Il reçoit une contravention pour avoir marché dans la rue à cause de la glace


Avec la neige, la pluie, le redoux, le gel, les trottoirs sont désastreux que ce soit à Montréal ou même chez moi à Gatineau. Faut dire que cette année, les piétons marche à la dure. Moi-même, je préfère marcher dans la rue que sur les trottoirs  même s’ils sont déneigés à cause de la glace cabossées ou que c’est glissant. Je trouve que c’est du zèle de la part du policier surtout tard le soir.C’est certain que sur une rue passante, on endure les trottoirs, mais un moment donné avec l’hiver que nous avons, je crois qu’il faut faire la part des choses
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Il reçoit une contravention pour avoir marché dans la rue à cause de la glace

 

Un Montréalais entend contester le constat d'infraction dont il a écopé pour... (Photo David Boily, archives La Presse)

PHOTO DAVID BOILY, ARCHIVES LA PRESSE

SARA CHAMPAGNE
La Presse

Un Montréalais entend contester le constat d’infraction dont il a écopé pour avoir marché dans la rue afin d’éviter un trottoir recouvert de neige et de glace.

Selon le récit raconté sur les ondes de CBC news, Lateef Martin marchait le long de la rue Messier, samedi vers 1 h 30 du matin, dans l’arrondissement Le Plateau-Mont-Royal, quand il aurait été intercepté par un patrouilleur du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM).

M. Martin a raconté qu’il a été arrêté quand il a refusé de fournir une preuve d’identité au patrouilleur. L’homme à la peau noire, qui marchait la tête recouverte d’un capuchon, avance que « sa race » a probablement été un facteur dans son arrestation. Il soutient qu’il revenait à pied d’une soirée chez un ami.

« Naturellement, j’ai décidé de marcher dans la rue parce que c’était plus sécuritaire. L’un de mes amis a chuté et s’était blessé au genou sur ce même tronçon de trottoir plus tôt dans la journée. […] J’ai voulu être prudent », a-t-il relaté.

M. Martin a reçu un constat de contravention de 48 $ pour avoir contrevenu à l’article 452 du Code de la route stipulant qu’un piéton doit emprunter le trottoir plutôt que la rue quand il y a en un longeant une artère.

« Je pense sincèrement qu’il (le policier) a décidé de me donner une contravention parce que j’ai refusé de lui dire où j’allais, et parce que je lui ai répondu sèchement », a précisé M. Martin.

Le SPVM a refusé de commenter l’affaire hier, CBC news n’est pas parvenu à obtenir les commentaires de la Ville de Montréal.

Chaque année, la Ville de Montréal verse des milliers de dollars en dédommagements à des citoyens pour des chutes sur les trottoirs de son territoire. Récemment, la mairesse de Montréal, Valérie Plante, a annoncé la révision des pratiques de déglaçage sur les trottoirs, notamment avec l’utilisation de chenillettes surnommées « croque-glaces ». 

https://www.lapresse.ca/

Le Saviez-Vous ►7 infractions au code de la route que vous ne saviez pas que vous faisiez


Je ne sais pas dans les autres pays, mais au Québec, il y a des infractions au code de la sécurité routière que nous respectons pas à cause de notre ignorance. Cela peut aller à la marche, le vélo, et même la trottinette des enfants
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7 infractions au code de la route que vous ne saviez pas que vous faisiez

Gyrophare d'auto de police

Crédit photo: Thinkstock

Au volant de votre voiture, à vélo ou à pied, vous étirez régulièrement l’élastique de la loi sans même le savoir! Quelles sont les infractions qu’on commet sans nous en rendre compte?

Marcher dans le sens de la circulation

Piéton marchant sur le bord d'une route paysagée

Crédit photo: Pixabay.com

Si l’on se fie à l’article 453 du Code de la sécurité routière du Québec, promener son chien ou marcher dans le sens de la circulation des véhicules est illégal. En l’absence de trottoir, il faudrait plutôt circuler dans le sens contraire, c’est-à-dire face aux automobiles.

Négliger de ralentir lorsque nécessaire

Pluie sur l'autoroute et voitures qui ralentissent

Crédit photo: Pixabay.com

Ça peut tomber sous le sens, mais ceux qui ne ralentissent pas lorsque les conditions routières l’exigent (brouillard, pluie forte, etc.) s’exposent à une amende de 60 à 100 $ en vertu de l’article 330, et ce, même s’ils respectent la limite de vitesse!

Conduire une trottinette sans frein

Garçon à trottinette

Crédit photo: Pixabay.com

Est-ce à dire que tous les enfants roulant librement en trottinette sont susceptibles de recevoir une contravention? Selon l’article 247, toute trottinette doit être munie d’au moins un système de freins agissant sur la roue arrière et être suffisamment puissant pour bloquer rapidement la rotation de la roue… sinon, c’est 15 $ à 30 $ d’amende!

