Un mini sphinx découvert en Égypte


Heureusement qu’Obélix ne l’a pas vu avant il aurait voulu grimper sur le grand Sphinx de Gizeh et casser son nez .. Bon, ce n’est pas la vraie histoire de la perte du nez du grand Sphinx … Mais ce mini Sphinx a un joli petit nez et de très beau traits d’ailleurs.
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Un mini sphinx découvert en Égypte


Céline Deluzarche
Journaliste

Des archéologues ont découvert une petite statue de sphinx royal au cours de fouilles dans la nécropole de Tuna el Yebel, dans le centre de l’Égypte, informe le ministère des Antiquités égyptien sur Twitter.

La sculpture en calcaire, qui évoque le grand Sphinx de Gizeh, mesure 55 cm de long pour 35 cm de haut, soit à peu près cent fois plus petite que l’original, qui mesure 73,5 mètres de long et 20,22 mètres de haut. Mais ce sphinx miniature a lui gardé son nez !

Le directeur général des Antiquités de la Moyenne Égypte, Gamal El Samastawy, a souligné « les traits et les détails raffinés du visage [qui démontrent] le savoir-faire de sculpteurs de l’Égypte ancienne ».

Des poteries de différentes tailles, des amulettes en faïence bleue représentant le dieu Bes, et un pot en albâtre ont également été trouvés à côté du sphinx. Le site archéologique de Tuna el Yebel fait l’objet de fouilles approfondies depuis trois ans. Les chercheurs y ont mis au jour une véritable « vallée de momies » avec plusieurs cimetières et catacombes datant de l’époque ptolémaïque (300 ans avant J.C). Le site est aussi connu pour ses stèles frontalières du pharaon Akhenaton, qui marquaient la frontière nord-ouest d’Amarna, la capitale égyptienne pendant la période de l’atonisme (XIVe siècle av. JC).

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Quatre sculptures gauloises découvertes en Bretagne


Lors de fouilles préventives, des archéologues ont trouvé des statues datant du 1e siècle de notre ère. Elles auraient probablement été jetées dans un puit croit-on, mais malgré tout très bien conservées
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Quatre sculptures gauloises découvertes en Bretagne

Quatre sculptures gauloises découvertes en BretagneStatue numéro 1 : figure d’un aristocrate gaulois avec un torque, I er siècle avant notre ère© Emmanuelle Collado, Inrap


Par Chloé Gurdjian

C’est lors de fouilles préventives à Trémuson, dans les Côtes-d’Armor, que ce trésor a été mis au jour : quatre statues millénaires parfaitement conservées.

C’est une découverte dont les chercheurs de l’INRAP (Institut national de recherches archéologiques préventives) se souviendront longtemps. Alors qu’ils effectuaient des fouilles dans le cadre de l’extension de la plateforme Bourguignon, à Trémuson (Côtes-d’Armor), ils sont notamment tombés sur quatre bustes gaulois enfouis au milieu du Ier siècle avant notre ère

« Dans un premier temps, nous sommes tombés sur la base de la statue. On pensait qu’il s’agissait simplement d’un bloc de pierres brut. Mais lors de la fouille de la deuxième moitié, on s’est rendu compte que c’était une sculpture, très finement travaillée », raconte à France 3 Stéphane Bourne, archéologue auprès de l’Inrap.

Cette première sculpture, découverte par hasard, est la plus spectaculaire. Mesurant 40 cm de haut, elle a été trouvée dans une fosse rectangulaire, face contre terre.

« Sculptés dans la roche, les traits du visage, ciselés avec détails sont ceux d’un homme à la chevelure et la barbe soignées, rappelant ceux de la tête barbue figurant sur une série de monnaies datées du milieu du Ier siècle avant notre ère, attribuées à la cité des Riédones, explique l’INRAP dans un communiqué. La partie inférieure du buste, non travaillée, se termine en pointe, laissant penser qu’elle devait être fichée dans le sol ou dans un autre matériau. Il est extrêmement rare de pouvoir étudier de tels vestiges sur les lieux-mêmes où ils ont été enfouis ou abandonnés. »

Les trois autres statues ont été mises au jour par la suite dans un puit comblé à la période gauloise, où elles avaient probablement été jetées

« Souvent, les battements de nappe phréatique abîment de façon conséquente le matériel et là, non, tout a été extrêmement bien préservé », a expliqué à France 3 Christophe Tardy de la Cellule d’intervention des structures archéologiques profondes.

