Renoncer à l’inutile


Avons-nous vraiment besoins de tout ce que nous avons ? Cela nous rends-t-il plus heureux ?
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Renoncer à l’inutile

 

 

 » Tout ce à quoi tu ne peut renoncer quand tu n’en a plus l’utilité, fini par te posséder. Et dans cette époque de matérialisme hystérique, nombreux sont ceux qui sont possédés par leurs possessions. »

Mildred Lisette Norman

Il créé un éléphant taille réelle… en origami !


Faire une fleur, un panier, un avion et autre petites babioles en papier est probablement facile à apprendre. Mais faire un éléphant de grandeur réelle avec une très grande feuille de papier, il faut un vrai connaisseur de l’origami
Nuage

 

Il créé un éléphant taille réelle… en origami !

 

4 semaines et une très grande feuille de papier suffisent à Sipho Mabona pour réaliser un éléphant taille réelle, impressionnant !

Sipho Mabona est un artiste Suisse, grand spécialiste de l’origami. Depuis ses 5 ans, il plie du papier pour en faire des avions, des animaux ou encore des insectes. Il lui aura fallu 4 semaines entières et une feuille de papier de 15 mètres par 15 mètres pour confectionner cet éléphant taille réelle.

© Sipho Mabona

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Le Saviez-vous ► Que révèle la forme de vos chiffres ?


Quand on écrit des chiffres, est-ce que cela donne des informations sur notre personnalité, un peu comme la graphologie ? Il semble que oui
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Que révèle la forme de vos chiffres ?

 

La forme de vos chiffres n’est pas anodine. Elle révèle certains traits de personnalité précis.

Décryptage avec Nicole Bédard, auteur de Que dit la forme de vos chiffres ?.

Le O : l’énergie

Si le O est votre chiffre préféré c’est que vous accordez beaucoup d’importance au maintien de votre énergie.

– Le O ouvert en haut : Une perte d’énergie.

« Les forces physiques et mentales commencent à faire défaut. Plus l’ouverture du cercle est grande, moins elle est en contrôle » explique Nicole Bédard, conférencière en caractérologie.

Il faut ensuite regarder l’épaisseur du tracé. « Il n’y a pas de quoi s’inquiéter s’il est suffisamment prononcé » précise la spécialiste. Par contre, s’il est mince et superficiel, c’est le signe d’une faiblesse ou vulnérabilité. « La personne doit apprendre à ne pas tout faire en même temps » précise Nicole Bedard.

– Le O bouclé vers l’extérieur (la fermeture du chiffre se chevauche vers l’extérieur) : l’énergie commence à faire défaut mais l’individu s’accroche, il veut être performant.

– Le O bouclé à l’intérieur : Introvertie. « Cette personne n’apprécie guère les gens qui posent trop de questions » explique Nicole Bédard. « Elle est exigeante avec elle-même. Elle a acquis certaines habitudes et il lui est difficile d’y déroger. Attention ! Son côté perfectionniste pourrait lui jouer de mauvais tours » prévient la spécialiste.

Le 1 : l’esprit créateur

Si c’est votre chiffre préféré, vous êtes quelqu’un qui n’aime pas perdre son temps.

– Quand le trait principal du 1 est penché vers la gauche :  la personne préfère le déjà-vu et le déjà-connu.

– Quand le trait est penché vers la droite : vous êtes une personne motivée, de nature un peu impulsive.

– Quand le trait est courbé vers la gauche : la personne cherche à prendre la fuite.

– Quand le trait est courbé vers la droite : la personne devrait aller plus de l’avant.

– Le 1 avec une barre horizontale au dessus et en dessous : la personne est inébranlable, on ne peut pas avoir d’emprise sur elle.

– Les traits horizontaux vont vers le haut : la personne est ambitieuse.

– Les traits horizontaux vont vers le bas : la personne a besoin de contrôler.

Le 2 : le partage et l’équilibre

Si le chiffre 2 est un de vos préférés, vous accordez une grande importance à vos relations interpersonnelles.

