Pourquoi chercher ailleurs, ou imaginer un futur alors qu’il faut vivre sa vie dès maintenant ?
Nuage
Temps Limité
Votre temps est limité, ne le gâchez pas en menant une existence qui n’est pas la vôtre
Steve Jobs
Pourquoi chercher ailleurs, ou imaginer un futur alors qu’il faut vivre sa vie dès maintenant ?
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Temps Limité
Votre temps est limité, ne le gâchez pas en menant une existence qui n’est pas la vôtre
Steve Jobs
Certaines images demandent un peu d’imagination, alors que d’autres sont bluffantes
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1. Cette roche qui ressemble à une tranche de bacon.
2. Cet arbre ressemble à un brocoli.
3. Cette balle de golf ressemble à de la viande.
4. Cette photo a été prise dans le Sahara algérien. La neige couverte de sable ressemble à un tiramisu.
5. Mon dentifrice ressemble à de la chair de saumon.
6. Ces chiots ressemblent à du poulet frit.
7. Ce champignon ressemble à un beignet au chocolat.
8. Ce tuyau d’arrosage ressemble à une banane.
9. Les arbres dans ma rue ressemblent à des ananas géants.
10. Ce matelas ressemble à un sandwich à la glace.
11. J’ai mis du savon dans le micro-ondes et il ressemble à du pain.
12. Cette roche ressemble à un sandwich de fromage fondu.
13. Cette roche ressemble à une patate.
14. Quand tu essaies de faire du savon et il ressemble à de la viande crue.
15. Cette feuille ressemble à une banane.
16. Cette pierre précieuse ressemble à un morceau de chocolat.
17. Ce champignon ressemble à un beignet au chocolat.
18. Ce morceau de papier de verre ressemble à un steak.
19. La porte de garage chez mes parents ressemble à une tablette de chocolat.
20. Ce champignon ressemble à une guimauve au chocolat grillée à point.
Quel est le rapport entre les sièges d’autos pour enfant et la mission Apollo ? La position des astronautes sur le dos a amoindri les effets de l’accélération. Ceci a inspiré les Suédois a fabriquer des sièges d’autos pour les enfants ce qui a améliorer la sécurité routière des petits. Au Québec, il est obligatoire d’installer un siège pour bébé jusqu’à 10 kg puis vient le siège d’enfant (on fait des siège d’auto qu’on ajoute un siège pour bébé) et le siège d’appoint plus de 18 kg
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Les origines du Rear-Facing (siège d’auto) ?
NON, ce ne sont pas des enjeux commerciaux pour vous imposer de nouveaux sièges !!! Sinon le marché Français ne s’en serait pas privé ! C’est simplement que, pour un enfant, la façon la plus sûre de voyager est d’être assis dans le sens contraire de la marche.
Depuis 1960
C’est la mission Apollo sur la lune, dans les années 60, qui a inspiré les Suédois. La NASA savait qu’en positionnant ses astronautes sur le dos, les effets de la fantastique accélération qu’ils ressentiraient en étant projetés dans l’espace, seraient amoindris. Cela a aussi amené les concepteurs de sièges auto Suédois à assoir les enfants dans une position moins conventionnelle.
En France il est obligatoire pour les bébés de moins de 9 mois de voyager dos à la route. Mais en Suède, qui a parmi les meilleures statistiques de sécurité routière d’Europe, les enfants voyagent dos à la route en voiture jusqu’à l’âge de 4 ou 5 ans.
L’Europe est actuellement en train de reconsidérer ses directives pour insister sur le transport des enfants dos à la route, en prenant modèle sur la Suède.
Les premiers prototypes de sièges enfants dos à la route remontent à 1964 par la marque VOLVO et le le premier mis sur le marché remonte à 1967 par la marque KLIPPAN
Qu’est-ce que le Rear Facing ?
Le rear-facing c’est voyager dos à la route ! C’est la plus sûre façon de voyager, 5x plus sûr !
D’abord dans un siège coque le plus longtemps possible, de la naissance à env. 15 mois, suivant le siège et le gabarit de votre enfant.
Puis avec certains sièges, on peut continuer jusqu’à 4 voir 5 ans. On parle alors de rear-facing étendu (ERF).
La culture de l’automobile suédoise exige que les enfants s’assoient dos à la route jusqu’à 4-5 ans contre 9kg en France (env. 1an). En 2013, la réglementation évolue en France pour imposer le dos à la route jusqu’à 15 mois
Le cactus, plus spécialement le figuier de Barbarie est une plante extraordinaire autant pour le fruit qui est très bon, mais aussi la plante en elle-même qui est une source d’eau qui peut sauver quand une sécheresse sévit les animaux et les êtres humains sans compter qu’ils peuvent aussi servir de fourrage.
