«America», une toilette en or massif volée dans un palais anglais


Le monde est complètement fou de vouloir payer pour utiliser une toilette en or massif. Encore plus fou de considérer cela comme une oeuvre d’art, ou je ne comprends rien à l’art. En tout cas, au moins les voleurs savent au moins la valeur de la toilette.
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«America», une toilette en or massif volée dans un palais anglais

 

Les toilettes « America » exposées au musée Guggenheim de New York, en septembre 2016.Les toilettes « America » exposées au musée Guggenheim de New York, en septembre 2016. AP

LEON NEAL VIA GETTY IMAGES«America», une toilette en or massif entièrement créée par l’artiste Maurizio Cattelan, est présentée au palais de Blenheim le 12 septembre 2019 à Woodstock, en Angleterre.

Un homme de 66 ans a été arrêté mais le précieux lieu d’aisance n’a pas été retrouvé «pour le moment», selon la police locale.

Une toilette en or massif de l’artiste italien Maurizio Cattelan a été volée samedi au palais de Blenheim, occasionnant d’importants dégâts dans cet imposant château baroque du sud de l’Angleterre classé au patrimoine mondial de l’Unesco, a annoncé la police britannique.

Un homme de 66 ans a été arrêté mais le précieux lieu d’aisance n’a pas été retrouvé «pour le moment», selon la police locale.

Baptisée America, l’oeuvre en or 18 carats comprend siège, cuvette et chasse d’eau opérationnels. Sa valeur est estimée à environ un million de livres (environ 1,7 millions de dollars canadiens).

C’était une pièce phare de l’exposition consacrée depuis jeudi à l’iconoclaste Maurizio Cattelan dans le palais du 18e siècle, dans l’Oxfordshire.

D’ici à la clôture de l’exposition le 27 octobre, des milliers de visiteurs auraient pu se soulager dans ces toilettes après avoir réservé un créneau de trois minutes. Une oeuvre présentée comme égalitariste par l’artiste de 58 ans: «de l’art du 1% (comprenant les personnes les plus riches de la planète) pour les 99 autres pour cent».

Les voleurs «se sont introduits par effraction dans le palais durant la nuit et quitté les lieux vers 4h50 heure locale», a indiqué la police dans un communiqué.

«Comme la toilette était reliée à la plomberie du bâtiment, cela a causé d’importants dommages et une inondation», a précisé l’inspectrice Jesse Milne.

La police pense que les voleurs ont utilisé «au moins deux véhicules» pour commettre leur méfait. Disant n’avoir pas connaissance d’autres oeuvres qui auraient été volées, elle a indiqué lors d’une conférence de presse qu’elle allait analyser les images des caméras de surveillance.

Pas de garde

La toilette America avait été exposée pour la première fois au musée Guggenheim de New York, où elle avait été utilisée par quelque 100 000 personnes entre septembre 2016 et l’été 2017.

Le WC avait fait parler de lui quand le président américain Donald Trump se l’était vu proposer en prêt par le musée new-yorkais, après que la conservatrice eut refusé de mettre à sa disposition un tableau de Vincent Van Gogh, comme l’avait demandé la Maison-Blanche.

«Nous savions que l’intérêt était énorme pour l’exposition d’art contemporain de Maurizio Cattelan», a réagi le palais de Blenheim dans un communiqué publié sur Twitter. «Il est dès lors vraiment dommage qu’un objet si précieux ait été volé».

Le palais de Blenheim appartient au 12e duc de Marlborough et a vu naître l’homme d’État britannique Winston Churchill.

En août, le frère du duc et fondateur de la Blenheim Art Foundation, Edward Spencer-Churchill, avait dit ne pas prévoir de surveillance particulière pour ces toilettes.

«Ce ne sera pas la chose la plus facile à dérober», avait-il estimé dans le quotidien The Times. «Tout d’abord, c’est relié à la plomberie. Ensuite, un voleur potentiel n’aura aucune idée de qui a utilisé les toilettes en dernier ou ce qu’il a mangé. Donc non, je ne prévois pas de la faire garder».

