Les petits-enfants


Je suis fière d’être grand-maman de 7 petits enfants pour l’instant. Ce que je remarque, avoir ce statut est complètement différent que d’être parent même, je dirais pour ma part qu’il est beaucoup plus valorisant, car nous n’avons pas les mêmes devoirs que d’être parent
Nuage

 

Les petits-enfants

 

Les petits-enfants sont la récompense d’avoir été parent

Inconnu

Chaton à deux visages


En Afrique du Sud, une chatte a donné naissance à 3 chatons, sauf qu’un des petits avec deux museaux, trois yeux et deux bouches. Cette malformation congénitale est appelée duplication craniofaciale ou Diprosopie. Sa maitresse n’a pas voulu sous les conseils du vétérinaire l’euthanasiée, mais plutôt lui laisser la chance de vivre. Ce n’est pas le premier chat né avec deux visages, un chat a quand vécu 15 ans, c’est un âge honorable pour un félin
Nuage

Chaton à deux visages

Le Saviez-vous ► Mythes et vérités : les poinsettias sont-ils vraiment toxiques?


A cette période de l’année, il y a beaucoup de fausses idées sur des faits divers, comme le poinsettias serait mortelle, les flocons de neige sans danger si on les laissent tomber sur notre langue, qu’on prend du poids pour quelques extras qu’on se permet …
Nuage

 

Mythes et vérités : les poinsettias sont-ils vraiment toxiques?

 

Par Lindsey TannerThe Associated Press

CHICAGO — Les poinsettias sont-ils vraiment toxiques? Les flocons de neige sont-ils aussi purs que de la neige vierge? Est-ce que de se gaver pendant le temps des Fêtes fait vraiment engraisser?

Voici quelques informations pour départager mythes et vérités.

LES POINSETTIAS

Ces plantes éblouissantes ne sont pas aussi dangereuses qu’on le raconte souvent. Toucher la plante peut provoquer une irritation mineure de la peau, et mastiquer ses feuilles peut donner la nausée, mais les poinsettias ne sont mortels ni pour les humains ni pour les animaux. Les poinsettias appartiennent à la même famille que les plantes dont on extrait le latex, donc des irritations cutanées peuvent survenir chez ceux qui sont allergiques au latex.

La réputation mortelle de la plante découlerait du décès possible d’un enfant de deux ans à Hawaï, en 1919. Une pédiatre américaine qui s’intéresse aux mythes des Fêtes, la docteure Rachel Vreeman, évoque l’étude de 20 000 incidents concernant des poinsettias et rapportés à des centres antipoison: aucun n’a provoqué de décès ou de problème grave, et 95 pour cent d’entre eux n’ont nécessité aucune intervention médicale.

—————–

LA NEIGE

Les flocons se forment quand l’humidité en altitude élevée s’agglutine autour de particules de poussière ou de suie. On peut maintenant ajouter les bactéries à la liste. Un microbiologiste de l’Université de la Floride, Brent Christner, a découvert que des microbes trouvés couramment sur les plantes forment souvent le «coeur» de flocons tombés sur les zones peuplées, les sommets dénudés et même l’Antarctique.

Est-ce qu’on devrait donc cesser d’attraper des flocons avec notre langue? M. Christner dit qu’on retrouverait probablement dans la neige 100 fois moins de bactéries que dans la même quantité d’eau embouteillée.

«Il y a plusieurs choses autres que la neige dont on devrait s’inquiéter qui vont nous rendre malades», assure-t-il.

——————

LA DÉPRESSION

Ces choses qui rendent le temps des Fêtes joyeux peuvent aussi être source de stress.

La «dépression des Fêtes» est bien réelle pour ceux qui seront privés de la présence d’un proche, et l’hiver peut provoquer une dépression passagère appelée «troubles affectifs saisonniers».

