Un enquêteur pas comme les autres


Déjà que Mira est reconnue pour entraîner des chiens tels que pour les non-voyants, les entraineurs aussi des chiens qui peuvent interagir avec des victimes d’agression que ce soit physique, psychologique ou sexuelle. C’est un atout pour la police afin de mieux mener leurs enquêtes
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Un enquêteur pas comme les autres

 

Plein écran(Photo : Jacques L Frenette)

La zoothérapie joue maintenant un rôle dans les enquêtes sur les agressions physiques, psychologiques et sexuelles.

À Sherbrooke, les policiers qui enquêtent sur les agressions physiques, psychologiques et sexuelles peuvent compter sur un collègue unique en son genre : un beau gros labrador noir de deux ans et demi. Kanak est ce qu’on appelle un chien « de soutien émotionnel ». En se laissant dorloter et caresser par les victimes d’actes criminels, il aide celles-ci à s’ouvrir et favorise les confidences, ce qui facilite les enquêtes.

La formation de ces chiens policiers nouveau genre, choisis en fonction de leur tempérament calme, est assurée par la Fondation Mira. Leur entraînement et leur socialisation en famille d’accueil durent quatre mois. En comparaison, la formation des chiens-guides pour aveugles dure six mois.

 « Ce sont des chiens qu’on détourne de leur utilisation classique, auprès de personnes atteintes de déficience visuelle ou handicapées intellectuelles », dit Noël Champagne, psychologue et directeur de la recherche et du développement pour Mira.

Ce « toutou réconfortant » — comme le décrit sa maîtresse, Mélanie Bédard, sergente-détective et maître-chien au Service de police de Sherbrooke — a valu au corps policier le prix Coup de cœur du jury au gala d’excellence de l’Union des municipalités du Québec, en mai dernier.

En un an et demi, Kanak a participé à près d’une centaine d’enquêtes. Et depuis quelques mois, il n’est plus le seul dans la province. La Sûreté du Québec a intégré deux chiens de soutien à ses postes de Mascouche et de Québec.

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SAMEDI SOIR « Proche de l’émeute »


A qui la faute ???????? On sent vraiment la tension et ce même a l’extérieur de Montréal, partout au Québec, la colère gronde qu’on soit pour ou contre  ! C’est le sujet de l’heure, bien avant la santé, les injustices sociaux, la famine, l’environnement .. et a cause de ces manifestations des gens ont perdus leur commerces. ils sont obligés de faire faillite dans une situations économique précaire .. car cette manifestations recommence a tout les jours et de plus en plus violent … On attends quoi ? Un drame peut-être ? Un mort ?
ET a qui sera accusé.. Le gouvernement du Québec, car tiens sont bout ? Aux étudiants qui tiennent leur bout ? Aux partis politiques, a la population, aux médias sociaux, aux journalistes ? Personne ne fait un pas pour trouver une entente tout le monde tire la couverte d’un bord ou de l’autre .. Ah oui les policiers c’est abuseurs de pouvoir .. on les mets tous dans le même panier … Il en a quelque uns qui ont peut-être été un peu trop fort .. mais la majorités ne font qu’obéir aux ordres .. Et eux font t’ils des vidéos, vont t’ils sur la sellettes pour se plaindre des mauvais traitements et des insultes qu’ils reçoivent des étudiants …  S’ils n’étaient pas la .. comment pensez vous que ces manifestations finirait … Pire qu’hier .. ca j’en suis sur .. car malheureusement ce ne sont pas tous des pacifiques qui font parti des manifestations …
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SAMEDI SOIR « Proche de l’émeute »

 

JOEL LEMAY/AGENCE QMI

Plusieurs manifestants se sont réunis dans les rues de Montréal, pour une 27e manifestation nocturne pour protester contre l’application de la loi spéciale 78 et la hausse des frais de scolarité, le dimanche 20 mai 2012. JOEL LEMAY/AGENCE QM

 

VALÉRIE GONTHIER

 

Le service de police de Montréal (SPVM) s’est dit « préoccupé » par l’intensité de la manifestation qui a frôlé l’émeute samedi soir dans les rues du centre-ville.

