On dit souvent faites ce que je dis et non ce je fais … Alors que l’exemple est plus que la parole
Nuage
Donner l’exemple
Ne cherchez pas des gens qui vous donnent des conseils ;
regardez plutôt ceux qui vous donnent des exemples ..
Inconnu
On dit souvent faites ce que je dis et non ce je fais … Alors que l’exemple est plus que la parole
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Donner l’exemple
Ne cherchez pas des gens qui vous donnent des conseils ;
regardez plutôt ceux qui vous donnent des exemples ..
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Quand on claque des dents, c’est qu’il fait froid ! Le cerveau envoie des messages pour que notre corps se réchauffe dont la mâchoire
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Un coup de froid et notre corps tout entier se met à frissonner. Les dents sont notamment concernées puisqu’elles se mettent à claquer dès les premiers frimas. Il s’agit en fait d’un phénomène réflexe. Une réaction de défense de notre organisme face à des températures trop fraîches.
Lorsque le mercure baisse, notre corps voit lui aussi sa température diminuer. Il doit donc activer tout un processus pour se maintenir à 37 °C. Heureusement, notre organisme dispose de différentes stratégies pour conserver sa température interne.
Une réponse du cerveau au froid
D’une part, l’hypothalamus (qui est en quelque sorte le centre de contrôle de la thermorégulation) engage un processus de vasoconstriction. Les vaisseaux à la surface de la peau vont se rétrécir pour retenir la chaleur au niveau des organes vitaux.
Pour ce qui est du claquement de dents, il existe là aussi une explication. L’hypothalamus – toujours lui – va ordonner à certains muscles du corps de s’activer afin de réchauffer notre organisme.
Des claquements de dents dus à la contraction des muscles
Dans la mesure où notre visage est souvent exposé au froid, les dents qui claquent ne sont en fait que la manifestation de la contraction des muscles de la mâchoire.
Le phénomène ne doit pas être confondu avec le bruxisme, ce grincement des dents qui survient de manière involontaire, le plus souvent la nuit.
Les publicitaires font tout pour accrocher les consommateurs, Personnellement, je trouve que c’est une intrusion de vouloir d’observer nos réactions en améliorant les technologie pour savoir quelle forme de publicité que nous aimerions alors que le but premier est de vendre à tout prix
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© thinkstock.
Pourquoi acheter cette paire de chaussures ou ce nouveau smartphone? De plus en plus de publicitaires tentent de sonder l’inconscient des consommateurs pour deviner leurs comportements d’achat et mieux les aiguiller.
Pour ce faire, ils ont recours à des outils observant le mouvement des yeux et la reconnaissance des expressions faciales, interprétant un sourire ou une moue de dépit, ou encore qui détectent la transpiration et l’activité cérébrale. Ils pourraient à terme remplacer les traditionnelles enquêtes effectuées pour évaluer la réaction à un nouveau produit et les intentions d’achat.
« Ce n’est pas que les gens ne veulent pas vous dire, c’est en fait qu’ils ne peuvent pas dire pourquoi ils ont pris telle ou telle décision d’achat », souligne Jessica Azoulay, vice-présidente pour l’analyse de marché chez Isobar, une agence de publicité spécialisée dans le numérique.
Ces nouvelles techniques permettent de distinguer les facteurs rationnels des facteurs émotionnels en examinant l’activité cérébrale du consommateur.
Ils « permettent de capter différents types d’émotions et de les analyser très précisément seconde par seconde », ajoute Elissa
Moses, responsable des sciences neurologiques et comportementalistes auprès de la firme d’études de marché Ipsos.
« Les gens ne pourront pas vous dire ce qui les a énervés dans telle scène et amusés dans une autre mais nous le saurons grâce à la reconnaissance faciale », ajoute-t-elle.
Des pubs plus efficaces
Ces technologies permettent notamment de savoir si une marque conserve son aura auprès des consommateurs et de rendre les publicités plus efficaces en déterminant ce qu’il convient de mettre en valeur pour mieux vendre le produit.
