Mes rides


Je retiens de ma mère, j’ai des rides, mais pas autant que ceux de mon âge, comme la plupart de mes frères et soeurs bien que je suis contente de ce fait, il faut quand même voir  chaque ride qui apparaît sont des marques de l’histoire d’une vie, alors pourquoi avoir recours a divers moyens pour les faires disparaitre
Nuage

 

Mes rides

 

Accumuler de la jeunesse est un art
“Laissez-moi mes rides, j’ai mis toute une vie pour les obtenir”.

Anna Magnani

Ce garçon de 6 ans est devenu multi-millionnaire sur YouTube


Depuis l’âge de 3 ans, les parents de cet enfant le filment à chaque fois qu’il reçoit un cadeau. Il fait des critiques sur les jouets et sur le cinéma. En un an, sa chaîne de vidéo a gagné 11 millions de dollars.
Nuage

 

Ce garçon de 6 ans est devenu multi-millionnaire sur YouTube

 

Le Saviez-Vous ► Quel est le plus vieil arbre du monde ?


Après avoir vu l’arbre le plus grand au monde, voici l’arbre le plus vieux. Avant pour savoir l’âge d’un arbre, on le coupait pour calculer les cernes d’un arbre. Le hic, c’est que l’arbre ne pouvait pas vivre plus longtemps. Aujourd’hui, la technique est le carottage ce qui laisse l’arbre en vie, même si l’âge est approximatif. Il y a aussi le carbone 14 qui peut donner le nombre d’années à un arbre grâce à ses racines. Il y a des arbres qui ont eu leur jeunesse avant J.C. Un temps que la pollution, les guerres n’étaient pas aussi désastreux pour l’environnement. Et l’arbre le plus vieux … serait en Suède avec plus de 9 mille ans
Nuage

 

Quel est le plus vieil arbre du monde ?

 

Baptisé le vieux Tjikko, cet arbre est un épicéa (Picea abies) de Suède âgé de plus 9.550 ans. © Leif Kullman

Les scientifiques connaissent plusieurs spécimens d’arbres individuels les plus vieux du monde mais des populations clonales ont des systèmes racinaires sont encore plus âgés.

Il n’est pas évident de déterminer l’âge d’un arbre autrement qu’en ayant recours à la dendrochronologie.

Cela implique d’avoir accès aux cernes de croissance de l’arbre, un par année, puis de les compter. La plus ancienne et la plus simple des méthodes pour y avoir accès consiste à abattre l’arbre. C’est une méthode un peu radicale pour satisfaire la curiosité humaine et désigner, à titre posthume, quel est « l’arbre le plus vieux du monde ».

Des pins de Bristlecone d’environ 5.000 ans

C’est pourtant ce qui a été fait au Prometheus en 1964, dans des circonstances encore floues, au cours d’une étude dendrochronologique sur le paléoclimat du Petit âge de glace. Cela a néanmoins permis de déterminer l’âge de ce pin de Bristlecone (Pinus longaeva) vénérable qui poussait dans le Nevada (États-Unis) : 4.844 ans environ. Cet âge n’est qu’une approximation puisque, comme c’est souvent le cas avec les arbres très vieux, les cernes les plus anciens ont disparu, l’arbre étant creux au niveau de la souche.

Ce fut à un autre pin de Bristlecone qu’échu le titre en 1964 : Mathusalem, qui était âgé de 4.842 ans en 2010. Cet arbre se trouve dans les montagnes blanches en Californie, mais sa localisation précise est tenue secrète pour le préserver des déprédations.

La détermination de son âge s’est faite toujours par dendrochronologie, mais par la méthode du carottage : le tronc a été foré pour prélever un cylindre de bois s’étendant de l’écorce jusqu’au centre de l’arbre. L’avantage de cette méthode est bien entendu de laisser l’arbre en vie, mais il est souvent difficile d’atteindre exactement le cœur de l’arbre et donc d’extraire les plus anciens cernes de croissance.

En 2013, un autre de ses congénères de la même région l’a détrôné : son âge a été estimé à 5.062 ans.

