L’hu­ma­nité n’a jamais mangé autant de viande


Quand j’étais petite, le repas se composait d’une soupe, viande et légumes, aujourd’hui, la viande prend beaucoup de place dans l’alimentation. Cela a des effets directs sur l’environnement. Baisser notre consommation de viande pourrait aider à diminuer le gaz à effet de serre ainsi que la déforestation.
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L’hu­ma­nité n’a jamais mangé autant de viande

Crédits : Markus Spiske


par  Malaurie Chokoualé Datou

De plus en plus de citoyen·­ne·s se tournent vers un régime à base de plante, spor­tif­s·ves de haut niveau compris. Et pour­tant, la viande est toujours indé­trô­nable sur bien des tables.

Entre 1961 et 2018, la produc­tion de viande est passée de 70 millions de tonnes par an dans le monde à 330 millions, rappelle Le Monde en ce 15 novembre.

Depuis plusieurs années, des expert·e·s attirent l’at­ten­tion sur le rôle notable tenu par l’éle­vage indus­triel dans la crise clima­tique actuelle. Le 5 mars 2018, Green­peace poin­tait dans un rapport que « l’éle­vage est respon­sable de 14 % des émis­sions mondiales de gaz à effet de serre » et que la produc­tion de produits laitiers et de viande entraî­ne­rait pas moins de 80 % de la défo­res­ta­tion en Amazo­nie.

Pour Suzanne Dalle, char­gée de l’agri­cul­ture chez Green­peace France, il faudrait réduire notre consom­ma­tion à 16 kg de viande par an et par personne (pour 43 actuel­le­ment) de manière à « enrayer les chan­ge­ments clima­tiques, redon­ner du souffle à l’éle­vage écolo­gique et éviter une catas­trophe sani­taire ».

En dépit de l’ur­gence, l’hu­ma­nité n’a jamais mangé autant de viande qu’ac­tuel­le­ment et la tendance ne semble pas vouloir s’in­ver­ser. Sauf chan­ge­ment collec­tif et durable, l’Or­ga­ni­sa­tion des Nations unies pour l’ali­men­ta­tion et l’agri­cul­ture (FAO) prévoit qu’on attein­dra les 524 millions de tonnes de viande produite par an en 2080.

Sources : Green­peace/Le Monde

https://www.ulyces.co/

Des citoyens préparent une «des plus grandes manifs environnementales des dernières années»


Ce qui serait bien, serait que toutes les grandes villes fassent cette manifestation au même moment a travers le monde pour que les gouvernements s’impliquent sérieusement pour l’environnement.
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Des citoyens préparent une «des plus grandes manifs environnementales des dernières années»

 

JAMES CAWLEY VIA GETTY IMAGES

La marche aura lieu le samedi 10 novembre à Montréal.

À quelques semaines de la rentrée parlementaire à Québec, des citoyens appuyés par des groupes écologistes préparent «une des plus grosses manifestations environnementales des dernières années».

La marche aura lieu le samedi 10 novembre à Montréal à 14h, de la Place des festivals jusqu’à la Place du Canada, à l’initiative de «La Planète s’invite au parlement» — un collectif citoyen qui milite pour les questions environnementales.

Ce sont bel et bien des citoyens qui sont à l’origine de ce mouvement, auquel des groupes écologistes se joindront, a expliqué au cours d’une entrevue avec La Presse canadienne, jeudi, Patrick Bonin, responsable de la campagne climat énergie à Greenpeace. Ils avaient tenu plusieurs manifestations pendant la campagne électorale et la participation à celles-ci allait croissant.

Ils ont donc décidé de lancer un cri de ralliement avant le début des travaux à l’Assemblée nationale. Et ils s’attendent à un rassemblement imposant, avec toutes les questions environnementales qui sont à l’ordre du jour: les changements climatiques, le transport d’hydrocarbures par train, les amas de plastique dans les océans, les épisodes de canicule qui ont fait des morts l’été dernier, entre autres.

https://quebec.huffingtonpost.ca/

Soldes: Greenpeace met en garde contre la mode prêt-à-jeter


C’est vrai qu’on dépense sans trop se poser des questions sur l’impact de cette surconsommation envers l’environnement. Pas parce qu’un vêtement est en vente que nous devons l’acheter si nous n’en avons pas besoin
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Soldes: Greenpeace met en garde contre la mode prêt-à-jeter

 

Greenpeace met en garde contre la surconsommation de vêtements, source de « graves impacts environnementaux ».

