Le poirier qui traverse les saisons


Nous devons apprendre a ne pas juger trop vite .. de considérer qu’une partie d’un évènement, une personne, …. car il y a des silences, des saisons de vie que ne savons pas … Chaque situation que nous vivons nous-même arrivera a un moment de la vie .. qui certaines fois sera plus difficile que d’autres mais comme nous ne savons pas l’avenir … il ne faut pas abandonner ..
Nuage

 

Le poirier qui traverse les saisons

 

C’est l’histoire d’un homme qui est le père de 4 garçons.

Il voulait apprendre à ses fils à ne point juger précipitamment.

Pour cela il les envoya faire une enquête personnelle pendant laquelle ils devaient se rendre à une distance lointaine et aller chacun observer un poirier.

Le premier fils partirait en hiver, le second au printemps, le troisième en été et le benjamin en automne. Quand tous furent partis et revenus, il les rassembla et leur demanda de lui décrire ce qu’ils avaient vu.

Le premier fils dit que l’arbre était noir, affreux, tout plié et que ses branches étaient tordues.

Le second dit : « Non, il était couvert de pousses vertes et plein de belles promesses ».

Le troisième avait un point de vue bien différent : « il était plein de fleurs agréables à sentir et je l’ai trouvé majestueux, c’était l’arbre le plus gracieux que je n’avais jamais vu ».

Le benjamin secoua sa tête pour leur faire remarquer que son observation n’était pas du tout la même : « les fruits étaient tous murs, lourds de leur jus, plein d’engagements et d’espoirs ».

Le brave homme leur dit alors : « mes fils vous avez tous raison. Eh oui, vous êtes tous allés voir ce poirier à une saison différente et chacun d’entre vous a vu une seule période de la vie de cet arbre ».

Il leur dit aussi : « vous ne pouvez pas juger un arbre en seulement une saison, ni un être humain sur une impression. L’essence de ce qu’ils sont en réalité ne peut être connue en seulement une petite partie de vie, car il y a les joies, les peines, les regrets, etc. Ils peuvent seulement être appréciés que bien plus tard dans leur existence. Si vous abandonnez en hiver alors vous manquez inévitablement la promesse du printemps, la beauté de l’été et l’accomplissement de l’automne. »

Le saviez-vous ► Expression : Epée de Damoclès


Je pense qu’être sous l’épée de Damoclès serait pour nous synonyme de danger juste en imaginant un peu la situation d’avoir une épée tranchante prête a fendre tout sur son obstacles ..
Nuage

 

Epée de Damoclès 

 

Péril imminent et constant.
Danger qui plane sur quelqu’un.

 
Bien que l’histoire qui en est à l’origine ait été racontée par Horace et Cicéron,  cette expression n’est employée qu’à partir du début du XIXe siècle.

A la fin du Ve siècle avant J.C., Damoclès était un courtisan de Denys l’Ancien, tyran de Syracuse .

Au cours d’un banquet, alors que Damoclès lui disait combien il enviait son pouvoir et sa richesse, Denys chercha à le convaincre que la vie d’un tyran n’était pas aussi agréable qu’il le croyait.

Il faut bien reconnaître qu’entre les comploteurs et empoisonneuses prêts à l’envoyer ad patres à tout bout de champ, les épouses, concubines et maîtresses qu’il fallait satisfaire, l’argent volé aux pauvres qu’il fallait dépenser, l’absence de télé et de jeux vidéo…, la vie d’un tyran n’était finalement pas bien rose.

Bien entendu Damoclès n’en crut pas un mot.
Denys le fit alors s’asseoir sur son trône, prit son épée, arracha un crin de la queue de son cheval (qui hennit de désapprobation), y attacha l’épée et la suspendit la pointe en bas au-dessus de la tête de Damoclès en lui disant :

« Profite bien maintenant de ce banquet et amuse-toi ! Tu vas rester à ma place jusqu’à sa fin et je te garantis que tu ne verras plus les choses de la même manière ».

Effectivement, Damoclès, dont la vie ne tenait plus qu’à un crin, eut un peu de mal à bien profiter de la suite du banquet. Un petit quelque chose l’empêchait d’être suffisamment serein pour apprécier pleinement sa nouvelle situation.

http://www.expressio.fr

Avez-vous 1 000$ pour une crème glacée ?