Le château doit rouvrir dimanche après avoir été fermé au public samedi. Conçu par l’architecte britannique John Vanbrugh, il accueille plus d’un million de visiteurs chaque année, selon son site internet. Il avait été offert par la reine Anne au premier duc de Marlborough après sa victoire contre les Français lors de la bataille de Blenheim en 1704.

https://quebec.huffingtonpost.ca/

Il détruit une œuvre d’art de plus de 260.000 euros


Je comprend qu’il a détruit un bien qui n’était pas à lui. Bon l’art ne se discute pas, mais cette baguette avec sa structure vaut plus de 380 000 $ CAD. Ce n’est pas un peu trop cher ?
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Il détruit une œuvre d’art de plus de 260.000 euros

 

 

Un jeune homme a escaladé et détruit une œuvre d’art dans la ville de Wellington, en Nouvelle-Zélande.

Le 8 octobre dernier, Hunter MacDonald a malencontreusement détruit une oeuvre d’art située en bord de mer, à Wellington, en Nouvelle-Zélande. Comme on peut le voir sur la vidéo en tête d’article, le jeune homme de 28 ans a tenté d’escalader la sculpture qui a fini par céder sous son poids. Touché à la tête par l’immense pièce en fibre de verre, il a dû être emmené à l’hôpital.

Dans une interview pour le média local Stuff, il a expliqué qu’il « s’ennuyait » et voulait simplement réaliser quelques exercices de gymnastique.

« Une foule a commencé à se former autour de moi et à m’encourager… J’allais de plus en plus loin. Je voulais voir à quel point je pouvais plier la sculpture ». 

Hunter MacDonald est aujourd’hui accusé de dommage intentionnel et comparaîtra devant le tribunal le 9 novembre prochain.

Baptisée « Water Whirler », cette œuvre signée Len Lye vaut plus de 260.000 euros. Installée en 2006, elle faisait l’objet de réparations depuis plus de deux ans. Elle était censée être remise en service dans le courant du mois d’octobre.

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Hospitalisé après être tombé dans… une oeuvre d’art


Un trou comme oeuvre d’art. Franchement, c’est n’importe quoi. Le pire, c’est vraiment un trou ! Pas une illusion d’optique et sans sécurité autour, enfin jusqu’au moment qu’un homme tombe dedans
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Hospitalisé après être tombé dans… une oeuvre d’art

 

© Capture d’écran Youtube.

Source: RTL France

Une exposition d’Anish Kapoor, un trou de 2,5 mètres de profondeur, un visiteur pas très attentif… Vous devinez la suite.

Ce sexagénaire italien contemplait une oeuvre d’Anish Kapoor puis le trou noir. Non pas parce qu’il a été subjugué par « Descent into limbo » (NDLR: Descente dans les limbes), mais bien parce qu’il est tombé dans le trou de 2,5 mètres de profondeur creusé par l’artiste indien au beau milieu d’une dalle en béton.

Grâce aux bords et au fond peints en noir, le trou doit paraître infini et représenter les limbes. Croyant certainement se trouver face à une illusion d’optique, l’infortuné visiteur s’est approché trop près et a fini par chuter. Hospitalisé, il va bien et a pu regagner son domicile, assure le porte-parole du musée dans un communiqué.

L’oeuvre a temporairement été fermée et des mesures de précaution supplémentaires sont prévues pour assurer la sécurité des visiteurs.

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Ces sucettes réalistes semblent être faites en verre


Ce sont de très belles oeuvres comestibles. Un art traditionnel japonais que l’artiste utilise pour des sucettes.
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Ces sucettes réalistes semblent être faites en verre

 

Shinri Tezuka (auparavant) est fabricant de bonbons dans une confiserie de Tokyo appelée Ame shin.

Il produit des sucettes surprenantes qui représentent des animaux réalistes.