« Il y a une danse qui se livre entre le conscient et l’inconscient », estime Elissa Moses, soulignant qu’en dernier ressort l’acte d’achat est, lui, conscient.
Certaines de ces techniques remontent aux années 1970 mais ont été améliorées avec les dernières évolutions technologiques. Des lunettes numériques permettent maintenant de suivre le mouvement des yeux lorsque quelqu’un regarde la télévision ou une vitrine et de détecter où son oeil se pose. Des capteurs sur la peau de la main mesurent les tressaillements et des techniques d’électroencéphalographie (EEG) lisent l’activité cérébrale.
Ces procédés permettent ensuite d’établir une « carte calorifique » avec des « points chauds » qui détectent quand l’attention d’un acheteur potentiel s’est fixée et sur quoi.
Millisecondes
Le géant des produits pharmaceutiques et d’hygiène Johnson & Johnson les a utilisés pour tester sur des milliers de consommateurs ses messages vantant les qualités de son antalgique Tylenol et leur réaction à l’utilisation de certains mots plutôt que d’autres pour mieux adapter le message. Les réactions ont été analysées à la milliseconde près, indique Eric Dolan, qui conduit ce genre d’études chez Johnson & Johnson.
L’entreprise Tivity Health y a également eu recours pour son programme de mise en forme « baskets d’argent » destiné aux seniors et a travaillé avec Isobar pour déterminer quel message était le mieux adapté au profil psychologique de ses membres potentiels. Plus de 1.000 seniors ont ainsi regardé une série d’images défilant rapidement et des mots associés à la dépense physique. En fonction de leur réaction, mesurée par des clics, cela a permis d’établir que cette population accordait de l’importance à l’exercice car il leur apportait autonomie et indépendance.
Ces thèmes ont ensuite été accentués dans les campagnes publicitaires de Tivity qui ont notamment mis en scène un grand-père faisant des pompes avec un bambin sur le dos. Le public a été plus réceptif à ces messages qu’à d’autres montrant des personnes âgées dans une piscine ou dans une salle de gym et mettant en exergue l’aspect grégaire de l’exercice.
« Nous étions un peu surpris », indique Elizabeth Rula qui dirige ce genre de recherches pour Tivity, en précisant que l’intention initiale était davantage de mettre en avant le caractère social du programme.
C’est triste que certaines personnes n’aient pas pu faire un bout chemin ensemble et qu’il était trop tard pour avouer les sentiments. Peut-être que cela aurait fait heureux .. ou pas
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Greenfield, Mass Police Department
GREENFIELD, Mass. — Une énigme a été résolue au Massachusetts grâce à la collaboration des abonnés de la page Facebook d’un service de police. Une lettre d’amour datée de 1944 a été récemment découverte derrière les murs d’une maison en train d’être rénovée.
Le Service de police de Greenfield a demandé, sur sa page Facebook, l’aide de la population afin de découvrir la trame derrière cette lettre écrite. La missive est datée du 19 avril 1944. Celui qui l’a rédigée s’est contenté de signer de son seul prénom Walter.
La lettre est adressée à une mademoiselle Betty Miller, de Greenfield. Dans la lettre, Walter ne fait rien pour dissimuler son affection. Il écrit:
«j’ai toujours pensé à toi plus qu’à toutes autres filles et je continue de le faire.»
Mademoiselle Betty est décédé, mais sa famille a été retrouvé. Sa soeur dit qu’elle n’a pas marié Walter, mais confie qu’elle a eu une vie très heureuse.
Manger en famille autour de la table, a peut-être tendance à disparaitre. Pourtant, cela aide vraiment aux enfants surtout s’ils peuvent discuter librement. Il semble plus que cela les rends moins agressifs, ils sont plus en forme et leur alimentation est meilleur
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Monkey Business Images/Shutterstock.com
Différents travaux ont déjà montré que le fait de manger en famille serait l’un des meilleurs moyens de favoriser une alimentation « santé » et équilibrée. Des chercheurs canadiens ajoutent que les repas familiaux participeraient largement au bon développement (physique et psychologique) des enfants.