« Sur la rue Saint-Denis, c’était particulier. Pour en avoir vu plusieurs (des manifestations), j’ai rarement vu une situation aussi proche de l’émeute », commente Ian Lafrenière, porte-parole au SPVM.

Policiers et pompiers pris à parti, feux dans les rues, vitres d’auto-patrouilles et d’un autobus fracassées. La fin de la manifestation de samedi soir a été marquée par plusieurs débordements.

C’est lorsque les policiers ont voulu disperser la foule que les esprits se sont échauffés. À l’intersection des rues St-Denis et Ontario, des manifestants ont mis le feu à des barricades de matériaux de construction.

« C’était décourageant de voir du monde mettre le feu. Je n’étais pas rassuré, mais pas du tout », lance Ian Lafrenière.

Il ajoute qu’un pompier s’est fait lancer une brique en voulant intervenir. Le commandant Lafrenière n’a pas caché son inquiétude face à de tels gestes de violence.

« Des gaz irritants ont été utilisés contre des policiers et un sac rempli de cocktail Molotov a été retrouvé dans la rue. C’est préoccupant », dit-il.

« Ce n’est pas sécuritaire pour ceux qui se présentent dans ces manifestations pour marcher pacifiquement », ajoute-t-il.

Terrasse

Plusieurs témoins, attablés à des terrasses ou qui déambulaient sur la rue St-Denis, ont assisté à ces débordements.

Une situation qui n’a aidé en rien l’intervention des policiers.

« Ça nous a compliqué la vie que la manifestation se rende sur St-Denis, lance Ian Lafrenière. On essaie d’éviter ce genre de secteur. Mais ça a fait ce que ça a fait. Et ce n’est pas très bon. »

D’ailleurs, les incendies criminels allumés dans la rue ont donné lieu à une intervention sur une terrasse du bar le Saint-Bock.

Des policiers ont notamment lancé du gaz irritant à travers la foule. La scène a été filmée par une caméra de surveillance de l’établissement.

« Un des suspects, qu’on essayait de cibler est allé se cacher sur la terrasse, explique-t-il. Mais des gens s’en sont pris aux policiers et ils ont retenu le suspect pour pas qu’on le prenne. C’est là que ç’a commencé à brasser. »

Selon lui, les policiers ont pris des décisions avec seulement quelques secondes devant eux.

Ian Lafrenière se dit d’ailleurs très fier du travail de ses collègues lors de cette manifestation.

Une équipe de la Sûreté du Québec était aussi présente pour prêter main-forte au SPVM samedi soir.

« Ce n’est pas parce qu’on anticipait la nuit, assure Ian Lafrenière. C’est parce que nos policiers sont fatigués. Ils sont brûlés. On a permis à certains de se reposer.»

Détention

Ce sont finalement 69 personnes qui ont été arrêtées lors de la 26e manifestation nocturne.

Hier, trois d’entre eux étaient toujours détenus par les policiers. Deux sont soupçonnés d’avoir lancé des cocktails Molotov tandis que l’autre aurait agressé un policier.

Les autres manifestants ont été relâchés au cours de la nuit de samedi à dimanche ou dans la matinée hier, sous promesse de comparaître.

Toutes les autres personnes relâchées auraient commis des voies de fait sur des policiers ou des méfaits en endommageant des auto-patrouilles et un autobus de la STM servant au transport des policiers.

Ils sont passibles d’une amende de 500 $ plus les frais, pour un total de 634 $, en vertu d’un nouveau règlement municipal. L’ancienne amende pour un tel méfait était de 100 $ plus les frais pour des méfaits semblables.


– Avec la collaboration

de Daniel Renaud

 

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Cellulaire au volant ►Message dur à passer


Le message ne passe pas .. je pense que si les jeunes pouvaient être mit en situation cela pourrait aider … Avec la technologie il est possible de créer un environnement quasi réelle .. il en existe déjà d’ailleurs comme une personne assise devant un volant et texte tout en conduisant comme s’il était sur la route .. mais je trouve qu’il devrait ajouter des personnages sur la route, plus de rencontre de d’autres auto, un enfant qui court après son ballon ect .. Si les simulations étaient un peu plus la réalité que les jeunes rencontre sur la route, plus que ces simulations seraient obligatoire dans un cours de conduite .. peut-être que cela changerait beaucoup de chose
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Cellulaire au volant ►Message dur à passer

 

ÉRIC THIBAULT

Un jeune Québécois sur deux utilise son téléphone cellulaire au volant, même si cela est interdit depuis près de quatre ans.

