Un perroquet égaré donne son adresse à la police


La police en voit sûrement de toutes les couleurs, et certaines affaires vont rester graver pour toujours dans leur mémoire, … Ce perroquet aura surement pu décrocher l’admiration des sans-plumes ainsi que de beaux sourire
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Un perroquet égaré donne son adresse à la police

 

 

Un perroquet

PHOTO: IVANOH DEMERS, LA PRESSE

Agence France-Presse
Tokyo

Un perroquet égaré a pu être rendu à sa maîtresse mercredi en expliquant à la police japonaise l’adresse exacte de sa propriétaire.

L’oiseau s’était envolé dimanche matin de son domicile de la ville de Sagamihara, à l’ouest de Tokyo, et s’était posé peu après sur l’épaule d’un client d’un hôtel des environs, avant d’être amené à la police.

Mardi soir, le perroquet a subitement répété trois fois de suite le nom de sa ville et de son arrondissement de résidence, a expliqué un porte-parole de la police locale. Il a ensuite prononcé distinctement les numéros du pâté de maison et du domicile de sa maîtresse, devant trois policiers aux aguets.

L’oiseau a alors pu être ramené chez lui.

Sa propriétaire, une sexagénaire, avait quelque temps auparavant perdu définitivement un autre perroquet, aussi avait-elle pris ses précautions.

«Elle avait enseigné son adresse à ce perroquet après l’avoir acheté il y a deux ans», a expliqué le porte-parole.

Avant d’être rapporté à sa maîtresse, l’oiseau a même eu le temps de donner aux policiers son nom, Piko-chan.

«Il a dit « Tu es mignon, Piko-chan »», a raconté le porte-parole.

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Boissons énergisantes Un désastre pour les dents


Si vous voulez endommager vos dents en 5 jours c’est facile, juste a boire des boissons énergisantes ou sportives de façon régulière. Est-ce que cela vaut la peine ? Il semble qu’une bonne alimentation, hydratation adéquate et repos donne de meilleur rendement autant dans le sport, que de leur travail
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Boissons énergisantes ►Un désastre pour les dents

 

Un désastre pour les dents

Crédit photo : archives TVA Nouvelle

Agence QMI

La consommation de boissons sportives et énergisantes serait responsable d’une hausse des problèmes bucco-dentaires, particulièrement chez les adolescents, indique une étude récente de l’École de santé dentaire de l’Université Southern Illinois.

Le taux élevé d’acidité dans ces boissons viendrait éroder l’émail des dents, indiquent les auteurs de l’étude, parue dans l’édition de mai-juin du journal General Dentistry.

«Les jeunes adultes tiennent pour acquis que ces boissons qui promettent une meilleure performance sportive et un niveau d’énergie plus élevé sont meilleures pour la santé que les boissons gazeuses », indique l’auteur principal de l’étude, Poonam Jain.

«La plupart de ces patients sont stupéfaits d’appendre que ces boissons acides s’attaquent plutôt à leurs dents»

Les chercheurs ont étudié le taux d’acidité de 13 boissons sportives et de neuf boissons énergisantes, qui variait selon les saveurs, et ont trouvé que les dents étaient endommagées après seulement cinq jours de consommation.

Les chercheurs ont également établi que les boissons énergisantes causent deux fois plus de dommage aux dents que les boissons sportives.

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Cellulaire au volant ►Message dur à passer


Le message ne passe pas .. je pense que si les jeunes pouvaient être mit en situation cela pourrait aider … Avec la technologie il est possible de créer un environnement quasi réelle .. il en existe déjà d’ailleurs comme une personne assise devant un volant et texte tout en conduisant comme s’il était sur la route .. mais je trouve qu’il devrait ajouter des personnages sur la route, plus de rencontre de d’autres auto, un enfant qui court après son ballon ect .. Si les simulations étaient un peu plus la réalité que les jeunes rencontre sur la route, plus que ces simulations seraient obligatoire dans un cours de conduite .. peut-être que cela changerait beaucoup de chose
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Cellulaire au volant ►Message dur à passer

 

ÉRIC THIBAULT

Un jeune Québécois sur deux utilise son téléphone cellulaire au volant, même si cela est interdit depuis près de quatre ans.