La « fast-fashion » génère déchets, pollutions, gaz à effet de serre et ne peut pas, à ce stade, être solutionnée par le recyclage, selon l’ONG.

« Les vêtements font partie des articles les plus vendus » pendant le « Black Friday « , ces soldes organisées aux États-Unis après le jour de Thanksgiving et également pratiqués dans de nombreux pays.

« Il est difficile de résister à la bonne affaire, mais la +fast-fashion+ signifie que nous consommons et jetons les vêtements plus vite que la planète ne peut le supporter », souligne Kirsten Brodde, à la tête de la campagne « Detox my Fashion » menée par l’ONG depuis 2011.

La production vestimentaire mondiale a doublé ces 15 dernières années. Une personne achète 60% de vêtements de plus qu’il y a 15 ans, et garde chaque pièce deux fois moins longtemps, selon une enquête McKinsey citée par Greenpeace.

Les marques ont multiplié le nombre de collections, tandis que, du Brésil à l’Inde ou la Grande-Bretagne, les prix ont moins augmenté que pour les autres biens de consommation courante, alimentant la frénésie: en 2014, pour la première fois, le nombre de pièces produites sur un an a dépassé 100 milliards, soit presque 14 par humain!, selon la même étude.

Or les impacts écologiques sont nombreux: pollutions chimiques issues des usines ou des pesticides utilisés dans les champs de coton, usage intensif d’eau et d’énergies sources de réchauffement.

Le boom du synthétique est particulièrement problématique, note Greenpeace, notamment le polyester qui émet plus de CO2 que le coton, a du mal à se dégrader et peut contenir des microfibres de plastique, poison des océans.

Et « le recyclage est un mythe! », pas encore au point techniquement comme commercialement, ajoute l’organisation.

Des stocks de vêtements d’occasion sont exportés vers les pays du Sud, mais leur usage limité par leur qualité souvent piètre.

Pour l’ONG, « les marques doivent repenser leur modèle du jetable et produire des vêtements durables« .

« En tant que consommateurs, nous avons aussi ce pouvoir: avant d’acheter, nous pouvons tous nous demander +ai-je vraiment besoin de ça?+, ajoute Mme Brodde.

Pour un seul jean, ce sont 13 000 litres d’eau qui sont utilisés!

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Des robots pour remplacer les abeilles?


Cette vidéo est un fiction, enfin, pour le moment, car les êtres humains préfèrent empoissonner l’environnement, que d’agir vraiment. Alors comment les remplacer si ce n’est que par des robots
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Des robots pour remplacer les abeilles?

 

Si vous ne l’avez pas encore vue, je vous invite à regarder la vidéo de la dernière campagne choc de l’organisation écologiste Greenpeace (en anglais).

Pour nous appeler à réagir contre le déclin des abeilles, ils ont imaginé à quoi pourrait ressembler l’agriculture si les pollinisateurs venaient à disparaitre.


Étonnamment, cette fausse publicité n’est pas si loin de la réalité. En fait des scientifiques de Harvard sont déjà en train de travailler sur des
robots semblables. Comme quoi parfois la réalité n’est pas trop loin de la fiction.

 

http://www.soscuisine.com

Des produits toxiques dans des vêtements pour enfants


Autrement dit acheter des marques reconnues faites à l’étranger ne garantit en rien qu’ils ne sont pas dangereux pour les enfants. C’est vraiment dommage qu’au nom de je ne sais pas trop quoi, on puisse mettre des enfants en danger
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Des produits toxiques dans des vêtements pour enfants

 

Des activistes de Greenpeace dénoncent la présence de substances chimiques susceptibles de provoquer des cancers et des désordres hormonaux dans des produits de marques lors d’une performance à Budapest, en Hongrie.

PHOTO ATTILA KISBENEDEK, AFP

Agence France-Presse
PÉKIN

Greenpeace a affirmé mardi à Pékin avoir détecté des substances chimiques dangereuses dans des vêtements pour enfants fabriqués par des grandes marques, parmi lesquelles Disney, Burberry ou Adidas.

L’organisation de défense de l’environnement a expliqué dans un communiqué avoir soumis 82 articles de douze marques à des analyses, et avoir retrouvé chez chacune de ces enseignes des produits chimiques nocifs.

Parmi les marques ciblées par l’ONG figuraient également Nike, American Apparel, C&A et Gap. Les articles testés ont été fabriqués dans douze régions ou pays, et pour un tiers d’entre eux en Chine.