Rouler sans casque à vélo… électrique

Deux femmes avec vélo électrique à l'arrêt

Crédit photo: http://www.velo-electrique-attitude.com

Les cyclistes québécois sont libres de porter ou non un casque à vélo. Seule exception: si ce dernier est mû par l’électricité. Le cas échéant, la disposition 2 de l’article 492.2 du Code de la sécurité routière exige « de porter un casque protecteur conforme aux normes établies par règlement ».

Pédaler côte à côte

Deux femmes roulent côte à côte à vélo dans la ville

Crédit photo: Pixabay.com

Si vous désirez papoter côte à côte avec votre ami alors que vous roulez paisiblement sur une route de campagne, oubliez tout de suite ce plan. Le Code de la sécurité routière stipule que les cyclistes qui circulent en groupe de deux ou plus doivent le faire à la queue leu leu.

Un vélo sans réflecteurs

Vieux vélo vintage rouge appuyé contre le mur

Crédit photo: Pixabay.com

À en croire l’article 233.1 du Code de la sécurité routière, vous possédez peut-être une bicyclette illégale! En effet, ce dernier prévoit que les vélos doivent être « au moins » munis de réflecteurs à l’avant, à l’arrière, sur chaque pédale et dans les rayons des roues avant et arrière.

Écouter de la musique derrière le guidon

Fille à vélo avec iPod

Crédit photo: Pixbay.com

Sillonner les rues à vélo au son de votre artiste préféré est illégal, tranche l’article 440 du Code de la sécurité routière. Sur son site Internet, le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) explique cette interdiction en faisant valoir qu’« il faut être en mesure de bien entendre ce qui se passe autour de soi ».

http://www.canald.com/

La prison pour avoir triché à un examen?


L’Université de Concordia à Montréal, ne rit pas avec les tricheurs qui se font passer pour un autre. C’est un acte criminel qui est punissable par la loi.
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La prison pour avoir triché à un examen?

 

Un étudiant et son tuteur risquent une amende maximale... (PHOTO ROBERT SKINNER, LA PRESSE)

Un étudiant et son tuteur risquent une amende maximale de 5000 $ ou un emprisonnement maximal de six mois, ou les deux, pour avoir triché lors d’un examen à l’Université Concordia.

PHOTO ROBERT SKINNER, LA PRESSE

 

GABRIELLE DUCHAINE
La Presse

L’Université Concordia a pris les grands moyens pour punir un étudiant tricheur et son complice : appeler la police.

John Karras se serait fait passer pour l'étudiant... (Photo tirée de LinkedIn) - image 1.0

John Karras se serait fait passer pour l’étudiant de Concordia Abdullaziz Emad Almuhaidib, carte d’étudiant à l’appui, à l’examen de ce dernier.

PHOTO TIRÉE DE LINKEDIN

L’homme avait demandé à un autre de passer un examen à sa place. Les voilà tous les deux accusés au criminel. Ils pourraient même se retrouver derrière les barreaux.

Une porte-parole de l’université a refusé de dévoiler dans quel programme l’étudiant est inscrit ou de commenter le dossier de quelque manière que ce soit parce que l’affaire est maintenant devant la cour.

Selon des documents judiciaires consultés par La Presse, le 27 avril dernier, alors que la fin de la session universitaire arrivait à grands pas, l’étudiant aurait demandé à un tuteur de passer un examen à sa place.

FONDATEUR DE MONTREAL TUTORING

Le tuteur en question, John Karras, se présente sur l’internet comme le fondateur de Montreal Tutoring, une entreprise qui offre des cours privés ou de groupe aux étudiants de Concordia et de la John Molson School of Business, affiliée à l’université. M. Karras ne nous a pas rappelée.

Selon la police, il se serait fait passer pour l’étudiant Abdullaziz Emad Almuhaidib, carte d’étudiant à l’appui, à l’examen de ce dernier. Le duo s’est fait prendre.

Plutôt que de simplement sanctionner ou renvoyer son étudiant, comme le prévoit son règlement, Concordia a alerté la police. 

Pourquoi une telle mesure ? L’université ne veut pas commenter ce cas précis.

« Cependant, nous sommes toujours vigilants en ce qui concerne les questions d’intégrité académique. Lorsque nous croyons qu’il y a eu des activités criminelles sur le campus et que nous croyons qu’il est dans l’intérêt de la communauté de le faire, nous communiquons avec les autorités locales qui interviennent au besoin », note la porte-parole Cléa Desjardins.

Karras et Almuhaidib ont été arrêtés et accusés, le premier de complot, de fraude à l’identité, d’avoir représenté faussement un autre à un examen et d’avoir utilisé un document contrefait, le deuxième de complot et d’avoir bénéficié du fait qu’un autre le représente faussement à un examen.

