Des volutes marbrées s’enroulent à la surface de Jupiter


 

La sonde Juno a pris des photos de la planète gazeuse Jupiter. Cela donne de très belles photos, c’est même très artistiques
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Des volutes marbrées s’enroulent à la surface de Jupiter

 


Le projet Juno de la NASA a pour but de mieux comprendre Jupiter et la création de notre système solaire. Il a permis d’obtenir beaucoup de données sur cette planète géante.

La sonde a ainsi pu photographier de près la surface magnifiquement marbrée de cette planète gazeuse (ici en couleurs artificielles).

Plus d’images prises avec les caméras de Juno sont disponibles sur le site de la NASA.


Vous pouvez proposer vos propres versions éditées des images brutes de Juno sur
Mission Juno.

http://www.laboiteverte.fr

Le Saviez-Vous ► Congo: le crash de Filair provoqué par… un crocodile


Il y a toutes sortes de cause d’un crash avion, mais un crocodile, c’est inusité. Il faut dire que l’animal n’aurait pas dût se retrouver à bord de l’avion. Le crocodile et une personne on pu en sortir vivant, sauf que l’animal à été massacrer par les pillards
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Congo: le crash de Filair provoqué par… un crocodile

 

 

par François Duclos

Le crash d’un avion de la compagnie aérienne Filar en République Démocratique du Congo, qui avait causé la mort de 20 personnes en août dernier, 2010 avait causé la mort de 20 personnes  aurait été causé par un crocodile.

L’information incroyable est rapportée par le magazine Jeune Afrique: selon le rapport d’enquête, l’apparition surprise d’un crocodile vivant dans l’habitacle aurait provoqué la panique, tout le monde se précipitant vers l’avant de l’appareil qui est parti en vrille, s’écrasant près de l’aéroport de Bandundu et causant la mort de 20 des 21 personnes à bord.

Citant le rapport d’enquête officiel mais aussi le témoignage de l’unique survivante du crash, Jeune Afrique raconte comment un passager avait dissimulé dans son sac de sport un crocodile vivant qu’il espérait sans doute revendre. Mais alors que l’avion commençait sa descente vers Bandundu, l’animal se serait échappé de son sac, provoquant la panique de l’hôtesse de l’air qui s’est précipité vers l’avant de l’appareil, imitée par l’ensemble des passagers. Le déséquilibre brutal aurait causé un départ en vrille de l’appareil, vrille que le pilote (et propriétaire belge de la compagnie) Daniel Philemotte n’a pu maitriser. Le bimoteur Let L-410 Turbolet s’est écrasé sur une maison vide non loin de l’aéroport.

Une version qui contredit donc la première thèse évoquée après l’accident, celle de la panne sèche. Ironie de l’histoire, le crocodile serait sorti vivant du crash – pour être aussitôt tué et découpé à la machette par les pillards arrivés sur le site…

http://www.air-journal.fr/

Elle pensait adopter un chat Sphynx, mais a eu une très mauvaise surprise !


Acheter un animal via Internet est à nos risques et périls et ceux des animaux. Si on veut vraiment avoir une race spécifique, il existe des éleveurs certifiés pour éviter le plus possible d’être trompé et que l’animal subissent de la maltraitance. De plus, si on prend bien les renseignements on évite la prolifération des gens peu scrupuleux a vendre des animaux
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Elle pensait adopter un chat Sphynx, mais a eu une très mauvaise surprise !

 

Cherchant à adopter un chat sans poils, une femme originaire de Bawlf (Alberta) s’est récemment tournée vers un site de petites annonces. Elle est malheureusement tombée sur quelqu’un de malintentionné qui lui a vendu un chaton rasé.

