Une nouvelle araignée qui ronge la chair découverte au Mexique


Ce n’est vraiment pas le genre d’araignée qu’on aimerait rencontrer. Elle était inconnue des scientifiques, maintenant les présentations faites, on sait qu’elle peut mordre et son venin peut détruire des globules rouges et on ajoute la fièvre, nausée, fatigue et la guérison peut prendre un certain temps.

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Une nouvelle araignée qui ronge la chair découverte au Mexique

Une nouvelle araignée qui ronge la chair découverte au Mexique© Pixabay

Par Chloé Gurdjian –

Une nouvelle espèce d’araignée a été identifiée dans la vallée de Mexico. Une seule de ses morsures provoque d’importants dommages.

Voilà qui ne devrait pas rassurer les phobiques des araignées. Une nouvelle espèce a en effet été découverte dans l’état de Tlaxcala par des chercheurs de la National Autonomous University of Mexico (Unam), au Mexique. Ceux-ci pensaient au départ qu’il s’agissait de l’espèce Loxosceles misteca, mais, après des examens, ils se sont aperçu qu’ils avaient affaire à une nouvelle espèce. L’animal, baptisé Loxosceles tenochtitlan, s’avère très dangereux. Le Mexique est le pays qui compte le plus de Loxosceles puisque 40 des 140 espèces qui existent dans le monde sont originaires de ce pays.

Dotée d’un venin très puissant, une seule des morsures de cette araignée détruit les tissus, provoquant des lésions nécrotiques de la peau jusqu’à 40 cm. Le venin, transporté par la circulation sanguine, pourrait causer la destruction des globules rouges. Très douloureuse, la plaie peut également provoquer de la fièvre, des nausées, une grosse fatigue et des douleurs aux articulations. La blessure peut prendre plusieurs mois à guérir, laissant une cicatrice. Selon les scientifiques, la morsure serait plus dangereuse pour les enfants.

UNAM

Cette araignée venimeuse du Mexique a élu domicile dans les maisons, se cachant dans le mobilier, dans des trous ou dans les murs.

Mais si Loxosceles tenochtitlan fuit généralement l’homme, « elle est attirée par les déchets car elle peut se nourrir des insectes qui se trouvent autour, et les femelles sont deux fois plus toxiques que les mâles, expliquent les scientifiques. Ces araignées peuvent également être plus dangereuses pendant la saison des pluies, car les mâles recherchent des femelles la nuit et en raison de leur comportement erratique, ils peuvent finir par se cacher dans du tissu, des draps ou des chaussures ».

Alors, pour se protéger, les chercheurs n’ont qu’un conseil : garder les maisons propres et bien rangées

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En Australie, un zoo fait éclore des œufs de l’araignée la plus dangereuse du monde


En Australie, un zoo possède quelque 3 000 araignées dont l’Atrax robustus, aussi appelé l’araignée toile-entonnoir qui ne serait pas très amicale. Et nous pouvons voir l’éclosion de beaux bébés araignées qui n’est pas juste pour faire peur au monde, mais pour retirer le venin et fabriquer l’anti-venin en cas de morsure.
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En Australie, un zoo fait éclore des œufs de l’araignée la plus dangereuse du monde

Par Sébastien Rouet


Une vidéo diffusée par l’Australian Reptile Park, situé à une heure de route de Sydney, montre l’éclosion d’un sac d’œufs d’Atrax robustus, l’araignée venimeuse la plus dangereuse du monde pour l’Homme. C’est la première poche d’œufs de cette espèce à voir le jour en captivité.

Âmes sensibles s’abstenir ! Une vidéo publiée par un zoo australien montre des centaines de « Sydney funnel-web spiders » (en français, araignées à toile-entonnoir de Sydney) sortir d’un sac d’œufs.

C’est le premier cas recensé en captivité et « marque une grande réussite pour le parc » a signalé l’Australian Reptile Park dans un communiqué.

Hormis l’aspect sensationnaliste de la vidéo, l’événement s’inscrit dans le programme antivenin du parc. Les araignées y seront élevées, comme les 3 000 autres que possède déjà le zoo dans un container. L’Australian Reptile Park conserve encore dix sacs d’œufs qui devraient éclore très bientôt.

C’est la première fois que cette espèce naît en captivité. – Australian Reptile Park

Le venin sera prélevé sur les araignées et envoyé à Seqirus, en charge de la production de l’antivenin des hôpitaux en Australie.

On trouve l’Atrax robustus dans des endroits abrités et ombragés, frais et humides. C’est une araignée très agressive. Les morsures contre les humains interviennent souvent durant la période de reproduction. Le mâle, à la recherche de partenaires, peut entrer dans les habitations et se cacher dans les placards. Il mord par réflexe lorsqu’il est dérangé.

