"Les enfants peuvent être rassurés, Momo est morte"


Il parait que l’art ne se discute pas … Enfin, à chacun ses goûts ! Pour ceux qui essaient de rassurer des jeunes qui ont peur, ils pourront leur dire que Momo n’existe plus. Elle ne peut pas du tout faire de mal. À mon avis, par contre, il est important d’inculquer aux enfants, de ne pas donner des informations personnelles sur le Web et de ne pas croire, n’importe quoi. Ce genre de chose ressemble aux chaines de lettres quand nous étions petits, qui prédisaient malheurs si on ne copiait et n’envoyait pas 7 lettres identiques.
Nuage
 

 

« Les enfants peuvent être rassurés, Momo est morte »

 

Par: Deborah Laurent

L’artiste à l’origine de la sculpture qui a inspiré le challenge MoMo a annoncé avoir détruit son oeuvre. MoMo a été créée par un sculpteur japonais Keisuke Aiso.

La sculpture originale est intitulée Mother Bird et était exposée depuis 2016 dans une galerie à Tokyo. Le visage effrayant a inspiré le MoMo challenge qui invite les enfants et adolescents à réaliser des défis dangereux. Comme se scarifier ou attenter à ses jours.

Le visage terrifiant de MoMo apparaît dans des dessins animés sur YouTube. Le sculpteur en a eu marre de la mauvaise réputation de sa création: il a décidé de la démolir.

« Les enfants peuvent être rassurés. Momo est morte », a-t-il déclaré au journal The Sun. « Elle n’existe pas et la malédiction a disparu. »

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Né à 268 grammes, un bébé reçoit son congé de l’hôpital


On n’arrête pas le progrès en médecine. En néonatalogie, un bébé de 22 semaines de 0,268 grammes a eu 5 moins de soins pour prendre plus de 3 kilos quand il a pu enfin sortir de l’hopital.
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Né à 268 grammes, un bébé reçoit son congé de l’hôpital

 

Un nourrisson né prématurément et pesant alors 268 grammes a rejoint son domicile en bonne santé avec un poids plus que décuplé après 5 mois en unité de soins, a annoncé l’Hôpital universitaire Keio à Tokyo.

Jamais au monde, un garçon aussi petit au moment de l’accouchement n’avait quitté la maternité sain et sauf, selon les données connues.

La naissance de ce foetus avait été provoquée à 24 semaines d’aménorrhée (ou 22 semaines de grossesse), en raison d’un arrêt de croissance. Il était alors si petit qu’il tenait dans la paume de la main d’un adulte.

Après cinq mois passés en service de néonatologie, il pesait 3238 grammes à sa sortie de l’hôpital la semaine dernière et boit normalement du lait, selon un communiqué des médecins.

« Je suis heureuse qu’il ait tant pris de poids, car franchement, je n’étais pas sûre qu’il survive », a déclaré sa mère dans un message transmis aux médias.

Tout en soulignant que les décisions concernant les très grands prématurés exigent prudence et éthique, le médecin qui a suivi ce nourrisson, Takeshi Arimitsu, dit avoir à coeur de « faire savoir que même quand un bébé naît très petit, il existe une possibilité qu’il puisse quitter la maternité en forme ».

Le taux de survie des nouveaux-nés de moins de 300 g est cependant encore faible, souligne l’hôpital, « surtout lorsqu’il s’agit d’un garçon ».

Ces enfants doivent ensuite bénéficier d’une attention médicale particulière au moins durant leurs premières années.

De précédents cas de sortie de l’hôpital après plusieurs mois sans problème de santé de nourrissons garçons nés avec un poids de moins de 300 g avaient été enregistrés en Allemagne en 2009 (274 g) ainsi qu’au Japon en 2009 (297 g), 2011 (294 g) et 2015 (289 g), selon un registre international tenu par l’Université d’Iowa (États-Unis).

