Laissons nos préjugés de côté et apprenons à respecter les gens autour de nous, peut importe leur statut social, leur race, leur croyance
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Respect
Tout le monde est important et doit être traité avec compassion et respect
Inconnu
Laissons nos préjugés de côté et apprenons à respecter les gens autour de nous, peut importe leur statut social, leur race, leur croyance
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Respect
Tout le monde est important et doit être traité avec compassion et respect
Inconnu
C’est une bonne pub pour Amazon mais c’est une bonne idée ! Rob Bliss veut aider des sans-abris simplement en utilisant son smarphone. Il est allé voir des sans-abris et demander ce dont ils ont besoin. Un coursier est apparue devant un sans-abris pourtant un colis contenant ce que l’homme avait demandé plus tôt.
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Personnellement, je n’aurais pas voulu vivre pendant le Moyen-Âge, les femmes n’avaient pas le choix du mari, du nombre d’enfants et de choix de carrière
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Les femmes du Moyen Âge n’avaient pas une vie simple. Majeures dès l’âge de 12 ans, leur futur était tracé en fonction du lieu où elles habitaient et de leur rang. Dans tous les cas, elles étaient inévitablement destinées au mariage et à l’éducation des enfants.
Chez les nobles, les femmes apprennent très tôt l’art de la couture et de la broderie. Elles sont souvent confiées à un monastère pour y parfaire leur éducation et devenir ainsi de futures bonnes épouses dévouées. À la campagne, les jeunes filles restent auprès de leur famille, et aident aux tâches ménagères et aux champs. Passé un certain âge, elles s’occupent également de préparer les repas et d’éduquer les enfants.
Les femmes du Moyen Âge, des mères avant tout
Que ce soit à la ville ou à la campagne, dans les familles riches ou les familles pauvres, le mariage est toujours arrangé. Majeures dès l’âge de 12 ans, les femmes se marient donc très vite, et sont parfois même fiancées avant 10 ans. Mais avec les guerres et les épidémies, il arrive fréquemment qu’elles soient veuves à 20 ans et mères de plusieurs enfants.
Dans l’aristocratie, les femmes ne s’occupent pas forcément de leurs enfants à temps complet. Elles sont en effet souvent secondées par des nourrices ou des domestiques qui se chargent de les langer, les baigner ou les nourrir. Il arrive que des précepteurs soient aussi sollicités pour parfaire leur éducation.
En ville, il arrive que les femmes travaillent dans des petits commerces ou dans d’autres familles, en tant que servante ou lingère, pour subvenir à leurs besoins.
L’analgésie congénitale peut paraitre une mutation génétique intéressante. Imaginez ne jamais avoir de douleur physique ! En fait, la douleur est nécessaire pour notre protection. C’est une mutation qui est rare et ce qui est vraiment plus rare c’est que cette mutation s’échelonne depuis 3 générations en tout 5 personnes d’une même famille. Si un se fait mal et ne fait pas une inspection à chaque fois, il peut avoir de graves complications
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Christophe Da Silva
Source: Brain, Top Santé
La famille Marsili, originaire de Sienne (en Italie) est atteinte d’une mutation génétique rare.
Depuis trois générations, la famille Marsili (la grand-mère de 78 ans, la fille de 52 ans et les trois petits-enfants de 24, 21 et 16 ans) ne ressent aucune douleur physique.
« Par exemple, Letizia (52 ans) s’est cassé l’épaule en faisant du ski, mais a ensuite continué à skier durant toute la journée puis est rentrée à la maison. Elle ne l’a fait vérifier que le jour suivant. Ce trouble particulier pourrait bien être le cas d’une seule famille », indique le biologiste moléculaire James Cox de l’University College London en Angleterre.
ZFHX2
Les chercheurs de l’Université de Sienne et de l’University College de Londres ont étudié ce cas particulier. L’état de la famille Marsili s’appelle « analgésie congénitale ». Elle est atteinte d’une mutation génétique rare dont le gène a été baptisé ZFHX2, indique Top Santé.
« Quand nous saurons précisément comment cette mutation génétique provoque l’insensibilité à la douleur et le rôle des autres gènes impliqués, nous pourrons inhiber l’expression du gène ZFHX2 afin de créer de nouvelles thérapies », conclut Anna Maria Aloisi, chercheuse à l’Université de Sienne et auteure de l’étude publiée dans la revue Brain.