On l’associe au manque de soleil et les chercheurs croient que les gens qui en souffrent produisent trop de mélatonine, l’hormone du sommeil. Le problème toucherait 6 pour cent des Américains et le pourcentage serait plus élevé en Scandinavie. Mais contrairement à la croyance populaire, le nombre de suicides augmente au printemps, pas en hiver, sans qu’on comprenne pourquoi.

———————-

LENDEMAIN DE VEILLE

Oubliez ça: consommer encore plus d’alcool le lendemain ne vous guérira pas de votre gueule de bois. Un expert de l’alcoolisme, George Koob, explique que cette stratégie offrira possiblement un soulagement passager, mais que vous vous sentirez encore plus mal une fois l’effet dissipé. L’alcool déshydrate, donc on peut soulager certains symptômes en buvant beaucoup d’eau ou d’autres liquides non alcoolisés. Les experts mettent l’emphase sur la prévention: le plus simple est de ne pas trop boire en partant.

——————

ATTENTION À LA PÂTE NON CUITE

Même pas besoin de la manger: la simple manipulation de la pâte — à biscuits ou autre — non cuite peut rendre malade, puisque les oeufs crus et même la farine utilisés pour la confectionner pourront avoir été contaminés par la bactérie E.coli. La cuisson tue généralement les bactéries.

—————–

LA PRISE DE POIDS

La vérité concernant la prise de poids dépend de votre vision du monde: votre verre (de champagne) est-il à moitié plein ou à moitié vide? Une étude évoquée très souvent rappelle qu’on considère habituellement que l’Américain moyen engraissera d’un peu plus de deux kilos entre l’Action de grâce et le Nouvel An. Mais les auteurs ont constaté que la prise de poids moyenne était inférieure à 450 grammes. D’autres études parlent d’une prise de poids d’environ 900 grammes, à peine assez pour le ressentir dans vos pantalons. Un dessert de plus ou un festin des Fêtes ne vous condamne pas. Le problème, dit la docteure Vreeman, est qu’on finit par en faire une habitude, et que les kilos s’accumulent année après année.

http://journalmetro.com

La vérité sur les régimes sans gluten


Le régime gluten a conquis bien des gens, c’est même devenue une mode alimentaire. Le hic, ceux qui souffrent vraiment à cause du gluten est réellement très peu et ceux-là souffre de la maladie coeliaque ou une intolérance au gluten. Alors les autres qui optent pour cette mode peuvent découler à des troubles alimentaires et de santé. Si les personnes croit dure comme fer que c’est mieux sans gluten, ils ont avantage de bien s’informer pour éviter des carences alimentaires
Nuage

 

 

La vérité sur les régimes sans gluten

 

 

Une intolérance au gluten peut causer des flatulences.

KATARZYNA WOJTASIK/SHUTTERSTOCK

On a beaucoup entendu parler des bienfaits du régime sans gluten, mais sont-ils faits pour tout le monde? Pas forcément, disent les experts.

PAR SYDNEY LONEY

La mode du «sans gluten»

Dans son livre, Scared Wheatless, Mary Jo Eustace raconte son voyage au pays du sans gluten comme une tentative désespérée de sauver sa fille (alors âgée de huit ans) de l’alopécie, une maladie auto-immune qui entraîne la perte des cheveux. Quand le stress que lui causait la maladie de sa fille l’a rendue malade à son tour, sa nutritionniste lui a suggéré de mettre toute la famille au régime sans gluten afin de combattre l’inflammation.

«À ce stade, se souvient-elle, je me disais simplement : “Si ça aide ma fille à se sentir mieux, je vais essayer!”»

C’était il y a deux ans et, non seulement les cheveux de sa fille ont repoussé, mais Mary Jo Eustace se sent mieux que jamais. Ses recettes sans gluten, dont beaucoup sont présentées dans son livre Scared Wheatless, ont même conquis son fils. Alors, le gluten était-il responsable des problèmes de santé de sa famille?

«Qui peut le dire? demande-t-elle. Je sais simplement que mieux on s’alimente, mieux on se sent. Pour nous, ça valait le coup de laisser tomber le gluten.»