Ils risquent une amende maximale de 5000 $ ou un emprisonnement maximal de six mois, ou les deux.

CE QUE DIT LA LOI

Saviez-vous qu’au Canada, certaines formes de plagiat sont punissables en vertu du Code criminel ? Il est notamment illégal de représenter faussement un autre à un examen. C’est l’article 404. Il dit :

« Est coupable d’une infraction punissable sur déclaration de culpabilité par procédure sommaire quiconque, faussement, avec l’intention d’acquérir un avantage pour lui-même ou pour une autre personne, se fait passer pour un candidat à un examen de concours ou d’aptitudes tenu en vertu de la loi ou relativement à une université, un collège ou une école, ou sciemment tire parti du résultat de cette supposition de personne. »

http://www.lapresse.ca/

Missouri : À 11 ans, il tue un cambrioleur


Encore une histoire d’arme à feu dans les mains d’enfant. Si l’adolescent avait fait plusieurs tentatives d’infractions, pourquoi l’enfant n’a pas appelé la police ? La voisine raconte une tout autre version qui est encore plus terrifiante.
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Missouri : À 11 ans, il tue un cambrioleur

(Capture d’écran, CNN)

Un garçon de 11 ans qui gardait sa petite sœur n’a eu d’autre choix que d’abattre un adolescent qui tentait de s’introduire dans le domicile familial, rapporte la police de St. Louis dans le Missouri.

Selon les policiers, l’incident aurait eu lieu en début d’après-midi jeudi, alors que l’adolescent de 16 ans avait tenté à plusieurs reprises de s’introduire dans la maison où se trouvait la fratrie.

Lorsqu’ils sont arrivés sur place, les policiers de St. Louis ont découvert le corps du jeune homme, abattu d’une balle dans la tête.

«L’adolescent de 16 ans avait tenté d’entrer illégalement dans la maison à trois reprises dans la journée», a expliqué l’officier Brian Schellaman.

Cependant, une voisine a expliqué à la chaîne de télévision KMOV, affiliée à CNN, que les deux garçons se disputaient devant la maison lorsque la fillette de quatre ans est sortie avec une arme et a tiré sur le jeune homme de 16 ans.

«Ils étaient juste en train de se disputer. Ça parlait fort, disons», a-t-elle précisé.

«Il est resté assis sur les marches du porche tout le temps. Il n’a jamais cherché à entrer dans la maison.»

Il n’était pas possible de savoir vendredi midi de quelle façon les enfants ont pu avoir accès à cette arme à feu.

Selon ce qu’a pu apprendre CNN, la mère des enfants impliqués dans cette histoire se serait procuré cette arme, car elle avait déjà été victime d’intrusion dans son domicile.

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Capture d’écran, CNN)

Le Saviez-Vous ►Les 23 excuses les plus folles des automobilistes pour éviter les contraventions !


Des réponses lors d’infractions du code de la route en France qui font sourire. Je crois que même au Québec, les policiers doivent entendre des explications assez similaires
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Les 23 excuses les plus folles des automobilistes pour éviter les contraventions !

Par Nathan Weber

Alexandre Despretz, un motard de la police nationale a traqué pendant 11 ans les infractions des automobilistes. Mais en plus de constater les infractions et de rédiger les p.v, il a également eu la bonne idée de noter sur un calepin les anecdotes et les excuses les plus originales des conducteurs ! Il a compilé le meilleur dans un livre, « les bonnes excuses des mauvais conducteurs« , à paraître cette semaine aux éditions du Cherche-Midi.

Un fameux recueil de perles, qui prouve que les automobilistes peuvent faire preuve d’une très grande inventivité pour tenter d’échapper à l’amende !

Voici quelques extraits, publiés avec l’aimable autorisation de l’auteur. Vous allez voir que c’est plutôt savoureux !

1. Lors d’un contrôle pour conduite en état d’ivresse :

– « Regardez-vous, vous ne tenez même pas debout ! »

– « Mais moi, monsieur, je conduis assis ! »

2. Une voiture esquive un embouteillage en doublant toute la file sur la bande d’arrêt d’urgence. Après  avoir été arrêté par deux policiers en patrouille, il rétorque avec aplomb :

– « Ecoutez, c’est une urgence ! J’ai une course, je suis jockey, donc j’ai le droit ! »

3. Une femme est arrêtée pour avoir effectué un dépassement interdit :

– « Et la ligne blanche, madame ? »

– « Ecoutez, je conduis là, je ne peux pas regarder par terre. »

4. Une femme est arrêtée pour une infraction au code de la route :

– « Vous venez de franchir une ligne blanche, madame. »

–  « Ah, non ! Elle était grise… »

5. Un homme est contrôlé pour un excès de vitesse manifeste :

« Vous roulez un peu vite, monsieur ! »

« Oui, mais j’ai des surgelés dans le coffre. »

6. Un homme tente de faire relativiser le gendarme pour éviter d’écoper d’une amende :

« S’il vous plaît, c’est peut-être notre dernière année sur terre. Ne me faites pas de PV. »

7. Un jeune conduisant un scooter est arrêté par la police :

« Où est votre casque, jeune homme ?

