Les insectes sont 5 fois plus riches en antioxydants que le jus d’orange


Chercher des alternatives à la viande, soit pour avoir une meilleure qualité nutritive, ou le côté écologique, les insectes serait le meilleur choix pour plusieurs raisons. Cependant, pour les antioxydants, il semble que ce soit des insectes bien précis qui sont beaucoup plus riche que le jus d’orange. Pour le moment, beaucoup sont réticents à manger des insectes, mais peut-être qu’un jour, ce choix s’imposera de lui-même.
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Les insectes sont 5 fois plus riches en antioxydants que le jus d’orange

Les insectes, une excellente source d’antioxydants, protéines, minéraux et acides aminés. © nicemyphoto - Fotolia

Les insectes, une excellente source d’antioxydants, protéines, minéraux et acides aminés. © nicemyphoto – Fotolia


Céline Deluzarche
Journaliste

Que diriez-vous d’une infusion de criquets et de sauterelles pour votre petit déjeuner ? Si le menu ne vous enchante pas, sachez pourtant que les extraits d’insectes représentent une source d’antioxydants cinq fois plus importante qu’un jus d’orange fraichement pressé, d’après une étude de l’université de Teramo (Italie) parue dans le journal Frontiers in Nutrition.

Les chercheurs ont mixé et réduit en extrait soluble douze insectes autorisés à l’alimentation pour analyser leur teneur en antioxydants. Résultat : si les scorpions noirs et les tarentules s’avèrent très décevants, les criquets, les vers à soie et les sauterelles affichent des valeurs cinq fois plus élevées que le jus d’orange. De plus, ces antioxydants sont plus diversifiés et auraient une capacité supérieure à contrecarrer le stress oxydatif, selon les chercheurs.

Les insectes possèdent bien d’autres avantages nutritionnels : à poids égal, ils sont trois fois plus riches en protéines que le bœuf ; ils sont une bonne source d’acides gras polyinsaturés, de minéraux, de vitamine B, d’acides aminés et de fibres. De plus, leur élevage est bien plus écologique que la viande classique : il génère 100 fois moins de gaz à effet de serre que le bœuf et utilise 50 fois moins d’eau. Plusieurs startups comme Micronutris, La Criqueterie ou Jimini’s se sont lancées en France et commercialisent des criquets grillés à picorer à l’apéro ou des barres de céréales à la farine de grillon. Reste encore à convaincre les consommateurs, pour l’instant encore assez réticents à l’idée d’avaler des insectes.

https://www.futura-sciences.com/

Au Cambodge, un café à reptiles pour apprivoiser ces animaux "incompris"


Les cafés chats ou même chien, je trouve que c’est une belle initiative surtout si cela aident ces bêtes à trouver un foyer. Mais des reptiles, je suis moins sure. Ce ne sont pas des animaux qui devraient être domestiqués.
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Au Cambodge, un café à reptiles pour apprivoiser ces animaux « incompris »

 

Au Cambodge, un café à reptiles pour apprivoiser ces animaux Au Cambodge, un café à reptiles pour apprivoiser ces animaux « incompris » © AFP / TANG CHHIN Sothy

Terrifiés par les scorpions et pythons albinos ? Un Cambodgien vient d’ouvrir un café qui leur est consacré à Phnom Penh afin de permettre d’approcher, voire de caresser, ces animaux « incompris ».

Il s’agit du premier bar de ce type au Cambodge, mais le modèle fait déjà fureur au Japon. A Phnom Penh, les clients peuvent boire leur café au milieu de reptiles importés de Thaïlande. Les murs du café sont couverts de terrariums contenant des serpents de toutes tailles aux multiples couleurs.

Certains clients les regardent avec appréhension, d’autres s’en approchent et acceptent même que les reptiles leur grimpent dessus: une femme éclate de rire quand un python albinos se glisse derrière sa tête, un homme caresse un dragon barbu, lézard robuste et massif doté de griffes acérées, perché sur une table.