De plus en plus de Canadiens partagent ce sentiment. Nous sommes environ 10 millions à acheter des produits sans gluten alors que seulement 2,5 millions de personnes au pays doivent le faire pour des raisons médicales – ce qui fait que plus de sept millions de personnes le font parce qu’elles ont entendu dire que ces produits sont plus sains et ont suivi la tendance.

«Le succès de l’alimentation sans gluten s’explique en partie par sa simplicité, explique Desiree Nielsen, diététicienne à Vancouver. Si vous partez de l’idée qu’un type d’aliments est mauvais, il vous suffit ensuite de l’éviter. Vous vous dites simplement : “C’est sans gluten, donc je peux le manger.”»

Le gluten est-il dangereux?

Le gluten, une protéine que l’on trouve dans le blé, le seigle et l’orge, agit comme une colle qui permet aux aliments de s’agglomérer et de garder leur forme. À peine 1% de la population est intolérante au gluten – ce sont les gens souffrant de la maladie cœliaque – et environ 6% montrent à son égard une certaine sensibilité.

«Je pense que le plus grand malentendu qui se perpétue au sujet du gluten, c’est la confusion entre la maladie cœliaque et la sensibilité au gluten, observe le Dre Talia Zenlea, gastroentérologue au Women’s College Hospital de Toronto. Nombreux sont ceux qui, parce qu’ils ont des symptômes liés à la consommation de gluten, croient souffrir de la maladie cœliaque, même si biopsies et tests sanguins leur disent le contraire.»

La maladie cœliaque est une maladie auto-immune caractérisée par l’inflammation du petit intestin – inflammation déclenchée par le gluten. Beaucoup de personnes souffrant de la maladie cœliaque n’ont aucun symptôme.

«Viennent ensuite ceux qui souffrent de ballonnements, de maux d’estomac, de confusion ou de problèmes de transit intestinal tels que la diarrhée, et qui se sentent beaucoup mieux quand ils éliminent le gluten de leur alimentation, note la Dre Zenlea. Certaines personnes ont des symptômes qui sont souvent associés à la maladie cœliaque même si leurs tests sanguins, les biopsies du petit intestin et les marqueurs génétiques ne sont pas positifs. On parle alors de “sensibilité non cœliaque liée au gluten”.»

Le sans gluten est-il pour tout le monde?

«Certaines personnes associent le régime sans gluten avec une saine alimentation, dit la Dre Zenlea. Mais même s’il est vrai que certains grains sans gluten sont très sains, beaucoup de gens oublient qu’un cupcake sans gluten reste un cupcake.»

Mais aussi longtemps que vous adoptez une alimentation équilibrée et riche en nutriments, la Dre Zenlea assure que manger avec ou sans gluten ne fera aucune différence si vous n’y êtes pas sensible. Et pour les gens qui mangeaient beaucoup d’aliments transformés avant de passer au régime sans gluten, nul doute que leur nouvelle manière de s’alimenter sera plus saine, surtout s’ils mangent davantage de fruits et de légumes, ajoute Desiree Nielsen. Le problème continue-t-elle, c’est que beaucoup de personnes continuent de manger des aliments transformés en grande quantité, la seule différence étant qu’ils sont sans gluten.

«On ajoute à ces produits beaucoup d’émulsifiants et de gommes afin de lier et fixer les molécules de gras et à les agglomérer en l’absence de gluten, explique Desiree Nielsen. Malheureusement, ces produits peuvent vous faire vous sentir encore plus mal, surtout si vous avez déjà des problèmes digestifs

Et puis éliminer le gluten de son alimentation coûte cher. Des chercheurs de l’université de Dalhousie à Halifax ont calculé que les aliments sans gluten coûtaient 242% de plus que leur contrepartie avec gluten.

Malgré cela, Desiree Nielsen n’observe aucun relâchement dans l’engouement pour les produits sans gluten.