– Le 2 dont le trait du haut est absent : la personne est en position d’attente vis-à-vis des autres, elle ne fera pas le premier pas.

– Le 2 dont le trait du haut dépasse celui du bas : la personne est à l’aise, n’attend pas, il agit sans contrainte. « Plus le trait est avancé, plus la personne montre de curiosité envers les autres » indique Nicole Bédard.

– Le 2 dont le trait du haut (de départ) est courbé vers l’intérieur : la personne montre de la gentillesse et de l’attention envers les autres mais sait aussi respecter ses propres besoins.

– Le 2 dont le trait de départ est courbé à l’intérieur puis ressort vers l’extérieur : la personne établit facilement le contact, elle est bienveillante.

– Le 2 qui ressemble à un « Z » : la personne est sélective, elle s’oriente vers des individus qui lui ressemblent.

– Le 2 avec une boucle : la personne aime nouer de nouveaux contacts, elle sait accorder du temps à l’autre.

– Le 2 dont la base est courte : la personne préfère les rencontres de courte durée, ils sont de nature très occupée.

– Le 2 dont la base est en forme d’arc : la personne est vulnérable au jugement de l’autre, elle cherche à se protéger.

Le 3 : l’implication sociale

Selon Nicole Bédart, si vous préférez le chiffre 3, vous êtes une personne de nature très sociale et sociable.

– Le 3 dont le trait de départ est pratiquement absent : la personne ne cherche pas d’implications trop intelectuelles.

– Le 3 dont le trait de départ est plus avancé que celui de fin : la personne a le sens de l’organisation.

– Le 3 dont le trait de départ est une ligne horizontale : la personne a un sens critique développé.

– Le 3 dont le trait du milieu est une boucle : la personne compte énormément sur ses relations avec les autres. Si le lien familial est absent, elle compense en s’entourant socialement.

– Le 3 dont le trait de base est recourbé vers l’intérieur : la personne aime les sports d’équipe.

Le 4 : la patience, la concentration

La personne qui aime le 4 est prévoyante et sait faire preuve de discernement.

– Le trait de gauche est au même niveau que celui de droite : la personne fonctionne de manière structurée et concrétise ses idées.

– Le trait de gauche est plus long que celui de droite : la personne réfléchit longtemps avant d’agir.

– Le trait de droite plus long que celui de gauche : la personne s’implique trop vite, sans réfléchir.

– Le trait de gauche forme une boucle avant le tracé horizontale : la personne est capable de s’engager dans un projet sans stress.

– Une boucle à gauche et une à droite : la personne assume tous les aspects d’une situation, elle est active.

– Les traits de formes angulaires : la personne est sérieuse et très consciencieuse.

Le 5 : savoir réagir à l’imprévu

Si ce chiffre est votre préféré, vous savez vous adapter aux circonstances inévitables ou incrontrôlables.

– Le trait du haut est court : la personne a du mal à percevoir l’impact d’un imprévu dans la vie quotidienne. Il veut juste vivre le moment présent.

– Le trait du haut est long : la personne veut tout prévoir pour éviter l’imprévisible !

– Le trait supérieur va vers le haut : la personne est optimiste et ambitieuse.

– Le trait du haut en forme de coupole : la personne ne s’en fait pas quoiqu’il arrive.

– Le trait du haut ne touche pas le reste du chiffre : la personne préfère attendre avant de voir.

– La courbe du bas est très recourbée sur elle-même : la personne évalue les éléments selon ses désirs personnels.

– Le 5 en zigzag : la personne est vive dans ses réactions et très hardie.

– Le 5 dont les traits sont souples : la personne vit en harmonie et sait s’adapter comme un caméléon.

Le 6 : la maturité

Les personnes qui privilégient le chiffre « 6 » « est à la hauteur de toutes les situations, surtout des responsabilités imprévues » indique Nicole Bédart.

– Le trait perpendiculaire est court : la personne ne prend pas beaucoup d’initiatives, elle est plutôt dans l’exécution que dans l’action.

– Le trait perpendiculaire est long : la personne est pleinement autonome.

