Les rides pourraient être essentielles pour les éléphants


Alors que nous les humains, nous voulons fuir nos rides, les éléphants eux les trouvent très utiles pour tempérer leur corps
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Les rides pourraient être essentielles pour les éléphants

 

La Presse

Les rides pourraient bien être essentielles pour les éléphants.

Une nouvelle étude a révélé le fonctionnement de ce dessein de la nature. Il semble que les plis de la peau d’un éléphant jouent un rôle clé dans le maintien de leur température corporelle.

Alors que les humains sont habitués à suer sous le soleil, les éléphants n’ont pas de glandes sudoripares. Une recherche de l’Université de Genève et de l’Institut suisse de bio-informatique montre que les rides sont composées de fractures dans la couche externe de la peau.

Cela permet aux éléphants de retenir cinq à dix fois plus d’eau que si leur peau était lisse. En plus de réguler la température corporelle, les fissures aident également à lutter contre les insectes et à protéger des dommages du soleil.

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Rides du front : elles en disent long sur votre santé cardiovasculaire


Les rides profondes seraient un indice pour des maladies cardiovasculaires..Mais bon, même si l’étude s’est étalé presque pendant 20 ans,, il y aussi d’autres paramètres qu’il faut tenir compte
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Rides du front : elles en disent long sur votre santé cardiovasculaire

 

Marie-Céline Ray

Journaliste

 

Les rides du visage ne sont pas que le signe du vieillissement. D’après une nouvelle étude française, plus les rides de votre front sont importantes, plus vous risquez de mourir d’un problème cardiovasculaire.

On savait déjà que certains caractères physiques, comme la calvitie masculine ou les plis du lobe de l’oreille, semblent liés à la santé cardiovasculaire. Au point qu’ils pourraient aider au diagnostic… Cette fois-ci, une étude de l’université du CHU et de l’Inserm de Toulouse, présentée au congrès de la société européenne de cardiologie réunie à Munich pointe du doigt les rides de votre front.

3.221 volontaires âgés de 32, 42, 52 et 62 ans ont participé à cette étude. Les chercheurs ont noté le nombre de rides sur leur front et leur profondeur, en utilisant une échelle allant de 0 (pas de ride) à 3 (nombreuses rides profondes). Au cours du suivi qui a duré 19 ans 1/2, 233 personnes sont décédées : 2,1 % de ceux qui avaient un score de 0 ; 6,6 % de ceux qui avaient un score de 1 et 15,2 % chez ceux qui avaient un score de 2 ou 3. Ceux qui avaient un score de 2 ou 3 avaient donc six fois plus de risque de mourir que ceux qui avaient un score de 0 et deux fois plus de risque que ceux qui avaient un score de 1.

Un lien possible entre les rides du front et l’athérosclérose des vaisseaux

En ajustant les résultats en fonction de différents paramètres, les différences n’étaient pas significatives, sauf pour les décès qui étaient dus à des problèmes cardiovasculaires : indépendamment de l’âge, il y avait une association significative entre les rides du front et le risque de mourir pour une cause cardiovasculaire.

Comment expliquer ce phénomène ? La formation des rides pourrait être un signe de stress oxydatif et d’altération du collagène, deux facteurs qui influencent aussi l’athérosclérose. Une autre explication est que les vaisseaux du front sont plus sensibles à l’athérosclérose : les rides seraient donc un signe de l’atteinte des vaisseaux !

https://www.futura-sciences.com/

La vie


Je trouve que ce texte me représente bien .. Et j’espère pour plusieurs d’entre vous
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La vie

 

La vie m’a arraché les larmes .. Mais elle n’a pas réussi à effacer mon sourire.
La vie m’a brisé le coeur… Mais elle n’a pas réussi à froisser mon âme.
La vie m’a dérobé plusieurs envies … Mais elle ne m’a jamais dépouillé de mes rêves.
La vie pourra au fil du temps, m’imposer des rides sur le visage … Mais elle ne fera jamais vieillir mon coeur