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    Ils font des selfies avec une pieuvre capable de tuer 26 personnes en une morsure


    Un gars chanceux ! En Australie, des vacanciers ont été en contact avec une pieuvre aux anneaux bleus. Et pourquoi pas un égoportrait avec cette créature sur le bras !! Le hic, c’est que cette petite pieuvre a un poison vraiment puissant. Il en a un qui a été chanceux de ne pas avoir eu une morsure.
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    Ils font des selfies avec une pieuvre capable de tuer 26 personnes en une morsure

    Crédits : Ross Saun­ders / Face­book

    par  Nicolas Pujos

    Une simple morsure aurait pu tuer sur le coup Ross Saun­ders et John-Paul Lennon. En vacances en Austra­lie, ces deux back­pa­ckers irlan­dais ont risqué leur vie en jouant avec une petite pieuvre aux anneaux bleus toute mignonne dont le venin est assez puis­sant pour tuer 26 hommes adultes, rela­tait l’Irish Post le 16 juillet 2019.

    C’est lors d’une partie de pêche que les deux Irlan­dais ont remonté un animal inha­bi­tuel que les habi­tants ne semblaient pas recon­naître, a confié Ross Sanders à la chaîne de télé­vi­sion austra­lienne 7News :

    « J’ai demandé à tout le monde si c’était dange­reux, et tout le monde m’a répondu que non, alors j’ai pensé que ce serait sympa de prendre une photo. »

    John-Paul Lennon confirme les propos de Saun­ders.

    « Ross a essayé de prendre des photos de tous les animaux, notam­ment des koalas. Il voulait une photo avec la pieuvre sur son bras. »

    Ce qu’il a fait. Or l’ani­mal en ques­tion a la parti­cu­la­rité de diffu­ser un venin 1000 fois plus fort que le cyanure.

    En quelques minutes, les premiers symp­tômes appa­raissent : un engour­dis­se­ment des lèvres et de la langue, puis la respi­ra­tion devient de plus en plus diffi­cile. S’en­suit une para­ly­sie complète des muscles respi­ra­toires. Les victimes semblent alors perdre conscience, certaines ne pouvant pas répondre à l’ap­pel de leur nom.

    Ross Saun­ders a résumé leur séjour en Austra­lie sur sa page Face­book :

    « Regar­der deux couchers de soleil incroyables, voir des dauphins et attra­per une pieuvre aux anneaux bleus, l’un des animaux les plus dange­reux du monde sans même s’en rendre compte. »

    Sources : The Irish Post/7News Bris­bane

    https://www.ulyces.co/

    Le Saviez-Vous ► 17 choses à savoir sur votre répugnante coloc, la scutigère


    La scutigère est assez impressionnante comme animale, car elle n’est pas un insecte. Les gens qui la voient seront probablement portés à la supprimer et pourtant, elle peut être une alliée dans la maison. Elle est gourmande et mange que des insectes et parfois même ses congénères. En plus, elle ne fait pas de dégâts au mur ni d’ailleurs à tout autre matériel. Si elle est présente dans la maison, c’est qu’elle a de quoi pour vivre.
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    17 choses à savoir sur votre répugnante coloc, la scutigère

    17 choses à savoir sur votre répugnante coloc, la

    LEONID EREMEYCHUK VIA GETTY IMAGES

    N’appelez pas l’exterminateur trop vite!

    • Par Philippe Lépine

    Lorsque vous la voyez, impossible de l’oublier. Elle vous hante la nuit, surtout lorsqu’elle vous échappe. La scutigère, cette immense bibitte d’intérieur aux pattes multiples qui file à vive allure, grouille dans la plupart des maisons québécoises, mais s’avère une meilleure coloc que vous le pensez.

    Voici ce que vous devez savoir sur la scutigera coleoptrata.

    1. Elle fuit la lumière (donc vous n’êtes pas censé la voir trop souvent).

    2. C’est une redoutable prédatrice. Elle mange les petits insectes, tels les cloportes, les araignées, les mouches, les blattes. (Il vaut donc mieux la laisser s’enfuir et continuer de chasser… si vous en avez le courage).

    3. Elle chasse aussi les punaises de lit, mais moins efficacement comme les deux bestioles ne se tiennent pas dans les mêmes endroits.

    4. Plus vous en voyez, plus vous avez des insectes dans la maison. L’automne est donc une bonne saison pour les scutigères, comme les bestioles ont tendance à rentrer à l’intérieur quand le mercure redescend.

