Les Jeux de Tokyo coûteront près de 16 milliards de dollars


Il est vrai que je ne suis pas une fan du sport, mais c’est quand même important autant l’activité que la compétition. Cependant, avec le réchauffement climatique, les sécheresses, feux, famine, 16 milliards de dollars ce n’est pas un peu trop pour les Jeux olympiques à Tokyo ? En plus, il y a de l’argent en réserve en cas de catastrophes naturelles, pour la sécurité et tout ce que cela peut comporter. Si au moins, les JO resterait du pourquoi ils ont été créer. Non pas pour le spectacle, mais pour les attitudes, le courage, le travail des sportifs. Les spectacles et parades ne sont pas des superflus et costumes ne sont que superflus, des bâtiments extravagants.
Nuage


Les Jeux de Tokyo coûteront près de 16 milliards de dollars

Le logo des Jeux derrière le drapeau olympique

Jeux olympiques de Tokyo 2020

PHOTO : GETTY IMAGES / KAZUHIRO NOGI/AFP

Radio-Canada

Le Japon devra payer approximativement 1,35 milliard de yens (16,23 milliards de dollars canadiens) pour la présentation des Jeux olympiques de Tokyo, à l’été 2020, ont annoncé vendredi les organisateurs.

Cette enveloppe n’englobe cependant pas les quelque 365 millions jugés nécessaires pour déplacer le marathon et les épreuves de marche vers le nord, à Sapporo, afin de limiter les risques qu’engendreraient de fortes chaleurs.

Sur ce point, la partie japonaise est en discussion avec le Comité international olympique (CIO) à savoir qui supportera les frais de cette décision de dernière minute.

« C’est sans précédent, donc il n’y a pas de procédures définies », explique Gakuji Ito, chef de la direction de la planification et des finances en vue des Jeux de Tokyo.

La somme de 7,18 milliards de dollars sera couverte par la municipalité de Tokyo, 7,25 milliards par le Comité d’organisateur de l’événement et 1,8 milliard par le gouvernement central.

Selon la quatrième et dernière version du budget olympique, les recettes issues du parrainage et de la vente de billets sont supérieures de 361 millions de dollars par comparaison avec ce qui était précédemment estimé.

Cela compensera, selon les organisateurs, une augmentation des dépenses prévues pour les transports, la sécurité et la lutte contre la chaleur.

Il existe par ailleurs une réserve de 325 millions pour faire face à d’éventuelles urgences telles que des catastrophes naturelles.

Le coût pour la nation a entraîné une polémique, la Commission de vérification des comptes du Japon estimant à 12,7 milliards les dépenses réelles de l’État, entre la candidature et l’attribution en 2013 jusqu’à 2018.

« La définition des coûts liés aux Jeux est légèrement différente de la nôtre », réplique Gakuji Ito.

À l’heure actuelle, le budget pour les Jeux olympiques de Paris, en 2024, s’élève à 9,9 milliards de dollars, dont 2,2 milliards proviendront de l’État.

https://ici.radio-canada.ca/

Le Saviez-Vous ► L’histoire du papier d’emballage


    Vous ne seriez sans doute pas surpris de savoir que 85 % du papier d’emballage est vendu en décembre, raison de plus pour raconter son origine. Cependant, il faut savoir aussi que juste au Canada, si chaque personne utilisait du papier ou sacs cadeaux recyclés, nous pourrions couvrir 45 000 patinoires, avec le papier économisé d’après Zero Waste Canada. Si vous optez pour du papier d’emballage vendu dans les magasins, évitez les papiers métalliques ou translucides, ils ne sont pas recyclables.
    Nuage


    La brève histoire de l’emballage cadeau

    Photo d'un cadeau de Noël enveloppé de papier brun et entouré de ruban et d'une boucle rouges.

    Le papier d’emballage existe depuis des centaines d’années.

    PHOTO : LA PRESSE CANADIENNE / CORINNA VANGERWEN

    Les Canadiens dépensent chaque année des dizaines de millions de dollars pour acheter des cartes, des paquets-cadeaux et du papier d’emballage. La pratique de l’emballage cadeau existe depuis des siècles, mais la tradition aurait débuté en Asie avant d’arriver en Occident. Voici une brève histoire de l’emballage cadeau.

