L’intuition


Comment de fois que nous n’osons aller de l’avant parce que les autres ne croient pas que nous réussirons. Combien de fois que certains se sentent paralyser par les rumeurs sur eux .. Alors qu’il suffit d’être sourd aux mauvaises langues
Nuage

 

L’intuition

 

« Ne laissez pas le bruit des opinions des autres étouffer votre propre voix intérieure. Et plus important encore, ayez le courage de suivre votre cœur et votre intuition. »

Steve Jobs

Des cacatoès qui ouvrent des coffres-forts!


Les oiseaux sont petits et leur cerveau n’est peut-être pas très gros, mais pourtant, ils sont beaucoup plus intelligents que l’on pense … Juste a regardé ce cacatoès avec patience ouvrir les verrous, ils sont très agiles et étonnants
Nuage

 

Des cacatoès qui ouvrent des coffres-forts!

 

Le système 

Photo :  Université Oxford

Les cacatoès peuvent résoudre des problèmes mécaniques complexes qui visent à ouvrir une série de verrous afin d’atteindre une récompense.

Le Pr Alex Kacelnik de l’Université Oxford et ses collègues de l’Université de Vienne estiment que leurs recherches montrent sous un nouveau jour les capacités intellectuelles des oiseaux.

Le système Photo :  Université Oxford

Les travaux

L’équipe européenne a présenté à 10 cacatoès (Cacatua goffini) une boîte contenant une noix de cajou, un fruit qu’ils pouvaient atteindre après avoir déverrouillé cinq dispositifs différents.

En détail, le perroquet devait retirer une goupille, retirer une vis, enlever un boulon, puis tourner une roue et passer un loquet sur le côté.

Le spécimen Pipin a réussi à ouvrir la boîte sans aide en deux heures. Plusieurs autres oiseaux ont réussi à résoudre le casse-tête mécanique après en avoir observé d’autres réussir avant eux.

« Le progrès des oiseaux vers un objectif est inchangé par le fait que le but soit éloigné. Nous ne pouvons pas prouver que les oiseaux comprennent la structure physique du problème comme un humain par exemple, mais nous pouvons déduire par leur comportement qu’ils savent que des objets peuvent agir les uns sur les autres. »— Alex Kacelnik

Les observations montrent qu’un individu qui a réussi les épreuves une fois s’en souvient toujours par la suite sans faire aucune erreur.

La séquence de verrous a ensuite été modifiée afin de tester les habiletés cognitives de ces perroquets. Les chercheurs ont constaté que, au lieu de se concentrer sur ce qu’ils avaient appris, les oiseaux ont rapidement modifié leurs gestes et se sont concentrés sur la première étape nécessaire à l’ouverture de la boîte.

« Ils n’ont pas seulement répété les gestes qu’ils avaient appris et qui menaient à une récompense, mais ils ont créé une nouvelle série d’actions sans aucun entraînement. »— Alex Kacelnik

Le détail de ces travaux est publié dans la revue PLoS One.

FigaroFigaro Photo :  Université Oxford

Le saviez-vous?


L’
année dernière, la même équipe de recherche avait observé un cacatoès fabriquer et utiliser spontanément des « outils » pour atteindre de la nourriture et des objets hors de sa portée.

http://www.radio-canada.ca

Le Saviez-vous ► Des animaux suicidaires ?


Est-ce juste l’être humain qui se suicide ou d’autres animaux le fond ?Certains animaux ou insectes laissent croire à préférer le suicide que d’affronter une grosse difficulté mais les apparences peuvent être trompeuses
Nuage

 

Des animaux suicidaires ?

 

Par Zgounda
Les animaux peuvent-ils avoir des tendances suicidaires ?

Peut-être avez-vous déjà entendu dire qu’un scorpion entouré de flammes préfère se piquer lui-même plutôt que de mourir brûlé ? Ou que les lemmings (des petits rongeurs) se jettent en masse du haut des falaises lorsqu’ils sont trop nombreux (2) ?

En réalité, tous ces « suicides » sont des légendes : le scorpion se déshydrate et se recroqueville sous l’effet de la chaleur, ce qui donne l’impression qu’il se pique (il est d’ailleurs insensible à son venin).