« Il est mouillé. Je l’ai étendu sur mon balcon pour qu’il sèche… »

8. Un conducteur défend le droit de sa voiture à aller à la vitesse qu’elle souhaite :

« Ma voiture fait ce qu’elle veut ! »

9. À propos du port de la ceinture :

– « Pourquoi n’attachez-vous pas l’enfant derrière ? »

– « Bah, c’est pas le mien, je l’attache pas. »

10. Une mère consciencieuse, le téléphone en main :

« J’expliquais justement à ma fille au téléphone qu’il ne fallait jamais répondre en conduisant. »

11. Un homme se justifie pour son excès de vitesse :

« Tous les mois, j’aère mon moteur… »

12. Un conducteur fait un serment solennel pour témoigner de sa sincérité :

« Je vous jure sur la tête du Code de la route que j’ai pas vu le feu rouge. »

13. Un automobiliste se justifie à propos d’un feu rouge « oublié » :

« Avant, j’étais livreur de pizzas et j’avais l’habitude de les griller. »

14. Un homme refuse catégoriquement d’admettre qu’il est passé au rouge :

« Je suis passé à l’orange écarlate. »

15. Un petit florilège de réponses lorsque les agents demandent à des automobilistes s’ils se sont rendus compte de leur infraction :

– « Bonjour madame. Vous n’avez pas vu le feu rouge ? »

– « Ben non, j’étais au téléphone. »

– « Ouaip. Mais ça me saoule de m’arrêter. »

– « J’ai pas vu, j’éternuais. »

16. Un usager de la route, contrôlé avec plus de 2g/l d’alcool dans le sang :

– « Je comprends pas, je n’ai pas bu depuis quatre ans. Je suis sûr que c’est parce que j’ai travaillé dans une imprimerie. On utilise de l’alcool à brûler et j’ai dû trop en inhaler… »

17. Un livreur à deux-roues :

« En quinze ans, j’ai grillé, je sais pas… 2 000 feux. Et bah, regardez, je suis toujours là ! »

18. Un automobiliste, au téléphone, manifestement agacé d’être arrêté par la police :

« Mais vous ne voyez donc pas que je suis en pleine conversation ? Vous me dérangez, là. »

19. Les policiers arrêtent un homme pour le faire souffler dans le ballon:

–  « Si je suis positif à votre truc, ce sera sûrement à cause de l’alcool contenu dans le bœuf bourguignon… »

Puis, après avoir été contrôlé positif :

– « Oui, mais c’est le médecin qui m’a prescrit de boire deux bières par jour pour faire fonctionner mon nouveau foie. »

20. Une conductrice tente d’expliquer qu’elle possède des facultés paranormales :

« Je fais de l’astrologie. J’arrive à avoir un œil sur le téléphone et un œil sur la route, monsieur l’agent. »

21. Un conducteur, à qui l’on fait remarquer qu’il ne porte pas sa ceinture :

« C’est vrai, mais quand je suis en chemise, je ne mets pas ma ceinture au risque de la froisser… »

22. Les agents arrêtent un homme sur le bas-côté :

– « Bonjour monsieur. Pourquoi vous ne portez pas votre ceinture ? »

– « Parce que j’ai mal aux dents ! »

23. Une conductrice est arrêtée parce qu’elle ne porte pas sa ceinture :

« Bonjour madame. Pourquoi ne portez-vous pas votre ceinture ? Vous avez une dispense ? »

« Non, mais je viens de me faire refaire les seins… » Puis, en soulevant son pull-over : « Touchez, vous allez voir, on sent la différence ! »

http://www.demotivateur.fr/

Les risques de lancer des menaces sur Internet/ Les responsabilités de You Tube et Facebook pour les contenus


On s’indigne que Facebook supprime certains messages, ferme des comptes alors que pour nous, il n’y a rien d’offusquant. Alors, que comme You Tube des propos haineux, des photos agressives, morbides puissent rester en ligne. Mais, ils sont protégé par la loi américaine sur la libre expression. Quoique des fois, on se trouve que la ligne est à deux vitesses. Au Canada, par contre, nous sommes responsables de ce que nous mettons sur les réseaux sociaux et ce même si à priori, cela serait une blague, on peut être poursuivi pour tout discours qui porteraient atteinte à une personne ou à un groupe de personnes
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Les risques de lancer des menaces sur Internet

 

Pierre Trudel

Un jeune homme de L’Islet, sur la Côte-du-Sud, a été accusé d’avoir proféré des menaces contre la communauté musulmane sur son compte Facebook.

