Quand on doit oublier des évènements difficiles, des fois, il faut faire les changements qu’il faut pour s’épanouir
Nuage
Changer de livre
Il ne faut pas seulement tourner la page, il faut parfois changer de livre
Inconnu
Quand on doit oublier des évènements difficiles, des fois, il faut faire les changements qu’il faut pour s’épanouir
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Changer de livre
Il ne faut pas seulement tourner la page, il faut parfois changer de livre
Inconnu
Un chien et un guépard sont connus quand ils étaient petits. Le guépard à subir une opération pour ses pattes antérieures ce qui a permis à ce félin de courir 100 km/h. Le chien a toujours été là pendant la convalescence. Ils sont inséparables. Je trouve juste dommage que l’animal sauvage soit dans un zoo.
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Un chiot et un bébé guépard font connaissance étant tout bébés – à l’âge adulte ils restent inséparables
Un objet devenu anodin, de toutes formes pour faire un ou plusieurs trous sur le papier ou autres matériaux : la perforatrice. Cette histoire a débuté en Allemagne, puis des designers américains ont créé plusieurs types de perforatrices
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On découvre l’histoire de ce petit outil de bureau qu’est la perforatrice. Des Américains redesigneront à deux reprises l’objet, mais l’idée première revient à un Allemand, Frederich Soennecken, qui crée la première perforatrice en 1886.
Friedrich Soennecken qui crée la première perforatrice en 1886
L’histoire et les origines de la perforatrice sont assez méconnus du grand public. Les historiens ont relevé deux brevets donnés à des hommes pour un outil métallique capable de faire des trous dans le papier.
La traditionnelle poinçonneuse de documents a beaucoup évolué à travers l’histoire pour créer des produits fonctionnant avec des piles de papier, des plus petites perforatrices réalisant des trous aux formes définies et des perforateurs qui placent trois trous à la fois dans une feuille de papier.
Friedrich Soennecken
C’est une inventeur allemand qui réalisa le design de la première perforatrice. Frederich Soennecken créa un type d’outil de bureau capable de réaliser des petits trous dans le papier. Il déposa alors un brevet en Allemagne et fut même récompensé le 14 novembre 1886. Il avait alors appelé la machine « Papierlocher fur Sammelmappen » et le dispositif était simplement appelé « perforatrice ».
Son invention a amené des designers d’autres pays, comme les États-Unis, à travailler sur une meilleure version de l’outil Le premier brevet américain pour une perforatrice a été donné à Benjamin Smith, un homme travaillant dans le Massachusetts.
Le bureau des brevets américain a par la suite enregistré plusieurs brevets pour de nouvelles perforatrices depuis l’année 2000. L’un d’entre eux utilise une plaque de pression et des anneaux empilés qui permettent à la perforatrice de perforer à travers des piles de papiers plus facilement, sans avoir a exercé une pression trop forte manuellement. Une autre perforatrice utilise des leviers manuels qui permettent à l’utilisateur de changer la taille de l’espacement des trous. Ce design est utilisé par des usines telles que Swingline et Leverhand.
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C’est pire que pire ! Les Britanniques sont forts pour communiquer par textos entre les membres d’une famille qui sont à la maison voir même dans la même pièce pour éviter des disputes ou simplement par paresse. C’est quand même ridicule si c’est un mode de communication alors que le dialogue est primordial dans un couple et avec les enfants
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SHUTTERSTOCK / FABIANA PONZI
Par paresse, pour éviter une dispute ou simplement pour se faire entendre.
Par « paresse » ou pour éviter une dispute, le Britannique moyen envoie quelque 10 000 messages par an à des membres de sa famille… situés à seulement quelques mètres, au sein du foyer, révèle une étude publiée jeudi.
« Est-ce que tu peux éteindre la télé? », « Qu’est-ce qu’il y a pour le dîner? » ou encore « tu viens au lit? » sont quelques-uns des textos et messages les plus envoyés dans ce cadre, selon une enquête menée en ligne en décembre auprès de 2 000 familles britanniques par Broadbandchoices, service de comparaison de fournisseurs d’internet haut débit au Royaume-Uni.
« Selon l’enquête, les mères sont les plus grandes responsables de ces communications par messages au sein de la maison, envoyant des demandes régulières telles que: ‘éteins la lumière’, ‘arrête la TV » ou simplement ‘au LIT!' », est-il expliqué dans un communiqué.
Pour 16% des 2 000 familles interrogées, envoyer un message est la seule façon de se faire entendre par leurs enfants, et s’ils se lancent dans une conversation face à face, cela se terminera en dispute.
Une famille interrogée sur quatre affirme que communiquer par texto ou messagerie instantanée est « simplement amusant et ludique ».
Parmi ces nombreux messages, le Britannique échange notamment en moyenne 96 messages incluant une photo et 100 emojis chaque mois avec des gens se trouvant dans le même foyer.