– Le trait perpendiculaire est très recourbé au début : la personne ne sait pas dire « non » et se retrouve souvent débordée.

– Le trait perpendiculaire est rigide à sa base : la personne fonctionne d’après ses propres exigences.

– La boucle du 6 n’est pas fermée : la personne fatigue vite, surtout devant les responsabilités.

Le 7 : l’imagination

« Si le chiffre 7 est votre élu, il vous est facile de vous créer une vie à votre image » explique Nicole Bédard dans son livre « Que dit la forme de vos chiffres ? »

– Le trait supérieur court : la personne refuse de regarder droit devant, elle veut contrôler sinon elle ne voit pas plus loin que le bout de son nez.

– Le trait supérieur long : la personne possède une vision à long terme.

– Le trait supérieur en forme de coupole : la personne a une imagination fertile et dispose d’une grande ouverture d’esprit.

– Le trait supérieur fait une boucle : la personne a une grande souplesse d’esprit et est très perspicace.

– Le trait supérieur pointe vers le haut : la personne a une grande imagination, parfois très excentrique.

– Le 7 traversé par un trait horizontal : la personne n’a pas confiance en elle, elle nie ses aptitudes créatives et a besoin d’autre personne pour croire en elle.

– Le 7 en zigzag : la personne a un grand désir de créativité, elle veut refaire le monde.

Le 8 : la façon de voir l’argent

Ceux qui portent un grand intérêt à ce chiffre sont soumis aux pouvoirs de l’argent.

– Les deux cercles d’égales proportions : la personne sait gérer ses dépenses.

– Le cercle du haut plus gros : ses avoirs financiers servent surtout à des intérêts intellectuels.

– Le cercle du bas plus gros : l’argent est utilisé pour des investissements matériels, la personne recherche le confort et le luxe.

– Les deux cercles ne se touchent pas : la personne a une attitude instable face à l’argent

– Le 8 allongé : la personne aime prendre son temps avant d’investir.

– Le cercle du haut n’est pas fermé : la personne est inquiète sur le plan financier.

– Le trait du haut est une ligne horizontale : la personne n’aime pas parler d’argent, elle reste secrète.

Le 9 : la gestion des sentiments

« Le chiffre 9 est l’un de ceux qui nous informent sur notre manière de gérer notre stress » explique Nicole Bédard.

Les personnes qui le préfèrent sont de nature sensible et émotive.

– Le cercle en forme de tourbillon : la personne est inquiète, elle a du mal à faire le point sur ses pensées.

– Le cercle est très ouvert : la personne est comme un livre ouvert, elle est vulnérable et peut manquer de discernement personnel.

– Le cercle recourbé vers l’intérieur : la personne a des sentiments refoulés, elle doute d’elle.

– Le 9 en forme de S : la personne est à fleur de peau, ses réactions sont vives et instantanées.

– Le trait perpendiculaire court : la personne est tout le temps dans ses pensées, elle n’arrive pas à exprimer ce qu’elle ressent et laisse les autres la guider.

– Le trait perpendiculaire long : la personne assume les situations qui la rendent émotive, elle sait évaluer ce qui se passe.

– Le trait perpendiculaire est courbé : la personne est influençable et risque d’être souvent déçue.

– Le 9 dont le trait perpendiculaire se termine en V : la personne est conditionnée par une situation du passé.

Pour tout savoir sur la forme de vos chiffres, lisez Que dit la forme de vos chiffres ? de Nicole Bédard aux éditions Grancher, 2014.

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Chine Il marche 30 km chaque jour pour amener son fils à l’école


Il y a des avantages que des médias publient sur Internet certaine nouvelle, certaines histoires vécues. Cet enfant qui grâce à son père puisse aller à l’école est une des preuves que cela peut changer positivement la vie
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Chine

Il marche 30 km chaque jour pour amener son fils à l’école

 

Il marche 30 km chaque jour pour amener son fils à l'école

Crédit photo : gracieuseté, Daily Mail

Le père d’un jeune garçon handicapé chinois marche une trentaine de kilomètres, chaque jour, pour que son fils puisse aller à l’école. Après plusieurs années, il obtiendra finalement une subvention du gouvernement pour trouver un logement plus près de l’école.