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Les cactus du type sous-espèces Opuntia ficus-indica (figuier de barbarie) ont beaucoup à offrir, pour l’alimentation, le fourrage et l’eau. Sur cette photo, on aperçoit un cactus avec des robinets installé au Brésil par l’artiste et activiste brésilien Mundano lors d’une sécheresse dans son pays.
REUTERS
Agence France-Presse
Rome
L’Organisation de l’ONU pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) a publié jeudi un plaidoyer pour le cactus, et plus précisément le figuier de barbarie, une plante d’avenir précieuse pour l’alimentation et le fourrage.
« Alors que la plupart des cactus ne sont pas comestibles, les espèces Opuntia ont beaucoup à offrir, surtout si elles sont traitées comme une culture et non comme une mauvaise herbe », a expliqué la FAO dans un communiqué à l’issue de recherches menées par de nombreux experts.
L’accent est mis en particulier sur les sous-espèces Opuntia ficus-indica (figuier de barbarie), dont l’endurance peut être salvatrice.
Ainsi, lors de la sécheresse qui a frappé le sud de Madagascar en 2015, « le cactus s’est révélé être une source essentielle de nourriture, de fourrage et d’eau pour les populations locales et leurs animaux ».
Pour appuyer son propos, l’agence de l’ONU a publié un livre d’information sur le figuier de barbarie, accompagné d’astuces « sur la meilleure manière d’exploiter les qualités culinaires de la plante », déjà cuisinée au Mexique, mais aussi en Sicile.
Face aux sécheresses, à la hausse des températures et à la dégradation des sols, la culture des figuiers de barbaries gagne peu à peu du terrain.
Au Mexique, où il est né, sa consommation atteint 6,4 kg par an et par habitant. Mais le Brésil compte aussi plus de 500 000 hectares de plantations de cactus, principalement pour le fourrage, et la plante est également cultivée en Afrique du Nord et en Éthiopie.
En plus de fournir une source de nourriture, le figuier de barbarie stocke de l’eau dans ses branches, ce qui en fait, selon la FAO, « un puits botanique capable de fournir jusqu’à 180 tonnes d’eau par hectare, soit assez pour abreuver cinq vaches adultes » en cas de sécheresse.
Et les avantages ne s’arrêtent pas là : le cactus améliore la qualité des sols, favorise les plantations d’orge et pourrait même, selon des recherches préliminaires, aider à limiter les émissions de gaz à effet de serre en réduisant la méthanogénèse des ruminants lorsqu’il est intégré à leur alimentation.
La plante a quand même quelques limites. Elle ne supporte pas le gel, qui peut provoquer des dégâts irréversibles, et n’aime pas non plus les trop fortes chaleurs : à partir de 30 degrés, sa croissance commence à ralentir.
Un espoir pour les femmes qui ont une infertilité utérine : la transplantation d’un utérus pour concevoir un enfant. En Suède, ils ont déjà réussi ce genre de traitement et maintenant les États-Unis sont aussi apte pour donner une chance a des femmes d’être maman
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© Capture d’écran Facebook.
Par: Deborah Laurent
Une femme née sans utérus a accouché d’un bébé en bonne santé à Dallas. C’est une première aux Etats-Unis. La Suède avait déjà réussi la manoeuvre.
Le Time rapporte les propos du Docteur Liza Johannesson, chirurgienne et obstétricienne à l’hôpital de Baylor
« Nous nous préparons pour ce moment depuis très longtemps. Tout le monde avait les larmes aux yeux quand le bébé est sorti. »
La mère et son mari ne souhaitent pas que leurs identités soient révélées.
La nouvelle maman souffre d’infertilité utérine absolue ce qui signifie que son utérus ne fonctionne pas ou qu’il est inexistant. La plupart des femmes participant à l’essai clinique de l’hôpital concerné souffre du syndrome de Mayer-Rokitansky-Küster-Hauser. Elles savent depuis toujours qu’elles ne pourront jamais enfanter.
Le Docteur Giuliano Testa, qui dirige l’essai clinique, explique qu’avec son équipe, ils font des transplantations tous les jours.
