Sa hantise


C’est d’ailleurs la raison qu’il est important de s’aérer l’esprit quand on sent nos pensées sombrer dans les abimes de notre cerveau, pour donner un élan de vie, de créativité, d’audace.
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Sa hantise

 

Pour être hanté, nul besoin de chambre, nul besoin de maison, le cerveau regorge de corridors plus tortueux les uns que les autres. »

Emily Dickinson

Ce bébé fan de basket va rendre tous les papas jaloux !


C’est tellement mignon, a cet âge-là, les très jeunes enfants aiment bien imiter leur parent et leur faire plaisir en étant très expressif
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Ce bébé fan de basket va rendre tous les papas jaloux !

 

 

Arborant un t-shirt avec le message « Be Awesome Today », le petit Wesley applique le précepte à la lettre en vivant comme un dingue un match de basket diffusé à la télévision.

Présent à ses côtés, le père boit du petit lait, devant les réactions passionnées de son gamin, qui laissent présager à l’avenir de longues heures devant les matchs de NBA.

Qu’importe si Wesley ne maitrise pas encore toutes les subtilités de la discipline, il savoure visiblement un excellent moment avec son père. De quoi en rendre d’autres bien jaloux.

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5 dangers du printemps pour le chat


Le printemps arrive, quoiqu’il est en retard sur l’horaire,  Les chats auront plus souvent le gout de mettre leur nez dehors . Mais comme c’est la belle saison, certains problèmes peuvent arriver
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5 dangers du printemps pour le chat

 

Par Charlotte Grenier

Crédits photo : Flickr – Miss Claeson et Goingsolo

Le temps s’adoucit, les températures remontent : plus de doutes, le printemps est là. Une bonne nouvelle pour tous, y compris pour nos matous qui adorent le soleil. Attention cependant, car la nouvelle saison ne vient pas sans son lot de dangers. Parasites, allergies et intoxications… Voici les menaces du printemps à surveiller de près pour le bien-être de votre chat :

1. Les parasites

Il est important de traiter régulièrement votre chat contre les parasites, surtout au printemps. Avec le soleil la température monte, ce qui favorise la prolifération d’insectes comme les puces ou les tiques. Et même si votre animal sort peu, les parasites peuvent voyager jusqu’à chez vous en s’accrochant à vos vêtements.

Il existe deux types d’antiparasitaires, chacun remplissant un rôle précis : les insectifuges ont une fonction de prévention. Ils éloignent les puces, moustiques et autres indésirables. Les insecticides, quant à eux, tuent les nuisibles en plus de les repousser.

Attention à réserver chaque produit à l’utilisation qui lui est prévue. Un antiparasitaire pour chien ne s’utilise pas sur un chat, et inversement. En cas de doute, n’hésitez pas à demander conseil à votre vétérinaire.

2. Les allergies

Tout comme les humains, les chats sont susceptibles de souffrir d’allergies diverses. La plus fréquente estl’allergie aux puces, qui chez le chat se traduit par une Dermatite Allergique à la Piqûre de Puce (ou DAPP). Une seule piqûre suffit à affecter un chat qui se grattera parfois jusqu’au sang.

Avec le printemps mieux vaut donc faire attention aux allergies et guetter les symptômes : toux, vomissement, irritations… Dès le moindre doute, mieux vaut aller consulter un vétérinaire. Il saura trouver le bon remède pour calmer les symptômes et empêcher l’allergie de prendre de l’ampleur.

3. Les plantes toxiques

Le printemps rime aussi avec la prolifération de plantes et de fleurs ! Si elles sont agréables à regarder et agrémentent parfaitement nos jardins, certaines sont très toxiques pour le chat.

Les moins nocives ne provoqueront que quelques irritations chez nos amis félins (comme les orties). D’autres en revanches, une fois ingérées, donneront lieu à des troubles de la digestion (chèvrefeuille, jacinthe, ou lierre par exemple), ou affecteront son cœur (aconit, muguet) ou son système nerveux(belladone, cannabis).

4. Les chutes

Les chats se faufilent partout, et avec les beaux jours nous avons tendance à ouvrir beaucoup plus souvent les fenêtres. Mais attention : un petit félin de compagnie a vite fait de se glisser à l’extérieur.