C’est ce que révèle un sondage Léger Marketing sur les comportements des automobilistes de 16 à 24 ans, réalisé pour les besoins du film Dérapages, de Paul Arcand, et dont le Journal a obtenu copie.

« C’est une donnée inquiétante », a observé Jean-Marie De Koninck, président de la Table québécoise de la sécurité routière,

à propos de cette catégorie d’usagers de la route qui détient 10 % des permis de conduire, tout en se méritant 45 % des contraventions pour grands excès de vitesse ou conduite dangereuse, en plus d’être impliquée dans 25 % de tous les accidents.

Conduire trop vite, écrire des textos, ou avoir une main sur le téléphone et l’autre sur le volant sont les infractions les plus fréquentes chez les jeunes conducteurs, selon l’étude.

Cela résulte d’une méconnaissance évidente des dangers liés à la conduite automobile, a ajouté le fondateur de l’opération Nez rouge, en précisant toutefois que « ce comportement à risque n’est pas propre aux jeunes ».

Prise de conscience

« La répression est là pour rester puisque plusieurs ne comprennent pas, a noté le lieutenant Michel Brunet, de la Sûreté du Québec. Au dernier Salon de l’auto à Montréal, des jeunes nous ont dit avoir perdu des amis dans ces circonstances. À eux, ça leur a servi de leçon. »

Pour le CAA-Québec, ce sondage est « décevant ». « Ça confirme que ces comportements sont proportionnellement plus fréquents chez les 16 à 24 ans que dans l’ensemble de la population. Il faut amener les jeunes à comprendre qu’ils font partie du problème et à faire leur mea culpa », a mentionné sa porte-parole, Sophie Gagnon, en déplorant que l’automobiliste québécois soit « toujours plus indulgent pour lui-même que pour les autres ».

M. De Koninck s’est dit encouragé du fait que trois jeunes répondants sur cinq aient déjà joué le rôle de conducteur désigné. Mais pour Hubert Sacy, directeur général d’Éduc’alcool, on devrait s’attendre à mieux. D’autant plus que 18 % ont néanmoins accepté d’être le passager d’un conducteur qu’ils savaient ivre ou drogué.

« C’est 18 % de trop. C’est la preuve que la modération a bien meilleur goût, même quand on ne conduit pas », a-t-il argué.

Plus du tiers des jeunes sondés ont toutefois dit avoir cessé de texter au volant après avoir visionné une récente publicité-choc de la Société d’assurance automobile du Québec. Mais en matière d’excès de vitesse, la dernière pub n’a produit aucun effet dissuasif sur 59 % d’entre eux.

« Il y a encore du travail à faire. Il n’y a pas de consensus social pour désapprouver la vitesse, contrairement à l’alcool au volant », dit Gino Desrosiers de la SAAQ.

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Disparition de Cédrika Provencher Une fillette reconnaîtrait le rôdeur


Un enlèvement qui a fait couler beaucoup d’encre et reste encore mystérieux, cependant, malgré les années si les circonstances auraient été tout autre, une jeune fille aurait pu être a la place de Cédrika. Elle se souviens du personnage qui rôdait dans le coin et même après 5 ans elle pourrait reconnaître l’homme … Mais le temps a passé, peut-on vraiment penser qu’un jour nous la vérité ressortira
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Disparition de Cédrika Provencher

Une fillette reconnaîtrait le rôdeur

 

Une fillette reconnaîtrait le rôdeur

Crédit photo : Agence QMI

TVA Nouvelles

À la suite de ces nouvelles informations obtenues par Claude Poirier, deux enquêteurs de la Sûreté du Québec se rendront à Trois-Rivières vendredi pour rencontrer la petite et son père.

Une fillette qui aurait été abordée par un inconnu la veille de la disparition de Cédrika Provencher à Trois-Rivières dit être en mesure d’identifier l’homme qui pourrait être responsable de la disparition de Cédrika.