Inconnu

Une bonne personne


Peut importe si nous avons un beau visage et un corps de rêve, cela ne fait nécessairement pas une meilleure personne. Car notre physique change avec les années alors ce que nous sommes restera si on l’entretien
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Une bonne personne

 

Un joli visage va prendre des rides. Un joli corps va aussi vieillir. Mais une bonne personne restera toujours une bonne personne

Inconnu

Mes rides


Je retiens de ma mère, j’ai des rides, mais pas autant que ceux de mon âge, comme la plupart de mes frères et soeurs bien que je suis contente de ce fait, il faut quand même voir  chaque ride qui apparaît sont des marques de l’histoire d’une vie, alors pourquoi avoir recours a divers moyens pour les faires disparaitre
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Mes rides

 

Accumuler de la jeunesse est un art
“Laissez-moi mes rides, j’ai mis toute une vie pour les obtenir”.

Anna Magnani

Inde Un «bébé monstre» abandonné par sa maman


Je n’aime pas le terme « bébé monstre » pour désigner un bébé différent des autres. Heureusement que cette petite fille a un grand-papa au grand coeur, car sûrement qu’elle n’aurait pas survécu aux premières heures de vie.
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Inde

Un «bébé monstre» abandonné par sa maman

 

Un bébé de seulement deux semaines né avec d’étranges rides, lutte pour sa vie après être né prématurément et abandonné par ses parents.

La petite fille a été rejetée en raison de son étrange problème de peau, rapport le Mirror.

C’est le grand-père de la petite fille qui n’a pas encore de prénom, qui en a pris soin depuis sa naissance.

Il l’a nourri en lui donnant du lait de chèvre à la cuillère. Il l’a ensuite amené dans un hôpital de Maharashtra, dans l’ouest de l’Inde.

(Mirror)

Née après 7 mois de grossesse la petite pesait seulement 800 grammes. Selon les médecins, l’enfant aurait développé des problèmes de peau en raison d’un retard de croissance intra-utérin (RCIU), ainsi qu’un développement anormal des chromosomes.

Sa mère, Mamata Dode, 25 ans, a refusé d’allaiter son enfant en raison de son apparence repoussante. Elle a également refusé de visiter son bébé à l’hôpital.

(Mirror)

Son père, Ajay Dode, 25 ans, a aussi refusé de s’en occuper. Il n’a même pas osé la prendre dans ses bras.

Le grand-père, Dilip Dode, 50 ans, a parcouru plus de 138 kilomètres pour la faire soigner à l’hôpital. Elle est devenue malade peu de temps après sa naissance.

«Ça me brise le cœur de voir que ses parents l’ont rejeté, mais je vais tout faire pour la sauver», a expliqué le grand-père paternel à une chaîne de télévision indienne.

Mauvaise surprise

Il a expliqué que son fils et son épouse espéraient un enfant en santé, comme leur première fille, qui a aujourd’hui trois ans. Ils ont toutefois été horrifiés lorsqu’il ont vu leur nouveau-né pour la première fois.

La parturiente avait eu un bon suivi médical et rien ne laissait présager une anomalie. L’accouchement s’est bien déroulé, même s’il a eu lieu plus tôt que la date prévue.

La femme a accouché dans son village. Lorsque le bébé est né, la rumeur d’un «bébé monstre» s’est rapidement répandue.

Plusieurs villageois sortaient de leur maison afin de voir la petite, qui était devenue une curiosité.


Toutefois, personne ne voulait prendre le nourrisson dans ses bras, craignant d’attraper une maladie.

(Mirror)

Le grand-père qui a choisi de prendre soin de sa petite fille, a l’intention de l’élever seul, même si la petite est déjà rejetée par toute une population.

«Ce n’est pas de sa faute si elle est née différente, je ne vais pas la rejeter parce qu’elle souffre d’une maladie.»

L’hôpital Wadia de Mumbai a accepté de payer pour les traitements de ce bébé bien spécial. Les coûts du traitement frôlent les 500 000 roupies (environ 10 000 dollars canadiens) comprenant l’hébergement pour le grand-père.