Mais à Phnom Penh, où manger des insectes comme des araignées frites ne choque personne, le « Reptile Café », la démarche s’affirme pédagogique, pour que les clients osant pousser la porte « ne perçoivent plus ces animaux comme des créatures effrayantes » ou consommables, espère Chea Rathy, le propriétaire des lieux.

Son café commence à se tailler une certaine popularité, notamment chez les jeunes, qui « se mettent des pythons autour du cou pour prendre des selfies », raconte Chea Rathy.

Des voix se sont élevées cependant pour critiquer le concept du « reptile-café », s’indignant que les animaux ne soient pas en liberté. Mais Chea Raty avance que ces animaux, nés en captivité, ne pourraient pas survivre dans la nature s’ils étaient relâchés.

Un autre café, consacré aux chats, a ouvert ses portes au Cambodge. Originaires de Taïwan, les « neko cafés » ou bars à chats sont devenus légion au Japon et le concept s’importe de plus en plus à travers le monde.

  Phnom Penh

http://www.lepoint.fr/insolite/

Le Saviez-Vous ► Quels sont les insectes les plus savoureux?


Avant, je disais que jamais je n’y goûterais, aujourd’hui, je dis peut-être, mais je n’irais sûrement pas dans une animalerie pour acheter des insectes. Au Québec, il y a une compagnie qui s’est spécialisée en ce genre d’aliments https://www.ukaproteine.com/boutique. En fouillant un peu, j’ai vue qu’ils ont des points de vente dont une qui est assez près de chez-moi …
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Quels sont les insectes les plus savoureux?

Free Criquet !! / c.hug via Flickr CC License by

Free Criquet !! / c.hug via Flickr CC License by

Brian Palmer

Au menu, brochettes de criquets grillés, kebab de scorpions ou macédoine de fourmis. Voici les insectes comestibles et la manière la plus délicieuse de les accommoder.

La récolte des fourmis au Brésil est en baisse. Sans doute à cause des pesticides que les agriculteurs vaporisent dans les champs d’eucalyptus. Aussi surprenant que cela puisse paraître aux yeux du reste du monde, les Brésiliens sont scandalisés par cet état de fait. Chaque année, ils viennent en masse chasser les fourmis femelles, un mets très populaire dans ce pays sud-américain. Bien que la perspective de manger des insectes n’ait jamais vraiment séduit les Occidentaux, L’Explication a cherché à savoir quels insectes seraient les plus appréciés chez nous.

Grillons et criquets en tête de liste

Selon ceux qui pratiquent l’entomophagie (la consommation d’insectes par l’homme), les orthoptères, notamment les grillons, les sauterelles et les criquets, font figures de favoris. Servis comme hors d’œuvre, ils ont l’avantage d’être plus charnus que des insectes de plus petite taille, tels que les fourmis ou les moustiques. Ils ont aussi un goût neutre: les orthoptères sont le tofu du monde des insectes, plutôt insipides en soi, mais s’imprégnant facilement de la saveur du plat qui les contient.

On peut les consommer de multiples façons. L’exosquelette des sauterelles est une enveloppe étanche. Grillades et autres méthodes de cuisson à forte chaleur sont donc adaptées. En les faisant d’abord mariner, cependant, vous attendrirez leur structure croustillante. Les criquets, en particulier les nymphes dont le squelette externe est plus fin, font de bons ragoûts. Vous pouvez aussi les broyer pour les utiliser en remplacement de la farine. Les plus téméraires pourront s’attaquer à certaines espèces de guêpes (qui rappellent le goût des pignons de pin), de chenilles (qui ont un goût de cire d’abeille) ou à un type particulier de punaises (au goût de pomme).

Plus de 1.400 espèces comestibles

Plus de 1.400 espèces d’insectes peuvent être consommées sans danger. Un chiffre tout compte fait assez faible à côté des 900.000 espèces d’insectes connues à ce jour dans le monde. Cela n’implique pas forcément que les espèces non répertoriées comme comestibles sont toxiques ou dégoûtantes. C’est simplement qu’il n’y a pas eu d’effort collectif visant à essayer de goûter les insectes qui ne font pas déjà partie des traditions culinaires d’un pays donné.

