La porte fermée


C’est probablement le gros problème quand tout va mal, que des évènements difficiles surviennent, nous contemplons la difficulté sans voir les le moyens possible de passer au travers
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La porte fermée

 

 

« Lorsqu’une porte se ferme, il y en a une qui s’ouvre. Malheureusement, nous perdons tellement de temps à contempler la porte fermée, que nous ne voyons pas celle qui vient de s’ouvrir. »

Alexander Graham Bell

Quand un chaton découvre sa nouvelle maison


Les chats se ressemblent quand ils arrivent dans une nouvelle maison pour y vivre. Il commence timidement par sentir et faire une première exploration
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Quand un chaton découvre sa nouvelle maison

 

Par Sophie Le Roux
Crédits photo : Youtube – Sho Ko

Kodi a célébré il y a peu son deuxième anniversaire. L’occasion de revenir en arrière et de découvrir le chat lorsqu’il était encore un bébé, lorsqu’il a quitté le refuge, est arrivé dans sa nouvelle maison, a découvert son environnement et a commencé à faire connaissance avec celui qui est bien vite devenu son meilleur ami à 2 pattes.

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Le Saviez-Vous► Quelques petites douceurs qui sont de véritables poisons


La culture de la canne à sucre il y a environs milles ans, a eu des répercussions que nous connaissons aujourd’hui. Voilà, un petit aperçu de certaines douceurs et quelque mots sur leur histoire
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Quelques petites douceurs qui sont de véritables poisons

 

Tout a commencé en Nouvelle-Guinée, où la canne à sucre a été cultivée il y a près de 1 000 ans. Les habitants mordaient à pleines dents dans un morceau de canne qu’ils mâchaient jusqu’à éprouver une délicieuse sensation sucrée dans leur palais.

Vers l’an 500, on retrouve le sucre en Inde, sous forme de poudre. Et cent ans plus tard, il se faufile en Perse. Aujourd’hui, le sucre règne en maître dans les supermarchés et le bilan est catastrophique : obésité, diabète, hypertension, maladies cardio-vasculaires…

Photographies de Robert Clark

L’ancêtre du doughnut

L’olykoek, beignet hollandais du XVIe siècle, est l’ancêtre du doughnut. Le trou est apparu plus tard.

Fous de soda

La découverte, au XVIIIe siècle, du procédé permettant d’obtenir de l’eau gazeuse grâce à l’injection de gaz carbonique favorisa l’apparition des sodas (comme ceux de la photo, vus du dessus, dans leur verre). Aujourd’hui, une cannette de cola de 33 cl contient environ 33 g de sucre.

Fils de sucre

On n’est jamais si bien servi que par soi-même : c’est un dentiste qui co-inventa la machine à barbe à papa. Ce produit si prisé dans les fêtes foraines n’est rien d’autre que du sucre coloré. Son prédécesseur, le sucre filé, se vendait sous la forme de véritables œuvres d’art dans la Venise du XVe siècle : animaux, oiseaux et édifices en sucre faisaient la joie des invités.

Céréales killers

Français consomme en moyenne 2 kg de céréales par an au petit déjeuner. Les produits pour enfants sont les plus sucrés : plus de 9 g de sucres pour un bol de 30 g de céréales chocolatées ou miel-caramel contre 6 g de sucres pour un bol de muesli, par exemple.

Maudit sirop

Le sirop de maïs à haute teneur en fructose inonde le marché des aliments industriels américains. Surnommée « la putain de l’industrie sucrière » par Sally Squires, ancienne journaliste du Washington Post, cette substance est moins chère et souvent plus sucrée que le saccharose. Est-elle biologiquement différente ?

«Pas assez pour s’en inquiéter, note Marion Nestle, professeur de diététique à l’université de New-York. Chacun se porterait mieux s’il consommait moins des deux. » 

Couleur bonbon

En 2011, chaque Français a consommé en moyenne 3,5 kg de confiseries. Parmi elles, le bonbon, autrefois réservé aux privilégiés, est devenu un produit ordinaire grâce à la chute des cours du sucre et à la production de masse du XIXe siècle. Le mot anglais candy (« bonbon ») vient de l’arabe qandi (« préparation sucrée »).