Quant aux lemmings, lorsqu’ils sont trop nombreux, ils partent coloniser d’autres espaces. S’ils croisent une rivière ou un lac, ils le traversent sans problème ; s’ils atteignent la mer, ils vont tenter de traverser mais n’atteindront jamais « l’autre rive ».

Bien sûr, il existe d’autres animaux ayant apparemment une tendance suicidaire ; certains (des insectes surtout) attaquent un ennemi parfois au prix de leur vie : une abeille, lorsqu’elle pique un humain (ou un animal à peau) et que la piqûre est profonde, ne pourra retirer son dard et laissera donc quelques organes sur place. Plus spectaculaire encore, certains termites (3) et fourmis, en cas d’attaque, se font littéralement exploser, ce qui projette une glu sur les assaillants.

Ces pseudo-suicides relèvent en fait d’un comportement altruiste : les abeilles, termites, fourmis et guêpes sont des animaux sociaux qui ne vont pas hésiter à se sacrifier si le bénéfice pour le groupe en vaut la peine. En effet, les animaux d’une même colonie sont extrêmement proches génétiquement ; de plus, les soldats et ouvriers ne se reproduisent pas.

Et les femelles mantes religieuses qui dévorent leurs maris après s’être accouplés ? Cette théorie a été émise d’après des observations en vivarium : après l’accouplement, la femelle cherche a se nourrir. Dans la nature, le mâle a des chances de s’échapper, et la femelle va chercher une autre proie. Dans un vivarium, aucune chance. Ce qui ne veut pas dire que le mâle n’y laisse jamais la vie dans la nature ; mais de toute façon le cannibalisme n’est pas rare chez les mantes. Ça ne traduit donc pas un comportement suicidaire.

Voilà un aperçu de quelques comportements suicidaires qui n’en sont pas. De toute façon, les animaux n’ont pas la capacité de se projeter dans le futur ; impossible, dans ces conditions, de se donner la mort délibérément et sans finalité.

Mais alors, pourquoi le suicide existe chez les Hommes, vous entends-je vous demander ? Eh bien, sans avoir de certitude, il semblerait que les personnes au comportement suicidaire aient en commun une même atrophie cérébrale. Attention, cette étude n’a porté que sur les seniors, et va sûrement être élargie aux autres classes d’âges.

(2) ↑ Ce mythe est d’ailleurs repris dans le jeu “lemmings” http://www.elizium.nu/scripts/lemmings/?starsheep_id=7792 pour les nostalgiques ou les curieux.
(3) ↑ Eh oui on dit « un termite ».

http://omnilogie.fr/

De nouvelles espèces de serpent découvertes en Australie


Il y a des serpents qui sont facile de différencier alors que d’autres se ressemblent beaucoup qu’il n’est pas évident de voir les différences et ces différences sont pourtant importantes car cela signifie que qu’ils y a de nouvelles espèces qui n’avaient simplement pas été répertorié. Mais grâce a la génétique, cela permet de faire ces découvertes
Nuage

 

De nouvelles espèces de serpent découvertes en Australie

 

Un boas.... (Photo: Archives PC)

Un boas.

PHOTO: ARCHIVES PC

Agence France-Presse
Paris, France

Des analyses génétiques menées sur des serpents fouisseurs en Australie ont permis d’identifier au moins une trentaine de nouvelles espèces parmi ces animaux qui présentent tous une morphologie très semblable, ont annoncé vendredi le CNRS et le Muséum national d’histoire naturelle de Paris (MNHN) dans un communiqué commun.

À ce jour, 3432 espèces de serpents sont recensées par les scientifiques, divisées en deux grands groupes: les serpents typiques (boas, pythons, cobras, vipères, etc.) qui appartiennent aux Alethinophidia d’un côté, et les Scolecophidia de l’autre. Ces Scolecophidia (402 espèces) sont des serpents strictement fouisseurs, de petite taille (généralement inférieure à 30 cm) qui se nourrissent de la faune souterraine et qui se ressemblent tous fortement, en raison des contraintes liées à leur mode de vie (forme, couleur, etc.), explique le communiqué.

Or les Scolecophidia ont longtemps été négligés par les biologistes. Des chercheurs français, américains et australiens ont entamé en 2008 une étude visant à mieux connaître ce groupe de serpents en analysant en détail leur génome, à la fois un gène mitochondrial (hérité de la mère) et un gène du noyau de la cellule (hérité du père). Au total, 741 spécimens appartenant à 27 espèces de Scolecophidia ont ainsi été étudiés.