C’est ce que révèle un sondage Léger Marketing sur les comportements des automobilistes de 16 à 24 ans, réalisé pour les besoins du film Dérapages, de Paul Arcand, et dont le Journal a obtenu copie.

« C’est une donnée inquiétante », a observé Jean-Marie De Koninck, président de la Table québécoise de la sécurité routière,

à propos de cette catégorie d’usagers de la route qui détient 10 % des permis de conduire, tout en se méritant 45 % des contraventions pour grands excès de vitesse ou conduite dangereuse, en plus d’être impliquée dans 25 % de tous les accidents.

Conduire trop vite, écrire des textos, ou avoir une main sur le téléphone et l’autre sur le volant sont les infractions les plus fréquentes chez les jeunes conducteurs, selon l’étude.

Cela résulte d’une méconnaissance évidente des dangers liés à la conduite automobile, a ajouté le fondateur de l’opération Nez rouge, en précisant toutefois que « ce comportement à risque n’est pas propre aux jeunes ».

Prise de conscience

« La répression est là pour rester puisque plusieurs ne comprennent pas, a noté le lieutenant Michel Brunet, de la Sûreté du Québec. Au dernier Salon de l’auto à Montréal, des jeunes nous ont dit avoir perdu des amis dans ces circonstances. À eux, ça leur a servi de leçon. »

Pour le CAA-Québec, ce sondage est « décevant ». « Ça confirme que ces comportements sont proportionnellement plus fréquents chez les 16 à 24 ans que dans l’ensemble de la population. Il faut amener les jeunes à comprendre qu’ils font partie du problème et à faire leur mea culpa », a mentionné sa porte-parole, Sophie Gagnon, en déplorant que l’automobiliste québécois soit « toujours plus indulgent pour lui-même que pour les autres ».

M. De Koninck s’est dit encouragé du fait que trois jeunes répondants sur cinq aient déjà joué le rôle de conducteur désigné. Mais pour Hubert Sacy, directeur général d’Éduc’alcool, on devrait s’attendre à mieux. D’autant plus que 18 % ont néanmoins accepté d’être le passager d’un conducteur qu’ils savaient ivre ou drogué.

« C’est 18 % de trop. C’est la preuve que la modération a bien meilleur goût, même quand on ne conduit pas », a-t-il argué.

Plus du tiers des jeunes sondés ont toutefois dit avoir cessé de texter au volant après avoir visionné une récente publicité-choc de la Société d’assurance automobile du Québec. Mais en matière d’excès de vitesse, la dernière pub n’a produit aucun effet dissuasif sur 59 % d’entre eux.

« Il y a encore du travail à faire. Il n’y a pas de consensus social pour désapprouver la vitesse, contrairement à l’alcool au volant », dit Gino Desrosiers de la SAAQ.

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France – Deux intrusions en 24 heures dans des centrales nucléaires françaises


Je ne sais pas si c’est vrai que le poète-escaladeur n’a pas pénétrer dans les bâtiments de la centrale nucléaire mais il a quand même réussit a rentré dans son enceinte .. et ce deux fois dans deux centrales nucléaires différentes .. Que ce soit chez les Français ou dans une autre pays ayant une centrale nucléaire c’est une bonne leçon. Cela aurait pu être une personne avec de moins bonnes intentions
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France – Deux intrusions en 24 heures dans des centrales nucléaires françaises

 

Des individus ont réussi à s’introduire mercredi dans l’enceinte de deux centrales nucléaires françaises

Des individus ont réussi à s’introduire mercredi dans l’enceinte de deux centrales nucléaires françaises.

La première intrusion a eu lieu à la centrale du Bugey, à Saint-Vulbas, dans le département l’Ain, dans la région Rhône-Alpes. Selon Le Monde, un militant de Greenpeace a réussi à s’introduire dans le périmètre de la centrale nucléaire en utilisant un parapente.