Un épicéa de 9.552 ans en Suède

Cet arbre pourrait être considéré comme le plus vieil arbre vivant nonobstant la découverte en 2008, en Suède, d’un épicéa (Picea abies) de 9.552 ans. Pour ce dernier, seules ses racines (analysées au carbone 14) sont si vieilles. Cette espèce est capable de se multiplier par marcottage, c’est-à-dire par enracinement de rameaux sans que ceux-ci ne se séparent du plant-mère. Au cours des siècles, alors que les plants-mères disparaissaient au bout de 600 ans environ, de nouveaux plants-filles se dressaient à partir du système racinaire originel.

Record absolu pour les populations clonales : 80.000 ans !

Si l’on considère les populations clonales d’arbres, dont chaque clone est considéré comme appartenant à un même organisme, alors la plus ancienne population pourrait être celle de peupliers faux-trembles (Populus tremuloides) de l’Utah, aux États-Unis. L’âge de cet organisme comptant environ 40.000 individus nommé Pando serait de 80.000 ans…

http://www.futura-sciences.com

L’armée américaine investit dans la manipulation génétique


En science, les découvertes peuvent avoir de bons côtés, mais du mauvais. Enrayer des espèces invasives, par le forçage génétique, me semble risqué, mais bon, celui d’enrayer par exemple les moustiques, la nature finira sûrement par trouver un autre vecteur pour que le virus se propage et changerait probablement l’écosystème, mais pire si l’armée l’utilise à des fins militaires.
Nuage

 

L’armée américaine investit dans la manipulation génétique

 

© Thinkstock.

Moyen d’éradiquer des moustiques tueurs? ou promesse de désastre? Le « forçage génétique », technologie capable d’éradiquer des espèces entières ?

 

Pour ses partisans, cette technique, qui consiste à modifier l’ADN d’êtres vivants, permettrait d’éliminer les espèces invasives décimant la vie sauvage dans les îles. Elle pourrait aussi venir à bout des moustiques porteurs du paludisme. Mais d’autres mettent en garde contre un risque de chaos écologique, et soupçonnent les arguments sanitaires de masquer des objectifs industriels et militaires.

A Montréal, les représentants de pays et experts se penchent sur la capacité désormais croissante de la science à manipuler les génomes. Un rapport doit être produit à destination des 195 Etats de la Convention. Parmi toutes ces techniques, le « forçage génétique » est encore peu connu, mais il a de puissants soutiens – notamment l’armée américaine via son Agence pour les projets de recherche de la Défense (DARPA) et la Fondation Bill et Melinda Gates – qui ont investi plusieurs centaines de millions de dollars dans ces recherches ces deux dernières années.

La Fondation Gates a payé cet été 1,6 million de dollars à la société de communication Emerging Ag pour mobiliser des chercheurs contre un projet de moratoire sur ces recherches porté par plus de 100 ONG.

« Le but était que nous nous rapprochions des décideurs politiques », a expliqué à l’AFP Isabelle Cloche, vice-présidente de la stratégie chez Emerging Ag.

Applications militaires?

Le forçage génétique permet à un gène d’être transmis entre générations. Si par exemple ce gène permet de ne produire que des mâles, une espèce peut se retrouver rapidement en déclin. Pour la première fois, cette technique a été identifiée comme pouvant sauver la faune menacée par des espèces invasives, dans une étude publiée en 2014 par Kevin Esvelt, du MIT. Mais aujourd’hui Kevin Esvelt estime qu’il a eu tort de susciter de tels espoirs, et que recourir au forçage génétique pour préserver la nature est trop dangereux.

« Vous ne devriez jamais concevoir et faire connaître un (tel) système, capable de se propager au-delà » de la région visée, dit-il à l’AFP.

Pour autant, il n’exclut pas un recours limité à cette technique pour d’autres objectifs, notamment contre certaines maladies. Maîtriser le génie génétique pour chasser les moustiques vecteurs du paludisme en Afrique est précisément l’objectif de Target Malaria, consortium de recherche soutenu par la Fondation Gates.