«Les parents soucieux d’acheter à leurs enfants des vêtements qui ne contiennent pas de produits chimiques dangereux font face à un véritable cauchemar», a commenté Chih An Lee, de Greenpeace.

L’ONG a appelé la Chine, premier producteur textile et premier consommateur de produits chimiques du monde, à cesser d’utiliser des substances néfastes dans son industrie textile.

Ce n’est pas la première fois que Greenpeace met en cause de grands fabricants de vêtements.

Ces deux dernières années, l’ONG a publié plusieurs études montrant la présence de substances chimiques susceptibles de provoquer des cancers et des désordres hormonaux dans des produits de marques telles que Zara, Calvin Klein, Levi’s et Li Ning.

Et en 2011, Greenpeace avait publié «Dirty Laundry» et «Dirty Laundry 2», deux rapports qui montraient comment les fournisseurs de grands groupes textiles empoisonnaient l’eau de certains fleuves chinois avec leurs rejets, ces substances chimiques se retrouvant également dans les fibres des produits vendus.

http://www.lapresse.ca

Des produits toxiques dans les vêtements de grandes marques


En plus de l’économie de main d’œuvre, les lois sur l’environnement dans certains pays sont a peu près inexistante .. et ce qui est le plus choquant ce sont ces grandes marques qui font des millions de profits .. se foutent éperdument du tords qu’ils peuvent causer a l’environnement .. Il est vrai par contre que beaucoup d’acheteur … ne se préoccupent pas de la provenance
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Des produits toxiques dans les vêtements de grandes marques

 

En Hongrie, des manifestants de Greenpeace devant une... (PHOTO ATTILA KISBENEDEK, AFP)

En Hongrie, des manifestants de Greenpeace devant une boutique Zara. À elle seule, Zara produit 850 millions d’articles de vêtements par an.

PHOTO ATTILA KISBENEDEK, AFP

Agence France-Presse
Pékin

Des substances chimiques susceptibles de provoquer des cancers et des désordres hormonaux ont été détectées dans des produits de grands fabricants de vêtements, a affirmé Greenpeace mardi à Pékin.

Parmi les marques ciblées par l’ONG de défense de l’environnement figurent notamment Zara, Calvin Klein, Levi’s et Li Ning.

Greenpeace a acheté en 2012 des échantillons de vêtements de vingt marques, en vente dans 29 nations et régions du monde. Ce sont des pantalons, des tee-shirts, des dessous et des robes fabriqués notamment en Chine et dans d’autres pays en développement. Puis elle a soumis ces textiles à des analyses.

«Dans environ deux tiers des 141 échantillons ont été détectés des éthoxylates de nonylphénol (NPE)», a affirmé Greenpeace. Quelques vêtements étaient par ailleurs porteurs de phtalates ou de teintures contenant des amines cancérigènes.

Les éthoxylates de nonylphénol (NPE) sont des produits chimiques fréquemment utilisés comme détergents dans de nombreux processus industriels et dans la production de textiles naturels et synthétiques. Déversés dans les égouts, ils se décomposent en nonylphénol (NP), un sous-produit très toxique qui agit comme perturbateur hormonal.

Les marques mises en cause «sont des acteurs énormes dans l’industrie de la mode — à elle seule Zara produit 850 millions d’articles de vêtements par an. On peut imaginer l’ampleur de l’empreinte toxique qu’elle laisse sur la planète, en particulier dans des pays en développement comme la Chine où beaucoup de ces produits sont confectionnés», a souligné Li Yifang, de Greenpeace.

En 2011, Greenpeace avait publié Dirty Laundry et Dirty Laundry 2, deux rapports qui montraient comment les fournisseurs de grands groupes textiles empoisonnaient l’eau de certains fleuves chinois avec leurs rejets, ces substances chimiques se retrouvant également dans les fibres des produits vendus.

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– Des groupes écologistes lancent la campagne « Silence, on parle »


Est-ce que le Canada et le Québec sont en crise, alors que le gouvernement canadien coupe sur dans des domaines important tel que la protection de l’environnement, fuit ses responsabilités devant l’urgence d’agir et que le Québec veut enlever le droit a la démocratie .. Sans parler des exploitations qui sont vue d’un très mauvais oeil de la population …
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– Des groupes écologistes lancent la campagne « Silence, on parle »

 

Si une image noire remplace la page d’accueil de certains sites Web lundi, elle ne sera pas le résultat d’une attaque de pirates informatiques, mais bien un message de groupes écologistes qui souhaitent dénoncer certaines politiques gouvernementales en matière d’environnement, entre autres.