    5. La scutigère a un venin. Il sert à paralyser ses proies. Il n’est pas «reconnu» comme dangereux pour l’humain ou les animaux domestiques, mais peut causer des réactions allergiques chez certains.

    17 choses à savoir sur votre répugnante coloc, la

    LEONID EREMEYCHUK VIA GETTY IMAGES

    6. Elle peut dégager une odeur nauséabonde lorsqu’elle est perturbée, Donc, pas touche!

    7. La scutigère possède deux yeux qui contiennent jusqu’à 600 «yeux simples» appelés ocelles. Ark. Ark. Ark!!!

    8. Elle mesure entre trois et cinq centimètres, SANS. LES. PATTES.

    9. Elle est plus présente dans les endroits chauds et humides. On les retrouve souvent dans la baignoire, l’évier, les fissures, la tuyauterie, sur les cimaises et parfois sur les murs.

    10. Ce n’est pas un insecte, mais un A-NI-MAL! Les insectes ont trois paires de pattes. La scutigère, un centipède, est un animal au même titre qu’une araignée.

    House centipede on the underside of a

    DAVEMHUNTPHOTOGRAPHY VIA GETTY IMAGESHouse centipede on the underside of a rock

    11. La scutigère n’a pas 1000 pattes, mais 30 qui s’allongent vers l’extrémité de son corps. Ainsi, elle ne s’enfarge pas dans ses propres pattes.

    12. La femelle peut avoir des pattes qui font deux fois la longueur de son corps.

    13. Elle peut filer à une vitesse de 40 cm/seconde.

    14. Elle est cannibale : elle peut se nourrir d’autres scutigères.

    15. La scutigère ne cause pas de dommage matériel. Elle laisse la structure de votre bâtiment et vos avoirs tranquille.

    16. La femelle pond entre 130 et 290 œufs individuellement sur le sol.

    17. Pour l’exterminer, bonne chance! Il faudra vous attaquer aux autres bibittes de la maison afin qu’elle soit privée de nourriture. Si votre demeure est bien ventilée et que le taux d’humidité y est bas, il y a moins de chances qu’elle vienne faire coucou.

    https://quebec.huffingtonpost.ca/

    Le Saviez-Vous ► Top 5 des araignées les plus dangereuses d’Australie


    Je bien contente que les araignées que je rencontre ne sont pas aussi dangereuse. Celles d’Australie sont très jolies, mais de loin.

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    Top 5 des araignées les plus dangereuses d’Australie


    Les araignées australiennes sont les 10 plus dangereux redbacks

    Crédits : iStock

    par Clara Zerbib, journaliste animalière

    L’Australie est réputée pour abriter certaines des araignées les plus dangereuses de la planète. Mais, bien que la plupart qui vivent sur ce territoire sont inoffensives, il y en a effectivement qu’il vaut mieux éviter. Voici la liste des 10 araignées les plus venimeuses d’Australie !

    1. L’araignée à entonnoir

    Appelée Sydney funnel-web par les anglophones, cette araignée, de son nom scientifique Atrax robustus, ne mesure que 1 à 5 cm. Pourtant, elle est considérée comme l’araignée la plus dangereuse du monde.

    En effet, sa morsure est très venimeuse et peut entraîner la mort en à peine 15 minutes. Heureusement, un anti-venin efficace a été mis au point en 1981 et doit être injecté dans l’heure qui suit la morsure. Et depuis, aucun décès n’a été enregistré. On rencontre cette araignée dans les endroits frais et humides de la Nouvelle-Galles du sud, et notamment dans la banlieue de Sydney.

    araignée sydney funnel web

    Crédits : iStock

    2. La veuve noire à dos rouge

    La veuve noire à dos rouge (Latrodectus hasselti) porte sur le dos une bande rouge très reconnaissable. Présente dans toute l’Australie, cette araignée d’environ 1 cma tendance à rechercher des endroits calmes et abrités. Ainsi, on peut la retrouver partout, de la boîte aux lettres à la cuvette des toilettes.

    Son puissant venin neurotoxique est source d’intenses douleurs et de vomissements. Mais heureusement, aucun décès n’est à déplorer depuis la mise en place d’un anti-venin en 1984.

    araignée veuve noire à dos rougeCrédits : Laurence Grayson/Flickr

    3. L’araignée souris

    L’araignée souris (Missulena) est une toute petite araignée d’environ 1 cm et qui se rencontre dans toute l’Australie. Les femelles de cette espèce restent généralement dans leurs terriers. En revanche, les mâles errent durant la journée à la recherche des femelles justement.

