Hanté


Moi qui ne croit pas aux fantômes, j’avoue que vue de cette manière, ce n’est pas faux …
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Hanté

 

« Pour être hanté, nul besoin de chambre, nul besoin de maison, le cerveau regorge de corridors plus tortueux les uns que les autres. »

Emily Dickinson

VIDÉO. Le chien qui ne savait pas monter les escaliers


Est-ce que savoir descendre des marches d’escaliers pour un chien est inné ? Si oui, ce chien a peut-être quelque chose comme les perceptions des fossé ou c’est une question d’équilibre … mais bon
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VIDÉO. Le chien qui ne savait pas monter les escaliers

 

Notre ami à quatre pattes accède à l’étage de la maison à l’envers, la tête vers le bas, le train-arrière vers le haut. De quoi laisser pantois son camarade qui l’attend au sommet des marches.

http://www.huffingtonpost.fr

11 VÉRITÉS QUE LE GÉRANT DE VOTRE SUPERMARCHÉ NE VOUS DIRA JAMAIS


Il faut bien se nourrir et ce n’est pas si simple avec le coût de la vie, profiter des rabais c’est bien mais si on n’a pas besoin …  N‘oubliez pas que les produits sont disposés de manière a vous laissez tenter
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11 VÉRITÉS QUE LE GÉRANT DE VOTRE SUPERMARCHÉ NE VOUS DIRA JAMAIS

 

Votre gérant de supermarché a plus d’un truc dans son sac pour vous faire dépenser. Voici comment…

Par Ariane Jacob

1. Date de péremption

Les produits dont la date de péremption est la plus tardive sont rangés derrière les autres. Une politique que nous vous recommandons pour votre réfrigérateur !

2. Promotions

Méfiez-vous des promotions : quand vous voyez les mentions « Deux pour le prix d’un » ou « 30 % de rabais », vous avez tendance à acheter davantage.

3. Présentation des produits

On vous présente souvent les articles avec la plus haute marge de profit aux extrémités des rangées et dans les allées qui font le pourtour du magasin, là où vous êtes le plus susceptible de passer.

4. Compostage

Certains supermarchés ont commencé le compostage des produits frais qu’ils doivent jeter. D’autres donnent les aliments encore comestibles à des banques alimentaires ou à des organismes communautaires.

5. Caissières

Les caissières ne sont pas des machines : vous pouvez leur adresser la parole et même les saluer. Et, s’il vous plaît, rangez votre téléphone portable !

6. Marge de profit

Si les cantaloups sont soldés 99 ¢ alors que leur prix courant est de 2,99 $, cela ne signifie pas qu’on engrange un profit de 2,00 $. Fixer les prix n’est pas si simple.

7. Sacs réutilisables

Désormais au moins 70 % d’entre vous apportez vos sacs à emplettes réutilisables plutôt que de prendre de nouveaux sacs en plastique à la caisse.

8. Site de rencontre

Vous cherchez l’âme sœur ? Nous avons assisté à quelques rencontres dans les allées. Un truc, le panier d’épicerie des célibataires est facile à identifier grâce aux portions choisies…

9. Vol à l’étalage

Les vols les plus fréquents ? Le vin, la viande et le fromage… Il existe même des réseaux de revente.

10. Produits locaux

Vous demandez de plus en plus des produits locaux. C’est excellent pour l’économie régionale, continuez.

11. Choix alimentaire

En faisant vos courses dans un supermarché québécois, vous choisissez en moyenne entre… pas moins de 30 000 produits !

http://selection.readersdigest.ca/

Lac-Mégantic : un train explose et provoque au moins 1 mort.


Tôt ce matin, la nouvelle était le déraillement d’un train dans une petite ville au Québec, La vidéo montre bien l’incendie monstre causé par le pétrole qui était logé dans les wagons. Les enquêteurs ne savent pas encore comment cette catastrophe a pu se produire, car sans opérateur, le train était supposé être en arrêt pour quelques heures
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UN TRAIN EXPLOSE | 1000 ÉVACUÉS

Lac-Mégantic : un train explose et provoque au moins 1 mort.

 

LAC-MÉGANTIC – La Sûreté du Québec a confirmé qu’une personne a perdu la vie dans l’incendie survenu au centre-ville de Lac-Mégantic, samedi, à la suite de l’explosion d’un wagon de train rempli de pétrole.

C’est ce qui a été révélé lors d’un point de presse des autorités, en après-midi.