Si une image noire remplace la page d’accueil de certains sites Web lundi, elle ne sera pas le résultat d’une attaque de pirates informatiques, mais bien un message de groupes écologistes qui souhaitent dénoncer certaines politiques gouvernementales en matière d’environnement, entre autres.

Équiterre, Greenpeace, le World Wildlife Fund (WWF) et la Fondation David Suzuki figurent parmi les organisations de défense de l’environnement qui participeront cette journée-là à la campagne « Silence, on parle », car selon eux les gouvernements provincial et fédéral utilisent leurs pouvoirs législatifs pour « affaiblir les voix de groupes qui s’opposent à leurs idéologies ».

Selon le directeur général pour la section québécoise de la fondation David Suzuki, Karel Mayrand, le gouvernement Harper a pris les écologistes en grippe, et il les « muselle » avec, notamment, le dépôt du projet de loi budgétaire C-38.

Ce document de quelque 400 pages amende plus d’une soixantaine de lois, notamment de nombreuses législations environnementales, mais également l’admissibilité à l’assurance-emploi et aux prestations de vieillesse, les politiques d’immigration et les méthodes d’inspection des aliments.

M. Mayrand ajoute que la « même chose » se produit au Québec avec la loi 78, que le gouvernement Charest a adoptée afin d’encadrer les manifestations et d’assurer l’accès aux institutions d’enseignement.

L’écologiste voit dans ces mesures « un glissement dangereux » que les citoyens « doivent dénoncer », sans quoi les débats de société et la légitimité des choix des gouvernements s’en trouveront affectés.

Selon M. Mayrand, la qualité des décisions prises en démocratie est « tributaire de l’expression d’une diversité de points de vue », et c’est pourquoi il demande aux citoyens, organisations et entreprises de participer à la campagne qu’il promeut.

« Les gens sont en état de choc devant ce qui se passe a Ottawa », observe-t-il.

« Nous, on veut leur donner la parole pour défendre les deux valeurs canadiennes fondamentales que sont la protection de la nature et la démocratie. On a des réponses de groupes écologistes, mais aussi de gens ordinaires, qui appuient le principe qui veut qu’on puisse prendre la parole sans risquer des représailles. »

M. Mayrand s’inquiète également qu’une tendance soit en train d’émerger.

« Les associations étudiantes sont visées par Québec, les groupes environnementaux le sont par Ottawa. Qui seront les suivants? », demande-t-il.

Certaines personnalités publiques participent à la campagne « Silence, on parle », à savoir l’écrivaine Margaret Atwood, le musicien Bruce Cockburn et le groupe Les Cowboys Fringants.

Ils noirciront ainsi leurs sites Web lundi en reprenant les mots de la campagne ou, encore, ils s’exprimeront sur les réseaux sociaux comme Facebook et Twitter.

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France – Deux intrusions en 24 heures dans des centrales nucléaires françaises


Je ne sais pas si c’est vrai que le poète-escaladeur n’a pas pénétrer dans les bâtiments de la centrale nucléaire mais il a quand même réussit a rentré dans son enceinte .. et ce deux fois dans deux centrales nucléaires différentes .. Que ce soit chez les Français ou dans une autre pays ayant une centrale nucléaire c’est une bonne leçon. Cela aurait pu être une personne avec de moins bonnes intentions
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France – Deux intrusions en 24 heures dans des centrales nucléaires françaises

 

Des individus ont réussi à s’introduire mercredi dans l’enceinte de deux centrales nucléaires françaises

Des individus ont réussi à s’introduire mercredi dans l’enceinte de deux centrales nucléaires françaises.

La première intrusion a eu lieu à la centrale du Bugey, à Saint-Vulbas, dans le département l’Ain, dans la région Rhône-Alpes. Selon Le Monde, un militant de Greenpeace a réussi à s’introduire dans le périmètre de la centrale nucléaire en utilisant un parapente.

Une fois dans l’enceinte, il a déposé deux grenades fumigènes rouges sur le dôme d’un des réacteurs. Il se serait ensuite posé près de la centrale, où il a activé un troisième fumigène.

Électricité de France a confirmé, mercredi, l’intrusion, mais soutient que l’activiste a atterri en dehors de la zone du bâtiment et a été appréhendé par la sécurité dans les minutes qui ont suivi.