Pour une fois que ce n’est pas une sentence bonbon. Même s’il ne fera jamais toutes ces années car, il mourra probablement bien avant. Il ne nuira plus aux enfants
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Par RédactionThe Associated Press
PENSACOLA, Fla. — Un pédophile américain qui a violé un garçonnet de trois ans à de multiples reprises a été condamné à trois peines de prison à vie, plus 495 ans.
Un jury de la Floride a reconnu l’homme de 22 ans coupable de 36 accusations de pédophilie mardi. Le juge John Miller lui a alors imposé trois peines de prison à vie consécutives, auxquelles il a ajouté 495 années d’incarcération.
Les procureurs affirment que l’individu a photographié et filmé les agressions pendant deux mois, en 2016. Il a été dénoncé par sa femme, qui a trouvé les images sur son téléphone portable.
Elle a témoigné contre lui mardi. Elle a dit aux jurés avoir reconnu son mari et l’enfant.
Deux autres hommes qui avaient communiqué avec l’agresseur au sujet des photos et des vidéos sont eux aussi derrière les barreaux.
Lors de la reproduction des poissons, une espèce d’acoupa ne passe pas inaperçue. Les mâles font tellement de bruit qu’ils pourraient occasionné des problèmes d’audition auprès des phoques, otaries et dauphins. Cette particularité d’être bruyant provoque aussi la surpêche et risque d’être en situation de danger
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Cynoscion arenarius du golfe du Mexique | Wikimedia commons
Repéré par Léa Polverini
Repéré sur The Washington Post
Le cynoscion othonopterus est le poisson le plus bruyant au monde. Du long de son petit mètre, il rivalise avec les baleines.
Au printemps, le delta du fleuve Colorado, dans le golfe de Californie, devient le théâtre d’orgies poissonnières assourdissantes. La période de reproduction fait se rassembler plusieurs millions de poissons, que les scientifiques appellent une «masse de frai». Parmi eux se trouve le cynoscion othonopterus, une espèce d’acoupa, qui s’avère être l’espèce de poisson la plus bruyante au monde, en l’état des connaissances actuelles.
«Les niveaux de son produits par ce choeur de poissons sont suffisamment élevés pour causer une perte d’audition temporaire sinon permanente chez les mammifères marins qui s’attaquent à ce poisson», rapporte Timothy Rowell, chercheur à l’Université de Californie.
Un choeur de poissons aussi bruyant qu’un stade
Phoques, otaries et dauphins pourraient ainsi perdre leur audition à l’entente du bruit produit par la vessie natatoire de l’acoupa du golfe, semblable à celui produit par une mitraillette.
L’AFP rapporte ainsi qu’«un seul individu mâle de ce poisson de mer est alors capable de faire presque autant de bruit qu’une baleine alors qu’il mesure moins d’un mètre».
Si un seul poisson est capable d’émettre un son de 177 décibels, un choeur entier peut pousser jusqu’à 202 décibels.
Pour entendre le son cliquer ici
Ce bruit se réverbère sur les coques des bateaux de pêche, et peut être entendu jusqu’à la surface de l’eau. Alors que les poissons vont crescendo lors de la marée haute, cela crée une rumeur telle que celle d’un stade rempli de supporters. Rowell suppose que chaque poisson essaye de surpasser en volume son voisin, nageant à la surenchère.
Mais ce cri pourrait bien être le chant du cygne. Alors que les pêcheurs suivent l’acoupa à l’oreille le long du Colorado, l’espèce apparaît de plus en plus menacée. Au cours des cinq à dix dernières années, la taille des poissons a réduit de près de dix centimètres, et l’espèce est classée comme vulnérable par l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) à cause de la surpêche. Lors de la période de reproduction, près de 500 bateaux viennent ainsi pêcher jusqu’à deux millions d’acoupas dans cette zone.
Le nombre de poissons de cette espèce a pu être estimé à partir du bruit produit, et atteindrait les 1,55 million.