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Un thon vendu au prix record de 2,7 millions d’euros (environ $ 4 111 millions canadien)


Un thon vendu a plus de $ 4 111 millions canadien, ce qui fait plus de $ 15 mille canadien le kilo acheté aux enchères au Japon par un patron d’une chaine de restaurant de sushi. L’assiette aura probablement exorbitant.
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Un thon vendu au prix record de 2,7 millions d’euros (environ $ 4 111 millions cad)

© reuters.

VIDÉO Un thon de 278 kilos s’est vendu samedi à un prix record de 333,6 millions de yens (2,7 millions d’euros) à Tokyo, un succès inattendu pour les premières enchères du Nouvel An au nouveau marché de Toyosu.

« C’est un beau thon, plus cher que prévu », a commenté l’acheteur, Kiyoshi Kimura, patron de la chaîne de restaurants Sushi Zanmai.

Il détenait déjà le précédent record, plus de deux fois inférieur, en 2013, pour un thon moins gros.

La bête a été pêchée au large de la préfecture d’Aomori (nord du Japon). Le prix payé revient à près de 10.000 euros le kilo.

A 5H10 du matin (jeudi 20H10 GMT), les cloches ont retenti pour marquer l’ouverture de la vente. Des centaines de thons frais et congelés alignés ont été adjugés un à un au cours d’un spectacle visuel et sonore que ne comprennent que les initiés. Les acheteurs enchérissent par une gestuelle codée.

Il s’agissait de la première vente à la criée de début d’année à Toyosu, marché qui a ouvert le 11 octobre pour succéder au légendaire Tsukiji qui a fermé après plus de 80 ans d’histoire.

D’après M. Kimura, le nombre de thons proposés à Toyosu est toutefois inférieur à ce qu’offrait Tsukiji, et cette rareté de très belles pièces est une des raison du prix atteint.

Entrez la légende de la vidéo ici

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Une start-up proposera des «étoiles filantes à la demande»


Des étoiles filantes sur demande avec un éclat que même Tokyo verrait cette intense lumière malgré la pollution. Ils ont une recette chimique qu’ils gardent secret pour envoyer des balles qui finiront désintégrées au-dessus de la Terre à l’aide de microsatellites. Ces produits chimiques vont t’ils polluer un peu plus ? Est-ce vraiment nécessaire de faire ce genre de chose ?
Nuage

 

Une start-up proposera des «étoiles filantes à la demande»

 

Sur cette photo, une vraie étoile filante, aperçue... (CESAR MANSO, AFP)

Sur cette photo, une vraie étoile filante, aperçue dans le nord de l’Espagne.

CESAR MANSO, AFP

Agence France-Presse

 

Une start-up japonaise se prépare à organiser une spectaculaire pluie de météores au-dessus de la ville de Hiroshima au printemps 2020, en espérant séduire ensuite des clients du monde entier avec ce premier service « d’étoiles filantes à la demande ».

La société ALE, basée à Tokyo, met les dernières touches au développement de deux microsatellites qui, une fois placés en orbite, seront capables d’éjecter de petites balles. Ces projectiles se désintégreront en pénétrant dans la couche atmosphérique, dégageant alors une très forte luminosité au contact des molécules de l’air.

Les satellites, qui pourront être utilisés séparément ou en tandem, seront lancés l’an prochain, l’un par une fusée de l’Agence nippone d’exploration spatiale (Jaxa), l’autre par une fusée du secteur privé.

À bord de chaque engin, 400 balles à la composition chimique gardée secrète et dont la couleur pourra varier en fonction des ingrédients employés. De quoi illuminer 20 à 30 événements, selon la compagnie.

C’est Hiroshima, dans l’ouest du Japon, qui aura la primeur de ce feu d’artifice céleste, pour sa météo clémente, sa géographie et ses atouts culturels. Si le ciel est limpide, la pluie de météores pourra être admirée par des millions de personnes, assure ALE.

Mais les ambitions d’ALE et de sa présidente, l’astronome Lena Okajima, vont bien au-delà du Japon.

« Nous ciblons le monde entier, puisque notre réserve d’étoiles filantes se trouvera dans l’espace et pourra être distribuée partout », a-t-elle expliqué à la presse cette semaine.