 « Imposer un moratoire sur des innovations aussi prometteuses à un stade aussi précoce de leur développement serait dommageable et irresponsable, » a réagi Target Malaria en décembre, quand les ONG ont lancé leur campagne.

Todd Kuiken, chercheur à la North Carolina State University et membre du groupe réuni à Montréal, abonde.

« D’un point de vue scientifique, imposer un moratoire général sur la recherche sur le forçage génétique n’a aucun sens à mes yeux », dit-il. « Vous ne pouvez rien apprendre si vous ne l’étudiez pas ».

Mais il rejette tout financement d’origine militaire. Quand son université a reçu 6,4 M de dollars de DARPA pour un programme visant les rongeurs invasifs, M. Kuiken s’est retiré.

Questions alarmantes

« Il est possible que le travail de DARPA tire le champ de la biologie de synthèse vers des applications militaires », souligne-t-il.

Des craintes partagées par Jim Thomas, aussi partie à la réunion de Montréal et membre de l’ONG ETC Group, qui suit l’impact des technologies émergentes et a obtenu une série d’emails et documents sur ce sujet grâce au « Freedom of Information Act » américain.

« Le fait que le développement du génie génétique soit aujourd’hui principalement financé et structuré par l’armée américaine soulève des questions alarmantes, » dit-il.

Mais selon un porte-parole de DARPA, l’approche de l’armée est avant tout préventive, face « aux risques posés par le développement rapide et la démocratisation des outils d’editing génétique ».

« Des applications – positives et négatives – pourraient venir de personnes ou Etats opérant hors de la communauté scientifique et des normes internationales, » a expliqué ce porte-parole, Jared Adams, par email à l’AFP, évoquant l’allocation par son agence de quelque 100 M de dollars à ce type de projets.

« Il appartient à DARPA de mener ces recherches et de développer des technologies capables de nous protéger contre de mauvais usages », a-t-il ajouté.

http://www.7sur7.be

Des aveugles pour détecter le cancer du sein


Des pays comme la Colombie n’ont pas toujours une technologie médicale adaptée. Le cancer du sein sans technologie, il est souvent difficile de soigner à temps. Grace a une technique d’un médecin allemand, des femmes aveugles peuvent détecter des nodules aussi petits que 8 mm. On sait que les non-voyants ou malvoyants doivent utiliser l’ouïe et le toucher pour s’orienter. Et grâce au toucher, ces femmes sont plus minutieuses que les médecins pour trouver ce qui cloche
Nuage

 

Des aveugles pour détecter le cancer du sein

 

LUIS ROBAYO VIA GETTY IMAGES

Une méthode qui a fait ses preuves.

Leidy s’est réveillée aveugle un matin de 2011. Francia n’y voyait déjà plus. Privées de la vue, ces femmes ont développé un autre sens : le toucher grâce auquel aujourd’hui en Colombie elles détectent des cancers du sein.

Leidy Garcia et Francia Papamija sont deux des cinq aveugles ou malvoyantes formées à Cali (ouest) pour prévenir cette pathologie cancéreuse, la plus répandue dans le pays avec 7000 nouveaux cas chaque année et 2500 décès.

Elles ont suivi en 2015 la méthode du médecin allemand Frank Hoffmann. Depuis une dizaine d’années, il argue que les non-voyants ont des facilités pour détecter les nodules – agglomérats de cellules – qui sont souvent le premier symptôme de la maladie.

« Les personnes atteintes d’un handicap visuel ont une sensibilité accrue, un sens du toucher développé qui leur permet de mieux distinguer les éléments » permettant un diagnostic, a déclaré à l’AFP le chirurgien Luis Alberto Olave, coordinateur du programme « Mains qui sauvent des vies » de l’hôpital San Juan de Dios à Cali.

Quelque 71 000 nouveaux cas de cancer du sein sont diagnostiqués chaque année dans le monde. La méthode du Dr Hoffmann, appliquée en Allemagne et en Autriche, est arrivée jusqu’en Colombie, avec le soutien de la banque de développement de l’Amérique latine (CAF).