Cupcake roi

La recette de ce petit gâteau est décrite pour la première fois dans un livre de cuisine américain en 1826, d’après Andrew Smith, historien de l’alimentation. Mais c’est depuis l’an 2000 et son apparition dans la série télévisée Sex and the City que le cupcake est devenu à la mode. Si les États-Unis ont fait du 15 décembre la journée nationale du cupcake, la France n’est pas en reste, avec l’ouverture de plusieurs boutiques spécialisées dans ce dessert au glaçage très sucré. 

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En finir avec les verrues !


Je crois, que pour certaines personnes, les verrues apparaissent pendant une partie de leur vie pour disparaitre a jamais. D’autres sont plus sensibles à être contaminés étant porteur. Il existe différentes façons de s’en débarrasser
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En finir avec les verrues !

 

Les verrues sont fréquentes, inesthétiques et parfois douloureuses. Ne les laissez pas vous empoisonner la vie. Gels, pommades, azote, laser ou remèdes de grand-mère, voici comment les éviter ou s’en débarrasser, vite !

Verrues : gels et pommades, efficaces ?

verrues

Pour se débarrasser des verrues, il existe de nombreux produits vendus en pharmacie : pommades, gels à appliquer au pinceau, pansements enduits d’un produit spécifique.

« Il s’agit de produits à base d’acide salicylique ou lactique. Leur but est de ramollir la verrue pour qu’elle s’élimine petit à petit », souligne le Dr Fabien Guibal.

« Leur mode d’utilisation est simple : on prend un bain de pieds, on gratte la verrue avec une râpe à cors, on applique le produit, on recouvre d’un pansement, puis on recommence tous les jours jusqu’à disparition « .

Avantage : Ce n’est pas douloureux et c’est le plus efficace.

Inconvénient : C’est long : il faut compter plusieurs semaines avant que la verrue disparaisse.

Verrue : l’azote, solution ultra rapide

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« L’application d’azote se fait chez le dermatologue. Lors de la première séance, on gratte la verrue puis on applique de l’azote liquide à -196°C. A la deuxième séance, 15 jours à 3 semaines plus tard, on recommence l’opération et l’on peut adjoindre un traitement d’action mécanique, comme la pommade à l’acide salicylique, si ce n’est pas suffisant. », explique le Dr Fabien Guibal.

 « Contrairement à ce que l’on pense il ne s’agit pas de brûler la verrue avec du froid, mais de provoquer une inflammation qui va déclencher une réaction du système immunitaire. »

Avantage : c’est plus rapide que les pommades.

Inconvénient : c’est douloureux et les crèmes anesthésiques ne sont pas toujours efficaces car la verrue est épaisse.

Le laser : efficace, mais cher !

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« Lorsque la verrue résiste à tout, il est possible de la détruire au laser. On peut utiliser deux types de lasers : soit un laser au CO2, soit un  laser à colorant pulsé. Le nombre de séances dépend du laser utilisé. Elles se déroulent chez un dermatologue équipé », explique le Dr Fabien Guibal.

Avantage : la technique est rapide.

Inconvénient : « C’est très douloureux surtout pour le laser au CO2. D’autant qu’il ne concerne que des verrues installées depuis longtemps et souvent de localisation plantaire (donc profondes). La marche peut alors être gênée pendant quelques jours après l’opération. Enfin il s’agit d’un geste technique cher

Les trucs maison anti verrues

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Chacun a sa recette contre les verrues : application de suc de chélidoine, d’ail, oignon et citron, ou d’huile essentielle de thé.

« En fait l’effet placebo fait des merveilles en la matière. Si vous placez sur la verrue d’un enfant un décalcomanie avec un dragon en lui disant qu’il va la faire disparaître, elle risque fort de s’évaporer dans les 48 h. Et puis il y a des choses vraiment étonnantes : ce sont les rebouteux qui ont le « don ». A l’hôpital, nous avons un médecin qui le possède. Un jour, elle a fait disparaître toutes les verrues d’une femme qui avait fait une poussée à la suite de la prise d’un médicament », raconte le Dr Fabien Guibal.

Verrues : ne traitez pas immédiatement !

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« Si elle ne fait pas mal, qu’elle ne s’étend pas, qu’elle ne grossit pas, qu’elle ne s’infecte pas, qu’elle n’est pas gênante d’un point de vue esthétique, une verrue peut très bien être laissée telle quelle. On sait que, en l’absence de tout traitement, 60% des verrues disparaissent spontanément en environ 18 mois », note le Dr Fabien Guibal.