C’est sur Kijiji, une plateforme de vente en ligne canadienne à l’image de Le Bon Coin, qu’Holly Rattray pensait pouvoir mettre la main sur la perle rare : un chat glabre. Très vite, un homme répondant au nom de Tim est entré en contact avec elle via son annonce postée en octobre dernier, lui proposant de lui vendre un chaton Sphynx, a rapporté CBC News. Mais il s’est avéré que ce dernier était en réalité un propriétaire/éleveur peu scrupuleux…

«Il semblait plutôt pressé de procéder à la transaction. Il était même prêt à ce que je lui donne 550 $ au lieu des 700 $ qu’il réclamait dans l’annonce», a-t-elle raconté.

Passant outre ce détail dans un premier temps, elle est rentrée chez elle avec l’animal. Puis quelques heures plus tard, elle a pris le temps de l’inspecter. Et là, stupeur : il était recouvert de petites blessures… à cause du rasage à blanc dont il venait d’être victime.

Un membre à part entière de la famille

«Ce chat était littéralement sans poils. Mon mari s’est aussi posé des questions, mais il a ensuite dit qu’il était impossible que quelqu’un puisse avoir rasé l’animal aussi bien», a-t-elle déclaré, choquée.

Et pourtant si, le jeune félin – qui n’était en réalité pas un Sphynx – avait bel et bien été mutilé pour y ressembler.

Si le chaton n’était pas exactement celui que le couple voulait, il a tout de même été adopté pour de bon par ce dernier. Le désormais baptisé Stripes a même déjà pu retrouver sa douce fourrure rousse… et une famille qui l’aime et le cajole. Toutefois, dès que possible, une plainte sera déposée contre le premier propriétaire du matou afin de l’empêcher de nuire de nouveau aux animaux.

Le trafic d’animaux doit cesser

Ce chat était-il issu d’un trafic ? Pour l’heure, la question peut se poser. Il faut savoir qu’après les armes et la drogue, les animaux représentent le troisième trafic le plus important au monde. Et pour cause, la vente de boule de poils rapporte. Par ailleurs, les éleveurs ne peuvent répondre à la demande de tous les nouveaux acquéreurs de chats et chiens qui, de leur côté, cherchent souvent à adopter un compagnon à moindre coût. C’est d’ailleurs ce dernier critère qui favorise – en partie – les imports d’animaux venus de l’étranger et souvent issus d’élevages peu scrupuleux et peu respectueux de leur bien-être.

https://wamiz.com

Ceux qui croient en Star Wars


Il y a toutes sortes de religions en ce monde. Et on en renie quelqu’un et on est adepte à une ou un mélange de d’autres, par exemple croire à l’astrologie, la numérologie, les anges et ne pas croire en Dieu. Alors préfère ceux créer pour le cinéma, la science-fiction. Est-ce une adoration, une manière de vivre ?
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Ceux qui croient en Star Wars

 

COURTOISIE

Le groupe Facebook «Temple of the Jedi Order» compte 15 900 inscrits.

Au moment où Star Wars, épisode VIII: les derniers Jedi prend l’affiche, Présence a rencontré des francophones adeptes du jediisme –considéré comme une religion hyperréelle par certains universitaires – afin de discuter de leurs croyances basées sur la célèbre saga de science-fiction.

Contrairement à ce que l’on pourrait penser, Ludovic ne se promène pas dans la rue avec un sabre laser ou une cape. Au contraire. Habillé sobrement, il vit le jediisme de cette manière, tout en l’assumant complètement, même s’il préfère taire son nom de famille pour ne pas nuire à sa vie professionnelle.

«Je l’affiche, j’en parle; les gens me regardent un peu bizarrement. Mais il faut bien des gens qui posent la première pierre. Il y a bien eu Jésus, et les gens l’ont suivi. Je ne prie pas Dieu, ni Yoda, c’est plus une philosophie de vie et des valeurs à transmettre, comme la vérité, l’honnêteté. J’aime Star Wars, mais je ne suis pas un fan fini; je n’ai pas de Faucon [ndlr: nom d’un vaisseau spatial] dans ma chambre», illustre ce père de famille de Québec.

Une rencontre déterminante

Ludovic a été bercé dans sa jeunesse par les contes du roi Arthur.