    Son venin est presque aussi puissant que celui de l’araignée à entonnoir. L’anti-venin est donc le même.

    araignée sourisCrédits : Jason Bond/Wikimedia Commons

    4. L’araignée à queue blanche

    L’araignée à queue blanche (Lampona cylindrata et Lampona murina), ou white-tailed spider, vit dans le sud et l’est de l’Australie. On la reconnaît à la rayure blanche qu’elle arbore sur son corps. Cette araignée de 2 à 3 cm de long est surtout visible la nuit, lorsqu’elle est à la recherche de nourriture.

    Sa morsure, très douloureuse, peut provoquer des nécroses. Cependant, cela reste rare. Cette araignée ne présente donc aucun danger majeur pour l’homme.

    araignée white tailedCrédits : Patrick.ehrenbrink/Wikimedia Commons

    5. L’araignée noire

    L’araignée noire (Badumna insignis), surnommée black house, est une araignée de 2 à 3 cm de long. Elle aime s’installer sur les arbres ou autour des fenêtres et des portes. Les femelles de cette espèce ne quittent jamais leur toile à moins d’y être forcées. C’est aussi là qu’elles se reproduisent avec les mâles et qu’elles pondent leurs oeufs.

    Considérée comme venimeuse, l’araignée noire n’est cependant pas mortellement dangereuse. Toutefois, mieux vaut éviter de croiser sa route car sa morsure peut être atrocement douloureuse. Elle peut également provoquer des vomissements, des bouffées de chaleur et des vertiges.

    araignée black houseCrédits : CSIRO/Wikimedia Commons

    Source

    https://animalaxy.fr/

    Le Saviez-Vous ► Top 10 des animaux les plus dangereux de la forêt amazonienne


    En forêt amazonienne cache toutes sortes d’animaux, certains sont très dangereux, ils peuvent être gros, mais aussi très petits. Bref, ce n’est pas des animaux qu’on aimerait se retrouver nez à nez avec eux. Cependant, il est malheureux que certaines espèces sont en voie de disparition.
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    Top 10 des animaux les plus dangereux de la forêt amazonienne

     

    Les animaux les plus dangereux de la forêt amazonienne

    Crédits : iStock

    par Clara Zerbib, journaliste animalière

    Avec sa superficie de 2,12 millions de kilomètres carrés, la forêt amazonienne est la plus grande forêt tropicale du monde. Elle abrite une flore et une faune exceptionnelle, avec des milliers d’espèces animales différentes, sans compter les millions d’insectes. Mais parmi tous ces animaux (dont la plupart sont en voie de disparition) se trouvent des créatures pour le moins dangereuses que vous n’aimeriez certainement pas rencontrer au détour d’un chemin…

    1. L’anaconda géant

    Aussi appelée anaconda vert, l’anaconda géant est le plus grand serpent du monde. Et pour cause, il peut mesurer jusqu’à 9 mètres de long et peser plus de 250 kg. Il vit exclusivement en Amérique du Sud, notamment dans les marais, les ruisseaux et les rivières de la forêt amazonienne. Non venimeux, ce serpent tue sa proie par constriction (en l’étouffant) puis l’avale entièrement. Ainsi, il se nourrit principalement de cerfs, de caïmans, de tortues et même de jaguars.

    serpent anaconda

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    Crédits : Jeff Kubina/Flickr

    2. La grenouille venimeuse

    Cette grenouille aux couleurs vives est considérée comme l’un des animaux les plus dangereux au monde. La raison ? Une seule dose de son venin secrété par sa peau pourrait tuer 10 humains adultes en quelques minutes !

    grenouille poison

    Crédits : GrrlScientist/Flickr

    3. Le caïman noir

    Avec une taille qui peut aller jusqu’à 6 mètres de long, le caïman noir a de quoi impressionner. Il est même considéré comme l’un des crocodiles les plus grands du monde. Avec sa mâchoire puissante, il attrape sa proie et la noie puis l’avale en entier.

    caiman noir

    Crédits : Bernard DUPONT/Flickr

    4. Le jaguar

    Le jaguar est le félin à la morsure la plus puissante du monde. En effet, cette dernière est bien plus efficace pour tuer les proies que celle du tigre ou même du lion. Et même s’il ressemble au léopard, le jaguar est plus grand et plus lourd.

    jaguar

    Crédits : iStock

    5. L’anguille électrique

    L’anguille électrique n’est pas vraiment une anguille mais plutôt un poisson qui ressemble à une anguille. Que ce soit pour chasser ou pour se défendre, cet animal a une technique imparable : libérer de l’électricité pour paralyser sa proie. Ensuite, il ne lui suffit plus qu’à attendre qu’elle se noie pour la dévorer

    anguille électrique

    Crédits : Doug Letterman/Flickr

    6. Le piranha

    Réputé pour son agressivité, le piranha n’est en fait pas aussi dangereux qu’il n’y paraît pour l’être humain. En effet, même s’il est capable de tuer de petits animaux sans aucun problème, les humains sont des proies bien trop grosses pour lui. Cependant, il est tout de même capable de leur infliger des blessures profondes grâce à ses dents tranchantes et à sa mâchoire particulièrement puissante.