    En Chine, les premières traces de l’emballage cadeau remontent à la dynastie des Song du Sud au 11e siècle. Il s’agit d’enveloppes appelées chih pao. Il s’agit d’un genre de papier d’emballage fait de chanvre, de fibres de bambou et de paille de riz.

    En Corée, la technique du bogaji daterait de la période des Trois Royaumes, sans doute dès le premier siècle.

    Au Japon, dans les années 1600, la technique du furoshiki est utilisée, à partir d’un tissu.

    Une courte animation d'une personne emballant un cadeau avec du tissu.

    Emballer ses cadeaux grâce à la technique japonaise Furoshiki pour réduire la quantité de déchets.

    PHOTO : YOUTUBE

    En Occident, il faut en revanche attendre quelques siècles de plus pour voir apparaître la mode de l’emballage cadeau. Ce sont les bourgeois de l’époque victorienne en Angleterre qui furent les premiers à l’utiliser, vers le début du 19e siècle.

    Ils emballent alors leurs cadeaux avec du papier de tissu décoratif, des rubans et de la dentelle.

    Ce n’est toutefois qu’en 1917 que le papier décoratif se démocratise réellement. Deux frères à la tête du magasin d’articles de papeterie Hallmark, à Kansas City dans le Missouri, connaissent une très bonne saison de vente durant le temps des Fêtes.

    Leur papier de tissu qui sert à emballer est rapidement épuisé. Ils décident alors de le remplacer par du papier français qu’ils commencent à vendre pour 10 cents la feuille. L’idée remporte un franc succès auprès de leurs clients.

    Ils récidivent l’expérience les deux années suivantes, toujours durant le temps des Fêtes, jusqu’à ce que cela devienne une véritable industrie lucrative.

    Les présentateurs de télévision Valerie Singleton et Christoper Trace (1933-1992) de l'émission Blue Peter pour enfants de la BBC, avec dea sacs remplis de jouets pour enfants donnés pour des cadeaux de Noël lors de l'appel annuel du programme Blue Peter à Londres le 30 novembre 1963.(Photo by Bob Haswell/Daily Express/Hulton Archive/Getty Images)

    Les présentateurs du programme télévisé pour enfants Blue Peter de la BBC, Valérie Singleton et Christopher Trace, en 1963.

    PHOTO : GETTY IMAGES / BOB HASWELL

    Le papier emballage se pare de rubans dès les années 1930 et de divers motifs de plus en plus sophistiqués.

    L’avènement de la société de consommation et des grands magasins dans les années 1950-1960, après les années de vaches maigres de la 2e guerre mondiale, participe aussi à ce succès grandissant du papier emballage pour les cadeaux.

    Selon les dernières données de Statistique Canada, les ventes d’articles de papeterie bondissent de 85 % en décembre par rapport à la moyenne mensuelle le reste de l’année.

    Il semble toutefois y avoir une nouvelle volonté de réduire son empreinte écologique à l’approche des Fêtes. Dans un sondage mené auprès de 1530 Canadiens par la firme Léger pour le compte de l’émission Les éclaireurs de Radio-Canada, 46 % des répondants disent avoir modifié leur comportement en ce qui a trait à la consommation.

    Camille Feireisen

    https://ici.radio-canada.ca/

      Le Saviez-Vous ► Yasuke, le mystérieux samouraï africain


      Au XVI, au Japon, tout le monde, se presse pour voir l’étranger. Il vient d’Afrique et il est noir comme le charbon. Il est le premier noir avoir été un samouraï. Il est raconté dans un livre pour enfant au Japon, alors qu’en Occident des livres lui sont dédiés et bien sûr l’industrie cinématographique aussi.
      Nuage


      Yasuke, le mystérieux samouraï africain

      En quelques mois, Yasuke est élevé au rang de samouraï par le seigneur féodal Oda Nobunaga. | Yatheesh Gowda via Pixabay

      En quelques mois, Yasuke est élevé au rang de samouraï par le seigneur féodal Oda Nobunaga. | Yatheesh Gowda via Pixabay

      Repéré par Odile Romelot

      Repéré sur BBC

      En 1579, des Japonais se ruent pour voir cet Africain débarquer à Kyoto. Ils n’imaginent pas qu’il deviendra le premier samouraï noir.