Bien qu’il soit un animal agile, il n’est pas rare que le chat tombe d’un appui de fenêtre ou d’un balcon. Il est donc recommandé d’être particulièrement vigilant. Même si vous avez des fenêtres battantes, les chats essayeront probablement de se faufiler dehors en prenant le risque de se retrouver coincés ! Amis des chats, mieux vaut alors garder les fenêtres fermées ou y installer des sécurités, pour garder vos compagnons à l’abri d’une chute pouvant être fatale.

5. Les mues

Rien de plus naturel au printemps pour le chat que la perte des poils. Pourtant, une mauvaise digestion peut rendre dangereuses les boules de poils que le chat a l’habitude de recracher. Elles peuvent être à l’origine de vomissements, d’anorexie ou encore d’occlusion intestinale.

Il est donc recommandé d’aider à atténuer les boules de poils de nos chats. On peut par exemple aider à sa toilette pour éliminer une partie de sa mue, ou lui donner une alimentation riche en fibres pour faciliter sa digestion.

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Des toiles qui brossent le portrait de la pollution


La pollution donne des couleurs aux couchers de soleil. Il semble que des peintres des siècles derniers ont immortalisé des paysages suite a des événements naturelles très polluantes et que le rouge et le vert soient de très bons indices
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Des toiles qui brossent le portrait de la pollution

 

William Turner et les autres peintres européens ont en... (PHOTO MATT DUNHAM, ARCHIVES AP)

William Turner et les autres peintres européens ont en effet, probablement sans le savoir, été les témoins éloignés de l’éruption la plus meurtrière de l’histoire, celle du volcan Tambora, survenue en avril 1815 en Indonésie.

PHOTO MATT DUNHAM, ARCHIVES AP

LAURENT BANGUET
Agence France-Presse
Paris

Les toiles peintes par les grands maîtres sont à ce point fidèles qu’elles peuvent renseigner les chercheurs sur les pollutions atmosphériques du passé, grâce à l’analyse des teintes de leurs paysages, démontre une étude publiée mardi.

«Je n’ai pas peint cela pour que ce soit compris, mais pour montrer à quoi ressemble un tel spectacle», disait le peintre britannique William Turner (1775-1851), célèbre pour sa maîtrise des couleurs.

Pari gagné! Ses couchers de soleil et leurs tons rougeoyants sont particulièrement révélateurs de la cendre et des gaz émis par des éruptions volcaniques majeures, assurent des chercheurs grecs et allemands qui ont passé à la loupe des centaines de tableaux réalisés au cours des cinq derniers siècles.

Turner et les autres peintres européens ont en effet, probablement sans le savoir, été les témoins éloignés de l’éruption la plus meurtrière de l’histoire, celle du volcan Tambora, survenue en avril 1815 en Indonésie. La catastrophe a fait quelque 10 000 victimes directes et on estime que des dizaines de milliers d’autres ont péri de ses répercussions sur le climat.

La quantité de cendres envoyée dans la haute atmosphère, à plus de 40 km d’altitude, par le Tambora fut telle qu’elle fit plusieurs fois le tour de la Terre. Ce «voile» provoqua certes à l’époque de spectaculaires couchers de soleil rouges et orangés, comme celui immortalisé par Turner dans «Didon construisant Carthage» (National Gallery de Londres). Mais il contribua aussi à une «année sans été» en 1816, avec une chute des températures généralisée (0,5 °C à 1,0 °C en moyenne dans l’hémisphère nord) et des récoltes en nette baisse.

Idem pour l’éruption du Krakatoa indonésien en 1883, parfaitement lisible dans les paysages d’Edgar Degas les deux années suivantes, selon l’étude.

C’est justement la présence de cendres, de gaz volcaniques ou d’autres polluants en suspension dans l’air que l’équipe de Christos Zerefos, spécialiste des sciences atmosphériques à l’Académie d’Athènes, a cherché à identifier en analysant les paysages des tableaux de maître.

Les verts et les rouges

«Dans la coloration des couchers de soleil, c’est la façon dont le cerveau perçoit les verts et les rouges qui renferme des informations importantes sur l’environnement», explique le Pr Zerefos dans un communiqué de l’Union européenne des géosciences.

Les particules en suspension dans l’air ont en effet la faculté de dévier une partie des rayons du Soleil, modifiant les nuances du spectre lumineux visible par l’oeil humain et du même coup celui retranscrit sur la toile par les peintres.