« Les téléphones portables étant désormais une extension semi-permanente de nous-mêmes, il n’est pas surprenant de voir que les gens s’envoient des textos dans la même pièce », estime Vix Leyton, expert en matière de consommateurs pour Broadbanchoices. Ce comportement s’explique par la « paresse » ou « pour aborder un sujet sensible », selon lui.
Dans le top 3 des messages les plus envoyés au sein des foyers britanniques, le romantique « Je t’aime », le pragmatique « Le dîner est prêt » et le très britannique « Peux tu m’apporter une tasse de thé? ».
Le plus ancien mystère naval en Australie vient d’être découvert dans les eaux de la Papouasie-Nouvelle-Guinée. C’est un sous-marin qui avait disparu lors de la Première Guerre mondiale. Il reste maintenant à comprendre le naufrage de ce sous-marin
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L’épave a été retrouvée à plus de 300 mètres de fonds dans la zone de sa disparition.
Agence France-Presse
Sydney
Le plus ancien mystère de l’histoire militaire de l’Australie vient d’être résolu avec la découverte de l’épave du son premier sous-marin, retrouvé plus d’un siècle après sa disparition au large des côtes de la Papouasie-Nouvelle-Guinée, ont annoncé les autorités jeudi.
HMAS AE1, le premier des deux sous-marins de Class E construits pour la Marine royale australienne, s’était volatilisé le 14 septembre 1914 près des îles Duke of York, avec à son bord 35 membres d’équipage britanniques, australiens et néo-zélandais.
Cette perte fut la première d’un submersible allié pendant la Première guerre mondiale et sa disparition constituait le mystère naval le plus ancien de l’histoire de l’Australie.
L’épave a été retrouvée à plus de 300 mètres de fonds dans la zone de sa disparition par la 13ème expédition lancée à ses trousses, avec l’aide du Fugro Equator, un bâtiment de recherches également utilisé par l’Australie pour tenter de traquer le vol MH370 disparu de Malaysia Airlines.
«Après 103 ans, le plus ancien mystère naval de l’Australie a trouvé sa conclusion», a déclaré à la presse la ministre de la Défense Marise Payne.
«C’est l’une des découvertes les plus significatives de l’histoire maritime de l’Australie. La perte de l’AE1 en 1914 fut une tragédie pour notre nation qui prenait alors son envol».
Mme Payne a espéré que la découverte de l’épave permettrait de comprendre les causes du naufrage.
Le sous-marin avait été armé en février 1914 à Porstmouth, dans le sud de la Grande-Bretagne, et avait rejoint Sydney en mai.
Mme Payne a déclaré que son gouvernement était en contact avec les autorités de Papouasie pour conserver le site et organiser des commémorations en mémoire des disparus.
On va commencer à entendre parler de Caesar et de Dragonfly issus de la NASA. Caeasar va étudier la comète Churyumov-Gerasimenko et Dragonfly, c’est un drone qui va scruter différents sites de Titan. Peut-être, les scientifiques trouveront des réponses sur la formation de la Terre, océan et la vie qui en a émergé. Cela est prévu vers 2020
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Les scientifiques pensent que Titan pourrait contenir un océan d’eau sous une épaisse croûte de glace et que la vie pourrait y exister.
PHOTO AP
Agence France-Presse
Washington
La NASA a annoncé mercredi avoir retenu deux concepts d’exploration robotique du système solaire parmi douze soumis par différentes équipes scientifiques: l’un porte sur l’exploration d’une comète et l’autre sur l’envoi d’une sonde vers Titan, la plus grosse lune de Saturne.
Mais l’agence spatiale américaine devra, à l’issue d’études plus poussées, choisir entre l’un ou l’autre de ces deux finalistes en 2019 pour développer une mission d’exploration qui sera lancée au milieu des années 2020.
«Ces deux projets d’exploration cherchent à répondre à plusieurs des plus grandes questions dans notre système solaire», a précisé Thomas Zurbuchen, responsable des programmes scientifiques à la NASA.
La première de ces deux missions, baptisée «Caesar» (Comet Astrobiology Exploration SAmple Return), vise à collecter des échantillons du noyau de la comète Churyumov-Gerasimenko pour les rapporter sur la Terre.
Ils pourraient révéler comment l’origine de la formation de notre planète, des océans et de la vie terrestre.
Les comètes sont constituées de matériaux provenant d’anciennes étoiles et de nuages interstellaires qui remontent à la naissance du système solaire, il y a cinq milliards d’années.
De ce fait, ce sont des témoins précieux du passé.
Quant à la seconde mission, «Dragonfly», il s’agit d’une forme de drone capable d’explorer l’habitabilité de dizaines de sites sur Titan, lune dotée d’une épaisse atmosphère, de lacs et de rivières de méthane liquide à sa surface.
Les scientifiques pensent que Titan pourrait contenir un océan d’eau sous une épaisse croûte de glace et que la vie pourrait y exister.