      Le premier samouraï né à l’étranger s’appelait Yasuke, il mesurait environ 1 mètre 90, et sa peau était «noire comme du charbon de bois», ainsi que le rapporte un autre samouraï, Matsudaira Letada. Son arrivée à Kyoto en 1579 ne passa pas inaperçue. Des mouvements de foule pour l’apercevoir firent même plusieurs morts, selon l’écrivain et historien Lawrence Winkler.

      Difficile d’imaginer qu’au XVIe siècle, un homme originaire d’Afrique a pu atteindre le rang de samouraï sous le règne d’Oda Nobunaga. Certains affirment qu’il a été capturé au Mozambique en tant qu’esclave, d’autres soulignent qu’il n’aurait jamais pu devenir samouraï en si peu de temps sans avoir été un talentueux guerrier auparavant. Une chose est sûre, Yasuke était un homme exceptionnel.

      Il serait arrivé au Japon avec un jésuite italien nommé Alessandro Valignano. Sa maîtrise rudimentaire du japonais, sa taille et sa couleur de peau ont suscité la curiosité d’Oda Nobunaga, un puissant seigneur féodal du XVIe siècle. Selon Thomas Lockley, auteur d’un livre consacré au parcours du samouraï noir, Yasuke a séduit le seigneur grâce à ses talents d’orateur et ses contes d’Afrique et d’Inde.

      Un samouraï reconnu

      À la différence des jésuites, Yasuke n’était pas là pour convertir les Japonais, ce qui a facilité son intégration. Il s’intéressait à la lutte et aux arts martiaux, comme Nobunaga. Ce dernier valorisait la discipline et l’intelligence, selon Floyd Webb, coproducteur d’un documentaire consacré à Yasuke en cours de préparation. À ses côtés, le guerrier africain est rapidement devenu un samouraï à qui les plus grands honneurs étaient accordés. Invité à la table de Nobunaga, il était également autorisé à porter deux sabres et s’était vu confier la lance du seigneur.

      Cette amitié a conduit les deux hommes à combattre ensemble à de nombreuses occasions, jusqu’au suicide (seppuku) de Nobunaga après la trahison de l’un de ses généraux, Akechi Mitsuhide. La trace de Yasuke se perd peu de temps après. Il se peut qu’il ait retrouvé une mission jésuite et qu’il ait quitté le Japon, mais impossible de le savoir avec certitude.

      Les parts d’ombre qui entourent la vie de Yasuke ont nourri sa légende. Il est aujourd’hui connu des Japonais grâce à un livre pour enfants écrit par Kurusu Yoshio, Kuro-suke. En Occident, son histoire a été remise au goût du jour avec la parution de plusieurs livres à son sujet. Il inspire aussi des cinéastes aux États-Unis où deux films lui seront consacrés. L’un d’entre eux verra l’acteur Chadwick Boseman incarner le samouraï noir Yasuke.

      http://www.slate.fr/

      Un harceleur retrouve une star en analysant le reflet des yeux sur un selfie


      Ce fan est vraiment extrême. Il a pu trouver grâce à des égoportraits d’une jeune chanteuse sur les réseaux sociaux. En scrutant les photos, il a pu trouver toutes les informations pour se rendre chez elle est même de quel étage et appartement ou elle demeure.
      Nuage


      Un harceleur retrouve une star en analysant le reflet des yeux sur un selfie

      Un fan piste son idole en lisant dans ses yeux. © Gordon Wrigley, Flickr

      Un fan piste son idole en lisant dans ses yeux. © Gordon Wrigley, Flickr


      Céline Deluzarche
      Journaliste

      Un Japonais de 26 ans a réussi à retrouver son idole en identifiant le lieu de son domicile dans le reflet de ses yeux.

      L’agresseur, un fan de la chanteuse de 21 ans, décrite comme une «star locale» par les médias japonais, a été arrêté par la police le 10 octobre dernier. Il a reconnu avoir suivi et molesté la jeune femme devant son domicile.