Chacune des étoiles ne devrait briller que quelques secondes, puis disparaître intégralement bien au-dessus de la surface terrestre, écartant ainsi tout danger, selon la société.

Mais leur éclat serait si puissant qu’un tel spectacle pourrait être envisagé sur la mégapole de Tokyo malgré l’intense pollution lumineuse.

ALE, qui travaille en collaboration avec des scientifiques et ingénieurs d’universités japonaises, les autorités et des entreprises, n’a pas souhaité donner le prix de ce divertissement de luxe.

La compagnie évalue à quelque 20 millions de dollars le coût de développement, du lancement et du fonctionnement des deux satellites.

À plus long terme, ALE étudie la possibilité d’utiliser des satellites déjà dans l’espace, qui ne seraient plus opérationnels, pour créer des étoiles filantes « géantes » en les précipitant dans l’atmosphère.

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Le plus haut gratte-ciel en bois va être construit à Tokyo


Présentement, c’est au Canada qu’il existe la plus haut gratte-ciel en bois. Le Japon travaille maintenant pour en construire une encore plus haute en bois. Il semble qu’il soit capable de résister au vent et aux séismes qui sont fréquents dans son pays. Mais c’est un projet à long terme, car il serait fini vers 2041
Nuage

 

Le plus haut gratte-ciel en bois va être construit à Tokyo

 

Le gratte-ciel du conglomérat japonais Sumitomo sera haut de 350 mètres. © Sumitomo Forestry

Le gratte-ciel du conglomérat japonais Sumitomo sera haut de 350 mètres. © Sumitomo Forestry

Marc Zaffagni
Journaliste

 

La société japonaise Sumitomo Forestry veut lancer la construction du plus haut gratte-ciel en bois jamais érigé. Installé au cœur de la capitale Tokyo, celui-ci culminera à 350 mètres et devrait être achevé en 2041.

Actuellement, le plus haut bâtiment du monde majoritairement fait de bois est la Brock Commons Tallwood House, un immeuble de 18 étages pour étudiants, ouvert l’automne dernier par l’université de la Colombie-Britannique à Vancouver (Canada), qui mesure 53 mètres de haut. Sumitomo Forestry compte bien largement battre ce record avec son projet.

Sumitomo est l’un des plus grands conglomérats du Japon ; il étend ses ramifications dans le domaine de l’exploitation forestière. Ce géant a décidé de célébrer son 350e anniversaire, qui tombera en 2041, en construisant le plus haut gratte-ciel en bois du monde.

Le Japon encadre strictement l’usage du bois dans les constructions

Ce bâtiment de 350 mètres de haut érigé à Tokyo comptera 70 étages de bureaux, commerces et habitations, avec un jardin sur le toit. Son architecture en contreventement mêlant 90 % de bois à du métal sera conçue pour résister aux vents violents et aux séismes, auxquels le Japon est régulièrement exposé. 185.000 m3 de bois seront nécessaires pour mener à bien ce projet nommé W350 Project.

 

Le bâtiment comportera 90 % de bois. © Sumitomo Forestry

Le bâtiment comportera 90 % de bois. © Sumitomo Forestry

Le bois est un matériau de construction qui a été beaucoup employé au Japon en raison de son abondance et de ses propriétés de souplesse, qui conféraient aux bâtiments une bonne résistance aux tremblements de terre. Mais la seconde guerre mondiale et les terribles incendies provoqués par les bombardements ont conduit le pays à encadrer drastiquement l’usage du bois dans les constructions (ces bâtiments ne doivent pas dépasser plus de deux étages).

Toutefois, les temps changent et les progrès techniques sur les bois composites ouvrent des possibilités inédites. Le nouveau stade national actuellement en construction au centre de Tokyo pour les Jeux olympiques de 2020 utilise ainsi du bois.

