Les enfants comprennent vite le pouvoir de la carte de crédit, mais ne savent pas encore … les conséquences
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Carte de crédit
Maman, il me faut une carte de crédit pour acheter mes trucs
Vincent 4 ans, Dégelis
Les enfants comprennent vite le pouvoir de la carte de crédit, mais ne savent pas encore … les conséquences
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Carte de crédit
Maman, il me faut une carte de crédit pour acheter mes trucs
Vincent 4 ans, Dégelis
Voilà un chien qui donne une grande leçon aux humains. Malgré les obstacles que ce chien a rencontrés, il a su les surmonter et vivre comme n’importe quel chien.
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CANADA – Un sympathique boxer à deux pattes vivant dans un refuge a découvert la mer pour la première fois ce week-end. Sa course sur le sable montre avec quelle vivacité et quel enthousiasme ce chien amputé se déplace, malgré son handicap.
Quelle joie de vivre ! En allant pour la première fois à la plage ce week-end à Vancouver au Canada, le jeune chien Duncan Lou Who a couru comme un fou dans tous les sens. Rien de plus normal, si ce n’est que ce boxer n’est pas un chien comme les autres : il n’a que… deux pattes.
Il refuse le fauteuil roulant
Pris en charge par un refuge pour animaux, le Panda Paws Rescue, Duncan a été amputé des pattes arrière à cause d’une malformation. Sa force de caractère – il a enduré plusieurs séances de rééducation – lui a valu plusieurs reportages dans les médias.
Duncan Lou Who peut aussi utiliser un fauteuil roulant adapté à son handicap mais qu’il n’aime pas du tout. Il a donc appris à tenir uniquement sur ses deux pattes.
« Il représentera la lumière dans les heures les plus sombres pour beaucoup d’entre nous, avait confié il y a quelques mois la directrice du refuge. Car il est la définition-même de la vie ».
Pour un visiteur penser a la France, tout de suite, on parle de Paris, du musée de Louvre, les Champs-Élysées et bien sûr, la Tour Eiffel. Que serait Paris pour les tourismes sans la Tour Eiffel ?
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La Tour Eiffel : 125 bougies pour la Dame de fer !
Les quatre piliers de la tour Eiffel, ici en juillet 1887. La construction débuta le 28 janvier de la même année. Crédits photo : Rue des Archives/Rue des Archives/Tallandier
Née à l’occasion de l’exposition universelle de 1889, la plus célèbre tour du monde fête son anniversaire le 31 mars. Retour sur les moments phares de cet édifice mythique qui a tout connu, et sur son incroyable construction.La Tour Eiffel : 125 bougies pour la Dame de fer !
Lundi, la vénérable Dame de fer fêtera ses 125 ans. Imaginée par Gustave Eiffel (1832-1923), la Tour Eiffel qui fait désormais la fierté des parisiens a tout connu: des nuages de pollution qui la recouvre les jours où le seuil d’alerte aux particules fines est maximal, à l’arrivée du Tour de France, en passant par les 7 millions de touristes qui la visitent chaque année.
Qui eut cru que la famille royale d’Angleterre fasse partie de ses premiers invités, sans oublier Buffalo Bill, le fameux chasseur de bisons, de passage à Paris avec son cirque? Quatrième site le plus visité de France, le symbole de la France d’une hauteur de 324 mètres en a également vu de toutes les couleurs: d’abord rouge, puis jaune, bleue et enfin marron mordoré, comme à l’heure actuelle.
Sa construction est également entrée dans la légende. Les premières pièces métalliques de la Tour Eiffel ont été posées le 1er juillet 1887 pour offrir ce que la technologie humaine a de plus impressionnant. Le 31 mars 1889, soient 21 mois et 7300 tonnes de fer plus tard, naît l’un des monuments les plus prestigieux et fameux du monde. Une vitesse record si l’on songe aux moyens rudimentaires de l’époque. Le chantier a nécessité le travail de 50 ingénieurs et dessinateurs, 150 ouvriers dans l’usine de Levallois-Perret (où les pièces ont été préparées) et entre 150 et 300 ouvriers sur le chantier. Depuis sa création, près de 250 millions de visiteurs sont venus de tous les coins de la planète la découvrir.
Œuvre emblématique de Paris, la tour de 324 mètres qui borde la Seine doit bien sûr son nom à l’entrepreneur qui assuma, seul, les risques de sa mise en œuvre, Gustave Eiffel. Initialement prévue pour ne durer que vingt ans, elle fut sauvée par les expériences scientifiques de son créateur. Ce dernier favorisa les premières transmissions radiographiques, puis de télécommunication: signaux radio de la Tour au Panthéon en 1898, poste radio militaire en 1903, première émission de radio publique en 1925, puis la télévision jusqu’à la TNT plus récemment.