Les propos auraient été diffusés sur Facebook dans la foulée des attaques contre des militaires survenues il y a quelques jours à Ottawa et à Saint-Jean-sur-le-Richelieu.

Selon ce que rapporte TVA nouvelles, « il aurait repris à son compte les propos d’un leader de l’État islamiste qui enjoignait ses adeptes de tuer des Canadiens, mais en en inversant le sens, c’est-à-dire qu’il aurait invité les Canadiens à tuer des musulmans.»

Le tribunal aura à décider s’il est coupable du crime dont il est accusé.

Mais pour l’heure, cette triste histoire nous rappelle combien la facilité avec laquelle il est possible de diffuser sur Internet des informations est en elle-même génératrice de risques.

Les internautes sont à risque de commettre diverses infractions associées à la diffusion de propos comme les menaces, les injures ou les propos haineux. Par exemple, l’infraction de menace est formulée à l’article 264.1 du Code criminel. Elle se lit comme suit :

264.1 (1) Commet une infraction quiconque sciemment profère, transmet ou fait recevoir par une personne, de quelque façon, une menace :

a. de causer la mort ou des lésions corporelles à quelqu’un;

b. de brûler, détruire ou endommager des biens meubles ou immeubles;

c. de tuer, empoisonner ou blesser un animal ou un oiseau qui est la propriété de quelqu’un.

Pour établir si un propos constitue une menace au sens du Code criminel, les tribunaux se demandent si une personne raisonnable se trouvant dans la même situation se serait sentie menacée par les propos formulés par l’accusé.

La poursuite doit convaincre le tribunal que l’accusé avait l’intention de menacer, soit de faire en sorte qu’une personne raisonnable se sente menacée.

Le rôle majeur que tiennent les usagers au sein d’environnements comme Facebook et les autres plateformes dans lesquelles ils peuvent afficher leurs propos contribue à démultiplier les situations susceptibles d’emporter des conséquences pour les tiers.

Les usagers doivent donc être au fait des enjeux et risques inhérents à ces environnements qui leur confèrent un important pouvoir.

Car ce pouvoir dont disposent les usagers des réseaux sociaux vient avec l’obligation d’assumer les risques résultant des décisions qu’ils prennent à l’égard des informations qu’ils mettent en ligne.

Il importe aussi de rappeler que n’est pas parce qu’une personne située à l’étranger lance des propos qui constituent ici des actes prohibés par nos lois que nous sommes autorisés à tenir ici de semblables propos. Lorsqu’on se trouve sur un territoire, on est tenu d’en respecter les lois.

Lorsqu’on est sur Internet, il faut toujours se souvenir que l’on dispose d’une capacité de diffuser des propos vers un nombre considérable de personnes. Le message affiché sur une saute d’humeur sur Facebook peut, en quelques minutes être répercuté sur la planète entière.

Il faut apprendre à considérer les risques qui viennent avec une telle puissance de diffusion.

Il est triste que ce jeune homme que ses parents présentent comme ne possédant aucune prédilection pour la violence se retrouve en situation de devoir répondre à ces graves accusations.

Souhaitons lui bonne chance et espérons que son histoire incitera les autres internautes à mieux mesurer les risques associés à leurs activités en ligne.

Les responsabilités de You Tube et Facebook pour les contenus

PREMIÈRE QUESTION : Comment peut-on laisser des distributeurs Internet continuer à diffuser du contenu haineux au Canada? On pense à ces vidéos, etc.

Les entreprises qui procurent de la connectivité, des connections à Internet n’ont pas de responsabilité quant aux contenus qui circulent sur le Net. Ils n’ont donc aucune obligation de surveiller ou retrancher des contenus.

Une grande partie des contenus qu’on trouve sur Internet n’émanent pas des entreprises qui possèdent les sites sur lesquels se retrouvent ces documents. Ce sont des sites qu’on désigne habituellement comme des sites à contenus générés par les utilisateurs.

Les intermédiaires comme les plateformes de diffusion de vidéos comme You Tube ou les réseaux sociaux sont régis par une règle selon laquelle ils n’ont pas d’obligation de surveiller et ne sont pas responsables pour ce qui apparaît sur leurs sites en provenance de tiers.

La plupart de ces sites à contenu généré par les utilisateurs ont été développés dans le contexte américain. Ils sont configurés et fonctionnent selon les règles établies par le droit américain.

La principale loi régissant la responsabilité de ces sites à contenu généré par les utilisateurs est l’article 230 du Communications Decency Act. Cette loi procure une immunité très étendue aux sites pour tout ce qui a trait aux contenus provenant de tiers, comme les usagers ou les organisations qui affichent des vidéos sur You Tube ou des messages sur Facebook.

Les tribunaux ont interprété cet article 230 du Communications Decency Act comme protégeant ces sites intermédiaires ou hébergeurs de pratiquement toute responsabilité dès lors que le contenu visé provient d’un tiers.