      La façon dont il a avoué avoir pisté sa victime a toutefois sidéré les policiers. L’homme a scruté les selfies postés sur les réseaux sociaux par la chanteuse, et en agrandissant les clichés, il a pu déceler dans le reflet de ses yeux des détails comme la station de train d’où elle sortait. Il a ensuite comparé ces indices avec des photos Google Street View pour l’attendre à la station et la suivre jusqu’à son domicile. Mais ce n’est pas tout : le fan a également avoué avoir décortiqué d’autres selfies pris dans l’appartement de la star. En analysant le placement des rideaux et l’orientation de la lumière naturelle, puis en croisant ces informations avec l’heure à laquelle le selfie avait été posté, l’homme a pu identifier l’immeuble et l’étage où vivait la jeune chanteuse.

      « Les gens doivent être conscients du fait que publier des images et des vidéos sur les réseaux sociaux présente le risque de divulguer des données personnelles », a mis en garde un enquêteur au quotidien japonais Sankei Shimbun.

      On sait par exemple que les cambrioleurs se servent des messages et photos Facebook pour identifier les plus belles demeures et les annonces de départ en vacances de leurs futures proies.

      https://www.futura-sciences.com/

      Le Saviez-Vous ► Quels sont les 10 passeports les plus puissants pour voyager à travers le monde ?


      Avoir un passeport peut ouvrir de multiple porte alors que d’autres beaucoup moins. J’aurais pensé que les Américains serait un peu plus haut que numéro 6.
      Nuage


      Quels sont les 10 passeports les plus puissants pour voyager à travers le monde ?

      Quels sont les 10 passeports les plus puissants pour voyager à travers le monde ?© Pixabay

      Par Emeline Férard

      La société Henley & Partners vient de dévoiler une mise à jour de son classement des passeports les plus puissants du monde. Cette fois-ci encore, le podium est occupé par trois nations asiatiques, le Japon à égalité avec Singapour, suivi de la Corée du Sud.

      « Pour certaines personnes, un passeport est un portail sur le monde. Pour d’autres, c’est une barrière pour la liberté de voyage qu’ils recherchent ».

       Quand il s’agit de voyager, tous les passeports ne se valent pas. Si certains ouvrent sans problème les portes de nombreux pays, d’autres obligent leur propriétaire à passer par de nombreuses démarches pour traverser les frontières.

      C’est de ce constat qu’est né le Henley Passport Index mis au point par la société Henley & Partners. Cet indice est calculé à partir de données régulièrement mises à jour par l’Association internationale du transport aérien (AITA) et prend en compte la législation en cours autour des visas sur plus de 220 destinations de voyage.

      Chaque année, les experts de la société considèrent ainsi 199 passeports auxquels ils attribuent chacun une note en fonction des données collectées. Le résultat permet ensuite d’établir un classement des « passeports les plus puissants au monde », autrement dit, les passeports qui permettent de voyager facilement dans le plus grand nombre de pays.

      Le Japon encore en tête

      Après avoir dévoilé un premier classement pour 2019 en janvier dernier, la société Henley & Partners a publié un nouveau palmarès pour la fin de l’année. Encore une fois, c’est le Japon qui se trouve en tête avec un score de 190 (sur un maximum de 227). Cela signifie que les citoyens japonais peuvent voyager sans visa (ou avec un visa réalisé sur place) dans 190 destinations.

      C’est la troisième fois d’affilée que le passeport japonais remporte la première place. Cette fois-ci, il partage toutefois la tête du podium avec Singapour qui a également obtenu la note de 190, progressant de deux points par rapport au dernier classement. La deuxième position est occupée par la Corée du Sud ex aequo avec l’Allemagne et la Finlande qui décrochent tous un score de 188.

      Avec 187 destinations « faciles d’accès », le Danemark et l’Italie se placent à la troisième position. C’est également le cas du Luxembourg qui gagne un rang comparé à la précédente version du classement. A l’inverse, la France chute d’une place avec une note de 186 et arrive à la quatrième position, aux côtés de la Suède et de l’Espagne.

      « Alors que l’économie globale se transforme et que les centres du pouvoir se déplacent, la position dominante de l’Asie semble inébranlable », relève Henley & Partners dans un communiqué, en référence aux trois nations asiatiques en tête du podium.

      Si le top 10 reste relativement stable, la société a mis en avant plusieurs évolutions significatives.