La SQ a refusé de s’avancer davantage concernant le nombre de personnes disparues.

«Il y a eu plusieurs signalements», s’est contenté d’admettre le lieutenant Michel Brunet, lors d’un point de presse, en fin d’après-midi.

Toutefois, selon des citoyens rencontrés sur place par TVA Nouvelles, il pourrait y avoir de 40 à 60 personnes disparues.

Les policiers invitaient toutes les personnes qui se trouvaient à Lac-Mégantic, vendredi soir, à se rapporter à l’école Montignac afin de faire le décompte des disparus.

Les pompiers étaient toujours à pied d’œuvre, en fin d’après-midi. L’incendie était toutefois sous contrôle, mais pas éteint.

«On a encore des réservoirs qui contiennent du pétrole brut qui brûle. Il y a cinq réservoirs qui sont toujours très dangereux. Nous les arrosons parce que nous voulons les refroidir», a affirmé Denis Lauzon, chef des pompiers locaux.

Aussitôt que l’incendie sera éteint, le Bureau de la sécurité des transports (BST) enverra ses enquêteurs sur les lieux.

«Nous débuterons notre collecte de données. Nous commencerons par chercher les boîtes noires des locomotives pour obtenir de l’information sur les paramètres du train, comme la vitesse et les freins», a précisé Glen Pilon, coordonnateur technique pour le BST.

Wagons remplis de pétrole

Vers 1 h, samedi, un train de 72 wagons remplis de pétrole de la compagnie Montreal Maine & Atlantic Railway (MMA) a déraillé, pour une raison inconnue. Il n’y avait aucun conducteur dans le train. L’un des wagons a ensuite explosé.

«Les wagons transportaient une centaine de tonnes chacun de pétrole brut, a expliqué Christian Blanchet, de la Direction de l’environnement de l’Estrie. Il y aurait un wagon détruit par l’explosion et trois autres qui auraient pris en feu», a-t-il spécifié.

Un incendie majeur s’est ensuite déclaré au cœur de la localité estrienne. Un épais panache de fumée duquel émanait une forte odeur a recouvert le ciel. Des témoins ont rapporté que six déflagrations au total ont été entendues.

«En 25 ans de carrière, c’est la première fois que je vois cela», a déclaré le lieutenant Michel Brunet, de la SQ, en matinée.

Trop vite

Plusieurs témoins ont indiqué que le train circulait à une vitesse anormalement élevée dans les instants précédant l’accident.

«Il arrivait trop vite, a raconté l’un d’eux à TVA Nouvelles. Les roues ont décollé et c’était juste des wagons noirs de gaz, il y en avait de 40 à 60 en ligne. Ça a pété, ça a fait une boule de feu au moins trois fois la hauteur des bâtisses du centre-ville.»

De nombreux bâtiments de la localité de 6000 habitants ont été soufflés, dont un bar, le Musi-Café, où se trouvaient de nombreux clients. Des dizaines de personnes étaient sans nouvelles de leurs proches, samedi matin.

«C’est une nappe de pétrole en feu qui a arrivé, a poursuivi le témoin. Nous, on était dehors. Le monde dans le bar… il ne doit pas y en avoir beaucoup qui sont sortis de là. Il y a plein de bâtisses à deux ou trois étages. On connaît du monde qui a sauté du troisième étage pour sauver leur peau.»

«La nappe a glissé jusqu’au lac, 300-400 pieds de large, tout en feu», a-t-il ajouté, visiblement perturbé.

La mairesse Colette Roy-Laroche était particulièrement ébranlée par la tragédie.

«Comme maire, quand on voit son centre-ville détruit en grande partie, nous nous posons des questions. On se demande comment on va survivre», a-t-elle laissé tomber.

Aucun conducteur à l’intérieur

Le vice-président de MMA, Joseph R. McGonigle, a confirmé en matinée qu’il n’y avait aucun opérateur à l’intérieur du train lorsque le drame est survenu. Il a également précisé que selon des témoins, le train circulait à très grande vitesse.

Le responsable des communications de la compagnie ferroviaire, Christophe Journet, a affirmé que «le convoi était en provenance de l’Ouest canadien et qu’il transportait le pétrole vers les raffineries Irving de l’Est du Québec.»

Selon ce qu’a appris TVA Nouvelles, les opérateurs du train avaient quitté celui-ci vers 23 h 30. Le train était immobilisé et ne devait pas bouger, mais pour des raisons qui demeurent à éclaircir, le convoi s’est remis en marche.