« Mais ce n’est pas la même chose. J’ai totalement sous-estimé ce que ce type de greffe fait pour les femmes. Je n’ai pas de mots pour décrire ce que j’ai appris émotionnellement. »
La naissance était une césarienne programmée et les médecins qui ont participé à cet essai clinique de grande envergure étaient présents. Le médecin qui a accouché la patiente très particulière a confié:
« Quand j’ai commencé ma carrière, nous n’avions même pas de sonagrammes. Maintenant nous mettons l’utérus d’une femme dans le ventre d’une autre et nous obtenons un bébé. »
La femme qui a donné son utérus s’appelle Taylor Siler et est âgée de 36 ans. Elle raconte au Time qu’elle n’avait pas toujours été certaine d’avoir envie d’un enfant. Mais elle en a eu deux, de 6 et 4 ans aujourd’hui, et sa « vie a changé pour toujours ». Quand elle a vu un reportage sur l’essai clinique de Baylor, elle avait déjà décidé avec son mari de ne plus avoir d’enfant. Elle a voulu aider ces femmes qui espéraient tant avoir un bébé. Le programme de Baylor fait appel aux donneurs vivants et décédés.
Révolutionnaire, la transplantation d’utérus peut coûter jusqu’à 500.000 dollars. Les compagnies d’assurance ne prennent rien en charge. Baylor a payé les dix premières transplantations d’utérus de son essai clinique. Pour la suite, il va falloir trouver des fonds.
Tout de suite, j’ai pensé au 1 er long métrage de Star Strek quand ils ont trouvé Voyager 1. Je suis vraiment étonné ce que la NASA a pu rallumer 4 moteurs de la sonde spatiale Voyager 1 alors qu’il file a travers l’espace à une vitesse de 17 km/s et il se trouve à 21 milliards de km de notre planète. Ceci est dans le but de donner 2 ou 3 ans de plus à cette sonde qui a déjà 40 ans
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La sonde Voyager 1 poursuit son grand voyage galactique, 40 ans après son lancement. Photo : Reuters/NASA
Voilà 37 ans qu’ils étaient éteints, dans le froid du vide spatial. La NASA vient de rallumer quatre moteurs de la sonde spatiale Voyager 1, l’objet de nature humaine se trouvant à la plus grande distance de notre planète.
L’opération, effectuée vendredi, « va permettre de prolonger la vie de Voyager 1 de deux ou trois ans », a indiqué par communiqué Suzanne Dodd, directrice de projet pour l’agence spatiale américaine.
Ces moteurs servent à orienter la sonde dans une direction facilitant le contact radio avec la Terre.
Depuis son lancement il y a 40 ans, la sonde Voyager 1 a transformé l’astronomie et l’exploration spatiale. L’engin file dans le vide spatial à environ 17 kilomètres par seconde et se trouve présentement à environ 21 milliards de kilomètres de notre planète.
Pour réactiver les propulseurs à une telle distance, la NASA a donc dû faire preuve d’ingéniosité.
« Si vous essayez de démarrer une voiture qui est restée dans un garage pendant des décennies, vous ne vous attendrez probablement pas à ce que le moteur démarre », a ainsi souligné la NASA, avant de rappeler que les moteurs en question étaient silencieux depuis novembre 1980.
Les ingénieurs de l’agence spatiale américaine ont donc dû « examiner les logiciels qui avaient été codés dans un langage obsolète », mentionne l’ingénieur en chef Chris Jones.
Une fois la possible solution trouvée, les scientifiques ont dû patienter pendant 19 heures et 35 minutes, le temps que leurs instructions ne franchissent, à la vitesse de la lumière, l’incroyable distance séparant Voyager 1 de sa planète d’origine. Le résultat positif n’a été connu que mercredi.
Dès janvier, les quatre moteurs sortis de leur torpeur reprendront du service pour remplacer d’autres propulseurs dont l’état se dégradait depuis 2014.
Et puisque la démarche de la NASA a été couronnée de succès sur Voyager 1, l’agence spatiale envisage de répéter l’expérience avec la sonde jumelle Voyager 2.
Avec une technique qui remonte au XVIII siècle, celle des sourciers, les spéléologues on trouver des galeries souterraines dans une caverne.à Montréal. Ils ne savent pas encore la longueur et ils veulent les explorer l’an prochain à la belle saison. Ce sont des galeries naturelles de 15 000 ans qui ont été probablement formées par des glaciers
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Deux spéléologues marchent dans la grotte du parc Pie-XII à Saint-Léonard. Photo : Radio-Canada/Société québécoise de spéléologie
La mystérieuse caverne de Saint-Léonard n’a pas fini de livrer ses secrets : deux spéléologues y ont nouvellement découvert des galeries, vieilles de 15 000 ans.
Le mois dernier, les spéléologues Daniel Caron et Luc Le Blanc ont enlevé des débris obstruant une fissure de la caverne située dans le parc Pie-XII.
C’est là qu’ils ont découvert une impressionnante galerie, inconnue jusqu’alors. Daniel Caron est sur un nuage, plusieurs mètres sous terre.