      La plus importante est celle des Emirats arabes unis qui, après avoir gagné plus de 40 places au cours de la dernière décennie, viennent à nouveau de progresser de cinq rangs en quelques mois, se classant à la 15e position avec un score de 172. Ceci s’explique par une nouvelle législation qui permet d’accéder sans visa à certains pays africains dont l’Afrique du Sud.

      Parmi les autres évolutions, les créateurs de l’indice Henley Passport notent celles de la Chine qui a gagné deux places (passant à la 72e position) et la Russie qui a progressé de trois (48e).

      En revanche, le Royaume-Uni et les Etats-Unis demeurent à la 6e position, « la plus basse qu’ils aient jamais occupée depuis 2010 et une chute significative depuis leur première place de 2014 ».

      Voici les dix premières places du classement :

      1 – Japon, Singapour (190)

      2 – Corée du Sud, Allemagne, Finlande (188)

      3 – Danemark, Italie, Luxembourg (187)

      4 – France, Espagne, Suède (186)

      5 – Autriche, Pays-Bas, Portugal (185)

      6 – Belgique, Canada, Grèce, Irlande, Norvège, Suisse, Royaume-Uni, Etats-Unis (184)

      7 – République tchèque, Malte (183)

      8 – Nouvelle-Zélande (182)

      9 – Australie, Lituanie, Slovaquie (181)

      10 – Hongrie, Islande, Lettonie, Slovénie (180)

      Les passeports les moins puissants au monde

      Qui dit classement, dit premiers mais malheureusement aussi derniers. Avec cette mise à jour, la fin du classement est occupée par l’Afghanistan et l’Irak dont les passeports n’ouvrent l’accès sans visa qu’à 25 et 27 destinations respectivement. Ils sont suivis, du bas vers le haut, par la Syrie (29), la Somalie et le Pakistan (31), le Yémen (33), la Libye et le Soudan (37).

      « Nos recherches actuelles ont montré que lorsque nous parlons de « la puissance du passeport », nous évoquons plus que simplement les destinations dans lesquelles un détenteur peut voyager sans acquérir un visa au préalable « , a souligné le Dr. Christian Kaelin, président de Henley & Partners et créateur du concept de l’indice.

      « Souvent, il existe une forte corrélation entre l’exemption de visa et d’autres avantages comme la liberté d’entreprendre et d’investir, l’indépendance du système judiciaire, des finances publiques et des droits de propriété », a-t-il conclu.

      Le classement des « passeports les plus puissants du monde » établi grâce au Henley Passport Index est disponible dans ce rapport.

      https://www.geo.fr/

      Ces kata­nas sont forgés à partir de météo­rites


      Des katanas sont des sabres japonais. Il y a 130 ans, un samouraï a acheté une pierre tombée du ciel. Puis travailler par un forgeron, les lames des katanas sont vraiment jolies.
      Nuage


      Ces kata­nas sont forgés à partir de météo­rites


      par  Nicolas Pujos

      Il y a près de 130 ans, un samou­raï du nom d’Eno­moto Takeaki a utilisé une météo­rite pour fabriquer les lames de ses kata­nas. On peut aujourd’­hui en voir un spéci­men excep­tion­nel au musée des sciences de Toyama, au Japon.

      À la fin du XIXe siècle, Enomoto Takeaki a acheté une pierre dont la véri­table nature, une météo­rite, avait été décou­verte en 1895 par des géologues. Le célèbre samou­raï a demandé à un forge­ron d’en tirer des lames. Deux grandes lames sont deve­nues des épées et trois lames plus courtes des kata­nas, dont l’un est exposé au musée de sciences de Toyama.

      Les cinq lames sont appe­lées « Ryuseito », ce qui se traduit litté­ra­le­ment par « sabres de comète ». Leur compo­si­tion provient d’un alliage de 70 % de fer météo­rique et de 30 % de tama­ha­gane, un métal riche en sable utilisé dans le katana ordi­naire. Des vagues se dessinent sur les lames grâce à des tempé­ra­tures de forgeage très supé­rieure à la normale.

      Source : Musée des sciences de Toyama

      https://www.ulyces.co/

      e

      Le Saviez-Vous ► Au Japon, il existe une forêt où les arbres dessinent des cercles parfaits


      Un Japon, une partie de la forêt à servie d’expérimentation dans les années en 1973. Le résultat est étonnant donnant des cercles visibles vue du ciel.