Même la consommation d’insectes venimeux ne comporte pas de risque si vous les faites cuire. La température de cuisson modifie la structure chimique de leur venin et le rend inoffensif. Les scorpions, par exemple, sont un mets très prisé dans certaines régions d’Asie. Si les mangeurs inquiets leur coupent parfois le bout de la queue (c’est là que se trouve l’appareil venimeux), les connaisseurs n’en perdent pas un morceau.

La majorité des insectes peuvent donc être dégustés sans danger. Mais, naturellement, beaucoup d’espèces sont loin d’être savoureuses. En règle générale, il faut éviter les insectes très colorés. S’ils n’ont pas besoin de se fondre dans la nature pour survivre, c’est parce qu’ils ont un goût tellement amer qu’aucun prédateur ne les chassent, même si ce sont des proies faciles. Ainsi, les coccinelles ne raviront pas vos papilles…

Les précautions à prendre

La plupart des spécialistes de l’entomophagie déconseillent aux néophytes d’aller à la chasse aux insectes dans leur jardin pour se concocter un bon petit plat. Vous pouvez donc ranger votre filet à papillons dans le grenier. Les insectes sont recouverts de résidus de pesticides susceptibles d’avoir été utilisés sur vos plantes – même si on ne peut être absolument certain de leur nocivité. Même si vous cultivez un jardin entièrement bio, impossible de savoir où votre proie a traîné avant d’atterrir sur vos bégonias. Si vous tenez à capturer vous-même des sauterelles pour les cuisiner, enfoncez-vous en pleine cambrousse, aussi loin des activités humaines que possible.

Vous prendriez cependant moins de risques, sans compter que ce serait bien plus facile, d’aller acheter vos insectes dans une animalerie. La plupart de ces magasins ont en réserve des criquets qui servent à nourrir les reptiles, les tarentules et autres animaux exotiques. Soyez vigilants si vous achetez des insectes vendus comme des animaux domestiques et non destinés à la consommation: (abattre ou) manger une bête généralement considérée comme un animal familier doit se faire dans le respect de la législation. Certaines animaleries peuvent même vous faire signer un document où vous vous engagez à ne pas infliger de traitements cruels aux animaux (même dans le cas des scorpions et des tarentules). Pour éviter d’être ennuyé par les ambiguïtés de nature morale et juridique, fournissez-vous chez l’un des sites de vente en ligne qui proposent un large choix d’insectes très gouteux.

Brian Palmer

Traduit par Micha Cziffra

L’explication remercie David George Gordon, auteur de Eat-a-Bug Cookbook: 33 Ways To Cook Grasshoppers, Ants, Water Bugs, Spiders, Centipedes, and Their Kin et de The Compleat Cockroach

http://www.slate.fr/

45 000 espèces d’araignées inconnues vivent sur Terre


Il y aurait plus de mammifères que d’araignées. Et ces araignées quoique récoltés partout dans le monde, des milliers restent à être identifiés, donc des nouvelles espèces qui attendent à recevoir un nom pour les différencier de celles qui sont connues
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45 000 espèces d’araignées inconnues vivent sur Terre

 

araignée

Crédits : Guylaine Brunet from St-Paul-de-l’ile-aux-noix, Canada

Par Julie Aram

Nous ne connaissons que la moitié des araignées vivant sur Terre, affirme le conservateur du Museum Américain d’Histoire Naturelle de New York (Etats-Unis), soit 45 000 espèces « seulement ».

Voilà qui ne va pas ravir ceux qui craignent les araignées : la moitié seulement du total des espèces d’araignés évoluant à ce jour sur Terre est connue des chercheurs. En d’autres termes, il existe des dizaines de milliers d’espèces d’araignées inconnues de la science, et qui restent encore à découvrir…

A l’heure actuelle en effet, les chercheurs ont identifié pas moins de 44 500 espèces d’araignées. Un nombre important certes, mais qui reste encore bien inférieur au nombre total d’espèces d’araignées estimé par les scientifiques, lequel avoisinerait les 90 000 espèces selon Norman Platnick, conservateur du Museum Américain d’Histoire Naturelle de New York (Etats-Unis).