Évacuations

Au départ, près de 1000 résidents ont été évacués et un périmètre de sécurité d’environ un kilomètre a été mis en place. Au cours de l’après-midi, un autre groupe de 1000 personnes, du secteur de Fatima, a également dû être évacué en raison de particules présentes dans l’air.

Les travailleurs sociaux du CLSC se sont rendus disponibles pour aider les sinistrés. La Croix-Rouge était également sur place pour venir en aide aux résidents.


Déversement de pétrole

LAC-MÉGANTIC – L’explosion d’un wagon de train gorgé de pétrole n’est pas sans causer des dommages environnementaux à Lac-Mégantic et au plan d’eau du même nom.

«Il y a des flammes de 10 ou 15 pieds qui s’élèvent des trous d’homme du réseau d’égouts et il y a du feu qui se jette dans le lac à la sortie du réseau», a expliqué Christian Blanchet, de la direction de l’environnement de l’Estrie, samedi matin.

«Le vent pousse les hydrocarbures sur la berge, a poursuivi M. Blanchet. On va avoir plusieurs centaines de mètres de berge souillée, mais le feu aidant, actuellement, il brûle les hydrocarbures qui se jettent à l’eau.»

Un laboratoire mobile d’évaluation de la qualité de l’air a été dépêché au centre-ville vers 7 h 30. Un groupe de chimistes devait circuler sur un parcours précis dans les rues pour recueillir des données transmises en temps réels aux services de santé de la région, afin de décider des mesures à prendre.

Selon l’importance des contaminants dans l’air, le périmètre de sécurité pourrait être agrandi.

Le lieutenant Michel Brunet, de la SQ, a rappelé que la ville est à éviter, afin de laisser toute la place aux pompiers et aux policiers. Une interdiction de navigation était également en vigueur pour tout le secteur est, qui fait partie du périmètre de sécurité établi par les autorités.

(….)


Les médias sociaux pris d’assaut

LAC-MÉGANTIC – Dans les heures qui ont suivi l’explosion, les gens à la recherche de proches habitant Lac-Mégantic ont pris d’assaut les médias sociaux dans l’espoir de prendre contact avec eux et d’avoir de leurs nouvelles.

Une page de support a notamment été créée sur Facebook, tôt samedi. Les messages de gens inquiets abondaient. Ils étaient des centaines à rechercher un parent, un cousin ou un ami qui n’a pas donné signe de vie depuis la tragédie qui a secoué la petite municipalité de l’Estrie.

«Quelqu’un a vu Patrick Cloutier et Annie Trépanier? J’essaie de les rejoindre, mais je ne suis pas capable à cause du téléphone cellulaire qui ne pogne pas à Frontenac», a notamment écrit Mélanie Isabelle.

«Je cherche ma maman, Natacha Gaudreau (qui) était au Musi-Café (un bar situé à proximité d’où l’explosion a eu lieu)», a pour sa part publié Estel Blanchet.

Certains internautes, plus chanceux, ont reçu l’assurance que les personnes qu’ils recherchaient étaient saines et sauves.

Une ligne téléphonique été mise en service pour rapporter une personne manquante. Il s’agit du 819-832-4953 poste 6005.

Les citoyens de Lac-Mégantic qui auraient des questions peuvent quant à eux appeler au 819 583-2441 ou envoyer un courriel au info@ville.lac-megantic.qc.ca.

http://www.journaldemontreal.com

Les samouraïs du Net


Peut-être que nous ne voyons pas toute l’ampleur des révélations qu’a faite Edward Snowden a propos de l’espionnage, mais depuis nombres d’articles, de documentaires nous met la réalité sur les conséquences de l’espionnage. Mais aussi on peut voir l’hypocrisie des gouvernements qui ont semblé offusqué d’apprendre qu’ils étaient espionné par les États-Unis (peut-être qu’ils le savaient déjà) mais aucun pays ne donnerait asile a celui qui a mit a jour les révélations sur l’espionnage sauf deux pays qui peut-être lui donneraient asile soit le Venezuela ou le Nicaragua
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Les samouraïs du Net

Photo © Jason Lee / Reuters

Le Canada, qui a offert l’asile aux déserteurs de la guerre du Viêt Nam, l’offrirait-il aujourd’hui à Edward Snowden ? (Photo © Jason Lee / Reuters)

Une génération se bat aujourd’hui pour la « liberté d’Internet », comme d’autres se sont battues pour le droit à l’avortement légal ou le droit de s’asseoir n’importe où dans un autobus. Et son combat est tout aussi important.