Selon ce qu’a appris Claude Poirier lors de son émission Le Vrai négociateur à LCN, la petite, qui avait 10 ans à l’époque, aurait été approchée par un rôdeur qui se promenait à vélo, le 30 juillet 2007, et non pas à bord d’une voiture Acura rouge.

L’individu circulait dans son quartier avec un vélo loué à la municipalité. Tout comme dans le cas de la disparition de Cédrika, l’inconnu était à la recherche de son petit chien perdu.

Un montant important offert à la petite

Il a offert à la petite une somme d’argent et a fait monter les enchères jusqu’à ce qu’elle accepte de l’accompagner.

«Au début il avait offert une récompense d’une quarantaine de dollars, explique le père à Claude Poirier. Puis il a monté jusqu’à 165$ pour retrouver son chien. On s’entend que 165 ‘piastres’ pour essayer de retrouver un chien, on trouvait ça pas mal bizarre» raconte l’homme.

L’enfant devait retourner chez elle, pour ramener son propre chien qu’elle promenait au moment où elle a rencontré l’homme.

«C’est un chien assez imposant, on pense que le suspect voulait avoir plus de latitude avec notre fille» juge le père de la petite.

Son père qui était à la maison a refusé de la laisser repartir après avoir pris connaissance de l’histoire et a appris le lendemain que Cédrika Provencher était portée disparue.

«Malheureusement, c’est une semaine plus tard qu’on a cliqué que ça pouvait être la même personne qui aurait agressé Cédrika» confie l’homme.

Un portrait-robot non concluant

Le père de la petite a contacté le service de police de Trois-Rivières, dès qu’il a compris qu’il pourrait s’agir du même individu Il déplore le fait que les enquêteurs n’aient jamais tenté d’identifier le suspect à l’aide de sa fille, qui dit pouvoir le reconnaître.

Aujourd’hui âgée de 15 ans, sa fille affirme qu’elle pourrait le reconnaître si elle revoyait son visage.

Toutefois, peu de temps après la disparition, il y a 5 ans, la petite avait fourni des informations pour la création d’un portrait-robot.

La Sûreté du Québec en avait fait faire trois à l’époque, selon des témoignages de trois fillettes différentes. La description des suspects ne correspondait pas.


La fillette n’a jamais revu l’homme dans son quartier.

Description fournie par la fillette

  • L’homme qui l’aurait approché en 2007 avait une cinquantaine d’années
  • Il faisait 5’9 »
  • Pesait 170 livres
  • Il avait les cheveux grisonnants
  • Il s’exprimait très bien en français

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La SQ ouvre une enquête ►Des textos de mauvais goût


Il y a des gens qui ont du temps a perdre et aime dépenser les fonds publics pour satisfaire leur temps a faire autant d’idiotie, En plus de troubler la personne qui les reçoit, on ne peut que s’imaginer que ce n’est qu’une blague de très mauvais gout
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La SQ ouvre une enquête ►Des textos de mauvais goût

 

Des textos de mauvais goût

Crédit photo : Archives

Par Cynthia St-Hilaire | Agence QMI

Des textos mensongers envoyés à des gens au hasard donnent du fil à retordre à la Sûreté du Québec depuis deux semaines.

Ces textos font état d’un meurtre ou d’une agression grave qui viendrait tout juste de se produire. Le message est rédigé de façon à ce que la personne qui le reçoit croie qu’il lui est adressé par erreur.

«C’est comme si la personne s’adressait à un ami, mais qu’en l’envoyant elle se trompait de numéro, a indiqué Ingrid Asselin, porte-parole à la SQ. Ça dit, par exemple, « Salut mon chum, j’ai tué quelqu’un et j’ai jeté son corps à l’eau ».»

L’auteur du message prend également soin d’indiquer précisément l’endroit où le crime a été commis.

«La personne qui le reçoit contacte les policiers et on déploie plusieurs ressources comme des plongeurs, des bateaux, des hélicoptères, des maîtres-chiens, a expliqué Mme Asselin. On se doit de faire les vérifications dans ce type de situation. Le problème, c’est que si quelque chose d’autre se produit pour vrai, en même temps, il y a moins de ressources disponibles.»

La porte-parole n’était toutefois pas en mesure de chiffrer l’argent dépensé inutilement par la SQ pour ces canulars.