Il doit avoir beaucoup d’appelé mais peut d’élu pour goûter a ce dessert glacé qui vaut une fortune … et si éphémère. Cela a l’air très bon mais c’est une gourmandise que même ayant les moyen, je trouve que c’est du gros gaspillage pour un  plaisir qui ne dure l’espace d’une bouchée
Nuage

 

Avez-vous 1 000$ pour une crème glacée ?

 

“Golden Opulence Sundae” servi au Serendipity 3 de New-York est vraiment la crème glacée la plus chère du monde,

Cette glace si spéciale a été créée en 2005 pour fêter le 50ème anniversaire du restaurant et s’est retrouvée aussitôt dans le livre Guinness des records comme la crème glacée la plus chère au monde.

En effet, rien d’autre que de précieux ingrédients entrent dans la composition du “Golden Opulence Sundae”. Les voici:

  • Crème glacée à la vanille de Tahiti avec infusion de vanille de Madagascar et morceaux de chocolat Chuao du Vénézuela
  • Feuille d’or 23 carats, comestible
  • Sirop au chocolat fait avec du chocolat de la maison italienne Amadei (parmi les chocolats les plus prisés au monde)
  • Caviar doré sucré et infusé avec jus d’orange, fruit de la passion et Armagnac
  • Fruits confits, truffes, dragées dorées, cerises de massepain, fleur de sucre doré

Et ce n’est pas fini: Le tout est présenté dans une coupe en crystal de Baccarat (que vous pourrez apportez chez vous en souvenir) et dégusté avec une cuillère en or 18 carats (qui elle doit rester dans le restaurant…).

Si vous brûlez d’envie d’essayer, je vous informe que vous devez réserver au moins 2 jours à l’avance, soit le temps de faire arriver ces précieux ingrédients par avion des divers coins du globe. Pas très écolo.

 

 

 

http://www.soscuisine.com

Consulter ses courriels augmenterait le niveau de stress


Bon, il fut un temps ou les courriels ne faisaient pas partie de la routine au travail, Les choses ont bien changé … Il est intéressant par contre de voir comment cela peut affecté sur le plan du travail et voir même sur le stress …
Nuage

 

Étude

Consulter ses courriels augmenterait le niveau de stress

 

Agence QMI

Ne pas prendre ses courriels tout au long de la journée permettrait de diminuer le niveau de stress des travailleurs, selon une récente étude américaine.

«Notre étude montre que les personnes qui ne sont pas interrompues dans leur tâche par la consultation des courriels perdent moins de temps à passer d’une fenêtre à l’autre sur leur ordinateur et ont moins tendance à se disperser», a expliqué la chercheuse Gloria Mark, de l’Université d’Irvine, en Californie.

Pour parvenir à ces conclusions, les scientifiques ont supprimé le service de messagerie pendant cinq jours à 13 employés de bureau, et ont comparé leur niveau de stress et leur capacité de concentration par rapport à leurs collègues.

Ils ont constaté que les personnes qui consultent régulièrement leur boîte de réception passent d’une fenêtre à une autre en moyenne 37 fois par heure.

Ils ont aussi remarqué que le rythme cardiaque des travailleurs qui ne recevaient pas de courriels affichait moins de variations que ceux constamment en alerte.

Les chercheurs recommandent donc l’instauration d’un système d’envoi groupé d’information.

«Bien entendu, il n’est pas question de cesser d’envoyer des informations par courriel. Mais nous suggérons aux entreprises d’expédier leurs courriels une ou deux fois par jour et non en continu, de façon à ce que les employés ne soient pas obligés d’ouvrir leur boîte de réception toutes les 10 minutes», a souligné Gloria Mark.

http://tvanouvelles.ca

Les médias sociaux, le «perron d’église moderne»


Avec le conflit qui perdure au Québec, les appuis a travers le monde pour les étudiants et tous les manifestants qui se sont élevé contre la loi 78 et qu’avec les chaudrons qui cognent dans les rues … partie d’une idée lancée sur Facebook on s’aperçoit pour le meilleur et pour le pire, les médias sociaux ont un grand impacts sur plusieurs front .. En principe les réseaux sociaux sont d’abord un échange mais peut devenir un terrain de défoulement qui malheureusement pour certains son sur une note d’irrespect autant par les mots que les images déformées ..
Nuage