On dirait des statuettes sorties de l’atelier d’un verrier et pourtant c’est du sucre : ces oeuvres sont entièrement comestibles. Le travail du sucre cuit s’apparente au travail du verre. On retrouve d’ailleurs des outils et des méthodes communes dans l’art traditionnel japonais du Amezaiku.

Vous pouvez voir plus d’exemples de son travail sur Instagram et voici une vidéo qui vous permet de visiter la boutique.

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Le Saviez-Vous ► Les 10 choses les plus volées à l’hôtel


Souvent, on apporte un savon ou un petit truc de la salle de bain, mais des draps, les télécommandes, pouvant aller jusqu’à un ordinateur démontre qu’on fait le vol, ne semble pas être pris au sérieux quand on voyage. Que le vol soit insignifiant ou important, un vol, c’est un vol.
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La chaine Holiday Inn a déclaré en 2008 avoir été délestée d’un demi-million de serviettes.

 

Vous seriez surpris des choses que les gens peuvent piquer dans les hôtels. Si certains s’en tiennent à une petite bouteille de shampoing, d’autres partent carrément avec la couette.

Plus de 58% des voyageurs canadiens admettent avoir volé un objet dans un hôtel au moins une fois, selon un récent sondage réalisé par le comparateur de vols et d’hôtels Jetcost.

Et ils partent vraiment avec n’importe quoi. Ça part des piles dans la télécommande, à la télécommande elle-même qui ne fonctionne que pour cet unique modèle de télé. Ampoules électriques, Bible, oeuvres d’art, serviettes, sèche-cheveux, miroir, vaisselle, nourriture au buffet déjeuner… Oreillers, et couette sont parfois remplacés par d’autres de moindre qualité. Des clients se servent même dans les chariots de femme de chambre.

MARTIN BARRAUD

Les salles de conférence auraient la cote auprès des cleptos! Ordinateurs, imprimantes, papeterie disparaissent fréquemment.

Le minibar attire aussi leur attention. Certains vont même à remplacer le contenu des bouteilles d’alcool par de l’eau quand il s’agit de vodka ou de thé pour le whiskey ou le rhum.

Et comme le note Jetcost, «le plus curieux, c’est que (NDLR: certains) cleptomanes n’ont aucune conscience qu’il s’agit de vol. Eux, ils se perçoivent comme de simples collectionneurs de souvenirs».

Top 10 des objets les plus volés dans les hôtels par les Canadiens:

  • 1.- Les produits de toilette (y compris les plateaux ou les paniers de présentation)
  • 2.- Des serviettes, en particulier les draps de bain
  • 3.-Des ampoules, des batteries de télécommande
  • 4.- Papeterie, stylos, petits carnets, magasines, Bibles…
  • 5.- Des fleurs et des fruits, avec parfois les vases
  • 6.- Les mignonnettes du minibar
  • 7.- Objets décoratifs en céramique, couverts, verres et verres à pied.
  • 8.- Des oreillers et des couettes
  • 9.- Des porte-serviettes, des sèche-cheveux, des miroirs…
  • 10.- Des appareils électriques: fers à repasser, horloges, appliques, lecteurs de DVD…

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Le Saviez-Vous ► L’évolution de la pastèque montrée par les natures mortes


La pastèque que nous connaissons et qui est un fruit vraiment idéal pendant la saison chaude, a beaucoup changé au cours des siècles fait par le croisement et la sélection fait par l’homme
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L’évolution de la pastèque montrée par les natures mortes

 

James Nienhuis, un professeur à l’université d’horticulture du Wisconsin, montre toujours à ses étudiants l’évolution des fruits par la sélection humaine en prenant l’exemple de la pastèque. Il se base sur l’aspect de ce fruit dans les natures mortes anciennes, notamment une peinture de l’artiste italien Giovanni Stanchi.