Une fois dans l’enceinte, il a déposé deux grenades fumigènes rouges sur le dôme d’un des réacteurs. Il se serait ensuite posé près de la centrale, où il a activé un troisième fumigène.

Électricité de France a confirmé, mercredi, l’intrusion, mais soutient que l’activiste a atterri en dehors de la zone du bâtiment et a été appréhendé par la sécurité dans les minutes qui ont suivi.

L’organisation Greenpeace a revendiqué cette action en expliquant avoir voulu montrer aux Français la vulnérabilité de leurs centrales nucléaires qui produisent les trois quarts de l’électricité du pays.

La police française, qui a interpelé le militant, a déclaré avoir intercepté un deuxième militant aux abords de la centrale du Bugey, mais cette fois à l’extérieur du site.

Nouvelle intrusion à Civaux

Quelques heures plus tard, un homme a réussi à s’introduire dans l’enceinte de la centrale nucléaire de Civaux, au sud de la ville de Poitiers, dans la région de Poitou-Charentes. Selon les médias français, l’intrus serait Hervé Couasnon, un militant qui se fait appeler le « poète-escaladeur ».

Un geste politique

L’homme se serait introduit dans la centrale en déjouant le dispositif de sécurité. Il se serait ensuite caché sur le site avant d’appeler les médias avec son téléphone cellulaire. Hervé Couasnon a déclaré à l’Agence France-Presse :

« Je suis à l’intérieur, je suis caché dans un taillis ».

Il a ensuite expliqué qu’il tentait, par ce geste, d’interpeler les deux candidats à l’élection présidentielle, François Hollande et Nicolas Sarkozy, qui doivent s’affronter dans un débat télévisé mercredi soir.

« Les Français en ont marre de la société dans laquelle ils vivent », a ajouté le « poète-escaladeur ».

L’homme a été arrêté peu de temps après par la gendarmerie française, qui avait déployé un important dispositif de sécurité pour le retrouver et l’intercepter.

D’après la police, le « poète-escaladeur » n’aurait pas réussi à pénétrer dans les bâtiments de la centrale nucléaire.

Radio-Canada.ca avec AFP et Le Monde

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Leurs enfants victimes d’abus Ces mères autruches qui ne dénoncent pas


Comment peut-on  se taire quand un enfant est abusé sexuellement par le conjoint .. comment une mère préfère se taire et ne pas protéger leur enfants ? Se fermer les yeux devant l’atrocité des sévices que des enfants subissent n’est-ce pas considéré comme complicité ?
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Leurs enfants victimes d’abus

Ces mères autruches qui ne dénoncent pas

TVA Nouvelles

Avez-vous entendu parler des mères autruches? Ce qualificatif décrit les mères qui préfèrent se mettre la tête dans le sable plutôt que d’affronter la réalité et tenter de changer la situation dont sont victimes leurs enfants.

Le phénomène a été mis en lumière lors des procès de pères ayant abusé de leurs enfants, au cours desquels des victimes ont témoigné que leur mère était au courant mais préférait fermer les yeux. TVA Nouvelles a rencontré deux victimes qui ont accepté de raconter leur histoire.

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Chantale Thibeault (Crédit: TVA Nouvelles)

Chantale Thibeault a subi de multiples sévices sexuels que lui a infligés son père dans la maison familiale alors qu’elle n’était qu’une enfant. Il y a deux semaines, 30 ans après le début des agressions, Noël Thibeault s’est retrouvé derrière les barreaux pour ce qu’il a fait subir à sa fille et à deux autres enfants.

Mme Thibeault croit que sa mère est aussi coupable parce qu’elle ne l’a pas protégée, mais elle ne se sent pas prête à porter plainte.

«J’en ai assez de tout ça. Pour moi, c’est beaucoup, de faire ça contre mon père et tout ça. Et pour moi, dans le fond, de ne plus avoir de contacts avec elle, c’est assez», explique-t-elle.

Comportement punissable

De leur côté, Isabelle Brophy ainsi que son frère et sa soeur ont porté plainte contre leur mère, Reine-Aimée Martel, après que leur père, Réal Brophy, ait été condamné à six ans de prison pour les avoir agressés.