Christos Zerefos et ses collègues ont donc analysé des centaines de couchers de soleil peints entre 1500 et 2000, témoins potentiels d’une cinquantaine d’éruptions volcaniques majeures de par le monde.

«Nous avons découvert que le rapport entre la proportion de rouges et la proportion de verts dans les crépuscules peints par les grands maîtres correspond bien avec la quantité d’aérosols volcaniques dans l’atmosphère» à un moment donné, quel que soit le peintre ou son style, affirme le chercheur.

Ces observations sont cohérentes avec celles effectuées directement sur le lieu des éruptions ou l’analyse des couches de glace contemporaines de ces événements, précise l’étude, publiée dans la revue spécialisée Atmospheric Chemistry and Physics.

Pour confirmer la validité de leur modèle, les chercheurs ont demandé à un coloriste réputé de peindre des couchers de soleil pendant et après le passage d’un nuage de poussière venu du Sahara au-dessus de l’île grecque d’Hydra, en juin 2010.

Le peintre en question, Panayiotis Tetsis, n’avait pas été averti du passage de ce nuage de poussière. Et pourtant, l’estimation de la teneur en aérosols découlant de l’analyse colorimétrique de ses paysages correspond bien aux prélèvements atmosphériques effectués durant le phénomène.

Autrement dit, cette méthode d’analyse des tableaux peut être utilisée directement dans les modèles climatiques pour avoir une idée plus précise de la façon dont les aérosols et les pollutions atmosphériques ont affecté le climat au cours des siècles derniers.

C’est «une autre façon d’exploiter les informations environnementales sur l’atmosphère dans des endroits et des siècles où les instruments de mesure n’étaient pas disponibles», résume Christos Zerefos.

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Les hommes préhistoriques prenaient soin de leurs outils


Je connais certaines personnes qui auraient a prendre des leçons des hommes de la préhistoires pour mieux préserver leurs outils
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Les hommes préhistoriques prenaient soin de leurs outils

 

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Reconstitution d’habitations sur pilotis en Allemagne
Photo : Xocolatl −
CC-BY-3.0 Source

Méticuleux, les hommes préhistoriques prenaient grand soin de leurs outils. C’est ce que révèle une étude de chercheurs suisses. Ils ont en effet analysé des outils en os, en bois de cerf et de chevreuil, datant de 3200 ans av. J.-C.

Pour cela, les archéologues ont bénéficié de circonstances particulièrement favorables. Car le site se trouvait à l’époque sur les berges du lac de Zurich. Or les lacs de Suisse et du Jura offre depuis longtemps une mine de découvertes pour les archéologues qui travaillent sur la fin de la Préhistoire, le Néolithique. Car des populations habitaient des maisons sur pilotis en bordure de ces lacs. Et les ruines de celles-ci ont souvent été extrêmement bien préservées dans de la vase humide et pauvre en oxygène.

Mais pour se représenter l’atmosphère bucolique des bords du lac à l’époque, les archéologues doivent faire preuve d’imagination. Car c’est en partie sous les néons blafards d’un parking zurichois en construction qu’ils travaillent. La moisson n’en est pas moins riche : bol en bois, couteaux, cuillères, poutres, pagaies, arcs, flotteurs de filet de pêche, cordes, bijoux, etc. L’équipe a même mis au jour une des plus anciennes portes en bois d’Europe,  quasiment intacte.

La préservation des objets se révèle en effet excellente. Les chercheurs décident de saisir l’occasion pour éclaircir un point intriguant relevé sur beaucoup d’objets de cette période, et en particulier sur ceux du site : beaucoup sont luisants, sur une portion importante de leur surface. Habituellement, les préhistoriens interprètent cet aspect lisse et brillant comme des traces d’usure. C’est le cas par exemple sur l’extrémité de poinçons en os, qui servaient vraisemblablement à percer le cuir. Le frottement des peaux en effet, en a peu à peu poli la pointe. Mais ici, les zones brillantes sont nettement plus grandes. Et elles sont présentes sur des outils qui supposent une utilisation différente, comme par exemple des sortes de ciseaux à bois.

Ciseaux à bois en os mis au jour sur le site.

Ciseaux à bois en os mis au jour sur le site. Photo : Joerg Schibler

C’est pourquoi, munis de gants et s’entourant de précautions pour éviter la contamination par des substances modernes, les chercheurs prélèvent sur le site huit outils. Ceux-ci sont représentatifs de diverses utilisations : ciseaux à bois, manche de couteau, poinçon et grattoir à cuir, peigne pour défibrer le lin. L’équipe les soumet alors à toute une batterie de tests.