Le fruit qu’on voit sur les tableaux est mûr, contrairement aux hypothèses qui ont été avancées par des internautes sur Reddit. On peut le voir aux graines noires qui sont un signe de maturité pour la pastèque. En suivant les dates des tableaux on constate les évolutions successives vers une chair rouge uniforme quasi sans graines, au fur et à mesure des sélections et des croisements. La chair du fruit de l’époque était probablement déjà très bonne et sucrée, mais c’est la quantité de lycopène qui a été recherchée pour lui donner cette appétissante couleur rouge.

Ces évolutions ne se sont pas arrêtées de nos jours puisque nos petits enfants s’étonneront sûrement de voir des pastèques avec des graines dans nos œuvres picturales, ou qu’elles ne soient pas carrées.

Giovanni Stanchi, 1645–72

Albert Eckhout, 17ème siècle

Giovan Battista Ruoppolo, 17ème siècle

Raphaelle Peale, 1813

James Peale, 1824

Agostinho José da Mota, 1860

Mihail Ştefănescu, 1864

Alvan Fisher, 19ème siècle

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Des étudiants déposent un ananas dans un musée, le fruit est pris pour une œuvre d’art


L’art, il y en a pour tous les goûts, sauf parfois, je trouve qu’on peut mettre n’importe quoi et afficher cela de l’art. C’est une belle preuve que cet étudiant à expérimenter avec un ananas. Quoique la nature est passé maître en oeuvre d’art
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Des étudiants déposent un ananas dans un musée, le fruit est pris pour une œuvre d’art

 

Le HuffPost  |  Par Marine Chassagnon


L’art contemporain peut parfois donner lieu à des histoires insolites. C’est le cas avec l’anecdote de Ruairi Gray, étudiant de l’université Robert Gordon, à Aberdeen, dont la blague est allée un peu plus loin que prévu, comme l’a raconté le Daily Mail, le dimanche 7 mai.

Fin avril, l’Écossais de 22 ans s’est rendu à une exposition organisée par sa faculté et intitulée «Regardez les lieux et les espaces qui vous entourent d’un œil neuf». Un peu sceptiques, lui et ses amis se sont amusés à déposer un ananas, sur un présentoir, au cœur de l’exposition. Ils n’imaginaient pas que les gérants du musée le prendraient pour une œuvre d’art.

Une histoire que l’étudiant originaire d’Édimbourg a raconté sur son compte Twitter.

«La semaine dernière, nous avons posé un ananas à côté d’une œuvre d’art et lorsque nous sommes revenus aujourd’hui, la RGU l’avait déplacé et recouvert d’une structure en verre. Génial!», s’est amusé Ruairi Gray sur les réseaux sociaux.

Désormais, l’étudiant se dit prêt à vivre de son art.

«Si quelqu’un veut acheter un chef-d’œuvre, je suis ouvert aux offres», confie-t-il ironiquement au Daily Mail.

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Ces chercheurs pensent avoir percé le secret du célèbre «Cri» de Munch


Tout le monde a déjà vue l’oeuvre de Munch intitulé le « Cri » En fait, le peintre a expliqué qu’en se promenant, il fut témoin de la couleur du ciel unique qui aurait fait ressortir l’émotion de la peur. Des météorologistes croient avoir trouvé l’événement météorologie qui aurait pu se passer à cette époque
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Ces chercheurs pensent avoir percé le secret du célèbre «Cri» de Munch

 

MUNCH

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L’apparition de « nuages nacrés », de rares formations stratosphériques typiques des hautes latitudes, pourrait bien avoir inspiré le célèbre tableau « Le Cri » d’Edvard Munch et son ciel traversé de tourbillons de couleurs, estiment des chercheurs.

Ces trois météorologistes norvégiens, dont les travaux ont été présentés ce lundi 24 avril à Vienne lors d’une conférence scientifique, rejettent une hypothèse précédente selon laquelle le ciel en feu vu et peint par Munch aurait été provoqué par les cendres du volcan indonésien Krakatoa en 1883.

Le peintre norvégien (1863-1944) a raconté qu’il se promenait quand soudain, après le coucher du soleil, le ciel était devenu « rouge sang ». Il évoque « des nuages flamboyants », et reste devant ce spectacle « tremblant de peur ».