«Ce régime bénéficie encore et toujours d’un énorme a priori favorable en termes de santé», constate-t-elle.

Le plus grand danger, c’est que les gens poussent trop loin leur aversion du gluten, ce qui peut mener à des désordres alimentaires tels que l’orthorexie, un trouble alimentaire caractérisé par la volonté obsessionnelle de n’ingérer que de la nourriture saine et d’éliminer toutes les autres.

«Quand vous commencez à éliminer certaines choses, il est facile de développer une obsession quant aux aliments qui ne font pas partie de votre régime plutôt que ceux qui en font partie, ajoute la diététicienne. Si vous ne faites pas attention, vous pouvez vous retrouver avec un régime alimentaire dont tout a été exclu.»

Ce qui risque le plus de vous manquer si vous optez pour un régime sans gluten, ce sont les fibres, pourtant indispensables au bon fonctionnement de votre système digestif. Vous pourriez aussi développer une carence en vitamine B – indispensable aussi bien pour convertir les aliments en énergie que pour la santé de votre cœur – parce que les pains et les céréales à base de blé sont enrichis en vitamine B.

«Votre corps a besoin d’une certaine quantité de nutriments tous les jours, dit Desiree Nielsen, et vous ne les obtiendrez pas à moins d’avoir une alimentation variée.»

Pour compenser le manque possible de fibres et de vitamine B d’un régime sans gluten, elle recommande de vous régaler de sorgo, de millet, de quinoa et de sarrasin aussi bien que de poisson, de légumineuses et de fruit et légumes, surtout en feuilles.

Quel avenir pour les régimes sans gluten?

Un jour, on finira par trouver un moyen de soigner quiconque réagit mal au gluten, aussi légère cette réaction soit-elle. En juillet, des chercheurs de l’université d’Alberta ont créé un supplément à partir du jaune d’œuf de poulet qui empêcherait l’assimilation de la gliadine, un composé du gluten que les gens souffrant de la maladie cœliaque ont de la difficulté à digérer.

«Les anticorps neutralisent les composés toxiques du gluten dans les intestins, juste avant qu’ils aient été assimilés, explique Hoon Sunwoo, l’auteur principal de l’étude. Ce supplément aidera aussi les gens sensibles au gluten.»

Mais ce supplément doit encore subir des essais cliniques et, pour le moment, le régime sans gluten reste pour de nombreuses personnes la seule solution

 «Pas besoin que ce soit difficile, intimidant ou hors de prix», indique Mary Jo Eustace.

Il lui a fallu six semaines pour réussir à garnir son garde-manger d’aliments santé sans gluten et pour commencer à faire ses propres sauces (beaucoup de sauces soja et de vinaigrettes contiennent du gluten). Son pain de viande à la dinde et au quinoa est devenu un des plats préférés de la famille.

« Sans planification, ça ne fonctionnera pas, dit-elle. Mais d’une certaine manière, ce principe s’applique à toute forme de cuisine.»

Le plus important, ajoute-t-elle, c’est d’obtenir l’aide d’un professionnel de la nutrition afin de vous assurer d’obtenir tous les nutriments dont vous avez besoin.

«Ce qu’il faut retenir, conclut-elle, c’est que si vous n’allez pas bien et que vous vous sentez mieux après avoir éliminé le pain et les pâtes de votre alimentation, alors pourquoi ne pas aller jusqu’au bout?»

http://selection.readersdigest.ca/

L’addiction aux selfies, une maladie mentale ?


Une addiction aux égoportrait est un trouble du comportement appeler sefitis A vrai dire les chercheurs ont commencé s’y interressé a cause d’un canular qu’une association psychiatrique aux États-Unis. Et il semble que malgré tout ce canular serait avéré être vrai
Nuage

 

L’addiction aux selfies, une maladie mentale ?

L'addiction aux selfies, une maladie mentale ?

L’addiction aux selfies, une maladie mentale ?