Grâce aux révélations du lanceur d’alerte états-unien Edward Snowden, 29 ans, des millions d’internautes ont découvert que dans le ventre de Facebook, YouTube ou Google se cachent des mouchards au service des analystes de la National Security Agency (NSA), le troisième pilier de la sécurité américaine, avec le FBI et la CIA. Washington écoute.

Depuis sept ans, le programme américain PRISM permet à la NSA — en toute légalité, grâce au Patriot Act, adopté après les attentats de septembre 2001 — de stocker toutes les communications qui passent par les grands opérateurs états-uniens. Des analystes puisent à volonté dans cette manne de messages et d’images. Nul besoin d’obtenir une autorisation légale sur la base de soupçons d’activités criminelles ou subversives. Votre voisin peut tout bêtement se retrouver dans les filets d’une enquête parce qu’il compte parmi ses amis Facebook une personne liée à une autre jugée digne d’intérêt par la NSA.

Cette agence a aussi lancé plus de 60 000 cyber-attaques, a révélé Snowden : contre des cibles mondiales, des universités chinoises, des organismes publics, des multinationales… D’autres pays plus tyranniques — de l’Iran à la Chine en passant par l’Arabie saoudite — ont certainement fait de même, direz-vous. Bien sûr.

Mais pour leur sécurité, les démocraties doivent-elles espionner tous leurs citoyens ? Pour un attentat évité, combien d’autres, comme celui du marathon de Boston, ne le seront pas ? Afin de préserver nos libertés, faut-il sacrifier nos vies privées ?

Pour avoir levé le voile sur cette dérive, Snowden a vu son passeport révoqué et est un homme traqué.

Le jeune idéaliste a des alliés : pirates informatiques, activistes, programmeurs, pionniers d’une nation sans frontières qui défend la liberté de communiquer sans être espionné. Il faut voir sur ARTE l’excellent documentaire français Une contre-histoire de l’Internet pour saisir l’importance de cette lutte. L’Electronic Frontier Foundation, ONG internationale citée dans ce documentaire, œuvre à protéger les droits des programmeurs qui créent et diffusent gratuitement des logiciels de cryptage de données afin de mettre celles-ci à l’abri des regards des puissants. Crypter des données est illégal dans certains pays.

Cette défense des libertés électroniques a envahi le débat politique. Un député du Parti pirate suédois siège au Parlement européen. En Australie, une cour de justice a rabroué, en juin, le gouvernement, qui voulait forcer des entreprises de télécoms à conserver pendant deux ans des données de leurs usagers (au cas où l’État voudrait y jeter un œil !).

Partout, des gens luttent pour éviter qu’Internet ne soit enchaîné. Snowden a rejoint leurs rangs. Et son parcours d’autodidacte idéaliste annonce assez bien la perte de contrôle des élites traditionnelles.

Féru d’ordinateurs, Snowden n’avait même pas de diplôme d’études secondaires quand la CIA l’a embauché, en 2007, et l’a installé en Europe. À Hawaï, comme consultant de la NSA, il gagnait plus de 100 000 dollars. À Internet, qui lui a donné accès gratuitement au savoir, il rembourse une dette de loyauté.

Le président Obama, dont les victoires ont reposé sur l’usage d’Internet et le soutien des jeunes, ne peut-il trouver une autre réponse au geste de Snowden que de le menacer de 30 ans de réclusion ?

Traître à son pays ou héros, Snowden nous invite à réfléchir. Que voulons-nous livrer de nos vies à ce monde numérique qu’aucune police ne protège pour nous ? Pourquoi lui faisons-nous si aveuglément confiance ? Quel rôle voulons-nous que nos gouvernements jouent dans ce combat ?

+

Une société française a vendu à la Syrie le système qui permet d’espionner toutes les communications du pays. Une entreprise canadienne a fait de même au Pakistan.

http://www.lactualite.com

Comment protéger un rongeur, un furet ou un lapin de la chaleur ?


Même si je trouve que certains animaux ne devraient jamais être des animaux domestiques mais être libre dans la nature, il est quand même important pour ceux qui en possèdent de savoir prévenir les coups de chaleur de ces animaux tels que lapins, furets ….
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Comment protéger un rongeur, un furet ou un lapin de la chaleur ?