«Au fil des décennies, la tour Eiffel a connu des exploits, des illuminations extraordinaires, des visiteurs prestigieux. Site mythique, audacieux, elle a toujours inspiré les artistes, les défis», peut-on lire sur le site officiel qui lui est dédié.
État des travaux au 7 decembre 1887. Crédits photo : Rue des Archives/Rue des Archives/Tallandier
État des travaux en fevrier 1888. Crédits photo : Rue des Archives/Rue des Archives/Tallandier
Juillet 1888. Crédits photo : Rue des Archives/Rue des Archives/Tallandier
Fin décembre 1888, le 2e niveau est atteint. Crédits photo : Rue des Archives/Rue des Archives/Tallandier
Phare électrique de la Tour Eiffel c.onstruit en 1889 par l’ingénieur français Sebillot et Jules Bourdais. Crédits photo : Rue des Archives/©Rue des Archives/PVDE
Les travaux sont achevés le 31 mars 1889 pour l’ Exposition Universelle de Paris de 1889. Crédits photo : Rue des Archives/©Rue des Archives/RDA
La Tour Eiffel aujourd’hui. Crédits photo : Rue des Archives/Imago/Rue des Archives
Les animaux de compagnie ont des effets très bénéfiques chez adultes comme chez les enfants. Il y a plusieurs exemples qu’on voit de temps a autre comme pour les gens malades, les enfants en troubles d’apprentissage, le système immunitaire, etc…
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Crédits photo : Yvonne09 – Flickr
Les amoureux des animaux seront ravis d’apprendre que leurs compagnons à 4 pattes ont un impact très positif sur la santé.
C’est du moins ce que tendent à prouver plusieurs études récemment menées par l’Observatoire International des Bien-être(s), l’Université de Cambridge, ou encore l’Inserm (Institut national de la santé et de la recherche médicale).
Une présence bénéfique pour tous
Ces différentes études, réalisées dans plusieurs pays européens, parviennent toutes au même constat : la présence d’un animal à la maison est bénéfique pour les enfants comme pour les adultes. Si les chiens sont particulièrement prisés par les familles avec enfants, les chats eux, sont aussi appréciés des couples que des célibataires, des jeunes que des retraités.
Un sondage a été réalisé et 68% des personnes interrogées ont déclaré qu’un animal de compagnie était à leurs yeux une source de bonheur, rapporte le site Côté Maison. Parmi elles, celles qui ont un compagnon à 4 pattes sont unanimes : prendre soin de leur animal leur procure un véritable bien-être.
Cet épanouissement n’est pas de même nature pour les adultes et pour les enfants. Pour les premiers, la présence d’un animal à leurs côtés représente un moyen de lutter contre la solitude, de conserver un mode de vie sain et rythmé, mais aussi de faire de nouvelles rencontres.
De nombreux bienfaits pour les enfants…
Chez les enfants, l’animal de compagnie joue plusieurs rôles. Il contribue à leur développement en se faisant à la fois confident, complice, élément de sécurité, d’apaisement et de stabilité.
Mais en plus de ces bienfaits psychologiques, nos amis à 4 pattes sont bons pour la santé de nos bambins ! Ils permettraient en effet aux enfants de voir leur système immunitaire se développer plus vite.
Les enfants vivant avec un animal auraient ainsi 30% moins de risques de souffrir d’infections respiratoires, et seraient également moins touchés par les infections de l’oreille tels que l’otite. Ils auraient en outre moins besoin de traitements antibiotiques que les autres enfants.
… comme pour les personnes âgées
Le rôle très positif que peuvent jouer les animaux sur les personnes âgées, aussi bien sur leur santé psychologique que physique n’est lui non plus plus à prouver. C’est la raison pour laquelle la présence de chats et de chiens est de plus en plus sollicitée dans les maisons de retraite comme dans les hôpitaux.
Comment peut-on trafiquer des enfants ? Qu’arrivera-t-il a ses enfants et pourquoi ? La famille était consentante ? Sont-ils des enfants enlever à leur parent dans le but des vendre aux USA ?
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Chaque année quelque 140 000 migrants, pour la plupart originaires d’Amérique centrale, traversent le Mexique pour rejoindre les États-Unis.
PHOTO MARK RALSTON, ARCHIVES AFP
Agence France-Presse
MEXICO
Les autorités mexicaines ont annoncé samedi qu’elles avaient trouvé plus de 370 enfants abandonnés par des trafiquants qui essayaient d’entrer aux États-Unis.
L’Institut National des Migrations (INM) a précisé qu’un très grand nombre d’enfants de différents pays d’Amérique Centrale avaient été découverts trouvés au cours d’une seule semaine du mois de mars.