Or à partir de ces 27 espèces actuellement reconnues, les spécialistes ont mis en évidence «l’existence de 29 à 65 nouvelles espèces», soulignent le CNRS et le MNHN.

Sans l’analyse de leur ADN, il aurait été impossible de découvrir cette «diversité cachée» au sein d’espèces d’apparences très semblables, assurent les chercheurs.

Les scientifiques en déduisent que «la diversité spécifique des serpents fouisseurs australiens est largement sous-estimée», ce qui est peut-être aussi le cas à l’échelle mondiale. Si l’on rapporte la proportion de nouvelles espèces ainsi découvertes aux 402 espèces de scolécophidiens actuellement connues, leur nombre serait alors en réalité compris entre 830 et 1370 !

Si les biologistes estiment qu’il leur reste de nombreuses espèces animales à découvrir, la plupart se trouveraient dans les rangs des invertébrés (insectes, arachnides, vers, mollusques, etc.) A l’inverse, on considère que la faune des vertébrés terrestres est globalement bien documentée. Selon le communiqué, le nombre d’espèces de mammifères et d’oiseaux s’accroît chaque année de seulement 0,1% à 0,2%, et celle des lézards et serpents de 1,7%.

http://www.lapresse.ca

Les 8 méthodes scientifiques pour être plus heureux


La science dans divers domaines se penchent sur le bonheur. Vraiment ? Par des questions, des mises en scènes, il semble que cela aurait porter fruit
Nuage

 

Les 8 méthodes scientifiques pour être plus heureux

Une cure de bleu, un des moyens d’être plus heureux © Philipp Nemenz / Cultura Creative

Oscar Besson

13 spécialistes de différentes nationalités se sont réunis pour étudier les principaux facteurs de bonheur. Voici leurs conseils. À suivre absolument !

« Vous avez le pouvoir d’être plus heureux. » Voilà ce qu’affirment treize scientifiques dans une étude publiée dans le bimensuelPsychological Bulletin.

Ces chercheurs ont constaté que de petits changements que nous sommes tous capables d’effectuer peuvent changer notre vision des choses, et donc nous rendre plus heureux. Voici quelques conseils pour se sentir bien dans son quotidien.

AFP Photos

1. Dormir plus de six heures

Six heures et quinze minutes de sommeil ininterrompu sont le strict minimum pour un adulte afin de passer une journée heureuse. Cette enquête a été menée par le groupe Yellow Valley auprès de 4 000 adultes de 18 à 65 ans. Ceux qui figurent parmi les plus satisfaits sur une échelle de bonheur de 1 à 5 sont ceux qui déclarent dormir plus de sept heures de manière ininterrompue. Pour les enfants et adolescents, comptez minimum huit heures pour passer une journée dans la bonne humeur. Mesdames et messieurs, à vos oreillers !

AFP Photos

2. Se fixer de nouveaux objectifs

Le psychologue Jonathan Freedman affirme que les personnes qui se fixent des objectifs – à court ou à long terme – sont plus heureuses que celles qui ne s’en fixent pas. Avoir un projet et progresser dans celui-ci ne donne pas seulement un sens à chacune de vos actions, cela vous donne également une structure de vie, des habitudes, et instaure de fortes relations sociales. Celui qui ne désire pas ne vit pas, c’est bien connu, alors, soyez ambitieux !

AFP Photos

3. Se mettre au bleu

Des chercheurs de l’université du Sussex en Angleterre ont démontré que s’exposer à la couleur bleu augmente « la confiance en soi, réduit le stress, et stimule le bonheur ». Selon une interview du Daily Mail, notre amour pour cette couleur s’explique très rationnellement. Vingt-cinq personnes ont été soumises à une lumière bleue pendant une heure dans un laboratoire de l’université du Sussex. Leur temps de réaction et de mémorisation s’est révélé plus rapide à la suite de l’expérience. Elles ont également reconnu être plus apaisées qu’avant l’expérience, ce qui pourrait avoir joué un rôle dans l’amélioration de leur performance.

AFP Photos

4. Essayer des expériences nouvelles

Selon les treize chercheurs, ceux qui partent le plus souvent à l’aventure, qui tentent de nouvelles expériences, qui goûtent de nouveaux mets culinaires, sont plus heureux que les autres. En effet, apprendre de nouvelles choses est un excellent moyen de garder le cerveau stimulé et de provoquer la curiosité. De fait, votre organisme est plus dynamique. En plus, ça fait des histoires à raconter le soir. La forêt amazonienne, ça vous dit ?