Peut-être à cause de l’ours Winnie, on peut imaginer un ours friand du miel, et cela ne date pas d’hier que l’ours à la dent sucrée. En Articque canadien, ils ont découvert un ours de plus de 3 millions d’années qui seraient probablement la première migration d’ours de l’Asie jusqu’en Amérique du Nord. Même à cette époque lointaine, ils aimaient les fruits sucrés qui ont causées des caries
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Représentation artistique d’un Protarctos abstrusus Photo : Musée canadien de la nature/Mauricio Antón
L’analyse de restes fossilisés d’ours primitifs qui vivaient dans l’Arctique canadien au Pliocène montre que ces bêtes appartenaient à une espèce proche des ancêtres des ours modernes et qu’elles appréciaient déjà la nourriture sucrée.
Explications.
Un texte d’Alain Labelle
Ces ossements fossilisés ont été mis au jour sur une période de 20 ans par des paléontologues canadiens à partir du site fossilifère de l’île d’Ellesmere, mieux connu sous le nom de Beaver Pond.
Ils ont ensuite été analysés par l’équipe canadienne et des collègues américains du Musée d’histoire naturelle du comté de Los Angeles.
Les paléontologues ont ainsi établi qu’il s’agissait d’ours de l’espèce Protarctos abstrusus, un proche parent des ancêtres des ours modernes, à l’exception du panda géant. Cette espèce vivait en Arctique il y a environ 3,5 millions d’années.
Les dépôts de tourbe analysés comprenaient également des plantes fossiles indicatrices d’une forêt humide de type boréal ainsi que d’autres fossiles, notamment des poissons, un castor, de petits carnivores, des chevrotains et un cheval tridactyle.
Beaucoup de caries
L’équipe de recherche a trouvé de nombreuses traces de caries sur les dents fossilisées des deux spécimens.
Ces individus souffraient en fait d’une affection que les humains connaissent bien! Natalia Rybczynski, paléontologue au Musée canadien de la nature
La présence de caries dentaires montre que les infections buccales ont une longue histoire évolutionnaire chez les animaux. Elles laissent également croire que ces ours avaient une alimentation contenant beaucoup de sucre, qui provenait probablement de baies.
« La consommation d’aliments riches en sucre, comme les baies, pour se préparer à hiberner est une stratégie de survie qui s’est mise en œuvre tôt dans l’évolution des ours », explique Natalia Rybczynski.
C’est la première et la plus ancienne occurrence documentée d’un régime riche en calories chez l’ours primitif, lequel est vraisemblablement lié à la nécessité d’emmagasiner du gras en prévision des hivers arctiques rigoureux. Xiaoming Wang, Musée d’histoire naturelle du comté de Los Angeles
Remonter dans le temps
Les chercheurs ont réussi à établir que l’origine du Protarctos abstrususremonte à celle d’ours éteints provenant de l’Est asiatique.
Il s’agit de l’occurrence la plus septentrionale d’un ours primitif, et ce fossile donne une idée de ce à quoi pouvait ressembler l’ancêtre des ours modernes. Xiaoming Wang, Musée d’histoire naturelle du comté de Los Angeles
Cette bête était un peu plus petite que l’ours noir moderne, avec une tête plus plate et une dentition présentant une combinaison de traits primitifs et évolués, ce qui confirme un caractère transitionnel.
« L’ours d’Ellesmere revêt une grande importance, car il laisse à penser que la capacité d’exploiter les forêts les plus septentrionales et les plus inhospitalières de la planète n’est pas une innovation des grizzlis et des ours noirs modernes, mais qu’elle a pu caractériser la lignée des ursidés depuis son origine », poursuit Natalia Rybczynski.
Selon les chercheurs, ces fossiles représentent l’une des premières migrations de l’Asie vers l’Amérique du Nord, mais ils ne sont probablement pas ceux d’un ancêtre direct de l’ours noir moderne d’Amérique.
Ces fossiles sont conservés dans les collections du Musée canadien de la nature à Gatineau, au Québec.
Le détail de ces travaux est publié dans les Scientific Reports.
Quelle bonne idée d’utiliser Facebook en plus des moyens conventionnels pour rechercher des photos d’une espèce d’araignée babouin et de les assembler sur un site pourvu à cet effet. Cela aide a mieux les connaitre et prendre conscience que ces araignées sont en danger de disparition. C’est peut-être une des utilités qu’on pourrait trouver sur d’autres insectes, animaux ou autres avec les réseaux sociaux
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Des chercheurs scrutent les publications Facebook pour faire avancer l’arachnologie
Facebook est un outil formidable pour aider à l’étude des araignées babouins.