Ces chiffres incluent 163 enfants abandonnés parce qu’ils ne voyageaient pas avec un adulte de leur famille ou un adulte proche, ajoute l’INM.
Dans plusieurs cas, les enfants ont été abandonnés à des points de passage dangereux ou difficiles par des guides qui avaient été payés de 3000 à 5000 dollars, souligne le communiqué de l’INM.
Les enfants ont été trouvés entre le 17 et le 24 mars dans 14 États, indique l’INM qui ne fournit aucune précision sur leur âge ou sur leur nationalité.
«Les enfants montraient des signes de fatigue extrême, avaient des blessures aux pieds, souffraient de déshydratation, étaient déboussolés et ne savaient plus où ils avaient été abandonnés», précise l’INM.
Les autorités ont pu arrêter neuf trafiquants soupçonnés d’être en lien ces affaires d’abandon.
L’INM souligne par ailleurs que le nombre d’enfants migrants voyageant seuls à travers le Mexique «a considérablement augmenté» au cours de ces derniers mois.
Chaque année quelque 140 000 migrants, pour la plupart originaires d’Amérique centrale, traversent le Mexique pour rejoindre les États-Unis.
Les migrants sont souvent la cible de bandes criminelles, sont l’objet de vols, de tentatives d’extorsion, de viol, d’enlèvement et même de meurtre.
Avec le projet de Mars One pour aller coloniser la planète Mars, cherchent à résoudre certains problèmes de santé qu’éprouvent les astronautes pendant un long séjour dans l’espace. Le positif de ce genre d’étude est que cela pourra être profitable pour la médecine sur Terre
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La Station spatiale internationale.
PHOTO ARCHIVES NASA
Agence France-Presse
WASHINGTON
Le coeur des astronautes s’arrondit quand ils font un long séjour dans l’espace, ce qui pourrait entraîner des problèmes cardiaques, révèle une étude dévoilée samedi.
Cette découverte représente un pas important dans la compréhension des effets de la microgravité sur la physiologie cardiaque pendant des périples de 18 mois et davantage dans l’espace, dans la perspective d’une mission habitée vers Mars, expliquent les auteurs de ces travaux, présentés à la conférence annuelle de l’American College of Cardiology à Washington.
«Le coeur ne fait pas autant d’effort dans l’espace, ce qui peut entraîner une perte de masse musculaire», explique le Dr James Thomas, responsable scientifique à la NASA de l’imagerie cardiaque et des ultrasons, et principal auteur de l’étude.
«Cela peut avoir de sérieuses conséquences après le retour des astronautes sur la Terre et nous cherchons des solutions, notamment des exercices pour prévenir ou bloquer ce phénomène», poursuit-il.
Le fait de savoir quels exercices faire et leur fréquence pour maintenir un coeur sain en microgravité va être très important pour garantir la santé des astronautes lors de longs vols spatiaux, comme pour une mission vers Mars, souligne le médecin.
Selon lui, les exercices développés pour les astronautes pourraient aussi aider à maintenir la santé cardiaque de personnes sur terre qui ont d’importants handicaps physiques les gardant immobilisés ou pour celles souffrant de défaillance cardiaque.
Pour cette étude, ces chercheurs ont étudié 12 astronautes de la NASA formés à l’utilisation d’une machine à ultrasons afin de prendre des images de leur coeur quand ils étaient dans la Station spatiale internationale, avant leur séjour dans l’espace et après.
Ces images ont montré que leur coeur s’était arrondi de près de 10 % en apesanteur, une transformation similaire à ce que ces scientifiques avaient prédit avec un modèle mathématique mis au point pour ce projet.
En validant ce modèle de recherche, l’étude pourrait aussi conduire à une meilleure compréhension des pathologies cardiovasculaires sur terre avec des applications cliniques importantes, estiment les chercheurs: «On pourrait prédire comment le coeur réagit soumis à différentes situations de stress», note le Dr Thomas.
La forme plus sphérique prise par le coeur des astronautes dans l’espace disparaît rapidement peu après leur retour sur terre, indiquent les chercheurs. Cette déformation du coeur en microgravité pourrait signifier qu’il fonctionne moins efficacement, mais les effets durables de ce phénomène sur la santé cardiaque restent inconnus, relèvent-ils.
Les vols spatiaux sont connus pour provoquer différents effets sur le coeur. À leur retour à terre, les astronautes ont souvent des étourdissements ou s’évanouissent en raison d’une chute soudaine de la tension artérielle. Des problèmes d’arythmie ont également été observés durant des séjours dans l’espace et les radiations auxquelles sont exposés les astronautes pourraient aussi accélérer l’athérosclérose, notent ces scientifiques.