Sur quoi se base Norman Platnick, qui dirige également l’un des projets du Planetary Biodiversity Inventory visant à actualiser les connaissances concernant les araignées de la famille des Oonopidae, pour formuler cette estimation ? Principalement sur le fait que le nombre d’espèces d’araignées dormant dans les muséums sans pour autant jamais avoir été identifiées est souvent extrêmement conséquent. En effet, s’il est rapide et aisé de collecter de nouvelles espèces sur le terrain, il est en revanche beaucoup plus long et fastidieux d’identifier et de classifier ces nouvelles espèces.

Un autre témoignage vient renforcer l’estimation de Norman Platnick : celui de Lorenzo Prendini (Museum Américain d’Histoire Naturelle de New York, Etats-Unis), spécialisé dans l’étude des scorpions (les scorpions appartiennent à la classe des arachnides). Lors d’un interview donné au site web LiveScience, le chercheur explique :

« lorsque nous allons étudier certaines zones, par exemple au Sud Ouest des Etats-Unis, en Afrique du Sud ou en Australie qui sont des zones dont la faune des scorpions est bien connue, et que nous recensons les espèces présentes dans la zone à l’aide d’une grande variété d’outils techniques modernes, le nombre total d’espèces de scorpions que nous y découvrons est deux à trois fois supérieur au nombre d’espèces connues identifiées sur le même lieu ».

Rappelons à titre de comparaison qu’il existe environ seulement 5400 espèces de mammifères…

http://www.journaldelascience.fr

Hamburgers à la sauterelle et sucette au scorpion, pour la bonne cause


Mangeriez-vous un plat dont un des ingrédients principaux sont des insectes, si on vous promet de donner 5 dollars aux démunis ? Serait-ce assez convaincants pour oser essayer ?
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Hamburgers à la sauterelle et sucette au scorpion, pour la bonne cause

 

Les insectes «sont le futur» pour nourrir le... (Photo Karen BLEIER, AFP)

Les insectes «sont le futur» pour nourrir le monde, affirme Randolph Carter, l’un des responsables d’Ehrlich, «produire un kilogramme de cette nourriture gaspille dix fois moins d’énergie que produire un steak».

Photo Karen BLEIER, AFP

Agence France-Presse
WASHINGTON

«C’est un peu croquant, c’est bon», déclare à l’AFP la jeune Erin Kolski en goûtant le hamburger à la sauterelle qui vient de lui être servi au restaurant l’Occidental Grill, sur la prestigieuse Pennsylvania Avenue.

Le buffet cuisiné par le chef Rodney Scruggs — vers sauce mexicaine, sauterelles rôties, fourmis au chocolat, sucettes au scorpion, etc. — était offert par Ehrlich Pest Control, une société spécialisée dans la lutte contre les nuisibles qui voulait célébrer la maison.

Elle entendait également reverser, pour chaque courageux prêt à croquer dans les sauterelles, 5 dollars à DC Central Kitchen, une banque alimentaire pour démunis.

Les insectes «sont le futur» pour nourrir le monde, ajoute Randolph Carter, l’un des responsables d’Ehrlich, «produire un kilogramme de cette nourriture gaspille dix fois moins d’énergie que produire un steak».

Mary Than et Deth Khaiaphone, la quarantaine, sont venues en connaisseuses. Elles sont laotiennes et Mary Than gère un restaurant.

«Nous avons l’habitude de mettre des insectes dans notre nourriture», disent-elles avant de se régaler d’une assiette de vers et de sauterelles frites.