Comme le rapporte le Daily Mail, le jeune Xiao Qiang, 12 ans, a les deux bras et les jambes sont tordues et son dos est voûté.

«Je sais que mon fils est handicapé physiquement, mais il n’y a rien qui ne fonctionne pas avec son cerveau, a-t-il raconté. Toutefois, je ne pouvais pas trouver d’école avec l’équipement pour s’occuper de lui.»


(Crédit photo: gracieuseté, Daily Mail)

Après de nombreux rejets et de longues recherches, le père a finalement trouvé une école à quelques kilomètres de la maison, mais sans service de transport.

Pour Yu Xukang, il n’était pas question que son fils ne puisse pas étudier parce qu’il ne peut pas marcher jusqu’à son établissement scolaire qui se trouve à 8 km de la maison familiale.

Chaque matin depuis septembre dernier, il transporte son garçon jusqu’à l’école et fait le chemin inverse pour revenir travailler. à la fin de la journée, il retourne le chercher pour le ramener au bercail.

Après que des médias locaux aient mis au jour cette histoire, le gouvernement a décidé de trouver un loyer plus près de l’école pour le père et son fils.

L’école a aussi décidé de s’adapter pour réduire la charge du père.

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Cette femme a épousé son chien !


J’avoue ne pas comprendre ce genre de raisonnement. J’aime bien les animaux, mais de là a faire une cérémonie, même sachant que le mariage ne sera pas reconnu juridiquement, c’est carrément exagéré. Je crois qu’on peut montrer aussi bien, sinon mieux notre affection, simplement en leur donnant du temps, avoir un toit accueillant qu’aller a un mariage entre l’être humain et l’animal. Pis cela me fait rire, quand elle dit que ce n’est pas un mariage forcé …
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Cette femme a épousé son chien !

 

Par Sophie Le Roux

Crédits photo : Medavia

Amanda Rodgers, une Britannique âgée de 47 ans, est une femme comblée. Ce qui fait d’elle la plus heureuse des femmes ? Son récent mariage ! Mais ce n’est pas un homme, ni une femme, qu’elle a épousé. Non, c’est avec son chien qu’elle s’est mariée !

Elle dit oui à son chien devant 200 personnes

Quelque 200 personnes ont assisté à la cérémonie qui a unit Amanda et son Fox-Terrier Sheba pour la vie. C’était en août 2012, à Split, en Croatie

« Sheba est dans ma vie depuis des années, elle me faire rire et me réconforte quand je me sens faible. Je n’ai besoin de rien de plus de la part d’un partenaire de vie«  confie celle qui a épousé un homme voilà 20 ans, pour divorcer seulement quelques mois plus tard et enchaîner les déceptions amoureuses.

Rassurez-vous, il ne s’agit pas d’un mariage forcé, Sheba a eu son mot à dire !

« Je me suis mis à genoux et j’ai fait ma demande. J’ai compris grâce à sa queue qui remuait qu’elle disait oui«  raconte la quadragénaire londonienne.

« Je lui ai donné un baiser pour sceller l’affaire »

La petite chienne a même eu le droit à sa robe de mariée blanche, tandis qu’Amanda a préféré une tenue plus sexy : une très courte robe noire qu’elle portait avec des porte-jarretelles.

« Je rêvais d’une robe de mariage parfaite depuis que je suis petite, je l’ai faite moi-même pour la cérémonie. Je lui ai donné un baiser pour sceller l’affaire et puis tout le monde a jeté des confettis.Ce fut un moment merveilleux«  explique-t-elle avec émotion.

