et sûrement beaucoup de fierté quand ils assistent à l’accouchement de leur enfant
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Du ventre de leur mère à leur vie sur Terre: Des nouveau-nés photographiés quelques secondes après leur naissance

 

 

«Loin des clichés et des banalités, je souhaitais nous montrer tels que nous sommes quand nous naissons», écrit le photographe Christian Berthelot dans un texte de présentation sur son exposition.

Très loin des images immaculées de bébés aux joues roses que nous voyons souvent, les photos crues de Christian Berthelot captent les nouveau-nés les montrant comme des êtres différents – nus, criants et encore recouverts de liquides corporels.

Dans sa série intitulée «César», l’artiste français a capté les nourrissons dans les tout premiers moments de leur vie – en particulier, entre trois et 18 secondes après qu’ils sont sortis du ventre de leur mère.

Comme on peut le deviner d’après le titre de la série, tous les sujets ont vécu (et survécu à) une césarienne – une procédure (du nom de l’empereur romain César) avec laquelle on incise l’abdomen de la mère pour retirer le bébé. Le premier enfant de Christian Berthelot est lui-même né par césarienne, ce qui l’a fortement inspiré pour son projet artistique.

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Leanne – née le 8 avril 2014 à 8h31 1kg 745 – 13 secondes après sa naissance

«Quand j’ai vu mon fils pour la première fois il était couvert de sang et d’une substance blanche que l’on appelle le vernix», se souvient le photographe. C’était comme guerrier qui avait gagné sa première bataille, comme un ange sorti de l’obscurité. J’ai été très heureux quand je l’ai entendu crier».

Derrière l’objectif du photographe, ce sont des arrivées au monde très variées que l’on découvre. Certains crient et pleurent, d’autres gesticulent, d’autres encore restent calmes, mais peu selon l’artiste «ont l’air d’appartenir au monde des vivants»

La série «César» est exposée jusqu’au 5 mars 2015 dans le cadre du Festival Circulation(s) à Paris.

Découvrez une sélection des photos de Christian Berthelot.

  • Liza – née le 26 février 26, 2013 à 8h45 
3kg 200 – 3 secondes après sa naissance

  • Louann – né le 12 avril, 2013 at 8h40 
3kg 574 – 14 secondes après sa naissance

  • Mael – né le 13 décembre 2013 à 16h52 
2kg 800 – 18 secondes après sa naissance

  • Steven – né le 21 décembre 2013 16h31 2kg 425 – 15 secondes après sa naissance

  • Lize – née le 24 décembre 2013 à 8h49 3kg 574 – 9 secondes après sa naissance

  • Kevin – né le 27 décembre 2013 à 10h36 4kg 366 – 13 secondes après sa naissance

  • Romane – née le 20 mai 2014 à 10h51 
2kg 935 – 8 secondes après sa naissance

Cet article initialement publié sur le Huffington Post États-Unis a été traduit de l’anglais.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Californie : Un bébé naît prématurément dans son sac amniotique


C’est comme voir un bébé dans le ventre transparent de la maman, mais qu’en fait, l’enveloppe qui recouvre le bébé est à l’air ambiant et le bébé dedans.
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Californie : Un bébé naît prématurément dans son sac amniotique

(Crédit photo: capture d’écran CBS)

Chelsea Phillips a eu toute une surprise lorsqu’elle a donné naissance au petit Silas : le bébé se trouvait encore dans son sac amniotique lorsqu’il a été sorti de son ventre.

Le bébé est né prématurément à 26 semaines grâce à une césarienne au Centre médical Cedars-Sinai, près de Bevery Hills, en Californie.

Le petit Silas, aujourd’hui âgé de 10 semaines se porte à merveille. Les médecins n’en reviennent toujours pas de l’événement assez rare qui s’est passé lors de l’accouchement.

«Ça va sembler vraiment cliché, mais nous avons vraiment retenu notre souffle», a confié William Binder, néonatalogue dans cet hôpital californien.

«C’est vraiment un moment qui va rester dans ma mémoire pour toujours», a ajouté le médecin.

C’est lui qui a capturé la scène avec son cellulaire grâce à plusieurs photos.

Avant que les médecins percent le sac amniotique, le bébé était toujours alimenté en oxygène grâce au placenta.

«Tout cela s’est comme passé au ralenti dans ma tête. Ça a probablement duré une dizaine de secondes, le temps qu’on réalise ce qui se passait et qu’on se décide à sortir le bébé du sac pour qu’il puisse commencer à respirer», a expliqué William Binder.

La mère du petit n’a pas tout de suite réalisé tout l’engouement qu’avait suscité son accouchement au sein du personnel de l’hôpital. Ce n’est que lorsqu’elle a vu les photos qu’elle a compris la rareté de l’événement.

«C’était comme une mince pellicule, on pouvait vraiment voir sa tête et ses cheveux. C’était vraiment spécial à voir», a dit Chelsea Phillips.

Le bébé, bien que né à seulement 26 semaines, se porte bien et devrait pouvoir quitter le centre hospitalier d’ici les prochaines semaines.

http://tvanouvelles.ca/

Le plus ancien décès au cours d’un accouchement découvert en Sibérie


Accoucher a toujours été un risque pour la femme, peut-être moins aujourd’hui quoique environ toutes les deux minutes une femme meurt en donnant la vie ou du fait de sa grossesse dans le monde.
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Le plus ancien décès au cours d’un accouchement découvert en Sibérie

 

Squelette la plus ancienne preuve d’un accouchement ayant entraîné la mort de la mère et de l’enfant ©Antiquity

Squelette la plus ancienne preuve d’un accouchement ayant entraîné la mort de la mère et de l’enfant ©Antiquity

Par Bernadette Arnaud

Une sépulture datant de 8000 à 7000 ans abritait le corps d’une jeune femme décédée à la suite d’une difficulté mécanique survenant lors de la naissance de son enfant.