    piranha

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    Crédits : Lilla Frerichs/Public Domain Pictures

    7. Le requin-taureau

    Le requin-taureau, qui dépasse rarement les 3 mètres de long, est l’un des requins les plus agressifs qui soient. Il vit dans les eaux boueuses et peu profondes de la rivière Amazone et n’hésite pas à s’attaquer aux humains. Et chose rare : il est capable de passer de l’eau salée à l’eau douce et inversement !

    requin taureau

    Crédits : Jeff Kubina/Wikipédia

    8. La fourmi balle de fusil

    La fourmi balle de fusil fait partie des insectes à la piqûre la plus douloureuse au monde. En effet, sa piqûre serait aussi douloureuse qu’un coup de fusil. De plus, l’effet de son venin peut agir pendant plus de 24 heures. Ainsi, cette fourmi de grande taille est tout à fait capable de tuer de petits animaux, comme un écureuil par exemple.

    fourmi balle

    Crédits : emills1/Flickr

    9. L’araignée-banane

    L’araignée-banane doit son nom à son habitude de se cacher dans les régimes de bananes. Mais elle se retrouve également dans les habitations, donnant lieu à de nombreux cas de morsures chaque année. En effet, dotée d’un puissant venin, cette araignée peut provoquer une paralysie et, plus rarement, la mort

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    araignée banane

    Crédits : Bernard DUPONT/Wikimedia Commons

    10. Le mille-pattes géant à pattes jaunes

    Considéré comme la plus grande scolopendre au monde, ce mille-pattes carnivore peut mesurer jusqu’à 40 centimètres de long. Animal très agressif et venimeux, sa morsure n’est cependant pas mortelle pour l’être humain, hormis chez les petits enfants, même si elle est très douloureuse. Il se nourrit de petits animaux, notamment d’araignées, de lézards, de rongeurs, de petits serpents et même de petits oiseaux.

    mille pattes

    Crédits : Tod Baker/Flickr

    Source

    https://animalaxy.fr/

    Le Saviez-Vous ► Pourquoi certains serpents sont-ils plus venimeux que d’autres?


    Il y a des serpents plus venimeux que d’autres. Pourquoi cette différence ? La nourriture disponible, la taille du serpent ?
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    Pourquoi certains serpents sont-ils plus venimeux que d’autres?

     

     Pas touche au crotale  | Cloudtail the Snow Leopard via Flickr CC License by

    Pas touche au crotale | Cloudtail the Snow Leopard via Flickr CC License by

    Repéré par Peggy Sastre

    Tout (ou presque) est une question de nourriture

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    Repéré sur Ecology Letters, Université nationale d’Irlande à Galway

    La phobie des serpents est l’une des plus courantes au monde et n’a, à la base, rien d’irrationnel: leurs morsures venimeuses en font de redoutables prédateurs. Reste que certaines espèces, comme les cobras, les boomslangs ou les crotales possèdent une réserve de venin bien supérieure à leurs besoins –capable de tuer des milliers de leurs proies naturelles et une bonne tripotée d’humains– quand d’autres, à l’instar du serpent marin Aipysurus eydouxii, ont un venin si faible qu’il le rend quasi inoffensif. Pourquoi la capacité létale ou paralysante du venin de serpent varie-t-elle autant d’une espèce à l’autre?

    Une étude, menée par des scientifiques de l’Université nationale d’Irlande à Galway, de l’Université de St Andrews, du Trinity College de Dublin et de la Société zoologique de Londres, révèle pourquoi certains serpents sont beaucoup plus mortels que d’autres. Le secret est évolutionnaire: les venins ont évolué pour être les plus efficaces contre les animaux phylogénétiquement les plus proches de ceux que les serpents ont l’habitude de manger.

    Ce que Kevin Healy, l’auteur principal de l’article, résume en ces termes:

    «Ces résultats sont logiques d’un point de vue évolutionnaire car on pouvait s’attendre à ce que l’évolution ait façonné les venins pour les rendre les plus mortels vis-à-vis des proies les plus fréquentes des serpents. Vous ne trouverez pas beaucoup de souris dans la mer alors il ne fallait pas s’attendre à ce qu’un serpent marin développe un venin plus efficace pour tuer les souris que les poissons».