Pas d’affolement donc : le premier traitement peut être de prendre son mal en patience ! On ne traite que si elle persiste, notamment pour des raisons esthétiques, limiter l’extension des verrues ou la contamination d’autrui.

Comment ne pas attraper de verrue ?

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« Le plus souvent, on attrape des verrues plantaires par contact avec un sol déjà contaminé par des petites peaux mortes éliminées par l’organisme et porteuses du virus. C’est le cas dans les piscines, les gymnases, mais pas à la plage qui est un milieu salin où les virus ont du mal à survivre », constate le Dr Fabrice Guibal.

Toutefois, la verrue n’est pas si contagieuse qu’on imagine.

« Tout le monde est en contact avec le virus, ce qui compte, c’est l’état du système immunitaire. S’il est efficace, il ne se passera rien. Mais s’il est immature, comme chez les enfants, ou déprimé comme chez certains malades, alors il y aura une contamination. »

Verrues : comment ne pas contaminer les autres ?

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Le plus simple c’est de couvrir la verrue avec un pansement.

« Non seulement cela diminue les risques de contagion, même s’ils ne sont pas très élevés, mais le pansement évite les frottements et donc les douleurs », conseille le Dr Fabien Guibal.

« Si vous avez des petits enfants porteurs de verrues plantaires autour de vous (ils ont dix fois plus de risques que vous d’en attraper), veillez à ce qu’ils ne mélangent pas leurs chaussettes, et qu’ils évitent de marcher pieds nus dans leurs chaussures pour ne pas se recontaminer. »

C’est quoi une verrue ?

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« Une verrue est une infection qui ne touche qu’une partie de la peau : l’épiderme. Cette infection est  toujours due à un virus appartenant à la famille des papillomavirus. Toutefois, le virus est différent selon le type de verrue et sa localisation », explique le Dr Fabien Guibal, dermatologue.

La verrue se présente sous la forme d’une petite excroissance rugueuse à la surface de la peau et n’est pas toujours douloureuse.

« Lorsqu’elle se développe, cette infection pousse vers l’intérieur, c’est ce qui cause la douleur, notamment en cas de verrue plantaire. »

Quels sont les différents types de verrues ?

verrues

Il existe plusieurs types de verrues :

« la verrue vulgaire qui pousse le plus souvent sur les doigts, mais parfois aussi sur les coudes ou les genoux, la verrue plantaire qui se développe sur la plante du pied, la verrue plane qui peut se localiser sur le visage », énumère le Dr Fabien Guibal.

« On pense souvent que le molluscum contagiosum qui est une sorte de petite excroissance en grain de riz est une verrue. Il n’en est rien, même si lui aussi est dû à un virus, et même si lui aussi ne se développe que dans l’épiderme : le virus en cause et le mécanisme de développement et de contagion sont différents de ceux de la verrue. »

Hélène Mendigot, journaliste santé et validé par Dr Fabien Guibal, dermatologue

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Les Amérindiens auraient vécu 10 000 ans dans le détroit de Béring


On sait depuis longtemps que le détroit de Béring a été accessible aux immigrants qui sont venus conquérir le Nouveau-Monde, mais des indices se précisent sur l’endroit où ils ont séjournée pendant des millénaires avant de venir s’installer a travers l’Amérique du Nord
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Les Amérindiens auraient vécu 10 000 ans dans le détroit de Béring

 

 

Le pont de terre qui se trouvait alors... (Photo Nancy Bigelow/University of Alaska, REUTERS)

Le pont de terre qui se trouvait alors à l’endroit où est aujourd’hui la mer des Tchouktches et le détroit de Béring séparant l’Alaska de la Sibérie, ainsi que certaines parties environnantes, n’étaient pas aussi arides que le reste de la Béringie, nom donné à ces territoires désormais immergés, comme on le pensait jusqu’alors.

PHOTO NANCY BIGELOW/UNIVERSITY OF ALASKA, REUTERS

 

JEAN-LOUIS SANTINI
Agence France-Presse
WASHINGTON

Les Amérindiens auraient vécu 10 000 ans dans l’isthme de Béring, aujourd’hui immergé et devenu un détroit, avant d’être les premiers à coloniser les Amériques, selon des analyses de fossiles qui révèlent que cette région avait une végétation propice à la survie de groupes humains.

