Des produits de santé naturels peuvent poser des risques pour la santé Selon Santé Canada.


Les produits de santé naturel«SmartBrain Formulations Serotonin Support» qui opère sous les noms Robert Lamberton Consulting, Cutting Edge Naturals et Cutting Edge Nutraceuticals seraient insalubre et peuvent causer des problèmes de santé Santé Canada demande à ceux qui utilisent leurs produits de cesser immédiatement
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Des produits de santé naturels peuvent poser des risques pour la santé

Selon Santé Canada.

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GETTY IMAGES/ISTOCKPHOTO

Lili Monette-Crépô
Journaliste

Cosmetic section with conditioners, shampoo and hair treatment in store

Santé Canada a émis un avis à propos du produit de santé «SmartBrain Formulations Serotonin Support».

Mercredi, l’institution fédérale a élargi son avis pour inclure tous les produits vendus par l’entreprise parce qu’ils peuvent présenter des risques graves pour la santé. L’entreprise opère aussi sous les noms Robert Lamberton Consulting, Cutting Edge Naturals et Cutting Edge Nutraceuticals.

Les produits de ces compagnies ont été fabriqués dans des conditions insalubres et les ingrédients ont été entreposés dans des contenants non scellés et dans un endroit non homologué par Santé Canada. Les produits présentent un risque de contamination par E. coli, ce qui peut causer plusieurs problèmes de santé comme des crampes d’estomac, des vomissements ou de la diarrhée.

Santé Canada a depuis saisi tous les produits et l’équipement de fabrication sur le site.

Les produits et les formulations personnalisées des compagnies sont voués à une variété de problèmes de santé et ont été mis en vente en ligne ou par courriel.

Les gens qui détiennent des produits d’une de ces marques chez eux sont priés d’en cesser l’utilisation. Ceux qui en ont consommé par inadvertance sont encouragés à signaler les effets indésirables des produits à Santé Canada en composant sans frais le 1-866-234-2345 ou en faisant une déclaration en ligne, par la poste ou par télécopieur.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

La peste menace maintenant les grandes villes de l’île de Madagascar


La peste au Madagascar qui avait disparu en 1930 est revenue depuis quelques années, sans toutefois donner des frissons à tout le pays et ceux avoisinante. Deux pestes se côtoient la peste bubonique et la peste pulmonaire. Cette maladie se soignent mais, il faut un traitement rapidement, ce qui est parfois impossible et la mort continue son oeuvre
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La peste menace maintenant les grandes villes de l’île de Madagascar

 

Dans une banlieue de la capitale malgache, des travailleurs de la Croix-Rouge font de la prévention pour éviter des cas de peste.

Dans une banlieue de la capitale malgache, des travailleurs de la Croix-Rouge font de la prévention pour éviter des cas de peste. Photo : Associated Press/Alexander Joe

La multiplication des cas de peste dans la capitale de Madagascar a semé la panique parmi la population : les habitants d’Antananarivo ont fait la file pour se procurer des antibiotiques, ils ont acheté des masques à des vendeurs itinérants, les écoles ont été fermées et les rassemblements publics interdits.

Depuis le 1er août, Madagascar a enregistré 1032 cas de peste parmi lesquels 695 étaient des cas de peste pulmonaire, ainsi que 89 décès, selon un communiqué publié jeudi par Médecins sans frontières (MSF).

Pour la première fois, une maladie vue uniquement dans les coins les plus reculés de cette île de l’océan Indien frappe principalement les deux plus grandes villes du pays, Antananarivo et Tamatave (ou Toamasina).

La communauté internationale n’a pas tardé à réagir.

L’Organisation mondiale de la santé (OMS), qui avait été critiquée pour la lenteur de sa réponse à l’épidémie de virus Ebola en Afrique de l’Ouest en 2014, a débloqué 1,5 million de dollars américains, en plus de déployer des épidémiologistes et des experts de la peste.

La Croix-Rouge ouvrira à Madagascar le premier centre de traitement de la peste de son histoire.

MSF a annoncé jeudi qu’il collaborait « avec les autorités locales pour s’attaquer à l’épidémie de peste pulmonaire qui sévit dans la ville portuaire de Tamatave, à l’est de Madagascar ».

Tamatave abrite 300 000 personnes et est l’un des plus grands foyers de cas de peste pulmonaire dans le pays avec 261 cas et 10 décès depuis le début de cette épidémie, explique MSF.