Cinq femmes âgées de 25 à 35 ans, dont une de nationalité mexicaine, ont été sélectionnées. Elles ne devaient présenter aucun problème vasculaire ou neurologique pouvant altérer leur sensibilité. Puis elles ont été formées comme auxiliaires d’examens tactiles. Depuis, elles ont reçu plus de 900 patientes.

Vaincre préjugés et méfiance

« Nous combattons un préjugé selon lequel parce que nous avons un handicap nous ne pouvons penser ou être autonomes », a souligné Francia, 35 ans, qui a perdu la vue suite à un décollement de rétine à l’âge de sept ans.

Les responsables de l’hôpital de Cali se sont rendu compte que les examens effectués par ces femmes donnent de « meilleurs » résultats que ceux suivant la procédure habituelle.

« L’examen clinique qu’elles réalisent est plus élaboré, dure plus longtemps. Cela génère chez les patientes une sensation de confort qu’elles n’avaient pas avec un médecin traditionnel », a ajouté le Dr Olave.

Alors qu’une femme qui s’autoexamine peut détecter des nodules de 15 à 20 mm et un médecin de 10 mm, les auxiliaires aveugles en détectent de plus petits, de 8 mm.

Leidy a presque totalement perdu la vue il y a six ans. Sa carrière d’ingénieure en topographie s’est arrêtée du jour au lendemain à cause d’une thrombose cérébrale qui l’a rendue aveugle de l’oeil gauche et a gravement atteint le droit.

« Les personnes qui voient bien se laissent guider par ce qu’elles voient. Moi je me guide au toucher et à l’ouïe », explique cette jeune brune de 26 ans.

Leidy palpe les seins de ses patientes en se guidant avec un ruban jaune et rouge, qui comporte un motif en relief à chaque centimètre pour situer les éventuels nodules.

Lorsqu’elle détecte une masse suspecte, elle la signale au médecin qui, selon les cas, peut ordonner des analyses supplémentaires pour confirmer ou non un cancer. L’examen initial dure jusqu’à 45 minutes contre 10 pour la méthode traditionnelle.

Francia comme Leidy racontent que les patientes sont parfois curieuses, d’autres méfiantes. Certaines ne leur adressent même pas la parole, d’autres leur racontent leur vie.

Source d’emplois

« Leur toucher est si précis. En réalité, je suis épatée parce qu’elles font preuve d’un grand professionnalisme », estime l’une d’elles, une commerçante de 42 ans.

« Ils ont trouvé quelque chose, mais le médecin a dit que c’était seulement un ganglion enflammé », ajoute cette mère de deux enfants.

Avant de se former à cette méthode de diagnostic, Francia et Leidy étaient sans travail, comme 62 % des 500 000 handicapés visuels en Colombie, soit sept fois plus que la moyenne de la population dans ce pays de 48 millions d’habitants, selon l’Institut national des aveugles.

Le Dr Olave estime que c’est une source d’emplois pour les non et malvoyants et il espère pouvoir débuter une nouvelle formation au premier trimestre 2018.

« Dans des pays en développement, dont l’accès aux technologies de diagnostic est parfois limité », l’examen manuel « revêt une grande importance », explique-t-il.

Ses deux auxiliaires entendent de leur côté démontrer qu’elles peuvent sauver des vies et que c’est la société qui les traite comme des invalides.

Francia souligne qu’elle veut vivre « comme une personne normale » et l’exprimer de ses deux mains fines et salvatrices.

http://quebec.huffingtonpost.ca

Des produits de santé naturels peuvent poser des risques pour la santé Selon Santé Canada.


Les produits de santé naturel«SmartBrain Formulations Serotonin Support» qui opère sous les noms Robert Lamberton Consulting, Cutting Edge Naturals et Cutting Edge Nutraceuticals seraient insalubre et peuvent causer des problèmes de santé Santé Canada demande à ceux qui utilisent leurs produits de cesser immédiatement
Nuage

 

Des produits de santé naturels peuvent poser des risques pour la santé

Selon Santé Canada.