Ainsi, en vertu du droit américain, ces sites hébergeurs ne sont pas responsables des messages mis en ligne par des personnes ou des groupes et qui préconisent des activités terroristes ou diffusent des films de meurtres d’otages comme ceux qu’on a vus.

Par contre, ils ont la liberté de supprimer ces contenus. Certains le font, d’autres estiment qu’ils n’ont pas à intervenir. La loi américaine les protège leurs décisions.

En somme, ces intermédiaires sont des environnements qui n’ont pas à surveiller les contenus. Ils ne décident pas comme tel de diffuser des messages. Ce sont les internautes ayant mis ces contenus en ligne qui sont considérés comme les diffuseurs.

DEUXIÈME QUESTION: Pourquoi Facebook est-il capable de vouloir fermer la page de Mado Lamothe mais laisse en ligne des contenus terroristes?

L’article 230 du Computer Decency Act habilite les sites qui hébergent des contenus à les supprimer ou à les laisser en ligne. Dans l’un et l’autre cas, la loi leur confère une protection. Ils ne sont pas responsables.

Or, certains sites se sont donné des politiques à l’égard de certains contenus. Aux États-Unis, une image d’une mère qui allaite son bébé est parfois jugée plus choquante que celle d’une mitraillette actionnée par un enfant de 13 ans ! Compte tenu de ces conceptions, parfois très différentes de celles qui prévalent chez nous, les sites se permettent de retirer des contenus. Ils peuvent le faire et la loi américaine protège leur liberté de décision à cet égard.

Outre les messages « indécents » plusieurs sites appliquent une politique selon laquelle seuls les messages qui contreviennent explicitement à une loi sont retirés. C’est possiblement ce qui peut expliquer que certains messages associés au terrorisme demeurent sur certains sites.

TROISIÈME QUESTION: Le Code criminel canadien (art. 319 – 3c) permet-il les propos haineux à l’encontre de groupes identifiables?

Le Code criminel canadien punit les propos haineux dirigés vers des personnes appartenant à un groupe identifiable. Mais c’est l’auteur du propos qui est a priori responsable. L’intermédiaire n’étant pas tenu d’effectuer de surveillance des contenus qui apparaissent sur ses plateformes, la diffusion de ces propos ne peut lui être imputée à moins de démontrer qu’il est clairement au courant qu’un message contrevenant à la Loi est en ligne sur sa plateforme.

Il faut savoir que la propagande haineuse telle qu’interdite au Canada est en principe protégée aux États-Unis Les tribunaux américains ont estimé que la liberté d’expression empêche les autorités gouvernementales de punir le discours haineux.

http://blogues.journaldemontreal.com

Quand peut-on utiliser un cellulaire en voiture?


Au printemps prochain, ceux qui seront fautifs avec un téléphone portable vont perdre 4 points de démérites sur leur permis de conduire. C’est un pensez-y bien ! Il faut savoir aussi que les embouteillages et les lumières rouges ne sont pas des occasions pour utiliser le téléphone
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Quand peut-on utiliser un cellulaire en voiture?

 

Photo :  CBC

Dès le printemps prochain, les conducteurs québécois qui utiliseront leur téléphone portable au volant se verront imposer une pénalité de quatre points d’inaptitude, plutôt que trois. Mais dans quelles circonstances peut-on utiliser un cellulaire en voiture?

D’après un reportage de Anne-Louise Despatie

Depuis 2008, le Code de la sécurité routière interdit d’avoir en main un appareil téléphonique en conduisant.

Le nombre de personnes à avoir commis cette infraction est passé de 11 485 en 2008, à un peu plus de 66 000 en 2013. Les hommes sont plus nombreux à céder à la tentation, dans une proportion de 70 %.

Or, de plus en plus de conducteurs utilisent un dispositif mains libres et un socle pour déposer le téléphone, afin d’éviter de faire ce que la loi interdit.

Mais quand utiliser un cellulaire au volant est-il légal? La journaliste Anne-Louise Despaties a interrogé sur ce sujet Alfredo Munoz, ex-policier et président fondateur de SOS Ticket.

M. Munoz conseille depuis 10 ans des conducteurs qui souhaitent contester une contravention.


1. Peut-on jeter un coup d’œil sur son téléphone pour regarder un message lorsque nous sommes immobilisés à un feu rouge?

« Vous avez le droit de le regarder en tout temps. Ce que vous ne pouvez faire, c’est de le tenir dans votre main », précise M. Munoz.

Ainsi, si un conducteur tient un téléphone dans sa main à un feu rouge, il est fautif.

« En tout temps il faut faire attention à ce qui se passe autour de nous, même quand on est arrêté à une lumière rouge », explique Alfredo Munoz.