Cette découverte pourrait éclaircir le mystère de la «disparition», pendant dix mille ans, de toute trace de ces populations, entre le temps où elles se trouvaient en Sibérie et leur arrivée sur le continent américain, expliquent ces chercheurs dont l’étude paraît dans la dernière édition de la revue américaine Science, datée de vendredi.

«Ces travaux comblent un trou de dix millénaires dans l’épopée des peuples du Nouveau Monde», venus d’Asie durant le dernier maximum glaciaire (dont le pic date d’il y a 22 000 ans, NDLR), estime le professeur Scott Elias du département de géographie de l’université Royal Holloway à Londres, un des principaux auteurs.

Les analyses d’ADN mitochondrial, transmis par la mère, prélevé sur des ossements, montrent que les Amérindiens originaires d’Asie ont émergé comme groupe ethnique spécifique il y a un peu plus de 25 000 ans en Sibérie mais ne sont pas arrivés en Amérique avant environ 15 000 ans, précise Dennis O’Rourke, un anthropologue de l’université d’Utah, un autre auteur de l’étude.

Le pont de terre qui se trouvait alors à l’endroit où est aujourd’hui la mer des Tchouktches et le détroit de Béring séparant l’Alaska de la Sibérie, ainsi que certaines parties environnantes, n’étaient pas aussi arides que le reste de la Béringie, nom donné à ces territoires désormais immergés, comme on le pensait jusqu’alors.

Cette partie centrale de la Béringie était recouverte d’arbustes de toundra, la végétation dominante dans l’Alaska arctique, formée de saules nains, de bouleaux et de lichens alors que les glaciers recouvraient le nord-ouest de l’Amérique, le Wyoming, le Wisconsin et l’Ohio à l’est.

Seule région d’arbustes 

«Nous pensons que les ancêtres des Amérindiens ont survécu dans cette toundra sur l’isthme de Béring car c’était alors la seule région de l’Arctique où des arbustes poussaient», explique le professeur Elias.

«Ils avaient besoin de bois pour faire du feu dans cette région extrêmement froide du globe, utilisant les branches de ces arbustes pour démarrer un feu qu’ils recouvraient ensuite avec des os des grands mammifères qu’ils chassaient et qui pouvaient brûler pendant des heures, aidant ces hommes à survivre aux nuits arctiques en hiver», ajoute-t-il.

Ces chercheurs ont fait ces découvertes en analysant des insectes et des plantes fossilisés extraits de carottes de sédiments provenant de la surface du Détroit, à une cinquantaine de mètres au fond de la mer de Béring.

«Les données génétiques et paléoécologiques collent parfaitement», insiste John Hoffecker, un archéologue et paléoécologiste à l’université du Colorado à Boulder, principal auteur de ces travaux.

Il reconnaît que la théorie de ces populations, isolées pendant dix mille ans dans cette partie de la Béringie, souffre d’un manque d’indices archéologiques.

Mais selon cet archéologue, des fouilles futures dans les parties de la Béringie qui n’ont pas été immergées, aussi bien que dans les terres basses de l’ouest de l’Alaska et de l’est de la Sibérie, pourraient mettre au jour des vestiges de la présence passée de ces groupes humains comme des anciennes habitations.

John Hoffecker pense également que ces peuplades de la Béringie ont pu chasser avec succès dans ces régions de steppes et de toundra, où vivaient probablement un grand nombre de ruminants comme des bisons, des chevaux et des mammouths.

Il existe deux groupes de vestiges archéologiques datant de la période à la fin du maximum glaciaire, il y a un peu moins de 15 000 ans, précise-t-il.

«L’un témoigne d’une migration tardive d’Asie en Alaska tandis que l’autre ne révèle aucune origine en dehors de la Béringie et qui pourrait bien représenter les peuplades isolées pendant des millénaires dans cette région lors du maximum glaciaire», a expliqué l’archéologue.

Bien que le débat fasse encore rage sur le fait de savoir quand les premiers humains ont migré pour la première fois sur le continent américain, de nombreux archéologues estiment désormais que cela s’est produit il y a environ 15 000 ans après la fonte des glaciers, qui a ouvert l’accès aux zones côtières et aux terres intérieures de l’Amérique du Nord.