Dans nos sociétés modernes, les repas pris en famille autour d’une table ne sont plus systématiques. Certains préférant faire déjeuner ou dîner leurs enfants en amont (parfois même devant la télévision). Pourtant, selon des chercheurs de l’Université de Montréal, nos bambins ont tout à gagner à manger avec le reste de la tribu.
Les scientifiques ont ainsi analysé les données concernant des petits suivis depuis l’âge de 5 mois dans le cadre de l’Étude longitudinale du développement des enfants du Québec. A partir de 6 ans, leurs parents ont commencé à indiquer si leurs repas se faisaient à table, en famille, ou bien seul devant la télévision… Enfin, lorsque l’enfant a atteint son dixième anniversaire, parents, enfants et enseignants ont délivré des informations sur les habitudes de vie de ces jeunes.
Plus en forme, moins agressifs
Résultat, ceux qui prenaient leurs repas en famille à 6 ans étaient en meilleure forme générale, avaient davantage d’interactions sociales et consommaient moins de boissons sucrées 4 ans plus tard. Ils étaient par ailleurs moins agressifs que certains de leurs camarades.
Pour les auteurs, « la présence des parents pendant les repas fournit probablement aux jeunes enfants une interaction sociale de première main. Ils peuvent ainsi discuter des préoccupations quotidiennes… Nos résultats suggèrent que les repas familiaux ne sont pas seulement des marqueurs de qualité de l’environnement familial, mais aussi des pistes pour améliorer le bien-être des enfants. »
Ainsi préconisent-ils que « les repas familiaux ne soient pas négligés dans les campagnes de santé publique visant à optimiser le développement de l’enfant ».
En Russie comme ailleurs, on mélange des races de chiens et les vendent comme si les chiens étaient de race pure. Les acheteurs déçus vont jusqu’à abandonné leur animal. Ce chien-ours est de toute beauté, dommage qu’on n’a pas su aimer sa différence après que des êtres humains aient joué à l’apprenti sorcier. Il semble difficile de le socialiser, il est toujours dans un refuge animal
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Crédits : Polina Kefer, Nom Dosh/VK.com
par Nolwenn Jaumouillé
Une tête d’ours sur un corps de chien, c’est l’étonnante morphologie dont a été doté par la nature Medvebaka – de medved, ours, et sobaka, chien, en russe.
L’animal a été secouru par le refuge de Nash Dom dans la ville de Chelyabinsk et a fasciné toute la Russie sur les réseaux sociaux, raconte le Siberian Times. Pour autant, le centre qui l’a recueilli cherche désespérément une famille d’accueil pour la pauvre bête.
Medvebaka serait un mélange entre un chow-chow et une autre race au long nez. Un phénomène assez fréquent chez les éleveurs de chiens de la région, qui vendent des animaux comme des « pures races » alors qu’ils le ne le sont pas.
Lorsque les bêtes grandissent, leurs maîtres découvrant avoir été dupés et « les jettent comme un jouet cassé », explique Polina Kefer, volontaire au Nash Dom.
Crédits: Polina Kefer, Nom Dosh/VK.com
À ses yeux et à ceux de ses collègues, c’est ce qui est arrivé au pauvre Medvebaka, qui tout angoissé semble avoir perdu confiance en l’humanité, comme en témoignent ses yeux tristes.
« Malheureusement il est si stressé qu’il se bat et mord en retour. Nous pensons que sa resocialisation mettra des mois avant d’être effective ».
Placé une première fois dans une famille, il tentait en permanence de s’échapper et ne montrait aucun intérêt à la relation humaine, il a donc été ramené au refuge.
Source : Siberian Times
Le refuge Pageau existe depuis 1986, situé à Amos, une initiative de feu Michel Pageau ancien trappeur à décidé de soigner et hébergé des animaux en difficultés. J’ai visité avec mes enfants, il y a quelques années, alors que Michel pour faire plaisir à mes gars est rentré dans la cage des loups. Bref, la famille perpétue le travail de leur père pour aider ces animaux dans le but quand cela est possible de les remettre en liberté
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On s’affaire ici à installer le collier émetteur à Hope, qui mesurait environ 5 pieds à l’épaule et pesait entre 300 et 400 livres.