«L’idée des Chevaliers des temps modernes, ça m’a parlé. George Lucas s’est inspiré de bouddhisme, de taoïsme, mais aussi des chevaliers de la table ronde!», lance le collectionneur d’épées de films.

Sa rencontre avec un marchand dans une brocante a d’ailleurs été déterminante.

«Il m’a parlé d’armes, de katanas, mais aussi de sa religion. Ça m’a intrigué, alors j’ai voulu approfondir. Je fais du reiki [ndlr: une pratique de soins qui prétend s’appuyer sur des énergies], de la méditation et des arts martiaux. J’ai vu qu’il y avait des connexions avec ce que je faisais et aussi mon métier», explique-t-il.

Sur Facebook, l’Ordre jedi du Québec compte 44 j’aime, mais un seul organisateur.

«La personne qui a ouvert l’Ordre n’est plus actif; je suis le seul à représenter l’Ordre au Québec, mais il y en a d’autres aux États-Unis», souligne-t-il.

 

Ouvrir une école

En cours d’entrevue, Ludovic confie son désir de mettre sur pied une école à Québec où la philosophie du jediisme serait enseignée. Les élèves y seraient formés sur les plans physique, spirituel et professionnel.

«Je veux que ça reste sérieux avec des fondations solides, je ne veux pas des gens habillés en Chewbacca [ndlr: nom d’un personnage de la saga]. Je n’ai pas encore contacté l’organisation canadienne. Ça viendra quand ce sera plus abouti et que j’aurai le financement», dit-il, reconnaissant qu’il s’agit d’un projet à long terme.

Ludovic aimerait créer un lieu de rencontre, spirituel, où seraient enseignés le reiki, le yoga et d’autres pratiques actuelles.

«Je suis en train d’écrire un livre sur mes démarches. On est tous à quelque part des maîtres chevaliers, on a tous quelque chose à transmettre à quelqu’un», croit-il.

Jedi depuis 30 ans

Habitant Dijon, en France, Alexandre Orion est officiellement jedi depuis 2012, mais cette philosophie le suit en réalité depuis qu’il a 19 ans. Et il vient de souffler ses 51 bougies.

«Je ne me souviens pas exactement quand j’ai commencé à être jedi, mais ça a débuté avec les entretiens entre le mythologue Joseph Campbell et le journaliste américain Bill Moyers sur «La Puissance du mythe». J’avais 22 ans et ça m’a éclairé sur la manière de répondre à nos besoins existentiels par le récit», raconte-t-il.

Celui qui porte le titre de chevalier (il y a cinq niveaux, soit novice, padawan, chevalier, maître et grand maître) souligne qu’il ne se costume pas, sauf lors de cérémonies spéciales, «ce qui est assez rare», convient celui qui se dit au service de tous.

Il fait partie du Temple of the Jedi Order, comptant 15 900 inscrits.

«De 200 à 1000 sont actifs durant une année moyenne», nuance-t-il.

Les réunions entre membres sont peu fréquentes, soit une à deux fois par année, que ce soit à Cheltenham (Gloucestershire), aux Pays-Bas ou aux États-Unis.

M. Orion n’est pas en mesure de préciser le territoire couvert par le jediisme «étant donné que la France est une république laïque et que le territoire ne se laisse pas couvrir par une organisation à caractère religieux», a-t-il dit.

Mission: chargé d’éducation

Depuis un an, M. Orion est chargé d’éduquer les adeptes. Il se laisse guider dans son rôle par la question suivante:

«Qu’est-ce que les membres apprennent vraiment ici?»

Il pense qu’il lui faudra quelques années d’observations et de dialogue pour synthétiser le début d’une réponse.

M. Orion ne se considère pas plus spécial qu’autrui.

«En tant que jedi, je vis ma philosophie selon les aléas de la vie, comme tout le monde. Il n’y a rien de plus spirituel que la vie quotidienne, avec une synchronisation de temps à autre du temps sacré avec du temps profane. Les transformations yin-yang sont la plus claire et évidente manifestation de la ‘force’, du tao, que je connaisse», conclut-il.