La mission retenue sera la quatrième sélectionnée par la NASA dans le cadre de son programme «New Frontiers», doté d’un budget de quelque 850 millions de dollars.
Ces prédécesseurs sont la mission New Horizon, qui a survolé Pluton en 2015, Juno, sonde en orbite autour de Jupiter, et OSIRIS-REx, vaisseau qui doit prélever des échantillons sur l’astéroïde Bennu en 2023 pour les ramener sur Terre.
Les autres projets du programme «New Frontiers» portent sur l’étude de Saturne, de Vénus ou d’astéroïdes autour de Jupiter.
Deux de ces projets viennent également d’être retenus par la NASA pour faire d’objet d’un plus grand développement technologique: les sondes «Enceladus Life Finder» et «Venus In situ Composition Investigations» ou Vici.
La première est conçue pour capter des indices d’une activité biologique dans le geyser géant qui jaillit d’Encelade.
Quant à Vici, ce serait le premier vaisseau robotique de la NASA à explorer Vénus en trois décennies. Venus Express de l’Agence spatiale européenne (ESA) est le dernier vaisseau à avoir étudié de près cette planète, entre 2006 et 2014, avant de se retrouver à cours de carburant.
On dit que l’idiotie ne tue pas, ce n’est pas toujours vrai ! C’est de la folie que le conjoint de cette fille lui a proposé tout cela pour devenir des stars sur You Tube
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Monalisa Perez
PHOTO AGENCE FRANCE-PRESSE
Une Américaine de 20 ans a plaidé coupable d’avoir tiré à bout portant sur son petit ami tandis qu’il serrait contre son torse une encyclopédie, croyant que le livre arrêterait les balles.
Monalisa Perez a plaidé coupable d’homicide involontaire et a accepté de purger une peine de six mois d’emprisonnement. La peine doit encore être confirmée par un juge du Minnesota en début d’année prochaine, ont rapporté mardi des médias locaux.
Pedro Ruiz, 22 ans, avait convaincu en juin sa petite amie de lui tirer dessus tandis qu’il se protégeait avec un livre épais. Le couple aspirait à devenir des stars d’internet et espérait que la vidéo fasse décoller leur chaîne YouTube.
«Pedro et moi allons probablement enregistrer l’une des vidéos les plus dangereuses jamais tournées», avait écrit la jeune femme le jour même sur Twitter. «SON idée, pas la MIENNE».
Le jeune homme, qui a reçu une balle dans la poitrine, est mort sur le coup, un drame filmé par les caméras GoPro qu’il portait.
Selon la police, Ruiz aurait montré à la jeune femme une autre encyclopédie, pénétrée mais pas traversée par une balle, pour lui prouver que le livre le protégerait.
Selon l’accord passé avec les procureurs, Monalisa Perez purgera trois mois de prison par période d’un mois sur une durée de trois ans, puis les trois autres mois restant en résidence surveillée, a rapporté le Minneapolis Star Tribune.
Le couple, parents d’une fillette de trois ans, avait créé une chaîne sur le site YouTube, «La MonaLisa», sur laquelle ils racontaient leur vie quotidienne.
Au moment du drame, Monalisa Perez était enceinte de leur second enfant.
Quand il y a danger potentiel, on voit des oiseaux s’envoler en groupe. Certains émettent des sons, et les autres ? Il semble que certaine plume joue un rôle dans le signal de danger. Tout dépendant de la vitesse de l’envol et son imperceptible répété donne l’alerte à un groupe d’oiseau
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La colombine longup est une espèce de pigeon qui vit en Australie.
Shutterstock.com/ChameleonsEye
En battant des ailes rapidement durant son envol en cas de danger, le pigeon australien émet un bruit qui alerte les autres oiseaux.
Lorsqu’un oiseau s’envole en cas de danger, ses congénères décollent en général à sa suite. Certaines espèces lancent un cri d’alarme, mais ce n’est pas toujours le cas. Le mouvement ou le bruit de l’envol serait-il le signal ? D’après Trevor Murray, de l’université australienne, à Canberra, et ses collègues, un bruit caractéristique des ailes peut être interprété comme un signal de danger, au moins dans le cas de la colombine longup (Ocyphaps lophotes), un pigeon australien.
Les chercheurs ont montré que la huitième plume primaire de ce pigeon émet deux sons, l’un à une fréquence de 1,3 kilohertz lorsque les ailes montent et l’autre à 2,9 kilohertz lorsque les ailes descendent. Cette alternance de notes est répété à la vitesse des battements de l’aile. Les chercheurs ont enregistré cette séquence et l’ont jouée à des pigeons en modulant la vitesse. Si le son est joué normalement, les oiseaux s’envolent ; s’il est ralenti (comme si l’oiseau s’envolait en absence de danger), les oiseaux ne s’enfuient pas.