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Voici Aibo, le robot chien plus vrai que nature


On remplace des emplois par des robots et des animaux aussi. Alors si les chiens robots envahissent le marché que deviendront les chiens qui sont abandonnés, dans les refuges ? Nous sommes en train de changer notre âme pour de la mécanique, la robotique et vivre dans un environnement artificiel
Nuage

 

Voici Aibo, le robot chien plus vrai que nature

 

« Le chien que nous avions est mort, donc nous avons acheté ce robot »:

Naohiro Sugimoto, garçonnet de 7 ans, était un des premiers, jeudi à Tokyo, à prendre possession d’Aibo, officiellement lancé par Sony.

Le petit Naohiro Sugimoto, 7 ans, et son nouveau compagnon. © afp

Au cours d’une très sérieuse « cérémonie d’anniversaire », des dirigeants du géant japonais de l’électronique ont dévoilé la créature d’un blanc ivoire, précieusement gardée dans un écrin dont elle est sortie en dodelinant de la tête et en remuant la queue, avant de s’étirer comme si elle se réveillait d’une sieste. Avec ses adorables yeux ronds, le chien robot, haut de 30 centimètres, a rapidement conquis ses maîtres, tels le petit Naohiro qui l’a décrit comme « lourd mais mignon ».

Un compagnon pas à la portée de toutes les bourses

Aibo, capable de développer sa propre personnalité et d’exprimer des émotions, est truffé d’une batterie de capteurs, caméras et micros, et sa connexion internet permet à son propriétaire d’interagir avec lui à distance, via un smartphone. Une technologie qui n’est pas à la portée de tous: il faut débourser plus de 2.100 euros (288.000 yens), via un forfait de trois ans, pour s’offrir sa compagnie. Sony, qui prévoit de le commercialiser à l’étranger, n’a pas donné de détails ni d’objectifs chiffrés, mais il espère rencontrer le même succès qu’avec son premier Aibo, lancé en juin 1999: les 3.000 premières unités s’étaient arrachées en seulement 20 minutes, en dépit d’un prix tout aussi élevé (250.000 yens). Au total, le groupe en avait vendu plus de 150.000 dans le monde jusqu’en 2006, quand des difficultés financières l’avaient contraint d’arrêter la production.

Yasuyuki Nakamura, 46 ans, un autre heureux possesseur d’Aibo (son troisième chien robot), attendait avec impatience que Sony conçoive une nouvelle version. Parmi les acheteurs, un couple disait avoir décidé cette petite folie pour son 25e anniversaire de mariage. Il ne faut cependant pas attendre d’Aibo qu’il fasse causette ou vous aide dans vos tâches ménagères, mais là n’est pas sa finalité, insiste Izumi Kawanishi, chargé du projet.

« Quand vous achetez un chien, vous ne vous demandez pas ce qu’il est capable de faire, si? L’important, c’est qu’il touche une corde sensible chez les gens », estime-t-il.

Sony retente le coup de la robotique

Sony, qui a retrouvé le chemin de la croissance sous la houlette de son PDG Kazuo Hirai, renoue ainsi avec la robotique qu’il semblait avoir abandonnée avec l’arrêt du développement d’Aibo il y a plus de dix ans. Il a à cette fin investi en 2016 dans une entreprise américaine, Cogitai, spécialiste de l’intelligence artificielle (AI).

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Le CEO de Sony Kazuo Hirai présente la nouvelle version du robot chien Aibo, Las Vegas, le 8 janvier 2018. © afp.

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Changements climatiques : 7 défis pour l’humanité


Les défis que nous avons à faire face aux changements climatiques sont immenses. Autant par les catastrophes naturelles qui augmenteront, des pays, des villes qui disparaitrons sous les eaux, la famine, les conflits pour des ressources comme la nourriture, l’eau, les maladies transmissent par des insectes et animaux voyagent dans d’autres pays etc …
Il est probablement trop tard, mais ne rien faire, serait probablement pire.
Nuage

 

Changements climatiques : 7 défis pour l’humanité

 

Une centaine de personnes ont perdu la vie au Vietnam, et la vieille ville de Hội An, inscrite au patrimoine mondial de l’UNESCO, a été inondée. Photo : Reuters/Nguyen Huy Kham

Au moment où la communauté internationale est réunie à Bonn, en Allemagne, pour la 23e conférence de l’ONU sur le climat (COP23), la planète montre de plus en plus de signes de dérèglement. Et s’il était trop tard pour éviter les pires effets des changements climatiques? À quoi, alors, faudrait-il s’attendre? Voici quelques scénarios.