Résultat : les hommes préhistoriques ont visiblement graissé leurs outils. L’aspect luisant de ces derniers vient de là. Les analyses ont en effet montré que la surface des outils était imprégnée de lipides. Certains viennent sans doute de l’animal, et n’ont donc pas une origine humaine. Mais il y a aussi des huiles végétales. Or les analyses permettent d’exclure qu’elles ne proviennent du sol.

Autrement dit, ce sont bien les hommes préhistoriques qui semblent avoir enduit d’huile leurs outils.

Pourquoi ? Parce que pour qu’un outil en os fonctionne, il lui faut une certaine élasticité. Il est en effet constitué d’un mélange de minéral − qui donne la dureté − et de matière organique (le collagène) − qui donne la souplesse. Or quand l’os sèche, il se craquelle et devient cassant. D’où l’intérêt de l’enduire régulièrement d’huile pour en prolonger la durée de vie.

NB : les archéologues suisses vont même plus loin : selon leurs analyses, il s’agirait d’huile de lin et de pavot, des plantes très fréquentes dans la région à l’époque.

Ce que tempère Alain Tchapla, de l’université Paris Sud à Orsay. « sur ce point leur étude est un peu inachevée. Leurs résultats montrent juste qu’une certaine classe d’huile végétale était bien présente. Mais il pourrait tout aussi s’agir d’huile de navette, d’euphorbe, de cornouiller, et d’autres encore. »

Des huiles que les chercheurs suisses ont écartées, car leurs graines n’ont jamais été trouvées dans la région à l’époque.

Nicolas Constans

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Philae va à son tour sortir de son hibernation


Vous connaissez Philae ? Un robot qui joue à la Belle au bois dormant, mais qui bientôt va se réveiller pour aller travailler jusqu’à sa mort à la manière d’Icare. Espérons que tout se passera bien pour mieux connaitre sa comète d’accueil et la transmettre aux Terriens que nous sommes
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Philae va à son tour sortir de son hibernation

 

Philae est éteint depuis plus de trois ans,... (Photo AFP)

Philae est éteint depuis plus de trois ans, pour réduire au minimum sa consommation.

PHOTO AFP

VÉRONIQUE MARTINACHE
Agence France-Presse
Paris, France

Un peu plus de deux mois après le réveil de la sonde européenne Rosetta, c’est au tour de son passager, le robot Philae, de sortir de l’hibernation pour préparer son atterrissage sur la comète Tchourioumov-Guérassimenko.

Lancée dans l’espace en 2004, Rosetta a repris ses esprits comme prévu le 20 janvier, après deux ans et demi de coma artificiel. Depuis elle poursuit sa route vers la comète, une boule de glace d’environ 4 km de diamètre, qu’elle doit escorter vers le Soleil.

Mardi, Rosetta se situait à 664 millions de kilomètres de la Terre et à 4 millions de km de sa cible.

Rosetta a comme passager Philae, un petit robot de 100 kg bardé de 10 instruments scientifiques, qui doit se poser sur la comète, une première dans l’histoire de l’exploration spatiale.

Philae est éteint depuis plus de trois ans, pour réduire au minimum sa consommation. Seule sa température était contrôlée, «exactement comme un animal qui hiberne», explique Philippe Gaudon, chef du projet CNES (Agence spatiale française) de la mission Rosetta.

Vendredi, fini de dormir. «On va réveiller le logiciel de vol central, un peu comme on rallumerait un PC éteint pendant trois ans».

Philippe Gaudon est confiant. «L’atterrisseur a été conçu pour ça», assure-t-il.

C’est le Centre de Contrôle de Cologne (LCC) qui aura la charge de cette phase, tandis que le SONC (Science Operation and Navigation Center), à Toulouse, calculera les trajectoires permettant à Philae de se poser en toute sécurité et suivra les opérations scientifiques.

À partir du 10 avril, les dix instruments de Philae vont être réveillés à leur tour les uns après les autres. Les scientifiques auront trois semaines pour vérifier leur bon fonctionnement.

Coup de chaud

En mai commenceront les manoeuvres de freinage de Rosetta pour son approche de la comète.