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Des «prisonniers volontaires» testent une nouvelle prison


Pour des mises en situation, cette expérience doit être intéressante pour les volontaires comme pour les gardiens de prison. Cependant, je trouve un peu exagéré une prison avec des technologies avancées pour les prisonniers, alors que dans certains endroits, il manque cruellement le droit à une bonne éducation
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Des «prisonniers volontaires» testent une nouvelle prison

 

Une centaine de «prisonniers volontaires» vivront pendant 48... (Photo archives Reuters)

 

Une centaine de «prisonniers volontaires» vivront pendant 48 heures le quotidien d’un détenu pour tester les infrastructures de la plus récente des prisons belges.

PHOTO ARCHIVES REUTERS

Agence France-Presse
Bruxelles

Ils n’ont commis aucun crime mais ils vont passer le week-end derrière les barreaux: une centaine de «prisonniers volontaires» vont servir de cobayes pour tester la nouvelle prison de Beveren, dans le nord de la Belgique, a rapporté vendredi le quotidien De Standaard.

Des gardiens, avocats, magistrats, le directeur général des établissements pénitentiaires, Hans Meurisse, et quelques journalistes ont accepté de se prêter au jeu, de vendredi à dimanche.

Nuits en cellule, promenades, travail en cuisine, fouilles corporelles, nettoyage, tous vivront pendant 48 heures le quotidien d’un détenu pour tester les infrastructures de la plus récente des prisons belges, qui sera en activité à la mi-mars.

À leur arrivée, les «détenus» devaient recevoir un rôle précis – suicidaire, révolté, toxicomane… – qu’ils joueront durant toute la durée de leur séjour.

Les gardiens, eux, n’auront pas eu connaissance des caractéristiques attribuées à chacun et devront se comporter exactement comme ils le feront dans quelques semaines face, cette fois, à de vrais détenus.

«La liste des affaires à prendre me paraissait très classique», raconte la journaliste du Standaard Marijke Libert, qui participe à l’expérience.

«Exactement comme pour un week-end scout: matériel de toilette, t-shirts, pantalons, chaussettes (…), pantoufles. Seul le point « apporte ta bonne humeur » manquait».

Fréquemment réalisé aux Pays-Bas, ce genre d’expériences est une première en Belgique. Elle permettra de vérifier, entre autres, que les portes des cellules se ferment correctement et que les appareils, notamment de vidéo-surveillance, fonctionnent.

L’institution pénitentiaire souhaite aussi tester le «Prison Cloud», une plateforme digitale flambant neuve installée dans les cellules qui permettra aux détenus de suivre des cours en ligne ou de commander une boisson à la cantine, explique De Standaard.

Le résultat de l’expérience sera évalué avant l’arrivée progressive des premiers prisonniers le 17 mars. D’ici au mois de juin, la prison, qui compte 312 places, affichera complet.

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Les appareils mobiles en danger


Il est temps en effet de sécuriser un peu plus les appareils mobiles, surtout si tout se fait par téléphones, tablettes … Mais, il y aura toujours, des hackers qui essaieront de percer tous obstacles
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Les appareils mobiles en danger

 

Les appareils mobiles en danger

Photo Fotolia

BARCELONE – Les appareils mobiles, téléphones, et autres tablettes contiennent autant voire plus de données personnelles sensibles que nos ordinateurs de bureau, et les pirates de tous bords l’ayant bien compris, il faut toujours trouver de nouveaux moyens de se protéger.

Il y a dix ans, à l’heure des premiers virus mobiles, les textos surtaxés et les vers causaient quelques problèmes, mais c’était sans commune mesure avec les dégâts qu’on peut occasionner sur des téléphones qui permettent d’aller sur internet, de payer des achats et qui détiennent souvent des informations qu’on ne veut pas voir tomber entre toutes les mains.

«Pour les pirates, c’est un business. Avec le déclin du PC ils regardent comment ils peuvent faire de l’argent avec les téléphones et les tablettes», explique Con Mallon, directeur du management des produits mobiles chez Symantec, au Congrès mondial de la téléphonie mobile à Barcelone.

Pour lui, les attaques sur les mobiles sont du même type que celles qui touchent les ordinateurs fixes, «c’est juste le contexte qui est nouveau».

Le développement des applications que chacun télécharge librement a ainsi ouvert une large porte aux pirates de tous bords: il leur suffit de copier les applications les plus populaires et d’attendre que les mobinautes tombent tout seul dans le piège en donnant eux mêmes leurs informations personnelles.