    Un travail qui montre aussi que la quantité de venin qu’un serpent renferme dépend autant de sa taille que de son milieu. Les glandes venimeuses les plus prolifiques sont celles des serpents terrestres, suivis par les serpents arboricoles puis les serpents marins. Une différence qui pourrait être déterminée par l’abondance des proies disponibles dans leurs environnements respectifs. Les opportunités alimentaires des serpents terrestres, vivant en général dans des régions chaudes et arides, étant les plus rares, l’évolution les a dotés de la meilleure assurance boustifaille.

    Prochaine étape pour l’équipe du Dr. Healy: voir si son modèle est capable de prédire la dangerosité du venin des serpents extérieurs à la centaine d’espèces analysées et comparées dans leur étude. Une base de données écologiques et évolutionnaires susceptible, par ailleurs, d’identifier des venins aux propriétés biomédicales intéressantes pour l’industrie pharmaceutique.

    http://www.slate.fr/

    Le Saviez-Vous ► Araignées : 10 idées reçues à oublier absolument !


    Les araignées génèrent chez plusieurs personnes, une peur, un dégoût, pourtant, la grande majorité ne sont pas dangereuses et sont très utiles. Cependant, il y a beaucoup d’idées préconçues envers ces bestioles. Ceux qui n’aiment vraiment pas les araignées, n’aimeront  pas du tout savoir à propos des araignées dans la maison.
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    Araignées : 10 idées reçues à oublier absolument !

     

    par Clara Zerbib, journaliste animalière

    La peur des araignées est l’une des phobies les plus répandues chez les êtres humains. En effet, leur corps velu, leurs nombreux yeux, leurs huit pattes et leur façon si particulière de se déplacer en effraient, voire en dégoûtent plus d’un. Et pourtant, la plupart des araignées sont complètement inoffensives et cherchent par tous les moyens à fuir les humains. À croire qu’elles sont aussi rebutées par nous que nous le sommes par elles !

    Afin de vous montrer que ces petites bêtes sont presque aussi mignonnes que nos chiens et nos chats et qu’il n’y a absolument pas lieu d’en avoir peur, voici 10 mythes sur les araignées que vous pouvez dès à présent oublier !

    1. En hiver, les araignées se réfugient à l’intérieur

    On pense souvent que, lorsque l’hiver arrive, les araignées s’empressent de venir se réfugier dans nos maisons pour échapper au froid. En effet, il n’est pas rare d’en voir plus souvent à l’intérieur en automne qu’en été.

    Mais en réalité, la plupart des araignées que l’on rencontre dans nos foyers y vivent depuis toujours. Ces araignées pondent leurs œufs dans les meubles et vivent, de génération en génération, à l’intérieur. Elles se sont même adaptées au climat tempéré des maisons et au manque d’eau et de nourriture.

    2. Les araignées sont agressives

    Lorsque l’on se réveille et que l’on remarque un bouton sur notre corps alors que nous sommes en plein hiver et qu’il n’y a pas de moustiques dans la zone, on pense immédiatement à une piqûre d’araignée. Or, non seulement les araignées ne piquent pas, mais en plus elles sont de nature peureuse. Ainsi, elles ont plutôt tendance à fuir lorsqu’elles aperçoivent un humain ! De plus, elles ne se nourrissent pas de chair humaine.

    Les seuls moments où une araignée peut vous mordre (encore faut-il qu’elle soit suffisamment grosse), c’est lorsqu’elle se sent menacée, lorsque vous vous asseyez dessus par inadvertance, par exemple.

    3. Le venin des mygales est mortel

    Les mygales sont victimes d’une réputation particulièrement négative. En effet, leur grande taille et leur corps velu ont de quoi effrayer. Mais, en réalité, malgré un venin puissant, leur morsure, qui s’avère tout de même douloureuse, n’est généralementpas dangereuse pour l’Homme.

    De rares espèces de mygales peuvent causer des comas et une seule (Atrax robustus) peut provoquer la mort. Toutefois, il existe un anti venin.

    4. Les araignées sont des insectes

    Même si les araignées présentent quelques caractéristiques communes avec les insectes, elles ne peuvent pas être considérées comme telles ! En effet, les araignées sont des arachnides, tout comme les acariens et les tiques. Cela signifie qu’elles ont huit pattes, contrairement aux insectes qui en ont généralement six, et qu’elles n’ont pas d’antennes.

    5. Les araignées sont mieux dehors

    Pour les plus empathiques d’entre nous, lorsqu’il nous arrive de trouver une araignée à l’intérieur de la maison, notre premier réflexe n’est pas de l’écraser mais de la mettre dehors. En effet, on imagine qu’elle sera certainement plus heureuse à l’extérieur.