Cela vaut aussi pour les bouchons de circulation : la personne est toujours considérée en état de conduite, même si le véhicule est immobilisé.

Et même si un conducteur n’effectue aucune opération sur son téléphone, « le seul fait de tenir en main un cellulaire tout en conduisant, peu importe l’utilisation qui en est faite, est une infraction », peut-on lire sur le site web de la Société de l’Assurance automobile du Québec (SAAQ).


2. Quand considère-t-on qu’un conducteur est bel et bien arrêté pour écrire un texto?

Sur le site web de la SAAQ, on précise que

l’automobiliste doit immobiliser son véhicule « dans un endroit où le stationnement est autorisé et où il est possible de le faire en toute sécurité, comme sur le bord d’une route où la vitesse maximale permise est de moins de 70 km/h, dans un stationnement ou dans une aire de service ».


3. Comme la technologie évolue, est-il permis de dicter un texto au volant?

« Tant et aussi longtemps qu’on ne le tient pas en main [le téléphone], c’est légal. Maintenant, est-ce la bonne chose à faire? Peut-être pas. Mais c’est légal », affirme Alfredo Munoz.

De fait, bien que l’utilisation d’un système mains libres soit permise, la SAAQ estime qu’elle augmente tout de même les risques d’accident et d’infraction à la sécurité routière.


Finalement, quant à l’utilisation du cellulaire au volant dans des circonstances particulières, comme les situations d’urgences, certaines situations sont toujours sujettes à interprétation. La loi étant encore jeune, la jurisprudence en matière de cellulaire au volant commence à se constituer.

D’autre part, l’ancien policier rappelle que l’idéal est d’éviter toute distraction au volant. Car si les dangers reliés aux appels téléphoniques ou à l’envoi de textos sont fort médiatisés, la SAAQ recense tout de même d’autres importantes sources de distractions au volant, comme la cigarette ou la nourriture.

http://ici.radio-canada.ca

Ferme de Saint-Jude Les animaux maltraités libérés intentionnellement


Je suis contre les actes illégaux, mais ici, c’est clairement un sauvetage, mais malgré tout certains des renards n’ont pas saisi la chance de s’échapper alors que quelques visons ont pris la clé des champs. Je pense qu’il est clair que le gouvernement doit réagir en faveurs des animaux dans une ferme d’élevage intensif (Cruauté envers les animaux : la SPCA dénonce la mollesse de Québec)
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Ferme de Saint-Jude

Les animaux maltraités libérés intentionnellement

 

 

Les animaux maltraités libérés intentionnellement

Crédit photo : archives, Agence QMI

Après la récente publication d’images d’une centaine de renards et de milliers de visons d’élevage vivant dans des conditions exécrables sur une ferme de Saint-Jude, en Montérégie, une personne s’est introduite dans le bâtiment agricole pour libérer les animaux, dans la nuit de mardi à mercredi.

Les policiers de la Sûreté du Québec ont reçu un appel leur demandant de se rendre sur place vers 8h, mercredi matin. À leur arrivée sur les lieux, ils ont constaté que de nombreuses cages abritant des visons avaient été ouvertes délibérément.

«La grande majorité des bêtes sont sorties de leur cage, mais sont demeurées dans le bâtiment et ont donc pu être récupérées», a dit la sergente Joyce Kemp, porte-parole de la SQ.

Il a toutefois été impossible de savoir précisément combien de cages avaient été ouvertes et combien de visons se sont échappés.

La Sûreté du Québec a ouvert une enquête dans ce dossier, mais aucune arrestation n’avait encore eu lieu, mercredi après-midi.

Les images chocs publiées récemment dans le Journal de Montréal montrant l’état pitoyable dans lequel se trouvent les animaux d’élevage gardés dans cette ferme de Saint-Jude pour leur fourrure ont soulevé l’ire de nombreux citoyens.

Quelques heures après la publication du reportage, une pétition demandant la fermeture de l’entreprise a été mise en ligne sur le site petitions24.net. À ce jour, la pétition a recueilli près de 14 000 signatures.

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Cellulaire au volant Le nombre d’infractions en hausse


Qu’est-ce qu’il faut faire pour que les gens arrêtent d’utiliser leur cellulaire soit pour répondre au téléphone ou pour texter ? Il y a même une application qui dit qu’on ne peut répondre quand on est au volant … Je l’ai moi-même, malgré que je ne conduis pas et j’ai trouvé que c’était une bonne chose, mais il semble que peu de gens l’utilise. Pourtant, des témoignages de gens qui ont eu des accidents et ont soit été lourdement handicapés ou sont mort, mais le message ne passe pas encore … C’est irresponsable de la part des gens qui conduisent sur la route
Nuage

 

Cellulaire au volant

Le nombre d’infractions en hausse

 

Le nombre d'infractions en hausse

Crédit photo : archives, Agence QMI

TVA Nouvelles

Dur, dur, de se débarrasser de ses mauvaises habitudes.