Le système d’exploitation de Google, Android, caractérisé par sa plateforme ouverte qui permet à n’importe quel développeur de créer sa propre application, est victime de son succès avec une explosion des logiciels malveillants cachés derrière des applications en apparence bien innocentes.

La société de sécurité informatique Symantec a ainsi constaté une multiplication par quatre du nombre de virus entre juin 2012 (32 000) et juin 2013 (273 000) dans les applications Android.

Les fabricants d’antivirus n’ont bien sûr qu’un conseil: munissez vos mobiles d’antivirus comme vous l’avez fait sur vos ordinateurs personnels, mais le message a du mal à passer, et à peine plus de la moitié des téléphones en sont dotés, selon Symantec.

L’équipementier télécoms NSN a d’ailleurs bien compris cette problématique puisqu’il propose carrément à ses clients opérateurs de sécuriser directement les téléphones de leurs abonnés.

La solution «mobile guard» observe via le réseau la liste de signatures de virus et le comportement du trafic. Cela lui permet de détecter de manière plus rapide les virus, même si leur signature a changé, et d’envoyer un correctif sur le téléphone.

Mais au delà de la criminalité, les révélations d’Edward Snowden sur les écoutes de l’Agence américaine de sécurité (NSA) ont fait prendre conscience aux responsables politiques comme aux dirigeants d’entreprises des enjeux de sécuriser toutes leurs communications.

Les smartphones embarquent en effet des systèmes type logiciel de géolocalisation, micro, GPS et caméras, et ils peuvent aujourd’hui permettre d’espionner leur propriétaire de façon «particulièrement intrusive», souligne Axelle Apvrille, chercheuse dans le domaine des antivirus sur mobile chez Fortinet.

Du coup, de plus en plus d’entreprises se lancent sur le créneau des téléphones sécurisés.

Les sociétés partenaires Geekphone (Espagne) et Silent Circle (États-Unis) ont aussi présenté à Barcelone un téléphone mobile sécurisé, le Blackphone.

«Nous n’avons jamais revendiqué de proposer un appareil à l’épreuve de la NSA. Ce serait peut-être téméraire. Mais l’outil que nous proposons fait une énorme différence pour quelqu’un qui n’a pas l’habitude d’utiliser des outils préservant la confidentialité. Et le processus est toujours en cours. Le facteur Snowden nous aide à accélérer ce processus, mais cela ne change pas le but que nous nous étions assigné au départ», a expliqué le président de Silent Circle, Phil Zimmermann. Beaucoup de gouvernements cherchent à avoir leur propre solution.

La solution française Uhuru, qui sortira début avril, permettra par exemple de sécuriser les flottes de téléphones de ses clients entreprises, ministères ou administrations en enlevant la surcouche logicielle des téléphones Android et tout ce qui concerne le géant américain Google pour le remplacer par son propre système d’exploitation et crypter les communications.

«La majorité des attaques ce sont des textos surtaxés; récupérer la géolocalisation, prendre des photos ou enregistrer les conversations depuis un téléphone c’est plus rare car c’est ciblé, mais c’est techniquement possible», assure Jérôme Notin, chef de file du projet d’antivirus français Davfi.

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Les selfies favorisent l’apparition de poux chez les ados


Une conséquence probablement vraiment inattendue des selfie que l’ont fait avec des amis. Peut-être limité, ce genre de contact pour éviter une contagion de poux
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Les selfies favorisent l’apparition de poux chez les ados

 

Les selfies favorisent l'apparition de poux chez les ados

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Faire un selfie, un autoportrait avec son téléphone cellulaire, avec des amis peut favoriser la transmission de poux, selon une spécialiste de la question.

On trouve généralement les poux chez les enfants âgés de 3 à 11 ans, mais Marcy McQuillan, qui dirige deux centres pour le traitement des poux en Californie, dit avoir constaté que le nombre de cas répertoriés chez les adolescents avait décuplé l’an dernier.

«Typiquement, il s’agit de jeunes enfants que je traite, parce qu’ils sont plus à risque au contact tête à tête, a dit Mme McQuillan au SFist.com. Mais maintenant, les adolescents se collent la tête chaque jour pour prendre des photos avec le téléphone portable.»

«Je demande à chaque adolescent que je traite s’ils font des autoportraits et ils reconnaissent qu’ils en font tous les jours», a-t-elle ajouté.

Elle recommande aux adolescents de prendre des autoportraits sans se coller la tête sur l’autre pour limiter le risque de propagation des poux.

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