«C’est délicieux, nutritif, sain et ce n’est pas de la nourriture industrielle», s’amuse Deth.

http://www.lapresse.ca/

Le Saviez-vous ►Les animaux les plus dangereux de la planète (et ce ne sont pas forcément ceux qu’on croit)


Quels sont les animaux les plus dangereux ? Le classement est selon la dangerosité pour l’homme, et contrairement a ce que l’on peut croire, ce n’est pas parce qu’ils sont gros, qu’ils sont les plus dangereux
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Les animaux les plus dangereux de la planète (et ce ne sont pas forcément ceux qu’on croit)

 

Crédit wikipédia commons

Indice : cette liste ne comprend ni les piranhas, ni les hyènes, ni les araignées. Et oui, les animaux les plus dangereux ne sont pas forcément ceux que vous croyez.

Les animaux les plus dangereux de la planète ne sont pas forcément ceux auxquels vous pensez en premier. Preuve en est avec cette liste qui classe la dangerosité des animaux selon le nombre de morts qu’ils causent par an chez l’homme. Et les requins arrivent avant-derniers.

Les moustiques

Ce sont les animaux les plus dangereux de la planète, au sens où ils causent chaque année le plus grand nombre de morts. Selon l’Institut océanographique de Monaco, les empêcheurs de dormir en rond feraient entre 800 000 et 2 millions de morts.

En cause : la faculté, et la facilité, qu’a mademoiselle (seule les femelles piquent) à propager virus, bactéries et autres parasites qui répondent bien souvent au nom de dengue, chikungunya, virus du nil occidental ou encore paludisme.

Les régions tropicales et en particulier l’Amérique du Sud ainsi que le continent africain sont les plus touchées.

Les serpents venimeux

Les serpents venimeux sont responsables de la mort d’environ 100 000 personnes par an sur l’ensemble de la planète, toujours selon une étude de l’Institut océanographique de Monaco relayée par Lefigaro.fr.

Le cobra royal est considéré comme le serpent le plus venimeux du monde. Il peut mesurer entre 3 et 5 mètres et se dresser d’un tiers de la longueur de son corps s’il se sent agressé, avant d’attaquer. Son venin neurotoxique attaque le système nerveux, brouillant la vision, occasionnant des vertiges et une paralysie faciale. Le système respiratoire cesse ensuite de fonctionner, entraînant la mort. Il se rencontre principalement en Asie. Plus au sud, en Australie, c’est le serpent-tigre qui réputé être très venimeux.

Les scorpions

On comptabilise entre 2 000 et 5 000 morts par an suite à la piqûre d’un scorpion, principalement en Amérique tropicale, en Afrique et en Asie ; au Mexique, un peu plus d’un millier de cas sont recensés chaque année.

Le Leiurus quinquestriatus, surnommé « le rôdeur de la mort » en français, est considéré comme l’espèce la plus mortelle. La piqûre provoque des douleurs intenses, de l’hypertension puis la paralysie respiratoire entraînant la mort. L’animal vit sur le continent africain. Mieux vaut éviter sa rencontre.

Cependant, les scorpions étant généralement de nature peureuse, sauf lorsqu’ils se sentent agressés, les piqûres sont souvent dues à des accidents. Dans l’hexagone, les cinq espèces recensées sont inoffensive assure le CHU de Lille.

Les abeilles

Si les attaques d’abeilles sont rares, elles n’en restent pas moins spectaculaires comme ici, en mai 2012 en Haute-Garonne ou là, en août 2013, en Afrique du Sud.

Si certaines espèces sont réputées agressives, notamment celle surnommée d’abeilles tueuses, une espèce qui a commencé à envahir le sud des Etats-Unis dans les années 90, les abeilles ne causent, chaque année, la mort « que » de 400 personnes. Les enfants et les personnes âgées sont les plus vulnérables.

Les éléphants

Et oui, les éléphants sont des animaux plus que dangereux, et plus mortels, que les requins. Derrière leur image de bête nonchalantes et flegmatiques, ils peuvent se révéler dangereux et agressifs, notamment quand les mâles sont en rut

 

En groupe, si un troupeau se met à charger, les éléphants peuvent déplacer leurs 5 tonnes à une vitesse maximale de 24 km/h. Peu de choses résistent à leur passage.