«Début juillet Rosetta sera à peu près à 50 000 km de la comète, début août, elle ne sera plus qu’à 150 km», précise Philippe Gaudon.

Dès que les instruments de Rosetta commenceront à observer la comète, début juillet, la procédure de choix du site d’atterrissage va démarrer.

«On va déjà avoir une idée de son apparence, de sa forme, de sa rotation, puis après de son relief, de manière de plus en plus précise», explique Philippe Gaudon.

Le grand saut pour Philae est prévu pour le 11 novembre. «Une opération délicate, difficile et automatique», résume l’ingénieur.

Pour larguer son passager, Rosetta, qui sera sur une orbite «sûre» à 30 km de la comète, devra se rapprocher au plus près, entre 2 et 3 km. Au contact de la comète, le petit robot devra s’ancrer, grâce à deux harpons, sur un sol dont on ne connaît pas la nature.

Une fois bien en place, si tout s’est bien passé, Philae pourra commencer à travailler, avec une espérance de vie de 4 à 6 mois. Au fur et à mesure que la comète se rapprochera du Soleil, l’engin sera en effet exposé à un coup de chaud fatal.

Mais les scientifiques espèrent bien avoir le temps d’explorer le noyau de la comète «sous toutes ses coutures». Des caméras donneront des images du paysage. Des microscopes et des spectromètres de masse diront quels sont les composants du sol. Philae pourra forer jusqu’à 25 cm de profondeur.

Les scientifiques attendent beaucoup notamment de l’exploration des molécules complexes, «celles qui seraient à l’origine de la vie sur Terre», explique Philippe Gaudon.

Dans l’hypothèse où Philae ne se rallumerait pas ou raterait son atterrissage, la mission se poursuivrait avec le seul orbiteur qui, lui, a été conçu pour fonctionner y compris quand la comète passera au plus près du Soleil, en août 2015.

«On veut connaître la comète sur la durée», souligne Philippe Gaudon. Au moins jusqu’en décembre 2015, a prévu l’Agence spatiale européenne (ESA).

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Etats-Unis. Une marque lance une bière avec des morceaux de… cerveau


Là franchement,il y a des compagnies qui font tout pour vendre leur produit, surtout s’ils peuvent s’unir a des films ou des séries que le public semble aimer (quoique je n’ai jamais vu cette série) C’est vraiment dégoutant ce qu’ils proposent De toute manière, ils ne faisaient pas de l’argent avec moi .. et encore moins aujourd’hui
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Etats-Unis. Une marque lance une bière avec des morceaux de… cerveau

 

Fans de la série d’horreur The Walking Dead ?

Vous allez être ravis. Pour célébrer la sortie de la saison 4 et notamment de l’épisode 16 sur la chaîne AMC, une marque a eu l’idée de créer une bière avec de véritables morceaux de cerveaux de chèvres dedans.

En hommage aux zombies

C’est la société américaine Dock Street Beer qui est à l’origine de cette commercialisation très farfelue. La bière a été appelée Dock Street Walker, en hommage aux « rôdeurs » zombies de la série. D’une couleur rouge sang, elle est aromatisée avec de petits bouts de cerveau. Cette bière très peu ragoûtante sera commercialisée à partir du 30 mars dans les environs de Philadelphie. Avis aux amateurs…

LaDépêche.fr

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Fatigue au réveil : causes et remèdes


Dormir et être frais et dispo au réveil, n’est-ce pas ce que chacun souhaite. Même si nous n’aimons pas se lever tôt, il faut néanmoins avoir assez dormi pour affronter la journée. Si malgré les heures accumulées ne semblent pas suffisantes, il faudra chercher ailleurs
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Fatigue au réveil : causes et remèdes

 

La fatigue au réveil n’est pas normale et peut être la conséquence de plusieurs facteurs. Un sommeil non-réparateur fréquent et non-explicable par un changement de mode de vie est le signe que quelque chose ne va pas.

Il est donc important de rechercher quelles en sont les causes et d’y remédier.

Quand sommeil rime avec fatigue…

Les besoins en sommeil sont très différents selon les personnes et les âges. Un adulte dort en moyenne 7 à 8h par nuit mais certains vont avoir besoin de 11 à 12h de sommeil pour se sentir reposés. La durée idéale de sommeil est donc propre à chacun. C’est le temps de sommeil qui va permettre d’être en forme et efficace au réveil.