«Je pense que c’est par lâcheté et par déni qu’elle n’a pas regardé la situation en face», croit-elle, en insistant sur l’importance de dénoncer, pour ces enfants qui voient leur mère ne pas leur venir en aide.

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Isabelle Brophy (TVA Nouvelles)

«Je me suis souvent posé la question: qu’est-ce qui m’a fait le plus mal, est-ce que ce sont tous les sévices physiques et sexuels que j’ai subis de la part de mon beau-père, ou bien c’est le rejet de ma mère? Je vous dirais que je pense que c’est le rejet de ma mère, le fait qu’elle n’ait rien fait, le fait qu’elle m’ait abandonnée», confie Mme Brophy.

L’an dernier, la DPJ a retenu 11 284 signalements d’enfants où il y avait abus ou risque d’abus. Parmi ceux-ci, 8110 concernaient des sévices physiques et 3174, des sévices sexuels. Isabelle Brophy demeure convaincue que derrière ces signalements, il y a encore trop de mères qui font encore l’autruche.

«On reste comme peut-être avec l’impression que la mère est soumise, la mère ne peut pas rien faire, mais ma mère à moi aurait pu nous sauver et nous empêcher de tout vivre ça», regrette Mme Brophy, qui demeure convaincue que derrière tous ces signalements, il y a en a encore trop qui font l’autruche.

Reine-Aimée Martel a écopé d’une peine de 18 mois dans la collectivité.

Difficiles à condamner

 

Il n’est pas facile de porter des accusations et d’obtenir des condamnations contre ces mères qui ferment les yeux sur les agressions sexuelles dont sont victimes leurs enfants, mais c’est possible.

La juge à la retraite Andrée Ruffo croit qu’il s’agit d’un crime.

«Bien sûr que c’est un crime, d’être passif, d’être silencieux. On est complice de l’abus répété de nos enfants.»

Durant toutes ces années où elle a siégé au Tribunal de la jeunesse, Andrée Ruffo a vu passé de nombreuses mères autruches.

«Jamais les mères n’étaient accusées. Il faut les rendre responsables, redevables de la sécurité de leurs enfants. Il est grand temps qu’on les accuse» ajoute-t-elle.

Bataille difficile

 

C’est grâce à la ténacité de procureure comme Hélène Carl qu’on commence à voir davantage de mères au banc des accusés.

«C’est déjà difficile d’obtenir des verdicts de culpabilité pour les agresseurs, alors imaginez pour la mère qui s’est fermé les yeux.»

Elle a obtenu deux condamnations en plaidant l’article 21b du Code criminel, qui stipule qu’on participe à une infraction «si on accomplit où omet d’accomplir quelque chose en vue d’aider quelqu’un à commettre un crime».

«C’est important de savoir que le parent qui laisse son enfant se faire battre et qui n’agit pas est autant responsable et que ça peut entrainer des accusations au même titre que le parent, je souhaite que ça réveille des gens» explique la procureure de la Couronne.

Hubert Van Gijseghem, psychologue judiciaire, qualifie de pathétiques ces mères qui commettent le crime de ne pas protéger leurs enfants. À son avis, rien ne leur permet de plaider la non-responsabilité criminelle.

«Des mères très peu construites et qui sont prêtes à sacrifier leurs enfants sur l’autel de la perversion de leur conjoint ou de leur mari pour des raisons purement pragmatiques, c’est-à-dire pour ne pas perdre leur pourvoyeur» affirme le psychologue.

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Améliorer ses relations


Comment veut-on aimer les autres si nous avons une aversion contre nous-même. Commençons par savoir nous donner des qualités et voir nos erreurs comme une opportunité de s’améliorer
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Améliorer ses relations

Vous voulez améliorer vos relations avec les autres ?

Vous pourriez commencer par améliorer la relation que vous avez envers vous-même en vous parlant gentiment, en vous montrant bienveillant envers vos erreurs, en insistant sur ce que vous faites déjà de bien et en acceptant que vous aussi vous avez des qualités, des talents et des réussites !