Madagascar recense chaque année environ 400 cas de peste, soit la moitié du total mondial, selon un rapport publié par l’OMS en 2016. L’île enregistre des cas de peste bubonique chaque année dans les hauts plateaux, où la maladie est transmise par le rat; la peste bubonique est mortelle dans environ la moitié des cas si elle n’est pas traitée.

La plupart des cas de l’épidémie actuelle sont toutefois des cas de peste pulmonaire, une forme plus virulente de la maladie qui se transmet d’humain à humain.

Elle peut se révéler mortelle en 24 heures, mais comme la peste bubonique, elle peut être soignée avec des antibiotiques si on la détecte à temps.

La pauvreté mise en cause

L’OMS estime que la peste est une « maladie de pauvreté » causée en partie par des conditions de vie insalubres.

Le PIB malgache par habitant est d’environ 400 $ US et les programmes nationaux de contrôle de la maladie ont été « empêtrés par des problèmes opérationnels et administratifs », selon un rapport du Centre européen de prévention et de contrôle des maladies.

Mais la peste pulmonaire, qui représente environ 75 % des cas de l’épidémie courante, ne fait aucune distinction entre riches et pauvres.

Normalement, ceux qui attrapent la peste sont des pauvres gens sales qui vivent dans des secteurs pauvres, mais cette fois-ci, on voit aussi des gens bien nantis, des directeurs, des professeurs, de gens de toutes les couches sociales, qui sont malades. Dr Manitra Rakotoarivony, responsable malgache de la promotion de la santé

L’épidémie actuelle a éclaté en août, plus tôt que d’habitude, quand un homme de 31 ans est parti des hauts plateaux pour se rendre sur la côte est du pays, sans savoir qu’il avait été infecté. Il est mort en chemin et a été enterré sans précautions à Tamatave. Quatre personnes ayant eu des contacts avec lui sont aussi mortes.

La peste a disparu de Madagascar pendant 60 ans à compter de 1930, mais la maladie effectue un retour depuis quelques années. Les rats noirs qui la transmettent sur les hauts plateaux y ont graduellement développé une résistance.

L’épidémie inquiète les pays voisins. Un homme de 34 ans originaire des îles Seychelles, aussi dans l’océan Indien, est mort de la peste en rentrant chez lui, après une visite à Madagascar. C’était le premier cas de peste de l’histoire des Seychelles.

La réaction des dirigeants seychellois n’a pas tardé : les écoles ont été fermées pendant plusieurs jours, une unité d’isolation consacrée à la peste a été ouverte et les voyageurs qui ont récemment visité Madagascar se sont vu refuser l’accès au pays.

L’OMS croit toutefois que le risque de voir l’épidémie se propager en dehors de la région est très faible.

http://ici.radio-canada.ca

Bienvenue à Gonda, la ville la plus sale d’Inde


Rester dans la ville la plus sale en Inde, ce n’est pas quelque chose qu’on cri sur les toits. La nourriture, des excréments, plastique en tout genre, des animaux en composition, on peut imaginer l’odeur. Le ramassement des déchets n’est pas fonctionnel, quoiqu’on promette des camions en fonction bientôt, ils ont intérêt si ce n’est que pour quitter ce titre de ville sale
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Bienvenue à Gonda, la ville la plus sale d’Inde

 

© afp.

Source: AFP

Des mouches tourbillonnent autour d’étrons, les égouts sont bouchés par les ordures et l’air empeste: vous êtes à Awas Vikas, l’un des quartiers les plus chics de Gonda, labellisée « ville la plus sale d’Inde ».

© afp

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© afp.

Même dans les zones les plus aisées de cette ville de l’État pauvre d’Uttar Pradesh (nord), le ramassage d’ordures est une denrée rare. Les déchets polluent jusqu’aux espaces verts et tapent sur les nerfs de ses habitants.

« La crasse et la puanteur nous ont rendus célèbres à travers tout le pays », se désole Durgesh Mishra, un résident.

D’un geste du bras, il désigne une ornière sur la route remplie d’eau sale où prolifèrent des moustiques. Située à une centaine de kilomètres de la capitale régionale Lucknow, Gonda était une escale anonyme pour les voyageurs se rendant au Népal tout proche ou visitant les temples de la région.

Mais l’infamie est arrivée en mai avec la publication d’une étude du gouvernement indien sur la propreté de 434 villes. Gonda a terminé dernière. Si ce dépotoir à ciel ouvert fait le bonheur des vaches errantes, elle est un cauchemar quotidien pour les piétons et les voitures, contraints de slalomer entre les bouteilles en plastique, les emballages de nourriture et les déjections animales.