UNIQUE. Les archéologues n’avaient encore jamais fait une découverte pareille. La plus ancienne preuve d’un accouchement ayant entraîné la mort de la mère et de l’enfant a été trouvée en Sibérie à Lokomotiv, près du Lac Baïkal.

Dans un cimetière préhistorique de chasseurs-cueilleurs datant de 8000 à 7000 ans, une sépulture recélait en effet le corps d’une jeune femme d’environ 25 ans décédée à la suite d’une dystocie fatale, c’est-à-dire d’une difficulté mécanique survenant lors de la naissance d’un enfant comme le rapporte la revue Antiquity.

Les squelettes partiels de deux fœtus arrivés à termes ont été retrouvés : l’un était encore présent dans la région pelvienne de la mère, l’autre en cours d’expulsion. Preuve que le décès des trois individus est survenu pendant des complications liées à l’accouchement. Il s’agit également de la plus ancienne découverte archéologique de jumeaux. Les analyses ont été réalisées à Irkoutsk par Angela Lieverse, une archéologue de l’université de Saskatchewan (Canada).

Le squelette de la mère et ses deux foetus découvert à Lokomotiv. ©Antiquity

L’accouchement a toujours été un moment extrêmement risqué pour les femmes. C’est d’ailleurs pour éviter qu’une femme morte en couches ne soit enterrée avec son fœtus encore vivant que les Romains, bien plus tard,édictèrent une loi dite Lex Regia de Numa Pomilius (715-673 av. J.C) (renommée Lex Caesarea), ordonnant la pratique de la « césarienne » sur les femmes enceintes défuntes.

« Les césariennes pratiquées dans l’Antiquité étaient bien plus souvent post-mortem avec des résultats relativement hasardeux. Le but était de sauver l’enfant lorsque la mère était perdue » explique le paléopathologiste français Philippe Charlier.

Jusqu’au Moyen Age, la césarienne sera toujours effectuée post-mortem. Elle n’a commencé a être pratiquée sur des femmes vivantes qu’à l’orée du XVIe siècle…

http://www.sciencesetavenir.fr/

Des patients conscients en pleine opération mais incapables de le faire savoir


Je n’ai jamais été inquiète de ne pas me réveillée après une opération et ni me réveillée en pleine chirurgie. Mais, je suppose que cela doit être très angoissant
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Des patients conscients en pleine opération mais incapables de le faire savoir

 

Les personnes ayant subi une anesthésie générale le savent, il n’est pas rare, la veille de l’opération, de ressentir une petite angoisse à l’idée de ne pas se réveiller, en raison d’un mauvais dosage.

Avis aux hypocondriaques, c’est un autre phénomène, lui aussi glaçant, qui est étudié dans un rapport britannique qui vient d’être rendu public : l’état de conscience en pleine opération chirurgicale. Les cinéphiles se souviendront de la scène du film Awake, de Joby Harold (2007), dans laquelle le héros, en pleine opération à cœur ouvert, est tout à fait conscient de ce que trame son chirurgien (spoiler : le laisser mourir pour lui voler son argent et sa femme).

Jusqu’ici, aucune étude ne s’était penchée avec tant de soin sur le sujet, note le Guardian. Il a fallu trois ans d’enquête au Royal College of Anaesthetists et à l’Association des anesthésistes de Grande-Bretagne et d’Irlande pour parvenir à leurs conclusions. A partir des témoignages de trois cents personnes ayant vécu cette expérience traumatisante, les chercheurs estiment que le temps de conscience est en général assez court et survient au début ou à la fin de l’intervention, souvent lors de césariennes. Il concerne cent cinquante-huit Britanniques opérés chaque année, ce qui est heureusement très peu proportionnellement au nombre d’opérations pratiquées. Dans 41 % des cas toutefois, l’expérience entraîne des séquelles psychologiques sur le long terme.

Invités à raconter ce qu’ils ont ressenti, les patients décrivent plusieurs symptômes, qui vont de la panique à l’état de choc. Certains expliquent qu’ils se sentaient complètement paralysés, conscients, mais dans l’impossibilité physique de communiquer. La BBC cite le témoignage d’une femme qui a subi une intervention d’orthodontie de routine à l’âge de douze ans.

« J’ai entendu des voix et j’ai réalisé alors que je m’étais réveillée au beau milieu de l’opération mais que je ne pouvais pas bouger un muscle », confie-t-elle. Quinze ans plus tard, elle est encore victime de cauchemars « où des monstres bondissent pour [la] paralyser ».

Selon l’étude, 90 % des cas se sont produits lorsque les patients avaient reçu une combinaison de médicaments relaxants – administrés pour aider à paralyser les muscles pendant l’intervention – et d’autres produits qui atténuent normalement l’état de conscience. Un mauvais dosage entre les deux traitements peut provoquer cet état de conscience anormal. Toutefois, comme le note de manière très rassurante le Mirror,

« vous avez actuellement bien plus de chances, proportionnellement, de mourir dans les deux mois suivant une opération que de vous réveiller pendant ».

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