Un texte d’Alain Labelle

1. Des mégalopoles menacées par les eaux

New York, Mumbai, Tokyo.

D’importantes villes riveraines sont menacées d’être submergées, au cours de ce siècle, en raison de l’augmentation du niveau des océans liée à la fonte des calottes polaires et des glaciers.

Si certaines, parmis les plus riches, adapteront leurs infrastructures, d’autres risquent de disparaitre sous les flots.

Cette image montre en rouge les régions qui disparaissent sous les eaux si le niveau des océans monte de 6 mètres.

Cette image montre en rouge les régions qui disparaissent sous les eaux si le niveau des océans monte de 6 mètres.   Photo : NASA

Outre ces villes, des régions rurales entières de pays comme le Bangladesh, l’Indonésie et la Chine sont au même titre menacées.

Et c’est sans oublier les milliers d’îles, grandes et petites, qui risquent aussi de disparaître, et avec elles leur faune et leur flore.

Ce sont donc les milieux de vie de centaines de millions de personnes qui sont menacés.

2. Météo extrême à l’horizon

Des ouragans comme Irma et Matthew, mais aussi des sécheresses causant des feux de forêt comme ceux qui ont fait rage en Europe et en Californie cette année deviendront la norme dans les prochaines décennies.

La hausse des températures, particulièrement à la surface des océans, est l’un des éléments importants d’un cocktail météo qui favorise les événements météorologiques de cet ordre.

Vue aérienne de Toa Alta à  Porto Rico après le passage de l’ouragan Maria. Scène de désolation, plusieurs maisons détruites.

Vue aérienne de Toa Alta à Porto Rico après le passage de l’ouragan Maria Photo : The Associated Press/Gerald Herbert

Si on ne peut pas dire que ces manifestations extrêmes sont directement causées par les changements climatiques, les experts s’entendent pour affirmer que leur fréquence et leur puissance augmentent avec le réchauffement.

Il faut donc s’attendre à ce que les futures catastrophes naturelles fassent plus de victimes et que les dommages matériels explosent.

3. De l’air chaud et pollué dans vos poumons

Il y aura à l’avenir plus de périodes de canicule comme celles qui ont frappé l’Europe et l’Inde cet été.

Ces épisodes seront plus intenses et contribueront directement à la mortalité par maladies cardiovasculaires ou respiratoires, en particulier chez les personnes âgées et malades.

De plus, la pollution de l’air aggravera la saison des pollens, ce qui favorisera les allergies et l’asthme.

Des jeunes en Indonésie se rendent à pied à l'école malgré un smog épais.

Des jeunes en Indonésie se rendent à pied à l’école malgré un smog épais. Photo : Reuters/Antara Foto/Wahdi Setiawan

4. Des humains démunis devant la catastrophe

Qui dit sécheresse dit famine.

Les experts affirment que la faim est l’une des conséquences majeures des changements climatiques et que ce sont surtout les habitants des pays pauvres d’Afrique et d’Asie qui seront frappés par la situation.

Des milliers de personnes devront également migrer pour fuir des situations intenables et deviendront des réfugiés climatiques.

Selon l’ONU, environ 250 millions de personnes seront, d’ici 2050, forcées de s’exiler à cause des bouleversements du climat.

Au printemps dernier, des habitants de l’Afrique de l’Est se trouvaient au cœur d’une sécheresse dont certains experts attribuent l’importance historique aux changements climatiques.

Au printemps dernier, des habitants de l’Afrique de l’Est se trouvaient au cœur d’une sécheresse dont certains experts attribuent l’importance historique aux changements climatiques. Photo : Reuters/Feisal Omar

5. Des maladies qui voyagent

Les changements climatiques allongent la saison de transmission de certaines maladies et leur répartition géographique.

C’est le cas de la maladie de Lyme au Canada, qui progresse vers le nord à la vitesse de l’invasion d’une petite souris porteuse de la tique à l’origine de la maladie.