Lorsque le sommeil n’est pas réparateur et qu’il ne constitue pas un véritable repos, on peut se sentir fatigué(e) au réveil : se lever devient alors difficile. En cas de fatigue, les activités de la vie quotidienne, habituellement faciles à accomplir (travail, ménage, devoirs des enfants…), se transforment en corvée.

« Le sommeil est un excellent indicateur de l’état de santé général de la personne et de ses relations avec son environnement » d’après le Dr Valaxt, chercheur au sein d’une unité de l’INSERM (Institut national de la santé et de la recherche médicale en France) spécialisée dans l’étude du sommeil et des rêves.

Il est donc important de surveiller son sommeil et de prêter attention aux changements qu’il subit.

Les causes de la fatigue au réveil peuvent être multiples. Ce n’est pas un phénomène à prendre à la légère car cette fatigue peut être liée à un problème d’ordre psychique ou physique.

Quand le psychisme prend le dessus…

Ce sentiment de non-repos peut être dû au stress, au surmenage au travail, à des activités de loisirs trop intenses ou même, à une alimentation déséquilibrée ou insuffisante. Pour savoir d’où vient cette fatigue, il est nécessaire d’analyser les changements qui ont pu se produire récemment dans votre vie. La fatigue au réveil fait partie des signaux envoyés par le corps pour faire comprendre à la personne qui en souffre que son mode de vie ne lui convient pas.

Attention

Un sommeil non-réparateur fait également partie des symptômes de la dépression. Fatigue constante,insomnie, perte de motivation sont des signaux qu’il faut impérativement surveiller. N’hésitez pas à en parler avec votre médecin.

Fatigue et maladie

Un état de fatigue au réveil qui dure depuis plusieurs semaines peut être le signe annonciateur d’une maladie, car plusieurs peuvent se manifester par ce symptômes. Qu’il s’agisse d’une fatigue causée par une maladie épuisante comme la grippe, l’arthrose, le cancer ou par une affection silencieuse comme l’anémie ou un trouble de la thyroïde, il est important de ne pas prendre le sommeil non-réparateur à la légère et consulter un spécialiste sans attendre.

Cette fatigue inexpliquée peut être également le signe d’une apnée du sommeil. Le dormeur bloque ponctuellement sa respiration ce qui entraîne une baisse de l’oxygénation du sang et ce qui oblige le coeur à travailler davantage afin de combler ce manque d’oxygène. Le dormeur souffrant d’apnée du sommeil se réveille souvent fatigué et n’a pas conscience de ce qu’il s’est passé.

Changer son mode de vie

Il est important de modifier certaines habitudes afin de mieux dormir et d’éviter tout risque de fatigue au réveil.

– Dormir suffisamment est la première des règles à respecter pour ne pas se sentir fatigué au réveil. Pour cela, il faut écouter son corps (bâillements, paupières lourdes, picotements dans la nuque…).

– Pratiquer une activité sportive régulière permet de se relaxer, d’évacuer la pression accumulée durant la journée et de fatiguer son corps afin d’avoir un vrai sommeil réparateur.

– Adopter une alimentation équilibrée (fruits, légumes, céréales…) et boire au minimum 1,5L d’eau par jour.

– Limiter l’alcool et la cigarette qui ont des effets néfastes sur la qualité du sommeil. L’alcool et la nicotine sont responsables d’un sommeil très perturbé (réveils fréquents, réduction de la durée du sommeil profond…).

– Eviter les stimulations trop fortes avant le coucher que celles-ci soient auditives, intellectuelles ou visuelles (écran d’ordinateur, luminosité trop forte, jeux vidéos…).

Y remédier au naturel…

Afin de lutter contre cette fatigue, de nombreux compléments alimentaires et plantes peuvent être utilisés. Des cures de caféine, vitamine C ou de fer peuvent servir à contrer cette fatigue constante grâce à leurs propriétés tonifiantes et défatigantes.

La phytothérapie est aussi un bon moyen de soulager la fatigue passagère. Des tisanes d’anis vert, de vigne rouge ou de romarin peuvent être de très bons remèdes contre la fatigue. De même que la rhodiole, la schisandra, le ginseng et l’eleuthérocoque.

La prise d’antiasthéniques (acides aminés, éléments minéraux, vitamines, stimulants, reconstituants, fortifiants…) peut aussi aider à se sentir plus tonique et stimulé.

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