    Et pourtant, comme on a pu le voir tout à l’heure, les araignées que l’on rencontre à l’intérieur des maisons y vivent bien souvent depuis toujours. Ainsi, les relâcher dans la nature revient à signer leur arrêt de mort. Et pour cause, elles ne sont pas habituées à la vie en plein air, aux températures changeantes et aux prédateurs !

    araignée maison

    Crédits : iStock

    6. On avale 8 araignées par an en dormant

    C’est totalement faux ! Comme nous l’avons vu, les araignées ont plutôt tendance à fuir les humains. Ainsi, si une araignée se retrouvait par hasard sur votre visage, il faudrait déjà que cela ne vous réveille pas, mais qu’en plus vous dormiez la bouche ouverte et que vous ne respiriez pas.

    En effet, les araignées détestent la chaleur. Or, lorsque vous respirez, vous exhalez un souffle chaud. Et ne parlons pas des vibrations produites par vos ronflements qui auraient vite fait de faire détaler toute éventuelle araignée !

    7. Les araignées sont partout

    On dit souvent que les araignées sont tellement nombreuses qu’elles sont partout autour de nous, invisibles, et qu’elles observent le moindre de nos mouvements. De quoi rendre ces petites bêtes particulièrement angoissantes ! Mais en réalité, tout dépend de l’endroit où vous vous trouvez.

    En effet, si vous décidez de pique-niquer dans un parc, il y a fort à parier que vous serez entouré d’araignées minuscules. En revanche, si vous vous trouvez sur un terrain de golf ou tout autre gazon hyper entretenu, il y a peu de chances d’en rencontrer. De même si vous êtes dans un avion ou au sommet d’un gratte-ciel. Enfin, sachez que l’hiver, la plupart des araignées restent bien au chaud dans leurs terriers.

    8. Toutes les araignées tissent des toiles

    Lorsque l’on pense aux araignées, on pense immédiatement à la toile si particulière qu’elles passent des jours à tisser. Cette toile en soie, qui est généralement plutôt collante, leur sert à capturer leurs proies et donc à se nourrir.

    Cependant, toutes les araignées ne tissent pas des toiles. En effet, certaines s’enfoncent dans la terre pour se camoufler, d’autres se tiennent en embuscade et d’autres encore vont directement au contact.

    9. Les araignées pondent sous la peau

    On a tous entendu quelqu’un dire qu’il connaissait quelqu’un à qui c’était arrivé : voir sortir d’une partie de son corps des centaines de petites araignées. La raison ? Une araignée qui aurait pondu sous la peau…

    En réalité, il est impossible que cela arrive pour la simple et bonne raison que les araignées ne disposent pas d’organe perforateur. Elles peuvent tout au plus vous mordre, et seulement si elles sont suffisamment grosses. En revanche, les acariens, qui peuvent être confondus avec les araignées, ont cette capacité… À bon entendeur !

    10. Les araignées tissent des toiles en spirales

    La première image qui nous vient à l’esprit lorsque l’on imagine une toile d’araignée, c’est sa forme circulaire constituée d’une série de spirales. Pourtant, les araignées sont capables de créer des toiles aux designs différents.

    Par exemple, certaines araignées créent des toiles à entonnoir qui ne collent pas et dans lesquelles elles se cachent jusqu’à ce qu’une proie passe à proximité. Elles sortent alors de leur cachette pour attaquer.

    Source

    https://animalaxy.fr/

    Comment réagir en cas de morsure animale?


    Qu’importe l’animal domestique ou sauvage, une morsure doit être prise au sérieux, pour éviter les infections. Bien que dans mon coin de pays, un animal projetant un venin est plutôt rare, il est quand même important de savoir la marche à suivre surtout en voyage.
    Nuage

     

    Comment réagir en cas de morsure animale?

     

    © getty.

    Chien, chat, cheval, singe, chauve-souris,… les premiers soins sont les mêmes.

    Lors d’une morsure par un animal, il y a un risque d’infection bactérienne. En effet, la gueule de l’animal contient une série de bactéries qui peut contaminer la plaie et infecter le sang de la personne qui a été mordue. La prise en charge des morsures d’animaux n’est donc pas une chose à prendre à la légère. Elle nécessitera systématiquement l’avis d’un médecin.

    Risques

    Les principaux risques graves des morsures sont les infections par la bactérie Clostridium tetani (qui engendre le tétanos) et par le virus de la rage. On dénombre environ 20 cas de tétanos par an en Belgique. Ces cas sont le plus souvent des personnes âgées dont la vaccination n’est pas à jour. La rage, bien que presque totalement éradiquée en Europe, fait encore de nombreuses victimes dans le monde: attention si vous voyagez dans les pays endémiques.