Le climat exerce aussi une forte influence sur le paludisme et la dengue, qui se propagent avec l’augmentation de l’humidité et de la chaleur.

Selon des études, pas moins de 2 milliards de personnes de plus pourraient être exposées au risque de transmission de la dengue d’ici les années 2080.

6. Des milieux océaniques et terrestres métamorphosés

Les changements climatiques menacent la biodiversité des écosystèmes terrestres et marins.

La répartition des espèces océaniques se réorganise complètement avec l’augmentation des températures et l’acidification de l’eau, et transforme radicalement le paysage planétaire.

Des espèces dangereuses comme certains crabes et méduses apparaîtront par ailleurs sous de nouvelles latitudes. Le système économique lié à la pêche s’en trouvera grandement déséquilibré.

De plus, les poissons des océans risquent de rapetisser de 30 % au cours des 30 prochaines années, en réponse au réchauffement des océans.

Un ours polaire assis sur une masse de glace dans le détroit de Lancaster, près de l'île de Baffin.

Selon des scientifiques, les températures dans l’Arctique montent deux fois plus vite qu’ailleurs sur la planète, mettant les animaux qui dépendent de la glace encore plus en danger. Photo : Radio-Canada/Jimmy Thomson

Des espèces changent leurs habitudes sur la terre ferme aussi.

Les cycles de vie de la faune et de la flore (les périodes de migrations, de reproduction, de floraisons, de pontes, etc.) changent, certains s’allongent et d’autres se raccourcissent. Certaines espèces n’arriveront pas à s’adapter au changement et disparaîtront.

Certains vignobles européens, par exemple, souffriront de la chaleur et de la sécheresse.

7. Des conflits liés au climat apparaissent

Les mouvements des populations dans les États, mais aussi entre les États, mettront de la pression sur des relations entre pays voisins parfois déjà difficiles.

Que ce soit pour fuir les éléments ou pour avoir accès à de l’eau potable ou à de la nourriture, les migrants du climat représenteront un enjeu humanitaire et géopolitique important dans les prochaines décennies.

L’accès à certaines ressources comme les poissons mène aussi à des conflits.

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Japon: 177 baleines tuées dans le Pacifique


Le Japon est supposé avoir signé un moratoire sur la chasse aux baleines, alors pour contourner ce moratoire, ils ont prétexté de faire des recherches et que la pêche est nécessaire pour évaluer le nombre potentiel pour reprendre un jour la pêche commercial. Je trouve que c’est tricher et qu’ils devraient avoir des sanctions. Le jour ou les baleines disparaîtront cela fera un tort à l’écosystème marin
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Japon: 177 baleines tuées dans le Pacifique

 

Le Japon est signataire du moratoire de la... (AFP)

Le Japon est signataire du moratoire de la Commission baleinière internationale (CBI) sur la chasse aux baleines, mais il affirme la pratiquer pour effectuer des recherches, non seulement près de ses côtes dans le Pacifique, mais aussi dans l’Antarctique.

AFP

Agence France-Presse
Tokyo

 

Les Japonais ont tué 177 baleines dans l’océan Pacifique, au large de la côte nord-est de l’archipel, lors d’une mission estivale qui suscite la colère des défenseurs des animaux.

Trois navires spécialisés partis en juin ont, comme prévu, capturé 43 baleines de Minke et 134 rorquals boréaux, a précisé mardi l’Agence des pêches.

La chasse à la baleine létale est «nécessaire» pour estimer le nombre de prises potentielles sur le long terme, a justifié l’agence, dont le but est de «recommencer un jour la pêche commerciale», a précisé à l’AFP le fonctionnaire Kohei Ito.

Le Japon est signataire du moratoire de la Commission baleinière internationale (CBI) sur la chasse aux baleines, mais il affirme la pratiquer pour effectuer des recherches, non seulement près de ses côtes dans le Pacifique, mais aussi dans l’Antarctique.