Et d’ajouter : « Je sais que mon mariage avec Sheba n’est pas réel au sens juridique. mais c’était une belle façon de montrer ce que Sheba signifie pour moi. Sheba n’est jamais méchante avec moi, et elle est toujours heureuse »

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Un petit tyrannosaure vivait en Alaska il y a 70 millions d’années


Encore une nouvelle espèce de dinosaure, cette fois-ci, c’est de la famille des tyrannosaures. Le tyrannosaure est un des dinosaures, je crois, le plus connu, grâce à son physique particulier. Mais celui découvert en Alaska, est particulier, car il est est un tyrannosaure pygmée … enfin de hauteur d’homme
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Un petit tyrannosaure vivait en Alaska il y a 70 millions d’années

 

Le nom du nouveau dinosaure Nanuqsaurus hoglundi provient du mot... (Archives PC)

Le nom du nouveau dinosaure Nanuqsaurus hoglundi provient du mot inuit pour ours polaire Nanook et du nom du magnat américain du gaz naturel, Forrest Hoglund qui a aidé à financer le musée d’histoire naturel texan où les restes fossilisés de ce dinosaure sont exposés.

ARCHIVES PC

Agence France-Presse
Washington

La découverte en Alaska de morceaux de crâne et de mâchoire fossilisés datant de 70 millions d’années a permis de révéler une nouvelle espèce de tyrannosaure relativement petit, témoignant de la diversité de ces dinosaures sur le continent nord-américain.

Ce dinosaure baptisé Nanuqsaurus hoglundi, était de la taille d’un homme moderne et deux fois plus petit que son proche cousin le tyrannosaurus rex ou T. rex.

Son crâne mesurait 64 centimètres de long, contre plus de 1,5 m pour le T. rex, précisent les paléontologues dont la découverte est publiée mercredi dans la revue scientifique américaine PLOS ONE.

Nanuqsaurus hoglundi vivait en Alaska à l’époque du Crétacé (-140 à -65 millions d’années) quand le climat était plus chaud qu’aujourd’hui mais aussi marqué par des saisons extrêmes et de longs mois d’obscurité en raison de la latitude de la région où il était.

Selon les auteurs, la plus petite taille de ce T. rex par rapport à la plupart des autres dinosaures de la famille des tyrannosaures qui évoluaient à des latitudes plus basses pourrait ainsi expliquer son adaptation à la variabilité des ressources alimentaires dans les saisons marquées de l’Arctique.

Son plus petit gabarit devait requérir moins de nourriture et ses yeux plus grands lui permettaient de repérer ses proies malgré la faible luminosité en hiver.

«Ce tyrannosaure pygmée est vraiment intéressant car il nous  informe sur l’environnement qui existait dans l’Arctique ancien», relève Anthony Fiorillo, du Musée Perot de la Nature et de la Science au Texas, co-auteur de cette découverte.

«Mais ce qui est encore plus captivant avec cette découverte, c’est que le Nanuqsaurus hoglundi nous relève les richesses biologiques du monde polaire de cette époque quand la Terre était beaucoup plus chaude qu’aujourd’hui», ajoute-t-il.

Bien que les fossiles du Nanuqsaurus hoglundi retrouvés dans la formation géologique de Prince Creek dans le Nord de l’Alaska ne sont que des fragments, ils fournissent des indices morphologiques clé permettant de situer ce dinosaure dans la famille des tyrannosaures, expliquent ces chercheurs.

Selon eux, cette découverte apporterait un nouvel éclairage sur l’adaptabilité et l’évolution des tyrannosaures dans différents écosystèmes.

La diversification de ces dinosaures peut aussi s’expliquer par leur isolation partielle dans le nord par des barrières naturelles comme la chaîne de montagnes Brooks qui coupe l’Alaska d’Est en Ouest, notent ces scientifiques.

Le nom du nouveau dinosaure Nanuqsaurus hoglundi provient du mot inuit pour ours polaire Nanook et du nom du magnat américain du gaz naturel, Forrest Hoglund qui a aidé à financer le musée d’histoire naturel texan où les restes fossilisés de ce dinosaure sont exposés.