Quand le selfie devient une pratique obsessionnelle voire addictive on peut parler de « selfitis » selon une équipe de chercheurs. Ces derniers ont identifié les facteurs qui peuvent expliquer ce comportement.

Le selfie est devenu une pratique courante voire omniprésente sur les réseaux sociaux. Déjà accusé de favoriser les accidents voire des morts, il pourrait bien être l’objet d’une maladie mentale et plus précisément d’une addiction selon des chercheurs. Ces derniers, membres de l’Université de Nottingham Trent et de la Thiagarajar School of Management utilisent même un terme pour désigner cette manie obsessionnelle de toujours vouloir se prendre en photo: le selfite (selfitis).

Ils ont commencé à enquêter sur ce phénomène après un canular paru dans les médias en 2014 affirmant que ce dernier avait été classé comme un véritable trouble mental par l’American Psychiatric Association. Leur étude confirme maintenant l’existence de ce symptôme avéré de trouble mental et a développé une « échelle de comportement du selfite » qui peut être utilisée pour évaluer sa gravité. Cette dernière a été créée à partir de groupes de discussion avec 200 participants et a été testée auprès de 400 participants.

Toutes ces personnes vivent en Inde car ce pays compte le plus grand nombre d’utilisateurs de Facebook et le plus grand nombre de décès à la suite d’un selfie pris dans des endroits dangereux (76 morts sur 127 au niveau mondial). Les résultats, publiés dans l’International Journal of Mental Health and Addiction, ont confirmé qu’il existe trois niveaux d’addiction.

Le premier niveau appelé « borderline » concerne les personnes qui se prennent en photoau moins trois fois par jour, mais qui ne les publient pas sur les médias sociaux.Pour augmenter sa confiance ou attirer l’attention

Le deuxième niveau, « aigu », s’applique aux personnes qui se prennent en photo au moins trois fois par jour et qui les postent toutes sur les réseaux sociaux.

Enfin le niveau le plus sévère, « chronique« , défini une envie incontrôlable de se prendre en photos 24 heures sur 24 et de les afficher sur les réseaux sociaux plus de six fois par jour.

Pour définir quelles personnes entrent dans chaque catégorie, ces dernières étaient invitées à noter sur une échelle allant de 1 à 5 les affirmations mentionnées par l’échelle de comportement.

Il est par exemple mentionné que « partager mes selfies crée une saine compétition avec mes amis et collègues » ou encore « je gagne énormément d’attention en partageant mes selfies sur les médias sociaux ».

 Parmi les 20 énoncés proposés figurent aussi « quand je ne prends pas de selfies, je me sens détaché de mon groupe », « prendre des selfies modifie instantanément mon humeur » ou encore « je prends des selfies comme trophées pour de futurs souvenirs. »

En fonction des réponses des participants, les chercheurs ont pu identifier les six principaux facteurs à l’origine de cette addiction: augmenter sa confiance en soi, attirer l’attention, améliorer son humeur, se créer des souvenirs, augmenter sa conformité avec le groupe social et être socialement compétitif.

Les chercheurs indiquent que plus ces facteurs sont prévalents, plus le niveau de « selfitis » est élevé.

« Généralement, ceux qui présentent cette maladie souffrent d’un manque de confiance en eux, cherchent à s’intégrer et peuvent présenter des symptômes similaires à d’autres comportements potentiellement addictifs. », explique le Dr Janarthanan Balakrishnan.

Maintenant que l’existence de la maladie semble avoir été confirmée, les chercheurs espèrent que d’autres études seront menées pour mieux comprendre pourquoi certaines personnes développent ce comportement obsessionnel, et ce qui peut être fait pour les aider.

http://www.santemagazine.fr

Comment la grippe devient-elle létale ?


 

Une bonne grippe, c’est très inconfortable à vivre, mais notre corps se met en marche pour attaquer le virus. Une personne en santé s’en remet généralement. Parfois pour des gens affaiblis ont plus de difficultés de lutter et la grippe peut devenir encore plus grave et pourrait causer la mort
Nuage

 

    Comment la grippe devient-elle létale ?