La petite va mieux, a indiqué de son côté la Dre Minnie Badhanwala.

«Lorsqu’elle est arrivée, elle était complètement déshydratée. Si elle était arrivée plus tard, elle serait probablement morte», explique-t-elle.

Des tests plus poussés permettront de connaître les causes exactes de sa maladie.

Le poupon devra toutefois rester à l’hôpital très longtemps.

 

http://tvanouvelles.ca/

Mes rides


Nous vieillissons tous, les rides sont des témoins de notre vie, acceptons ces empreintes qui apparaissent après toutes ces années
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Mes rides

 

« Ne retouchez pas mes rides, j’ai mis toute une vie pour les obtenir »

Anna Magnani

Chirurgie esthétique: du Botox dès la vingtaine


Autant qu’on se bat contre les gens qui prônent la minceur à tout prix que maintenant on risque de se battre contre un visage parfait Non mais ce fait quoi si on a des rides .. c’est naturel, cela fait partie de nos gènes. Tout être vivant vieillit et nous, les êtres humains, nous sommes trop orgueilleux ou nous avons peur de vieillir ?
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Chirurgie esthétique: du Botox dès la vingtaine

 

Les femmes qui veulent absolument limiter les rides en vieillissant devraient... (Photo Olivier Jean, archives La Presse)

PHOTO OLIVIER JEAN, ARCHIVES LA PRESSE

MATHIEU PERREAULT
La Presse

Les femmes qui veulent absolument limiter les rides en vieillissant devraient commencer les traitements de chirurgie esthétique, comme le Botox, dès la vingtaine. C’est du moins ce que propose un «point de vue» publié le mois dernier dans la prestigieuse revue JAMA Dermatology.

«Nos patientes nous demandent souvent quand elles doivent commencer les traitements esthétiques antirides comme la toxine botulinique», explique l’auteure principale de l’étude, Heather Hamilton, de la clinique Skincare de Chestnut Hill, au Massachusetts. «Je ne pense pas qu’il faille commencer à l’adolescence. Mais si une femme dans la vingtaine est convaincue qu’elle veut à tout prix éviter des rides dans la quarantaine, il vaut mieux commencer en prévention, immédiatement.»

Le Dr Hamilton cite notamment une étude sur deux jumelles identiques, publiée en 2006 dans la revue Archives of Facial and Plastic Surgery. L’une des jumelles avait reçu des injections de Botox deux à trois fois par année à partir de 25 ans. À 38 ans, elle avait nettement moins de rides que sa jumelle.

Ne faudrait-il pas attendre d’autres études similaires avant d’en arriver à une telle recommandation?

«Idéalement oui, mais il n’est pas facile d’en faire en chirurgie esthétique», concède le Dr Hamilton.

Points de vue divergents

Deux associations médicales impliquées dans le domaine, la Société canadienne de chirurgie du laser esthétique (CLASS) et l’Association canadienne de dermatologie ont des points de vue divergents sur l’étude.

«On sait depuis longtemps qu’il vaut mieux commencer les traitements antirides en prophylaxie, avant l’apparition des rides passives, quand les rides n’apparaissent que lorsqu’on utilise les muscles de la figure», affirme Arie Benchetrit, président de CLASS, qui pratique à Pointe-Claire.

«Mais ici, on voit rarement des femmes pour ça avant l’âge de 35 ans.»

Ari Demirjian, un dermatologue du Centre universitaire de santé McGill consulté par La Presse, estime quant à lui que «beaucoup de dermatologues ne partagent pas le point de vue qu’il faut commencer dès la vingtaine».

«L’étude des jumelles est la seule de son genre. C’est trop tôt pour en tirer des conclusions.»

Lilia Goldfarb, spécialiste de la question de l’image corporelle au Y des femmes de Montréal souligne quant à elle que le désir de chirurgie plastique cache parfois des problèmes de dépression.

«Idéalement, il faudrait que ce type d’intervention s’accompagne d’une consultation psychologique, dit Mme Goldfarb. Peut-être pourrait-on prévoir une consultation obligatoire pour les mineures, à tout le moins.»

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