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Le sauvetage de Sandy, un chien souffrant d’une grave malformation des pattes


Aussi triste que cela peut paraitre, c’est probablement grâce a sa malformation très marquée qui lui a permis d’avoir une seconde chance pour vivre une vraie vie de chien
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Le sauvetage de Sandy, un chien souffrant d’une grave malformation des pattes

 

Par Sophie Le Roux

Crédits photo : Pat Clark

Sandy, c’est le nom d’un chien âgé de 10 mois, et dont la vie a bien mal commencé. Mais suivi par une bonne étoile, il a eu la chance de se voir offrir une seconde chance par un véritable ange gardien.

Né en Grèce, à Corfu, ce beau chien blanc, un croisé Berger allemand, souffre d’une grave malformation des pattes avant. Le pauvre Sandy pouvait à peine se déplacer. Mais sa vie a changé grâce à Pat Clark, qui dirige l’association Mutts in Distress dans l’Hertfordshire en Angleterre.

« Je devais le ramener ici »

Celle-ci a décidé de tout mettre en oeuvre pour l’aider lorsque ses contacts travaillant dans un sanctuaire de Corfu lui ont parlé de lui et lui ont envoyé des photos.

« J’ai vu une photo de lui et j’ai su que je devais le ramener ici«  raconte-t-elle.

Elle a alors lancé un appel aux dons afin de rapatrier le chien en Angleterre et financer les opérations dont il avait besoin pour retrouver l’usage de ses pattes complètement tordues.


Sandy avant et après ses opérations

En route pour une nouvelle vie

Très vite, l’histoire de Sandy a fait le tour du monde et les dons ont afflué. Touchés par le sort du chien, dont la malformation est certainement due à un problème de malnutrition, des vétérinaires du Beehive Centre de Cambridge ont généreusement proposé de l’opérer gratuitement.

Après deux interventions visant à redresser ses pattes, Sandy a enfin pu faire ses premiers pas il y a quelques jours. C’est aux côtés de sa nouvelle maîtresse, car Pat a décidé de l’adopter, que le chien va pouvoir réapprendre à marcher et mener la belle existence qu’il mérite.

Toutefois, Sandy n’en a pas fini avec les visites chez le vétérinaire. En plus des séances de rééducation dont il a besoin pour pouvoir marcher et courir, il devrait prochainement subir une nouvelle chirurgie, oculaire cette fois, car le jeune chien est aussi malvoyant…


Sandy et Pat en balade

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Des éléphants à l’ouïe fine


Wowww, c’est quand même étonnant que des animaux, comme l’éléphant serait capable de distinguer par la voix qui est une menace pour eux et qui ne l’est pas
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Des éléphants à l’ouïe fine

 

Un éléphant d'Afrique 

Photo :  iStockphoto

En entendant une voix humaine, un éléphant serait capable d’estimer si la personne qui parle présente une menace pour lui grâce à des indices comme son âge, son genre et son ethnie.

Des chercheurs de l’Université du Sussex et du Fonds Amboseli pour les éléphants en sont venus à cette conclusion après avoir noté les réactions d’éléphants sauvages du Kenya exposés à certaines voix humaines.

Les résultats de l’étude démontrent que les éléphants pouvaient sans problème faire une distinction entre deux groupes ethniques. Les chercheurs ont ainsi remarqué que les animaux avaient tendance à se regrouper dans une position défensive lorsqu’ils entendaient les voix de personnes Maasai, une ethnie qui chasse les éléphants depuis des centaines d’années dans l’est de l’Afrique. Les pachydermes étaient beaucoup moins nerveux lorsqu’ils entendaient les voix d’autres groupes.

De plus, ces réactions défensives étaient reliées au sexe et à l’âge des personnes Maasai dont les éléphants entendaient les voix. Les femmes et les jeunes garçons semblaient moins apeurer les éléphants, car ils réagissaient moins fortement à leurs voix.

Selon les chercheurs, c’est la première fois que l’on obtient la preuve que les éléphants peuvent distinguer les voix humaines. Ils croient que d’autres animaux victimes de la chasse auraient pu développer cette habileté.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans les Proceedings of the National Academy of Sciences.

http://ici.radio-canada.ca/