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La cyberdépendance : une dépendance encore méconnue


 

La cyberdépendance est devenue un problème que surtout les jeunes sont atteint, que ce soit sur les médias sociaux, les jeux en ligne. Cependant, ce n’est pas encore reconnu, et il manque des donnés pour bien cerner ce trouble du comportement.. Il  faut encore attendre pour des plans d’actions soient mit en place pour des meilleurs soins
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La cyberdépendance : une dépendance encore méconnue

 

IZUSEK VIA GETTY IMAGES

Agence Science-Presse

Encore aujourd’hui, la cyberdépendance fait l’objet de débats au sein de la communauté scientifique. Bien que de nombreux intervenants en santé mentale traitent des personnes qui ont un usage problématique d’internet et des nouvelles technologies, la cyberdépendance n’est pas reconnue officiellement, d’un point de vue médical. Le Détecteur de rumeurs dresse un portrait de la situation.

Une nouvelle forme de dépendance

Si la cyberdépendance n’a pas encore de statut médical officiel, c’est qu’elle implique l’usage abusif d’une ou de plusieurs technologies qui n’existaient pas il n’y a pas si longtemps : Internet en général, mais aussi jeux multijoueurs en ligne, médias sociaux, séries et films en flux continu sur internet, etc.

C’est aussi parce qu’on a du mal à la définir :

« depuis un certain nombre d’années, les cliniciens observent des cas de cyberdépendance sur le terrain, mais on manque encore de données scientifiques pour bien cerner le phénomène », explique la Dre Karine Igartua, présidente de l’Association des médecins psychiatres du Québec.

Toutefois, les choses évoluent vers une reconnaissance de ce problème, ou d’une partie du problème :

« dans la dernière version du Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux, le DSM-V qui date d’il y a deux ans, le trouble du jeu sur internet (internet gaming disorder) est inclus dans une annexe des diagnostics dits à l’étude » indique la psychiatre.

En Europe, la Classification internationale des maladies (CIM-11), l’équivalent du DSM, inclura le vidéo gaming dans la famille des dépendances dans sa prochaine mouture qui sera publiée au printemps 2018.

« Les Européens ont une approche différente de la nôtre. Alors qu’ici, nous incluons toutes les formes de dépendances à internet et aux nouvelles technologies dans le terme cyberdépendance, ils les compartimentent en utilisant une appellation propre à l’application en cause. Le vidéo gaming deviendra donc un diagnostic officiel, mais pas les autres formes de cyberdépendance, par exemple l’addiction aux réseaux sociaux », explique Magali Dufour, directrice des programmes d’intervention en toxicomanie à l’Université de Sherbrooke et chercheure.

Une décision peu surprenante, puisque l’addiction aux jeux vidéo est la forme de cyberdépendance qui a fait l’objet du plus grand nombre d’études.

Une évaluation sur la base de critères spécifiques

Au Québec non plus, le diagnostic de cyberdépendance n’est pas médicalement reconnu. Toutefois, les personnes qui en souffrent et qui demandent de l’aide sont évaluées sur la base de critères d’addiction, comme c’est le cas pour les autres formes de dépendances. Les trois principaux critères sont l’obsession du jeu, la perte de contrôle et la présence de répercussions importantes sur leur vie.

« Nos recherches indiquent que les cyberdépendants perdent le contrôle de leur utilisation d’internet, qui tourne souvent à l’obsession. Ils dépassent les limites de temps qu’ils s’imposent ou qui leur sont imposées, ils y pensent sans arrêt. Leur dépendance entraîne aussi des troubles fonctionnels, comme des conflits familiaux, la perte de sommeil et d’appétit ou l’absentéisme à l’école ou au travail, ainsi qu’une souffrance qui est cliniquement observable », résume Magali Dufour.

Il existe aussi une grille d’évaluation, intitulée l’Internet Addiction Test. Toutefois, ce questionnaire n’est pas un outil parfait puisqu’il s’agit de mesurer un phénomène nouveau, en pleine évolution.