Trois régions touchées

Depuis deux semaines, une personne de l’Estrie, une de Trois-Rivières et une autre de Québec ont reçu l’un de ces textos.

«Chaque fois, on a déployé des services, mais aucun de ces événements n’était fondé, a déploré la porte-parole de la SQ. La personne qui pose de tels gestes peut être arrêtée pour méfait public.»

Enquête en cours

Les enquêteurs de la Division des crimes contre la personne de la SQ tentent de retrouver le ou les auteurs de ces textos.

Mme Asselin n’était pas en mesure de déterminer, vendredi soir, si les enquêteurs ont pu retracer le ou les numéros d’où provenaient les appels.

«L’enquête permettra de savoir s’il y a une façon d’utiliser un texto sans que ce soit le numéro de téléphone de celui qui l’envoie qui apparaisse ou si c’est possible de retrouver le propriétaire», a indiqué la policière.

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Cellulaire au volant La SQ se dote d’une nouvelle arme


Étant donné qu’ils ne seront pas vraiment identifiable de loin, cela pourra surement être positif. En tout cas, cela pourra surement sauver plusieurs vies car beaucoup d’entre nous ont eu l’expérience de personnes qui textaient et oublier qu’il y avait un volant de l’autre main
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Cellulaire au volant

La SQ se dote d’une nouvelle arme

La SQ se dote d'une nouvelle arme

Crédit photo : Jimmy Potvin de la Division des stratégies en sécurité routière à la SQ

Pour contrer le fléau du cellulaire au volant, la Sûreté du Québec (SQ) s’est dotée d’une nouvelle arme : une autopatrouille semi-banalisée, qui passe presque inaperçue auprès des conducteurs fautifs.

Ce nouveau véhicule acquis par la SQ est semi-identifié blanc sur blanc. Peu visible le jour, ce lettrage donne aux policiers plus de temps pour faire de l’observation.

(Crédit photo: Agence QMI)

«Les gens peuvent difficilement nous voir arriver, indique Jimmy Potvin, de la Division des stratégies en sécurité routière à la SQ. N’ayant pas l’anticipation d’une présence policière, c’est plus facile de détecter s’ils ont un cellulaire dans les mains.»

Consciente que les automobilistes se raffinent, notamment dans l’art de détecter les policiers, la Sûreté du Québec mise sur cette auto-patrouille afin «d’aller encore plus loin en matière de sécurité routière».

«Il faut qu’il y ait une crainte d’être intercepté par la police, pour avoir l’effet souhaité», dit-il.

Le Service de police de la Ville de Montréal a aussi fait l’acquisition d’une auto-patrouille banalisée en 2009.

Hier, la représentante du Journal de Montréal est montée en primeur à bord de cette auto-patrouille de la SQ, tout droit sortie du Salon de l’auto de Montréal, afin de sillonner les routes.

(Crédit photo: Agence QMI)

À peine cinq minutes après avoir quitté le poste de la rue Parthenais, un premier véhicule était intercepté à l’entrée du tunnel Ville-Marie.

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Décès lors d’une expérience de sudation : la victime est « morte cuite »


On laisse faire des charlatans s’amuser a leur guise utilisé des personnes aux risques de leur vie. Des personnes influençables se laissent berné par des méthodes douteuses et très dangereuses .. Je ne comprend pas que cette dame puisse encore continuer ses activités alors que selon moi, elle est responsable de cette mère de famille qui laisse dans le deuil  son mari et ses enfants ..
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Décès lors d’une expérience de sudation : la victime est « morte cuite »

Chantal Lavigne est « morte cuite », selon le coroner Gilles Sainton.

Chantal Lavigne est « morte cuite », selon le coroner Gilles Sainton.

 

La Sûreté du Québec remettra prochainement son rapport au procureur des poursuites criminelles et pénales sur la mort de Chantal Lavigne, survenue lors d’une expérience de sudation en juillet dernier.

La femme de 35 ans est morte alors qu’elle participait à un séminaire de développement personnel dans une maison de Durham-Sud, dans le Centre-du-Québec. La SQ a ouvert une enquête pour négligence criminelle ayant causé la mort.