      Comment la grippe devient-elle létale ?

      Comment la grippe devient-elle létale ?

      Une maladie à première vue banale peut évoluer de façon différente en fonction de la souche virale, de l’hygiène des lieux et de l’âge des personnes touchées.

      Au niveau mondial, les épidémies annuelles de grippe sont responsables d’environ 3 à 5 millions de cas de maladies graves, et de 250 000 à 500 000 décès, d’après l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Mais comment est-ce qu’une maladie à priori banale peut-elle tuer une personne ? Ce n’est pas la seule présence du virus qui entraîne la mort, mais une interaction complexe entre l’infection et le système immunitaire. Comme l’explique le site Live Science, le corps se tue en essayant de se guérir. 

      Le virus entre d’en l’organisme en passant par les yeux, le nez ou la bouche, et commence à se reproduire. La charge virale toujours plus importante déclenche une forte réponse immunitaire. Les globules blancs, les anticorps et les molécules inflammatoires essayent d’éliminer la menace. Les lymphocytes T attaquent et détruisent les tissus qui abritent le virus, notamment les voies respiratoires et les poumons, où il a tendance à s’installer. Chez la plupart des adultes en bonne santé, cette réaction fonctionne, et la maladie disparaît au bout de quelques jours ou semaines.

      Prévenir les complications

      Mais parfois, la réaction du système immunitaire est trop forte, détruisant ainsi tellement de tissus dans les poumons qu’ils n’arrivent plus à fournir suffisamment d’oxygène au sang, ce qui entraîne l’hypoxie et la mort. Dans d’autres cas, c’est une infection secondaire qui va profiter du système immunitaire affaibli pour se propager. La pneumonie bactérienne fait partie des complications fatales liées à la grippe, mais il peut s’agir également d’infections des sinus ou des oreilles, de l’inflammation du cœur, du cerveau ou des muscles, du syndrome de Reye, ou encore, du syndrome de Guillain-Barré. Certaines de ces infections peuvent toucher différentes parties du corps, entraînant un choc septique et endommageant ainsi plusieurs organes vitaux.

      Ce sont le type de souche de l’infection virale initiale, ainsi que la propreté des espaces où se trouvent les patients, qui vont influencer l’évolution de la maladie et la réaction de l’organisme. L’âge de la personne touchée est également déterminant. Les enfants et les personnes âgées, particulièrement vulnérables, sont les plus concernés par les complications liées à la grippe. La meilleure façon de prévenir cette maladie et limiter les nombreuses complications potentiellement mortelles est la vaccination pour les personnes à risque.

      Auteur:  Elena Bizzotto

      http://www.santemagazine.fr/

      Le syndrome de la tête qui explose, un trouble méconnu


      Un trouble du sommeil, assez déstabilisant quand cela arrive. Cela m’arrive de temps à autre depuis 2 ans environs. Un réveil brutal qui donne l’effroi surtout quand on est seul
      Nuage

       

      Le syndrome de la tête qui explose, un trouble méconnu

      Marie-Céline Ray

      Journaliste

      Ce syndrome au nom effrayant est peu connu et pourtant courant : il consiste à se réveiller en sursaut dans la nuit en ayant entendu un bruit fort, comme un objet tombant brutalement par terre, ou parfois en ayant vu un éclair de lumière.

      Connaissez-vous le syndrome de la tête qui explose ? Rassurez-vous, même s’il peut donner lieu à une belle peur, il n’a rien à voir avec une scène de film d’horreur. Ce trouble du sommeil se manifeste lorsqu’une personne s’endort ou se réveille et qu’elle entend un bruit fort. Dans une étude parue dans Cephalalgia, Brian Sharpless, de l’université Argosy en Virginie, a voulu en savoir plus à ce sujet. Comme le rapporte Live Science, il avait déjà trouvé dans des travaux précédents que 13,5 % des gens en faisaient l’expérience au moins une fois dans leur vie.