« Nous sommes tous des utilisateurs d’internet et cette technologie a pris beaucoup de place dans nos vies dans les 20 dernières années. On est parfois dans des zones grises pour distinguer un usage exagéré d’internet d’un usage pathologique ».

Un portrait-robot des cyberdépendants encore flou

Ces zones grises rendent difficile l’établissement de statistiques pour évaluer l’ampleur du problème. Les recherches menées par Magali Dufour auprès de 4000 adolescents indiquent qu’environ 1,3 % des jeunes Québécois pourraient souffrir de cyberdépendance.

« Ces jeunes peuvent passer entre 40 et 60 heures par semaine sur internet, alors que chez les adultes cyberdépendants, ça va jusqu’à 66 heures par semaine », explique-t-elle.

Les jeunes qui seraient le plus à risque de développer ce type de dépendance souffrent souvent d’autres vulnérabilités comme l’impulsivité, l’humeur dépressive, l’anxiété, le trouble déficitaire de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDAH). Plusieurs ont des relations conflictuelles avec leurs parents. Les périodes de transitions, comme le passage du secondaire vers le cégep, peuvent aussi accentuer le risque.

« Fait étonnant, même si 88 % des jeunes qui sont traités pour une cyberdépendance sont des garçons, nos données indiquent que les filles sont tout aussi à risque d’être cyberdépendantes, mais à d’autres types d’applications. Alors que les garçons sont surtout dépendants aux jeux vidéo en réseau, les filles font plutôt un usage abusif des réseaux sociaux. Pour des raisons que nous nous expliquons mal, elles demandent moins d’aide que les garçons », souligne Mme Dufour.

C’est aussi ce qu’on observe dans les centres de réadaptation qui offrent des traitements à ceux qui ont développé un problème de dépendance. Dans les centres d’hébergement Le Grand Chemin qui accueillent des jeunes de 12 à 17 ans, c’est entre 5 à 7 % de la clientèle qui souffre de cyberdépendance et la grande majorité sont des garçons.

« Pour l’instant, nous traitons surtout des adolescents dépendants aux jeux vidéo multijoueurs en ligne. Mais nous savons que les filles qui ont une utilisation abusive des réseaux sociaux vivent elles aussi des difficultés. Il est donc possible qu’on en accueille davantage dans le futur », estime Miguel Therriault coordonnateur aux services professionnels du Grand Chemin.

En attente d’un plan d’action gouvernemental

Pour l’instant, les centres de traitement des dépendances, comme Le Grand Chemin ou le Centre de réadaptation en dépendance de Montréal, établissent eux-mêmes les lignes directrices de leurs programmes d’aide aux cyberdépendants.

« On offre le traitement pour la cyberdépendance depuis 2012, les bonnes pratiques d’intervention en dépendance sont reconnues par le gouvernement comme étant efficaces auprès des cyberdépendants. Pourtant, ils ne se retrouvent pas dans l’offre de service officielle du Ministère de la Santé et des Services sociaux », explique Miguel Therriault.

Les intervenants, comme les chercheurs et les cliniciens, espèrent donc que le nouveau plan d’action pour la dépendance du ministère, attendu prochainement, inclura des directives claires sur la cyberdépendance qui permettront de mieux encadrer les soins offerts

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C’est ce qui arrive à votre corps quand vous avez le coeur brisé


Le syndrome du coeur brisé à de réels symptômes qui peuvent être graves. Cela arrive généralement lors d’une peine d’amour ou un deuil d’une personne. Il est important dès lors d’avoir des stratégies pour combattre le stress
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C’est ce qui arrive à votre corps quand vous avez le coeur brisé

 

ANTONIOGUILLEM VIA GETTY IMAGES

C’est normal que vous expérimentiez des symptômes physiques.

 

  • Lili Monette-Crépô

  • Journaliste

  • Il y a une raison pour laquelle vous vous sentez brûlé et nauséeux après une rupture: la peine d’amour a un effet physique sur votre corps.