AFP Photos

5. Retarder les bons moments

Anticiper les bons moments vous rend heureux. Le psychologue de Harvard Daniel Gilbert affirme qu’il est naturel pour l’homme de retarder un événement agréable. L’attente d’un dîner romantique ou d’une sortie grandiose est toujours plaisante. Que l’attente soit d’une heure, d’une semaine ou d’un mois, cela stimule le cerveau et l’excite davantage. Retarder le plaisir permet de doubler le bonheur. Vous n’y croyez pas ? Regardez les enfants le soir d’un 24 décembre !

AFP Photos

6. Partager son argent

D’après le Psychological Bulletin, dépenser une partie son argent pour faire plaisir à autrui permettrait de se sentir plus heureux. Selon les conclusions de l’étude, les donateurs sont généralement les plus heureux, peu importe le niveau de revenus. Cela vaut pour les proches et les moins proches. En tant que bons samaritains, vous vous sentirez toujours mieux après avoir fait un don à quelqu’un ou à un organisme, car vous faites plaisir à l’autre et à vous-même. Agir avec bonté permettrait d’être plus heureux, alors, n’ayez pas d’oursins dans les poches.

Friends

En effet, ces « bons samaritains » se sentent toujours mieux à la fin de la journée après avoir un fait un don à des organismes de bienfaisance ou à d’autres personnes plutôt que de s’être fait plaisir eux-mêmes.Ainsi agir avec bonté permettrait de se sentir plus heureux.

7. Avoir 5 amis sur lesquels compter

Le psychologue Richard Tunney de l’université de Nottingham a enquêté sur ce qu’était le secret du bonheur pour les gens. Pour cela, il a interrogé 1 700 personnes sur l’état de leur satisfaction et de leurs amitiés. Celles qui affirment ne pas avoir de solides liens d’amitié sont souvent celles qui se déclarent les moins heureuses. Prenez bien soin de vos amis d’enfance, ils sont, selon le psychologue, les plus à même de vous procurer du bonheur.

AFP Photos

8. Être amoureux

Grand classique souvent associé au bonheur : la relation amoureuse. Les personnes interrogées qui sont en couple sont en moyenne, toujours sur l’échelle du bonheur de 1 à 5, généralement plus heureuses que les célibataires. Ce n’est pas un hasard si les sites de rencontre font un tel tabac aujourd’hui. Le fait d’avoir toujours quelqu’un sur qui on peut se reposer, qui vous écoute et qui vous aide dans les moments difficiles ne peut qu’améliorer votre état psychologique au quotidien. « All you need is love », chantaient les Beatles.

 

http://www.lepoint.fr

Des fleurs mortuaires depuis 13 700 ans


L’être humain a toujours voulu souligner par des rites funéraires la mort d’une personne. Les plantes, les fleurs lors d’un décès ne datent pas d’hier, mais bien plus longtemps, peut-être depuis que les premiers hommes ont décidé de vivre groupé
Nuage

 

Des fleurs mortuaires depuis 13 700 ans

 

Reconstitution d'une tombe découverte

Reconstitution d’une tombe découverte Photo :  Université d’Haïfa

La tradition ne date pas d’hier… Des traces de fleurs et de plantes ont été mises au jour dans des tombeaux vieux de 11 700 à 13 700 ans dans une grotte du mont Carmel, en Israël.

Cette découverte réalisée par des archéologues de l’Université d’Haïfa est non seulement la plus vieille preuve du recours aux fleurs lors de rites funéraires, mais aussi de l’existence de cérémonies chez les Natoufiens, des hommes préhistoriques qui vivaient au Proche-Orient il y a environ 11 500 à 15 000 ans.

Cette culture fut la première dans le monde, selon les connaissances actuelles, à abandonner la vie nomade pour devenir sédentaire et construire des fondations en pierre. Elle fut également parmi les premières à établir des cimetières, c’est-à-dire des zones délimitées dans lesquelles les membres de leurs communautés étaient enterrés pour des générations.