 

Les médias sociaux, le «perron d’église moderne»

 

Le conflit étudiant, selon les chiffres d’Influence Communication, est le quatrième événement couvert par les médias québécois depuis 2001, après le tremblement de terre en Haïti, les attentats du World Trade Center et l’élection de Barack Obama. – Photo: Patrick Sanfaçon, La Presse

Pierre-Olivier Fortin, Le Soleil

Et si on tapait sur des casseroles, comme le faisaient les Chiliens pour manifester dans le temps de Pinochet? C’est l’idée qu’a eue un professeur de cégep, à Montréal, la semaine dernière, choqué d’entendre les parlementaires débattre de la loi 78. Une semaine plus tard, les casseroles résonnaient partout au Québec. Entre les deux: une simple page Facebook.

Jamais les médias sociaux n’ont été aussi importants dans un conflit social au Québec, avec toute leur puissance démocratique, amplificatrice et déformante qu’on leur connaît.

François-Olivier Chené, le professeur de politique du Cégep de Saint-Hyacinthe qui lancé la page Facebook Nos casseroles contre la loi spéciale, a lu son nom dans tous les médias, jeudi matin. La veille, son initiative avait pris une ampleur considérable en gagnant Québec et plusieurs quartiers de Montréal. L’idée vient des Chiliens du temps de la dictature, qui utilisaient les concerts de casseroles pour protester, alors que le droit de manifester n’existait pratiquement pas. Rien de comparable au Québec, dit-il, n’empêche que le «démocrate» voie dans la loi 78 des éléments «dérangeants». Son idée à la base était de «manifester contre, tout en la respectant», c’est-à-dire de faire du bruit chacun sur son balcon pendant 15 minutes chaque jour. Sauf que les concerts se sont déplacés dans les rues et durent désormais des heures.

«Si j’avais eu à distribuer des petits papiers un peu partout, on n’aurait pas été 1000 le premier soir! [Donc] c’est sûr que sans médias sociaux, ce mouvement-là n’aurait pas pu être aussi grand en aussi peu de temps», concède le professeur.

«C’est un nouvel outil de communication, une façon de communiquer et surtout de mobiliser très rapidement», expose Francine Charest, directrice de l’Observatoire des médias sociaux en relations publiques de l’Université Laval. «On peut rejoindre un nombre impressionnant de gens de façon instantanée.» L’exemple le plus proche en matière d’instantanéité, poursuit-elle, pourrait être l’utilisation de la radio pendant la crise d’Octobre.

Le dialogue de sourds

Il y a toutefois une autre dimension des médias sociaux qui agace Mme Charest dans la crise actuelle. Les amis qui se tiraillent constamment sur Facebook, les manifestations en direct sur Twitter et sur les chaînes d’informations continues, les vidéos et les directs de la télé de l’Université Concordia et les railleries que se balancent les carrés rouges, verts, blancs, noirs et autres dans le tout cyberespace donnent beaucoup de place aux extrêmes et au spectaculaire. Bref, un grand «dialogue de sourds» mis en exergue, une grande quantité d’informations et d’émotions présentées alors «qu’on n’a pas ce temps d’analyse, de nuance, que le temps permet parfois de rationaliser», explique la professeure.

«C’est supposé être un outil de partage, de conversation, alors qu’on sent que, de part et d’autre, on s’en sert comme un outil de diffusion d’un point de vue qui semble très arrêté et comme un outil de défoulement, déplore Mme Charest. C’est très émotif, ce qu’on vit. C’est même très irrespectueux par moments. Mais ce n’est pas parce qu’on dispose d’un crayon qu’on peut l’utiliser n’importe comment.»

Le miroir grossissant et déformant des médias sociaux amplifie également le côté spectaculaire des manifestations quotidiennes.

«Aujourd’hui, on peut observer la société du spectacle en direct, de façon continue, décrit Mme Charest. Avant, les gens qui faisaient une manifestation, aussitôt les caméras reparties, les gens retournaient chez eux. Aujourd’hui, ils restent parce que les médias sociaux et même les médias traditionnels restent. On dirait qu’il n’y a plus de fin. Le spectacle n’a plus d’heure de tombée.»