Selon les scientifiques, il n’existerait en France qu’une vingtaine de bustes de ce genre. D’autres objets très rares, comme un sceau en bois cerclé de bronze ouvragé, ont également été trouvés.

Autrefois, ce lieu était, selon le communiqué, « l’espace résidentiel d’une ferme gauloise fondée au IVe siècle avant notre ère (…) De nombreux vestiges témoignent de l’évidente richesse des propriétaires ».

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Des archéologues découvrent une tête en marbre vieille de 2000 ans au cœur de Rome


En Italie, à Rome, une tête est apparue lors d’excavation d’un mur médiéval. Il semblerait que ce soit la tête du dieu Bacchus ou aussi connu dieu Dionysos, selon la mythologie romaine. Cette tête en marbre très bien conservée aurait 2 000 ans. En tout cas, triste sort pour un dieu qui a été recycler pour faire un mur quelques siècles plus tard.

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Des archéologues découvrent une tête en marbre vieille de 2000 ans au cœur de Rome


Des archéologues découvrent une tête en marbre vieille de 2000 ans au cœur de RomeLa tête en marbre découverte à Rome représenterait le dieu Dionysos ou Bacchus dans la mythologie romaine.© Parco archeologico del Colosseo

Par Emeline Férard –

En menant des fouilles au cœur de Rome, des archéologues ont découvert figée dans un mur une tête en marbre vieille de 2.000 ans. Selon eux, elle représenterait Dionysos, le dieu des vignes et de la fête connu sous le nom de Bacchus dans la mythologie romaine.

Quelques semaines après la découverte d’une salle secrète dans le palais de Néron, c’est un nouveau trésor archéologique qui vient de sortir des sous-sols de Rome. Au coeur de la capitale italienne, une équipe vient de mettre au jour une remarquable tête en marbre blanc vieille de 2.000 ans. Une sculpture qui représenterait Dionysos, le dieu des vignes et de la fête.

La tête est apparue au cours de travaux d’excavations menées à proximité du Forum romain. Elle était figée dans un mur en ruines datant de l’époque médiévale. Selon Claudio Parisi Presicce, directeur des musées archéologiques de Rome, la sculpture remonterait à l’ère impériale, une période située entre le Ier siècle avant notre ère et le IIe siècle de notre ère.

« Les yeux creux, qui étaient probablement remplis de verre ou de pierres précieuses, remontent aux premiers siècles de l’Empire romain », a-t-il justifié à l’agence de presse italienne ANSA. Dans un premier temps, les spécialistes ont pensé que la tête représentait une déesse au vu de ses traits « raffinés, gracieux, jeunes et féminins ».

Toutefois, un bandeau décorant la tête a orienté vers une autre piste : celui-ci montre un corymbe et du lierre, des plantes régulièrement associées au dieu Dionysos ou Bacchus chez les Romains. Les archéologues pensent que la tête appartenait à une statue complète de la divinité mais qu’elle aurait été réutilisée pour construire le mur qu’ils exploraient.

« Elle était incrustée dans le mur et avait été recyclée comme un matériau de construction, comme c’était souvent le cas à l’époque médiévale », a expliqué sur Facebook le Parc archéologique du Colisée qui comprend le Forum romain. « Extraite du sol, elle s’est révélée dans toute sa beauté » et a montré un état de conservation remarquable malgré sa réutilisation.

La prochaine étape va consister à nettoyer la sculpture et l’analyser plus en détails.

« La surface n’est pas totalement visible parce que nous ne l’avons pas encore nettoyé de façon minutieuse », a relevé le parc dans sa publication. « Nous pensons qu’il pourrait encore y avoir des traces de la couleur originale conservées dans le bandeau autour des cheveux ».

Après avoir révélé tous ses secrets, la tête rejoindra les collections d’antiquités exposées dans la capitale italienne.

« Rome continue de nous surprendre tous les jours », s’est réjouie pour l’ANSA, Virginia Raggi, maire de la capitale. « La tête de la statue… est dans un état excellent état. C’est une merveille ».