Ces cimetières étaient habituellement placés dans les premières chambres de cavernes ou sur des terrasses situées au-dessous des cavernes. C’est le cas observé dans la caverne Raqefet située au mont Carmel, un site qui comptait 29 squelettes de bébés, d’enfants et d’adultes.

La plupart des morts étaient enterrés seuls, bien que certains étaient placés par deux dans une même fosse. Dans certaines des tombes, une ornementation végétale prenait la forme d’un lit de plantes du genre salvia. D’autres espèces de laîches et de menthes de la famille des Lamiaceaeont été trouvées

Le détail de cette découverte est l’objet d’un article publié dans les Proceedings of the National Academy of Science

Le saviez-vous?
La famille des Lamiaceae est une source importante d’huiles essentielles, d’infusion et d’antibiotiques naturels. L’industrie cosmétique les utilise encore aujourd’hui pour leurs propriétés hydratantes et antiseptiques.

http://www.radio-canada.ca

Huit feux de forêt font rage dans le nord du Québec Juillet 2013


Le Nord du Québec brûle et cette chaleur n’aide en rien pour atténuer les risques d’incendie de forêt. Il est clair que l’idée de faire des feux à ciel ouvert est interdit Il semble que c’est pour cela que des pannes électriques et le smog qui s’est fait sentir au sud de la province Il y a eu entre autre a Montréal des annulations de chirurgie et des pannes de métro a Montréal
Nuage

 

Huit feux de forêt font rage dans le nord du Québec

 

Au moins huit foyers d'incendie sont toujours actifs, dont quatre... (Photo archives PC)

PHOTO ARCHIVES PC

Au moins huit foyers d’incendie sont toujours actifs, dont quatre non-maîtrisés, dans le nord du Québec.

Les températures chaudes font grimper l’indice d’inflammabilité des forêts québécoises. La région de la Côte-Nord est particulièrement vulnérable, avec un danger d’incendie considéré comme extrême.

Le nord du Lac-Saint-Jean, l’Abitibi et toute la région de la Jamésie font partie des points chauds suivis de près par la SOPFEU.

La région d’Eastmain est la plus touchée et des Autochtones ont été déplacés. Les flammes ont ravagé pour l’instant entre 325 000 et 350 000 hectares dans le nord du Québec. Par ailleurs, la route de la Baie-James est fermée sur 301 km par mesure de sécurité.

La Société de protection contre le feu exerce une surveillance accrue sur tout son territoire, situé au sud du 51ème parallèle.

Après plusieurs jours d’assèchement et la faible quantité de pluie ces dernières semaines, Éloïse Richard, porte-parole de la SOPFEU estime que l’indice d’inflammabilité varie d’extrême à élevé sur une grande portion du Québec.

L’entreprise minière aurifère, Goldcorp, a d’ailleurs annoncé jeudi avoir demandé l’évacuation de la plupart de ses travailleurs en fonctions dans la région de la Baie James, à son projet minier Éléonore.

Avec La Presse Canadienne

http://www.lapresse.ca

Les dinosaures survivaient dans un monde piégé par les flammes


Dure, dure, la vie d’un dinosaure ! Même s’ils étaient gigantesques, leur environnement était probablement extrême et ils auraient vécu avant un certains moments dans ces chaleurs insupportables avant de disparaitre
Nuage

 

Les dinosaures survivaient dans un monde piégé par les flammes

 

© Raúl Martín

© Raúl Martín

Malgré leur position dominante au sommet de la chaîne alimentaire, les dinosaures n’avaient pas la vie facile. De nouvelles recherches laissent supposer qu’avant qu’un astéroïde ne mette probablement fin à leur existence, les dinosaures appartenant aux genres Parksosauru,Psittacosaurus et autres vivaient sur une planète ardente.

Des restes de charbon datant du Crétacé, il y a environ 80 millions d’années, confirment que l’atmosphère était chargée enoxygène – environ 25 %, contre 21 % actuellement. Cela contribuait à propager les incendies de forêt déclenchés par la foudre et qui brûlaient même les arbres ou arbustes humides.

Comme la végétation devenait clairsemée, d’importantes crues ont pu inonder des régions entières. La paléobotaniste Sarah Brown pense que les feux devaient « faire partie du mode de vie des dinosaures » et ont dû entraîner des migrations de masse. Sans parler de la contrainte d’avoir à chercher de la nourriture non carbonisée.

http://www.nationalgeographic.fr