Le crocodile du Nil

Présent sur le continent africain, le crocodile du Nil est responsable de la mort de plus de 200 personnes par an. C’est l’un des plus grands reptiles vivants avec le crocodile marin, l’anaconda et le python réticulé. Avec la tortue luth, il est aussi l’un des reptiles les plus lourds et peut atteindre les 500 kg.

Ses cousins, à savoir le crocodile Indo-Pacifique et l’alligator américain n’ont eux que de rares décès à leur actif (entre 1 à 4 chaque année).

Les grands félins

Les félins sont des prédateurs et chassent à ce titre pour se nourrir. Ils peuvent devenir agressifs s’ils se sentent menacés ou en cas d’intrusion sur leur territoire.

En Afrique, les lions sont responsables chaque année de la mort d’une centaine de personne. Plus à l’est, en Inde, les tigres tuent une cinquantaine de personnes par an. En Amérique du nord, le puma est responsable, lui, de moins d’une dizaine de décès par an.

L’hippopotame

Oui, l’hippopotame tue. On estime qu’il est responsable chaque année d’une centaine de décès, notamment en Afrique.

Les décès sont souvent dus à des accidents, à cause de la méconnaissance des touristes ou des locaux du fonctionnement de l’animal.

Très territorial, il chargera invariablement quiconque se trouvera sur ce qu’il a décrété être chez lui.

Il peut déplacer ses 300 kilos à près de 40 km/h, et tout piétiner sur son passage.

Les requins

Chaque année, entre 50 et 100 personnes meurent sous les dents acérées des requins qui confondent bien souvent surfeurs… et loutres. Des attaques toujours spectaculaires, nourries dans l’inconscient collectif par l’agressivité supposée des squales mis en scène dans Les dents de la mer. Un chiffre cependant bien faible au regard du million de décès causés par les moustiques ou par les accidents de la route.

Les espèces responsables des décès sont surtout le  »Bull Shark », le requin-tigre, le ‘‘Oceanic White tips » et le grand requin blanc. Les attaques ont principalement lieu en Australie, en Afrique du Sud, en Floride et aux îles Hawaï.

Les méduses

S’il existe bien une espèce particulièrement venimeuse de méduse, surnommée « méduse-boite » que l’on retrouve au nord de la côte est australienne, les décès dus à une rencontre avec une de ces bêtes est relativement rare.

Moins d’une dizaine par an. Les trois espèces de méduses que l’on retrouve sur les côtes françaises ne sont pas mortelles.

http://www.atlantico.fr/

Un scorpion de 350 millions d’années découvert dans l’hémisphère sud


Un scorpion vieux de quelque 350 millions d’années provenant d’un supercontinent a été découvert. C’est étonnant que les chercheurs puissent trouver des espèces qui ont existé depuis des lustres étant bien conserver pour son âge
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Un scorpion de 350 millions d’années découvert dans l’hémisphère sud

 

Un fossile scorpion de 350 millions d'années, le plus vieil animal terrestre... (Photos.com)

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Agence France-Presse
LE CAP

Un fossile scorpion de 350 millions d’années, le plus vieil animal terrestre n’ayant jamais vécu sur le méga continent Gondwana, a été découvert en Afrique du Sud, a annoncé lundi l’université Wits de Johannesburg.

La nouvelle espèce, baptisée Gondwanascorpio emzantsiensis, est la plus ancienne forme de vie jamais trouvée sur la terre ferme de l’hémisphère sud, affirme Wits dans un communiqué. Il vécut à la fin du dévonien (-400 millions d’années.)

Le Gondwana était un supercontinent (-600 millions d’années) essentiellement situé dans l’hémisphère sud et regroupant les actuelles Amérique latine, Afrique, Antarctique, Australie, péninsule arabique et sous-continent indien. Il a commencé à se fracturer en plusieurs continents au Jurassique (-160 millions d’années)

«Nous n’avions jusqu’à présent aucune preuve que le Gondwana était habité par des animaux invertébrés à cette époque», a assuré le professeur Robert Guess, de l’institut des études de l’évolution à Wits.