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Un lapin de Jeff Koons vendu 91,1 millions, record pour un artiste vivant


On dit que les goûts ne se discutent pas, et peut-être que finalement je ne connait rien aux arts, mais payer 91,1 millions de dollars pour une sculpture de lapin, c’est quand même complétement fou,, Si les collectionneurs ont tant à dépenser, je suis certaines que plusieurs pourraient proposer des idées qui seraient plus utiles et plus productifs.
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Un lapin de Jeff Koons vendu 91,1 millions, record pour un artiste vivant

Le Rabbit, qui représente un moulage en acier... (PHOTO TIMOTHY A. CLARY, AFP)

Le Rabbit, qui représente un moulage en acier d’un lapin gonflable, a battu d’un souffle le tableau Portrait of an Artist (Pool with Two Figures) du peintre britannique David Hockney, qui avait atteint 90,3 millions de dollars mi-novembre, déjà chez Christie’s à New York.

PHOTO TIMOTHY A. CLARY, AFP

Agence France-Presse
New York

Une sculpture du plasticien américain Jeff Koons a été vendue mercredi 91,1 millions de dollars lors d’enchères organisées par la maison Christie’s à New York, un record pour un artiste vivant.

Le Rabbit, qui représente un moulage en acier d’un lapin gonflable, a battu d’un souffle le tableau Portrait of an Artist (Pool with Two Figures) du peintre britannique David Hockney, qui avait atteint 90,3 millions de dollars mi-novembre, déjà chez Christie’s à New York.

La sculpture vedette de la vente de printemps de Christie’s, a été adjugée 80 millions de dollars, soit le même prix au marteau que la toile de Hockney, mais a battu le record en ajoutant commission et frais, avec un prix final de 91 075 millions de dollars.

Fait rare pour une oeuvre de ce prix, ce lapin, qui fait partie d’une série de trois effectuée par Jeff Koons en 1986, a été adjugé à une personne se trouvant dans la salle.

Interrogé par l’AFP, Christie’s n’a rien voulu dévoiler de l’identité de cet acheteur mystère, mais a indiqué que des collectionneurs du monde entier s’étaient positionnés sur l’oeuvre au cours de la vente.

Le plasticien de 64 ans a ainsi récupéré le record qu’il détenait avant d’être brièvement détrôné par David Hockney.

Son Balloon Dog (Orange), vendu 58,4 millions de dollars en 2013, avait tenu cinq ans.

Le Rabbit est l’une des oeuvres les plus connues de l’artiste qui a bousculé les conventions du monde des arts.

Haut de 104 cm, il est issu de la collection de S. I. Newhouse, ancien patron du groupe de presse Condé Nast (décédé en 2017), qui comprend les magazines Vanity Fair, Vogue et The New Yorker.

« L’anti-David »

Pour Alex Rotter, président de l’après-guerre et de l’art contemporain chez Christie’s à New York, Rabbit est « la pièce la plus importante de Jeff Koons », avait-il expliqué à l’AFP lors de la présentation des enchères.

« J’irais même plus loin, c’est la sculpture la plus importante de la seconde moitié du XXe siècle », avait-il ajouté. « C’est la fin de la sculpture. C’est l’anti-David, comme je l’appelle », disait-il, en référence au chef-d’oeuvre de Michel-Ange (1501-04).

« Vous ne pouvez pas aller plus loin du David tout en restant figuratif et dans la sculpture traditionnelle ».

C’est un nouveau triomphe pour le plasticien controversé, qui a suscité des conversations sans fin, depuis son émergence durant les années 80, sur la valeur artistique et marchande d’une oeuvre.

Commercial hors pair, il a régulièrement soulevé des controverses, notamment avec ses tableaux et sculptures dans lesquels il copulait avec l’ancienne vedette italienne du cinéma la Cicciolina, qu’il épousera en 1991 (divorce en 1994).

Il a néanmoins déjà trouvé sa place dans les musées. En 2014, le Whitney Museum de New York et le Centre Pompidou à Paris lui avaient consacré une grande rétrospective, qui avait voyagé des États-Unis vers la France.

« Vous pouvez penser de Koons ce que vous voulez, ceci était sa plus belle oeuvre », a commenté, après la vente, Alexander Rotter.