« C’est vraiment une situation pathétique », déclare Durgesh Mishra. « Vous n’imaginez pas comment nous vivons ici… » 

Animaux en décomposition 

La plupart des habitants espèrent que l’étiquette honteuse de « ville la plus sale » obligera les décideurs locaux à agir et enrayera l’apathie civique et la corruption, jugées responsables de la situation.

« Les problèmes de main-d’oeuvre et d’infrastructures auxquels nous sommes confrontés sont le résultat d’une décennie de développement urbain sans planification », explique Rajiv Rastogi, un commerçant et figure de la scène politique locale.

À Gonda, les signes de dysfonctionnement sont partout. Des maisons abandonnées tombent en ruines. Des parcs et des puits sont devenus des décharges. Ceux qui en ont les moyens payent des ouvriers pour qu’ils déblaient les poubelles devant chez eux – même si ce n’est que pour aller s’en débarrasser dans une autre partie de la ville. Au sein de la ville la plus sale d’Inde, le quartier de Kanshiram est réputé en être le plus insalubre.

« Nous vivons en mauvaise santé. Des maladies comme le choléra sont un problème de la vie quotidienne », raconte à l’AFP l’habitante Sushila Tewari, en repoussant une nuée de mouches et de moustiques. « Parfois, on ne voit pas l’ombre d’un employé de la municipalité pendant des jours. Quand des animaux errants meurent et restent à pourrir ici, nous devons nous-mêmes les couvrir de terre. »

Responsabilité citoyenne 

Parlementaire de l’assemblée régionale élu dans cette circonscription, Kirti Vardhan Singh dit être « bombardé » de messages et d’appels depuis la publication du rapport. « C’était très, très embarrassant », confesse-t-il à l’AFP.

« J’ai expliqué à autant de gens que je pouvais qu’en tant que parlementaire, je n’ai pas ni droit de regard ni autorité sur les questions municipales – la mauvaise gestion, l’inaction et la corruption de la dernière décennie. »

Le bonnet d’âne reçu par sa ville n’est pas tant dû, d’après lui, à sa saleté qu’au manque de communication entre l’équipe de chercheurs qui a réalisé l’étude et les responsables locaux. Pour cet élu, le cas de Gonda est représentatif des petites villes d’Inde qui connaissent une importante croissance urbaine sans que celle-ci soit encadrée.

J.B Singh, responsable administratif du district, reconnaît les manquements de Gonda mais assure que les autorités prennent les choses en main. Des camions poubelles et des poubelles sont en train d’être achetés, annonce-t-il.

« Nous travaillons au changement et les habitants le verront au cours des deux prochains mois », assure-t-il.

Quelle que soit l’indigence des autorités, la responsabilité des citoyens, qui jettent leurs détritus sur la voie publique, est pointée du doigt. Le problème de la saleté en Inde est l’un des axes phare du mandat du Premier ministre Narendra Modi, qui présente la propreté comme un devoir national. Peu après son arrivée au pouvoir en 2014, le nationaliste hindou a lancé une grande campagne, « Inde Propre », destinée à nettoyer cette nation de 1,3 milliard d’habitants d’ici à 2019, date du 150e anniversaire de la naissance de Gandhi.

http://www.7sur7.be/

Plus du quart des décès des jeunes enfants dû à la pollution


Nous voulons le mieux pour nos enfants et nos petits enfants, alors pourquoi nous laissons en héritage autant de pollution, de manque d’hygiène, des déchets électroniques et électriques qui causent de grands dommages à nos descendants
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Plus du quart des décès des jeunes enfants dû à la pollution

 

Plus du quart des décès d'enfants de moins de cinq ans est attribuable à la... (Photo archives AFP)

PHOTO ARCHIVES AFP

 

Agence France-Presse
Genève

Plus du quart des décès d’enfants de moins de cinq ans est attribuable à la pollution de l’environnement, indique l’Organisation mondiale de la santé (OMS) dans deux rapports publiés lundi.

Chaque année, les risques environnementaux – pollution de l’air intérieur et extérieur, tabagisme passif, insalubrité de l’eau, manque de moyens d’assainissement et hygiène insuffisante – entraînent le décès de 1,7 million d’enfants de moins de cinq ans dans le monde, explique l’OMS dans un communiqué.

