Homme de valeur (ou femme)


Ce qui importe c’est notre personnalité d’être nous-même de la meilleur manière possible pour devenir une bonne personne
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Homme de valeur (ou femme)

 

 

N’essayez pas de devenir un homme qui a du succès. Essayez de devenir un homme qui a de la valeur.

Albert Einstein

Pas toujours facile d’être parent


Non ce n’est pas facile d’être parents .. surtout que chaque enfant ne nait pas avec le mode d’emploi … Chaque enfant ont leur propre personnalité et nous devons composer avec cela pour qu’ils puissent non pas grandir comme nous voulons, mais selon leur aptitude qui leur est propre car se sont des personnes a part entière .. Et n’oubliez jamais qu’avant eux .. nous avons déjà été enfant
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Pas toujours facile d’être parent.

 

Les enfants ont tous leurs personnalités et ont parfois besoin d’approches différentes.

Ils ressentent tous le monde avec leurs propres yeux, besoins et sensibilités.

Ce qui marche avec l’un ne fonctionnera pas forcément avec l’autre, Tout l’art est d’arriver à combiner dans l’éducation valeurs, principes, cultures et respect de la personnalité existante qui développe, sans les comparer à d’autres membres de la famille.

Ne comparez jamais un enfant à un autre, vous détruirez sa personnalité naissante ..

Michel Poulaert

Truc maison ► 5 trucs à faire avec des bougies


Les bougies sont très pratiques en cas de manque d’électricité ou un moment d’intimité mais ces chers bougies que nous trouvons maintenant partout a tous les prix peuvent aussi servir a bien d’autres choses
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5 trucs à faire avec des bougies

 

De nos jours, la plupart des bougies sont faites de parafine et peuvent être utilisées pour faire de petites réparations comme aider un tiroir à bien glisser. Cliquez la gallerie photos suivante pour connaître pleins de trucs à faire avec les bougies.


Tiré de Produits ordinaires, usages extraordinaires, Sélection du Reader’s Digest, 2007


Tiroirs qui glissent

 

Si un tiroir de bureau ou de commode a tendance à se coincer ou à couiner sans arrêt, frottez les glissières avec de la bougie : le tiroir s’ouvrira tout en douceur.


Pique-aiguille express

 

Une grosse bougie peut faire un pique-aiguilles idéal. En outre, la cire facilite le passage des aiguilles et des épingles à travers le tissu. Assurez-vous toutefois que la bougie est assez molle pour que les aiguilles s’y enfoncent aisément.


Imperméabiliser des étiquettes

 

Après avoir noté l’adresse sur un colis au stylo-feutre, imperméabilisez l’étiquette en frottant une bougie blanche sur l’inscription ; ni la pluie ni la neige ne pourront plus l’altérer.


Restaurer le bout des lacets

 

Quand vous perdez la gaine en métal ou en plastique qui protège le bout de vos lacets, n’attendez pas que celui-ci s’effiloche : plongez-le dans de la bougie fondue, laissez tiédir puis façonnez l’extrémité en pointe.


Faire taire une porte qui grince

 

Si le grincement d’une porte vous exaspère, frottez les gonds avec une bougie. La porte deviendra muette comme une carpe.

 

http://selection.readersdigest.ca/

Trop de sucre, plus de parkinson ?


Le sucre raffiné n’est pas le bienvenu dans notre corps surtout s’il est surconsommé. Car il peut mettre en danger certaines neurones et mettre a mort des cellules du cerveau
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Trop de sucre, plus de parkinson ?

 

 

Des chercheurs de l’Université du Québec à Trois-Rivières ont observé qu’un taux de sucre sanguin trop élevé peut provoquer la mort de certaines cellules du cerveau et favoriser le développement de la maladie de Parkinson à long terme.

Les diabétiques qui ne sont pas suivis, adéquatement et les prédiabétiques seraient donc plus à risque

La directrice de l’étude Mme Martinoli, dit qu’un excès de sucre sanguin engendre un stress oxydatif et gruge les neurones.

Protéger ses neurones

En revanche, on a découvert que la quercétine et la sésamine présentes dans de nombreux végétaux dont les oignons, les pommes, les câpres , le thé et les graines de sésames (d’où le nom de sésamine), aideraient à réduire ce stress oyxdatif et offriraient une certaine protection à nos neurones.