Le fossile, dont on distingue clairement une pince et le dard, a été découvert près de Grahamstown, dans la province du Cap oriental dans le sud de l’Afrique du Sud.

De semblables formes de vie, plus anciennes, avaient été découvertes sur l’autre supercontinent, la Laurasie, qui regroupait les actuelles Asie, Europe et Amérique du nord.

«Pour la première fois, nous avons une preuve du fait que non seulement des scorpions, mais également tous les animaux dont ils se nourrissaient étaient déjà présents au dévonien» dans l’actuelle Afrique, a ajouté le professeur Guess.

«Nous savons maintenant que vers la fin du dévonien le Gondwana, comme la Laurasie, avait un écosystème terrestre complexe, avec des invertébrés et des plantes, dotés de tous les éléments nécessaires à la vie de vertébrés terrestres, qui apparurent à peu près à cette époque ou peu après».

Les premiers vertébrés, dont sont issus les mammifères et donc les humains, sont apparus sur terre il y a environ 350 millions d’années.

La vie sur terre est apparue d’abord dans les océans, avant de coloniser les terres petit à petit à partir de 420 millions d’années avant notre ère, d’abord par les plantes, puis par les animaux invertébrés.

http://www.lapresse.ca

Le Sage et le Scorpion


Une belle leçon je trouve, car nous ne pouvons changer la nature des gens, par contre, nous pouvons leur donner une occasion de s’améliorer tout en gardant notre propre identité, nos propres valeurs
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Le Sage et le Scorpion

 

Un Sage voyant un scorpion se noyer, décida de le tirer de l’eau mais lorsqu’il le fit, le scorpion le piqua.

Par l’effet de la douleur, le Sage lâcha l’animal et celui-ci tomba à l’eau une seconde fois.

Il tenta de le tirer à nouveau et l’animal le piqua encore. Quelqu’un qui était en train d’observer se rapprocha et lui dit :

« Excusez-moi, mais vous êtes têtu ! Ne comprenez vous pas qu’à chaque fois que vous tenterez de le tirer de l’eau il vous piquera ? »


Le Sage répliqua : « La nature du scorpion est de piquer, et cela ne va pas changer la mienne qui est d’aider. »


Alors, à l’aide d’une feuille, il tira le scorpion de l’eau et le sauva de la noyade.

Puis il dit: « Ne change pas ta nature si quelqu’un te fait mal, prends juste des précautions. Les uns poursuivent le bonheur, les autres le créent. Quand la vie te présente mille raisons de pleurer, montre-lui que tu as mille raisons pour sourire. Préoccupe-toi plus de ta conscience que de ta réputation. Parce que ta conscience est ce que tu es, et ta réputation c’est ce que les autres pensent de toi… Et ce que les autres pensent de toi…c’est leur problème. »

 

Auteur inconnu

Les nouveaux animaux de compagnie


Pourquoi cette popularité d’avoir des animaux de compagnie hors du commun .. et qui en plus s’ils sont relâcher dans un environnement étranger peut faire beaucoup de dégâts, juste a penser a la Floride et les python qui se sont que trop bien adapté a leur nouvelle maison ..Sans parler que certains de ces animaux sont dangereux voir mortel .. et que d’autres pourraient faire partie des animaux en voie de disparition et font des affaire d’or aux braconniers
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Les nouveaux animaux de compagnie

par Thomas Jutant

 

Invité à souper chez des amis, vous êtes intrigué par l’aquarium qui trône au milieu de leur salon. Vous vous approchez et là… Vous faites un bond en arrière. Oui, c’est bien une mygale !

Mais qu’arrive-t-il à ceux qui s’entichent d’un animal aussi étrange que dangereux ?

Si croiser un rat sur les épaules d’un passant vous fait encore sursauter ce diaporama est fait pour vous.