Un insecte que je trouve vraiment beau est le spasme, il faut avoir l’oeil aiguisé pour faire la différence entre une feuille et l’insecte qui peuvent qui sont des as en mimétisme. Le mimétisme est une stratégie adaptative d’imitation. Cela permet par exemple à une espèce d’échapper à d’éventuels prédateurs
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Pour survivre, les phasmes se fondent dans l’environnement en imitant des brindilles, des feuilles ou des lichens. Ce groupe d’insectes sait le faire depuis longtemps. © C.Ar Photography, Flickr, cc by nc 2.0
Depuis quand les phasmes pratiquent-ils le mimétisme ? Alors qu’on croyait jusqu’ici que cette propriété était née avec l’apparition des plantes à fleurs, des chercheurs viennent de découvrir un fossile de phasme datant du Crétacé inférieur.
Les phasmes sont des insectes connus pour leurs extraordinaires capacités mimétiques. Leur morphologie et leur comportement leur permettent en effet de duper les prédateurs en imitant des branches, des feuilles ou des écorces, essentiellement de plantes à fleurs. Cependant, dans le registre fossile, les espèces attribuables avec certitude au groupe des phasmes sont très rares. Jusqu’à présent, celles identifiées comme telles et datant d’avant la diversification des plantes à fleurs ne présentaient aucune adaptation mimétique.
Une équipe internationale constituée de scientifiques du CNRS vient de prouver le contraire. Elle vient de démontrer que les phasmes avaient développé la capacité d’imiter les plantes de leur environnement dès le Crétacé inférieur. Cette découverte, fondée sur l’étude d’une nouvelle espèce d’insecte fossile trouvée en Chine, est publiée dans la revue Plos One.
Le mimétisme fossilisé : à gauche, Cretophasmomima melanogramma et à droite une feuille de Membranifolia admirabilis. © MNHN/ O. Béthoux et F. Jacques
Des phasmes avant les plantes à fleurs
Trois spécimens appartenant à une nouvelle espèce fossile dénommée Cretophasmomima melanogramma ont été découverts dans le célèbre gisement de Jehol, des terrains chinois datant du Crétacé inférieur. Grâce à l’identification sur ces spécimens d’épaulettes qui recouvrent la base des ailes postérieures au repos, les chercheurs ont démontré avec certitude que cette espèce appartient au groupe des phasmes.
En outre, ils ont également établi que C. melanogramma présentait un patron de coloration particulier des ailes, composé d’étroites bandes longitudinales sombres. Ce caractère, propre à l’espèce, suggère que la feuille de Membranifolia admirabilis, provenant du même gisement et présentant des bandes sombres similaires, devait être utilisée par C. melanogramma comme modèle pour se dissimuler.
Cette découverte démontre que l’imitation de parties de plantes a débuté très tôt chez les phasmes, bien avant la diversification des plantes à fleurs. La diversification d’oiseaux et de mammifères arboricoles insectivores à cette période a pu déclencher l’acquisition de ce type de défense primaire.
Il semble qu’être trop mince est beaucoup plus dangereux pour la santé qu’avoir un surpoids. Quoiqu’il est mieux de trouver un équilibre santé. Il semble aussi que la minceur pourrait être reliée à différents problèmes d’addiction
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Photo : iStockPhoto
Être trop mince est autant, sinon plus dangereux pour la santé qu’être trop gros, avertit une
équipe de chercheurs de l’hôpital St.Michael’s.
Selon le Dr Joel Ray, il existe un lien entre un poids trop faible et une hausse du risque de mort prématurée, que ce soit chez les adultes ou les nouveau-nés. Il va jusqu’à dire que les personnes obèses ont de fortes chances de vivre plus longtemps que celles dont le poids est insuffisant.
L’étude, publiée dans le Journal of Epidemiology and Public Health, révèle que les personnes dont l’indice de masse corporelle (IMC) se situe sous la barre des 18,5 sont 1,8 fois plus susceptibles de mourir prématurément que ceux ayant un IMC « normal » de 18,5 à 24,9.
Chez les personnes obèses, ce risque est 1,2 plus élevé, tandis que celles souffrant d’obésité sévère sont 1,3 fois plus à risque.
Le plus souvent, la malnutrition, la toxicomanie, l’alcoolisme, le tabagisme et la pauvreté sont liés à un poids insuffisant, tout comme les problèmes de santé mentale ou d’hygiène personnelle.
Comme l’IMC ne prend pas en compte la masse musculaire, le Dr Ray suggère cependant de le remplacer par une mesure du tour de taille, plus fidèle à la réalité.
Un tour de taille « à risque » commence à 102 cm pour les hommes et 88 cm pour les femmes.
Le saviez-vous?
L’IMC se calcule en divisant le poids (en kg) par la taille (en m) au carré. Il est utilisé afin de déterminer les risques associés à un poids trop ou pas assez élevé.