© FRANCK LODI/SIPA
Par Anne-Sophie Tassart
Dans une étude, deux chercheurs sud-africains expliquent que certaines publications sur Facebook peuvent permettre d’en apprendre plus sur les araignées babouins.
« Est-ce que quelqu’un peut me dire ce que c’est et si c’est dangereux ? » : régulièrement sur les réseaux sociaux, des vidéos ou des photos d’insectes font le buzz. Interrogé par un média, un spécialiste finit par apporter la réponse salvatrice.
Des chercheurs de l’Université de Pretoria, en Afrique du Sud, ont voulu tirer profit de ce phénomène. Dans une étude publiée en novembre 2017 dans la revue Insect Conservation and Diversity, (qui s’intéresse également aux araignées qui, rappelons le, ne sont pas des insectes) ils expliquent que la surveillance des groupes Facebook est un véritable plus pour leurs recherches sur les « araignées babouins », un groupe d’espèces appartenant à la famille des Theraphosidae.
Des volontaires pour scruter les groupes Facebook, à la recherche de photos d’araignées
Si les internautes n’ont pas forcément l’occasion d’aller en Afrique pour observer les spécimens qui intéressent les chercheurs, en de rares occasions, ils tombent nez à nez avec l’un d’entre eux et « quand elles sont vues, ces araignées provoquent de fortes réactions parce-qu’elles sont larges, poilues, et considérées comme terrifiantes », notent les biologistes dans l’étude.
Pourtant, ces animaux sont bien moins dangereux qu’il n’y parait. En effet, aucun cas de morsure mortelle n’a à ce jour été rapporté. Si une morsure est possible, elle est généralement assez bénigne.
Souvent, la première réponse d’une personne est de photographier le spécimen et de charger l’image sur un réseau social pour savoir s’il est dangereux. Nous avons été capables d’utiliser cette réaction en chaîne – la peur, la photographie, et enfin la publication sur un réseau social – pour récupérer les données recueillies par le public ».
Des volontaires du Baboon Spider Atlas – un site qui se trouve être la plus grosse base de données sur ces insectes dans le sud de l’Afrique avec 2126 photos d’araignées dont 2048 ont pu être identifiées – scrutent alors les groupes Facebook à la recherche de photos d’araignées babouins. S’ils en trouvent une, ils invitent l’internaute à aller lui-même sur le site pour l’enregistrer (les particuliers comme les scientifiques étant invités à contribuer en envoyant leur photo et en indiquant le moment et le lieu de l’observation). Sinon, ils demandent l’autorisation pour faire la manipulation eux-même.
© Baboon Spider Atlas
« En juillet 2016, le nombre d’enregistrement provenant de particuliers à surpasser ceux provenant des sources traditionnelles et cela continue d’augmenter rapidement », se félicitent les biologistes.
Ils souhaitent donc étendre l’expérience à d’autres réseaux sociaux tels qu’Instagram et Twitter et développer une application mobile. Mais ils ne délaissent pas pour autant les méthodes plus conventionnelles comme « l’épluchage » des derniers articles scientifiques sur le sujet ou encore le prélèvement d’échantillons sur le terrain.
Mieux connaître ces araignées pour mieux les protéger
Pour les chercheurs, faire participer les particuliers à l’étude des araignées babouins est le meilleur moyen d’en apprendre rapidement sur ces dernières afin d’améliorer leur protection. En effet, ces arachnides sont menacés par la destruction de leur habitat mais aussi par leur capture. Car si la plupart des espèces d’araignées babouins sont marrons ou grises, certaines sont très colorées et servent alors d’animaux de compagnie. Normalement, des permis sont nécessaires pour avoir le droit de capturer, de faire se reproduire et de vendre ces animaux mais les braconniers ne s’encombrent bien sûr pas avec cette règlementation.
Pour les biologistes, la participation des internautes a donc un double bénéfice : elle permet de récolter un nombre incroyable de données en peu de temps et leur offre l’occasion de sensibiliser le public sur ces espèces fragiles.