      Nuage


      Au Japon, il existe une forêt où les arbres dessinent des cercles parfaits


      Le Japon est un pays riche de charme et de mystère qui, malgré toutes ses contradictions internes, est capable de préserver habilement des traditions anciennes et avoir un regard constamment projeté vers la modernité.

      Parmi ses magnifiques paysages naturels, il existe une forêt très spéciale qui a fait beaucoup parler d’elle sur le web. C’est une « forêt circulaire » qui rappelle beaucoup ces fameux « cercles de culture » qui, dans les années 70, ont fait beaucoup parler d’eux dans l’opinion publique, convaincus que derrière le mystère du couchage des épis, il y avait une intervention étrangère. Mais les extraterrestres, même dans ce cas, n’ont pas grand-chose à voir avec cela et l’explication derrière la forme mystérieuse de cette forêt en est une autre.

      En réalité, la curieuse forme circulaire de ces deux bosquets situés au sud du Japon, dans la préfecture de Miyazaki, est le résultat d’une expérience lancée au début des années 70. Le but de l’expérience était de comprendre si la disposition des tiges pouvait incider sur la croissance des plantes.

      Le Ministère japonais de l’Agriculture, des Forêts et de la Pêche a expliqué dans un document comment la formation de la forêt a été créée en 1973 dans le cadre d’un projet expérimental, appelé « Foresterie expérimentale ». Les arbres ont été plantés pour former un total de 10 cercles concentriques. Des années plus tard, il est possible de prendre acte du résultat obtenu, qui peut être vu d’en haut, même via Google Maps. Les arbres disposés en cercles ont poussé plus régulièrement que les arbres voisins, moins ordonnés et plus irréguliers.

      Selon les plans initiaux, les deux petites forêts devraient être défrichées d’ici 2020, mais le grand intérêt que suscite ce lieu curieux a amené les responsables ministériels à envisager la possibilité de sauver la forêt.

      https://www.curioctopus.fr

      Un bébé loutre pour un selfie: les réseaux sociaux sur le banc des accusés


      Avant de s’extasié devant un égoportrait avec un animal exotique dans les réseaux sociaux, il faut savoir que ces animaux ont été enlevé de leur environnement pendant qu’ils sont bébés. On peut aller jusqu’à tuer les adultes pour être vendu pour le bon plaisir des personnes égoïstes comme par exemple, il existe des café à loutre, les clients achètent de la nourriture pour donner aux animaux en cage. Alors que la loutre vie en communauté, elle se retrouve isolée avec un manque d’eau considérable pour s’épanouir .. Alors, avant de clique j’aime sur les réseaux sociaux pour ce genre de selfie, pensez à ce que la bête sauvage a endurer et endura pour épater les autres. Rien n’est plus important que la liberté pour ses animaux sauvages. P.S : Je n’aime pas le terme sauvage, car à mon avis c’est ce genre de comportement humain qui est sauvage.
      Nuage

      Un bébé loutre pour un selfie: les réseaux sociaux sur le banc des accusés


      Un bébé loutre pour un selfie: les réseaux sociaux sur le banc des accusésDes enseignes de cafés où se trouvent des animaux exotiques, dont des loutres (en bas), dans le district de Harajuku à Tokyo (Japon), le 21 août 2019.© AFP/Toshifumi KITAMURA

      Genève (AFP)

      Par AFP

      Poster des selfies avec une loutre de compagnie ou d’autres animaux menacés de disparition peut sembler anodin, mais les écologistes affirment que cette mode pourrait conduire à l’extinction de certaines espèces.

      « Le commerce illégal des loutres s’est soudainement accru de façon exponentielle », explique Nicole Duplaix, qui co-préside le groupe spécialisé sur les loutres à l’Union internationale pour la conservation de la nature.

      Toutes les espèces de loutres d’Asie sont depuis longtemps considérées comme vulnérables ou menacées en raison du rétrécissement de leur habitat naturel et du commerce illégal de leur fourrure.

      Mais les écologistes accusent les réseaux sociaux d’être à l’origine de la frénésie qui a fait bondir la demande de bébés loutres dans certains pays d’Asie, en particulier au Japon, et qui fait peser une menace sur l’avenir de l’espèce.