Depuis l’adoption de la loi contre l’utilisation des téléphones portables au volant en 2008, le nombre de constats d’infraction est en hausse constante. Et, cela, malgré les nombreuses campagnes de sensibilisation les automobilistes.

La loi est entrée en vigueur en juillet 2008. Et, cette année-là, selon les chiffres de la Société de l’assurance automobile du Québec, 18 000 constats d’infraction ont été émis.

En 2009, alors qu’il était difficile de plaider l’ignorance de la loi, le nombre des constats d’infraction est passé à 48 000. En 2010, on parle de 50 000 constats d’infraction et, en 2011, de 56 000.

Le texto

À cela, plusieurs explications, dont le fait que le nombre d’abonnés au service cellulaire est en forte hausse. Et puis, il y a la vogue du texto, qui est venue ajouter sa part de contrevenants.

«Normalement, quand on conduit, on ne regarde pas ses chaussures. Ce sont des comportements qui attirent notre attention», explique Pierre Poirier, porte-parole de la police de Québec.

texto au volant

(TVA Nouvelles)

De fait, selon un sondage mené par la SAAQ, un conducteur sur deux avoue texter au volant. De ce nombre, près de 20% en sont presque dépendants, explique Mario Vaillancourt, porte-parole de l’organisme.

«Ils répondent au sondage en disant qu’ils ne peuvent pas s’empêcher, soit, de lire un message texte au volant, ou encore, de répondre, d’envoyer un texte au volant.»

Pourtant, depuis 2008, la SAAQ a dépensé 2,5 millions $ en publicité pour sensibiliser la population aux risques des textos au volant. Et, récemment, on a lancé une application qui avise les personnes qui tentent de rejoindre un abonné du téléphone qu’il ne peut pas répondre parce qu’il est au volant.

«Ceux qui ne sont pas capables de s’en passer, mettez le cellulaire dans le coffre à gants ou même dans le coffre arrière, à la limite», s’exclame le policier Poirier.

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Inde: des policiers en carton pour faire respecter le code de la route


Je ne suis peut-être pas une experte en code de la route, mais il me semble que la première chose a changer pour la sécurité routière serait que les gens passe un test pour un permis … ou suivre un cours de conduite obligatoire … me semble que ca serait un bon départ
Nuage

 

Inde: des policiers en carton pour faire respecter le code de la route

 

Des policiers indiens.... (PHOTO Prakash SINGH, Agence France-Presse)

Des policiers indiens.

PHOTO PRAKASH SINGH, AGENCE FRANCE-PRESSE

Agence France-Presse
BANGALORE

La police de Bangalore, en Inde, tente une nouvelle méthode pour réduire les infractions routières: ils positionnent des policiers en carton sur le bord des routes afin que les conducteurs pensent que les forces de l’ordre ne cessent de les surveiller.

Le nombre de morts sur les routes a explosé en Inde, malgré le peu de personnes possédant une voiture. Pour cause: une faible application de la loi, des conducteurs non formés à la conduite et le mauvais état des routes. Ainsi, l’Inde est devenu l’un des pays où l’on compte le plus de morts liés à la circulation routière dans le monde.

De nombreux automobilistes indiens obéiraient aux règles de circulation s’ils pensaient que les forces de l’ordre les avaient à l’oeil en permanence, «mais nous ne pouvons pas être partout», a expliqué un commissaire de police de Bangalore, MA Saleem, lundi à l’AFP.

«Dans les villes indiennes, les conducteurs ne respectent pas le code de la route lorsqu’il n’y a pas de policiers à proximité, ils grillent les feux et prennent les sens interdits», a déploré ce commissaire.

«Ces policiers en carton sont très efficaces et ils peuvent travailler sept jours par semaine», a ironisé Saleem.

De tels «policiers» sont souvent utilisés dans certains pays comme la Grande-Bretagne et l’Amérique du Nord pour prévenir certains délits mais, selon Saleem, c’est la première fois que l’idée est mise en pratique dans une ville indienne.

Pour le moment, trois policiers en carton kaki ont été déployés sur les routes principales de la ville.

Un policier en carton a toutefois été volé la semaine dernière mais cela n’a pas découragé le commissaire Saleem qui a expliqué que, désormais, les faux policiers seraient retirés la nuit afin de réduire les risques de vol.

Il a déclaré vouloir installer dix policiers en carton en plus sur les routes de Bangalore.

«De loin, le faux policier ressemble à un vrai», a reconnu un chauffeur de Bangalore à la chaîne de télévision indienne NDTV, alors qu’un autre a admis avoir été dupé par ces morceaux de carton.

«Deux ou trois fois, a-t-il ajouté, nous avons pensé qu’un vrai policier se tenait là, alors nous avons ralenti».

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