La vente de mercredi chez Christie’s a été soutenue, avec un record à 88,8 millions de dollars pour le tableau Buffalo II (1964) du peintre américain Robert Rauschenberg (décédé en 2008), considéré comme l’un des précurseurs du pop art.

Autre temps fort, les 32 millions de dollars atteint par Spider, l’araignée géante (3 m de haut, 7 de large) de Louise Bourgeois (décédée en 2010), un record pour l’artiste franco-américaine.

« Avant cette semaine, il y avait des questions sur la vitalité du marché de l’art », a expliqué le PDG de Christie’s, Guillaume Cerruti, après la vente. « Mais nous savions que notre offre était fantastique. »

Les grandes ventes de printemps se poursuivent jeudi avec une soirée dédiée à l’art contemporain chez Sotheby’s.

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"Les enfants peuvent être rassurés, Momo est morte"


Il parait que l’art ne se discute pas … Enfin, à chacun ses goûts ! Pour ceux qui essaient de rassurer des jeunes qui ont peur, ils pourront leur dire que Momo n’existe plus. Elle ne peut pas du tout faire de mal. À mon avis, par contre, il est important d’inculquer aux enfants, de ne pas donner des informations personnelles sur le Web et de ne pas croire, n’importe quoi. Ce genre de chose ressemble aux chaines de lettres quand nous étions petits, qui prédisaient malheurs si on ne copiait et n’envoyait pas 7 lettres identiques.
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« Les enfants peuvent être rassurés, Momo est morte »

 

Par: Deborah Laurent

L’artiste à l’origine de la sculpture qui a inspiré le challenge MoMo a annoncé avoir détruit son oeuvre. MoMo a été créée par un sculpteur japonais Keisuke Aiso.

La sculpture originale est intitulée Mother Bird et était exposée depuis 2016 dans une galerie à Tokyo. Le visage effrayant a inspiré le MoMo challenge qui invite les enfants et adolescents à réaliser des défis dangereux. Comme se scarifier ou attenter à ses jours.

Le visage terrifiant de MoMo apparaît dans des dessins animés sur YouTube. Le sculpteur en a eu marre de la mauvaise réputation de sa création: il a décidé de la démolir.

« Les enfants peuvent être rassurés. Momo est morte », a-t-il déclaré au journal The Sun. « Elle n’existe pas et la malédiction a disparu. »

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Des sculptures très détaillées avec des morceaux de poupées accumulés


Ce doit prendre énormément de poupée pour faire ces sculptures. Je trouve cela quand même un peu sordide.
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Des sculptures très détaillées avec des morceaux de poupées accumulés

 

Freya Jobbins est une artiste australienne dont le travail est basé sur le collage par assemblage, l’installation et l’impression.

Elle précise que son travail est basé sur l’appropriation, le réassemblage et la subversion d’objets préexistants, où elle continue d’explorer les notions d’identité, de motifs et de sa propre dissimulation ».

L’aspect cumulatif de la couleur dite « chair » avec le rythme des petits éléments donne un résultat très fouillé et juste, qui exprime à la fois l’apparence des groupes anatomiques de muscles et le mouvement du vivant.

Freya Jobbins_Cassiopeia, 2015

Freya Jobbins_Cassiopeia, 2015BatmanZeus,Ganymede,Hera

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Israël: des bustes de l’époque romaine découverts par une promeneuse


Grâce à des fortes pluies, des sculptures ont refait surface, elle date de la fin de l’époque romaine qui ont occupé Israël.
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Israël: des bustes de l’époque romaine découverts par une promeneuse

 

Il s'agit de sculptures grandeur nature, taillées dans... (Photo GALI TIBBON, AFP)

Il s’agit de sculptures grandeur nature, taillées dans du calcaire, et découvertes dans la ville de Beit Shean, dans le nord du pays, au début du mois, selon un communiqué de l’AIA qui les a datées de la fin de la période romaine, il y a environ 1700 ans.

PHOTO GALI TIBBON, AFP

 

Agence France-Presse
Jérusalem

Une Israélienne se promenant près d’anciennes ruines a découvert par hasard le haut d’une statue ce qui a permis d’exhumer deux bustes de l’époque romaine, a annoncé dimanche l’Autorité israélienne des Antiquités (AIA).