      Les milliers de délégués venus à Genève (Suisse) pour participer à une conférence de la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction (CITES) doivent notamment se prononcer sur la protection de deux espèces de loutres d’Asie particulièrement en danger.

      – « Trop mignonne » –

      La loutre cendrée, également appelée loutre naine, et la loutre à pelage lisse figurent déjà sur l’Annexe II de la CITES en tant qu’espèces menacées, mais l’Inde, le Népal, le Bangladesh et les Philippines demandent qu’elles soient incluses dans l’Annexe I, ce qui signifierait l’interdiction totale de leur commercialisation internationale.

      Les écologistes estiment que cette démarche est vitale pour ces deux espèces, dont la population a chuté d’au moins 30% au cours des 30 dernières années et dont le déclin s’est encore accéléré avec la mode des loutres de compagnie.

      « Il y a un vrai désir de posséder ces animaux exotiques qui est alimenté par les réseaux sociaux », selon Cassandra Koenen, de l’ONG canadienne Wildlife not Pets.

      Certains comptes sur Instagram et Facebook drainent des centaines de milliers de followers, qui postent à leur tour des commentaires attendris sur les photos de loutres naines, tels que « trop mignonne » ou « j’en veux une ».

      Mme Duplaix reconnaît que ce sont des « créatures très charismatiques », tout en déplorant que « ce soit justement leur côté mignon qui cause leur perte ».

      Les selfies masquent les souffrances endurées par ce petit mammifère qui vit en communauté dans la nature et que l’on place brusquement en captivité et à l’isolement.

      Mme Koenen a notamment cité les nombreux « vidéos gags » montrant des loutres tournant sur elles-mêmes, ce qui, pour un oeil exercé, est la manifestation d’une « énorme souffrance ».

      Face à cette demande en pleine croissance, des chasseurs et des pêcheurs en Indonésie tuent les loutres adultes et emportent les bébés qui sont mis dans des cages et expédiés pour servir d’animaux de compagnie.

      La principale destination est le Japon, où un bébé loutre peut valoir jusqu’à 10.000 dollars.

      – Cafés à loutres –

      Des « cafés à loutres » ont également fait leur apparition dans l’archipel nippon, où les clients sont encouragés à acheter des petits morceaux de nourriture pour les animaux en cage et à faire des selfies avec eux en buvant leur café.

      « C’est un environnement totalement anormal pour elles », a relevé Mme Koenen.

      Elle déplore que les loutres domestiquées aient un accès limité à l’eau, qui fait pourtant partie de leur élément naturel, et qu’elles ne vivent plus en communauté.

      Pour elle, les photos racontent une histoire totalement différente de la réalité, car ces animaux sauvages ont une odeur forte et ont tendance à mordre:

      « Ce sont des animaux de compagnie très inadaptés. »

      Elle reproche aux plateformes des réseaux sociaux de faciliter le commerce d’animaux exotiques comme les loutres et de déclencher des achats impulsifs sans réfléchir à ce que signifie d’avoir un animal sauvage chez soi.

      Les loutres ne sont pas les seules espèces impactées par ce phénomène de mode.

      Parmi les 56 propositions soumises à la CITES pour réclamer une plus grande protection, 22 concernent des espèces, comme les lézards, les geckos, les tortues et les araignées, qui sont elles aussi chassées pour ce commerce qui brasse des milliards de dollars.

      « Des bébés loutres meurent, et pour quoi? Un selfie », se désole Paul Todd de l’ONG américaine Natural Resource Defense Council (NRDC). « Nous devons arrêter ça. »

      https://www.geo.fr

      Cette queue robotisée aide les personnes âgées à garder l’équilibre


      J’imagine des personnes âgées en manquent d’équilibre bouger avec cette queue robotisée. Il semble que mêmes les travailleurs qui transportent des charges lourdes puissent l’utiliser. Enfin, je ne crois pas que je veuille de cet engin pour me déplacer.
      Nuage


      Cette queue robotisée aide les personnes âgées à garder l’équilibre



      Céline Deluzarche
      Journaliste

      Les ancêtres des humains ont perdu leur queue il y a plusieurs millions d’années. Un manque que des ingénieurs de l’université de Keio à Tokyo (Japon) ont voulu combler avec leur queue robotisée destinée aux personnes âgées.