« Dans les conditions où [Mme Lavigne] est décédée, on peut dire qu’elle est morte cuite », affirme le coroner et urgentologue Gilles Sainton dans une entrevue accordée à Radio-Canada.

Selon le coroner, il y aurait pu y avoir davantage de décès. « Dans des conditions de cuisson comme ça, ça aurait pu être bien pire », affirme-t-il.

Le Centre Reine de la Paix

Chantal Lavigne était adepte d’un groupe de développement personnel depuis plusieurs années. Elle y suivait un nombre considérable de cours.

« C’était une semaine par mois au début, deux semaines par mois, trois semaines par mois. […] Ça a chamboulé toute notre façon de vivre au complet », affirme le mari de Mme Lavigne, Patrick Naud.

En juillet dernier, Chantal Lavigne et huit autres personnes participent à un séminaire portant le titre « Mourir en conscience ». Gabrielle Fréchette, chef du groupe, donne cette formation. Elle prétend qu’un esprit s’empare de son corps et parle à travers elle.

La journée du décès de Mme Lavigne, Gabrielle Fréchette décide que les personnes présentes seront enduites de boue, enveloppées dans une bâche de plastique, enfouies sous des couvertures, la tête recouverte d’une boîte de carton.

Dans un enregistrement sonore de cette séance obtenu par Radio-Canada, on peut entendre Mme Fréchette encourager les participants à respirer exagérément.

Gabrielle Fréchette

Gabrielle Fréchette

« L’heure est venue de mourir à cette dimension matière […]. Poussez, poussez, poussez très fort », peut-on entendre.

La séance de sudation dure neuf heures. Plusieurs participants sont malades. Chantal Lavigne, quant à elle, décède.

Quant au groupe dirigé par Gabrielle Fréchette, il n’a jamais cessé ses activités.

« Mes prochains rendez-vous sont en mars. Janvier et février sont pleins. Je suis rendue en mars », a dit Mme Fréchette, rencontrée chez elle.

Gabrielle Fréchette affirme n’être aucunement responsable de la mort de Chantal Lavigne. Elle dit avoir fait son devoir en appelant les secours au 9-1-1.

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L’insoutenable attente prend fin: le corps de Maxime Dion retrouvé


C’est un événement bien triste que les parents du petite Maxime vivent mais aussi un soulagement que les sauveteurs ont pu retrouver l’enfant, sinon il aurait probablement été impossible de le retrouver qu’au printemps
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L’insoutenable attente prend fin: le corps de Maxime Dion retrouvé

L'insoutenable attente prend fin: le corps de Maxime Dion retrouvé

La photo du jeune Maxime Dion est fournie par la famille.

Photo: Janick Marois, La Voix de l’Est

Dominique Talbot
La Voix de l’Est

(Upton) Après cinq jours d’intenses recherches, le corps du jeune Maxime Dion a finalement été repêché hier, aux environs de 12h45. Ce sont les plongeurs du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM), venus prêter main-forte à leurs collègues de la Sûreté du Québec en cette autre journée de recherches qui aurait bien pu être la dernière, qui ont retrouvé le petit garçon de 6 ans, disparu dans les eaux glacées de la rivière Noire lundi, en fin d’après-midi.

Le corps a été découvert à environ 400 mètres de l’endroit où le petit Maxime est tombé à l’eau lundi, alors qu’il s’amusait avec un ami et le chien de ce dernier.

Mercredi, le chien qui a lui aussi sombré dans les eaux avait été retrouvé non loin de l’emplacement où le corps a été sorti de la rivière.

Une fois hors de l’eau, la dépouille a été amenée dans une tente où ses parents ont procédé à son identification.

Le deuil peut commencer

À deux jours de Noël, le souhait de la famille de retrouver le corps de Maxime a été exaucé. Elle peut enfin commencer à faire son deuil.

«Je suis en paix avec le fait que notre fils est maintenant avec nous. Il y a un ange de plus au ciel maintenant», a commenté Patrick Dion, le père de la victime.

Pendant toute la durée des recherches cette semaine, M. Dion a répété que tout ce que la famille désirait était de revoir Maxime une dernière fois, même si elle savait qu’elle ne le reverrait pas vivant.