Il s’agit de sculptures grandeur nature, taillées dans du calcaire, et découvertes dans la ville de Beit Shean, dans le nord du pays, au début du mois, (décembre nldr) selon un communiqué de l’AIA qui les a datées de la fin de la période romaine, il y a environ 1700 ans.

Les bustes, bien conservés, représentent deux hommes. L’un d’eux porte la barbe et son buste a été sculpté dans le style oriental, à la mode vers la fin de la période romaine, éclaire Eitan Klein, chef adjoint de l’unité de prévention des vols de l’AIA.

Selon l’AIA, les sculptures, jusque là sous terre, sont devenues visibles en raison de récentes fortes pluies. Elles se trouvent dans le nord du parc national de Beit Shean, au milieu des ruines d’une ville romaine et byzantine.

« Les bustes de ce genre étaient généralement placés à l’intérieur ou près de grottes funéraires et ils représentaient souvent l’image du défunt », a déclaré M. Klein dans ce communiqué de l’AIA.

La promeneuse israélienne ayant découvert ces bustes recevra un « certificat de reconnaissance » pour avoir prévenu l’AIA, a précisé celle-ci.

Les bustes seront exposés au public quand les chercheurs auront achevé l’ensemble de leurs recherches les concernant

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Des chiots glacés à manger


J’aime bien la crème glacée peu importe la forme, mais quand cela semble trop réel comme c’est chiots Bulldog, c’est trop glauque.
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Des chiots glacés à manger

 

café glaces chien chiot

Depuis quelques jours, des photos de chiots particulièrement étranges sont devenues virales. Et pour cause : ce ne sont pas de « vrais » chiots, mais… des glaces à s’en lécher les babines !

C’est l’été, il fait chaud, et vous adorez probablement déguster de bonnes glaces pour vous rafraîchir. A Taïwan, où il fait très humide, un café en sert à ses clients, qui sont d’ailleurs de plus en plus nombreux. La raison à cette affluence ? La spécialité de ce café : des chiots glacés.

Rassurez-vous, ce ne sont pas de vrais chiots. Mais plutôt des sculptures glacées en forme de chiots ! Il faut dire que la ressemblance est frappante, à tel point que sur les réseaux sociaux, quelques internautes se sont fait surprendre en découvrant par exemple un Bulldog se faire couper la tête… avec une cuillère

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Le Saviez-Vous ► Anna Coleman Ladd, la femme qui rendait un visage aux Gueules cassées


Aujourd’hui, les chirurgiens réussissent des transplantation faciale, alors qu’il fut un temps que ce soit par accident ou pendant la guerre, un visage défiguré n’avait que d’autre choix que d’accepter cet état. Alors de la Première Guerre mondiale, une Américaine sculptrice établi à Paris a réparé des visages grâce à son art
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Anna Coleman Ladd, la femme qui rendait un visage aux Gueules cassées

 

Anna Coleman Watts Ladd est une sculptrice américaine, responsable de l’atelier de fabrication de masques de la Croix-Rouge à Paris pendant la Première Guerre mondiale.

Elle a travaillé avec les gueules cassées, des hommes dont le visage était en partie détruit par des éclats d’obus, des balles ou des lance-flammes.

Elle s’inspire du Tin Noses Shop (Magasin de nez en étain) à Londres en 1917, fabriquant des masques pour les soldats mutilés britanniques.

Ladd ouvre un atelier à Paris, pour la fabrication de masques pour les soldats mutilés.

Elle faisait un moule en plâtre du visage de son sujet, remplissant les parties manquantes, puis galvanisait le résultat dans le cuivre.

Après des raccords et des ajustements répétés, ce qui pouvait durer plusieurs semaines, Ladd positionnait le masque sur le visage de son sujet, puis appliquait un masque qu’elle peignait ensuite selon la couleur de la peau de l’homme.