      Dans cette étude, 49 étudiants touchés par ce syndrome ont raconté leurs symptômes. Les expériences des patients étaient diverses, certains n’avaient connu qu’un épisode tandis qu’une personne en aurait connu 150. Mais il y avait des points communs. Par exemple, le bruit le plus souvent entendu était celui d’un objet qu’on laisserait tomber de haut. Ce pouvait être aussi une détonation, un bruit d’explosion ou de porte qui claque.

      Peur, tachycardie et éclairs de lumière

      Les patients ressentaient aussi souvent des symptômes comme de la peur, une tachycardie et des secousses musculaires. Un quart d’entre eux voyait un éclair de lumière. Seulement 10 % en auraient parlé à un médecin. Les épisodes avaient plutôt lieu lors d’une transition veille-sommeil et en dormant sur le dos.

      Les scientifiques ne savent pas quelle est la cause de ce phénomène. L’une des hypothèses les plus couramment envisagées est qu’il est lié à une partie du cerveau appelée formation réticulée, qui aide l’individu à s’endormir. La formation réticulée jouerait aussi un rôle dans un autre phénomène curieux, la paralysie du sommeil, au cours de laquelle l’individu se réveille en étant incapable de bouger.

      Pour Brian Sharpless, « s’endormir, c’est comme arrêter un ordinateur ».

      Le cerveau passe par plusieurs étapes dont l’une nécessite d’éteindre les neurones qui servent à entendre. Un patient souffrant du syndrome de la tête qui explose, au lieu d’éteindre ces cellules, les mettrait en marche ce qui fait qu’il entendrait un bruit puissant.

      https://www.futura-sciences.com

      Un plésiosaure vivait en Antarctique il y a 150 millions d’années


      Avec l’archéologie, il arrive souvent que les découvertes reculent de plusieurs milliers voir millions d’années la présence d’animaux de la préhistoire. C’est ce qui est arrivé avec le plésiosaure trouver en Antarctique. À l’époque de la dérive des continents, alors que l’Antarctique était relié à l’Afrique
      Nuage

       

      Un plésiosaure vivait en Antarctique il y a 150 millions d’années

       

      Représentation artistique des restes fossilisés découverts en Antarctique.

      Représentation artistique des restes fossilisés découverts en Antarctique.   Photo : Conicet

      Les restes fossilisés d’un reptile marin carnivore qui vivait il y a 150 millions d’années en Antarctique ont été mis au jour par une équipe de paléontologues argentins.

      Les ossements ont été découverts dans un nouveau gisement paléontologique situé à 113 kilomètres au sud-ouest de la station de recherche argentine de Marambio.

      À cet endroit, nous avons trouvé une grande diversité de [fossiles] de poissons et de mollusques, mais nous ne pensions pas trouver un plésiosaure aussi ancien. Soledad Cavalli, Centre national d’études scientifiques et techniques d’Argentine associé à l’Université de La Matanza

      La taille du reptile pourrait atteindre 12 mètres. Il avait un long cou et quatre nageoires.

      Cette découverte repousse de 80 millions d’années la présence de plésiosaures en Antarctique.

      À ce moment de l’ère jurassique, la température des océans était beaucoup plus élevée qu’aujourd’hui et la carte du monde était fort différente. La dérive des continents était bien enclenchée. En fait, l’Antarctique venait de se séparer de l’Afrique après avoir fait partie d’une grande plateforme commune avec l’Australie, l’Inde, Madagascar, l’Afrique et l’Amérique du Sud.

      Selon le paléontologue José O’Gorman, ce plésiosaure, en plus d’être le premier du genre découvert en Antarctique qui y vivait durant cette ère, apporte une preuve concrète de la dispersion de ces reptiles au moyen d’un passage qui existait entre l’Afrique et l’Antarctique.

      http://ici.radio-canada.ca