Parmi eux, 570 000 enfants meurent d’infections respiratoires (par exemple, de pneumonie) attribuables à la pollution de l’air intérieur et extérieur et au tabagisme passif, et 361 000 autres meurent de maladies diarrhéiques à cause d’un accès insuffisant à l’eau potable et aux moyens d’assainissement et d’hygiène.

«Un environnement pollué est mortel, en particulier pour les jeunes enfants», a déploré la Dre Margaret Chan, directrice générale de l’OMS, citée dans le communiqué.

«Les jeunes enfants sont particulièrement vulnérables à la pollution de l’air et de l’eau, car leurs organes et leur système immunitaire sont en cours de développement et leur organisme notamment leurs voies respiratoires sont de petite taille», a-t-elle ajouté.

Selon l’OMS, une grande partie des maladies qui sont les principales causes de décès d’enfants âgés d’un mois à cinq ans – maladies diarrhéiques, paludisme et pneumonie – pourrait être évitée grâce à des interventions dont «on sait qu’elles réduisent les risques environnementaux, tels que l’accès à l’eau potable et l’utilisation de combustibles propres pour la préparation des repas».

L’OMS explique ainsi que les décès dus au paludisme pourraient être évités en réduisant le nombre de gîtes larvaires de moustiques ou en couvrant les réservoirs d’eau potable.

De nouveaux dangers menacent aussi la santé des enfants.

Ainsi, les nouveaux dangers environnementaux, tels que les déchets électroniques et électriques – comme les téléphones portables usagés – qui ne sont pas correctement recyclés, exposent les enfants à des toxines qui peuvent entraîner une diminution des aptitudes cognitives, un déficit de l’attention, des lésions pulmonaires ou encore un cancer, selon les experts.

D’après l’OMS, la quantité de déchets électroniques et électriques aura augmenté de 19 % entre 2014 et 2018, pour atteindre 50 millions de tonnes.

Pour sa part, le changement climatique fait augmenter les températures et les niveaux de dioxyde de carbone, ce qui favorise la production de pollen, associée à une augmentation des taux d’asthme chez l’enfant.

En 2016, l’OMS avait déjà indiqué que près d’un quart des décès dans le monde, toutes populations confondues, découlent d’une cause liée à l’environnement au sens large qui va de la pollution aux accidents de la route.

http://www.lapresse.ca

Les bactéries aiment bien prendre l’avion


Généralement dans un endroit restreint, il y a de fortes chances que ce soit les toilettes qui contiennent le plus de bactéries, mais pas dans les avions
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Les bactéries aiment bien prendre l’avion

Des scientifiques ont révélé quels étaient les endroits les plus sales dans un avion. Attention, une fois que vous saurez ceci, vous ne verrez plus vos vols de la même façon

SiegeAvion

Afin de déterminer l’endroit le plus sale dans un avion, une équipe de microbiologistes a récolté des échantillons dans cinq aéroports et quatre avions différents de deux grandes compagnies. Les chercheurs ont ensuite pris les échantillons et ont analysé les populations bactériennes en calculant les « unité formant colonie » (UFC), soit l’unité utilisée pour le dénombrement bactérien.

Ce qui est surprenant, c’est que, certes, le bouton de la chasse d’eau des toilettes est sale et comporte 265 UFC, mais il n’est néanmoins pas le plus insalubre. Contrairement aux idées reçues, les chercheurs ont même conclu que les toilettes sont en fait l’un des endroits les plus propres de l’avion! Probablement en raison des nettoyages fréquents.

C’est plutôt la tablette rabattable pour manger qui remporte la palme de la malpropreté avec 2 155 UFC. Au fond, ce n’est pas si surprenant si on considère que tous les passagers touchent cette tablette et qu’elle accueille les bactéries des mains humaines, mais également celles des divers produits alimentaires qu’elle rencontre. Sans parler que le personnel de cabine a rarement le temps de nettoyer le tout entre deux vols.

BacterieAvion

Ça met l’eau à la bouche, n’est-ce pas?

Mais ce n’est pas tout, les autres endroits préférés des bactéries en avion sont les magazines disposés dans la pochette du siège avant, les oreillers et les couvertures et les systèmes de divertissement tactiles.

Soyez rassurés, maintenant que vous savez où se cachent ces micro-organismes malpropres, il vous suffit de vous apporter des lingettes désinfectantes et de vous nettoyer souvent les mains!

http://blogue.evasion.tv/