L’organisation Greenpeace a revendiqué cette action en expliquant avoir voulu montrer aux Français la vulnérabilité de leurs centrales nucléaires qui produisent les trois quarts de l’électricité du pays.

La police française, qui a interpelé le militant, a déclaré avoir intercepté un deuxième militant aux abords de la centrale du Bugey, mais cette fois à l’extérieur du site.

Nouvelle intrusion à Civaux

Quelques heures plus tard, un homme a réussi à s’introduire dans l’enceinte de la centrale nucléaire de Civaux, au sud de la ville de Poitiers, dans la région de Poitou-Charentes. Selon les médias français, l’intrus serait Hervé Couasnon, un militant qui se fait appeler le « poète-escaladeur ».

Un geste politique

L’homme se serait introduit dans la centrale en déjouant le dispositif de sécurité. Il se serait ensuite caché sur le site avant d’appeler les médias avec son téléphone cellulaire. Hervé Couasnon a déclaré à l’Agence France-Presse :

« Je suis à l’intérieur, je suis caché dans un taillis ».

Il a ensuite expliqué qu’il tentait, par ce geste, d’interpeler les deux candidats à l’élection présidentielle, François Hollande et Nicolas Sarkozy, qui doivent s’affronter dans un débat télévisé mercredi soir.

« Les Français en ont marre de la société dans laquelle ils vivent », a ajouté le « poète-escaladeur ».

L’homme a été arrêté peu de temps après par la gendarmerie française, qui avait déployé un important dispositif de sécurité pour le retrouver et l’intercepter.

D’après la police, le « poète-escaladeur » n’aurait pas réussi à pénétrer dans les bâtiments de la centrale nucléaire.

Radio-Canada.ca avec AFP et Le Monde

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Selon Greenpeace → La catastrophe nucléaire de Fukushima pourrait se reproduire au Québec


Les catastrophes environnementale causer par l’environnement suivi par de mauvaises décisions de ceux qui gouvernent n’arrivent pas juste chez les autres. Nous aussi, il pourrait arriver un désastre comme a Fukushima, si nos chers gouvernements ne prennent pas les bonnes décisions . Quand c’est une question politique qui fait pencher la balance .. c’est toujours a craindre
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Selon Greenpeace → La catastrophe nucléaire de Fukushima pourrait se reproduire au Québec

 

Selon Greenpeace - La catastrophe nucléaire de Fukushima pourrait se reproduire au Québec

La centrale Gentilly-2.

© Agence QMI / Archives

La catastrophe nucléaire de Fukushima a été causée par les échecs des institutions japonaises et de l’industrie nucléaire, selon un rapport publié mardi par Greenpeace, qui soutient que les mêmes erreurs humaines pourraient se reproduire à la centrale de Gentilly-2, à Trois-Rivières.

Le rapport, intitulé Les leçons de Fukushima, porte sur la manière dont les Japonais ont géré la catastrophe nucléaire de la centrale de Fukushima, à la suite du séisme et du tsunami survenus le 11 mars 2011.

Des désastres naturels ont provoqué l’arrêt des réacteurs en service, mais des erreurs humaines et politiques ont mené à la catastrophe nucléaire, selon Greenpeace.

« Le désastre de Fukushima est attribuable à la décision des autorités japonaises de fermer les yeux sur les risques des accidents, des erreurs de jugement qui pourraient se produire au Québec », a déclaré Shawn-Patrick Stensil, analyste nucléaire chez Greenpeace, par communiqué mardi.

Le premier ministre Charest, qui a déjà admis avoir un « préjugé favorable » pour la réfection de Gentilly-2, affirme attendre le dépôt d’une étude de la Commission canadienne de sûreté nucléaire (CCSN) sur les causes de Fukushima pour prendre une décision dans ce dossier. Une nouvelle analyse des coûts faite par Hydro-Québec est également attendue.

Or, Greenpeace met en doute la crédibilité de l’étude de la CCSN, estimant que le contexte politique québécois est similaire à celui qui prévalait au Japon avant l’accident. À cet effet, le groupe environnemental a rappelé le licenciement de la présidente de la CCSN, reconnue pour sa volonté à faire respecter les règles en matière de sécurité nucléaire, par le gouvernement de Stephen Harper en 2008.

« À la lumière de Fukushima, Jean Charest ne doit pas laisser la responsabilité de protéger les Québécois à une agence fédérale dont l’indépendance est compromise par la volonté du gouvernement Harper d’assurer les profits de l’industrie », a soutenu Shawn-Patrick Stensil.