«Je viens d’aller voir le corps et ça fait du bien. On est soulagé, a dit pour sa part Denis Gaucher, grand-père du jeune garçon. Là, nous allons consoler ma grande fille (Chantale, mère de Maxime). J’ai dit à Patrick que Maxime était un petit ange et qu’il va nous aider en haut. Il va nous donner des grâces».

Au travers de cette pénible épreuve, M. Gaucher s’est dit soulagé et prêt à entreprendre le long chemin qui suivra.

«Nous avions tous espoir. C’était la journée décisive. Si ça n’avait pas été de cela, ça aurait été encore plus dramatique pour toute la famille. Tout l’hiver, avec Maxime en dessous des glaces, aurait été inimaginable. C’est bien que ça se termine comme ça. Chapeau aux sauveteurs. On les félicite. On espérait ça et nous avons prié fort pour ça. Aujourd’hui, c’est une bonne nouvelle pour la famille, pour commencer notre deuil.»

Diane Dion, la grand-mère de Maxime, a quant à elle tenu à remercier et à louanger le travail des sauveteurs.

«Ce qui se passe aujourd’hui est un soulagement. Tout le monde y a mis son coeur. Nous avons notre petit avec nous, c’est le principal. Je suis en paix. Nous avons une super équipe qui a permis cela».

Longue et difficile opération

Dans la nuit de jeudi à hier, une rétrocaveuse amphibie a brisé les glaces dans la rivière afin de faciliter le travail des plongeurs. À partir de là, la SQ a établi une nouvelle stratégie pour maximiser les chances de réussite de l’opération.

«Des zones de recherche avaient été identifiées et circonscrites. Ils (les plongeurs) savaient où ils s’en allaient. Ils avaient des plans de plongée, donc, du travail avait été fait pour permettre d’en arriver à ce que les recherches soient le plus efficaces possible. C’est ce qui a eu lieu aujourd’hui», mentionne Louis-Philippe Ruel, porte-parole de la Sûreté du Québec.

En plus du SPVM, la Gendarmerie Royale du Canada et des pompiers d’Upton ont assisté la SQ dans ses recherches. Le temps commençait à presser puisque le refroidissement prévu au cours des prochains jours aurait bien pu mener à la suspension des recherches.

«On sait que si le froid revient et la glace reprend, nous devons évaluer si nous pouvons travailler de manière efficace. On évaluait cela quotidiennement. Il semble que ça aurait été excessivement difficile dans les prochains jours», explique Louis-Philippe Ruel.

«Les pompiers étaient exténués. Nous avons travaillé sans arrêt au cours des 36 dernières heures. Plusieurs de nos pompiers ont passé toute la nuit dans l’eau et d’autres y sont restés 12 heures hier. Aujourd’hui a été l’accomplissement», a conclu Yves Ricard, directeur du service d’incendies d’Upton.

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Delson ► Arnaquée de 39 000 $ par un «ami» Facebook


Encore une personne qui s’est fait avoir avec une relation virtuelle promettant mer et monde, cela lui a coûter cher. Heureusement, un chat échaudée craint l’eau chaude, elle ne s’est pas affaire deux fois quand elle a vue qu’on essayait de la frauder encore une fois et a préférer se référer à la Sureté du Québec. Ca prouve une chose peut importe l’âge, les la cybercriminalité vise toute personne naïve
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Delson ► Arnaquée de 39 000 $ par un «ami» Facebook

 

Arnaquée de 39 000 $ par un «ami» Facebook

Crédit photo : AFP

Par Hélène Gingras | Agence QMI

Une résidante de Delson, en Montérégie, a été victime d’une fraude de près de 39 000 $ après s’être fait un nouvel «ami» sur Facebook. Et ça aurait pu être encore plus.

La dame dans la soixantaine a déclaré à la Régie de police Roussillon avoir été victime d’une «arnaque amoureuse». Le fraudeur a abusé de sa naïveté, de ses sentiments et de ses croyances en Dieu, selon elle.

Entre l’espace d’un mois, entre la fin juillet et la fin août, la victime a signé cinq chèques à ce supposé ami et huit à la réceptionniste de l’hôtel où il affirmait séjourner, en Côte d’Ivoire.