    Malheureusement, c’est souvent négligé, selon Ronald A. Alexander, un psychothérapeute en Californie et au Colorado et l’auteur de Wise Mind, Open Mind: Finding Purpose and Meaning in Times of Crisis, Loss, and Change.

    «Vous n’êtes pas seul si vous restez au lit et que vous vous sentez en dehors du monde», note Alexander. «Un coeur brisé peut vous faire sentir comme si vous aviez perdu le contrôle du bateau. Les sanglots et les pleurs sont des symptômes communs, de même que des sentiments de mélancolie, et des symptômes physiques aussi.»

    Avoir le coeur brisé, surtout dans les premiers stades, peut être difficile sur votre horaire de sommeil. Les problèmes de sommeil comme l’insomnie sont communs pour ceux qui sont célibataires depuis peu, selon Alexander. Le stress d’une rupture peut aussi dire que vos nerfs sont à vif, interférant avec les processus biologiques qui vous aideraient normalement à vous endormir à la fin de la journée.

    «Quand vous avez le coeur brisé, il peut être très difficile de calmer votre esprit et de vous reposer», dit-il.

    De plus, l’anxiété et les palpitations cardiaques augmentées vont souvent main dans la main avec un coeur brisé, ajoute Alexander.

    «Il est important de savoir que la tristesse et le deuil d’un coeur brisé peuvent inonder le système nerveux», dit-il. «Il est normal d’avoir des sentiments de perte de contrôle.»

    Et dans certaines situations extrêmes, une rupture peut même provoquer des symptômes similaires d’une crise cardiaque. Le syndrome du coeur brisé est une condition du coeur temporaire qui ressemble et se ressent comme une crise cardiaque. Il est souvent causé par des situations stressantes comme la mort de quelqu’un qu’on aime ou une rupture.

    Harmony Reynolds, cardiologue au New York City Langone Medical Center, explique au HuffPost que le sentiment du coeur brisé est diagnostiqué dans environ 1 à 2 pour cent des patients qui viennent à l’hôpital avec des symptômes de crise cardiaque.

    Elle explique que les symptômes et les tests du syndrome du coeur brisé sont similaires à ceux des patients souffrant de crises cardiaques, même si les artères restent ouvertes.

    «Les patients avec le syndrome du coeur brisé ont aussi des anormalités de la fonction du muscle du coeur pendant l’événement», note Reynolds.

  •  Cette défaillance récupère complètement chez les survivants en l’espace de semaines ou de mois. Cependant, ceux qui ont eu ce syndrome ont un risque augmenté d’être victimes d’une maladie du coeur ou d’une attaque d’apoplexie.

    Reynolds a récemment conduit une étude sur 20 ans qui démontrait que la condition était particulièrement difficile pour les femmes âgées.

    «Au moins 6000 cas du syndrome ont lieu chaque année aux États-Unis, et jusqu’à 90 pour cent des patients sont des femmes, d’habitude ménopausées», note-t-elle.

    Quoi faire si vous avez des symptômes

    Malheureusement, ça va prendre beaucoup plus que de la crème glacée pour vous permettre d’aller de l’avant. Romanelli recommande de réfléchir aux activités qui vous ont aidé à déstresser dans le passé et de les pratiquer.

    «Les stratégies d’adaptation malsaines comme boire et manger davantage peuvent être dangereuses pour votre coeur, donc essayez de trouver des façons de combattre le stress», note-t-elle. «La méditation, la respiration, le yoga ou même de prendre une pause des médias sociaux pour voir un ami ou pour lire un livre peuvent aider.»

    Et même si ça peut sembler ordinaire, rappelez-vous de prendre de grandes respirations et notez que votre environnement peut vous aider lorsque vous sentez que vous perdez le contrôle.