      Nommé Dubbed Arque, cet appendice d’un mètre de long qui s’attache à la taille à l’aide d’un harnais aide à garder l’équilibre, selon les chercheurs.

      « Quand on penche du côté gauche, la queue s’oriente dans la direction opposée comme un pendule », explique Junichi Nabeshima, étudiant à l’Embodied Media Project, qui invente des technologies pour « augmenter » le corps humain.

      Inspirée de l’hippocampe, cette queue robotisée est dotée de quatre muscles artificiels et peut se balancer dans huit directions différentes. Sa longueur et le poids sont ajustables en retirant ou en rajoutant des « vertèbres », des petits modules en métal pesant entre 24 et 184 grammes. Outre les personnes âgées, l’équipe vise aussi les travailleurs qui doivent porter des lourdes charges, la queue venant dans ce cas réduire l’effort en créant un contrepoids.

      Alors qu’un tiers de la population japonaise aura plus de 65 ans en 2025, le pays mise à fond sur la robotique pour faire face au vieillissement. Panasonic a par exemple créé un lit pouvant se transformer en fauteuil roulant. Secom Medical System commercialise un bras robotisé capable de nourrir une personne avec une petite cuillère tandis que RT Works, filiale du géant de l’électronique Fujitsu, a développé une sorte de déambulateur motorisé baptisé RT.2.

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      Une étrange orchidée parasite découverte au Japon


      Une nouvelle fleur, une orchidée a été découvertes au Japon. Elle pousse en milieu forestier, reçoit peu de lumière et peu d’insectes pour être pollinisé. Une autre caractéristique surprenante, bien qu’elle fait des boutons comme toutes autres fleurs, il n’y a pas d’éclosion de ses boutons.
      Nuage


      Une étrange orchidée parasite découverte au Japon

      Du haut de ses deux à quatre centimètres, Gastrodia amamiana est une nouvelle espèce d'orchidée mycohétérotrophe, qui produit des fruits en gardant ses fleurs obstinément closes. Elle a été identifiée dans les forêts des îles japonaises d'Amami Ōshima et de Tokunoshima, au sud de l'île de Kyūshū. © Kenji Suetsugu, Phytotaxa, 2019

      Du haut de ses deux à quatre centimètres, Gastrodia amamiana est une nouvelle espèce d’orchidée mycohétérotrophe, qui produit des fruits en gardant ses fleurs obstinément closes. Elle a été identifiée dans les forêts des îles japonaises d’Amami Ōshima et de Tokunoshima, au sud de l’île de Kyūshū. © Kenji Suetsugu, Phytotaxa, 2019

      Floriane Boyer
      Rédactrice

      La floraison ? Voilà un concept obscur pour cette nouvelle espèce d’orchidée capable de produire des fruits sans jamais ouvrir ses fleurs.

      Baptisée Gastrodia amamiana, l’étrange spécimen a été découvert sur les îles japonaises d’Amami Ōshima et de Tokunoshima, par Kenji Suetsugu de l’université de Kobe, avec l’aide de scientifiques indépendants et des habitants. Les chercheurs l’ont rencontrée lors d’une campagne de recherche de plantes dites mycohétérotrophes à travers le Japon, c’est-à-dire qui ne dépendent plus de la photosynthèse pour vivre, mais de champignons, qu’ils parasitent. Au moment de la découverte, ils ont déjà constaté un début de défrichement de son habitat, alerte-t-ils dans un communiqué.

      L’espèce est décrite dans le journal Phytotaxa. Elle appartient au genre Gastrodia, comprenant à ce jour une centaine d’orchidéesmycotrophes (vivant en symbiose mutualiste ou parasite avec des champignons, sachant qu’on parle de mycohétérotrophie dans le deuxième cas) que l’on retrouve notamment en Asie, en Océanie et en Afrique. Elle pousse au ras du sol forestier, où elle reçoit peu de lumière et peu d’insectes pollinisateurs. Elle se reproduit donc sans le concours de ces derniers en s’autopollinisant, ses fleurs restant fermées, à l’état de bouton, tout au long de la saison de la floraison (durant le mois de mars) au lieu de s’épanouir. Les chercheurs estiment qu’elle a adopté ce comportement afin d’éviter la dispense d’énergie nécessaire au développement des fleurs.

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