Le conflit étudiant occupe un vaste espace médiatique

Chez Influence Communication, une entreprise qui collige des statistiques sur la couverture médiatique, Jean-François Dumas voit aussi les médias sociaux comme un «amplificateur et un multiplicateur de phénomènes. Comme un perron d’église moderne».

À un point tel, avance-t-il, que «le poids de la nouvelle [dans un média traditionnel] peut être multiplié jusque par 19 quand les médias sociaux s’en emparent».

Le conflit étudiant, selon ses chiffres, est le quatrième événement en importance couvert par les médias québécois depuis 2001, après le tremblement de terre en Haïti, les attentats du World Trade Center et l’élection de Barack Obama. Et sa part dans l’espace médiatique augmente encore d’une semaine à l’autre, précise M. Dumas. Les thèmes abordés, par contre, ont changé. Le fond du débat, les droits de scolarité, n’occupent plus que 4% de la couverture du conflit, alors que 90% va à la loi spéciale et à la violence, regrette-t-il.

Si le conflit social devient fait divers ou objet de dispute sans fin dans les médias sociaux, il faudra chercher les responsables ailleurs qu’à la Coalition large de l’Association pour une solidarité syndicale étudiante, répond Julien Royal, responsable de l’animation des réseaux sociaux pour l’association.

«On n’est pas blancs comme neige, bien sûr que, des fois, on hausse le ton, mais on est plus calmes et plus respectueux que beaucoup d’autres dans le débat», dit-il, ajoutant que son groupe fait «du bon travail pour éviter les dérapages» et pour recentrer le débat autant que possible.

Évidemment, au début du conflit, les interventions des associations dans les médias sociaux étaient plus posées, plus informatives et davantage axées sur le nerf de la guerre, les droits de scolarité.

Mais «il n’y avait pas non plus d’arrestations massives», pointe-t-il. «On est rendus dans une situation particulière, […] on vit une crise politique intense. […] Et si le ton monte à l’Assemblée nationale, si le ton monte dans la rue, il va monter sur les réseaux sociaux», soulève M. Royal.

Pour suivre le conflit sur Twitter: #ggi (grève générale illimitée), #loi78, #manifencours, #casserolesencours, @mesrq (Mouvement des étudiants socialement responsables du Québec).

http://techno.lapresse.ca

La méditation modifie l’organisation du cerveau


La méditation serait une activité qui a mon avis serait profitable pour tous. Avec les études et l’imagerie (les scanners) permettent de mieux comprendre ce qui se passe dans le cerveau qui s’avère positive
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La méditation modifie l’organisation du cerveau

 

Photo vgstudio – Fotolia.com

Agence QMI

 

MONTRÉAL – La pratique de la méditation de pleine conscience modifie l’organisation du cerveau, selon une étude menée par des chercheurs de l’Université de Montréal.

Cette recherche révèle que cet entraînement de l’esprit aurait une influence sur le réseau cérébral par défaut chez des personnes ayant une longue expérience de la méditation, et ce, même lorsqu’elles sont au repos.

Les différences constatées sur le plan cérébral indiqueraient que la méditation favorise la concentration et la réflexion de manière plus objective par rapport à soi.

«Nous avons étudié le cerveau de 13 adeptes de méditation ayant plus de 1000 heures d’entraînement et celui de 11 débutants», a expliqué Véronique Taylor, première auteure de cette recherche. «Les participants demeuraient quelques minutes dans le scanneur et on leur demandait de ne rien faire», a-t-elle poursuivi.

Ces analyses ont permis aux chercheurs de repérer le réseau cérébral par défaut des sujets, c’est-à-dire un ensemble de régions s’activant au repos, lorsque la personne n’effectue aucune activité particulière.

Ce réseau est associé à la rêverie, aux pensées relatives à soi lorsque nous ne faisons rien.

Les résultats indiquent une plus faible synchronisation entre les cortex préfrontaux ventro-médian et dorsomédian.

«Le fait que ces zones sont moins interreliées montre que ces personnes réfléchiraient sur elles-mêmes de façon plus objective», a souligné la chercheuse.

Par ailleurs, plus les participants avaient de l’expérience en méditation, plus cette connexion était faible.

Les résultats de ces travaux ont été publiés dans la revue scientifique Social Cognitive and Affective Neuroscience Advance Acces

http://sante.canoe.ca