 

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Les demi-vérités des produits écoresponsables


Beaucoup veulent bien acheter des produits écologiques mais ils sont souvent plus cher et en plus il semblerait que même s’ils portent des logo attestant qu’ils sont écologiques … c’est encore discutable … Quelle horreur !!!! C’est ce qui est irritant, tu veux faire ta part, et d’un autre coté on nous ment
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Les demi-vérités des produits écoresponsables

 

Consommation - Les demi-vérités des produits écoresponsables

©Shutterstock

Agence QMI

MONTRÉAL – Les produits aux prétentions écoresponsables connaissent un boom impressionnant. Ils ne sont toutefois pas tous aussi «verts» que promis.

Selon un rapport conjoint de la Banque Royale et des Manufacturiers et exportateurs du Canada, le marché canadien des biens et services «verts» s’élevait à 7,8 milliards $ en 2007-08. Sa croissance devrait s’élever à 45 % d’ici 2015.

De plus, en se fiant à une étude du cabinet de consultants Terrachoice, 4744 produits portaient au moins une mention d’écoresponsabilité sur leur emballage au Canada en 2010. La croissance était de 73 % comparativement à 2009.

Là-dessus, 95 % des produits commettaient au moins un des sept «péchés», qui passent d’un manque de preuves au simple mensonge.

Le péché le plus courant, à 77 % chez les produits nettoyants, est une description trop vague des bénéfices écologiques.


Pour sa part, l’Observatoire de la consommation responsable a visité 28 détaillants en Estrie en mars 2010. Il a recensé 840 produits domestiques «verts» et 24 écolabels de certification. Seuls 12 % portaient un écolabel officiel reconnu.

 De plus, le prix des produits «responsables» est souvent trop élevé, déplore Benoit Duguay, professeur à l’école des sciences de la gestion à l’UQAM.

«Comment peut-on faire faire le tour de la Terre à des aliments et les vendre moins cher que ceux qui viennent d’ici ? Allez en France. On trouve des allées de produits équitables dont les prix sont à peine plus élevés que les autres.»

Les prix ralentiraient donc les ardeurs des consommateurs québécois.

«Il existe tout de même une conscientisation, estime Hubert Bolduc, vice-président aux communications de la papetière Cascades. Environ 20 % d’irréductibles vont acheter des couches écoresponsables et manger du pain sans emballage. Les plus jeunes qui arrivent sur le marché sont conscientisés plus tôt dans leur vie. Ils vont faire des choix écologiques au quotidien.»

Vendre l’écoresponsabilité passe par une certification fiable, croit M. Bolduc.

«Des organisations non gouvernementales les accordent et elles ont un coût. Les entreprises sérieuses qui y souscrivent en retirent des bénéfices. Greenpeace publie aussi un guide sur les produits recommandables. Se classer premier, ça aide à en démontrer la valeur des produits.»

Des entreprises plus vertes et plus rentables

Les entreprises peuvent aussi faire leur part d’écoresponsabilité. Certaines font du respect de l’environnement un pilier du modèle d’affaires.

Elles le font parce que ce nouveau mode de vie est rentable, a précisé Benoit Duguay, professeur à l’école des sciences de la gestion à l’UQAM.

«Un hôtel qui lave ses draps seulement aux trois jours ne le fait pas seulement pour être responsable, a-t-il dit. On fait d’une pierre deux coups. C’est plus économe et ça plaît à la clientèle.»

C’est précisément la formule des frères Lemaire, chez Cascades. Ils ont arrondi leurs fins de mois en récupérant des matériaux, en les revendant et en minimisant leurs dépenses.

Aujourd’hui, Cascades propose des solutions concrètes à ses clients.

«Ikea réfléchit beaucoup à l’utilisation de ses palettes en bois, a avancé Hubert Bolduc, vice-président aux communications. Nous tentons de développer une solution de rechange, en carton rigide et compact recyclable.»

La compagnie de Kingsey Falls propose même des travaux de consultation à ses partenaires d’affaires.

«Prenons l’exemple de Bombardier, a dit M. Bolduc. Nous sommes allés les voir. Un groupe d’intervention regarde ses procédés à Saint-Laurent et trouve des économies importantes. Nous leur remettons un rapport qui permet de passer à l’action. En échange, ils utilisent davantage de nos produits.»

http://fr.canoe.ca