Apprenez à connaitre les animaux que les spécialistes appellent les NAC, « les nouveaux animaux de compagnie. »

Attention certains NAC sont dangereux, à l’image de ces scorpions empereurs, parmi les plus gros scorpions du monde.

Très facile à élever, ce pokemon au nom imprononçable est une sorte de salamandre originaire du Mexique qui a la particularité de passer sa vie à l’état larvaire. Autre capacité étonnante, l’axolotl peut reconstituer des parties endommagées de son corps. S’il perd un oeil, il repousse !

Très mignons petits, ces cochons ont gagné le coeur de nombreuses personnalités à travers le monde, dont George Clooney. Cependant, certains vendeurs ont volontairement négligé de signaler que ces cochons qualifiés de nains pouvaient, une fois adultes peser plus de 100 kg et vider votre frigo pendant votre absence…

Encore un qui cache bien son jeu. D’un adorable petit lézard vert, l’iguane passe d’une dizaine de centimètres et quelques grammes à plus d’1m50 et plus de 1kg. Les iguanes ont une facheuse tendance à devenir irritables voire agressifs en vieillissant, surtout les mâles. Les dents d’un iguane ne sont pas très impressionnantes mais très pointues et rentrent facilement dans la chair. De plus, la queue d’un spécimen adulte est très puissante et le saurien n’hésitera pas à s’en servir et essayer de vous fouetter.

Nul doute que ce Cubain ne pourra bientôt plus tenir ce boa autour du cou.

Le principal problème pour les serpents constricteurs (qui étouffent leur proie) réside dans leur taille. Les boas et les pythons peuvent facilement atteindre plusieurs mètres. Les propriétaires, dépassés, s’en débarassent. Problème, quand les conditions climatiques s’y prêtent, ils survivent très bien dans la nature. La Floride fait ainsi face à une invasion d’un des plus grands serpents du monde, le python birman.

Les serpents venimeux deviennent eux aussi des animaux appréciés même si, là, il est hors de question de les manipuler autant que ceux dépourvus de venin.

Les ventes de rats domestiques auraient augmenté après la sortie du film d’animation Ratatouille. Très intelligent, recherchant le contact, il n’aurait rien à envier au chien selon les heureux propriétaires de rongeurs.

Entrée récemment dans la liste des NAC, la poule bénéficie d’un effet de mode depuis que le grand public a découvert qu’elle pouvait faire office d’usine de retraitement des déchets. Une poule pourra vous débarrasser de presque tous vos déchets ménagers. Attention cependant à ne pas lui donner trop de reste de viande.

Utilisé pour la chasse ou la dératisation, le furet est très tôt devenu un animal de compagnie mais un regain d’intéret dans les années 80 a fait de lui un animal de compagnie assez prisé en ville.

Ces étonnantes brindilles vivantes se nourrissent exclusivement de végétaux. Pour échapper à leur prédateurs, les phasmes restent presque immobiles et ont développé un mode déplacement qui mime les mouvements d’une petite branche sous le vent.

Ces minuscules grenouilles originaires du continent américain sont magnifiques. La beauté de ces véritables petits bijoux vivants attire de plus en plus de terrariophiles. Seul bémol, on ne peut pas les toucher. Leur peau sécrète un poison tellement puissant que les indiens d’Amérique Centrale et du Sud frottent leurs flèches sur le dos d’une grenouille pour en faire des flèches empoisonnées.

Ce lézard pourrait bien être votre meilleur allié les soirs d’été quand les moustiques rôdent. La peau de ses pattes lui permet de tenir sur des murs lisses et même au plafond ! Une faculté bien utile quand il s’agit d’aller gober les insectes dont il se nourrit.

L’arrivée du bernard l’ermite dans la famille des NAC peut surprendre. Ce petit crabe timide doit absolument trouver un objet pour y cacher son corps mou et c’est là que ça devient amusant. Mettez l’objet creux le plus insolite dans son aquarium et si il lui plait, il se baladera, par exemple, dans un dé à coudre ou dans une coquille de noix !

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