  •  

GETTY IMAGES/ISTOCKPHOTO

Lili Monette-Crépô
Journaliste

Cosmetic section with conditioners, shampoo and hair treatment in store

Santé Canada a émis un avis à propos du produit de santé «SmartBrain Formulations Serotonin Support».

Mercredi, l’institution fédérale a élargi son avis pour inclure tous les produits vendus par l’entreprise parce qu’ils peuvent présenter des risques graves pour la santé. L’entreprise opère aussi sous les noms Robert Lamberton Consulting, Cutting Edge Naturals et Cutting Edge Nutraceuticals.

Les produits de ces compagnies ont été fabriqués dans des conditions insalubres et les ingrédients ont été entreposés dans des contenants non scellés et dans un endroit non homologué par Santé Canada. Les produits présentent un risque de contamination par E. coli, ce qui peut causer plusieurs problèmes de santé comme des crampes d’estomac, des vomissements ou de la diarrhée.

Santé Canada a depuis saisi tous les produits et l’équipement de fabrication sur le site.

Les produits et les formulations personnalisées des compagnies sont voués à une variété de problèmes de santé et ont été mis en vente en ligne ou par courriel.

Les gens qui détiennent des produits d’une de ces marques chez eux sont priés d’en cesser l’utilisation. Ceux qui en ont consommé par inadvertance sont encouragés à signaler les effets indésirables des produits à Santé Canada en composant sans frais le 1-866-234-2345 ou en faisant une déclaration en ligne, par la poste ou par télécopieur.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Un oiseau d’Europe fait le voyage jusqu’au Nouveau-Brunswick


Un oiseau qui doit se sentir seul au monde quand il s’est retrouvé loin de ses congénères d’Europe, on atterrissant au Nouveau-Brunswick. Heureusement, qu’il est adapté à l’hiver. Il pourra sans doute survivre
Nuage

 

Un oiseau d’Europe fait le voyage jusqu’au Nouveau-Brunswick

 

THE CANADIAN PRESS/HO-PETER GADD MANDATORY

Une grive draine a été observée pour la première fois samedi dernier à Miramichi.

Le Nouveau-Brunswick accueille ces jours-ci un oiseau rare. Littéralement.

Une grive draine a été observée pour la première fois samedi dernier à Miramichi, et ce passereau plus familier avec les boisés d’Europe a décidé de passer l’hiver au Nouveau-Brunswick.

Selon l’ornithologue amateur Peter Gadd, qui l’a découverte dans un arbre sur sa propriété, il s’agit du premier signalement en Amérique du Nord d’une grive draine, un oiseau plutôt commun en Europe. M. Gadd et sa femme Deana participent activement à un programme d’observation et de signalement des oiseaux, une tâche facilitée par les mangeoires installées sur leur propriété.

En apercevant le nouveau visiteur, l’ornithologue amateur a tout de suite réalisé qu’il s’agissait d’une visite rare. Puisque la grive draine ressemble un peu à un merle d’Amérique — les deux passereaux sont de la même famille et du même genre —, M. Gadd a envoyé une photo à des collègues amateurs plus expérimentés pour confirmer l’identité du rare voyageur.

La grive draine a élu domicile dans un sorbier d’Amérique chez les Gadd, et la nouvelle s’est rapidement répandue dans la communauté des ornithologues. Les trois premiers jours, plus d’une centaine d’amateurs d’oiseaux sont venus l’observer.

Selon M. Gadd, la grive a peut-être été séparée de sa volée avant de dériver vers le Canada à cause des forts vents et des intempéries.

Il rappelle que ce passereau est très jaloux de sa réserve de nourriture — il a déjà pris en chasse des merles d’Amérique. La grive est par ailleurs plutôt résistante au froid: elle devrait donc pouvoir survivre à l’hiver. Après tout, elle a déjà traversé l’Atlantique Nord, note M. Gadd.

http://quebec.huffingtonpost.ca/