    «Respirez, appelez un ami pour avoir du soutien, allez en thérapie ou prenez une longue marche», dit Alexander. «Si vous pouvez, marchez à côté d’un cours d’eau. Quand votre coeur est brisé, le fait de simplement regarder de l’eau passer peut vous aider à réaliser subconsciemment que tout change et que rien ne reste pareil. Le coeur brise et vous ressentirez du chagrin, mais essayez de vous rappeler que ceci aussi passera.»

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La triste vérité derrière la mode du quinoa


Le quinoa est un super aliment étant riche entre autres, de fibres et protéines, il convient à tous, surtout pour les végétariens, végétaliens, végan … Le problème quand un aliment viens en vogue, les pays producteurs se font dépasser par d’autres pays laissant les premiers producteurs dans une situation précaire allant a augmenter la pauvreté
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La triste vérité derrière la mode du quinoa

 

Des grains de quinoa montrés par un Bolivien à Tarmaya, en Bolivie, le 8 avril 2013. © reuters.

Maxime Czupryk
Source: AFP, Brut, Franceinfo

Le quinoa connait une popularité exponentielle depuis quelques années aux États-Unis et en Europe. Victime de son succès, ce produit a vu son prix doubler en cinq ans. Conséquence: de nombreux pays se sont lancés dans sa culture, au grand dam des petits producteurs boliviens, lesquels vendent désormais leur produit phare à perte. Ou comment la mode du quinoa fragilise l’économie d’un pays dont la moitié de la population vit sous le seuil de pauvreté.

Popularisé chez nous notamment par les végétariens et autres vegans, le quinoa, cette pseudo-céréale venue tout droit d’Amérique latine, a envahi nos assiettes (et les réseaux sociaux) depuis quelques années.

Une « graine d’or » qui a de quoi séduire

Le quinoa n’est pas une graminée comme le riz ou le blé. C’est une plante herbacée de la famille des chénopodiacées, la même que les betteraves et les épinards. Riche en acides aminés, le quinoa jouit également d’une plus haute teneur en fibres et en protéines par rapport au blé ou au riz par exemple. De plus, il ne contient pas de gluten, ce qui ravit donc les adeptes du régime « gluten free » (très à la mode lui aussi). Bref, la « graine d’or » a de quoi séduire.

2013, année du internationale du quinoa

Ce n’est pas pour rien que l’Assemblée générale de l’ONU a ainsi proclamé 2013 « Année internationale du quinoa. » L’organisation voulait ainsi « rendre hommage aux pratiques ancestrales des peuples andins qui sont parvenus à conserver le quinoa à l’état naturel pour nourrir les générations présentes et futures grâce à leur savoir-faire et leur vie en parfaite harmonie avec la nature.

 » Pour l’ONU, le quinoa représente un atout pour lutter contre l’insécurité alimentaire dans le monde, « dans un contexte de changement climatique et de raréfaction des ressources en eau », s’est réjouie à l’époque Nadine Heredia, ambassadrice du quinoa.

Tout le monde veut en profiter, effet yo-yo sur le prix

Sauf que ce coup de pub, louable, a eu pour effet de faire exploser le prix de la petite graine des Andes, lequel a grimpé jusqu’à 9.000 euros la tonne. Par conséquent, tout le monde a voulu sa part du gâteau sans gluten. Désormais, pas moins de 90 pays cultivent du quinoa. Au Pérou notamment où sa culture intensive lui a permis de passer devant la Bolivie en tant que premier producteur mondial. L’offre ayant largement dépassé la demande, les prix ont dégringolé.

Un effet dévastateur pour les petits producteurs

Cet effondrement des prix a eu un effet dévastateur sur les petits producteurs boliviens, qui doivent désormais vendre à perte. En sachant que 250.000 personnes vivent de la culture de quinoa en Bolivie, cette situation est devenue critique dans un pays où plus de la moitié de la population vit sous le seuil de pauvreté.

Consommez responsable

Enfin d’endiguer ce triste phénomène, consommez de manière responsable en vérifiant la provenance du quinoa que vous achetez.

© reuters

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© reuters.

http://www.7sur7.be/