Manger des végétaux protecteurs est donc un moyen d’éviter les sucres raffinés, de consommer plus de fibres et de mieux contrôler le sucre sanguin

La Semaine/Santé Prévenir/Anne-Marie Roy Nutritionniste/Mai 2012

Une vie au ralenti dans le sous-sol océanique


On peut penser qu’au fin fonds des mers dans son  »sous-sol » la vie est impossible a cause de la presque inexistence de l’oxygène. Et bien non, des microbes y vivent et de depuis des millions d’années
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Une vie au ralenti dans le sous-sol océanique

 

Une communauté microbienne, qui n’a pas reçu de nutriments du monde extérieur depuis que les dinosaures foulaient la Terre, est encore vivante et active dans le sous-sol océanique, a découvert une équipe internationale de biologistes.

Le forage 

© Bo Barker Jørgensen

Selon Hans Røy de l’Université d’Aarhus au Danemark, ces microbes sont profondément enterrés sous les océans dans des argiles rouges vieilles de 86 millions d’années et réussissent à survivre avec d’infimes quantités d’oxygène.

En fait, elles en utilisent si peu que les scientifiques hésitent à les considérer comme vivantes. Elles vivent tellement au ralenti qu’ils devraient attendre un millier d’années avant d’y noter un changement quelconque.

Le saviez-vous?

Pas moins de 90 % des organismes unicellulaires du globe vivent enfouis sous le plancher océanique.

 

Pour réussir à les étudier, les chercheurs ont prélevé des échantillons de boues dans des carottes sédimentaires issues des profondeurs du plancher océanique le long de l’équateur et dans le tourbillon du Pacifique Nord.

Ces échantillons de sédiments peuvent être longs de 1 kilomètre, le matériau le plus récent étant au sommet et le plus ancien à la base.

Hans Røy et ses collègues ont utilisé des capteurs d’oxygène en forme d’aiguille pour ainsi découvrir que les bactéries présentes dans ces sédiments sont vivantes et consomment de l’oxygène, bien que de manière très lente.

Ces microbes renouvellent leur biomasse à un rythme de quelques centaines à quelques milliers d’années, ce qui peut correspondre à leur division, mais aussi à leur cycle de réparation cellulaire.

Ces observations, pensent les chercheurs, laissent à penser que toutes les connaissances accumulées sur les micro-organismes à croissance rapide des laboratoires ne s’appliquent probablement pas à la vie ralentie des profondeurs sous les océans.

Le détail de cette découverte est publié dans la revue Science.

http://www.radio-canada.ca

Programmé pour renverser… son café


Oui ! il semblerait que cette recherche n’est pas une blague, mais très scientifique avec volontaires facile a trouver, il suffit que de tasse pleine de café, pour enfin se mettre en état  d’observation et une conclusion partielle car bien sur, on peut aller plus loin avec sa tasse de café …. Ah la science !!!
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Programmé pour renverser… son café

 

La route du savoir est pavée d’obstacles. Le plus sournois d’entre eux : le café renversé, qui ornent les articles des plus éminents scientifiques. Que ces derniers se rassurent, cette fatalité se contourne facilement.

Le café renversé nuit-il à la recherche scientifique ? Qui sait !,  s’amuse l’ingénieur Rouslan Krechetnikov de l’université de Californie. Mais ce genre d’incident interrompt sans arrêt le fil de nos pensées.”


Après avoir observé les participants d’une conférence sur la dynamique des fluides se débattre pour transporter tant bien que mal le précieux breuvage d’un bout à l’autre de l’auditorium,
Rouslan Krechetnikov et son étudiant Hans Mayer ont décidé d’enquêter sur le phénomène du “café renversé”.

De retour au laboratoire, les deux hommes demandent à plusieurs collègues volontaires de déambuler dans les couloirs, avec plus ou moins de rapidité, une tasse de café à la main. Eux, attendent patiemment derrière leur écran. Une caméra filme en effet la scène, les mouvements de la personne et la trajectoire de la tasse. Tandis qu’un capteur placé sur la tasse enregistre l’instant précis où jaillissent les premières éclaboussures. Deux comportement s’observent : le volontaire se concentre sur sa tasse ou bien il regarde droit devant.

Au-delà de l’aspect ubuesque, l’expérience se révèle concluante. Le va-et-vient du fluide, déterminé par la taille du conteneur, s’aligne sur le rythme de marche du porteur de gobelet. L’oscillation du liquide s’harmonise donc avec la mécanique humaine. À condition de ne rencontrer aucun obstacle sur sa route. Car la plus petite irrégularité du mouvement suffit à amplifier ces oscillations et, donc, augmente les risques d’incident.