©gracieuseté – Marie-Frédérique Frigon
Martin Guindon marti
FAUNE. Après avoir mis toutes les chances de son côté, le Refuge Pageau a libéré son premier orignal, le 20 novembre dernier.
Le Refuge remet de nombreux animaux en liberté chaque année, après les avoir soignés. Le cas de l’orignal est toutefois beaucoup plus rare. Il pourrait s’agir d’une première au Canada, selon ses propres recherches.
Le premier relevé démontrait qu’elle s’était déplacée, qu’elle explorait son territoire Félix Offroy
«À travers le temps, on a appris avec Michel (Pageau) qu’on était capable de sauver un orignal âgé d’un mois sans lui donner de lait. En général, les orignaux nous arrivent ici âgés de quelques jours à peine. Leur survie est alors impossible s’ils ne prennent pas le lait au biberon. Pour leur donner le biberon, il faut l’imprégnation de l’humain. Et une fois qu’ils sont imprégnés, on ne peut plus les remettre en liberté. On doit les garder ici en captivité, où ils nous aident à jouer notre rôle d’éducation. Ils ont une belle vie, mais pas celle qu’ils auraient eue en forêt», explique Félix Offroy, codirecteur du Refuge Pageau.
Une occasion en or
En revanche, un orignal âgé de plus de trois semaines peut généralement survivre en se nourrissant de branches et de moulée, comme l’a appris Michel Pageau au fil de ses années à côtoyé le majestueux animal. Et c’est avec ces connaissances en tête que Félix Offroy a fait construire un enclos pour cervidés de deux à trois hectares dans le secteur de réhabilitation du Refuge, lors du plan de consolidation, en 2011. L’occasion de l’utiliser s’est enfin présentée le 15 juin dernier.
«Ce matin-là, les agents de conservation de la faune ont reçu un appel pour une femelle orignal qui circulait en ville. Ils ne l’ont jamais vue, mais ils ont trouvé une jeune femelle orpheline d’environ un mois qui a figé en les voyant. Ils ont facilement pu nous l’apporter. On l’a immédiatement placée dans l’enclos pour voir si on ne pourrait pas la réchapper et lui éviter de rester derrière une clôture le restant de sa vie», raconte Félix Offroy.
Nourriture et protection
Le Refuge s’est substitué à sa mère, lui offrant de l’eau, à manger et une protection contre les prédateurs. Et pendant les cinq mois de sa captivité, Hope (comme l’a surnommée l’employé Carl Normandin) n’a jamais eu de contacts avec l’humain.
«On a passé l’été et l’automne à la nourrir comme un fantôme. Sans qu’elle ne nous voie ou ne nous entende. Pour la voir et nous assurer qu’elle allait bien, une caméra de chasse prenait des photos d’elle», précise Félix Offroy.
Un collier émetteur
Le Refuge a choisi de la libérer après la période de la chasse à l’orignal, dans un endroit où il y avait des ravages d’orignaux et loin de la route, question de mettre toutes les chances de son côté. Avec l’aide du vétérinaire Guy Fortin, ils l’ont anesthésiée le 20 novembre pour la sortir de l’enclos. Elle a ensuite été transportée vers son lieu de libération. De nombreux bénévoles ont été impliqués dans l’aventure.
«Avec la collaboration du ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs, on lui a posé un collier émetteur et une boucle à l’oreille pour l’identifier. L’objectif maintenant, c’est de voir si elle survit à l’hiver. On espère qu’elle va rencontrer d’autres orignaux», confie Félix Offroy.
Espoir et fierté
Le Refuge fonde beaucoup d’espoirs sur Hope (rarement un prénom aura été aussi bien choisi), qui fait sa fierté en ce moment.
«Si elle ne survit pas à l’hiver, il faudrait peut-être considérer de garder le veau jusqu’au printemps la prochaine fois. Ce projet fait vraiment notre fierté ici. L’objectif, c’est de perpétuer ça. On préfère toujours remettre les animaux dans leur milieu de vie après les avoir soignés», fait valoir Félix Offroy.