[C’est] le rêve, pour un spéléologue, de trouver en plein centre-ville de Montréal une galerie de cette dimension-là. Daniel Caron, spéléologue
Les deux spéléologues se doutaient qu’il y avait peut-être une galerie inconnue dans cette caverne. Ils ont utilisé la technique des sourciers, qui a confirmé ce qu’ils pensaient.
« On a décidé de creuser dans une petite fissure, parce que dans les années qui avaient précédé […] on avait identifié qu’il y avait probablement une galerie au-delà de ce qu’on connaissait », dit M. Caron.
Les galeries sont le résultat de la dislocation d’un glacier, il y a de cela plusieurs millénaires. Les parois sont verticales, l’eau vient de la nappe phréatique montréalaise. Le niveau de l’eau atteint parfois cinq mètres et, à certains endroits, le plafond.
Pour l’instant, les deux spéléologues ne savent pas jusqu’où va la galerie. Il faudra attendre l’été pour que le niveau de l’eau redescende et que les deux hommes puissent continuer l’exploration.
François Gélinas, un spéléologue amateur, directeur général de la Société québécoise de spéléologie, a eu l’occasion de visiter la nouvelle galerie à plusieurs reprises.
« C’est un moment unique, extraordinaire, sidérant. J’y retourne encore et je n’en reviens pas. C’est un assez grand volume, on parle d’une galerie qui fait au-delà de 200 mètres de long, ce qui est quand même énorme pour une caverne du Québec. […] Les stalactites et les stalagmites sont encore présentes. Dans certains coins, les stalagmites ont 20 centimètres de long, ce qui est rarissime au Québec », a-t-il expliqué en entrevue à 24/60.
Il précise qu’il s’agit d’un des seuls endroits au monde où l’on observe cette genèse de caverne, que l’on appelle glacio-tectonique. C’est aussi ce qui explique son âge.
« On sait que c’est 15 000 ans à cause de sa formation. Les murs sont très droits, dans les photos on voit qu’ils peuvent s’encastrer, et les creux et les bosses s’encastrent, c’est donc vraiment un déplacement de la roche, et la seule force qui a pu la déplacer, c’est les glaciers », explique François Gélinas.
Une grotte sous le parc Pie-XII de Saint-Léonard à Montréal Photo : Radio-Canada/Charles Ménard
Les nouvelles galeries ne seront pas ouvertes au public durant la prochaine année. L’accès y est difficile et elles n’ont pas encore été cartographiées de manière précise. L’arrondissement de Saint-Léonard a commandé une étude à cet effet.
Le conseiller municipal Dominic Perri veut strictement encadrer les visites pour éviter que le site exceptionnel ne soit vandalisé par les visiteurs qui voudraient emporter une stalactite en guise de souvenir.
Photo : Radio-Canada/Charles Ménard
« Par la suite, je l’imagine, il y aura des visites de contrôle, parce qu’on ne veut pas que les stalactites qui existent soient brisées, comme ça a été fait dans la première partie de la caverne », dit le conseiller de Saint-Léonard.
Avec les informations de Jean-Sébastien Cloutier et Charles Ménard
Que les plantes puisse servir d’agent de renseignements sur l’état d’un environnement, la présence de produits chimiques, de parasites ou pathogènes serait une très bonne chose, mais est-il vraiment nécessaire de modifier génétiquement les plantes
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Crédits : Benoit Paillé
La Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA), chargée d’approvisionner l’US Army en solutions technologiques, a désormais trouvé un moyen de choix d’espionner l’ennemi.
Comme le raconte The Independent, l’agence travaille actuellement sur des plantes génétiquement modifiées capables de faire office d’indicateurs de ce qu’il se passe autour d’elles.
Crédits : DARPA
Ce projet, nommé Advanced Plant Technologies (APT) part du constat que « les plantes sont très sensibles à leur environnement et manifestent naturellement des réponses physiologiques aux stimuli basiques tels que la lumière et la température, mais aussi, dans certains cas, au toucher, aux produits chimiques, aux parasites et aux pathogènes », explique le Dr Blake Bextine, en charge de l’initiative APT.
L’idée serait alors d’exploiter les capacités naturelles des végétaux pour les rendre capables de détecter l’usage de produits chimiques, les micro-organismes nocifs et les radiations environnantes.
« Les techniques émergentes de modélisation peuvent permettre de reprogrammer ces capacités de détection et de rapport pour un plus large éventail de stimuli. Cela ouvrirait la voie à de nouvelles sources de renseignement et réduirait les risques – et coûts – associés aux capteurs traditionnels », fait savoir le Dr Bextine.
Afin de mener à bien le projet APT, la DARPA va se baser sur une formule qu’elle utilise couramment : l’appel à projets. Les volontaires ont donc jusqu’au 12 décembre pour préparer une solution pertinente.
Source : The Independent