Pour éviter tout désagrément, il suffit, sans grande surprise, de ralentir sa marche. Ou de remplir sa tasse sans excès. Si le constat semble aller de soi, ce modèle mathématique permettrait néanmoins de repenser le design de nos tasses.

Andrzej Herczynski, physicien au Boston College, aurait souhaité que Krechetnikov and Mayer pousse leur enquête plus loin.

“L’étude s’intéresse uniquement aux récipients cylindriques et délaisse les tasses coniques, utilisées en Italie pour boire les cappucinos et les latte”, commence t-il sérieusement.

Avant d’enchaîner :

“Ils pourront au moins se présenter au Ig Nobel Prize !”

La cérémonie, en marge des Prix Nobels, récompenses les recherches scientifiques qui prêtent aussi bien à rire qu’à réfléchir. Elle met à l’honneur l’imagination et l’originalité des recherches scientifiques, qui contribuent à la vulgarisation scientifique.

Source : Science AAAS

http://www.nationalgeographic.fr

Les dangers de la pollution prouvés par les JO de Pékin


La pollution rend malade et un pays pollueur transporte un pourcentage de sa pollution outre-mer .. Donc, c’est une responsabilité de tout les pays et surtout les grands pollueur a faire des efforts pour diminuer ces concentrations toxiques dans les airs
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Les dangers de la pollution prouvés par les JO de Pékin

 

Digging for Fire sous licence Creative Commons

Smog au dessus de Pékin, avant les JO de 2008.

Yves Miserey

Profitant de la réduction de la pollution atmosphérique pendant les Jeux Olympiques de Pékin en 2008, des chercheurs ont fait des analyses provuant que la mauvaise qualité de l’air augmentait les risques de maladies cardiovasculaires.

Pour pouvoir organiser les Jeux Olympiques et Paralympiques à Pékin en 2008, les autorités chinoises ont dû s’engager à diminuer de façon drastique la pollution atmosphérique. Des usines se sont arrêtées ou ont ralenti leurs activités; un système de circulation alternée a été mis en place pour réduire le trafic automobile. Résultat, pendant plusieurs semaines, les émissions des gaz issus de la combustion du charbon et du pétrole ont chuté de près de 50 % et les concentrations de particules fines, particulièrement dangereuses pour la santé, ont baissé d’un peu plus de 25 %.

Une équipe de chercheurs de l’université de Rochester (États-Unis) a saisi cette occasion pour voir si cette amélioration de la qualité de l’air avait des conséquences mesurables sur les organismes et lesquelles.

«La pollution atmosphérique augmente le risque de maladies cardiovasculaires mais on ne connaît les mécanismes qui entrent en jeu dans ce processus», soulignent en effet es auteurs de l’étude, publiée cette semaine dans le JAMA (Journal of the American Medical Association).

Pour le savoir, ils ont fait des prises de sang à plus de 125 étudiants en médecine, avant, pendant et après les JO. Ils ont ciblé leurs recherches sur des biomarqueurs connus pour provoquer des inflammations.

Une découverte majeure

Deux molécules ressortent de toutes ces analyses: le SCD62P et le facteur «von Willbrand». Ce sont, en effet, les seules dont la présence a diminué de façon significative dans les échantillons sanguins prélevés sur les étudiants quand l’air était le plus propre. La première des ces molécules est un marqueur important de l’inflammation et elle augmente le risque de maladies cardiovasculaires. L’autre est impliquée dans la coagulation du sang et la formation de caillots pouvant conduire à des thromboses.

«C’est une découverte majeure», estime Mme Hind Hamzeh-Cognasse, de l’université de Saint-Étienne.

Même si l’interaction entre toutes ces molécules est certainement très complexe, l’étude montre que la pollution présente un grave danger pour les personnes à risque. Ceux qui en doutent encore auront du mal à se faire entendre.

La capitale chinoise est l’un des villes les plus pollués du monde, les concentrations de particules fines (PM 2,5) sont dix fois supérieures au seuil recommandé par l’Organisation mondiale de la santé.On estime que chaque année, 800.000 personnes meurent dans le monde à cause de la pollution atmosphérique, dont deux tiers en Asie. Près de 20 % de la pollution atmosphérique aux États-Unis provient de la Chine.

http://sante.lefigaro.fr