Ses services lui ont valu la Légion d’honneur avec Croix du Chevalier et l’Ordre serbe de Saint Sava

Source Wikipedia

 

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Le Saviez-Vous ► Les Jeux olympiques antiques : les sports qui ont disparu


Les Jeux olympiques d’hiver sont finis, il y a eu des perdants et des gagnants dans diverses disciplines. Ces compétitions existent depuis l’antiquité et à travers le temps certains sports ont été exclus pour certaines raisons comme les courses de char (avec chevaux) qui ne font plus partie de notre temps, ou encore par manque d’intérêt ou par cruauté. Les plus surprenants qui ont exister comme disciplines furent les épreuves artistiques en musique, littérature, sculpture, peinture et architecture
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Les Jeux olympiques antiques : les sports qui ont disparu

 

Pascal Boutreau
Journaliste

 

Course de chars

C’était l’événement le plus attendu des Jeux olympiques antiques, dès 680 avant J.-C. Sur des chars menés par des attelages de deux ou quatre chevaux, les courses étaient émaillées de nombreux accrochages, de quoi ravir le public.

Pancrace

Scène de pancrace peinte sur un kylix. Le lutteur de droite essaie de crever l'œil de son adversaire. L’arbitre intervient avec un fouet pour sanctionner la faute. © Domaine public

Scène de pancrace peinte sur un kylix. Le lutteur de droite essaie de crever l’œil de son adversaire. L’arbitre intervient avec un fouet pour sanctionner la faute. © Domaine public

Les actuels combattants du très controversé « ultimate fight » auraient connu leur heure de gloire lors des Jeux olympiques antiques avec la discipline du pancrace, une sorte de lutte où l’arrachage des yeux et les morsures constituaient les seules limites.

Course en armes

Lors des premières éditions vers 520 avant J.-C, les participants étaient équipés d’un casque, d’une armure et d’un bouclier. Plus tard, ils furent autorisés à ne porter qu’un bouclier. L’épreuve se disputait sur la distance de deux « stades », soit environ 386 mètres, à Olympie. Leonidas fut un des grands noms de cette discipline.

 

Jeux olympiques : les disciplines qui ont disparu depuis 1924

Croquet

En 1900, dans le Bois de Boulogne, se dispute une épreuve de croquet. C’est dans cette discipline que l’on note la présence pour la première fois aux Jeux olympiques de femmes. Les compétitions n’attireront qu’un seul spectateur payant.

Pelote basque

Même si seulement deux équipes participèrent au tournoi en 1900 à Paris, la pelote basque a bel et bien connu sa consécration olympique, sur un fronton installé à Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine). Elle reviendra même comme sport de démonstration en 1924, 1968 et 1992.

L’équipe de police de Londres, vainqueurs du tir à la corde aux Jeux olympiques de Londres de 1920. © Domaine public

L’équipe de police de Londres, vainqueurs du tir à la corde aux Jeux olympiques de Londres de 1920. © Domaine public

Tir à la corde

De 1900 à Paris jusqu’à 1920, à Anvers, des compétitions de tir à la corde sont inscrites au programme olympique. Les équipes étaient composées de six tireurs. Une équipe de Danois et  de Suédois remporta la première médaille d’or face à la France.

Ski-joering

Une course de skieurs tractés par des chevaux, tel est le principe du ski-joëring, épreuve présente en démonstration aux Jeux d’hiver de Saint-Moritz, en 1928. La discipline existe toujours aujourd’hui, mais n’a vécu qu’une seule expérience olympique.

Architecture, Littérature, Musique, Peinture, Sculpture
Sous l’impulsion du Baron Pierre de Coubertin, des épreuves artistiques sont introduites au programme olympique de 1912 (Stockholm) à 1948 (Londres). Des médailles d’or sont ainsi distribuées dans cinq « disciplines » pour les créateurs d’œuvres d’art ayant un rapport avec le sport
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Tir aux pigeons vivants et pêche


Si le skeet (une sorte de ball-trap) est au programme des Jeux olympiques actuels, il fut un temps où les pigeons vivants tenaient la place des disques d’argile d’aujourd’hui. Ainsi, en 1900 à Paris, 300 pigeons furent abattus dont 21 par le Belge Leon de Lunden, vainqueur du jour. Si elle n’eut jamais le statut officiel de sport olympique, la pêche fut discipline de démonstration en 1900 avec un concours organisé sur l’île aux Cygnes, près de la Tour Eiffel. 881 poissons furent remontés de la Seine par les 600 concurrents.

Polo à bicyclette

Comme la pêche, le polo à bicyclette dût se contenter du rang de sport de démonstration, en 1908 à Londres. À l’instar du polo à cheval, les participants étaient équipés d’un maillet et devaient marquer des buts.

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