La dame, qui a épuisé toutes ses économies et hypothéqué et sa sécurité financière pour les années à venir, ne s’est rendue compte qu’après-coup qu’elle avait été piégée.

«J’avais confiance en lui. Je trouvais que son histoire était plausible», a-t-elle confié à la police, il y a quelques jours.

Longue correspondance

C’est par l’entremise d’une personne qu’elle connaissait que la résidante de Delson est devenue amie Facebook, à la mi-juin, avec un prétendu architecte belge. Celui-ci affirmait devoir se rendre en Côte d’Ivoire pour finaliser un projet de construction d’hôpital.

Un mois et demi plus tard, il lui a raconté s’être fait voler son passeport, son argent et ses documents. Il lui a alors demandé environ 1000$, une somme qu’elle lui a fait parvenir.

Son «ami» aurait continué d’éprouver divers ennuis par la suite, l’invitant à lui envoyer d’autres chèques. Certains étaient faits au nom de la réceptionniste de l’hôtel et envoyés au Mali, sous prétexte qu’il ne pouvait pas les récupérer autrement parce qu’il n’avait pas de papiers d’identité.

Lorsque la victime n’a plus eu d’argent à lui donner, à la fin août, son ami a insisté pour qu’elle en trouve. Ils sont restés amis Facebook et ont continué à échanger jusqu’au début décembre. Il l’a finalement supprimée de ses contacts il y a quelques jours.

Plainte à la police

La victime a eu un appel d’une agence privée en cybercriminalité oeuvrant en Côte d’Ivoire.

L’Organisation internationale des procédures criminelles savait tout de la fraude et promettait de la dédommager pour une somme de plus de 58 000$.

Après avoir échangé avec la supposée agence par courriel, la victime a soupçonné une seconde fraude malgré l’apparence professionnelle de la correspondance. On lui réclamait 3700$ pour s’acquitter de différents frais de justice.

La dame a porté plainte à la police. Le dossier devait être confié à la Sûreté du Québec.

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Internet: Les enfants manquent d’encadrement, révèle un sondage


C’est drôle que des parents ont si peur des conséquences d’internet mais avouent en même temps de ne pas discuter avec leur enfants et ne pas prendre les moyens pour contrôler et s’interressé a ce qu’ils font sur le net .. Avec tout les cybercriminels, les cyberprédateurs, les intimidateurs il me semble qu’ils faut enseigner dès le jeune âge a faire attention et a être prudent
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Internet: Les enfants manquent d’encadrement, révèle un sondage

Seulement un parent sur deux parle des dangers... (Archives La Presse)

Seulement un parent sur deux parle des dangers d’internet avec son enfant. – Archives La Presse

 

Silvia Galipeau, La Presse (Montréal)

 

Tous les parents s’entendent: Internet représente une importante source de danger pour les enfants. Paradoxalement, la moitié d’entre eux ne font pourtant rien pour les protéger.

C’est ce qui ressort du tout premier sondage jamais réalisé au Québec sur la question, rendu public hier par la Fondation Marie-Vincent, cyberaide.ca, en présence du Service de police de la Ville de Montréal, de la Sûreté du Québec et de la Gendarmerie royale du Canada.

«Les enfants manquent d’accompagnement sur Internet, c’est clairement ce qui ressort»,

a commenté René Morin, porte-parole de cyberaide.ca, un organisme relevant du Centre canadien de protection de l’enfance, qui reçoit par ailleurs 700 signalements par mois de cas d’exploitation sexuelle d’enfants sur Internet.

Ainsi, 80% des parents d’enfants de 3 à 12 ans estiment qu’Internet peut être une source de danger en matière d’exploitation sexuelle des enfants, révèle le sondage, réalisé cet été (du 22 juin au 10 juillet) par la firme Cefrio. Pire: la moitié des parents sondés estime aussi que leurs enfants ont déjà eu accès à des images sexuelles ou violentes; et un parent sur cinq pense que son enfant pourrait être la cible d’un cyberprédateur, ou encore victime d’intimidation par ses pairs.

Et que font les parents pour les protéger? Pas grand-chose: 50% des parents avouent ne pas discuter des dangers associés à Internet avec leurs enfants, et les trois quarts affirment ne pas utiliser davantage de logiciels de contrôle parental.

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