    Les bons réflexes

    Si vous vous faites mordre par un chien par exemple, le meilleur réflexe à avoir est de prendre les coordonnées du propriétaire. Le maître pourra ainsi être contacté afin de s’assurer du statut vaccinal de son animal. Il est aussi très important de prendre note de l’heure de la morsure afin de la communiquer au médecin. Si vous voyagez et que vous vous faites mordre par un singe par exemple, contactez l’Institut de médecine tropicale d’Anvers (https://www.itg.be/ ou 03/247 66 66) qui vous renseignera sur la marche à suivre.

    Les soins

    La première chose à faire lors d’une morsure est de laver la plaie pendant 15 min à l’eau et au savon. Il faudra aussi rincer abondamment. La désinfection de la plaie ne sera conseillée qu’après ce lavage intensif. Comme toutes les morsures présentent un haut risque d’infection, une consultation médicale est nécessaire. Selon l’animal en cause, le type ou la localisation de la plaie, un traitement antibiotique pourra être prescrit. Si vous n’êtes pas à jour pour le tétanos, un rappel ou une revaccination sera nécessaire. Une surveillance de la plaie ainsi que de la température est à effectuer les quelques jours suivants la morsure. Au moindre signe d’infection (pus, plaie odorante, douleur intense, fièvre,…), il faudra reconsulter.

    Cas particulier : les serpents et vipères 

    Pas besoin d’aller bien loin pour rencontrer des vipères. On en trouve dans le sud de la France ou dans certains coins de Belgique. Lors d’une morsure, il faut garder son calme. La plupart n’entraînent que des réactions locales et, si la vipère est venimeuse, l’accélération du rythme cardiaque ne fera que diffuser le venin plus rapidement. Il faudra appeler le 112 et bien observer l’animal pour le décrire à l’hôpital. Mieux, on peut le photographier. En attendant les secours, on lave la plaie à l’eau et au savon et on enlève toutes compressions (chaussures, bagues, montre). On ne pratique ni garrot ni succion qui aggravent les lésions. La marche à suivre est la même si vous vous faites mordre par un serpent à l’étranger. Il faudra bien observer la bête afin de la décrire, contacter l’hôpital le plus proche, laver la plaie à l’eau et au savon, enlever les compressions et enfin garder son calme.

    https://www.7sur7.be/

    Sa fille lui donne "des jolis coquillages", il évite le pire: "J’ai de la chance d’être encore en vie"


    Ramasser des coquillages est une activité très populaire sur la plage, mais certains endroits, il vaut mieux éviter de les ramasser ou du moins les prendre avec beaucoup de précautions. Un coquillage peut abriter un animal qui pourrait être très dangereux voir mortel.
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    Sa fille lui donne « des jolis coquillages », il évite le pire: « J’ai de la chance d’être encore en vie »

     

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    Source: Perth Now, New Zealand Herald

    Une journée de détente sur la plage de Quindalup dans le sud-ouest de l’Australie a failli virer au drame pour cette famille originaire de Perth. Sans le savoir, elle a ramené à la maison l’un des animaux les plus toxiques au monde, la pieuvre à anneaux bleus.

    Sur la plage fréquentée, coquillages et grand danger… Voilà comment la famille Pix pourrait revisiter le célèbre air entonné par Brigitte Bardot pour partager sa mésaventure.

    « J’aurais pu mourir devant mes enfants la veille de Noël », entame Aaron, le père.

    La faute à deux « jolis coquillages » ramassés par sa fille de onze ans sur la plage.

    « De retour à la maison, j’entame le nettoyage des coquilles. Une petite pieuvre apparaît alors soudainement dans ma main », explique-t-il en précisant qu’à ce moment-là, il n’est pas encore conscient du risque qu’il encourt. « Une autre pieuvre à l’allure identique est posée contre ma jambe. Je lance une recherche sur Google et c’est là que je comprends que nous avons affaire à une espèce venimeuse. » 

    « Une morsure peut tuer en trois minutes »

    Le venin contenu dans la salive du céphalopode peut provoquer une insuffisance respiratoire et tuer un homme en l’espace de quelques minutes. Le poison empêche l’oxygène de circuler dans l’organisme et paralyse la victime, qui reste consciente.

    « Apparemment, la morsure n’est pas douloureuse, vous ne savez probablement même pas que vous êtes mordu. Pourtant, vous êtes mort en trois minutes », reprend Aaron, qui a été admis à l’hôpital par mesure précaution. « Nous avons eu beaucoup de chance, mais l’incident m’inquiète. Combien de personnes font la même chose sans se rendre compte du danger? »

    La pieuvre à anneaux bleus a déjà fait deux victimes en Australie.

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