 

Si nous pouvons enlever nos couches de vêtements pour avoir moins chaud lorsque les températures montent, les animaux, eux, ne peuvent pas retirer leurs poils ! Pour éviter le coup de chaud, il faut alors les aider. Voici donc quelques conseils pour éviter à votre rongeur de souffrir de la chaleur.

Placer la cage au frais

Vivre dans l’espace restreint d’une cage en pleine canicule n’est pas facile pour les rongeurs. C’est pourquoi il faut impérativement rafraîchir son habitat. Gardez en tête que les rongeurs supportent difficilement des températures supérieures à 25°C. 

– Placez la cage dans la pièce la plus fraiche de la maison.

– Fermez les volets de la pièce pour que la chaleur n’y entre pas.

– Aérez bien pendant les moments les moins chauds de la journée (la nuit notamment).

– Utilisez un ventilateur pour faire circuler l’air.

Attention toutefois, le ventilateur ne doit jamais être braqué sur la cage du rongeur car cela pourrait l’enrhumer. De plus, il ne faut pas non plus que le rongeur soit dans un courant d’air car cela peut également le rendre malade.

Rafraîchir le rongeur

Le rongeur doit boire au maximum. Veillez à ce qu’il ait toujours de l’eau à disposition, et n’hésitez pas à la changer régulièrement. Attention : jamais d’eau glacée !

Vous pouvez placer dans la cage un linge humide essoré pour apporter une source de fraiîheur à votre rongeur. Si celui-ci est en liberté dans la maison, il existe des tapis rafraîchissants pour chiens et chats qui pourront également lui convenir.

Si le rongeur vit en extérieur, il faut impérativement qu’il ait accès à un coin à l’ombre.

Sachez que certains animaux, comme les lapins, régulent leur température corporelle par les oreilles. Vous pouvez donc vaporiser un peu d’eau fraîche dessus. Appliquer une éponge humide sur ses poils lui fera également du bien.

Si votre rongeur ou votre lapin a les poils particulièrement longs (notamment les races angoras), brossez-le régulièrement. Vous pouvez également le tondre : rassurez-vous, les poils repousseront vite !

Voyager avec un rongeur

Si vous voyagez avec votre rongeur, votre furet ou lapin en voiture, évitez de prendre la route aux heures les plus chaudes. Préférez le matin ou le soir, une fois le soleil couché.

S’il fait chaud dans la voiture, aérez-la avant d’y placer votre animal.

Pendant le voyage, laissez la fenêtre ouverte ou la climatisation pour votre confort et celui de votre poilu.
Et surtout :
ne laissez jamais votre animal dans la voiture, même à l’ombre, et même si ce n’est que pour quelques minutes.

Les signes d’un coup de chaleur

Les mesures citées ci-dessus éviteront à votre petit compagnon de trop souffrir de la chaleur. Toutefois, on n’est jamais à l’abri d’un coup de chaleur lorsque la température dépasse 30°C ! Quels  sont les symptômes qui doivent vous alerter ?

– Respiration rapide et haletante

– Prostration

– Tremblements musculaires

– Coma

En cas de coup de chaleur, si l’animal est en état de choc, il faut réagir vite et le conduire chez un vétérinaire en urgence. Il risque de mourir.

http://wamiz.com

Des incendies typiques d’un climat plus chaud


Il semble que la fumée des feux de forêt au nord du Québec fasse son chemin vers l’Europe, ce qui veut dire que ça brûle vraiment fort. Et il semble aussi que cela ne sera pas une année isolée, mais bien une tendance qui va probablement empirer avec les années avec les changements climatiques
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Des incendies typiques d’un climat plus chaud

 

Le plus gros incendie de forêt de l'histoire... (Photo: fournie par Airmedic)

Le plus gros incendie de forêt de l’histoire de la province a continué à faire des ravages, vendredi, forçant l’évacuation de centaines de résidants des communautés riveraines de la baie James.

PHOTO: FOURNIE PAR AIRMEDIC

CHARLES CÔTÉ
La Presse

L’incendie monstrueux qui dévore la forêt à la Baie-James est typique d’un climat plus chaud qui deviendra la norme avec les changements climatiques, selon les experts.

Contrairement au sud du Québec, il a fait plus chaud et plus sec que la moyenne dans le Nord cette année.

«On a eu un printemps chaud, dit Martin Girardin, du Service canadien des forêts. On sait qu’il y a une très bonne corrélation entre les températures en juin et la taille des feux. Pour chaque degré de plus en température moyenne, la taille des feux triple.»