Cette posture est dénoncée par les organisations de défense des cétacés ainsi que par plusieurs pays, qui estiment que Tokyo utilise de façon malhonnête une exception dans le moratoire datant de 1986.

En 2014, la Cour internationale de Justice avait ordonné à Tokyo de mettre fin à cette chasse dans les eaux de l’Antarctique, jugeant qu’elle ne remplissait pas les critères scientifiques exigés.

Le Japon avait annulé sa campagne hivernale de 2014-15, pour reprendre la pêche à la baleine l’année suivante dans le cadre d’un programme modifié.

L’Antarctique a été le théâtre de heurts entre baleiniers japonais et défenseurs des animaux, jusqu’à ce que l’organisation écologiste Sea Shepherd annonce le mois dernier qu’elle renonçait à harceler les baleiniers japonais dans le Grand Sud.

La Norvège – qui ne se considère pas liée par le moratoire international de 1986, à laquelle elle s’est opposée – et l’Islande sont les seuls pays au monde à pratiquer ouvertement la chasse commerciale.

Le Japon, de son côté, tente de prouver que la population de baleines est assez importante pour supporter une reprise de la chasse commerciale.

La consommation de baleine a une longue histoire au Japon, pays de pêcheurs où le cétacé a été chassé pendant des siècles. L’industrie baleinière a connu son essor après la Seconde Guerre mondiale, pour apporter des protéines animales aux habitants du pays.

Cependant, la demande des consommateurs japonais pour la chair de baleine a considérablement diminué ces dernières années ce qui, hormis pour les professionnels du secteur, rend douteux le sens des missions baleinières.

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Ces sucettes réalistes semblent être faites en verre


Ce sont de très belles oeuvres comestibles. Un art traditionnel japonais que l’artiste utilise pour des sucettes.
Nuage

 

Ces sucettes réalistes semblent être faites en verre

 

Shinri Tezuka (auparavant) est fabricant de bonbons dans une confiserie de Tokyo appelée Ame shin.

Il produit des sucettes surprenantes qui représentent des animaux réalistes.

On dirait des statuettes sorties de l’atelier d’un verrier et pourtant c’est du sucre : ces oeuvres sont entièrement comestibles. Le travail du sucre cuit s’apparente au travail du verre. On retrouve d’ailleurs des outils et des méthodes communes dans l’art traditionnel japonais du Amezaiku.

Vous pouvez voir plus d’exemples de son travail sur Instagram et voici une vidéo qui vous permet de visiter la boutique.

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Une sauce à la «sueur de femme» pour du poulet frit!


Avec un nom pareil donner à une sauce pour le poulet frit donnerais sûrement bien des nausées à bien des gens. Bon, ce n’est que de la pub, mais je doute que cela passerais dans mon coin pays
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Une sauce à la «sueur de femme» pour du poulet frit!

 

TENKA TORIMASU

Au Japon, un restaurateur a voulu reproduire la sueur des femmes d’un groupe de musique très populaire!

Une chaîne de restauration de Tokyo, Tenka Torimasu, offre une nouvelle sauce à ses clients. À première vue, le nom de celle-ci pourrait vous dégoûter: sueur de femme!

L’idée des restaurateurs reconnus pour leur poulet karaage (poulet frit japonais) est de reproduire la sueur des membres du populaire groupe Kamen Joshi, qu’on peut traduire par «Femmes masquées» en français.

On vous rassure tout de suite. Ce n’est pas réellement de la sueur des femmes du groupe qui a été recueillie pour servir d’ingrédient à la sauce.

L’une des membres de Kamen Joshi, Anna Tachibana, a demandé aux fans d’encourager cette collaboration entre Tenka Torimasu et le groupe en allant consommer le produit.

«De la sueur rafraîchissante de votre idole! C’est le poulet frit dont vous rêviez qui a été créé», a-t-elle écrit dans une publication.

Si jamais vous passez par Tokyo, sachez que vous pouvez vous procurer un baril de poulet frit à la sueur de femme pour la modique somme de 400 yen, soit 4,56 $ canadien. Faites vite, la promotion prend fin le 31 octobre prochain!

http://quebec.huffingtonpost.ca