Pour les chercheurs, l’hypothèse du volcan, émise en 2004 par des astronomes américains, ne tient pas: un tel spectacle aurait dû se reproduire régulièrement depuis cette gigantesque éruption de 1883. Or pour Munch, qui publiera une première version du « Cri » en 1892, cette vision est restée « une expérience unique », arguent-ils.

Des nuages bien particuliers

En outre, les particules du Krakatoa auraient produit un brouillard diffus plutôt que les ondulations du ciel peint par Munch, ajoutent-ils dans leur article, publié dans la revue Weather.

« Il est fort probable que derrière l’expérience vécue par Munch et derrière son célèbre ‘Cri’, il y avait des ‘nuages nacrés' », estiment-ils.

Ces nuages, qui se forment l’hiver dans la troposphère, à 20-30 km de la surface terrestre, apparaissent rarement.

« Des conditions inhabituelles sont nécessaires à leur formation« , a expliqué Helene Muri, de l’université d’Oslo, à la Conférence de l’Union européenne des géosciences.

« Il doit faire très froid, environ -80 à -85°C, alors que la stratosphère est en moyenne à -60. Il faut une certaine humidité. Se forment alors de très petits cristaux de glace », réfléchissant la lumière du soleil couchant.

Les couleurs intenses forment des vagues, visibles un certain temps après le crépuscule – les nuages de la troposphère, plus bas, étant eux visibles avant le crépuscule.

« C’est une nouvelle hypothèse », souligne Helene Muri. « Il y en a d’autres. Des psychologues ont suggéré que c’est un tourment intérieur qui a poussé Munch à peindre le ‘Cri’. Mais nous sommes des chercheurs en sciences naturelles, et nous cherchons plutôt des réponses dans la nature ».

Ce type de nuages a été décrit pour la première fois dans les années 1870, et le phénomène n’était alors pas connu du public. L’événement reste rare, puisqu’un phénomène analogue, constaté à Oslo le 22 décembre 2014, a encore marqué les esprits, et lancé l’idée de cette étude, expliquent les auteurs.

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Il détruit une oeuvre d’art à 1 million d’euros en voulant prendre un selfie


Que cette oeuvre d’art vaut 1 million de dollars, bon … Mais détruire une oeuvre pour un égoportrait, c’est d’être vraiment imprudent
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Il détruit une oeuvre d’art à 1 million d’euros en voulant prendre un selfie

 

« La pièce aux multiples miroirs – Tout l’amour éternel que j’ai pour les citrouilles » de Yayoi Kusama. - Instagram @hirshhorn

« La pièce aux multiples miroirs – Tout l’amour éternel que j’ai pour les citrouilles » de Yayoi Kusama.Instagram @hirshhorn

Perdre l’équilibre peut s’avérer fatal lorsqu’on est près d’une œuvre d’art très précieuse.

Un touriste en a fait l’expérience en détruisant en partie « La pièce aux multiples miroirs – Tout l’amour éternel que j’ai pour les citrouilles » de Yayoi Kusama. Exposée au musée d’Hishhorn à Washington (États-Unis), c’est une salle dont le sol est recouvert de citrouilles jaunes à points noirs et le mur de grands miroirs.

S’enfermer dans la pièce sans surveillance

Le concept assez risqué de cette exposition est de permettre aux visiteurs de s’enfermer seul ou par groupes de 4 personnes maximum dans la pièce pour y prendre une photo. Le 25 février dernier, un touriste qui s’est trop penché en voulant prendre un selfie a malencontreusement écrasé une des citrouilles, d’une valeur d’un million de dollars… Suite à cette bévue, l’installation a été fermée au public pendant trois jours le temps de réparer les dégâts. Toutefois, l’artiste a affirmé ne pas en tenir rigueur au visiteur maladroit, ni au musée qui n’avait pas installé de dispositif de surveillance.

http://www.ladepeche.fr