Martin Girardin et Yves Bergeron, de l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue, ont étudié les sédiments de neuf lacs compris entre Chibougamau et le Témiscamingue pour reconstituer les incendies des 6000 dernières années dans cette région.

Leur recherche a été publiée en décembre dernier dans la prestigieuse revue Proceedings de l’Académie nationale des sciences des États-Unis.

Dans la zone d’étude, le réchauffement devrait atteindre 2 degrés en 2050 et 4 degrés à la fin du siècle, sans hausse des précipitations au printemps et à l’été, ce qui devrait entraîner un assèchement climatique.

Les chercheurs concluent que cette situation occasionnera des incendies de forêt de plus en plus importants.

Les agences de prévention des incendies pourraient être débordées et les communautés seraient plus à risque, estiment les chercheurs.

Selon Yves Bergeron, si les plus gros incendies deviennent plus fréquents, l’écologie de la région pourrait changer.

«On est déjà dans un territoire où il y a beaucoup de feux. Dans le secteur d’Eastmain, le cycle des feux est entre 50 et 100 ans. Si les feux sont plus fréquents et plus gros, il y aura plus de forêts ouvertes.»

Dans les régions plus au sud, où la forêt est exploitée commercialement, la foresterie pourrait souffrir, dit-il.

La fumée des incendies du Québec a voyagé jusqu’en Europe, selon un autre expert, Scott Bachmeier, spécialiste des observations satellites à l’Université du Wisconsin à Madison.

«Il y a des signes que la fumée a atteint l’Europe, dit-il. Et ce ne serait pas surprenant. Ces incendies dégagent des quantités incroyables de fumée. Ils sont très visibles sur les images satellites depuis au moins une semaine et ils grossissent chaque jour.

http://www.lapresse.ca

Sécuriser sa maison à l’ère des médias sociaux


On s’assure avant de partir de la maison, que les fenêtres ne donnent pas accès a la maison, on barre la porte, et si on a un système d’alarme on le met en fonction, mais sur les réseaux sociaux c’est tout autre chose. Beaucoup d’entre nous, donne trop d’informations sur les réseaux sociaux qui donnent des idées a certains de venir nous rendre visites mais pendant notre absence
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Sécuriser sa maison à l’ère des médias sociaux

 

Avoir l'oeil sur ce que vos enfants peuvent... (Archives AP)

Avoir l’oeil sur ce que vos enfants peuvent mettre en ligne. Une fin de semaine sans parents affichée sur Facebook peut se transformer en cauchemar.

ARCHIVES AP

MARIE-PIER CAYER
Le Soleil

(Québec) Bien sécuriser sa maison, ça se passe aussi sur les médias sociaux. Quelques conseils pratiques vous sont offerts par la firme Weiser, qui se spécialise dans la fabrication de quincaillerie résidentielle.

Ne pas indiquer les dates auxquelles vous partez sur votre statut et ne les gazouillez pas. En même temps, il est nécessaire de bien vérifier les paramètres de sécurité et de confidentialités sur les sites des médias sociaux pour s’assurer que vos contenus ne soient pas accessibles à tous.

Faites attention à la fonction «à proximité de» appliquée presque instantanément sur Facebook et les autres applications qui partage votre emplacement. Les nouvelles générations le font automatiquement.

Ne pas partager votre frustration au sujet de la porte d’entrée de votre résidence qui ne ferme pas bien, ni des rénovations qui pourraient diminuer la sécurité de votre résidence. Ne pas afficher les photos de vos nouveaux achats comme un nouveau téléviseur 52 po ou de votre moto toute neuve, bien garée dans votre garage.

Avoir l’oeil sur ce que vos enfants peuvent mettre en ligne. Une fin de semaine sans parents affichée sur Facebook peut se transformer en cauchemar.

Partagez vos nouvelles acquisitions en matière de sécurité, comme un nouveau système d’alarme ou une nouvelle serrure. Décourager les voleurs et les casseurs de s’approcher de votre demeure ne peut pas vous faire de tort.

Le Conseil canadien de la sécurité suggère aussi de protéger sa vie privée sur les médias sociaux. Le conseil recommande d’évaluer si le fait de divulguer un élément d’information peut améliorer son expérience sur les médias sociaux. En y réfléchissant bien, quelques informations sur vous ou votre résidence pourraient être effacées.

http://www.lapresse.ca/