Michel Poulaert

Le saviez-vous ► Expression : Faire ses ablutions


Une expression qui est bien connu mais pour une fois, on s’attarde plutôt aux dérivé et au contexte latin pour découvrir un mot utilisé en français qui se trouve dans la salle de bain lors bien sur de nos ablutions
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« Faire ses ablutions  »

 

Faire sa toilette.

 
Cette appelation familière de la toilette n’est pas très ancienne. Elle est dérivée de pratiques religieuses, mais elle va permettre à quelques-uns d’apprendre une chose intéressante sur un objet à usage quotidien (enfin pour certains…).

ablution vient du latin ‘ablutio’ issu du verbe ‘abluere’ qui voulait dire ‘laver’


Dans de nombreuses religions, les ablutions sont un acte rituel de purification par l’eau.

Chez les Musulmans, par exemple, l’ablution avant la prière est obligatoire. Elle doit être faite avec de l’eau (ou de la terre propre si l’on est en voyage). Dans chaque mosquée, il doit y avoir une salle des ablutions qui isole la salle de prière du monde profane.

Chez les Catholiques, les ablutions se pratiquent au cours d’une messe, avant la communion, lorsque le prêtre fait verser un peu d’eau sur ses doigts pour les laver.

A l’époque des messes en latin, le prêtre récitait un psaume commençant par : « Lavabo inter innocentes manus meas » (« Je laverai mes mains parmi les innocents »).

Vous avez reconnu là un mot familier qui a fini par désigner le lavage des mains lui-même.

‘Lavabo’ a ensuite été transposé aux ablutions profanes où il a d’abord été utilisé pour nommer le meuble de toilette portant la cuvette et le pot à eau (à l’époque où l’eau courante n’existait pas encore) puis, avec la modernisation, la cuvette en faïence que vous connaissez bien et dans laquelle vous faites vos ablutions.

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Au bord des marais et des rivières…


Des photographes ont immortalisé des paysages de lacs, rivières, étangs, marais. C’est endroits naturels et ceux que fait des mains de l’homme comme les étangs de la Dombes de nombreux animaux y dépendent pour l’eau, la nourriture et l’environnement.
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Au bord des marais et des rivières…

 

Austères, les tourbières ? Laids, les marais ? Pas marrants, les étangs ? Inintéressantes, les eaux dormantes ? Détrompez-vous ! Dans leur ouvrage « Eaux et Patrimoine, Rhône Méditerranée Corse », les photographes Thierry Vezon et  Christophe Sidamon-Pesson nous prouvent que les zones humides sont aussi belles que fragiles.


L’eau un patrimoine a sauvegarder

© Thierry Vezon / Editions Hesse


Vue sur le Lac Long

© Christophe Sidamon-Pesson / Editions Hesse


Drosera, rouge bijou des tourbières

© Christophe Sidamon-Pesson / Editions Hesse


Balbuzard à la pêche

© Thierry Vezon / Editions Hesse


Rideau de brumes

© Christophe Sidamon-Pesson / Editions Hesse


Oiseau au bord du torrent

© Christophe Sidamon-Pesson / Editions Hesse


En aval des gorges de la Cèze

© Thierry Vezon / Editions Hesse


Les marais salants à Aigues-Mortes

© Thierry Vezon / Editions Hesse


Un ruisseau caché sous la neige

© Christophe Sidamon-Pesson / Editions Hesse


Le défilé de l’Ecluse

© Christophe Sidamon-Pesson / Editions Hesse


Arbres au bord du canal du midi

© Thierry Vezon / Editions Hesse


Le regard des flamants roses

© Christophe Sidamon-Pesson / Editions Hesse


Entre deux eaux

© Christophe Sidamon-Pesson / Editions Hesse


Un pont en pleine nature

© Thierry Vezon / Editions Hesse


A la source

© Christophe Sidamon-Pesson / Editions Hesse


Le « thou » des étangs de la Dombes

© Sylvestre Popinet / Editions Hesse


http://www.linternaute.com